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Le coin des poètes ( pour d'éventuels Troubadours inspirés)

--Maclophee
Au firmament de son coeur
Et à l'aube du bonheur
Son âme s'éteint de vie
De trop vivre elle s'ennuie
Demain sera différent
Mais finir il en est temps
Des luttes elle se consume
De la peur elle voit la brume
Infime élément du monde
Esprit qui vagabonde
Etrangere sur cette terre
S'adapter elle s'y perd
Lassée des curieux combats
Même si jamais elle ne s'y noie
Vie de larmes et d'errances
De sourires dans la souffance
Extinction des sentiments
Fatigue du subconscient
Elle cherche sa force
Ayant fui son écorce
Envie vive d'autre chose
D'aller vers une pause
Besoin de ne plus penser
Et de se sentir apaisée
Vivre sans réfléchir
Ou mourir avec des rires
Elle s'en moque tellement
Elle n'a plus de sentiments
Se sent éteinte sans retour
Souhaite y aller sans détour
Larmes de s'être perdue
Rage de se sentir vaincue
Haine de toute cette faiblesse
Volonté d'indifférence qui cesse

Elle soupirette et repart
Elle veut vivre même à part
Elle pensait avoir le choix
Mais ce n'est pas le cas
La vie décide pour elle
Son âme est éternelle
Certains pensent le contraire
Ignorant qu'elle n'est pas ordinaire

Si différente et si banale
Dans son esprit en spirale
D'humeur souvent inégale
Elle n'est pas que le mal
Elle veut juste être en paix
Vivre et mourir à tout jamais
Douchka
En quête de respirer simplement
L'odeur de sa peau sur mes vêtements
Ne pas chercher autre chose
Dans les vers ou la prose
Que de garder le souvenir vivant
Comme une envie de comme avant.

Ne pas vouloir regarder la vérité en face
Ne pas laisser l'oubli prendre la place
Avoir envie de fermer les yeux
Pour revivre encore le merveilleux

Faire comme si tout était possible
Croire qu'il n'y a rien d'impossible
Juste aider à faire passer le temps
Juste se dire ce n'est qu'un sale moment.

Chercher à nouveau le parfum des violettes
Les laisser en chemin pour qu'il y pose ses mirettes
Poser des traces sur son chemin de voyage
Pour qu'il les suive et trouve le passage.

Le laisser trouver patiemment tout ce qu'il cherche
Espérer qu'il cogite en trouvant des cheveux une mèche
Se dire que peut-etre il saura en prenant le temps
Qu'il n'y a qu'elle qu'il saura aimer follement.

Regarder le ciel, et scruter, un signe, un espoir
Se crever les yeux à attendre dans le noir
Palpiter quand un pigeon se met en approche
Se laisser choir quand c'est pour son voisin proche.

Vouloir lui dire, lui crier qu'elle l'attend
Se taire et accepter qu'il ait choisi l'isolement
Penser trop à en briser les morceaux de sa tête
S'assoir, se prostrer, se dire s'il te plait arrête.


_________________
....marie....
Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage,
Et la mer est amère, et l'amour est amer,
L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer,
Car la mer et l'amour ne sont point sans orage.
Celui qui craint les eaux, qu'il demeure au rivage,
Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer,
Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer,
Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage.

La mère de l'amour eut la mer pour berceau,
Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau
Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes.

Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux,
Ton amour qui me brûle est si fort douloureux,
Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes.



(Pierre de Marbeuf)
_________________
Wamarine


Si un jour ....


Si un jour je devais de l'Amour tout redécouvrir
Je lui choisirais encore vos bras pour berceau
Vous laisserais à nouveau doucement me séduire
Et flânerais, rêveuse, sur le fil de vos mots.

Je devinerais le trouble démesuré de mon cœur
En lisant dans le miroir bleu de vos yeux
Mon regard perdu et livré à la douceur
Des sentiments qui rendent heureux,

j'écouterais le chant de vos regards éloquents
Et ferais peut-être mine de ne pas les voir
Histoire de faire durer ces merveilleux instants
Pour mieux attiser le feu qui brulera le soir.

Et lorsque dans vos bras, je vous offrirais cet amour
Que j'aurais cultivé au fil du temps, doucement,
Laissant le bonheur nous mener jusqu'au petit jour
Je saurais encore une fois que je vous aime tant.

Wamarine . . . . .


Fraxie



Au Traître, au Casanova, à Judas…….


Il n’y a plus de joie, difficiles les rimes
Alors que plus de toi mériterait un hymne
Ravivant ces émois nés sous ton sourire
Liant dans son chant, les rires et les soupirs
L’insouciante liberté, ses dérives fébriles
La sincère amitié, l’intense sous le futil.

Il n’y a plus de joie, juste une profonde abîme
Où se noient les bonheurs, les pensées que ranime
Le départ sans retour, et l’adieu obligé
A cet ami-amant dont parfois j’ai rêvé
D’avoir pour moi seule les suaves baisers
Tentante illusion d'un Amour partagé....

Mais alors ?
Une complicité aux viles jalousies sacrifier ?
Une énieme amourette aux oubliettes jeter ?
Une exclusivité d’où naîtrait le « danger » ?
Bien plus précieuse était notre amitié.
Il n’y a plus de joie, difficiles les rimes
Il n’y a plus de joie, juste une profonde abîme.

Je glisserais mon hamac dans ta tombe
Je t’y retrouverais dans l’enfer des ombres
On paiera une gnole au roi des décadents
On rira à nouveau mon bel ami troublant

Mais d'ici là,
Tu me manques déja…

--Kaa


A ne pas perdre le fil, elle n'en tient qu'à un seul.
Corde harmonique vibrant, contraction d'écueil.
Ses armées, le sac de noeuds, une tête harponne.
Sa queue une perle, embobinant elle nous sonne.

Nul n'échappe à sa célérité, faisant masse
Encerclant tout carré, d'une vive énergie
Bulle linéaire archimèrique digne d'Atlas
Naissant du pointé final d'un dé bu infini

Médusant tout hasard en ordre immuable
De ce combat entre un dragon et une bulle
Naquirent la mort, la vie d'une légende fable
Alors cours lentement avant qu'elle t'accule dans ses tentacules.
Niflheim
Un esprit banal

Grouillante et exaspérante atmosphère,
Où les cafards de ta monotonie
Aspergent constamment ton ennui
Sur un monde déjà bien amer.

Tu n'as aucune originalité
Voix fade! Et tes yeux blêmes ont l'illusoire
Lueur d'intéresser par tes histoires,
Amalgames entre aimer et désirer,

Quiconque voudra prendre pitié
De ta culture de l'inintérêt.
Ta vie n'est qu'une simple et morne plaine

Où plâne un néant intellectuel
Mêlé d'idées et réflexions vaines.
Apprends à te transcender, esprit frêle!

_________________
--Kaa
Si vis me flere, delundum est primum ipsi tibi
Tu duca, tu signore et tu maestro
Vade retro Satana, sufficit
Se ne non è vero, è bene trovato




Dans mes bouquets, il y a
Des parfums de couleurs techniques,
Nuances pales, vives, foncées, toujours systématiques,
Et si parfois je m'envase, je sors mon arrosoir magique.

Dans mes bouquets, il y a
D'abord du bois de bruyère et de buis et un soupçon d'aubépine,
Qui laisse percevoir un sas de solitude altruisme stoïque de prudence fine,
Puis une circée, ce n'est pas de la Népenthès, mais elle en jette cette fleur divine.

Dans mes bouquets, il y a
Une dame nature qui se cache derrière une magniola,
Et pour elle je sème du mimosa, une touche d'intention en pélargonium délicat,
Enfin pour prendre mon temps, avec vélocité du tamaris et ce avec la grâce d'un fuchsia.

Dans mes bouquets, il y a
Plein de hasard sans réfléchir, je mets encore et encore,
Crocus, jonquille, arum, pissenlit, camomille, lys, oranger, muguet, bouton d'or...
Puis las je tapisse de saxifrage pour oublier les soucis et tous leurs parfums m'ont en corps.
Eowynn_de_galway1ere


Je sens en moi mon âme se déchirer
Sentiment de peine et d'humiliation
J'avance vers le chemin de la désillusion
Seule et comme un être désemparé

Mon coeur n'accepte plus de sentiment
L'amour veut le quitter à jamais
A quoi sert-il de vouloir aimer
Et se voir s'éteindre lentement

Je plonge dans l'amertume
Je n'ai plus de larmes pour pleurer
Je n'ai plus qu'un corps pour errer
Tel un triste oiseau sans plume

Amazone
--Sheranne


Fondre sous ton regard sensuel et sentir tes mains sur mon corps
Besoin de ce désir charnel qui nous entraine dans une ritournelle
La ronde folle de nos corps enlacé,en une douce et infinie tendresse
Lorsque je sors mes griffes et que tu te fais calin , je deviens féline
Acidulé sont tes tendres baisers , de mes lévres enfin je te dévore
deja je dessine un bonheur partagé , tu es mon roi je suis ta reine
Mes sens émus,transis s'empressent de te dire,enméne moi au ciel
Rien ne nous arrete désormais notre étreinte va enfin s'épanouir
Mon ame devient enfin tienne ,puissions nous longtemps en jouir
la vie nous a reunie et unie en cette nuit céleste dans l'allégresse
--Sheranne
Au creux d'une étoile, blottis sous les étoiles, notre amour est né...
Mon coeur s'est illuminé d'une resplendissante lumière dorée
oubliant alors d'un éclair qu'on se connaissait pour ainsi dire pas.
Ni rien,ni personne ne pourra me séparer de la chaleur de tes bras
cadeau inoubliable que de posséder une petite part de ton coeur
de bonheur transformant mon âme et mon corps en ta demeure.
mes pensées vers toi impossible à mon coeur de t'oublier
car de tout mon être je te veux.....
Si je pouvais m'envoler ,pourrais-je retrouver l'éclat de tes yeux?
Et si amour pouvait , à la façon d'un poème rimer avec toujours?
Bâtissons notre histoire d'amour sans limite ni contours
afin que tu me laisses entrevoir au fin fond de ton coeur .
Tout ce que je souhaite étant que nous soyons toujours proche
imaginant que le temps passé ensemble s'écoule sans accroche
et que tu ne laisseras jamais personne séparer nos vies
Que pourrais-je faire pour te prouver a quel point je t'aime?
un simple poème semble ridicule, j'écris exactement ce que je ressens
Aussi je te dis avec un brin de poésie combien mon amour est véritable
immense comme sur une plage le nombre de grains de sable
même si je ne te le montre pas dés que je te vois , je t'appartiens...
sache que même loin de toi aucun homme ne pourra te remplacer
la place à prendre est unique je t'avoue que de loin tu l'as gagné .
Alors malgré ma confiance dis-moi , qu'il n'y aura toujours que moi
fais de moi la princesse de tes jours et de te nuits.
Ose te coller tout contre moi et tu croulera sous mes baisers.
Laisse moi faire de toi mon seul homme mon bien aimé....
immobile sous tes tendresses je serai.
laissant court à tes folies.
et tout ça pour te dire que je t'aimes à la folie.....
Cali





A tire d’elle


Qui peut s’enorgueillir
Ou même ne serait ce que penser
De par ses mots être jugé
Et par ses pensées être souillé?
Qui osera d’un regard le défier
Ou d’un geste l’offenser ?

Que s’ abatte sur lui mon courroux
Et devant tant d’infamie
Que la peste lui sorte par tous les trous
Qu’il en soit à jamais pourri

Car quiconque s’en prend à l’ ange
Verra en moi une furie
Sortir de la fange
Et fondre sur lui

Il n’y aura aucun endroit
Ou je ne le retrouve
Pour l’amener de vie à trépas
De l’herbe grasse à la crasse des douves

Oyez braves et petites gens
Du plus croyant au plus mécréant
Sachez en temps utiles
Que rien n’est facile

Mais gardez en bouche votre fiel
Vos mots sucrés à demi susurrés
Car tel un cerbère je veille
Au repos de l’ange à l’âme égarée

Cali


Isabele_colomb
Finalement elle l'a trouvé
Celui qu'elle a tant attendu
Finalement il existait
Mais que de chemin parcouru

Il en a fallu du temps
Des chagrins et des illusions perdues
Pour qu'il arrive au bon moment
A l'instant ou elle n'y croyait plus

Il en aura fallu des larmes
Des regrets , des propos futiles
Abandonnée , seule , sans armes
A bout de force , fatiguée et fragile

Il en a fallu des combats
Pour qu'elle y croit encore
Pour qu' elle ne baisse les bras
Mais elle a toujours gardé espoir

Mais finalement il est arrivé
Celui qu'elle avait tant attendu
Et finalement elle est aimé
Même si elle n'y croyait plus
Eowynn_de_galway1ere
A Léo.......

C'est en survolant mes souvenirs
Que je vous ai de nouveau rencontré
Pour vous dire que je vous ai toujours aimé
Même si dire cela me fait souffrir

Dans ce rêve vous êtes toujours aussi joli
L'éclos de votre rire se noie dans mes entrailles
Celui que je définissais d'homme de ma vie
L'a définitivement quitté pour d'autres rails

Mon amour pour vous est éternel
Jamais je ne pourrais vous oublier
Et même si maintenant vous l'aimez, elle
Laissez moi tout de même espérer.....
--Epidor
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