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Le coin des poètes ( pour d'éventuels Troubadours inspirés)

---fromFRmylene13
J’ai vu des gens pleins de peines,
Des gens qui transformaient ça en haine,
J’ai vu des personnes mourir de chagrin,
J’ai vu des personnes prier pour être encore là demain,
Des personnes qui ne savaient plus pourquoi vivre,
Des personnes qui essayaient simplement de survivre,
J’ai vu le malheur dans le monde,
J’ai vu des cœurs se briser chaque secondes,
J’ai même vu des hommes pleurer,
Des femmes donner leurs vies pour protéger leurs bébés,
J’ai vu des gens mendier,
D’autres prier,
D’autres pleurer,
D’autres se suicider…

J’aurais voulut les aider,
Leur dire que tout ça est bientôt terminé,
Les réconforter,
Les faire arrêter de pleurer,
Mais quand on sait qu’il n’y a plus d’espoirs,
Juste des illusions en lesquels on doit croire,
Quand on sait que ceux en quoi ils croient ne sont pas vrais,
Quand on sait qu’ils ne vont pas y arriver,
Comment les réconforter ?
Quand on sait que quelqu’un est dans le noir,
Mais qu’il n’y a plus d’espoirs,
Faut-il lui dire que la vie continue avec ça
Ou faut-il lui dire des mensonges pour qu’ils ne tombent pas tout de suite plus bas ?

J’ai vu des gens rire aux éclats,
Devant des gens qui tendent le bras,
J’ai vu des gens se moquer d’eux,
Car ils n’ont pas de chez-eux.
J’ai vu des cœurs se briser,
Mais essayer de se relever.

J’ai vu des personnes massacrées
Mais je n’ai pas put les sauver…
Maintenant c’est moi qui suis en difficulté,
Et je m’aperçoit que personne ne peut m’aider…
---fromFRIchty des Sauriens
À Mylène.
...
Une épaule, ce peut paraître ...peu
mais quand désespoir pleut ...
celle amicale d'un vieux saltimbanque ...
des fois, palie les pires manques.
...
Croit le, la vie est belle et... longue.
...
---fromFRmylene13
J'ai apris à être plus gai
Mais la vie n'est pas aussi facile qu'elle le parait
Et je pense que j'avais besoin de connaitre le malheur
Car grace à ça je connais le bonheur
---------------------------
Merci Ichty
_________________
Signature hors charte
Gav
Gav1 a écrit:
Te souviens-tu de ce paradis perdu ?
Où nos âmes s'étaient enfin confondues
Nos corps dessinant une ligne continue

Te souviens-tu de ce paradis perdu ?
Bel Eden dédié à nos fruits défendus
Temple radieux de nos désirs éperdus

Te souviens-tu de ce paradis perdu ?
Ce langage des amants seuls connu
Vaste plage d'émerveillement ingénu

Te souviens-tu de ce paradis perdu ?
Nous y avions pourtant épandu
Nos liqueurs les plus défendues

Te souviens-tu de ce paradis perdu ?
Moi je ne m'en souviens plus
A mon réveil je te l'ai rendu

_________________
---fromFRIchty des Sauriens
Au réveil, sur le nez, il ajuste verroterie
L'aube glisse entre les rideaux lourds
un profil se dessine en contre jour,
dans son sommeil sa belle sourit.

Un doigt hésitant parcourt les rides
il les a vu, petit à petit, doucement, se multiplier
il y a loin, une première discrètement a modifié
le beaux visage aux traits candides.

De gris et longs cheveux garnissent,
l'oreiller, d'une insolite auréole factice.
Il se tourne, paisiblement se penche

Ses lèvres irrésistiblement flanchent
s'approchent d'un sourire de velours.
... Il embrasse son amour de toujours.
Aedes
En réponse à Gav1 , à qui je demande pardon,
et pour Celle qui mérite cette réponse et qui se reconnaîtra


Citation:
Mais de quel paradis me parles-tu ?
Non vraiment je ne m’en souviens plus
Nous sommes-nous seulement déjà vus ?

Mais de quel paradis me parles-tu ?
Je n’ me souviens pas de toi non plus
Pourquoi se souvenir des temps perdus ?

Mais de quel paradis me parles-tu ?
Je ne crois pas l’avoir jamais connu
Et toi belle inconnue, qui es-tu ?

Mais de quel paradis me parles-tu ?
C’est bien plutôt l’enfer que j’ai connu
A ton réveil, alors n’en parlons plus

_________________
Gav
Ah méchant ! ta mémoire est menue !
Tu m'as conviée, priée, convaincue
D'y accéder pour t'offrir ma vertu

Ah méchant ! ta mémoire est menue !
A ces heures tu étais plus qu'assidu
M'y amenant à tes lèvres suspendue

Ah méchant ! ta mémoire est menue !
Enflammé tu me contais en continu
Ces tendres vers dont je suis férue

Ah méchant ! ta mémoire est menue !
Nous y portions notre gaieté farfelue
Folâtrant, cabriolant sans retenue

Ah méchant ! ta mémoire est menue !
Malgré cette amnésie si incongrue
Avec joie toujours seras le bienvenu

_________________
---fromFRlastere
[color=red]la flute en bois[/color]

un air de musique
un moment de bonheur
quelques notes,un rythme
qui nous réchauffe le coeur

une flute faite en bois
avec laquelle on joue avec les doigts
on en sort de la gaité
qui ressère ls liens d'amitié

avec ses couleurs chaleureuses
ses soeurs en sont folles
jalouses et malheureuses
cette flute, elle, s'envole

dans une parfaite harmonie
elle vous accompagne toute la nuit
c'est un moment de chaleur
un moment que l'on apprécie

pour pouvoir soufler dedans
c'est très facile, un jeu d'enfants
quelqu'un qui n'a plus dents
pourrait en jouer aisément

si par hasard vous la croisez
esseyz donc de l'attraper
pour esseyer à nouveau
de nous jouer un beau morceau

si cette flute vous a plus
c'est que vous en avez joué
vous pourrai dire que vous l'avez vu
et que vous l'avez fort appréciée.


ps: allez donc à Compiègne et peut être alors vous l'appercevrez [/u]
Aedes
Si tu savais tout ce que j’ai connu
Combien d’autres avant toi m’ont déçu
Ces souvenirs ma mémoire n’en veut plus

Si tu savais tout ce que j’ai connu
Mauvais plaisirs pour deux ou trois écus
Le droit de poser la main sur un cul

Si tu savais tout ce que j’ai connu
Fausses vertus et fruits mal défendus
Si tôt croqués à bouche que veux-tu

Si tu savais tout ce que j’ai connu
"Amours toujours" aussitôt disparus
Chagrins d’amour sans cesse revenus

Si tu savais tous ceux que j’ai connus
Si pour toi je mettais mon cœur à nu
Ô cruelle tu n’insisterais plus


Cinq strophes en "u"
Et une rime en "cul"
Pari tenu !
_________________
---fromFRAnonymous
Le jour levant devant un autre jour
Si je pouvais te faire la court
Un jour pourtant lorsque tu ne serait plus quatin
Pour le comte de Quantin

Si cet homme mal lèché
Pouvait vous relâcher
Mais je ne puis le forcer
Si ce n'est qu'en comettant une atrocité

Damné fut le jour
Ou cet homme vous a fait la court
Tous lui semblait si facile
Si ce n'est qu'au troisième Quartile

Ou mon hitoire entre en scène
Vous amenant près d'un chène
Je posai mes douces lèvres
Avec rapidité tel le lièvre

Je vous aime
Mais je ne puis vous faire de peine
Vous êtes mariés a un sénateur
Qui risque de me pendre par le coeur

A présent que j'ai eu la moitié de se que je désirais
Je ne puis que quitter se pays a travers monts et marais
Je compte me diriger vers une ville nommé amsterdam
J'espère qu'il s'y trouve de jolies dames
---fromFRreily
troubadour s'a ne paye pas alors cet un art de vivre! est ce vrai ce que je dit ou n'es ce qu'une breve plaisantrie???
Ys
Que faut il faire pour vous séduire
Une révérence, un beau sourire ?
Ou bien seulement un soupire
juste pour vous faire alanguir ?

Soyez bien honnête et souffrez
Qu'en ce jour je sois désarmée.
Par mes oreilles si déployées
J'ai tant ouï et si peu parlé !

Ainsi suis-je bien en peine
De n'avoir que peu de haine
En mon coeur et en mes veines.
Voyez je reste bien sereine !

La tête haute, fière allure ,
En mon regard point de froidur'
car toujours je pleure et j'endure
d'être pour vous qu'une aventure
Gav
Mon pauvre ami tu m'as émue
Ces plaisirs sans dessous dessus
Tu les as si ardemment voulus

Mon pauvre ami tu m'as émue
Cette amertume mal contenue
Par ces mots acres les évacues

Mon pauvre ami tu m'as émue
Ces fades caresses impromptues
A tous les vents tu les distribues

Mon pauvre ami tu m'as émue
Ces amours que tu rétribues
Ont un goût de déconvenues

Mon pauvre ami tu m'as émue
Et percé mon cœur courbatu
Je te le soumets, en veux-tu ?

_________________
Aedes
Tu m’offres ton cœur imprévu.
Je voulais vivre en reclus
A l’écart du monde, perdu.

Tu m’offres ton cœur imprévu
Malgré mon offensant refus,
Et mon silence est rompu.

Tu m’offres ton cœur imprévu
Ta voix a d’étranges vertus
Et je dois m’avouer vaincu

Tu m’offres ton cœur imprévu
Et renaît l’espoir éperdu
Que l’amour ne soit pas perdu.

Tu m’offres ton cœur imprévu
Et je ne te résiste plus
Je t’aime à cœur que veux-tu.

_________________
---fromFRAnonymous
Arivée à Mortagne
J’arrive ici dans cette merveilleuse ville qu’est Mortagne
en passant par les bois, les champs, et je crois, une montagne,
avec en poche mes plumes, mes vélins, peu d’argent et deux pains
ni peine, ni joie mais la juste et chaste assurance du saint,
car un Roy obéi m’a banni et donné sa sentence,
obole justifiée du puissant est aussi sa clémence.
Théocratique, malhonnête, aveugle et stupide,
a-t-il dit, de moi, à ses pairs confirmant ainsi l’insipide
raison pour laquelle je m’enfuis de Sorbonne jusqu’ici.
Dans l’espoir pieux et fol que s’achève enfin mon sursis.


il laisse son vélin accroché à un pilier.
On pouvait y lire son poème bien sur, mais aussi ces deux vers ajoutés à la hâte :

Que celui qui a deux yeux me lise tout entier,
Que le borgne, béni, lui, entende par moitié !

Ainsi que sa signature :
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