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Le coin des poètes ( pour d'éventuels Troubadours inspirés)

---fromFRAnonymous
chaque jours je me noye dans cette vie
je croyais que je serais enfin heureuse
mais ce n'est pas le cas
car tu as jouer avec mon coeur et mon amour
tu m'as brisee comme jamais je n'aurais pu le penser
meme moi qui en ai baver dans ma vie
ce que tu m'as fait est ce qui m'a fait sombrer au plus bas
maintenant je sais que jamais je ne me releverais
car plus rien dans ce monde ne me rend heureuse meme
plus ma famille je suis une ame qui erre et attend la fin de sa vie
---fromFRAnonymous
A la nuit
Nuits où meurent l'azur, les bruits et les contours,
Où les vives clartés s'éteignent une à une,
Ô nuit, urne profonde où les cendres du jour
Descendent mollement et dansent à la lune,

Jardin d'épais ombrage, abri des corps déments,
Grand coeur en qui tout rêve et tout désir pénètre
Pour le repos charnel ou l'assouvissement,
Nuit pleine des sommeils et des fautes de l'être,

Nuit propice aux plaisirs, à l'oubli, tour à tour,
Où dans le calme obscur l'âme s'ouvre et tressaille
Comme une fleur à qui le vent porte l'amour,
Ou bien s'abat ainsi qu'un chevreau dans la paille,

Nuit penchée au-dessus des villes et des eaux,
Toi qui regardes l'homme avec tes yeux d'étoiles,
Vois mon coeur bondissant, ivre comme un bateau,
Dont le vent rompt le mât et fait claquer la toile !

Regarde, nuit dont l'oeil argente les cailloux,
Ce coeur phosphorescent dont la vive brûlure
Éclairerait, ainsi que les yeux des hiboux,
L'heure sans clair de lune où l'ombre n'est pas sûre.

Vois mon coeur plus rompu, plus lourd et plus amer
Que le rude filet que les pêcheurs nocturnes
Lèvent, plein de poissons, d'algues et d'eau de mer
Dans la brume mouillée, agile et taciturne.

A ce coeur si rompu, si amer et si lourd,
Accorde le dormir sans songes et sans peines,
Sauve-le du regret, de l'orgueil, de l'amour,
Ô pitoyable nuit, mort brève, nuit humaine !...

Anna de NOAILLES
*silence*
C'est toujours au petit matin
Que je croise tes yeux de satin ;
Si par hasard je prends ta main,
Une onde de bonheur irradie mes reins
Et remonte jusqu'à mes seins.
Alors, sous le charme, je t'étreins,
Sans plus songer au lendemain
Ni à ce chagrin
Qui pourtant me vient...
Un seul baiser de toi éteint
Le feu de mes tourments lointains
Et nous partons sur des chemins,
Le coeur serein,
Car plus rien d'incertain
Ici jamais ne nous retient.
Nos regards se tournent vers demain
Et nous ne voyons que le bien
Que nous nous ferons enfin.

Poème collectif des Compagnons d'Eleusis
*silence*
A présent, mon amie, je te fais don,
Sans aucune réserve, de mon pardon.
Au moment où sonne le carillon,
Quand le soleil rougit sur l'horizon,
Je me laisse aller à l'abandon,
En murmurant doucement ton prénom.
Je voyagerai par vaux et par monts,
Remontant les ruisseaux jusqu'en amont,
Tout en écoutant cette douce chanson
Que répètent mésanges et pinsons.

Poème collectif des Compagnons d'Eleusis
---fromFRTrouka
Une de mes poésies en espérant que ça vous plaise

L'enfant

Dans l'obscurité, vit un enfant,
Si longtemps ignoré et pourtant,
Ses nuit passé en pleurant,
Ont su attirer mon attention.

Je le vis, les larmes coulant sur son visage,
Un être angélique blessé dans la fleur de l'âge.
Son regard naïf sur l'horizon, une lueur d'envie,
Racontait toute l'histoire de sa vie.

Alors je compris,
La solitude était son châtiment.
Personne à ses cotés, pleurant toute ces nuits
Perdu dans l'obscurité de sa vie, si peu d'espoir et pourtant ...

Je le pris entre mes bras, son corps était froid,
La chaleur de mon cœur, je lui apportai
Une place, je lui fis dans mon coeur étroit
L'espoir de le voir un jour sourire, m'animait.

Et toujours ce regard vers l'horizon m'inquiétait,
Je lui prit la main et lui dit
« Qu'attends-tu ? », de ma voix inquiétée,
Et il me répondit : « La vie ... »

Sa vie n'était que souffrance,
Obligé de grandir, oubliant son enfance et son innocence.
Cependant cet être était le plus pur, dans son regard on pouvait le deviné
Car dans son cœur il avait le secret.

Je lui dit alors : « Je suis là, ne pleure plus ... »
Il se retourna alors et me regarda,
Dans mon être, la flamme de ses yeux pénétra
Je vis alors sur ses lèvres se dessiner le sourire tant attendu.

J'étais devenus l'héritier du secret,
Entre mes bras, je le serrai à la force de ma passion.
Et je me mis à pleurer,
Alors ensemble nous nous mîmes à regarder l'horizon.

Les années pouvaient passées,
Ma raison d'être, j'avais trouvé
Ensemble, réunis par la destiné,
Cet enfant je devais aimer.

Ce secret se nommai : amour,
Le fruit d'une passion cultivé depuis toujours,
Alors je le cueilli pour cet enfant,
Ensemble encore le regard sur l'horizon ...
*silence*
Très beau et très émouvant : Parole d'orpheline ! Merci !

Te souviens-tu de la promesse,
Faite sous le vent printanier qui caresse...
Que reste-t-il de l'allégresse
Que nous éprouvions alors sans cesse ?
Et nos gestes pleins de tendresse,
A une époque sans aucune paresse,
auraient-ils perdu leur hardiesse ?
Le souvenir de ceux qui te connaissent
Peut-il effacer la tristesse
D'un être parti sans laisser d'adresse ?
Et que devient notre jeunesse ?
Partie pour laisser place à la faiblesse
De l'âge et du coeur, bien que ne cesse
De nous transporter cette ivresse.

Poème Collectif des Compagnons d'Eleusis !
*silence*
Que ce soit le jour ou la nuit,
Mon esprit sans toi se meurt d'ennuis
Et mon pauvre coeur se languit
D'avoir perdu tous ces instants bénis.
Que je sois morte ou bien en vie,
Jamais je ne reverrais ces amis
Qui un soir se sont évanouis,
En un instant sans lune et sans bruit.
Combien de temps encore voleront dans mon esprit
Nos complicités attendries ?
Le temps peut être que tu me souris
Ou bien le temps que tu m'oublies...

Poème collectif des Compagnons d'Eleusis
*silence*
Dans l'ombre de la nuit, je viens à toi
Silencieusement, comme le ferait un chat
Attentif aux mouvements de sa proie,
Prêt à bondir au moindre faux pas.
Et toi, tu ne sais pas que je te vois,
Que je reste là, à t'aimer tout bas :
La victime n'est pas celle qu'on croit.
Je souffre au plus profond de moi
Et dans ton ombre me débats
Contre ces pensées qui me noient.
Je ne sais pourquoi mon coeur bat
Et pourquoi parfois j'ai froid...
Comme elles sont dures tes lois !
Elles qui veulent tant que ce "nous" ne soit pas
Et qui changent en larmes mes premiers émois,
Me laissant seule, tremblante et sans voix.
Dans cette nuit, je ne trouve ma voie.
Je marche sans but, j'erre et reste coit,
Espérant que tu me tendes les bras,
De pouvoir te serrer tout contre moi,
Alors que je m'effondre sous la croix,
Un fardeau trop lourd sous lequel je ploie
Et m'écroule... Oh ! Qui me relèvera ?

Poème collectif des Compagnons d'Eleusis
---fromFRVaan Fanel
Vos poésies sont superbes !
_________________
Vaan Fanel's Theme Song
*silence*
Merci beaucoup Monsieur Vaan Fanel !
Tout cela est sans prétention est n'est que le fruit des jeux poétiques que nous pratiquons au Temple pour le seul plaisir d'inventer. Aussi sommes-nous bien heureux de le pouvoir partager.


Sais-tu ce que cachent les mots,
Ceux qu'on prononce tout haut ?
Ils semblent répondre, en écho,
Trouvant le chemin le plus beau,
A nos rêves, nos idéaux.

Sais-tu ce que cachent les lettres ?
Ont-elles seulement un maître ?
Le mélange les laisse paraître,
Donner naissance à d'autres êtres
Qui s'uniront peut-être.

Sais-tu ce que cachent les nombres
Qui surgissent dans nos vies comme des ombres ?
Au revers de leur face sombre,
C'est toute ma tête qu'ils encombrent,
De rêves et de moutons à tondre.

Sais-tu ce que cachent les rêves ?
A l'heure où le soleil se lève
Et que leur souvenir s'achève,
Nous demeurons seuls, sur la grêve,
A attendre que notre âme s'élève.

Sais-tu ce que cachent les yeux ?
Est-ce de l'eau ou bien du feu ?
Resteront-ils silencieux ?
Et leur éclat, n'est-ce qu'un jeu
Ou bien le début de nous deux?

Sais-tu ce que cachent les gestes ?
Que la main soit lourde ou bien leste,
Elle ouvre un langage céleste,
Pour qu'à la fin, il ne reste
Que la trace de nos cueillettes.

Sais-tu ce que cachent les coeurs ?
Eux qui savent être patients pendant tant d'heures
Et qui ressentent nos aventures avec ardeur,
Enfouissant au plus profond d'eux nos peurs,
Sont-ils des témoins ou des acteurs ?

Sais-tu ce que cachent les rires ?
Nombre de portes ils savent entrouvrir,
Posant toujours sur les lèvres un sourire,
Entraînant parfois au délire,
Ils savent me retenir de partir.

Sais-tu ce que cachent les larmes ?
Celles qui coulent quand on te désarme...
du désarroi laissé dans nos âmes,
la honte lorsque l'on te blâme
Alors que c'est là qu'est tout ton charme.

Sais-tu que cache le silence
Qui réside dans nos absences
Ou dans nos moments d'errance ?
Les premiers mots de notre enfance,
Des fois et des doutes qui dansent.

Sais-tu que cachent les prières,
Celles qu'on fait en pensant à nos frères,
Qui s'élèvent vers la lumière
Comme nos aïeux hier,
Pour sortir de leur hiver ?

Poème collectif des Compagnons d'Eleusis
*silence*
Depuis que nos printemps sont morts,
Comme si l'on nous jetait un sort,
Pâle, chacun de nous s'endort
Et l'âme prend son essor.

Notre hiver s'en est allé :
Il nous a abandonné
Pour de lointaines contrées,
Emportant avec lui les clés
D'un amour profondément caché.

L'été lui aussi est parti.
Rien ne reste des joies passées ici.
Doucement s'écoule ma vie,
Tandis que m'envahit l'ennui
Des songes de mes nuits.

Envolées les feuilles de l'automne.
Dans ma tête les souvenirs sonnent
Et la brume descend sur mon coeur morne
Et mon amour sans borne
De vivre encore s'étonne.

Poème collectif des Compagnons d'Eleusis
*silence*
Un jour, une nuit, tu viendras,
Le chant de Zéphir t'accompagnera
Et seul ton coeur te guidera
Pour te conduire jusqu'à moi.
Autour de toi, tu ne verras
Que les anges et leur chant de joie.
Amour et son carquois
Feront de toi mon roi.
Et vlan, patatra !
Notre poème boîtera :
N'IMPORTE QUOI !!!!!!
Advienne que pourra,
Toujours nous deux on s'aimera.
Pour la belle, tu chanteras,
Ce chant d'amour qui durera,
Hantera toujours tes pas
Vers la forêt qui participa
A cette folle nuit dans les bois.

Poème collectif des Compagnons d'Eleusis
---fromFRQsad
L'amour est un calice auquel nous buvons jusqu'à la lie,
Mais lorsque ce vase au pouvoir infini n'est pas ici,
A-t-on le droit de rêver d'y tremper les lêvres?
Pour ceux qui jamais n'ont connu le rêve,
De ce toucher guerisseur,
De cette vague de chaleur,
Voila le message qui vous est adressé.
Lisez les présages de la vie, laissés à l'abandon,
Le choix est donné à tous, consciemment ou non.
L'ignorance volontaire du mieux est plus douloureuse,
Que les marques laissées par des larmes silencieuses,
Jusque dans notre âme, qu'on essaye d'effacer,
Alors que le temps lui-même, ne peut les sêcher.
Que les sages fous qui contredisent ces dirent en meurent,
Mais le temps, lui, prouvera leur valeur.

Qsad, le sage fou.
---fromFRLailah
Angel of the night a écrit:
Angel Of the Night aperçoi l´ arbre dont on lui à tant parler, il entre s´empare du vieil ouvrage et commence son écrit

Je ne suis pas un maître en la matiêre et ne peux que difficilement rivaliser avec les poêmes de mes prédecesseurs, mais, je l´espere, cela devra vous aller:

Beauté dans la simplicitée
pourrait être sa devise.
Quand je l´ai rencontrée,
Je l´ai sue, c´est elle que je vise.

Pas besoins d´artifice
Quand on la voit
On veut lui dire ``kiss
Me Baby je suis à toi´´

Malheureusement
De moi elle ne veut pas
Enfin je crois
Enfin, je ne sais pas.


-Mais si!
-je veux encore de toi, mon roudoudou ^^

_________________

Épouse de Angel of the nigth et mère de Angélique.
---fromFRpigeon oiseau
Je ne vis plus aucune émotion,

Car la colère a pris sa place,

M'entrainant dans le tourbillon,

Forgeant ma carapace,

Je ne ressent plus rien,

Ni tes mains sur mon corps,

Je n'essaye plus de faire du bien...

Je n'essaye plus de combattre la mort,



Je n'ai plus aucune emotion,,

Car le mal m'arrache les ailes,

Je ne veux plus faire attention,

Car la vie est loin d'être belles,

Je voulais m'envoler comme ces hirondelles



Je n'ai que la rage aux coeur,

Rongeant par mes malheurs,

Je pensais que j'en sortirai vainqueur,

Je me fane tel une fleur

N'avoir plus droit à aucun bonheur,

Je me condamne,

A cet existence sans âme
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