---fromFRPersonne
De nombreuses nuits j'ai pleuré en rêvant de ton visage,
de nos deux corps enlacés perdus dans ce long voyage
vers cet avenir interdit, qui nous a été arraché
par des règles d'hommes auxquelles je n'ai su m'opposer.
Je t'ai aimé de toute mon âme, de tout mon corps, de tout mon être,
tu étais la moitié que j'avais toujours cherché, et me mettre
à nouveau dans la chaleur de ta peau est un rêve douloureux.
Voir nos âmes et nos corps se fondre dans les cieux...
J'aurais sans doute tout donné pour rester à tes côtés
si les hommes n'avaient inventé une loi pour nous séparer.
J'aurais tant voulu viellir en lisant dans tes yeux
la flamme de nous deux, et de nos corps amoureux.
Tant de lettres j'ai écrites depuis que je suis parti,
tant d'essais déchirés, indignes de notre ancien lit...
Je n'ai eu autrefois le courage de te crier mon amour
peut-être est-ce mieux ainsi, devant partir pour toujours.
Le froid de ton absence et ne rien voir sans tes yeux
est en moi un vide immense qui m'interdit à jamais les cieux.
La seule lueur qu'il me reste est l'espoir qu'un jour
tu retrouveras, chez un autre, le droit à l'amour.
de nos deux corps enlacés perdus dans ce long voyage
vers cet avenir interdit, qui nous a été arraché
par des règles d'hommes auxquelles je n'ai su m'opposer.
Je t'ai aimé de toute mon âme, de tout mon corps, de tout mon être,
tu étais la moitié que j'avais toujours cherché, et me mettre
à nouveau dans la chaleur de ta peau est un rêve douloureux.
Voir nos âmes et nos corps se fondre dans les cieux...
J'aurais sans doute tout donné pour rester à tes côtés
si les hommes n'avaient inventé une loi pour nous séparer.
J'aurais tant voulu viellir en lisant dans tes yeux
la flamme de nous deux, et de nos corps amoureux.
Tant de lettres j'ai écrites depuis que je suis parti,
tant d'essais déchirés, indignes de notre ancien lit...
Je n'ai eu autrefois le courage de te crier mon amour
peut-être est-ce mieux ainsi, devant partir pour toujours.
Le froid de ton absence et ne rien voir sans tes yeux
est en moi un vide immense qui m'interdit à jamais les cieux.
La seule lueur qu'il me reste est l'espoir qu'un jour
tu retrouveras, chez un autre, le droit à l'amour.