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Le coin des poètes ( pour d'éventuels Troubadours inspirés)

pnj


Seuls Sur Le Sable

Je respire l'odeur de ton corps chaleureux.
Tu m'embrasse et vois s'afficher un sourire radieux
Sur mon visage éclairé d'une exquise lumière
Celle que m'offre tes yeux bleu clair.

L'élixir de ta bouche où l'amour se propage
Et de part en part enveloppe mon visage
Rempli à jamais mon coeur de douceur
Et vers toi mes désirs partent sans peur.

J'aime voir ton être frémir avec ton âme
Quand dans le mien ton corps s'enflamme
Et boire ton souffle comme un cadeau de la vie
Ainsi nous sommes réunis en une parfaite harmonie.

Puis, quand la nuit voluptueuse pénètrera les cieux,
Que tu dormiras paisiblement à l'ombre de mes seins,
Je déposerai, éternel et muet, un baisé d'adieux
Sur les lèvres de ton sommeil divin.

pnj


L'étoile qu'incarne ton être
fait briller mes yeux chaque fois que je te regarde.
Je t'aime à en mourrir.
pnj
On me demande d'être poète,
pour rejoindre ma confrérie.
Mais suis homme assez bête,
pour fuir tel défi.

La côte de granite rose,
la rudesse des saisons,
m'attire à prendre pause
d'y construire ma maison.

Sur ces terres arides,
je construirais mon royaume,
mais je resterais Cid,
pour l'offrir à mon roi.

Les cultures abondantes,
couvrirons les prairies
pour que nul ne quémande
les plaisirs de la vie.

Non je ne serais pas un mage,
mais celui qui conduira,
loin de tous ces mirages,
qui ne nourrisse pas.
Kileron
Il laissa un petit bout de papier, laissant le soin aux troubadours de le compter. Si cela plaisait, peut être lui demanderait-on les autres vers qu'il pouvait avoir en un quelconque endroit gardés.

Kilérön d’Amüor a écrit:
      Bleu,



    Un lumineux matin, je plonge en toi ma douce mer,
    Qu’un amour si fort, puissant nous unissait naguère,
    Tu m’as tant manqué, tout me revient si vite, si fort,
    Comme si rien ne s’était passé, Je t’aime mi amor.

    Un océan de fraîcheur coule doucement sur ma peau,
    Je frissonne de plaisir, j’aurais dû te revenir plus tôt.
    Sensuelles et douces caresses qu’encore tu me fais,
    Non ma belle, non, de toi je ne peux plus me passer.

    J’aurais attendu, frémissant toujours seul, si longtemps,
    Qu’enfin nous retrouvant, nous passions ce doux moment.
    T’ai je manqué ? Le doute en moi s’installe si profond,
    Que notre amour si exceptionnel ne soit plus à l’unisson.

    Mais très vite, revient ce contact si intime entre nous,
    Et tout ce pourquoi, font qu’à jamais tu me rendras fou.
    Fou de toi, fou de nous, laisse mon amour s’exprimer,
    Laisse mon corps contre ton être, laisse le te pénétrer.

    Et pourtant jamais, jamais je ne pourrais être tiens,
    Amour impossible, mais je ne peux me suffire de rien.
    Un simple visiteur, à jamais pour te voir je devrais être.
    Tant de désire entre nous, aucun ne pourra se soumettre.

    Pourtant, j’aurais tant essayé, je ne cesse de t’attraper,
    Mais à chaque fois, si fluide de mes doigts tu t’enfuis,
    Vient alors le désespoir de ne te revoir au grand jamais,
    Tu le sais et en joue, plus forte de revenir se fera l’envie.

    Douce et chaude mer, comme je te hais, oui je te hais.
    Je te hais, pour ce qui fait que je t’aime et t’aimerais
    Tant de haine et d’amour se côtoient ensemble si près,
    Mais attention au mélange, dangereux être il pourrait.

    Détruire, encore et toujours, nous ne faisons que ça,
    Doucement tu effrites la roche qui résiste vainement,
    Mais mon cœur jamais, jamais blesser tu ne pourras,
    Car jamais ouvert il ne te sera plus qu’infimement.

    Car bien trop grande a toujours été la peur que j’ai de toi.
    Que tu me vaincs, ma mienne, toi la si grande, la si belle,
    Mais jamais je te promets de rester à tes côtés, juste coi
    Je préfèrerais déposer un baiser, sur ton corps immatériel.



      Océan
pnj


Le bonheur de demain n'existe pas.
Le bonheur, c'est tout de suite ou jamais.
Ce n'est pas organiser, enrichir, dorer, capitonner la vie.
Mais savoir la goûter à tout instant.
Angelynn


Mon amour est aussi grand que le ciel
Aussi chaud que le soleil
Aussi beau que la lune
Caché par un épais tapis de brume...





La mer et ses vagues discourts
Que le vent siffle au loin
Comme le son de l'amour
Qui vient d'un pays lointain

La mer berce ses vagues
Comme l'irondelle se berce dans le vent
A ces cris lointains et vagues
Passent l'amour, le ciel et le temps





Comme un loup sans répit, qui suit sa proie
Son coeur empli de haine s'est acharné sur moi
Comme un vers sans défense, contre un oiseau aveugle
Mon coeur s'attache à toi et tu ne le vois pas

Comme un enfant perdu, sans un ami aucun
Je me sens prisonnière d'une solitude immense
Comme une rose dans un vase, mon coeur va se fâner
Sans que jamais ne passe celui que je veux aimer !

_________________
Wistala
Une fille sur la plage...
Elle rêve, elle est en marge
D’une société
A moitié bouffée
Mais pourquoi ne réagit-elle pas ?
Pourquoi reste-elle là ?
Les yeux grands ouverts
Face à l’univers….
Dans le dos on l’a poignardée
Jamais plus elle ne pourra bouger
Une fille sur la plage
Elle rêve, elle est en marge
De cette société
Encore bouffé
C’est elle qui l’a tuée…
Mais il est venu
Je ne savais pas au début,
Que ça irait jusque là.
Je ne sais plus ce qu’il y a en moi.
Le trouble et l’incertitude il a semée
Et peut être bien pour l’éternité.
Une fille, dans son lit
Elle écoute petit à petit
Un conte de fée qu’elle pourrait aimer.
Elle demande juste un peu de temps
Pour ne plus appréhender durement.

un peu déprimant celui là... Dans le style du dormeur du val...
Wistala
Pauca meae.... quelques vers pour elle...

Il y a cinq ans
Aujourd’hui précisément
On est tombé amoureux, follement.
Belle histoire d’amour
Que l’on vivait tous les jours.

Ils ont voulus briser
Ce qu’il y avait
Ils ont échoué
Faut continué.

Mon amour je suis désolé
Mais je ne peux pas continuer
Ils ont réussis à me brûler
Je peux plus continuer
A être à tes cotés

Ne m’en veut pas
Ce n’est pas ta faute à toi
Ce sont eux qui m’ont éloignés de toi
Je t’aime et même après je continuerais, crois moi.
Je suis désolé, je peux plus continuer…

Monsieur le curé
C’est bien une femme suicidée
Que vous este en train de regarder
Prévenez mon amour
Dites lui d’être fort
Qu’on se reverra après la mort
Que je ne pouvais plus continuer à tous gâcher
De part mon absence
Je lui offre un peu de décence …
Angelynn


Il y a tant de passions, enfouies dans le noir
Elles sont juste là, on doit les chercher
Comme ces milles raisons, que j'ai trouvé ce soir
Au creux de mes bras, je les ai cachées
Et cette flamme me tient, elle est vers toi tournée
toi que j'aime, même si loin, mère respectable et enviée
Amie fidèle que le sourire n'oublie pas
coeur fidèle dévoilé, depuis longtemps déjà
Persiste et signe, tendrement mon récit
Que mon stylo, lentement a décrit
Dans cette triste journée que la pluie à souillé
Couché sur ce papier, que mes larmes ont mouillé
D'amour ou d'amitié, des années juvéniles
Sincèrement dédié à mon esprit sénile
A celle dont j'apprécie la douceur éternelle
Qui comme moi reste à jamais une enfant rebelle !

_________________
Wedyco


Quand viens parfois le soir, je pense
Je pense à mon passé, bouleversé et troublé
Qu’es tu donc devenu toi, Oh ma belle Provence,
Que venait bercer doucement la Méditerranée.

Un repère de voyous tous avide de pouvoir
Qui ne pensent tous au fond qu’à leur vil intérêt
Alors je te tourne le dos, je ne veux plus te voir
Tu m’as déçue au point que je t’ai effacée.

Sur ma carte est barré à jamais ce comté
Qui exhibait ses charmes, pour mieux tous séduire
Alors qu’au fond résistent tous ces vieux édentés
Qui par leur siège en cuir, veulent encore reluire

Je pars sur les chemins pour un monde meilleur
Ou loin de la bêtise, j’espère enfin trouver
Un espace, une abime où déposer mon cœur
Car ma place n’est plus, en ville où je suis née

Je préfère tout quitter et parcourir le monde
Errer de lieu en lieu, rencontrer et sentir
Plutôt que de supporter votre haine immonde
De toutes les façons, çà n’peut pas être pire…

Alors vous voyageurs, qui passez en ces lieux
Prenez garde à sa face, la Provence vous inspire
Le revers est terrible, courez vite c’est mieux
Car votre âme bientôt, à jamais vous aspire.
Angelynn


Enfant de triste mère
Elle se perd dans son enfant
Laissant à ceux qui l'aiment
Ses souvenirs les plus grands

Sa fille devient sa mère
Perdue dans l'océan
Cet océan de peine
Porté par le vent

Dans sa douleur immense
Elle me donne son amour
J'ai perdu mon enfance
A ne pas voir cet amour



Et je t'écris encore
Quelques mots pour te dire
Que mes vers vers ne sont pas morts
C'est toi qui les fait vivre
Je t'aime mon trésor
Ma joie, ma source vive
Tu es mon réconfort
Ma bible mon grand livre
Mon enfant grand et fort
Que j'aime et qui me fait vivre

Pour tout cela je te dis merci !





J'ai attendu l'été
Et l'automne est passé
J'ai cru en l'hiver
Au printemps j'espère
Mais rien, rien n'est venu
Seule je suis perdue
Mes yeux se sont fermés
Il fait noir dans mes idées
Tout s'envole en promesses
Mon coeur pleure, ma vie se blesse




J'ai marché longtemps avant de te trouver
J'ai pleuré souvent sans même y penser
Mes souvenirs ont brisé le silence
Et mes yeux ont payé pour eux
Dans ma vie je n'ai pas eu de chance
Et mon coeur s'est félé en deux
Chaque moitié est une partie de moi même
Chaque côté est un peu abîmé
Comme un ours qui brise sa chaîne
Je fuis les instants enfouis et mal aimés
Je traîne tout mon coeur, Je crie toutes mes larmes
Je ne vois plus de fleurs, et j'ai baissé les armes.


_________________
pnj
Ô âmes infidèles...



Entends-tu le cri des femmes ?
Qui partent au petit matin
Traire les bêtes la mort dans l'âme
De savoir leurs époux à leurs mains.


Entends-tu petite fille ?
La cloche sonner le glas.
Demain tu te marie
Avec lui jusqu'au trépas.
Kittycat
Ode à la résurrection d'un chat statufié


C'est un cri de douleur au milieu de la nuit
Déchirant, transperçant, parmi les rêves enfuis
Haletant, frémissant, le corps s'arque et faiblit
Râles et soubresauts, cette voix qui gémit
De ces tout, de ces riens, elle soupire et pleure
Quel est ce réveil à l'heure où l'âme se meurt

Dans la boue nauséeuse des sables du temps
Souvenirs atrophiés déchirés de ses dents
Délités, enfermés, sans que rien ne s'oppose
Se piquer de leurs ronces et oublier les roses
De ces tout, de ces riens, elle soupire et pleure
Quel est ce réveil à l'heure où l'âme se meurt

De mots vains, de dépits, assourdir son esprit
Le corps se rebelle, lors étouffer ses cris
Ombre désincarnée, marcher parmi les ombres
Les lèvres refermées sur les questions sans nombre
De ces tout, de ces riens, elle soupire et pleure
Quel est ce réveil à l'heure où l'âme se meurt

Elle crie, elle faiblit au milieu de la nuit
Ces caresses venues d'un long passé enfui
Cette voix qui l'appelle perçant leurs refus
Chrysanthèmes fanés aux pieds de sa statue
De ces tout, de ces riens, elle soupire et pleure
Quel est donc ce réveil à l'heure où l'âme meurt ?
pnj


Telles les premières lueurs du soleil
Ta douceur me sort de mon sommeil
L'exquise vision de ton visage
M'entraîne dans un tendre voyage

La première étreinte langoureuse
Au contact de ta peau soyeuse
Tel la promenade du bienheureux
Transporte tout mon corps dans les cieux

L'envoûtante vision de ton regard
Dissipe dans mes yeux le brouillard
L'esquisse de ton sourire enchanté
Apparaît tel un voile rose nacré

Le doux son de ton rire exalté
Excite l'envie de t'embrasser
Le plissement de tes yeux souriants
Evoque l'immense tendresse d'un instant

Chaque retrouvaille déchaîne mon émoi
Chaque enlacement m'attire vers toi
Chaque bisou stimule mon amour
Chaque regard fait fondre mon coeur
Meeyung
Crépuscule Paisible

La vie bruissait dans le lointain.
Lentement, mon coeur s'apaisait.
Attendre semblait bien vain.

Les flétrissures de la chair
Montaient dans les airs.
Les herbes Folles
Recouvriront le sol.

Bientôt, les racines de l'arbre
Briseront la noirceur du marbre.

Le vent dans les branches
Me berçait sans relâche.
Dans le crépuscule,

Je me promène seule.
Dans peu, je serais en paix.
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