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Le coin des poètes ( pour d'éventuels Troubadours inspirés)

---fromFRPersonne
De nombreuses nuits j'ai pleuré en rêvant de ton visage,
de nos deux corps enlacés perdus dans ce long voyage
vers cet avenir interdit, qui nous a été arraché
par des règles d'hommes auxquelles je n'ai su m'opposer.

Je t'ai aimé de toute mon âme, de tout mon corps, de tout mon être,
tu étais la moitié que j'avais toujours cherché, et me mettre
à nouveau dans la chaleur de ta peau est un rêve douloureux.
Voir nos âmes et nos corps se fondre dans les cieux...

J'aurais sans doute tout donné pour rester à tes côtés
si les hommes n'avaient inventé une loi pour nous séparer.
J'aurais tant voulu viellir en lisant dans tes yeux
la flamme de nous deux, et de nos corps amoureux.

Tant de lettres j'ai écrites depuis que je suis parti,
tant d'essais déchirés, indignes de notre ancien lit...
Je n'ai eu autrefois le courage de te crier mon amour
peut-être est-ce mieux ainsi, devant partir pour toujours.

Le froid de ton absence et ne rien voir sans tes yeux
est en moi un vide immense qui m'interdit à jamais les cieux.
La seule lueur qu'il me reste est l'espoir qu'un jour
tu retrouveras, chez un autre, le droit à l'amour.
---fromFRdamien1
si a moi son ses mesage je peut te le dire
je t'aime toujours
mais tu tes fiancer
tu as toi meme
celler ton destin
moi je suis qu'une ame mourrante
sans l'ombre d'interressement
ma seul joie sdi s'en est une est de dire que peut etre
demain ele reviendra
mais tous les jour sont triste et malheureux
j'en souffre tu as fait tous le ben
qu'il y a en moi
grace a toi je suis un ange
une ame bonne
et moi comme un idiot je me suis laisser gouverner
par des sentiment
autement incommodable
j'en pleur encore
_________________
---fromFRMadeleine
SI l'amour un jour avait été mien,
j'en aurais fait un sentiment plus facile,
un sentiments moins douloureux pour ceux qui m'entourent,
mais l'amour est dur, cruel parfois,
je crie, à l'intérieur de moi tout brule,
entièrement consumé par ce sentiment incontrolable,
si seulement je trouvais l'eau pour apaiser cette flamme,
si seulement le vide des tes yeux pouvais aussi vider mon âme,
si seulement je pouvais me retrouver ailleurs, loin de tout ça...
...si seulement je pouvais savoir qui tu es toi...
((hrp personne c quoi ton nom rp pcq c trop joli!!! dis le moi par mp stp!))

L'amour déchiré
il bat, lentement, dans ma poitrine,
ce coeur déchiré qui lentement me décime,
j'ai mal, malade d'amour pour toi,
cet amour que je n'arrive plus à avouer comme j'aurais du le faire autrefois...

elles coulent, le long de mes joues,
ces larmes de rage et de dégout,
je suis loin de toi, loin de tout,
j'en ai asez je voudrais tellement te demander pardon à genoux...

plus le courage vois tu, de te le dire,
plus le courage de m'avancer vers mon avenir,
j'ai mal, chaque pas est une aiguille,
qui dans ma poitrine s'enfonce et me détruis...

Il est loin, le temps où tu me l'a déclaré,
cet amour qui ent oi était caché,
moi je n'ai pas réussi à te le dire,
te dire que t'aimer était beaucoup plus qu'un désir...

Il brûle, mon corps tout entier,
attisé par une flamme qui moi même j'ai engendré,
je ne sais plus vivre sans t'oublier,
en fait je ne vis plus...je suis consumée...

_________________
---fromFRebius
Combien de mois, combien d'années
t'ai-je cherchée, désespéré,
etendu dans ma sombre vie
sans aucun goût ni envie ?

Combien de fois t'ai-je appelée
hurlé ton nom à m'égosiller
espérant qu'un jour viendrait
ou tu me rejoindrais ?

Combien de prières ai-je donné
à tous les Dieux que je connais
pour pouvoir enfin te tenir
pour tout mon avenir ?

Combien encore, je n'ai compté,
de fois où je t'ai embrassé
depuis que tu est venue apporter
la lumière dans mes journées.

Je ne saurais jamais compter
tout ce que la vie m'a donné
ni ce que je lui ait demandé
mais en tout cas je sais

que rien ne me sert de mesurer
toutes ces choses-là, il est vrai
puisqu'à présent tu es à mes côtés
pour un morceau d'éternité.
_________________
Ebius
85, rue Saint-Pierre
Brignoles
---fromFRMadeleine

Paradis d'autrefois...

l'océan rouge, le ciel noir,
le douleur sourde, le désespoir,
un coeur blessé, plus du tout d'âme,
je suis brisée, transpercée par une lame,

pouvoir t'aimer encore une fois,
ne serai-ce qu'une seconde,
que tu guide mes pas,
dans le noir qui m'innonde...

j'ai mal au coeur, mal dans mon âme,
je suis en deuil, en deuil de mes larmes,
plus rien dans les yeux, le vide total,
plus rien dans le coeur, le néant sentimental...

aide moi s'il te plait! juste une fois!
aide moi je t'en prie! aide mon âme...
je voudrais survivre, mais comment faire?
quand tout n'es plus sublime, quand l'amour est foutu en l'air...

mais aide moi bon sang! regarde moi
ne serais ce qu'une seconde un instant,
simplement toi et moi...
et ensemble partons, loin tout là bas,
vers ce que l'on apelle, le paradis d'autrefois...


Encore moi, toujours et à jamais moi, t'écrivant désespérément, sans pour autant dire ton nom...
ce que je veux te dire aujourd'hui? si seulement je savais, j'invente au fur et à mesure que ma plume glisse sur ce papier...
Je ne vois plus les couleurs, et toi? les vois tu?
öur moi tout est noir, noir de jais, peut être encore plus, un noir qui n'existe nulle part sauf en moi, il se propage dans tout mon être, et je continua à soufrir en écrivant chaques lettres sur cette feuille...
je n'ai pas le courage de dire à qui cete lettre est adressée, à toi simplement, voila...
je ne veux pas en dire plus, en fait, si...
alors je vais continuer, même si les larmes brouillent certains de ces mots, des mots qui un jour peut être, je dirais à qui ils sont adressés...
Je me rapellerais toujorus de notr première rencontre, de la chaleur de ton étreinte, de tes lèvres sur les miennes...
je me rapellerais toujorus du courage que tu m'as doné et que je n'ai su exploiter au bon moment...
Peut être qu'un jour j'y arriverais qui sait...
en attendant j'écris les letres les plus dures de ma vie, les plus douloureuses,
celles qui viennent du coeur...

_________________
---fromFRPersonne
Dans ce doux paradis d'autrefois
je me promène encore parfois.
Dans les rêves que je fais de toi
rien ne nous sépare, ni dieu ni loi.

Tes chaudes lèvres retrouvent leur place
auprès des miennes qui jamais ne s'en lassent,
et nos deux corps comme autrefois
retrouvent ensemble ce tendre émoi.

Toi ma mie, mon âme, mon péché et ma foi
sache que je n'ai nul envie de rester loin de toi.
Et mon coeur défaillant, déchiré par les lois
au travers de mes songes t'a rejoint cent fois.

Mon âme est lourde et mon coeur est froid,
mes mains cherchent sans cesse un souvenir de toi,
ma peau se déssèche de ce manque d'autrefois,
et pourtant de rester exilé je n'ai guère le choix.

Malédiction des dieux ou règlement des hommes
m'empêchent à jamais de croquer avec toi la pomme
que nous goutions avant avec tant de délice.
Sache que tout comme toi je suis au supplice.

A présent oublie-moi si jamais tu le peux,
va chercher refuge pour ton coeur dans d'autres cieux,
pars à la recherche d'un destin plus heureux.
Moi je ne puis plus t'offrir mieux que de longs adieux.
---fromFRakioa
Combien de tête j ai coupé ??
Combien de litres de sang j ai fait couler ??
Combien d hommes j ai tué??
Pour pouvoir te faire saigner!

Je suis la devant toi avec un couteau prête a te découper
Je vais te faire saigner
Cour si tu veux, je vais te rattraper

Je suis flatté
Que tu me dises que je suis un danger
Mais je suis bien trop occupé
Pour te remercier

Regrets-tu de m avoir rencontrer
Car la tu va crever
Tu vas saigner
Tu vas crier
Je peux te le jurer

Durant une soirée
Je vais pouvoir m amuser
A te faire crier
Et toi vas-tu me supplier
Pour que je puisse t achever

Ta vie ces arrêter
A cause d une simple soirée
Tu n aurais pas du m embêté
Et encor moins me toucher

Je t ai éventré
Je t ai écouter
Hurler
Crier
Me supplier

Mais tu vas devoir oublier
Ta petite idée
De me voir t achever
Car moi je veux m amuser
A t’entendre et te voir capoter


ps: sa m arrive souvent detre psycopate
_________________
oublie le passer...
pensse pas au futur...
vie tout simplement ta vie...
---fromFRebius
Ebius était entré dans le coin des troubadours pour déclamer une quelconque ode à Aristote-sait-quoi lorsqu'il entendit le poème d'Akioa...

Bon, distance de sécurité : 10 mètres, oki.
Expression du visage : euh... très amicale, ça devrait aller...
Pas de mouvements brusques, les mains vides et en évidence...
Comme cela je devrais pouvoir survivre...


Ca a le mérite d'être original, et c'est bien tourné, bravo : ça donne des frissons !

Arraché à mon envie subite
de déclamer ici quelques vers
je pense que je vais prendre la fuite
avant qu'Akioa ne m'aie découvert...

Point que son ire ne me concerne
ni que j'ai quelque reproche à me faire
mais lorsque colère le gouverne
l'être n'y voit plus très clair.

Cela serait trop contrariant
de risquer d'être ainsi écloppé
par cette dague qui fend le vent
juste parce qu'on est sur son trajet.

Je vais alors prestement me retirer
de cette pièce où je suis de trop,
vous souhaiter de bien vous venger
et m'en retourner au galop.

Joignant le geste à la parole, il disparut sans demander son reste.
_________________
Ebius
85, rue Saint-Pierre
Brignoles
---fromFRMadeleine
Aurais-je donc offensé la terre?
pour me retrouver ainsi enfermée?
enfermée de moi même, dans ma chair
et soufrir de t'avoir un jour aimé...

la douleur est elle ma destinée?
suis-je donc vouée a sourfrir éternellement?
pour un jour avoir voulu aimer,
aimer le terre entière et me retrouver dans le néant...

pourquoi me rejetter quand j'ai voulu aimer?
pourquoi m'en vouloir quand simplement je voulais,
aimer la terre et tout ses êtres humains,
aimer le ciel et sourire tous les matins...

à présent pourquoi mes yeux sont remplis de larmes?
pourquoi j'ai l'impression de me consumer doucement?
pourquoi ai-je tant mal en mon âme?
pourquoi ne puis-je pas t'aimer tout simplement?

_________________
---fromFRakioa
Ebius se poeme ne t'etais pas destiner mais si tu ta senti viser ces toi qui vois
_________________
oublie le passer...
pensse pas au futur...
vie tout simplement ta vie...
---fromFRebius
J'avais bien compris Akioa, mais vu l'état de colère dans lequel tu étais, fendant l'air du tranchant de ta lame, j'ai préféré ne pas trop m'approcher
C'était une simple boutade, je me serais mal exprimé une fois de plus...
_________________
Ebius
85, rue Saint-Pierre
Brignoles
---fromFRdamien1
je t'aime et mon coeur souffre mille tourmant et alors
et alors quoi que tu fasse je suis avec toi je t'aime et je t'aimerais
mes demain est un jour plus sombre qsue l'autre mes quand je te voit mon ciel s'eclaire je t'aime
_________________
---fromFRAnonymous
Bercé de tes mots
Je me repose
Je suis bien
Tu apaises mes maux.

te prendre dans mes bras
sans causé de fracas
resté enlacé
et ne faire que se regardé

tu m apporte cette douceur
cette tiedeur
qui est en toi
et que tu partage avec moi

un leger sourire
par moment un eclat de rire
tes yeux scintillant
se regard brillant

passé mes doigts sur ta peau
je trouve cela si beau
de partagé cette tendresse
te comblé de caresses

t apporté l ivresse
sans auccune paresse
et continué de t aimé
sans jamais s arreté
---fromFRMadeleine
j'ai vu ton visage,
après il n'y avais plus d'orage,
il n'y avais plus de nuages,
dans mon ciel devenu mirage...

voir tes yeux même dans le noir,
voir ton visage me donnais espoir,
mais quand celui ci a disparu
je me sentais seule, j'étais perdue,

j'ai mal au coeur mais tu ne semles rien voir,
aveuglé par ton amour et ton désespoir,
je t'aime toujours le sais tu?
je t'aime toujours mais je suis perdue...

perdue entre milles hommes qui ceulent tous m'aimer,
perdue entre milles paroles qui arrivent à m'appaiser,
mais pas à t'oublier...

_________________
---fromFRebius
Qu'est-ce qu'aimer ?
Un grand bouleversement,
une simple pensée ?
Ou le dernier battement
d'un coeur bientôt brisé ?
Qu'est-ce finalement ?

Mon coeur est prisonnier de ton âme,
et jamais ne voudra s'en échapper.
Mon visage fut baigné de larmes
avant de te rencontrer,
mais à présent je me désarme
dans la chaleur de tes baisers.

Aimer est un don, un cadeau que l'on fait
parfois sans le vouloir, à un esprit aimé.
Aimer est une aventure, vers les sommets
de la vie, au paradis des âmes comblées.
Aimer est une souffrance de ne pouvoir trouver
dans le vide d'un lieu ta présence recherchée.

Aimer c'est un frisson qui parcourt mon échine
à chaque unisson de nos corps retrouvés.
Aimer c'est une phrase écrite à l'encre de chine
qui jamais de mon âme ne pourra s'effacer.
Aimer c'est simplement être comme un aimant
qui m'attire vers toi inexorablement.

Amour n'est ni dieu ni diable
ni à remercier ni blamable.
Il frappe à l'aveuglette et donne tour à tour
à l'un tourments, à l'autre velours.
Je pourrais ainsi te dire cent autres traits
qu'à l'amour j'attribue sans procès.

Je ne sais il est vrai si j'ai tort ou raison,
si l'amour est ainsi que je l'ai décrit.
Tout ce que je peux dire c'est que cette passion
que j'éprouve pour toi me fait parler ainsi.
La vie sans ta présence me semblerait bien vide
et tout ce qu'elle apporte, si ce n'est toi, est insipide.
_________________
Ebius
85, rue Saint-Pierre
Brignoles
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