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Le coin des poètes ( pour d'éventuels Troubadours inspirés)

Telya
je vais essayer, vos encouragements me vont droit au coeur
Telya
petit clin d'oeil à Terry Pratchett
___________________________


Il était une fois dans un lointain pays,
Situé au delà des déserts d'Arabie,
Un roi qui s'ennuyait au fond de son palais.
L'or restait la seule chose en laquelle il croyait.

Middras était son nom, et sa cupidité
Etait telle, que les dieux en furent offusqués.
Un jour, ils décidèrent de le punir pour ça.
A s'amuser un peu, ne résistèrent pas.

Dans leur Olympes les dieux s'ennuient,
Les distractions sont rares, c'est peut être pour ceci
Qu'ils envoyèrent sur terre, un dieu mineur, je crois,
Complètement idiot, un peu sourd de surcroît.

Arrivant au palais, il demanda au roi,
Quel était son souhait, celui ci demanda
Une chose incroyable, qui lui fut accordée,
Pouvoir changer en or tout ce qu'il toucherait

Le dieu, je vous l'ai dit, était sourd et sénile,
Il aurait mieux été à sa place à l'asile,
Il écouta le roi et fut surpris ma foi,
Mais son unique souhait, il le lui accorda.

C'est ainsi que durant plusieurs jours d'affilés,
Les dieux dans leur Olympes, de rire furent pliés.
Le roi pouvait ainsi transformé à sa guise,
En Nore les boutons de la moindre chemise.

Le Nore était un nain, il faut le préciser,
Son mauvais caractère, n'a pas apprécié,
Cette plaisanterie d'un goût douteux ma foi,
Et voua aussitôt, une haine féroce au roi.

Encore aujourd'hui, dans ce lointain pays,
Situé au delà des déserts d'Arabie,
Les habitants du lieu ont la réputation,
D'être petits et hargneux, ont comprend la raison.

Méfiez-vous de ce que votre coeur désire,
Par un dieu facétieux, vous pourriez l'obtenir.
---fromFRMadeleine
J'aurais voulu vous dire,
Que dans mon âme enchainée,
la douleur est de pire en pire,
Et mes ailes continuent de saigner

Je voudrais vous rapeller,
Que le bonheur est la, certes,
Mais la douleur n'est pas à oublier,
elle remplit les corps inertes...

J'ai voulu hurler,
Que le monde était lumière,
mais celui ci m'a rejetée,
Et je suis devenue poussière...

J'ai voulu te murmurer,
A quel point je t'ai aimé,
Mais alors que je trouvais le courage,
Ma vie n'était plus qu'un mirage...

J'ai voulu te rejoindre,
Mais je me suis égarée,
Et pour à jamais m'éteindre,
J'ai du t'oublier...

Madd...

_________________
Berranger
MORT CHERIE




Mort chérie, tu fais peur aux hommes,
Certains t’oublient jusqu’au trépas.
Chez moi, tous les jours on te nomme,
J’entends sans fin sonner ton pas.

Tu es le fer de lance en moi,
Qui broie chacun de mes espoirs,
Chacun des bonheurs, des émois,
Leur redonnant ta couleur noire.

Tu es aussi l’amie très sage
Qui me console des ratages,
Des abandons et des dénis.
Je le vis, par toi tout finit.



Pour le matheux, tu es régal :
Tu fais somme de ses raisons,
Et puis tu mets le signe égal
A la fin des opérations.

Poète te nomme destin :
Il met la vie sur le pavois.
A la fin, tu guides sa main,
En bas de page, il lit : renvoi.

Pied de nez à la vie de bauge
De l’hypertrophié du nombril,
Pour qui pet foireux, mais en toge,
Est le sommet de tout péril.

Lame acérée et menaçante
Guettant le veilleur de l’aurore,
Qui poursuit la quête incessante
De vraie paix d’esprit et de corps.

Présent pour le pauvre clodo,
Ployant sous le poids de son joug
Toi seule enlèves son fardeau
Et libères l’âme qui joue.

Affront cuisant pour le très brave,
Si petit, quand fend son étrave.
Morsure au froid pour le peureux,
Quand tes doigts glauques ouvrent ses yeux.



Tu es aussi l’horreur glacée,
La perte d’êtres tant aimés.
Que tu fauchas, déterminée,
En feignant de les embrasser.

Me laissant figé dans l’absence,
Dans ce vide de tous les sens,
Où plus jamais rien n’entrera,
Empreinte au creux entre mes bras.



Mais ta présence est rassurante.
Au tyran, justice immanente,
Au trop heureux, juste retour
Du balancier pour trop d’amour.

Au méchant, juste punition,
Récompense pour le dévot,
Au malheureux, vraie rémission,
A chacun selon son écot.

Mais aussi, lien d’humanité,
Bien commun de fraternité,
Ordre de vie pour notre orgueil :
Avec naissance, l’autre seuil.



Tu m’accompagnes dans mes voies,
Toujours prête à donner envoi.
Ta présence m’est familière,
Tu es comme ma régulière.

Mort chérie, je t’aime parfois,
Et je te hais tout à la fois.
Contre toi, jamais nul ne gagne,
Malgré tout, tu es ma compagne.
---fromFRAnonymous
Salut j'ai écrit ça chez nous très tard sans vraiment savoir se que j'écrivais alors attention a vos oreilles ! mdr


Nous n'irons pas au royaume des cieux
Le feu nous consumera tous les deux
Nous baignerons dans un bain de sang
En nous embrassant amoureusement

Toute notre vie nous aurons cherché
Sans jamais vraiment trouvé
La seule chose dont nous pourrons nous ventés
C'est d'avoir pu nous adoré

Tel le parfait couple
Nous boirons dans la même coupe
Échangeant nos voeux et serments
D'un enfer sans précédant

Nous sombrerons lentement dans le noir
Pour être certain de ne plus voir
Que notre amour choir
Toujours et a jamais sans espoirs

Je ferme les yeux peu a peu
Les tiens restes grands et globuleux
C'est tout juste si je me rend compte
Que je suis le seul qui ne vit plus dans notre conte

Le feu me consume
J'ai la peau qui fûme
Mon coeur brûle
Je fond dans la brûme

J'ai vécu l'enfer
À présent je monte dans les airs
D'où je peux te dicter des discours
D'un amour sans amour


Rhalalala !

Je pense que j'ai eu un down a se moment la !

MAis bon moi je le trouve marrant mon poeme !

Conseil ?
Critique ?

A vous de parlez !
---fromFRMadeleine
Purée j'adore ce poème!

Nan mais c'est vrai malgré qu'il soit assez noir il est superbe! Génial! Kyaaaaaa j'adooore!

Oki Oki je sors...
---fromFRCrystale
un homme, dans son lit menotée
le voyant nue, sa laisse deviner qui a eu des scean de sexualité.
Il es la les deux yeux fermer

Juste a ses coter
il y a une femme qui reboutonne son chik chemisier
elle regarde les dras blanc tacher
il si trouvait du rouge aillant degouter
Elle sourit et vers la porte elle sait diriger

dans le plus grand des silence il a murmuré
" Je le savais...tueuse...a...gage...ta...pas...achever."
Sur ce la femme ces retourné
Son tavaille pas encore terminer

BANG!!!

et elle sorti sans meme se retournée
_________________
Dieu vous a donner la vie qui n'est que souffrance.
Je vous offre la mort qui est liberation.

Satan
---fromFRcookiebambou
Tes mots du soir
Accourent jusqu'à moi
Porteurs d'amour,de magie,
De couleurs et de rêves!

Tes mots du coeur
S'écrivent sur mes pages
En noir ou bleu
En guirlandes dorées!

Tes mots d'espoir
Ont franchi la barrière
Du doute, des peurs,
En s'unissant !

Tes mots perdus
Tout doucement se prêtent
A la magie du jour,
En renaissant !

Après avoir griffonné ces quelques mots ,Cookiebambou repart
---fromFRlechapelierfou
je crois que tu aurais aimé
m'entedre te parler
pendant des heures
pour te faire oublier tes peur
mais au lieux je t'ai fais pleurer
En le fesant saigner
Devant ton corp appeuré
Devant ton corp attaché
Puis ensuite de t'ai montré
Comment on peut blaisser
Comment on peut violer
Ou même sequestrer
J'ai réussis a te faire souffrir
Avant de partir
En te laissant mourir
En te laissant pourir...
_________________
Un peu fou sur les bord
mais jamais il ne mord
Il joue des tour à tout coup
Et oui c'est le chapelier fou
---fromFRlechapelierfou
Je suis les larmes dans tes yeux
Je suis la petite voix dans te tête
Je suisle sang dans tes veine
Je suis la lumière de tes cauchemard
Je suis les mensonges que tu dis
Je suis les promesses que tu fais
Je suis la raison de tes pleures
Je suis le sourire sur ton visage
Je suis l'enfant que tu était
Je suis l'adulte que tu seras
Je suis dans ton coeur pour la vie
Je suis toi pour l'éternité

_________________
Un peu fou sur les bord
mais jamais il ne mord
Il joue des tour à tout coup
Et oui c'est le chapelier fou
---fromFRAnonymous
Ceci n'est pas un poème mais une chanson ... Par ailleur désolé de couper un peu votre mélancolie poétique (fort agréable pourtant) Moi je suis (un peu trop) bon vivant ^^

Amiiiiiiiis! Il faut faire une poooooose !
J'aperçoit l'ombre d'un bouchon !
Buvoooons à l'aimablee Fanchon,
Chantons pour elleeee quelque chooooose !

Et ah ! c'que son entretient est doux,
Qu'elle a de mérite et de gloiiiireeeee !
Elle aime à rire elle aime à boireeeeeeee
Elle aime, à chanter come nous
Elle aime à rire elle aime à boire elle aime à chanter comme nous !
Oui coooommeee nous ! Oui comme nous.

Fanchon ! en aimable aristotélicieeenneee !
Fut baptisée avec du Vin !
Un Bourguignon fut son parrain,
Une Bretonne sa marraiiiineeeee !

Et ah ! c'que son entretient est doux,
Qu'elle a de mérite et de gloiiiireeeee !
Elle aime à rire elle aime à boireeeeeeee
Elle aime, à chanter come nous
Elle aime à rire elle aime à boire elle aime à chanter comme nous !
Oui coooommeee nous ! Oui comme nous.

Fanchon ! Préfère la grillaaadeeee,
A d'autres mets plus délicats !
Son teiiiiiiiiint prends un nouvel éclat,
Lorsqu'on lui verse une rasaaaade !

Et ah ! c'que son entretient est doux,
Qu'elle a de mérite et de gloiiiireeeee !
Elle aime à rire elle aime à boireeeeeeee
Elle aime, à chanter come nous
Elle aime à rire elle aime à boire elle aime à chanter comme nous !
Oui coooommeee nous ! Oui comme nous.

Fanchon : Ne se montre crueeeellleeee,
Que quand on lui parle d'amour !
Mais moiiii si je lui fait la cour,
C'est pour m'enivrer avec eeeellleeeee !

Et ah ! c'que son entretient est doux,
Qu'elle a de mérite et de gloiiiireeeee !
Elle aime à rire elle aime à boireeeeeeee
Elle aime, à chanter come nous
Elle aime à rire elle aime à boire elle aime à chanter comme nous !
Oui coooommeee nous ! Oui comme nous.



spécial dédicace à Lilas même si elle ne viendra (p-etre) jamais ici, voir que je chante des vielles chansons à boire ...
Lilas77
Lilas avait eu vent que Tristan passait ces soirées en Taverne... Elle le trouva entonnant à tue-tête une chanson paillarde... elle le laissa finir, amusée, par le regard ahuri des autres membres de la taverne, que des poètes et des troubadours à fine sensibilité...

Je savais où vous trouver... Par contre, je ne sais pas comment je dois prendre votre dédicace...
---fromFRCrystale
Il y a bien des années
j'ai été violé
j'ai été assasiner
un homme m'avais décpiter
je vais tout vous raconter

j'étais seule a la maison
je sirotait une boisson
j'ecoutait la télévison

j'ai eu le malheur de partir
juste un momant et revenir
et dans l'ombre y avais un homme avec un drole de sourir
me disait que jallais souffrir

je me suis mit a crier
jaurais tellement voulu courir
mais il m'avais attraper
il c'était mit a rire

je criais
je me debattais
dirant que lui...il m'attachais

il a sorti un couteau
et a commencer a me decouper
en plien de petit morceau

pour finir la gorge il me la trancher
me noyant dans mon propre sang je lui avais murmuré
"tu vien de me crée"
Et il m'as violer

je le sentait me pénétré
avec force et dextériter
durant que moi jtai en trian de crever

Mes yeux se son fermer
une seule derniere penser
les Humain son des singler
ils von tous le payer.
_________________
Dieu vous a donner la vie qui n'est que souffrance.
Je vous offre la mort qui est liberation.

Satan
pnj
pour toi mon amour:



Tu vis en moi sans m'approcher

je sens ton souffle et tes caresses

sans que jamais tu ne m'effleures

quelle tristesse de souffir d'amour

je t'aime, tu m'aimes

lorsque je croise ton regard

je lis la même souffrance que moi

comment effacer ou essayer d'arrêter

ce sentiment qui grandit en nous

cet amour qui éclate à l'intérieur

j'aimerais me laisser glisser dans tes bras

boire tes paroles et te regarder dormir près de moi

mes rêves sont peuplés de ton visage

et ta douceur que j'imagine

mon esprit lui me permet

de m'évader avec toi

de rire, de t'aimer

je t'aime tout simplement

depuis si longtemps

sans pouvoir esperer concretiser cet amour

je ne peux que rêver et te dire dans mon coeur

je t'aime.
---fromFRKamra
Le ridicule ne tuant pas... :

Les mots filent et s’enfilent tels des pensées volatiles
Je leur ai donné un sens et toi un contresens
J’ai visé le mil et le pile mais ils sont partis en exil
Portés par la déviance tu les as fait convenance.

Conception et compréhension, entendement et jugement
Je me suis égaré et toi fourvoyé
Passion et perdition, dévouement et déchirement
Tu es un naufragé et moi un guide éthéré.

Entre dans la danse, ne la prends pas à contre-pied
Un brin de démence, des apparences sois délié
Tends moi la main, garde les yeux fermés
Reste serein et par moi tu ne seras trompé.

Là où le regard se pose, les idées se transposent
Place à l’amaurose, n’en sois pas morose
Laisse toi guider, fuyons l’aporie
Sois un initié, mystifions l’allégorie.
"

_________________

Kamra Mandragore, dite Kam la Pie
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