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[RP] La Grande Chapelle de ChamberyII

--Mael




C'est tout en discrétion mais avec fierté que le garçonnet, du haut de ses septs ans remonta la nef et alla se glisser auprès de son grand cousin. Depuis qu'il le connaissait mais surtout que sa mère lui avait narré l'histoire de sa naissance, il portait dans son petit coeur toute la fierté d'être le fils d'un Galanodel. Il n'avait certes pas eu le bonheur de connaitre son papa mais maman avait dit que le cousin lui ressemblait un peu surtout dans sa manière d'être. Et puis aussi les yeux mais bon lui ça il faisait pas attention c'est maman qui le disait. Le sceau que son cousin lui avait offert reposait dans un coffret soigneusement rangé par maman qui l'autorisait néanmoins à l'admirer et le prendre dans ses mains quand il le demandait. Mais elle lui avait dit qu'il était encore bien trop jeune et inutile qu'il s'en serve maintenant.
Alors il lui tardait de grandir encore et de devenir un jour un grand chevalier ou même un grand maire ou un grand prévôt comme lui avait raconté maman au sujet de son père.
L'enfant sourit aisément au cousin Fenthick lorsque celui-ci le souleva dans ses bras et une fois installé sur le banc, écoutait religieusement et regardait avec intérêt tout ce qu'il lui disait et lui montrait.
Il semblait que ce soit vraiment une très belle messe aujourd'hui et Maël n'en perdait pas une miette, écarquillant les yeux à la vue des belles tenues que portaient les religieux.
Puis il réalisa que son cousin lui avait demandé comment il allait et c'est tout simplement que levant son visage radieux vers lui il lui répondit à voix basse.

Je vais très bien merci et toi ?
Uterpendragon
Aymé, après avoir salué son amie Kylah, sa soeur Aelis et ses confrères, décida d'entrer dans la grande chapelle dont les bancs s'étaient remplis de fidèles dont la Foi ne faisait aucun doute. Avançant d'un pas lent et assuré, tenant d'une main sa crosse et menant la procession, le vice-primat arriva jusqu'à l'autel. Il laissa rapidement la parole à Soeur Bourrike, puis sourit à l'intervention de Neocor à qui il adressa un clin d'œil complice. Il était entouré de deux des plus grands soldats de la Foi, et ensemble, ils allaient offrir à l'édifice une messe qui resterait à jamais dans la mémoire savoyarde.

    Pardon,
    Je confesse à dieu tout puissant,
    à tous les Saints et à vous aussi mes Amis,
    Parce que j'ai beaucoup pêché, en pensées,
    en paroles, en actions.
    Je supplie tous les Saints, et vous,
    mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
    Que les Très Haut nous accorde le pardon,
    l'absolution et la rémission de tous nos pêchés,
    Amen.


Après avoir réglé ses comptes avec le Tout-Puissant - la liste des péchés était longue et variée, Aymé s'avança à nouveau et embrassa l'assemblée du regard. Il constata avec un certain plaisir la présence du nouvellement duc, sourit à Kylah et prit la parole pour la première fois, laissant sa voix résonner avec force dans la chapelle.

Mes Frères, mes Soeurs, mes Enfants... La joie d'être parmi vous en ce jour est immense. La Savoie, comme nous l'avons toujours dit, est une terre chère à l'Eglise et nos yeux sont constamment tournés vers vous. Mais vous le savez, les temps sont rudes, et la situation n'est pas aisé. Pourtant, pas un seul parmi vous ne doit oublier l'essence même de l'existence, l'importance de l'amour. Bien évidemment, cet amour doit-être tourné vers autrui, mais aussi vers le Tout-Puissant. J'aimerais par ailleurs vous citer l'un des logions de Christos notre second prophète.

    Logion 6 : Mais Christos nous mettait en garde : " La raison, sans l’assentiment du cœur, est comme un coquillage vide. L’essentiel est ailleurs, et Dieu dépasse les querelles de partis. "


Nous pourrions des heures durant méditer sur ces paroles, tant elles sont riches d'enseignements. Beaucoup dans nos Royaumes font primer leur raison sur tout, préférant pour prendre des décisions laisser parler leur réflexion plutôt que leur cœur. Mais a-t-on déjà vu quelqu'un prier avec sa raison? J'avais une discussion il y a quelques jours avec le précédent duc en exercice... Je lui demandais s'il avait déjà prié les yeux ouverts. Question d'une banalité affligeante, mais qui révèle bien des choses en fin de compte. Par les yeux, c'est la raison qui agit, et les clore permet d'écouter son cœur et d'entrer ainsi en lien avec le Très-Haut.

C'est notre cœur qui doit nous guider dans nos actes, non seulement lors de l'office dominical, mais aussi lors de notre vie quotidienne. Montrons ensemble au Tout-Puissant notre Foi, fermons ensemble les yeux et affirmons puissamment ce en quoi nous croyons, laissons notre cœur s'exprimer.



    Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
    Créateur du Ciel et de la Terre,
    Des Enfers et du Paradis,
    Juge de notre âme à l'heure de la mort.

    Et en Aristote, son prophète,
    le fils de Nicomaque et de Phaetis,
    envoyé pour enseigner la sagesse
    et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

    Je crois aussi en Christos,
    Né de Maria et de Giosep.
    Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
    C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
    Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
    Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

    Je crois en l'Action Divine;
    En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
    En la communion des Saints;
    En la rémission des péchés
    En la Vie Éternelle.

    AMEN

_________________
Neocor
Un signe du Vice Primat et Neocor s'approche... Le vieil archevêque est médusé par l'écoute attentive des fidèles et son âme, sans conteste est au repos... Monseigneur UterPendragon vient de faire une analyse des textes sacrés, une interprétation qui emporte dans son sillage l'alliance des fidèles, et chacun a les yeux face aux siens...

Mes Frères et Soeurs, je vais maintenant vous faire lecture d'un passage de ce que nous, ecclésiastiques lisons chaque jour. Dans ces textes sacrés nous trouvons la force nécessaire à poursuivre l'enseignement de nos prophêtes, car malgré nos apparences, notre passage sur terre est soumis, tout comme vous, à de grandes difficultés. Le Seigneur nous mêt à l'épreuve car le chemin que nous avons choisi ne doit pas être parcouru par des individus mauvais... Ecoutez, et entendez, au plus profond de votre coeur... C'est l'illustration de ce qui nous attend, tous, lorsque notre vie terrestre connaîtra sa fin !

Citation:
l'Eclipse VI

Alors que la petite pièce où je me trouvais avec cette étrange inconnu montait, j’avais la sensation désagréable d’être plus lourd qu’à mon habitude. Mais, lorsque elle s’arrêta, je me sentis un instant extrêmement léger. Je n’avais pourtant ni grossi ni maigri pendant ce court laps de temps. La porte s’ouvrit en deux, comme je l’avais vu plus bas. L’inconnu se retourna alors vers moi et me dit: “Vous êtes arrivé.”. Il arborait un sourire plein de gentillesse et de douceur. Cela me redonna un peu d’entrain et j’osai enfin lui demander: “Mais qui êtes-vous donc ?”.

Il me répondit: “Je suis le passeur, le seul ange à rester pour l’éternité en dehors du Paradis. Mon rôle est d’accompagner jusqu’ici ceux qui n’ont pas encore fait le choix.”. “Quel choix?”, m’écriais-je, interloqué. Mais, sans me répondre, il afficha encore un de ses beaux sourires et tendit sa main vers l’extérieur de la pièce pour m’inviter à avancer. Voyant que rien ne pourrait lui soutirer plus d’informations, je décidai d’avancer. Une fois sorti, la porte se referma derrière moi, ses deux parties se rejoignant, et j’entendis la pièce redescendre.

Je m’attendais à trouver un paysage idyllique, mais, au lieu de ça, j’avais encore et toujours cette détestable pierre bleue qui composait le pic infernal. Elle avait été taillée pour obtenir une sorte de terrasse. Je me demandai comment sortir de ce que je croyais alors être un ignoble traquenard. En effet, j’avais atteint le sommet et n’avais aucune chance de ne pas tomber si j’essayais de descendre par la paroi du pic. Quant à l’étrange porte, je ne savais pas comment l’ouvrir. Je m'asseyais donc, en pleurs, me demandant quel horrible péché j’avais pu commêtre pour être ainsi puni.

Quelques instants plus tard, j’entendis un concert de battements d’ailes. Je levai les yeux et vis un magnifique spectacle: sept anges étaient en train de se poser sur la terrasse bleue. Je reconnu l’Archange Michel, saint patron de la Justice, en armure, tenant en main une magnifique épée et un grand bouclier aux merveilleux ornements. Mais mes connaissances théologiques étaient limitées et je demandai, non sans honte à qui j’avais affaire. Je m'attendais à entendre quelque reproche, mais ce ne fut pas le cas. Tous me regardèrent d’un regard plein de douceur et d’amour.

L’un d’eux s’avança et me dit: “Je suis Georges, Archange de l’Amitié. Et voici Gabriel, Archange de la Tempérance, Michel, Archange de la Justice, Miguaël, Archange du Don de soi, Galadrielle, Archange de la Conservation, Sylphaël, Archange du Plaisir, et Raphaëlle, Archange de la Conviction. Nous sept, sous les ordres du prophète Aristote et du messie Christos, sommes chargés de guider les humains sur le chemin de la vertu, qui les mène vers Dieu et Son Paradis.”

J’avais en face de moi les sept humains les plus importants de l’histoire, exception faite d’Aristote et de Christos. Devant un tel privilège, je ne pus que me prosterner à leurs pieds, face contre terre. Mais Georges me dit: “Ne te prosterne pas devant nous : nous ne sommes en définitive que des humains. Seul Dieu mérite cela. Nous sommes Ses humbles serviteurs, accomplissant Sa divine volonté. Mais viens avec nous, car l’heure est bientôt venue de faire le choix. Nous sommes là pour te mener au soleil.


Voilà mes bien chers amis... Le choix ! nous l'avons tous... Si nous avons le sentiment d'être maître de nos vies, celà ne concerne que notre vie terrestre. Mais que représente-t-elle face à l'éternité ? RIEN ! Un parcours que le Très Haut nous assigne, alors qu'Il nous regarde avec ses yeux de bonté, avec discernement. Et c'est là qu'est votre choix !

Une vie passée à aimer vos semblables, à les respecter, à soutenir le faible, à soigner le malade, à ouvrir vos coeurs aux autres, c'est un choix ! Et c'est par cette façon que vous rejoindrez le très Haut Tout Puissant, et là, ce sera pour l'éternité !

La prière vous aide à garder le cap sur la vraie voie, car les tentations de la Sans Nom sont fortes et surgissent au moment où l'on s'y attend le moins... Priez chque jour, non pour le salut de votre âme mais pour celui de ceux que vous aimez... En fait, tous vos semblables...

_________________
Abbé de l'OCF,Dignitaire Cistercien. Archevêque de Tarentaise.
Aurisdelaastor

Auris était venue, elle aussi, assister à cette messe exceptionnelle, et pensait bien retrouver son époux qui devait normalement déjà s'y trouver. Et de fait, il était là, elle l'aperçut tout de suite de loin, et elle allait le rejoindre, quand elle stoppa brusquement .. il était .. avec un enfant ! Un petit garçon, qui paraissait tout à fait charmant, pour le peu qu'elle puisse en juger, quand il tournait la tête vers Flavien. Elle n'osa pas avancer, les déranger, même les enfants l'intimidaient, ne sachant pas comment agir avec eux ..

Elle se demandait comment elle ferait si un jour elle en avait un .. et ça lui fit un petit pincement au coeur de voir son époux si à l'aise avec ce petit .. Attendait-il d'en avoir un à lui ? Possible .. enfin si ça arrivait, elle était sûre que lui, au moins, saurait agir comme il se doit, vu le tableau qu'elle avait devant elle ..

Aelis entra aussi, devancée par un ventre dépassant de beaucoup les dimensions requises, et la burgienne ne put réprimer une légère et fugace crispation des mâchoires, pensant qu'un jour peut-être elle finirait dans le même état, et espérant que la nouvelle vicomtesse n'allait pas accoucher pendant la messe, car elle avait perdu, elle, Auris, depuis un certain temps, l'habitude d'avoir toujours avec elle sa besace contenant tout son nécessaire d'ancienne infirmière ..

Elle se plaça donc sur le banc dont elle était la plus proche, et suivit la célébration, dans cette chapelle superbement décorée et fleurie pour la circonstance.

L'évêque Bertille de Nivellus prononça la confession, que l'assemblée reprit en choeur


Pardon,
Je confesse à dieu tout puissant,
à tous les Saints et à vous aussi mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup pêché, en pensées,
en paroles, en actions.
Je supplie tous les Saints, et vous,
mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que les Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos pêchés,
Amen.


Puis Neocor prit la parole, suivi par le vice-Primat qui entama le credo,
accompagné par tous


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN


Ensuite ce brave évêque Neocor déclama une fort belle homélie, que tous les fidèles écoutèrent attentivement.

Auris aimait beaucoup Neocor, il avait su rester humble et gentil, proche des savoyards, et c'était bien ainsi, un religieux en qui on avait naturellement confiance, presque comme s'il eut été de la famille de chacun de nous ..

La cérémonie allait continuer ..

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Pere.synesios
Synésios avait été émerveillé par la majesté de la grande basilique. Mais aujourd'hui, ce qui se déroulait sous ses yeux était d'une beauté ineffable. Rien dans sa vie n'avait la gracieuse solennité de cette célébration. Pas même l'office de complies du monastère de Saint Achille.

Tout l'édifice résonnait de cette fervente communion savamment maintenue par ces deux hommes que le poids des ans ne pouvait rendre que plus admirables. Qu'il aurait à apprendre en s'entretenant avec eux !

Mais toutes ces réflexions l'empêchaient de bien suivre le culte, aussi tenta-t-il de fixer son attention sur l'autel. Mais la grandeur du moment le faisait presque suffoquer. La quête du paradis solaire et l'édification sur terre de la Cité parfaite serait, il en était sûr, l'ouvrage de sa vie.


-Amen, souffla-t-il, quand en fin de culte, il se releva doucement en espérant pouvoir se présenter à Messeigneurs.

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Synésios Protélérion Thélème du Saint-Tabard
Conseiller de Monseigneur l'Archevêque
Diacre de Chambéry
Séminariste à l'abbaye de Noirlac
Bourrike
La Savoie avait un nouveau régnant. Et l'évêque avait eu l'immense bonheur de voir celui ci venir lui demander la bénédiction de l'Eglise en général, et la sienne en particulier. Demande accueillie d'un coeur éternellement ouvert chez la Boubou qui, dès le matin vint ouvrir la chapelle habituellement dévolue à son frère Neocor. Mais elle savait que son voisin ne lui en tiendrait pas rigueur, bien au contraire.

Les portes ouvertes laissaient donc entrer l'humidité actuelle qui faisait que, pour un mois de Novembre, le temps était correct. Quelques brassées de fleurs mises en place par Paquie, les cierges allumés.

La cérémonie pouvait commencer.
Elle vint donc prendre place à l'entrée, juste assez en retrait pour ne pas subir les humeurs aqueuses du ciel qui, ces derniers temps, ne cessait de pleurer.
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **
Charles
Le nouveau duc de Savoie avait convié l'ensemble de son Conseil pour recevoir une bénédiction épiscopale, premier pas pour renouer avec la Foi Aristotélicienne.

Sur Bucéphale, le cheval hérité de son défunt vassal, le duc Charles traversa en procession et sous bonne garde les rues entre le Château des Ducs et la Grande Chapelle de Chambéry, et oui, il avait pas oublié les lâches de l'estrade. Fièrement mais sans orgueil, Charles saluait les gens venu voir le régnant allez se faire bénir par l’Évêque de Genève.

Un fois arrivé devant le perron, la procession s’immobilisa et l'on aida le duc à descendre de son destrier. Il réajusta sa tenue tout de gueule et d'argent, puis se dirigea vers le prélat.


- Monseigneur, je suis ravi de vous revoir si vite. Puisse Dieu et Sainte Raphaëlle guider mon action.
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Alexvanwever


Le clairon résonna au campement millitaire du capitiane. Un page demandait au capitiane de se rendre le plus rapidement à la bénédiction du nouveau régnant et du conseil. Il donna ses directives à son second et monta sur son cheval pour rejoindre l'enceinte de Chambéry.

Il se dirigea vers La grande chapelle de la cathédrale et alla à la rencontre des personnes déjà présente.

Votre Grâce !

Il salua millitairement le duc en attendant qu'il lui donne l'ordre de romper et salua d'une révérence l'evêque.

Bonjour Monseigneur ! Je suis heureux de vous voir en dehors du conseil ma Mère.

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Alex Van Wever, duc de Savoie.

Arwenn1
L'ordre avait été donné de se rendre à la grande chapelle de la cathédrale aussi après avoir fait son tour réglementaire sur les remparts la jeune sergent nouvellement nommée prévôt remonta sur son étalon blanc andalou et se dirigea au plus vite. N'ayant pas trop le temps de repasser par la garnison pour y laisser sa monture elle espéra que sa Grâce Charles de Talleyrand n'y verrait rien de sa venue ainsi. Mettant pieds à terre et laissant le belle animal aux soins de personnes la jeune femme entra dans le Saint édifice. Elle salua militairement le Duc ainsi que le capitaine et s'inclina respectueusement devant l'évêque.

Votre Grâce. Mon capitaine. Mon seigneur . bien le bonjour et tous mes respects.

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Bourrike
L'évêque accueillit chacun comme il se doit puis, un peu coincée par son prochain départ chez les nonnes., prit la décision de remonter l'allée centrale pour se positionner devant l'autel.

"Mes enfants, nous sommes aujourd'hui réunis pour nous réjouir du fait que la Savoie a trouvé son nouveau dirigeant."


sourire vers le nouveau duc

"votre grasce..."


retour vers la communauté

"la route a été longue pour tous et je vais donc vous permettre de vous alléger du poids de vos péchés en nous confessant au très-Haut"



"Après quoi nous procéderons à la bénédiction elle même"

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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **
Woland_von_selenios
Argh ! Zut de flute ! Le professeur a quitté Belley tôt un peu tard ce matin en se disant qu'il avait oublié quelque chose d'important à faire aujourd'hui. Il avait bondit sur son cheval après avoir enfilé une robe noire, très simple, par dessus laquelle il portait son épée.

Après de nombreuses cavalcades et autres hennissements, voilà le Professeur qui arrive devant la cathédrale. Il confie son cheval à un écuyer ducal et se rend au pas de course vers la Grande Chapelle. Peu avant d'y pénétrer, il s'arrête, reprend son souffle un instant et entre. Quand il a poussé la porte, il marche quelque mètre dans le plus grand silence. Il n'est pas le plus en retard apparemment.
Il s'incline humblement et murmure quelques mots dans sa langues natales, quand il se relève, il vient se placer derrière les membres du conseil sans rien dire, essayant de passer inaperçu.

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Nashia
Elle était en retard, déjà que se faire bénir pour une femme maudite s'était ridicule... Mais la voir monter les marches en tenant sa robe pour pas s'éclater la tronche par terre cela l'était encore plus... Bref ce qui devait arrivé arriva... Son pied botté, oui parce que faut pas poussé Mémé (ou Pépé) dans les orties hein ! Ses robes était suffisamment longue pour qu'elle n'est pas a mettre de petit soulier... Donc son pied botté se prit dans un des tissus... Elle trébucha méchamment se rattrapant a son page qui entrainé par la vitesse de sa maitresse manqua lui aussi de se casser la figure...
Mais qu'importe... Pettinengo est redresser et fait sa fière, oui dans ce genre de situation y a que ça a faire...

Elle pénètre aussi discretement que son arrivé peut le permettre dans la cathédrale. Elle s'inclina avec respect puis fila rejoindre le groupe de conseiller.

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Cedrik1er


L'Aumonier de l'Armée Savoyarde faisait un peu partie des meubles de cette chapelle. Il vint donc se placer un peu en retrait des membres du conseil. Il fit un petit signe à son amie Nash et aux autres personnes présentes.

Il sourit à Monseigneur Bourrike, une personne qu'il appréciait au plus haut point.

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Charles
Le duc de Savoie avait saluer les présents soit d'un signe de la tête, soit d'une accolade tout dépendait de son degrés "d'amitié" puis quand l’Évêque fit signe de pénétrer dans la Chapelle, le régnant prit sa suite et alla s'asseoir sur le siège réservé au duc.

Alors que Charles prenait son rosaire et son Livre des Vertus, Bourrike salua l'assemblée et le nouveau régnant avant d’entonner la première prière.


    - Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints et à vous aussi mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
    - Je supplie tous les Saints, et vous mes amis, de prier le Créateur pour moi.
    - Que le Très-Haut nous accorde le Pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Le duc Charles regardait en ce moment précis la Croix d'Aristote derrière l'autel, pour recevoir le Pardon de ses péchés.

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Childeric
-Pour cette journée solennelle Childeric avait revêtu sa tenue d'apparat.
Ayant laissé ces armes en Caserne, il vint se glisser derrière le très sage Monseigneur Néocor, dont il avait la Garde.
Après c' être signé il s'empressa de réciter son Méa culpa afin de se décharger des ces " Petites fautes " et communier d'un coeur pur.


Ces ablutions terminées, il prît une posture martiale et dans l'ombre veillait sur son bienfaiteur. Gardant un silence de circonstance, il suivit le prêche sans bouger d'une oreille.
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