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Le coin des poètes ( pour d'éventuels Troubadours inspirés)

---fromFRAnonymous
Ascletin assis dans la taverne depuis quelques temps déjà, se décida. Il monta sur une table. Puis tapant du pied, il sorti de son luth une mélodie assurée et entama cette chanson :


En mon beau pays suis en terre lointaine,
Car point de répits, ni oncques rengaines,
Arpente les routes en quête de chevance,
Nonobstant fortune ai-je confiance ;

Chemin faisant rencontre de filles mignotes,
Aimant jouvenceaux et chantre chantant,
Nenni ont chassé mes tristes marottes,
Nonobstant fortune suis-je content ;

Au castel rencontre de preux chevaliers,
Quêtant ton grave gloire et honneur,
M’ont dit que par lâcheté au gibet irai,
Nonobstant fortune fais-je bon cœur ;

En l’église rencontre de gras curés,
Prêchant spiritualité et triste moralité,
M’ont banni du jardin des joies immortelles,
Nonobstant fortune gardé-je cautèles ;

De moi n’attendez point de péroraison,
J’emporte luth cymbale flûtes et rimes,
Sur la route en aucun cas pusillanime,
Nonobstant fortune écris-je des chansons ;
---fromFRNindë
C'est original ! Bravo ! ^^
_________________
pnj
Angel Of the Night aperçoi l´ arbre dont on lui à tant parler, il entre s´empare du vieil ouvrage et commence son écrit

Je ne suis pas un maître en la matiêre et ne peux que difficilement rivaliser avec les poêmes de mes prédecesseurs, mais, je l´espere, cela devra vous aller:

Beauté dans la simplicitée
pourrait être sa devise.
Quand je l´ai rencontrée,
Je l´ai sue, c´est elle que je vise.

Pas besoins d´artifice
Quand on la voit
On veut lui dire ``kiss
Me Baby je suis à toi´´

Malheureusement
De moi elle ne veut pas
Enfin je crois
Enfin, je ne sais pas.
pnj
Il toune la page et recommence

Voila un poême du grand Kinuta, extrait du livre ``Le fouloir´´
Il se nomme Zeami

Dans des Villages reculés,
D´autre assurément doivent contempler cette lune
Qui jamaisne demande quel veilleur revendique la nuit...
Au vent invisible de la montagne, très fort
Le cri d´un cerf frémit au fond du coeur,
Et quelque part un rameau laisse tomber une unique feuille.
---fromFRLockarius
Mon ange la première fois que je t’ai regardé,
J’étais comme hypnotisé.
Penser a quelqu’un d’autre m’étais impossible,
Comme si tu m’avais choisi pour cible.

Ton regard pétillant,
Me fixais a longueur de journée.
Ton regard absorbant,
Je ne pouvais plus le quitter.

Le blanc de mes yeux,
De mes yeux amoureux
Regarde devant, tous droit,
Et ne voyait que toi.

Pourtant tu n’étais pas devant moi,
Seul mon esprit se souvennait de toi.
Rien ne me fera oublier ce regard si doux,
Ce regard si fou

Je ne t’oublierai jamais Amour,
Tu seras dans ma tête pour toujours.
De ton visage éblouit,
Je me suis réjouit.

Comme séparé par un brouillard,
Nous nous retrouvâmes à Thouars,
Alors mon coeur éclate,
En un cris : Hekate !
_________________

En retraite pour une durée indeterminée, mise à jour de la signature à mon retour.
---fromFRhekate
tu es un ange, sur terre pour me faire miroiter les délices du paradis !!!!!
_________________
Comtesse sans terre,
Maman du Soleil

Mieux vaut mourir debout que vivre à genoux
---fromFRLesbos
Quand je croise ce regard impitoyable et froid,
Ce n’est certainement pas celui de l’indulgence !
Il dépouille mon âme chaque jour, et je crois...
Me réclame, sans doute de lourdes pénitences !

Je ne vois ces yeux là qu’à travers mon miroir,
Ils me poursuivent le long de toute mon existence.
Et rien, je vous l’assure, ne peut les émouvoir...
Ces yeux impénétrables sont ceux de ma conscience !

_________________
Jeune Patriote de Franche Comté.
Eleveur de moutons.
---fromFRLockarius
hekate a écrit:
tu es un ange, sur terre pour me faire miroiter les délices du paradis !!!!!


Dame,
Quand je fus devant vous
La première fois
Que je vous vis,
Mon coeur battit si fort
Qu'il vous resta
Quand je partis.

Thibault de Champagne "Comme la Licorne"
_________________

En retraite pour une durée indeterminée, mise à jour de la signature à mon retour.
---fromFRElissa
Magnolias, que j'aime vos fragrances !

Alanguie loin de vous, jamais ne danse
Impensable ami, mon panégyriste,
Ma plume, restant sur la table, triste
Et mes jupons, et ma vie, et mes sens.
Zizanie romantique et pessimiste...

-Mais qu'est-ce donc tout ce charabia ?

Vos mots dithyrambiques monseigneur
Ont un fâcheux impact sur mon humeur
Ultima forsan, disais-je hier encore ?
Sous les magnolias, en pleurs est mon coeur.


J'ai peut-être, dans ce poème, usé d'une ressemblance avec les manières de Georges Sand... Que celui qui la trouve se signale ^^
Sinon, il n'a rien de commun avec une oeuvre classique... Je ne saurais dans quelle catégorie le ranger : dada, absurde, surréalisme ?... Je suis perplexe, ma plume me joue des tours !
_________________
---fromFRFlanaghan
Flanaghan était déjà passé plusieurs fois dans cette auberge, sans jamais osé laissé de trace dans le vieil arbre qui se trouvait à côté... Mais aujourd'hui que la cour de Champagne l'avait nommé son Troubadour officiel, il fallait qu'il franchisse le pas. Il se dit quoi de plus sensé pour essayer d'entrer dans le cercle des troubadours que le poème l'ayant déjà permis d'atteindre son titre. Il entra donc discrètement dans l'arbre pris la plume puis un grande inspiration, se remémora tout les vers et les retranscrit!

Quand les ombres recouvre les corps
Dissimulant les traits du visage
Laissant les prudes et les sages
Se terrer en attendant la mort

Alors naissent les amours interdit
Qui bravent l'apparence et les on dit
Pour ne reconaître parmis les Hommes
Que l'amour qui se fiche de qui nous sommes

La raison ne guide les sentiments
Et le coeur rarement se méprend
C'est lui le seul guide amoureux
Suivant un chemin bien vertueux

D'aimer au delà des différences
Au delà des titres fiefs et blasons
L'être auquel tout le temps on pense
Sans se fier à la triste raison

Si l'amour était une prison
La liberté ne serait plus de saison
Je ne renoncerais jamais à ma passion
Douce inspiratrice de mon imagination

Il renferma le livre respectueusement et quitta sans un mot l'arbre et la taverne... puisse les Troubadours l'accepter comme un des leurs!
_________________
La liberté est la seule cause pour laquelle il vaille la peine de se battre...
---fromFRFlanaghan
Flanaghan était déjà passé plusieurs fois dans cette auberge, sans jamais osé laissé de trace dans le vieil arbre qui se trouvait à côté... Mais aujourd'hui que la cour de Champagne l'avait nommé son Troubadour officiel, il fallait qu'il franchisse le pas. Il se dit quoi de plus sensé pour essayer d'entrer dans le cercle des troubadours que le poème l'ayant déjà permis d'atteindre son titre. Il entra donc discrètement dans l'arbre pris la plume puis un grande inspiration, se remémora tout les vers et les retranscrit!

Quand les ombres recouvre les corps
Dissimulant les traits du visage
Laissant les prudes et les sages
Se terrer en attendant la mort

Alors naissent les amours interdit
Qui bravent l'apparence et les on dit
Pour ne reconaître parmis les Hommes
Que l'amour qui se fiche de qui nous sommes

La raison ne guide les sentiments
Et le coeur rarement se méprend
C'est lui le seul guide amoureux
Suivant un chemin bien vertueux

D'aimer au delà des différences
Au delà des titres fiefs et blasons
L'être auquel tout le temps on pense
Sans se fier à la triste raison

Si l'amour était une prison
La liberté ne serait plus de saison
Je ne renoncerais jamais à ma passion
Douce inspiratrice de mon imagination

Il renferma le livre respectueusement et quitta sans un mot l'arbre et la taverne... puisse les Troubadours l'accepter comme un des leurs!
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La liberté est la seule cause pour laquelle il vaille la peine de se battre...
---fromFRArtemisia
Très timidement également, la damoiselle laisse traîner un rondeau...


De son regard m'envahit la brûlure
D'un sentiment qui me porte à l'espoir.
Ainsy mon coeur ne ressent plus froidure.
De son regard m'envahit la brûlure,
des ris aux larmes, je ressens la blessure.
Je ris, je pleure en attendant le soir.
De son regard m'envahit la brûlure
D'un sentiment qui me porte à l'espoir
_________________

à Montreuil Bellay, près Saumur, mon âme à son âme liée...
---fromFRBaribal
Coups de tonnerre

Moment unique et merveilleux
Quand a la croisée d'un regard
Immobile et figé, on reste hagar
D'un amour naissant entre deux

Chevauchée fantastique
Que celle de l'amour
Et malgré certains détours
cette instant reste magique

C'est au calme et romantique
Qu'après quelques émois
Une confirmation, pour elle, pour moi
Qu'ils sont atteint du sentiment mythique



L'enfant et la vie

Il y a toujours, dans les champs,
une idée, un enfant,
s'encourrant, virvoltant,
entre les fleurs, ballancées par le vent

S'arrêtant au sommet de la colline
à coté de l'ancêtre tronnant, majestueux,
de son passé en témoigne, un couple d'amoureux,
de leur graphiti signé amant et libertine

D'un amour déchu, que le temps peu a peu,
recouvre a jamais de son écorce
effacant pour la fin des temps cette amorce,
rendant la pureté au maitre de ces lieux

D'autre viendront, peut-être même cette enfant,
qui devenu grand, témoignera dans le bois
de son amour, de ses exploits,
pour finir libéré de son passé pesant

Et même quand viendra la fin,
de son compagnon, la vie durant
a l'ombre de ses feuilles, tombant
il fera que vive son destin.



Bari
_________________
Ne peut détourner son regard de cette flamme qui danse et invite à l'Amour

La famille s'agrandit, Après Baba la gourmande, voici Helio l'ex-marionette ...

Que du bonheur !!!
Diaboops
Diaboops, le petit nouveau du Dauphiné
Dans la Taverne était venu se reposer,
Quand il entendit les gens parlaient avec passion
Du plaisir que procurait l'arbre des chansons.

A quelques pas de sa destination,
Il huma l'air avec déraison
Et sentit le parfum d'une jolie fleur
Qui lui rendit courage et bonheur.

Dans le tronc aux murmures il s'assit
Avec joie il lut les poèmes de la compagnie
Ses idées furent alors emmêlés
Et les mains sur les tempes il commença à rêver.

Puis il choisit d'entrer dans la guilde
Pour chanter l'esprit clair et limpide
Du paradis, de l'enfer, de la vie
Des sujets qui touchent n'importe qui.


Après quelques temps, Diaboops se leva l'esprit libre de tout tracas et partit rejoindre son lit dans l'espoir de vivre une bonne nuit.
_________________
Carpe diem

Capitaine des Nougaties de Montélimar
---fromFRVelkan
Apres avoir éclusé un peu et s'être soulagé sur un vieil arbre derriere la taverne, Velkan de sa voix douce, suave et neanmoins virile déclama :


Je te vois, dans mes rêves
Je reprends me fil lorsque le jour s'achève
Je vois des gens, une autre vie
Que j'aurais souhaité vivre
vivre avec toi ici

J'aimerais parfois que ce drap,
soit mon linceul,
Avoir un dernier rêve laisser l'ici bas
laisser derriere moi une trace sur l'ecueil

Retrouver l'amour blessé
pour lequel on a encore tant de larmes a verser
Retrouver le reconfort d'une boite
la chaleur moite
De la terre sur soi.


Ah ce qu'on est bien quand on est completement plein
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