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[RP] La Grande Chapelle de ChamberyII

Charles
Le Duc avait la conscience lourde, bien qu'étant dans son légitime droit, le seul point noir fut d’œuvrer un dimanche, cela pesait sur sa conscience, il chercha donc un prêtre pour se confesser. Il vit l'Evêque de Lausanne affairée, il alla la saluer.

- Monseigneur, mon bonjour, puis-je être entendu en confession ? Je souhaite faire acte de contrition.

Charles attendait la réponse du prélat.
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Bourrike
la guerre toujours menaçante hantait la Nivellus. Plongée dans ses pensées, elle était en plein entretien personnel avec le Très-haut. Une espèce de moments où les questions restaient en suspens, juste destinées à l'aider à trouver réponse aux maux de ses fidèles.

Elle bit arriver le Duc avec un plaisir non dissimulé, interrompant l'entretien qu'elle avait avec son livre des vertus, elle fit une ébauche de révérence devant le dirigeant savoyard.

"Que puis je pour vous votre grâce?

confession? bien sur mon fils

suivez moi"


et de se diriger vers le petit banc qui jouxtait les confessionnaux

"déposez vos effets mon fils et prenez place"

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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **
Charles
Il baisa l'anneau épiscopal comme il se devait de le faire, et obtempéra à la demande de l’Évêque de déposer ses effets juste a coté du confessionnal.
Un dernier regard à la Croix d'Aristote et il entra dans l'espace dédié aux confessions. Il se signa.


- Ma Mère, j'ai pêché, dimanche passé, sur mon ordre l'armée du duc Eddo Puegmirol a été démantelé, je pensais que cela se ferait sans heurts, je me leurrais. Je ne suis pas venu, Ma Mère, demander le pardon de mon acte militaire, mais je suis venu demander pardon à l'Eglise d'avoir œuvré un dimanche, Jour Saint. Il n'y a pas plus pieux que votre serviteur mais dans le flot des décisions à prendre, je n'avais pas pensé que l'action se ferait un dimanche. Pour cela je demande à Dieu & à l'Eglise de me pardonner.

Il se tut attendant la réaction de la seule prélat encore active en ce Duché.
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Bourrike
Dire que le front de la Boubou se rida pour cela serait ne pas prendre en compte les rides naturelles qui ornaient désormais le visage de la Nivellus.
mais par contre, certaines s'y ajoutèrent, car l'évêque se douta que ces révélations ne témoignaient pas d'une harmonie parfaite au sein de la Savoie.
"bien bien mon fils"

Instant de réflexion

"Il convient donc que la pénitence soit adaptée, et étant donné la somme de travail qui doit être la vôtre , je pense qu'assurer le fleurissement de la chapelle de Chambéry vous contraindra à réfléchir à vos actes.
Mais attention, il n'est nullement question que vous envoyiez une de vos servantes quérir les fleurs vous devrez le faire vous même, en remplacement de vos activités de plaisir habituelles
Le grand air auquel vous serez soumis pendant votre promenade vous laissera loisir de réflexion"

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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **
Charles
Le duc écouta l’Évêque, le fleurissement de la chapelle, il inscrit cela dans sa cervelle, et surtout pas de servant, le faire soit même, se remémora-t-il.

- A la grâce de Dieu, Ma Mère. Combien de temps devrais-je fleurir la Chapelle ?

Il attendait la réponse et de voir si d'autre châtiment allait poindre ou être rendu a ses obligations.
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Bourrike
"etant donné vos obligations, ce jour du Très-haut suffira"

L'évêque se relève et reprend place, déplie ce qu'elle a pris quelques instants auparavant sous le prie-Dieu.

"Pendant une semaine, vous porterez ceci"

Pouce rondouillard qui se pose sur le front du pénitent

"ego te absolvo mon fils, vas en paix"
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **
Charles
Le duc prit le brassard et se le noua au bras.
- Pendant une semaine, très bien Monseigneur.

Puis il reçu l'absolution en baissant la tête.
- Amen.
- Je vais de ce pas cueillir des fleurs et penser à mon pêché. Au revoir Ma Mère.


Avec escorte mais à pied le duc Charles prit la direction d'un immense champs, il avait demandé a ce que les gens en armes lui laisse un peu d'espace, au bout d'une bonne heure de cueillette et de réflexion, le régnant regagna la chapelle de Chambéry et mis sa récolte dans un vase de terre cuite.



Et avant de ressortir de l'édifice, il se signa devant la Croix en faisant une profonde génuflexion.
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Pere.synesios
On était venu chercher l'archidiacre ayant charge de la paroisse lorsque Monseigneur n'avait pu se libérer. Etant particulièrement troublé par les derniers évènements et la présence de Monseigneur Bourrike héroïne de la dernière croisade, il se contenta de trembler à moitié caché dans le péristyle intérieur de la nef lors de la rencontre. Très loin de toute possibilité d'entendre les raisons et les conséquence de la confession qu'il prit pour un simple hommage.

Il se signa en murmurant :
-O Seigneur, que se passe-t-il icelieu, je croyais que tu m'avais un peu apprivoisé belle Savoie. Aujourd'hui, je ne comprends plus rien. Puis, il s'enfonça un peu plus près du mur, à l'abri des regards de la garde épiscopale.

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Synésios Protélérion Thélème du Saint-Tabard
Conseiller de Monseigneur l'Archevêque
Diacre de Chambéry
Séminariste à l'abbaye de Noirlac
Pere.synesios
Au bout de quelques minutes, alors que le gros des fidèles se dirigeait vers la sortie pour dans une immense haie d'honneur accueillir son nouveau régent, Synesios recouvra ses esprits.

Dans un élégant surplis noir surmonté d'une petite croix dorée à la boutonnière, le Grec s'approcha de ses Seigneurie et fit les choses dans un ordre à l'usage peu coutumier. Il s'approcha silencieux, posa un genou à terre pour baiser l'anneau épiscopal en murmurant :


-La Providence soit avec vous et avec notre Ministère, Monseigneur.

Il s'inclina tout aussi profondément devant Sa Grâce sans porter de contact à Messire Charles comme le voulait le droit nobilier par sa roture. Puis tourna son regard légèrement vers Bourrike, et seulement commença à se présenter :


-Frère Synésios, Archidiacre de Chambéry pour vous servir Messeigneurs.
Il aurait voulu aller jusqu'au bout de l'étiquette et demander s'il pouvait prendre la parole librement, mais étant le représentant d'Aristote local, il ne réfléchit pas plus loin :
-Monseigneur ma Mère, je vous rend grâce d'être venue pour le couronnement de Sa Grâce notre Duc. La venue d'un "héraut" de la guerre juste en nos murs est un signe que la Savoie est au cœur des préoccupations de tous. Cela me rassure pleinement. Il afficha un léger sourire d'apaisement.

Néanmoins, et si vous me le permettez Monseigneur, je suis surpris que personne n'ait daigné prévenir notre Archevêque Monseigneur Neocor, responsable de nos paroisses et de la capitales, et qui a tant fait pour la Savoie, pour qu'il assistât à la Cérémonie et à la bienvenue demande de confession de Sa Grâce. Aussi, vous accueilé-je comme l'exige mon devoir et votre rang. Mais bien trop tardivement à mon goût.


Il la ou les laisserait répondre avec bienveillance quoique peiné, avant de les inviter d'un geste du bras vers la foule sympathique du dehors.

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Synésios Protélérion Thélème du Saint-Tabard
Conseiller de Monseigneur l'Archevêque
Diacre de Chambéry
Séminariste à l'abbaye de Noirlac
Tully
Quel monde dans la Cathédrale de Chambéry ! Le Cardinal n'en revenait pas ! Lui qui avait espéré faire ses prières matinales en toute quiétude, c'était raté. Plus question en plus de faire demi-tour maintenant que la Garde Épiscopale de L'Archevêque de Moustier-en-Tarentaise avait incliné la tête en murmurant des bassesses impolies et en s'esclaffant de nervosité. Bon Dieu mais il n'était pas Sa Sainteté... Il se présentât devant la grande porte et fît intervenir sa propre Garde Cardinalice pour que cette cession prière ne devienne pas une cession pleurs et complaintes. Il attendît que les personnes en discussion le remarque, pour les saluer.
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Son Eminence Tully Farnese
Cardinal-Évêque In Partibus d’Égée
Seigneur d'Arborio, de Sonnaz et de Montgon
Tête de Liste PSH en Savoie
Neocor
Neocor arriva au moment où sa Grâce Charles, mis en pénitence par sa consœur Bourrike, partait cueillir des fleurs... Il le regarda avec une visible mélancolie, admiratif devant l'abnégation dont il faisait preuve en pareille circonstance. Il récita mentalement une prière... Apercevant Son Éminence Tully, il salua avec respect, selon le protocole.

Enfin il s'approcha du Père Synesios et l'invita à rejoindre son bureau...

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Abbé de l'OCF,Dignitaire Cistercien. Archevêque de Tarentaise.
Bourrike
Surprise la Boubou
et c'est peu dire
Au premier arrivant elle dédia un sourire

"mon frère, sachez qu'une relation d'amitié nous unit, sa grâce et moi.
Et j'étais là, disponible dans l'urgence.....alors je me suis rendue utile
Mais je m'étonne, puisqu'il s'agit bien de la chapelle dans laquelle vous exercez votre charge, de ne point vous y avoir aperçu avant. Vous étiez souffrant?"


Et là, l'afflux de gardes aux uniformes variés l'informa que son cousin et éminence n'était pas loin
elle s'inclina donc respectueusement devant l'arrivant.
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **
Neocor
Neocor ne savait si Sa chère Sœur Bourrike lui parlait ou si Elle s'adressait à Monseigneur Tully... Mais de toutes façons, il n'y avait rien de grave à ce qu'il intervienne...

Oui ma Sœur, j'ai été souffrant mais ce n'était pas la cause de mon absence ! Aucune colombe n'est arrivée à destination pour me prévenir...
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Abbé de l'OCF,Dignitaire Cistercien. Archevêque de Tarentaise.
Pisenlit23


Un page arrivait de à la cathedrale, il devait publier les bans pour la Vicomtesse Pisenlit et le Seigneur Alex. Il allait directement vers le panneau d'affichage, mi l'annonce et sorti discrètement sans déranger les personnes qui étaient déjà présente.



Abbaye Saint-Antoine

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En deuil de son suzerain Pather et sa vassale naurestel
Bourrike
Nouvelles élections, l'évêque avait de nouveau décidé d'offrir ses services à la Savoie, et celle-ci avait accepté son offre de service.
La somme de travail serait astronomique.
L'évêque avait croisé le capitaine dans les couloirs du chateau et, d'un commun accord, ils avaient décidé, en ce jour du Très-Haut, de venir en la chapelle la plus proche afin d'y remercier Dieu de leur avoir fait ce don, et aussi implorer son aide pour le mandat à venir.

L'évêque était déjà assise sur un banc, anonyme parmi la foule des fidèles.
Attendant que son co-listier la rejoigne et récitant intérieurement la confession.
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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **
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