Sofio
Veni..Vidi...Vici...
C'était le mot du départ, pour le temps de la réunification, 16! valeureux guerriers armés jusqu'aux dents dont le passé militaire n'était plus a refaire, d'ailleurs l'Auvergne possédait sur eux les légendes les plus terribles, partout il était dit, si les ravis de la ferme se mêlent de la guerre, sur qu'en deux temps trois mouvements l'affaire sera rondement menée, ils étaient tout simplement les légendes vivantes du pays des conquérants, deux d'entre eux, dans un passé pas si lointain avaient déjà conquiert le Limousin, deux personnes pour rallier et réparer les dégâts faits par les armées du Ponant, sautant de nuds en mines, bravant le gout du risque, sous les halos de l'ancien conseil comtal, les autres n'étaient plus à présenter, seuls l'apparence comptait des dents longues, une armure de cotte de mailles serrées, des armes forgées dans l'acier dont l'eau de source coulait du feu des volcans d'Auvergne, vainqueurs de par la longue lignée généalogique de leurs ancêtres, avec des noms à n'en plus finir, comme la porte enchantée, ou bien encore l'Escoraille.
Le dernier combat mené avant le départ fut celui face au monstre nommé" le Bailli" un peu comme prédestiné de pouvoir vaincre le bailli en se rendant dans un pays comme le Limousin qui avait bien pour hymne "Et on lui pèlera le jonc comme au bailli du limousin , qu'on a pendu un beau matin....."
Vaincu! affaire menée rondement, et joliment par une pirouette et un rond de jambe, l'un d'en eux en était le spécialiste.
Ravis! qu'ils étaient, ravis de partir, ravis de voyager, ravis de s'émerveiller devant les fleurs mourantes de la fin de l'été, ravis de la bouse des vaches limousines, laissées sur les chemins, pleins les bottes, mais ils connaissaient dans leurs grandes sagesses encyclopédiques toutes les devises et dictons que le monde contenait, alors c'était a pied joint et uni qu'ils sautaient dans la défection, quand ils en croisaient.
Quelques fraises des bois et myrtilles ramassées et ils arrivèrent aux portes de la Capitale, et comme partout les héros sont souvent ceux que l'on ne se doute pas, car un héros, reste humble et rare sont ceux qui signent de la pointe de leurs épées leurs noms sur un arbre ou une mine, alors l'entrée ne fut qu'une formalité quand arrivant gaiement devant les portes.
Veni, Vidi, Vici, ! ceux qui vont mourir te saluent
Ouvrez, encore une bande de tarés en bas.....
Les ravis étaient bons et justes, parfois habitués a la rudesse des hommes, parfois confrontés a l'incrédulité de ceux qui ne connaissaient pas les US et coutumes du pays "dont les volcans se taisent quand les Ravis passent"
La mission était leur seule objectif, la vie après,respirer ils s'aidaient mutuellement pour y penser, quand l'un devenait bleu, un autre lui tapait dans le dos parfois "respire c'est ton tour!" unis comme les 16 doigts de la main, aucun ne pouvait faillir sous peine de subir le châtiment exemplaire, triste jour quand ils durent bannir l'un d'entre eux, la Rochelle qu'ils l'avaient surnommés, mais les Ravis ne pouvaient pas fermer les yeux sur le terrible écart qu'il avait eu, ne pas lever la jambe plus haute....et....écraser une primevère fraichement éclose....
C'était pas le cur en fête que ce soir -là, ils désignèrent l'un d'entre eux a devenir le bourreau de cur, l'attente fut terrible en taverne mais le châtiment était dit, personne ne reviendrait dessus le code d'honneur façon des six iliens, le visage grave, ils avaient attendu que la Rochelle entre dans les lieux et .....
Galaan , un des plus jeunes d'entre eux était désigné, fallait bien qu'il fasse ses armes a son tour, alors il monta sur le table et du geste le plus lent possible, le regard noir et le visage fermé il ...dévoila une fesse....
La Rochelle pris tout d'abord de spasmes nerveux, resta figé puis il disparut dans la nuit, en hurlant.
15? c'est bien non? ca fait genre 10 plus 5 ou bien alors ca fait toujours plus que 10 et 15 c'est le tiers d'une armée rugissante a quelque chose prés.
Ce soir là, les Ravis avaient aussi tenu à monter absolument sur les remparts de la ville, une sorte de veillée entre amis, tous ces étendards flottants avaient quelque chose de magique, un peu comme les feux de la saint- Jean, mélange de coloris joyeux, ton chaud et ils avaient sortis osselets et tricots, afin de profiter le l'oisiveté accordée tout en regardant le spectacle aux pieds des remparts. C'est un peu plus tard dans la nuit profonde que les premiers feux avaient commencé a tournoyer, des couleurs multiples, de petits points disparates, qui s'approchaient en colonne, l'un d'entre eux sur la pointe des pieds s'était accroché aux pierres du muret , les yeux écarquillés devant tant de féeries de couleurs.
Hé venez voir, a des étincelles de partout, on dirait un spectacle de lumières .
Tous ensembles, tous ensembles, ho! ils s'étaient levés pour admirer les coloris il y avait même du son, qu'ils percevaient par bribes, cela rendait le tout encore plus magistrale.
LE Pon....arriveeeeeee, sont venus qui l'eut cru!
Les applaudissements fusèrent de leurs quinze mains, la fête battait son comble quand ils virent des acteurs partir a la fin du spectacle, portant le pavillon des bucherons, c'est alors qu'ils sortirent leurs mouchoirs blancs immaculés pour le secouer, en signe d'au-revoir,.
Héeee vous reviendrez?
Mais les ravis de la ferme, n'étaient pas présents que pour l'amusement, il fallait à présent se préparer, chacun uvrant a sa tâche entre pâtisseries et tricot, les missives pleuvaient d'informations diverses, une gazette mine de sources, la guerre était belle, les méchants pas la, même que partout on disait 'on les aura, hier ils ont perdu un noeud en nous prenant 4 villages" c'est que c'est con, un ennemi en général, ca mesure pas bien tout, mais eux c'était sur, les gentils vaincront , cela est écrit.
hé vous venez? intégration!
hé pour quoi faire?
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C'était le mot du départ, pour le temps de la réunification, 16! valeureux guerriers armés jusqu'aux dents dont le passé militaire n'était plus a refaire, d'ailleurs l'Auvergne possédait sur eux les légendes les plus terribles, partout il était dit, si les ravis de la ferme se mêlent de la guerre, sur qu'en deux temps trois mouvements l'affaire sera rondement menée, ils étaient tout simplement les légendes vivantes du pays des conquérants, deux d'entre eux, dans un passé pas si lointain avaient déjà conquiert le Limousin, deux personnes pour rallier et réparer les dégâts faits par les armées du Ponant, sautant de nuds en mines, bravant le gout du risque, sous les halos de l'ancien conseil comtal, les autres n'étaient plus à présenter, seuls l'apparence comptait des dents longues, une armure de cotte de mailles serrées, des armes forgées dans l'acier dont l'eau de source coulait du feu des volcans d'Auvergne, vainqueurs de par la longue lignée généalogique de leurs ancêtres, avec des noms à n'en plus finir, comme la porte enchantée, ou bien encore l'Escoraille.
Le dernier combat mené avant le départ fut celui face au monstre nommé" le Bailli" un peu comme prédestiné de pouvoir vaincre le bailli en se rendant dans un pays comme le Limousin qui avait bien pour hymne "Et on lui pèlera le jonc comme au bailli du limousin , qu'on a pendu un beau matin....."
Vaincu! affaire menée rondement, et joliment par une pirouette et un rond de jambe, l'un d'en eux en était le spécialiste.
Ravis! qu'ils étaient, ravis de partir, ravis de voyager, ravis de s'émerveiller devant les fleurs mourantes de la fin de l'été, ravis de la bouse des vaches limousines, laissées sur les chemins, pleins les bottes, mais ils connaissaient dans leurs grandes sagesses encyclopédiques toutes les devises et dictons que le monde contenait, alors c'était a pied joint et uni qu'ils sautaient dans la défection, quand ils en croisaient.
Quelques fraises des bois et myrtilles ramassées et ils arrivèrent aux portes de la Capitale, et comme partout les héros sont souvent ceux que l'on ne se doute pas, car un héros, reste humble et rare sont ceux qui signent de la pointe de leurs épées leurs noms sur un arbre ou une mine, alors l'entrée ne fut qu'une formalité quand arrivant gaiement devant les portes.
Veni, Vidi, Vici, ! ceux qui vont mourir te saluent
Ouvrez, encore une bande de tarés en bas.....
Les ravis étaient bons et justes, parfois habitués a la rudesse des hommes, parfois confrontés a l'incrédulité de ceux qui ne connaissaient pas les US et coutumes du pays "dont les volcans se taisent quand les Ravis passent"
La mission était leur seule objectif, la vie après,respirer ils s'aidaient mutuellement pour y penser, quand l'un devenait bleu, un autre lui tapait dans le dos parfois "respire c'est ton tour!" unis comme les 16 doigts de la main, aucun ne pouvait faillir sous peine de subir le châtiment exemplaire, triste jour quand ils durent bannir l'un d'entre eux, la Rochelle qu'ils l'avaient surnommés, mais les Ravis ne pouvaient pas fermer les yeux sur le terrible écart qu'il avait eu, ne pas lever la jambe plus haute....et....écraser une primevère fraichement éclose....
C'était pas le cur en fête que ce soir -là, ils désignèrent l'un d'entre eux a devenir le bourreau de cur, l'attente fut terrible en taverne mais le châtiment était dit, personne ne reviendrait dessus le code d'honneur façon des six iliens, le visage grave, ils avaient attendu que la Rochelle entre dans les lieux et .....
Galaan , un des plus jeunes d'entre eux était désigné, fallait bien qu'il fasse ses armes a son tour, alors il monta sur le table et du geste le plus lent possible, le regard noir et le visage fermé il ...dévoila une fesse....
La Rochelle pris tout d'abord de spasmes nerveux, resta figé puis il disparut dans la nuit, en hurlant.
15? c'est bien non? ca fait genre 10 plus 5 ou bien alors ca fait toujours plus que 10 et 15 c'est le tiers d'une armée rugissante a quelque chose prés.
Ce soir là, les Ravis avaient aussi tenu à monter absolument sur les remparts de la ville, une sorte de veillée entre amis, tous ces étendards flottants avaient quelque chose de magique, un peu comme les feux de la saint- Jean, mélange de coloris joyeux, ton chaud et ils avaient sortis osselets et tricots, afin de profiter le l'oisiveté accordée tout en regardant le spectacle aux pieds des remparts. C'est un peu plus tard dans la nuit profonde que les premiers feux avaient commencé a tournoyer, des couleurs multiples, de petits points disparates, qui s'approchaient en colonne, l'un d'entre eux sur la pointe des pieds s'était accroché aux pierres du muret , les yeux écarquillés devant tant de féeries de couleurs.
Hé venez voir, a des étincelles de partout, on dirait un spectacle de lumières .
Tous ensembles, tous ensembles, ho! ils s'étaient levés pour admirer les coloris il y avait même du son, qu'ils percevaient par bribes, cela rendait le tout encore plus magistrale.
LE Pon....arriveeeeeee, sont venus qui l'eut cru!
Les applaudissements fusèrent de leurs quinze mains, la fête battait son comble quand ils virent des acteurs partir a la fin du spectacle, portant le pavillon des bucherons, c'est alors qu'ils sortirent leurs mouchoirs blancs immaculés pour le secouer, en signe d'au-revoir,.
Héeee vous reviendrez?
Mais les ravis de la ferme, n'étaient pas présents que pour l'amusement, il fallait à présent se préparer, chacun uvrant a sa tâche entre pâtisseries et tricot, les missives pleuvaient d'informations diverses, une gazette mine de sources, la guerre était belle, les méchants pas la, même que partout on disait 'on les aura, hier ils ont perdu un noeud en nous prenant 4 villages" c'est que c'est con, un ennemi en général, ca mesure pas bien tout, mais eux c'était sur, les gentils vaincront , cela est écrit.
hé vous venez? intégration!
hé pour quoi faire?
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