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[RP] Luxeuil, la nuit !

Isabelle
[nuit du 08 au 09 décembre, reprise de la mairie]

Isabelle attendait, tapie dans l'ombre. Comme les 2 nuits précédentes. Sauf que cette nuit ils seraient bien plus nombreux...assez pour reprendre la mairie, ça ils ne savaient pas, mais ils donneraient du fil à retordre à ces brigands.
Le nombre de révoltés la rassurait et l'inquiétait en même temps.
Que de visages connus autours d'elle. C'était bon de savoir que tous étaient prêts à se battre pour leur ville, mais.....ah, mon Dieu, qu'il ne leur arrive rien. Ces gens qu'elle côtoyait tout les jours, avec qui elle avait tissé des liens, elle n'était pas prête à leur voir arriver quelque chose.
Elle ne devait pas laisser sa peur l'envahir, elle se força à respirer calmement, profondément.

Elle refusait de penser à Jym, tapis dans l'ombre quelque part là-bas, attendant le signal. Elle aurait voulu pouvoir courir vers lui, l'entrainer loin d'ici, loin des brigands et de leurs armes. Elle aurait voulu que.....
s'assurer que rien ne lui arriverait, être avec lui, pouvoir s'interposer entre lui et les coups, mais.....elle n'était pas une guerrière et sa présence près de lui lui ferait courir plus de risques qu'autre chose, il devait se concentrer sur leurs adversaires et pas se soucier de sa sécurité à elle. C'est pour ça qu'elle avait été se placer loin de lui, loin de sa vue.

Elle repensa à la dernière prise de mairie, avec Saffig. Elle savait que ce ne serait pas aussi facile cette nuit. Le combat, cette fois, semblait inévitable.
Au signal, elle sortit son épée de son fourreau, vérifiant de l'autre main que sa dague était bien à sa place...."toujours s'assurer qu'au cas où, ..." son père avait toujours été clair à ce sujet : une dague pour le cas où son épée serait inutilisable, dague pour se libérer ou ne pas tomber vivante entre des mains ennemies.....c'est les mains tremblantes mais résolue à en découdre qu'elle se releva, ramassant son bouclier de la main gauche, la droite crispée sur la garde de son épée à se faire mal.

Brusquement, le silence vola en éclat tandis qu'ils se ruaient vers la mairie.
Déjà les gardes étaient sur eux. Ou ils étaient sur les gardes. Le temps semblait étrangement différent, comme si les choses étaient ralenties.
Le cliquetis des armes s'entrechoquants, les cris, la poussière qui tourbillonnait autours des combattants....tout donnait un air irréel à la scéne.
Puis elle fût dans l'action : lever le bouclier pour parer, riposter, obliger son adversaire à reculer....
Diraak
Diraak s'était rassemblé avec ses compagnons d'arme. L'Ordre des lames était arrivé à Luxeuil le jour même et sa mission était enfin claire: aider à reprendre la ville. Une douzaine de villageois était déjà rassemblé, armés. Quelques regards suspicieux se tournèrent vers la lance de Coquine composée d'une poignée d'hommes. Mais les armes des lames n'étant pas menacantes, les villageois semblèrent comprendre que la petite troupe était là pour les épauler.

Enfin un peu d'action. L'Ordre était sur les routes depuis une bonne semaine. Ils allaient enfin pourvoir participer aux "festivités". Anticipant les évènements, ils avaient sonné le rassemblement à Luxeuil et ils étaient déjà 4 en ville, d'autres devait encore arriver.

Les villageois, au signal de leur meneur, s'engoufrère dans la mairie laissée à l'abandon par les brigands. Les lames les suivirent et leur prétèrent main forte pour maitriser les miliciens qui s'étaient mis bien malgré eux au service des brigands.

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Coquine01
L’obscurité était enfin installée sur la ville, la petite troupe composée de villageois et de membres de l’Ordre était fin prête. De maigres lanternes dessinaient des arabesques sur les visages, et l’on pouvait lire le courage et la détermination parmi ses ombres dansantes.

Coquine était fière du courage des villageois, forgerons, paysans, meuniers, ils étaient là, peu habitués aux métiers des armes. Des nobles et des gens d’armes étaient également présent, ils seraient là pour guider.

Et puis il y avait les Lames, elle leurs sourit dans la nuit.

Le groupe se mit en route pour approcher de la mairie. Comme des chats, ou plutôt des tigres, ils se glissèrent entre les arbres et les maisons environnantes.

Coquine sorti son épée et la fit légèrement briller pour signifier au chef que ses lames étaient prêtes. Un ordre silencieux les fit réagir, et ils se précipitèrent dans la mairie. Quelques rares gardes somnolaient entre les tables.

Les brigands avaient fuient, prouvant ainsi leurs courages.
La rousse rengainât son épée, elle n’en aurait pas besoin, la mairie était reprise.

Elle se faufila entre les rangs, félicitant les femmes et les hommes de Luxeuil.

L’aube pointa le bout de son nez, une nouvelle journée commençait.

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Isabelle
Très vite le tulmute c'était apaisé : les bandits avaient fuis après avoir piller et saccager la mairie, les seuls gardes présents étaient quelques Luxoviens très distrait qui n'avaient pas remarquer qu' il y avait eu une révolte et qui ne comprirent pas, au départ, pourquoi leurs concitoyens leur foncer dessus armes au poing. Le cliquetis des épées n'avait duré que le temps pour chacun de s'apercevoir de l'absurde de la situation.
Heureuse de s'en tirer à si bon compte, Isabelle remis son épée au fourreau et partit à la recherche de Jym....
Jym56
Enfin l'heure de la revanche avait sonné . D'un coup de bélier ils avaient fait sauter la porte de derrière et s'étaient engouffrés dans l'édifice en hurlant comme des damnés ! L'effet de surprise était total et les hommes pris au dépourvu dans leur sommeil étaient hébétés .

Dehors manants ! Mais , je vous connais vous ! Qu'est ce que vous faites là ?

Force était de constater que les brigands s'étaient esquivés pour aller écumer d'autres lieux...
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BERPED E RAOK
Isabelle
Citation:
Dehors manants ! Mais , je vous connais vous ! Qu'est ce que vous faites là ?


reconnaissant la voix de Jym, elle s'avança doucement, presque sur la pointe des pieds, espérant le surprendre maintenant qu'il n'y avait plus de danger....mais Crocdur l'avait déjà dépassée, léchant la main du jeune homme pour manifester sa présence, dévoilant ainsi la présence de sa maîtresse.
"oh la sale bête" pesta-t-elle intérieurement, même pas moyen de s'amuser un peu....et Saffig n'étant pas là, personne n'avait eu l'idée d'amener des choppes de bières pour fêter la reprise de la mairie.
Jym56
Il y avait du vent cette nuit là et celui ci s'engouffrait dans les ruelles, faisant voler les dernières feuilles mortes et éteignant les torches .Jym menait la patrouille, suivi de près par Isabelle et un autre garde qu'il ne connaissait pas . La basse ville était tranquille et ils montèrent sur les remparts.
De là ils voyaient les feux de camp de l'armée Lorraine qui stationnait dans les prairies alentour . Le vent était aussi plus vif et il faisait claquer les capes
.
Gast on serait mieux au chaud devant la cheminée...

Enfin ce n'était pas cette nuit qu'il fallait penser à dormir, bien au contraire .
La vigilance était plus que jamais de mise . En contrebas on entendait les bruits de la taverne où quelques bambocheurs chantaient à tue tête....

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BERPED E RAOK
Isabelle
Isabelle était transie de froid,le vent froid et cinglant mordait la peau et s'infiltrait dans les vêtements, gonflant les capes comme des ballons, éteignant les torches, leur projetant de la poussière et des feuilles dans les yeux. Elle marchait tête baissée pour résister aux bourrasques, se fiant d'avantage à ses oreilles...et à Crocdur...qu'à ses yeux larmoyants pour déceler un éventuel danger. Les ruelles de la basse ville étaient désertes et seuls les éclats de voix provenant des tavernes perçaient les mugissements du vent.
En arrivant sur les remparts le vent devint encore plus violent et elle se demanda un instant si elle allait pouvoir résister ou si elle allait se retrouver projeter à bas des murs.

Citation:
Gast on serait mieux au chaud devant la cheminée...


"oh oui ! " songea-t elle," un bon feu de cheminée, et une boisson chaude !".
S'approchant de Jym, elle posa son bouclier contre un créneau et pris celui du jeune homme pour le poser avec le sien....avant que le jeune homme puisse réagir elle lui avait saisi les mains et écartant sa cape elle posa les mains du jeune homme contre son ventre, à même la peau sous sa chemise.....ouhhhhhhh, il avait les mains encore plus froides qu'elle ne l'avait pensé !!!

autant te réchauffer un peu le temps que tu examines les campements autours de la ville chuchota-t-elle, essayant de ne pas claquer des dents.
Elle se moquait de ce que pouvait penser le troisième membre de la patrouille.....
Si ils devaient se battre cette nuit cela serait plus facile si ils pouvaient tenir leurs épées correctement....et elle doutait que cela soit possible avec les mains gelées !
Isabelle
[ nuit du 11 au 12 janvier]

Le froid, le vent, la pluie....c'était devenu quasi quotidient....comme les gardes de nuit. La fatigue commençait a se faire sentir, mais elle ne se plaignait pas : la sécurité de Luxeuil était primordiale à ses yeux....et lorsqu'elle était de garde, au moins Jym pouvait se reposer un peu. Il aurait besoin de toute son énergie si il était élu maire....ce qu'elle souhaitait de tout son coeur même si cela impliquait un surplus de travail pour le jeune homme et encore moins de temps pour le voir.
Elle savait qu'en ces temps troublés la gestion d'une mairie demandait énormément d'énergie, de temps....elle avait eu l'impression lors de son mandat de passer son temps à courir, pour au final bien peu de résultats, un sentiment de frustration devant le peu de réactivité des habitants face aux propositions qui leurs étaient faites. Voilà qu'aujourd'hui certains venaient critiquer mais elle ne se souvenait pas les avoirs vu lors des activités qui avaient été proposées: seuls les membres du conseil étaient venus....pareil pour la sécurité : c'était toujours les même habitants qui s'en chargeaient .....ça l'énervait ces gens qui ne savait que critiquer....

Furieuse, agitée par ses pensées , elle entama une nouvelle ronde sans même sans rendre compte. Ce n'est qu'en arrivant devant l'escalier menant aux remparts qu'elle réalisa que cela faisait 3 fois qu'elle passait par là....sans être passer en salle des gardes se réchauffer un peu et boire une boisson chaude : pas étonnant qu'elle eu l'impression de n'être qu'un bloc de glace.
Isabelle
[nuit du 13 au 14 janvier]

Demain ils sauraient qui était leur nouveau maire....enfin, tout à l'heure.
En attendant elle faisait une ronde dans les rues de la ville. Elle passait régulièrement devant la mairie et dans les ruelles avoisinantes, aux aguets. La période des élections était toujours très tendue et propice aux prises de mairie. Pour l'instant tout était calme.

Crocdur, toujours quelques pas devant elle lors des rondes, s'arrêta brusquement, oreilles pointées et poils hérissés. Immédiatement Isabelle porta la main à la garde de son épée, gorge serrée. Un grondement sourd sortait maintenant de la gueule de Crocdur mais il ne bougeait pas. Brusquement une boule de poils jaillit de la ruelle sur sa droite, évitant le chien et la jeune femme, et disparaissant très vite dans l'obscurité.
Un chat !

Isabelle laissa échapper un petit rire nerveux.
Oh Croc ! tu m'as fait peur sac à puce ! ....un chat !!!
Encore heureux que le molosse ne se soit pas mis à aboyer comme un fou, réveillant les habitants et donnant une fausse alerte aux miliciens qui devaient patrouiller pas très loin.
Isabelle
[nuit du 22 au 23 janvier 1460]

Isabelle s'était rendu a la salle des gardes, elle se préparait pour sa première ronde lorsqu'elle vit Jym arriver. "Zut!" se dit-elle "Je n'étais pas de garde aujourd'hui", un peu embarrassée de son erreur elle se dirigea vers le jeune homme.
Elle lui expliqua son erreur en quelques mots et c'est ensemble qu'ils partirent en patrouille.
"au moins" se dit-elle "nous pourrons passer un peu de temps ensemble"
Elle se souvint des nuits où elle l'accompagnait pour le simple plaisir d'être avec lui, bien avant de s'engager dans la garde-civile.
Le silence de la nuit n'était rompu que par le bruit de leurs pas.
Crocdur, habitué à faire les rondes, avançait à quelques mètres devant eux.
Parfois il s'arrêtait, oreilles dressées,humant l'air froid de la nuit, ne se remettant en route que lorsqu'il avait identifié l'origine du bruit non perceptible pour Jym et Isabelle : bestiole se faufilant dans une ruelle, oiseaux de nuit partant en chasse....

Isabelle se sentait étrangement bien, seule dans la nuit avec Jym, loin des tracas de la journée : oublié la mairie et le conseil, oublié le comté....
il n'y avait qu'eux et le fidèle molosse veillant discrètement sur eux.

Elle savourait l'instant, esperant que la nuit serait calme et qu'ils pourraient bavarder un peu entre deux rondes.
Jym56
Ils marchaient de concert , l'un derrière l'autre sur les remparts . La nuit était claire et l'on avait assez de visibilité . Jym était rassuré de savoir Isabelle avec lui . Ils étaient bien armés tous les deux , on ne savait jamais à quoi s'attendre . Le secteur avait beau être relativement calme en ce moment on n'était jamais à l'abri d'une bande de routiers avides de sang ou de brigands à la recherche d'un coffre à piller . ils firent une petite pause près de la tour nord .
Ca va ma puce , tu n'as pas envie de dormir ?

Il savait qu'elle avait travaillé dur toute la journée dans son échoppe et que dans ce cas la ronde serait longue . Il la serra contre lui, faisant tinter leurs épées, et l'embrassa .
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BERPED E RAOK
Isabelle
Le baiser de Jym chassa miraculeusement la fatigue et le froid de la nuit.
Elle ne pût s'empêcher de le taquiner :


voyons chef ! quelle tenue !!!!... ça va crier au favoritisme, à moins que tu embrasses ainsi tout les maréchaux avec qui tu fais des rondes?

Posant sa tête sur l'épaule du jeune homme un instant, elle contempla Luxeuil endormie, si calme. Elle soupira à l'idée de devoir quitter les bras du jeune homme mais ils devaient continuer leur ronde.

le devoir nous attend mon coeur...

dès que nous aurons fini cette ronde nous pourrons nous installer quelques instants en salle des gardes, avec une boisson chaude et bavarder à notre aise, pense-t-elle sans le dire.
Hum?..et les miliciens et autres gardes?...elle compte sur le brave Crocdur pour les faire rester dehors, rien de tel qu'un molosse à l'air féroce couché devant une porte pour que personne n'est envie de la franchir ...mais pour ça faut y arriver les premiers.
Elle s'écarte du jeune homme de quelques pas, vérifie machinalement ses armes:


je passe devant
Isabelle
Ils terminèrent leur ronde en silence, savourant simplement le fait d'être ensembles.
La salle de garde dans laquelle ils venaient d'entrer était déserte, les miliciens étant encore en patrouille.
Vaste salle, dans un angle des remparts, dont les seules ouvertures étaient la porte et quelques meurtrières, uniquement meublée d'une grande table et de bancs, une immense cheminée y entretenait une agréable chaleur.
Isabelle se débarrassa prestement de sa cape qu'elle alla pendre à un clou dans le mur près de l'âtre, puis revenant vivement vers le jeune homme elle posa ses lèvres sur celles de Jym dénouant la cape du jeune homme pour l'en débarrasser, s'échappant d'une volte avant qu'il n'ai le temps de refermer ses bras autours d'elle. Elle alla accrocher la cape près de la sienne, puis s'approchant de la cheminée elle prépara deux choppes de tisanes.
Posant les choppes sur la table, elle revint près du chef-maréchal:


voilà de quoi nous réchauffer

taquine, elle glissa une main gelée dans le cou du jeune homme.
Isabelle
[nuit du 28 au 29 janvier, garde de nuit ou garde d'enfant?]

Isabelle avait rencontrer Maneck en taverne, le gamin de 12 ans lui faisait penser à son petit frère. Devant sa déception au refus de Jerone de lui apprendre à se battre elle avait voulu égayer le gamin en lui proposant de l'accompagner dans une garde de nuit....et il avait sauter sur l'occasion.
Vu qu'il n'avait qu'un bâton comme arme, elle lui avait prêté la dague qui ne quittait jamais son avant-bras....sans, elle se sentait nue, étrangement vulnérable, sans moyen de mettre fin à ses jours si elle tombait aux mains d'ennemis mais elle ne pouvait pas laisser le gamin sur les remparts armé d'un simple bâton ! pour la même raison elle lui avait laisser son bouclier.
Elle ne pût s'empêcher de sourire en voyant le gamin cramponner fermement mais maladroitement le bouclier, la fierté d'être armé se lisant clairement sur son visage.


ne le cramponne pas comme ça...là....sur l'avant bras, prêt a être interposer entre toi et l'ennemi.

elle vérifia sa tenue, il n'était pas très couvert et risqué d'avoir froid mais elle ne voulait pas le vexer en lui prêtant des vêtements " de fille"...

bon Maneck, comme c'est toi qui a le bouclier tu vas devoir me couvrir...viens près de moi, sous ma cape, et en cas de besoin lève le bouclier devant nous !

elle grimaça à l'idée qu'elle ne pourrait pas être aussi rapide et silencieuse que d'habitude mais il faisait vraiment très froid et elle ne pouvait pas laisser le gamin faire la ronde en haillons...


et la dague ne la garde pas à la main.....tes doigts s'engourdiraient et tu ne pourrais pas t'en servir au moment voulu....mets la à ta ceinture, de façon a pouvoir la sortir rapidement si besoin.


elle hésita à lui répéter ce qu'on lui avait inculquer à elle : " sers t'en contre ton ennemi si tu peux sinon retourne la contre toi pour ne pas tomber vivante entre les mains de l'ennemi".
Haussant les épaules elle s'en abstint, à quoi bon l'affoler inutilement : la nuit s'annonçait calme, et en cas de danger elle avait son épée et il y avait le brave Crocdur.
Le fidèle molosse ne quittait pas le gamin des yeux et si il n'avait pas sauter sur le gamin lorsqu'il s'était glisser près d'Isabelle c'est que celle-ci lui avait fait signe de ne pas bouger.

Bon, je vais te présenter Crocdur....il est impressionnant mais pas méchant, tant qu'il ne me croit pas en danger ....je vais te présenter et lui dire que cette nuit il nous protège tout les deux d'accord?

Faisant signe au chien d'approcher, elle lui fit renifler le gosse.

ami Croc....ami!....ce soir on fait la ronde tout les 3 ! ....allez, c'est partit!!!

le molosse connaissait le chemin à force de le faire avec Isabelle, et parfois avec Jym, il s'engagea donc dans les ruelles sans hésitations, quelques mètres devant les deux petites silhouettes.
Régulièrement il s'arrêtait pour les attendre.

Une petite pluie fine tombait, pas assez forte pour gêner la visibilité mais juste assez pour être désagréable .
Seuls quelques éclats de voix provenant des tavernes étaient perceptibles.
En arrivant sur les remparts, un vent froid s'engouffra dans la cape...


ça va Maneck?...tu veux aller m'attendre dans la salle de garde pendant que j'observe un peu les environs?
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