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Le coin des poètes ( pour d'éventuels Troubadours inspirés)

Lanny


Comme un retour aux sources. Un appel à se taire,
A écouter enfin les silences oubliés,
Ces silences que l’on croit même enfouis dans la terre
Et qui portent en leur sein nos enfances volées.

Tristes enfances d’ailleurs, faites de belles promesses,
Et d’aveux, et d’amour, & d’éphémère bonheur,
Qui, à moi, à l’instant me reviennent & m’oppressent
Comme autrefois, où viles, elles attisaient mes peurs.

Ô rage ! Ô désespoir ! Ô jeunesse ennemie !
Quand l’enfance est passée, tu viens prendre ma vie,
Et longtemps t’en délecte, me laissant le néant.

Et j’ose imaginer, qu’en refoulant c'pavé,
Enfances dérobées, Jeunesses déchirées,
Vous m'abandonnerez aux destins plus cléments.

Lanny.
--Maclophee


Revenue sans prévenir, dans l'ombre noire elle avait vibré
Sans heurts, ni violence dans la sombre elle s'était immiscée
Le maléfice avait titillé toute parcelle de vie
Engendrant souffrance dans vile machine obscurcie

Un moment d'absence pour ressurgir sans se faire attendre
Elle osa se montrer sous son air complaisant et tendre
Elle fit changer de ton, de couleur, éteignant le regard
En touchant l'inaliénable espoir de son cruel poignard

Tout son corps avait ressenti l'abord de fin naissante
Que lui prodiguait ce malaise à l'allure évidente
La peur, elle la perçut jusqu'au fin fond de ses entrailles
D'avoir pu si facilement escalader ses vaines murailles

La connaissant profondément si bien cette vive douleur
Espoir vain de lutter toujours pour ne point avoir peur
Mais de croire à cela, nul ne commettait plus grave erreur
Car surprise par le mal, toujours on vit, toujours on meurt

Poison rongeant doucement sa faible lumière intérieure
Laissant à vif plaies et cicatrices siégeant en profondeur
Jouissant de son ineffable puissance, de sa fourbe emprise
L'affliction prend place en elle et agit à sa guise
A croire que de la sombre elle s'est amourachée voire éprise
Et qu'elle prendrait vif plaisir à la voir qui agonise
Envie infime de succomber et accorder ce plaisir
Par cette torpeur suivant douleur se laisser envahir

Elle se laissait bercer par cette redondante litanie
Se complaisant dans ce labyrinthe qui grignotait sa vie
Centrée sur elle et sur son mal, elle oubliait le monde
Pensant à cette dure réalité, à ses droits immondes
Plaisir de se plaindre et d'ignorer l'existence des autres
Dans sa mélancolie, ses ressentiments, elle se vautre

Elle sait et a toujours su qu'en ce bas monde il n'y a personne
Qu'elle est seule à vivre, seule à être dans ce qui l'emprisonne

Ne faire semblant d'y croire
Ne rien laisser au hasard
La vie choisit
La sombre subit
Fraxie

Heureux jardinier


Alors qu’en la campagne mon regard dérivait
Soudain, une noble Dame vint ainsi me héler :

« Héélaaa ! Jardinier !
Mais que faites vous là ? Au pied de ce pommier ?
Est-ce ainsi, vaillamment, que deniers vous gagnez ? »


« Dame,
Je savoure la beauté de ma tendre aimée…

Ma peau porte encore la marque des ses baisers,
A tant la caresser mes mains sont fissurées.
Tout ce jour, elle me fit sillonner et marcher
Les épaules courbées, les yeux sur elle baissés
Avec patience, amour, paix et humilité…
Elle est toujours offerte, elle n’est jamais acquise,
Et me fait affronter les rigueurs de la bise,
Les morsures du soleil, de la neige, des saisons
Dés que les primes lueurs pointent à l’horizon.

Mais la moindre attention elle sait récompenser
De présents bien plus doux que vos précieux deniers.
Elle m’offre son savoir aux paroles d’évangiles
Me rendant, chaque jour, plus fort, sage et moins vil,
Et de moisson, de grains elle enfle mon grenier,
Et de fraîches saveurs elle emplit mon panier…

A l’ombre de ces feuilles où vous m’pensiez dormir
Je cherchais juste son cœur, de joie, à faire frémir,
Car, comme toutes les belles, elle aime être admirée…

Alors sur cette pierre, Dame, prés de moi, venez,
Vous comprendrez pourquoi elle seule je peux aimer. ..»


Et vous me croirez ou pas
Mais la noble dame vint et m’donna un baiser
Léger comme une plume, goût de fraise il avait…

Et vous me croirez ou pas
Mais la belle, souvent, me voir revint
Partager avec moi ses plus secrets jardins…

Alors, vous me croirez ou pas
Y’a pas plus heureux que moi !
--Chardine
Exercice de style (prose)... Chuchotement

Une parole susurrée en des temps bien reculés que l’esprit vagabond n’a point remisé.
Elle se penchait souvent sur ce qu’elle avait de plus cher pensant toujours en son cœur le délivrer de sa chair.
L’été fut là mais ses paillettes de printemps n’avait toujours pas éclairées son sourire si charmant.
Se mirant jour après jours dans le charme cristallin de ses prunelles noires, telle la profonde cascade coulant après ses instincts.
A travers ses doigts longilignes, elle laissait couler le cygne magnifique qui l’avait endormie voilà bien des décennies.
Ses larmes avaient coulées le long de ses joues de reine, elles avaient sillonnées sa peau au teint de pêche, aussi douce que le velours de ce fruit si gourmand.
Cette onde claire, pure et éclatante, ce miroir frénétique qui ne court que pour aller mourir dans le bras de celui qui sera son éternel amour…
Elle aime a s’y baigner, nue et maintenant fripée, elle aime a s’y torturer en ne rêvant qu’a ce jour ou elle aussi son cœur cessera pour l’éternel.
Ho combien de nuit à ne croire qu’il s’était endormi là a ses côtés, combien de lunes à regarder miroitant sa lueur blafarde et ambrée.
Son sourire a perdu ses paillettes de printemps, mais il perdure toujours lorsqu’elle pose sa main sur son cœur entrouvert presque béant.
Elle laisse le courant la laisser dériver et son corps alors n’est que ce qu’il n’est.. Un simple corps décharné et ridé, elle flotte … et la elle est.
Une parole susurrée en des temps bien reculés, un simple mot qu’elle a pris pour cadeau, une fleur de printemps qui ne fane jamais.
Les années ont passées, les heures égrenées ont chargé ses besaces de parfums inviolés, mais il ne reste que l’arôme de ces mots chuchotés… je t’aimerai a jamais.
--El_hombre

El Hombre en a assez des fins dans le soleil couchant,
Son cheval à maintenant avalé trop de poussières.
Il n’y a pas de sous sols dont on remonte gaiement,
Il n’y a pas d’abreuvoir pour une vie éthylique.
El Hombre a depuis longtemps laissé à terre sa lourde cape noire.
Il n’y a nul justicier fou une fois la canicule.
Son épée qui brillait au dessus du désert
S’est trouvée trop rouillée
Et elle a préféré s’enfouir dans les sables.

Cette fois ci El Hombre ne s’en ira au loin qu’aux aurores boréales
Il ne rira plus seul dans la nuit désertique,
Il le fera de jour – et mon dieu quel jour –
Juste après le mot "End"
Car même lui sait que c’est après la fin que le début commence
Et il ne supporte plus que nul n’en sache rien.

Qu’importe le temps des plaies
Et ses cachets d’acteurs
Ils sont effervescents
Et lui
Allergique


Mais pas encore de mot « End » ce soir

Car ce n’est le matin

Et il fait encore jour....


Niflheim
.. Et le bonheur expliqué. (Suite inattendue de l'heureux jardinier.)

... Des mouvements qu'elle laissa apercevoir,
Farouche, celui du baiser fut le plus franc.
Puis elle remonta ses jupons pour s'asseoir
A côté de l'homme au discours enjolivant,

Donnant un contraste à ses dernières paroles,
Pour dévoiler le galbe de ses fraiches cuisses
Au teint d'albâtre telle une bacchante folle
Qui révèle son parcours caché dans le vice:


- Certes les mots viennent vite dans l'art d'aimer!
Cette fabuleuse chronique inspiratrice
Où se perd toute notion des réalités.
Entre amour et désir, l'amalgame s'immisce.

L'attirance se fait de phrases séduisantes,
Et la beauté en exergue à la poésie
Marque sur son fronton l'espérance inhérente
D'éternités au côté de l'être chéri.

Aussi belles que sont les joies, les illusions,
Qu'apportent les frissons et les sueurs de caresses
Tant attendues, ce contact berçant nos visions,
Submergeant désespoir et absence de liesse,

Ce que vous considérez « sentiment d'amour »
N'est que le plus faible ennemi du temps.
Inlassablement, ces lueurs pâlissent, tel le jour
Précédant la nuit, fierté de ce vieux Titan.

Car il dévore aussi ce qu'il n'a pas créé,
Regarde, hautain, l'habitude prendre place
Parmi ces couples naïfs pour mieux les briser.
Immorale vérité souvent qu'on trépasse!

Pourtant, c'est un visage intemporel, haï,
Naturel, contre lequel lutter est futile,
Utilisant l'arme de l'instinct: c'est l'ennui.
Les chemins de vertu ne font que suivre un fil

Dans l'attente monotone de sa coupure.
Ils préfèrent assurer la stabilité de demains
Où la fatalité sculpte l'architecture,
Entre ces deux êtres, d'un érotisme malsain,

De compulsions abrasives et mortifères,
Parents des médisances et des jalousies
Qui font mourir l'amour et créent une atmosphère
De remords, de regrets, qui nous rendent aigris.

Mais où sont donc les perpétuelles convulsions,
Qui rendent le désir fauve, le plaisir bestial,
Qui excluent tout devoir et toute convention?
Azur rugissant sous un soleil estival,

Brûlures exutoires d'immodération,
Intenses pluies chaudes mêlées aux souffles d'aise,
Liberté de désirer par choix à foison:
L'amour vrai se passe de palabres niaises.

C'est un jeu constant qui sacrifie les agapes
Sur l'autel convoité d'un Priape extatique,
Fier de faire bercer et couler le hanap
Sur l'entrelacs leste du choeur paroxystique.


Subrepticement, elle s'approcha des lèvres,
Enlevant ses cothurnes, délaçant son corset
D'un geste mesuré, mais emprunte des fièvres
Remédiant à l'absence de sueurs extasiées:


- Il faut savoir composer son jardin secret
Des plus fines fleurs et des fuits les plus juteux,
Pour que les dryades qui veulent s'y ancrer
Vous montrent leur pâmoison de l'amour odieux...

_________________
Lordofwar
De Cap et d épée, je renais de mes cendres,
Un doux souvenir m'a fait redescendre
Une vie, de mon cœur, pleine d'amour
Je garderais en moi pour toujours.

Tu es en moi pour l'éternité..
Et un jour, je te trouverais.
A la croisée des longs chemins,
Où nous guidera notre divin destin.

Je née tel le puissant Phénix,
Je vis, je ris et sans préfixe.
Je souffle, je poétise,
Tout ce que mon esprit hatise,

Entends-tu ce doux appel?
Celui qui règne éternel ?
Dans le cœur des Chevaliers,
Qui jamais, ne sera mendier.

Oui, mon destin sera de t'aimer...
Lordofwar


D'aout c'était un jour,
d'une taverne en son détour,
m'est apparue un vrai délice,
de son petit air de malice,

D'un éclat de douce Miss,
Soudain, fut là Caprice,
Flottant ses blonds cheveux,
d'Un rayon captiva mes yeux.

Démarche légère et ondulante,
Hanches souples et remontantes,
Poitrine douce et pointante,
Fesses fermes et redondantes

Pénétrer de son regard,
Ma bouche tombe hagard,
Briser par son sourire,
Bête,je me met à rire,

Comme un souffle, elle approche,
Sa beauté m'a rendu moche,
son doigt sur ma main se pose,
Et moi je ne sais, si je n'ose,

Tout près, je la sens,
En Alerte, brules mes sens,
Chevalier tétanisé,
Homme foudroyé,


Enchainé de mon coeur,
Ainsi à commencer notre heure,
D'un éternel bonheur,
Et cela sans frayeur.....

Je t'aime mon coeur




Ophilya.


Cette année pleine l‘Une Rousse

Je fais un vœux…

Le feu d’un duel au soleil
Je rêve d‘un duel avec toi
Pris au piège tu te rendras
Provoquer un duel avec toi

L’horizon s’éclaircit sublime le soleil s’est levé
Dans le rôle du rebelle des sables enfin tu apparais
Défiant toutes tes attitudes dans les dunes cachées
Je te laisserai aucune chance, pas de chance…

En haut de la falaise tu viendras
Provoquer duel au soleil
En haut de la falaise rebelle
Me donner la fièvre au soleil

Duel au soleil contre moi
Tu es le soleil contre moi
Contre moi….

Je t'aime mon autre moi
Cali
Usé d’avoir été trop souvent prononcé
Jeté à la volé emporté par le vent
A tous les temps il fut conjugué
Par celui qui croit ou par celui qui ment
Il est par tous désiré
On ne le dit qu’au présent
On le croit parfait
Mais il reste imparfait
Elle l’a remisé, oublié
Refusé de l’entendre
Refusé d’ y prétendre
Préférant le déjouer
En le sentant arriver
Sur les lèvres qui voulaient le prononcer
Elle posait ses doigts en douceur
Posant son sceau d’un baiser
Pour en préserver la valeur
Il existe tant de mots et si riches en couleurs
Qu’elle n’a qu’à piocher
Tout au fond de son coeur
Pour en extraire l’ivresse
En étaler la richesse
... mais celui là, le divin
C’est un extrait de parfum
Dont les arômes subtiles
Mal humés le rende volubile


Petite pensée de Cali pour sa soeur Zézé... où qu'elle soit
_________________

Chevalier de la Plume d'Or - Championne du Poitou - Eprise de son Pierrot-Yoyo
--El_hombre

El Hombre ce soir
Est dans un tableau vert
Vert sombre teinté de noir
Ténèbres verdoyantes
Dans un cercle d’ébène
Dans l’étreinte infinie d’ombres sans équivoques
Qui ont troqué leurs loques et leurs flocs
Contre un peu de lumière
El Hombre ce soir
S’est penché sur son verre
L’espace l’emprisonne dans un son aquatique
Et il le laisse faire
Comme une nostalgie
A la voix de sirène
Comme un souvenir
Qui ne cesse de grandir
Mais qui demeure aveugle

El Hombre, ce soir, jette un peu d’or paillette
Derrière ses yeux mi-clos
Il n’est plus aventures, calvacades
Et du feu du couchant
Il ne garde que l’insouciance
L’incroyance
Le silence

Il se trouve plus léger
Comme prêt à tout voler
Oui à tout dévorer
Prêt oui
Mais
Demain
Peut être
…..
Car El Hombre ce soir est dans un tableau vert
Et il s’y trouve bien
Eowynn_de_galway1ere


Lui

Il m'est apparu au détour d'une taverne,
Beau, ténébreux, captivant et iréel.
Ma vie qui me semblait si terne,
Moi la fille totalement caractérielle,
S'amadoua sous le regard de ce bel inconnu

Mon coeur que j'avais oublié, battait la chamade
Lorsque son regard croisa mon regard.
Je sentais mes joues devenir couleur grenade
Quand il s'adressa à moi avec égard.
En un mot, j'étais mise à nue

Je compris que je ne pourrais plus l'oublier
Qu'il resterait la plus belle rencontre de ma vie
Qu'à lui, à jamais, je serai toujours liée
Que sans lui cela restera une vie inassouvie.
Je ne serai plus une ingénue

Ô Captain, mon tendre et beau CaptainRad
Je vous désire, je vous veux, je vous aime
Jamais aucune rumeur ou algarade
Jamais aucun jugement ou anathème
M'empêchera de de vous adorer, cela serait malvenu.

Eowynn de Galway pour son tendre amour CaptainRad
Eoline
Ennui

L'enfant Carnivore,
Prisonnier de sa tour d'eau verte,
Voudrait manger les rides et les tombeaux,
Meurtrir les saisons désuètes
En faisant des trous sanglants dans les bulles de savon,
Tomber des yeux mous de l'agonie des dieux
- Larme,
Couler jusqu'à la rivière jaune des lumières foraines,
Voir les soleils bariolés des girouettes
Sourire aux passants morts et aux serres des corbeaux,
S'érafler aux pointes roses des étoiles,
Et mourir.
Azzazelo
(composé un soir de départ)


Je ne crains ni les pierres coupantes de la route,
Ni les chemins de nuit hantés par les rapaces.
Je ne crains que moi-même. Mes tristesses et mes doutes,
Ces démons sont en moi, et mon coeur se glace

A la pensée de voir mes amis s'éloigner,
Disparaître à jamais, soleils dévorés.
Pareils à des fantômes de bonheurs avortés,
Ils luisent dans mon âme occupée à saigner.

Et que ce sang noirâtre soit bu au parchemin !
Qu'il ranime et réchauffe ces amis éloignés ;
Que je puisse les revoir au croisement du chemin

Pendant que je repose mon esprit égaré,
Mon corps glacé de sueur, et agité sans fin
Par cette course idiote pour fuir ma destinée
Glorim
LE DUC


Le duc était fortuné quand son père mourut
Car à l'héritage, quand il toucha son du
Il trouva parmi son nouveau patrimoine
Une cohorte de serviteurs lui étant dévoué corps et âme.

Cherchant à parfaire son bonheur
Il décida de partir dans l'heure
Pour trouver à se marier
Parmi les riches filles du duché.

Promettant au père mille trésors
Il acheta une fille qui révait d'or
Une fille de bonne famille tranquille
Pour commencer une vie de couple paisible.

Mais la fille au lieu de prendre ce qu'on lui donnait
Décida qu'elle ne voulait pas partager
Et les serviteurs embobina-t-elle
Pour que ceux-ci n'écoutent plus qu'elle.

La première victime fut le curé
Qu'elle trompa dans le prieuré
A l'aide de dentelles et de jupons
Elle fit en sorte qu'il renie dieu et patron

La deuxième le boucher, ne résista pas
En voyant ce que la dame lui proposait là
Expert en saucisses et cotelettes
Ce fut pourtant la dame qui lui fit perdre la tête.

La troisième place, occupée par le boulanger
Qui périt en pétrissant sa fidélité
Ne voulant pas tromper sa femme pour putain
Il finit étouffé par l'un de ses pains

Puis vint ensuite le page
Si innocent avec son jeune âge
Il ne vit le coup venir sur lui
Qu'après le départ du duc, à la tombée de la nuit.

Le malheureux, gêné, d'avoir été trompé par l'experte
Se jetta sans attendre, de la tour du donjon
Pour finir sur le pavé, son corps totalement inerte
Et le duc perdait encore un de ses fidèles pions.

Au retour du voyage, apprenant la nouvelle
Le duc ignora la chose avec un haussement d'épaule
Alors qu'au sommet d'une tour, sa belle demoiselle
Avec un troubadour prenait son envol.

Un des derniers fut un gros pêcheur
Qui laissa dans la chambre, de poisson une odeur,
Mais le duc ne put croire au fait évident
Que sa belle marié entretanait des amants.

Appellant à l'aide le plus fidèle de ses suivants
Son garde du corps, un soldat vétéran.
Il commença à avoir des soupçons
Quand celui ci tomba de l'un de ses balcons

Mais c'est quand elle décida de cuisiner le cuisinier
Qu'en tombant la culotte fit déborder la soupe
Et pour le duc, il n'y eu, plus de place au doute
Il était fortuné, cocu et surtout mal marié.
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