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Le coin des poètes ( pour d'éventuels Troubadours inspirés)

Angëlyss
L'encre ne peux écrire tout les chemins
Taché de noir l'impur parchemin
Pour éclaicir le temps des mots interdits
Qui torture jusqu'au sang le souffle de vie

Les vers ne peuvent être le fil qui recoud
Vielles blessures noircits et infectées
Le poête n'est qu'en lui même triste fous
Qui ne survie que par ses folies rimées

Simple trahison où bonheur désespéré
De chercher au pays des brumes l'amour illettré
Souffler sur l'impossible pour griffonner d'argent
Les derniers strophes de l'histoire du temps.

Trésor incompris d'une passion exprimée
Au manière amoureuse et solitaire
Dessinant la vie de vagues imaginées
En simple lettre de Voltaire

L'immensité des mots,souvenir partagé
En de poêmes incertains doucement caressée
De mains délicates transportant la plume
Évaporant d'un mot l'etau de la brume,...

Signée : Lyss (Moi)
---fromFRAnonymous
Sur le chemin pentu qui menner au sommet de la colline jusqu'a l'arbre ancestrale, on pouvait entendre un refrain doux et mignon qui frôlait tendrement les timpans. Une ombre apparut enfin, et l'on put disserner le visage d'un jeune homme de belle allure qui avançait vers le tronc. Il avait une mandoline à la main et porté un petit capuchon dans lequel était soigneusement planté une plume de geai brune tachetée de petits points bleu, noire et blanc. Arrivé devant le livre, il rangea sa mandoline dans son dos et saisit la plume. Il commença alors à écrire un message melodieux.

Enchanté cher livre
J'espère te rendre ivre
De mes doux vers couvert
De lumière et de givre
Qui rassemble l'hiver
L'été dans les rivières
Le soleil à l'orée
Des lisières et de près
Où èrent coquelicots
Chevreaux et étourneaux
De même que les comtés
Les duchés et les fées
Car ce sont mes aimées
Qui construisent mes pensées
Et mes poèmes que j'aime.

Lorsque le ménestrel eu terminé son texte, il repris sa mandoline, descendis la colline, en chantant à tue-tête une joyeuse chansonnette.
Lword
Le devoir

L’envie d’être bien avec son partenaire.
Ne doit pas forcément lui faire honneur.
Une contrepartie doit exister et être exigé.
Sans quoi le couple se fanera sans le moindre détail.

L’évolution d’un amour doit être réciproque.
Avoir une confiance aveugle en sa moitié.
C’est se protéger contre la jalousie naissante.
Qui porte nos cœurs trahit par le passé.

Se maintenir dans une trajectoire sans faille.
Pour seconder les difficultés de taille.

Être à l’écoute de l’autre.
N’est pas un défaut bien au contraire.
La sincérité ne peut pas être galvaudé.
Car c’est la principal qualité à adopter.

Ne jamais se laisser manipuler par ses sentiments.
Sinon on peut vous croquer sans pitié.
Pour cela ne jamais se prendre au piège.
Du oui mon chéri,si tu veux,c’est toi qui décide.

La manipulation est une prison.
Et l’on doit rejeter cette tension.
Angëlyss
"Disperfection"

Les pleures de la nuits chantent le désespoir
Battement insécure de l'amer reflet
Tel une agonie lente et sans espoir
Trahison nerveuse du mot "parfait"

Condamnée au masque sourire
Des pierres et des ruisseaux
À cet insignifiant avenir
À une vie de vrai et de faux

Ce tremblement est mon sort
Puit sans fond de la mort
Haine que l'on expulse
Membre serré,corps qui convulse

Torture incontrôlable,vengeance
Absence de mot,de silence
Si sombre,si attirante
Délire de la dernière offrante

Essence vengeresse d'une âme blessée
Toujours pied au bout du pécipice
Tanguant d'un air triste
Avec au bout des lèvres
Un simple désolé,...

Signée : Lyss(moi)
Lword
La dureté de la vie quand elle se finit.

La difficulté de voir son ami partir en fumée.
La conséquence de cet acte définitive.
Ne doit pas nous faire oublier les images de gaieté.
Qu’ils nous ont laissé pour l’éternité.

Cette relation que l’on a eu en se regardant grandir.
Sans forcément travestir nos pensées inavouées.
La patience et la reconnaissance que tu m’as apporté.
Je le garderais au plus profond de mon être sans gémir.

Je t’aimerais dans la vie comme dans la mort.
Quitte à sortir dans le froid du dehors.

Ton âme restera graver dans mon cœur.
Même si, tu n’es plus chaleur.
Dans ton lit si petit et sans douleur.
Tes yeux seront ma force pour ne plus avoir peur.

Ta sincérité que tu me portais.
Je ne l’oublierais jamais.
Tes miaulements me manqueront.
Finalement pour moi tu étais mon ami et pas une bête à ronron.

Je pleure de ne plus t’avoir.
Mais j’ai espoir de te revoir.
Lword
Je suis un être de chair.
Me protégeant dans ma bulle et se nourrissant d’air.
Le toucher qui procure de la chaleur à mon petit corps.
La construction se fait lentement.

Enfermé dans ce cercle maternel.
Le sentiment de confort est trop pure.
Pour que je m’évades dans cette solitude.
Précaire de savoir ce qui va m’arriver dans le futur.

Le bien être que me procure cet intrus étrange.
On me tape dans le dos ce qui me déranges.

Ce liquide part dans mon petit âme je penses à la mort.
Les rapides secousse m’envahissent et me pousse vers le tunnel de l’enfer.
Puis la difficulté de cette autoroute se passe et je doutes.
Rouge de contrariété et de frustration passagère.

J’ai mal,j’ai froid pourquoi ce sentiment de bien être s’évapore.
J’ai perdu une partie de moi.
Vais-je la retrouver j’ai peur de m’évanouir.
Obliger de sentir cette oxygène qui brûle mes petits poumons.

Les cris et les pleurs sont le désespoir de la vie.
Les respirations sont ma seule survie.
---fromFRpaaztek
Je me croyais solide mais je ne le suis pas
J'ai l'impression d'être vide, et je ne m'emplis pas.
Je parle mais personne ne m'écoute
Je suis là mais personne ne me voit
Je n'ai plus l'impression d'exister
Et quand je me tais on me dit de parler
Comme pour entendre un bruit de fond
Un bruit qu'on entend mais qu'on ne comprend pas
Juste pour qu'il y ait du son
J'ai parfois cette impression
Comme si j'étais transparente
Comme si j'étais inintéressante
Comme si je rêvais ke je vivais
Et que jamais personne ne me réveillait.

_________________
aloueeeettte
Lword
La renaissance

Cette situation que l’on peut décrire comme monoparentale.
N’est pas du au hasard.
Car l’apprentissage fut dur et radical.
L’autre est parti et je l’en remercie.

Les accouchements ont été sans douleur.
Le père n’a jamais été solidaire à ma souffrance.
Il s’en moquait et je ne voyais en lui que son absence.
Le désastre et les pleurs étaient mon lot quotidien.

Cet homme ne m’a apporté que des malheurs.
Sauf les deux prunelle qui sont dans mon cœur.

Je travailles pour trois sans aide.
De cette turpitude que j’ai,je le puises pour eux.
Mais je m'efforces à le faire.
Cette volonté que j'ai,je le puises pour eux.

Les personnes qui m’entoure me rassurent.
Le clan apporte tant pour mes enfants.
Que j’arrive à m’y voir dedans.
Grâce à mes garçons je me sens mieux.

La paix qui règne dans mon existence.
Je le dois à leur naissance.
---fromFRHeylanwe
"J'ai marché sur les chemins, les routes sombre menant au coeur de la terreur. J'ai sondé les abysses de la haine et j'ai vu la destruction et son ombre.
pour chaque secret dévoilé,Pour chaque pouvoir appris, j'ai du abandonner le reste de mon esprit. Malgré tout je désire encor une sagesse que l'on peu cherché.
L'ayant atteint, je suis vidé, brisé et damné. Cette puissance n'est que malédiction noire, mon esprit brûle à chaque sort, pour chaque verset maudit.
Je dois payer le prix, malgré la force et le savoir,
mon âme immortelle était le prix."
---fromFRMadeleine
La mort d'un ange...

Que le temps immortellement long passe à présent,
Je ne ressentirais plus les peines, les joies et les tourments,
Que le monde pardonne mon être qui aimait intensément,
Qui aimait trop et s'en va le coeur vide et les mains tachées de sang...

Qu'on me pardonne mon départ à présent imminent,
Le temps m'a paru trop long et j'ai attendu trop longtemps,
Que Manah sache que son ange l'accompagne éternellement,
Que Damien vive et puisse être heureux maintenant...

Que la fée sache que tout comme l'elfe je l'aime tendrement,
Que le chevalier s'en aille pour parcourir les pleines en souriant,
Que les couples s'unissent et s'aiment toujours intensément,
Que mon amour puisse comprendre que je ne puisse vivre indéfiniment...

L'ange de la vie retourne donc à son ciel bleu et blanc,
Laissant derrière lui toutes ces personnes, tous ces gens,
Et pas une seule fois on ne pourra entendre se propager un chant,
Pour cet ange sans âme qui part les poignets encore en sang...

Ce geste impur puisse tu lui pardonner, tout aimant,
Car l'ange déchu avait le coeur aussi pur que celui d'un enfant,
Il suffira d'écouter tout ce que rapporte le vent,
Pour se rendre compte que Madeleine était un être innocent...

Adieu à la lune et adieu au soleil levant,
L'âme salie par ce monde je m'en vais et abandonne le temps,
Les minutes s'arrête et mon coeur au même moment,
Adieu à la lune, et adieu au soleil couchant...

Madeleine,
Ange déchu aux mains maculées de sang...

_________________
---fromFRBabrius
Le soleil se lève et le soleil se couche
Et nous dormons tous sur la même souche

Les clochers ne refleurissent plus

Seuls les oiseaux s'inquiètent

Vers où cours-tu mon amour ?
pnj
Trois notes inedites

Si j avais encore l instrument
Accordé, je rejouerai la gamme
Complete et avec supplement
Je me souviens encore d une lame

J en avais inventé trois notes
Secretes à peine prononcées
J etais musicienne cordes en dot
Prelude, symphonie, crescendo d apogée

J avais lors inventé trois notes inedites
Permettez que jalousement je les taise
Question d ouie, de perception instruites
Chacun son oreille musicale n en deplaise

J avais inventé trois notes en impro tamisée
Et j ai perdu la partition, les parfaits accords
Profanes en ma melodie, l ire des offensés
N y entendrait rien d Harmonieux... alors...

Je les cache mes trois notes en souvenir
Pour peu que me prennent racines ici ou là
Elles reviennent en fond sonore, mer à rugir
Me rappelle Large, Bleu et Concert d Autrefois...
Cyann
Quand tu seras là


Quelques feuilles dessinent en face sur le mur blanc
Une ombre mouvante, qui, un je ne sais quoi, pourchasse
Assise sur le lit, cheveux défaits, j’effeuille le temps
Nuée de nuages, fils irréels, qui s’enroulent et s’effacent
Dans le carré bleu, sur le mur blanc, Ciel en dedans.

Tout un jour, un mois s’écoule, que sais je ? Un an ?
Un an déjà …

Si je n’y pense pas ? Je ne pense qu’à çà …
Et ce vide en moi, je le trompe par de petits riens
Riens de tous les jours, de ces riens … sans fin
Au premier jour du printemps, je chante tout bas
Seras-tu là ? Oui, tu seras là, un dimanche matin

L’ombre de toi illuminera le mur d’en face, si blanc
Au bord de tes lèvres roses naîtra enfin demain



Cyann tout simplement.
pnj
Melancolia...



Un jour j'ai promis d'attendre
Et depuis ne brule que cendre
Lueur fremit glacée de solitude
Coeur si lourd, renie l'habitude

Le vent depose un parfum...
De peines au long de mes pas
Et c' est Octobre qui s' en vient
Chaud et froid s'aiment parfois

On y gagne douce fièvre oui helas
Maladie, si bien que l'on en meurre
Gel, venin et dont on ne guerit pas
Frimas, ils assassineront les Lueurs

Et l'elan et l'espoir eux s'abandonnent
Aux Promesses troubles de l'automne
Sourire qui s'efface, mourant souvenir
Ne reste en suspens qu'echo des soupirs

Saison des feuilles teinte rouge-mort
Melancolia s'impose au fil des jours
Alors que le battement fou s'endort
Automne, de l'hiver le dernier detour

Melancolia s'imposera aux paupières
Meme elles, ne peuvent m'en defaire
Les couleurs qu'il garde prisonnières
Ses yeux et que je n'aurai decouvert

C'est le temps ou lumiere raccourcie
S'allonge, traine en longueur la nuit
Au carreau embué battra cette pluie
Reflets perlés et rivières endormies

Nuages bas, fourrure pour les ramures
Et nacre premiere au tapis des jardins
N'a que l'eclat irisé, glacé de froidure
Crisse le vert...sous les pas du destin

Quand les arbres revetent leur dorure
Apparat et reverence pour qui vient
Derniere flambée avant leur declin
Derniere offrande, genereuse nature

Le bleu du ciel, de son nom trahison
D'un soleil ne vous rechauffant plus
Si lointaines promesses ses rayons
Comme autant de caresses reçues

Melancolia au paysage aura deteint
Et en gris et noir decor tout repeint
Au foyer ardent, j'y songerai encore
A l'Eté brulant, ses rouges et ses Ors
Jadeeleonore
Dans le regard d'un enfant il y a,
Cet éclat qui enchante chaque maman,
Cette innocence qui fait fondre les passants,
Ce bonheur de vivre que tout le monde envie,
Cet attrait pour le rire, pour la joie, pour la vie.

Dans le regard d'un enfant il y a,
La gourmandise face aux sucreries de l'épicerie,
L'étonnement face aux nombreux tours de magie,
L'émerveillement devant la vitrine du magasin de jouet,
Le pétillement devant tout ce qui a un peu d'attrait.

Dans le regard d'un enfant il y a,
La manière de regarder toute chose comme si c'était pour la première fois,
La manière d'observer un objet pour garder chaque détail en soi,
La curiosité de comprendre tout et rien en même temps,
L'envie sans cesse de soulager tout son questionnement.

Dans le regard d'un enfant il y a,
Un sourire qui peut apaiser tous les coeurs,
Un rire qui tord notre ventre de bonheur,
Une étoile qui voudrait briller cent fois,
Une Lune simplement attirée ici-bas.

Dans le regard d'un enfant il y a,
Un éclat fabuleux qu'il ne faut pas détruire,
Une innocence qui demande de toute violence fuir,
Un pétillement qu'il faut pouvoir préserver,
Une vie qui commence qu'il faut pouvoir protéger.

Mais jamais il ne devrait s'y trouver,
Un cri d'appel à l'aide parce qu'il est maltraité!
Une peur sans nom parce qu'il n'ose pas la nommer.
Une faille profonde parce qu'on n'a pas su l'aimer,
Une terreur et la honte de n'avoir pu se faire pardonner...

Mais pardonner quoi?
Un enfant à le droit de vivre, et il a le droit de vivre une vie d'enfant... tout simplement, il faut leur offrir cet espoir...
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