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[RP] La fin d'un règne

Lineha
Des jours s'étaient écoulés entre les deux attaques. Line avait passé son temps à soigner les blessures de son époux, ses graves blessures mais il s'en remettait doucement.
Durant son repos, elle laissait aller ses pensées entre rage et colère. Son amie May_lyn avait même été jusqu'à lui retirer son katana des mains lisant la détermination dans ses yeux. Elle lui avait dit, à raison d'ailleurs, que la colère ne lui ferai rien faire de bon mais elle ne pouvait se poser et repartir au combat sans sentir cette rage, cette envie de vengeance qui allait guider son katana.

Elle réfléchissait donc seule dans son coin et avait dû presque mentir à son amie la rassurant sur ses intentions mais sa détermination restait intacte.
Elle était assise dans un coin de leur tente, son époux encore sans forces pour se mettre debout mais ayant dû en trouver pour aller à ce plagiat de procès. Comment peut on demander à un homme d'assister à un procès à l'article de la mort. Elle l'avait accompagné bien entendu pour le soutenir tant physiquement que moralement et avait résisté à l'envie de hurler sa colère à l'énonciation du verdict. Certes ce n'était pas les 5 kobans mais le reste...la honte.

Elle le raccompagna à leur tente, l'avait allongé et se remit au fond, katana en main, regard perdu dans le vide rouge de colère et ruminant sa rancoeur contre cette bande de lézards. Sa pierre à affuter glissait sur la lame la rendant plus tranchante encore quand elle entendit l'appel pour une nouvelle bataille.

Elle se leva plus déterminée que jamais puis s'agenouilla auprès de son époux pour déposer un baiser sur son front. Pas un mot, juste un regard puis elle sortit et alla en hurlant sa colère affronter l'ennemie.

Elle n'avait qu'un but, en tuer le plus possible, le mieux serait de donner un coup bien placé qui ne tuerait point de suite mais que ces chiens ne meurent que bien plus tard dans d'affreuses souffrances.

Un ennemi, en face...elle le scruta, le dévisagea malgré son masque se disant qu'ils n'avaient même pas le courage de montrer leur visage. Elle leva son katana puis couru vers lui quand elle senti une forte douleur dans son flan gauche au niveau du rein. Elle posa sa main sur sa hanche et senti le sang couler entre ses doigts, visqueux, chaud. Ses yeux devinrent brillants et humides. Elle se tourna lentement pour voir qui l'avait attaqué par derrière. Il n'y avait qu'un chien ou une chienne de lézard pour porter un coup de la sorte. Même pas l'honneur d'attaquer en face. Elle ne put que la regarder dans les yeux et lui dire un seul mot :


Traitresse....

Puis Line s'effondra sur le sol comme une masse avant même de pouvoir lui porter un coup. Les yeux encore ouverts elle regarda droit devant voyant l’amoncellement de cadavres et de blessés. Elle vit au loin son amie May_lyn s'effondrer elle aussi. Les larmes lui coulaient sur les joues, son visage à demi enfoncer dans la terre, la bouche ouverte cherchant son souffle, elle s'accrochait, il était hors de question de retourner sur les chemins de l'au delà.
Elle ne sentait plus la douleur, son corps à demi endormi, elle se mit à voir trouble croyant voir son époux debout devant elle,
impossible, se dit elle, puis elle s'évanouit dans les cris et les hurlements.

Ce n'est que plusieurs heures après qu'elle se réveilla. Tout semblait calme, la bataille avait dûe se terminer. Elle n'entendait plus que des gémissements des blessés et sentait cette odeur de sang qui se rependait dans l'atmosphère. Le visage toujours dans la terre transformée en boue par le mélange de ses larmes. Elle remit sa main sur sa hanche, le sang ne coulait plus et la douleur plus forte que jamais se réveilla. Elle puisa ses dernières forces pour se trainer hors du champs de batailles et retourner à son campement. Elle rampait de son mieux hurlant de douleur chaque fois qu'elle se hissait sur ses bras. Se lever, coûte de coûte, ne pas ramper tel un animal blessé. Elle planta son katana dans le sol et se hissa de son mieux pour se mettre debout. Elle vit non loin les lueurs de son campement qu'elle rejoignit avec peine puis, une fois devant, elle s'effondra de nouveau. Au moins, elle était parmi les siens et pourrait mourir auprès d'eux si les Kamis l'avaient décidés. Elle ne pu que murmurer le nom de son époux dans un souffle à peine perceptible puis sombra encore dans le noir le plus complet.

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Tsuba
Le courage et la détermination de May lyn ne changera pas l'issue de ce combat, elle avait été la plus sérieuse combattante depuis le début de cette guerre qu'avait eu Tsuba. Maintenant qu'elle avait vu le visage de son agresseur, le coup fatale pouvait être porté.
Ces avec ses dernières forces que May lyn se jetait sur le jeune homme et à chaque fois elle fut repoussé par son sabre, revenant presque à chaque fois avec de nouvelles cicatrices. Le corp de la jeune femme n'obeissait plus à sa volonté, seul ses yeux attaquaient Tsuba désormais.


Citation:
Tue-moi, Baka !!!!!!!


Tsuba par respect pour son adversaire ne fit pas durer le plaisir et c'est dans un ample mouvement qu'il abbatit son sabre.

Shine !*

Avait il fait exprés de viser un endroit qu'il ne lui serait pas fatale ou bien avait il tous simplement mal viser, mais le sabre se planta dans l'épaule droite de la jeune femme, et il s'en alla la laissant inerte.

La bataille avait presque prit fin, les blessés et les mort s'entassaient sur le champ de bataille.
Soudain Tsuba se rappela de Mégu et couru dans toutes les directions pour la retrouver,, demandant aux survivants s'ils ne l'avaient pas apperçut, espérant qu'elle avait survécu.
Il la retrouva allongée et presque mourante, son corp était recouvert d'équimause et de vilaines plaies.


Mégu ! Mégu !

Elle respirait encore qu'en il la découvrit. Le jeune homme la souleva et la transporta dans le camp. Il fit demander un sceau d'eau et que l'on ravive son feu.

Aniki ! J'ai besoin de toi !

Il espérait qu'il était dans le coin, il prouverait ainsi de son utilité.

en rouge foncé May Lyn
*shine=Créves

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Mieko
En rangs serrés, la gueule sombre des mauvais jours affichée sur les trognes de la troupe, et les cœurs serrés sur la détermination sourde qui les étreignait, ils avaient avancé, coûte que coûte, jusqu'à ce que le camp adverse soit en vue.

A la hâte, le camp avait été monté, la pitance avait été avalée, et l'on s'était rué au combat. On avait assez trainé. On se foutait d'être soldats. On se foutait de tout. Seul comptait la guerre, ici, maintenant. Et le sang des Otomo-jins, qui devait couler, là. Les hurlements cinglaient l'air de toutes parts, de rage, de douleur, d'encouragement aussi...

La chevelure sombre de la Lézarde lui claque le visage, tandis qu'elle se jette tête la première dans la mêlée, son kusarigama au poing, le regard féroce, sanguinaire. Voilà maintenant plus d'une semaine qu'elle ne décroche plus un mot, à quiconque. Seule la violence s'exprime, explosive, sans aucune retenue, sur le champ de bataille. La chaine de l'arme blanche siffle dans l'air, fauche et fait tomber ses adversaires, avant qu'elle ne les plante sans pitié du tranchant de sa lame, toujours plus férocement.

Deux gaillards, dépenaillés et braillards, se jettent sur elles, croyant la neutraliser, leurs katanas levés hauts pour frapper. L'entrainement de shinobi de Mieko n'est pourtant pas si loin, comme un souffle elle vrille l'air et se jette à leurs pieds pour les déstabiliser, leurs tranchant d'un geste sec le tendon des chevilles pour les mettre à terre. Alors qu'ils s'écroulent lourdement, elle s'empare des deux masses de cheveux crasseuses, s'apprête à cogner les crânes lourdauds l'un contre l'autre, lorsque son geste s'immobilise, d'un coup.

Son regard est attiré par un jeune homme, l'air fier, qui se bat aux côtés des ennemis... L'ancien procureur, Fudinato... Celui-là même qui incitait les universitaires du kuni à boycotter le nouveau conseil. Le sang de l'Écaillée ne fait qu'un tour et, lâchant sans plus y prendre garde les deux combattants adverses, elle s'élance en direction de celui pour lequel ses tripes hurlent au meurtre. Un cri sauvage s'échappe de la gorge couverte de cicatrices, tandis que le wakizashi jaillit de son fourreau, pour se planter dans les côtes du traitre. La Lézarde siffle de fureur. On ne pactise pas avec Otomo. Jamais. Elle voudrait faire couler la vie hors de ce corps, lui arracher les boyaux et lui faire ravaler sa fierté mal placée en même temps que ses globes oculaires... Mais, déjà, d'autre ennemis surgissent derrière elle, et là voilà, abandonnant là le corps inanimé, qui repart au combat, son couteau brisé, planté entre deux côtes sanguinolentes.


Plus tard, à la pâle lueur de l'aurore...


Les derniers survivants s'effacent enfin, après une lutte acharnée qui s'est poursuivie toute la nuit. Avec regret, les veines encore bouillantes d'adrénaline, on rentre à regret au camp. Les pertes sont à déplorer des deux côtés, chez Kiato comme chez Testuo et Kesta. Le général barbu, Testuo lui-même, est tombé au combat, en brave. On lave les blessés à l'eau claire, on bande les blessures, et on se rince la glotte au saké, pour faire passer la douleur... en serrant les dents. Personne ne se plaint, personne n'admet avoir mal.

Les camps se replient, chacun espère ravitailler sa garnison. Kiato, à Gifu, Kesta et Testuo... à Kiyosu. Les hommes ont la tête haute, malgré les bandages, malgré les quelques morts, que l'on portera en terre, bientôt. Une seule rage habite tous les cœurs. Achever l'ennemi. Retourner au combat. Vite.

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Aniki
Le jeune berger était certes encore un peu naïf et impulsif, il n’était cependant pas totalement stupide pour autant, et il savait pertinemment que sur cette terre, sa liberté était le bien le plus cher qu’il puisse posséder. Rapidement, sa main avait empoigné le collier de cordelettes autour de son cou, puis il avait tiré d’un coup sec.

Ensuite, étrangement, c’est avec une pointe d’amertume qu’il avait regardé sa jeune ex-maîtresse et ce chef lézard s'éloigner pour affronter leurs destins. Il fallait bien avouer qu’avec ce môme puant à leur tête, cette armée était pour le moins atypique et que ses soldats, malgré leur rudesse et leurs manières étranges, étaient finalement parvenus à susciter chez lui, comme une certaine forme de sympathie.


Au final, lui n’était qu’un nouvel arrivant. Il n’était pas plus d’Oda, que d’Otomo, d’Uchi ou d’ailleurs et cette guerre n’était pas la sienne.

Il était pourtant bien décidé à en tirer bénéfice.

A bonne distance, il avait suivit les combattants jusqu’au champ de bataille puis avait sagement attendu la fin des hostilités. Ensuite il n’avait eu qu’à récolter au sol les armes perdues ou abandonnées et, à présent, c’est les bras chargés d’au moins six ou sept d’entre elles qu’il regagnait les sous bois, direction Gifu, l’objectif de sa visite très largement atteint …
Kiato
Il s'en était passez des choses depuis les premiers combat de Kiyosu... Depuis ces deux combats qu'on pouvait assimilé a deux défaites malgré les pertes minime des deux coté et qui avait eu comme conséquence le replis sur Gifu... Enfin défaites était un mots bien trop fort... Notre Kiato avait considéré ca comme des match nul... mais les faits était la... son armée avait été repoussé par deux fois... Et il savait parfaitement que plus les combats aurait continué plus ces dernier aurait tourné en faveur de l'ennemi et des hommes de Kesta... Le replis sur Gifu était donc devenu la seule solution pour envisager une victoire...

Il lui avait fallu deux jours pour rentrer sur Gifu... Deux jours ou il n'avait cessé de marmonné ! Deux jours ou il se maudissait d'avoir pris une tel décision... bien qu'il savait que s'était la bonne... mais battre en retraite n'était pas dans ca nature... Tout comme envoyez les hommes et femmes qui l'accompagnait a une mort certaine d'ailleurs... Il avait donc choisi d'être raisonnable pour une fois et c'était promis qu'il sortirait vainqueur des prochain combats...

Le retour sur Gifu avait été loin d'être joyeux et les questions avaient été nombreuse... Notre Kiato avait comme l'impression que tout le monde se moquait bien de ce qui pouvait arriver... Enfin certes les gens était la et se battait a ces coté... Mais il ne sentait pas la motivation mais plus la fatalité... Il n'avait pas réussi a leur inculqué cette soif de victoire... il avait même commencer a relâcher certain soldats qui voulait une pause pour faire quelques économie et pouvoir se nourrir... Mais la pause avait été de courte durée... Le mouvement de Kesta vers le nœud centrale avait entrainé une mobilisation générale... Et par la même occasion redonné cette envie de se battre a l'ainé des Akikuro... Ils pouvaient venir sur Gifu notre Kiato les attendrait de pieds ferme et serait les accueillir !

L'attente avait d'ailleurs été longue... Bien trop longue au gout de l'hérité des Hashimoto... Il faut dire que la patience était loin d'être son point fort... Toute fois il était assez confiant de l'issu du combat qui ne venait pas... Il savait qu'il ne pouvait pas perdre... Les jours passaient et le général se demandait si le combat aurait lieu un jour... et c'est quand il l'attendait plus que ce dernier arriva...

La surprise était de taille... Il n'y avait pas une armée mais deux armée... Leur faisaient ils peur a ce point la pour que deux armée se déplace ? Le combat fut des plus meurtrier... un vrai carnage... Sans doute le plus sanglant que l'Oda est connu... Les pertes avait été nombreuse des deux coté... mais les ennemies avaient été repoussé... La victoire avait été payé au prix fort... A un prix bien trop élevé pour notre Kiato... Des êtres qui lui était cher avait été blessé... Il fulminait... la rage l'habitait dorénavant... Il voulait les tué... Tous ! Sans exception ! Ces vermines avaient osé s'attaquer a May ! A la blessé ! Et ca il ne pouvait pardonné... Il en faisait dorénavant une affaire personnelle... surtout que ces foutu Lézards et autre Uchi jin ne s'était pas contenté de blessé May... Il s'était attaqué a des personnes qui lui était cher... A se demander si il ne s'était pas volontairement attaquer a des être qui lui était cher pour l'atteindre lui...

Bref une fois le combats fini il avait fallu accompagner les blessé a l'infirmerie de Gifu et les confier a Serah... enfin ceux qui n'avait pas eu la bonne idée de se trainé pour ne pas être aider ! N'est ce pas Lineha ! Ou bien ceux encore qui pensait que l'amour suffisait pour guérir ! N'est ce pas Mayaki ! Kiato lui par contre ne laissa pas le choix a May et la fit conduire a l'infirmerie par deux de ces soldats... Il l'accompagna jusque la bas mais son état était tel qu'il était préférable qu'il ne portait pas directement May... Il n'était pas en état de le faire...

Le Général n'eut d'autre choix que d'abandonné May au soin de Serah... Il se sentait inutile a resté auprès d'elle a rien faire... Et puis il lui fallait faire le bilan des pertes et surtout réorganisé les troupes pour se préparer a un nouveau assaut et organisé par la suite une contre attaque... Second assaut qui n'arriva d'ailleurs jamais...

Bref une fois les divers information récolté ici et la... Il ne restait donc plus qu'a contre attaquer... et allez faire payez aux armées ennemies les pertes qui leur avait affligé... Chose qui ne tarda pas a se faire... Surtout qu'on leur offrait une occasion en or de venir a bout de l'armée de Kesta qui avait dans la tête de tué sans distinction toute personne qui s'approchait... Que ce soit un enfant... une femme... ou un vieillard... Il avait décidé de tout tué sans rien épargner ! Cette idée ne plaisait guère a notre Kiato qui décida d'agir... C'est donc après avoir été voir May qui était toujours cloué au lit mais qui se remettait doucement de ces blessure... Lui expliquant la situation qu'il partit vers le centre de l'Oda (nœud centrale) accompagné des hommes et des femmes qui se battaient a ces coté depuis des semaines maintenant...

C'est la qu'allait se dérouler une nouvelle bataille qui allait se traduire par une victoire écrasante de lui et ces hommes... L'armée de Kesta avait été massacré en grande partit... Kesta faisait d'ailleurs lui aussi parti des victimes... Était il blessé mortellement ? A vrai dire il ne le savait pas... Certains de ces soldats qui avaient réussi a fuir permettant ainsi a l'armée de ne pas être détruite avait réussi a emporté son corps...

Enfin l'essentiel était acquis... L'armée anciennement dirigé par Kesta était sérieusement diminué et n'était plus une menace... et notre Kiato avait pris le contrôle de la position stratégique que Kesta occupait quelques temps avant... Mais a vrai dire notre Kiato préférait en finir définitivement avec les quelques survivants... Mais le seul hic... Il ne savait pas ou il était... Il était planqué en pleine campagne... mais ou ? la était la vrai question... Si les Kamis était de son coté... Demain cette armée ne serait plus... Sinon ca ne serait que parti remise...

Toute fois une chose le chiffonnait... Le sous estimait on autant pour qu'il réussisse a vaincre aussi facilement lors du combats... Ou était ce un piège qu'on lui avait tendu... Quoi qu'il en soit pour le moment il profitait de la joie de la victoire... s'est pensée allant toute fois vers Gifu et May qui s'y trouvait...

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Goyokin
les jours précédant la première bataille
goyo était maintenant das l'armée depuis un bout de temps , parti simplement avec un katana et ses deux bras ,il espérai néanmoins qu'il serait utile et que cette guerre ne durerai pas trop longtemps .
Voilà maintenant plusieurs jours qu'il était engagé , mais rien que de l'attente la patience et les nerfs mis en jeux, l'esprit qui part et imagine les grands fait d'armes , pendant qu'en fait rien et cela pesant irrémédiablement sur ses compagnons d'arme .... Ils n'étaient pourtant pas tous sans savoir que la guerre n'était en fait qu'une succession d'attente entre deux batailles .

Puis vint enfin une première attaque , mais pour goyo disposé en dernière ligne , rien du tout . L'armée avaient en fait reçut l'ordre de charger l'armée des lézards qui fauchait quiconque osait s'aventurer sur le noeud central . Cette bataille s'était vraisemblablement soldée par une victoire pour son camp.Mais bon quelle amertume celle de gagner sans combattre quand ses amis à ses côtés tombent .

le soir venu au camp après la première bataille

Goyo fût l'un des premiers à se rendre au rapport et lorsqu'il vit que son amie yuny avait été tuée , quel choque. Plus tard dans la soirée ce serait lui qui annoncerai la nouvelle . Il sentit l'envie de la venger monter en lui ... puis quand il vit sa soeur il sentit bien la peur et la lassitude de guerre .
Le soir sous le coup de l'émotion , il demanda une place lors de la prochaine bataille en première ligne.


la deuxième bataille

l'ordre de marche avait été donné tard , et cette fois ci le but était d'entrer dans kyosu .
au son de la corne , l'armée chargeait les lignes adverses et c'est dans un grand fracas que s'engagea le combat et cette fois si il eut l'occasion de servir à quelque chose . dans la mélée il engagea le combat contre plusieurs adversaire sans les blesser , puis au fur et à mesure des combats vint à en abattre un . tout alla si vite , puis une tête coupée c'était si simple en fait . les armées regagnèrent leurs positions il n'était pas encore l'heure de la victoire mais au moins éspérait il que cette bataille soit un nouveau coup porté aux lézards .

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Megu
Son corps avait été soulevé et transporté jusqu'au camp.
Sa tête dodelinait chaotiquement au rythme des pas de l'homme qui l'emmenait maintenant loin du chaos de cette guerre sanglante. Megu était inconsciente, recouverte de sang; celui-ci cachait ses bleus et ses entailles plus ou moins profondes. La plaie faite par le katana étranger laissait encore couler du sang et ses habits en étaient poisseux. Sa respiration était faible et sifflante, mais la vie était toujours là, au plus profond d'elle-même.

La douleur était aiguë à un tel point que ses piques passaient au travers de ses sensations. Son esprit s'était rétracté en elle, loin de la douleur de ses blessures. Il était en flottement, appréciant la douceur et la chaleur qui l'entourait là où il se trouvait maintenant. Megu n'aurait jamais su dire où cet endroit se trouvait.. Elle n'en gardera de toute manière pas le souvenir.

Une sorte de rêve vint alors combler l'espace blanc -ou noir, tout dépend de la manière dont on voit les choses- et lui apparu comme s'il était réel.
Deux personnes se tenaient devant elle, leur visage se révélant peu à peu. Ses parents lui souriaient. Elle eu envie de les rejoindre pour les serrer dans ses bras quand tout se brisa. Ils n'étaient plus que des corps ensanglantés à ses pieds, une grande ombre noire s'en allant, katana en main. Puis de nouveaux corps apparurent un à un, tous dans le même état monstrueux. Ses frères et sœurs abattu de la même manière que ses parents. Megu voulait hurler, bouger, se jeter sur l'ombre qui partait, aller voir les membres de sa famille. Mais le sol retenait ses pieds, et l'air n'arrivait pas à atteindre ses poumons.
Au bout de la énième tentative, le cauchemar en lui-même vola en éclat, et son cri sortit enfin de sa bouche. D'abord en son incompréhensible, puis un gémissement et enfin le mot :


Okaa-san.. Okaa-san ! *

Par réflexe, elle tenta de se redresser, totalement perdue, mais son corps n'en fit évidement rien. Ce fut plutôt un gémissement de douleur, et des tambours jouant dans son crâne, qui apparurent. Ses yeux, bouffit et à moitié collés par du sang séché, cherchaient à se remettre dans son environnement.

Le camp... Tsuba.

Un soupire de soulagement se bloqua dans sa gorge, la faisant souffrir encore plus. Son corps entier n'était plus que douleur, et elle avait l'impression que ses mains allaient s'enflammer sous les plaies qui tailladaient ses doigts.




*Okaa-san : Maman

Edit: Orthographe.

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Tsuba
Un bol de saké fut servit à Tsuba, autour de ce feu des hommes et des femmes d'Oda mangeaient et buvaient ensemble.
Leurs traits étaient tirés cependant, certain arboraient même des bandages ensanglantés, preuve que la guerre existait réellement.
Le jeune homme resta silencieu, écoutant les conversations des autres, certains parler encore de la bataille de la veille, d'autre de celle qui viendrait.
Il profitait de la chaleur du feu et du saké sur son visage, se servant parfois de quelques morceau de viande en train de rotir Tsuba regarda ses jeunes qui ne connaissait rien de la mort depuis peu, maintenant ils l'a donnaient sans complaisence.


Levons nos verres mes frères et soeurs !

Il les interpella, voulant souhaiter la bonne chance à tous avant d'aller se coucher, et leur fit porter un toast.

A la vie ! Qu'elle soit longue ou courte.

Certain rièrent à cette remarque, Tsuba ne savait pas lui même si on devait en rire quand il l'avait dite, ça lui était d'ailleur venu comme ça.
Puis il avala d'un coup sec son bol de saké.
Quand il baissa la main ses yeux étaient devenu plus sombre.


Aucune pitié pour nos ennemis, n'oubliez pas !

Il leur souhaita ensuite une bonne nuit puis alla se coucher. Sn sommeil ne fut paisible et reposant, quand on vint le reveiller pour qu'il puisse se préparer pour la bataile, Tsuba s'était immédiatement allé se laver, puis huila ses sabres pour qu'ils soit prés.
Quand il se lança dans la bataille Tsuba souria, voulant offrir à ses ennemies le plus souriant visage de la mort, il se tailla un chemin à coup de katanas, tenant un sabre dans chaque main.
Tout autour de lui des ennemis et des compagnons tombaient sous le coup de leur adversaires. Le jeune homme faillit se faire surprendre pas un lancier, brisant rapidement sa garde et en se raprochant le plus possible il réussit à lui enfoncer l'une de ses lames dans son abdomen, il n'attendit pas que celui ci tombe au sol pour en attaquer un autre.
En plein coeur de l'action, où l'esprit de Tsuba plongeait dans un monde de mouvement et d'émoglobine, son long sabre fut arrété par un autre.
Le tintement du fer l'un contre l'autre fut tout aussi violent que les coups portés, d'une violence effroyable.
L'adversaire du jour était une jeune femme au kimono blanc et qui portait également un obi rouge, ses cheveux était maintenus en arrière par un chignon. Ses yeux prouvait de sa détermination.
Tsuba n'en menait pas large, évitant de justesse certain coup ou les déviant au dernier moment, il du rester concentrer à chaque coup qu'elle portait.
Faisant un rouler boulet sur le coté pour esquiver un coup et mettre plus de distance entre elle et lui il se releva ensuite rapidement, mais la jeune guerrière était déjà sur lui.
C'était maintenant son plastron qui faisait rebondir la lame de la femme, la défence de Tsuba partait en miette, du sang coulait sur ses yeux.
Il essayait de reprendre de la distance mais toujour elle avançait, il était maintenant trés affaiblit et devait tenter quelques chose avant que ce ne soit la fin.
Son katana dévia l'un de ses coups et le jeune homme en profita pour attaquer.


Koro shite yaru !*

Tsuba fut soulever de terre, son souffle lui manqua pendant quelques secondes puis se fut la nuit dans son esprit.
Son ennemies l'avait terrassé d'un coup de sabre en pleine poitrine, le plastron du lézard explosa sous l'impact, si il ne l'avait pas porté Tsuba serai surement mort sous ce coup là.
Elle le laissa pour mort, chose qu'il n'était pas, enfin pas encore. Il était évanoui sur le sol. Son reveille se fit quelques heures aprés la fin de la bataille, il ne restait plus que les pilleurs de mort ou les prètres venues prier pour les guerriers.
En se reveillant un douleur lui comprima la poitrine, il se leva bien déficilement, s'appuyant sur l'un de ses sabres.
Tsuba rentra clopin clopa sur Kiyosu, il allait se faire soigner dans les bras de sa fiancée dans un lit qui l'attendait dans son nouvel appartement.
Mais bientot il reviendrait, devons nous espérer que sa vie soit longue ?


*Koro shite yaru ! = Je vais te tuer !

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Kuan
Armes en mains et sourires aux lèvres, Kuan était rentré à Kiyosu pour refaire une santé à l'armée dont il avait pris le commandement. Oui pris de force, et puis çq arrangeait bien tout le monde que ce soit lui le responsable en cas de pépin et pas eux. Enfin ça, le jeune ne l'avait pas compris. Tout auréolé de gloire et de fierté, il pavanait au devant des troupes, en sifflotant son air favori et entre milles reconnaissables, les mains dans les poches, la tignasse noire en bataille, et la bouille crasseuse.

Sauf que gérer une armée n'était pas aussi simple qu'il ne le paraissait. Fallait faire ci, faire ça, puis ci et encore ça...

Un cor retentit, troublant le boucan qui régnait dans le camp. Deux coups. L'armée de Kiato était annoncée ! Kesta avait été détruit la veille, mais jamais il n'aurait pensé le trouver à sa porte le lendemain.

Kuan se jeta dans la bataille comme on lui avait appris : tape sans te poser de question. Et c'est ce qu'il faisait. Parfois il courrait pour éviter le coup d'un guerrier monté ou se jetait dans les mares de sang pour narguer des coups d'estoc.

Son katana se planta dans un corps qui s'effondra. Ivre de sang, ô joie !
30-09-2011 15:01 : Vous avez frappé Aradukutakamate. Ce coup l'a probablement tué.


Affairé à dégager sa lame de la chair, il ne vit pas venir le coup suivant dans le dos qui l'envoya bouler à terre.
30-09-2011 15:01 : Kaiko vous a porté un coup de katana.


Essayant de se redresser, hébété, un autre coup le ramena à terre, lui enfonçant le visage dans la boue, lancinant son dos en sang.
30-09-2011 15:01 : Darkangel vous a frappé


Furieux de cet affront, il se redressa comme un beau diable et brandit son doigt vers le coupable, l'injuriant de toutes ses forces. Une lame froide, lui fendit la jambe, le ramenant à terre, encore.
30-09-2011 15:01 : Nyuuwa vous a porté un coup de katana. Vous êtes mort au combat.


Ses yeux se fermaient, il allait s'avouer vaincu quand le chef de l'armée adverse apparut dans son champ de vision.

Kisama !

A genoux au sol, il attrapa une lance fendue et lui lança à la figure. Une douleur horrible lui transperça son épaule, foudroyante.
30-09-2011 15:01 : Kiato vous a porté un coup de katana.


J'te tuerai... promis.

Un coup de lame à l'arrière de crane acheva sa férocité et sa résolution, et il sombra dans l'inconscience.
30-09-2011 15:01 : Kiato vous a porté un coup de katana. Vous êtes probablement mort au combat.


Prêt à servir de pâture aux vautours jusqu'à ce qu'il se réveille,... ou pas.

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Mieko
À force de se battre, blême et malgré la rage au ventre, elle avait fini par s'écrouler, vaincue par deux inconnus à l'accent des terres du Sud et aux lames aiguisées.

Un instant d'inattention, la fatigue, et elle s'était écroulée dans une mare de sang, flaque vermillon résultant des souffrances alliées comme ennemies. Un râle sourd au creux de la gorge, la Lézarde n'eut que la force de se trainer hors du champ de bataille, des étoiles devant les yeux et le corps cotonneux, vaporeux. Seul le manche de son kusarigama restait fermement ancré dans son poing fermé, sa lame et sa chaine brisées, inutilisables.

Un long blanc s'installa dans l'esprit affaibli de la brigande qui abaissa ses paupières dans un soupir imperceptible, vaincue.

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Miyagino
Elle était venue d'Otomo pour s'allier à la cause des habitants d'Oda, n'étant pas de ces fameux lézard. Elle avait déjà en Otomo été de champ de bataille en champ de bataille, de mission en mission, mais maintenant, s'était ici en Oda qu'elle combattait. Prête à y laisser la vie si il le fallait. Et ce fut ainsi que lors de la seconde bataille, Miyagino s'était vue blessée grièvement, un katana de l'ennemi étant entrer dans sa chair, juste que pour chance, elle avait reçu ce dernier dans les côtes, aucun organe vital atteint, juste du sang, rien que du sang, sortant de sa plaie béante.

Ayant été rapidement emmenée en infirmerie, c'était là qu'elle fut soignée, que des soins lui furent apporté assez rapidement. Mais c'était là aussi, qu'elle passa des jours et des jours, à subir soins après soins, à attendre avec grande patience d'être enfin prête à repartir sur le front. Ses pensées allant en soutient aux membres de son armée, des armée étant de son côté. Et chaque jours elle apprenait comment les nouveaux combats s'étaient déroulés, son envies de repartir sur le front ne cessant être plus pressante, la patience la quittant...

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Kiwako

Kiwa se trouvait en ville avec son armée depuis plusieurs jours, on lui avait ordonné de rester en ville, il est vrai que les deux généraux avaient envie de s'amuser, et il faut dire aussi qu'ils étaient un peu matcho sur les bords, la jeune femme devait se concentrer sur la défense de Kiyosu,
Entre l'enchignonné et le barbu, la benjamine n'avait pas trop la parole.
Elle était têtue et déterminée.
Elle continuait tranquillement l'entrainement de sa troupe.
Mais, les nouvelles qui arrivaient du champ de bataille, la consternait, des blessés, des morts dans les deux camps.
Elle se posait mille et une question et ne trouvait aucune réponse. Si, elle avait pu tout stopper, elle l'aurait fait bien volontiers.
Au moment ou son attaché de camp, lui annonça la mort de ses amis, son sang ne fit qu'un tour, l'armée de Kesta venait d'être réduite à néant.
Dans cette armée, il y avait sa sœur, mais aussi son meilleur ami.
Elle, d'un tempérament tranquille, qui avait apprit à prendre du recul sur la vie, se sentait emplie d'une haine, d'une rage.


Tout bascula, une nuit
Euhh... Kiwa !!
Elle sauta sur son katana, avant de répondre
Ahh, ce n'est que toi, mais cela ne va pas de me réveiller comme cela !!!
Que se passe t-il ?

L'armée de Tuesto, enfin de kuan, ah nan de Neko est en difficulté
Et que veux-tu que j'y fasse... elle se ressaisie, elle avait horreur d'être réveillée comme ça
Bon, je t'écoute
Naoki lui expliqua la situation
Envoie un homme et que l'armée soit dissoute, le sang a assez coulé, si on peut sauver une vie, il ne faut pas hésiter
Rassemble tout le monde, j'arrive !
Kiato, va être déçu de ne pouvoir achever l'armée de Testuo, et je pense que nous allons devoir le combattre.

Kiwa se prépara avant de retrouver sa troupe
Mes amis, je pense que cette nuit, nous allons être attaqués par l'armée d'Otomo.
Ne me demandez pas pourquoi, je ne pourrais vous l'expliquer ... une soif de sang... de carnage...
Mais nous devons défendre la ville, je compte sur vous... Allez !! Ordre de se mettre en état d'urgence

A peine avait-elle terminé sa phrase, que l'armée de Kiato arrivait
Mais pourquoi ?
Pas le moment, de se poser la question
Kiwa suivi de ses soldats et amis, repoussa dans un combat acharné l'armée d'Otomo
Elle fut rassurée de ne décompter que des blessés légers.
Pourquoi tant de haine...
Elle devait être trop jeune pour comprendre.

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Renohitti
De retour, Renohitti écoutait les gens...

Une femme, ayant fait un long voyage, car sans doute pour elle la liberté était importante partout et qu'à ses yeux les gens d'Uchi étaient parfois comme un vol de sauterelle qui pillait tout, pansait ses blessures. Il comprenait sa démarche, détruire le vol quelque part, c'est éviter qu'il ne se répande ailleurs quand il a mangé toute la nourriture. Une fois nettoyé le temple, il l'inviterait à s'y reposer, les novices pourront être, alors, à ses soins et pourront apprendre de ses récits.

De son coté Kiwa continuait à ne pas comprendre qu'elle se trouvait en Oda, et que si un Otomo était à la tête d'une armée, c'était bien des natifs d'Oda, et même pour certains de Kiyosu, qui combattaient pour leur liberté.

Un chose intriguait quand même le moine, était ce elle qui avait piqué pour 13 000 K de fer dans les réserve d'Oda entre le 27 septembre et la mise en place du nouveau conseil ?

En fin de compte, si on prenait les chiffres, entre le 10 août et le 2 septembre, environ 500K par jour s'étaient envolés des caisses d'Oda. En gros les capacité d'économie de 100 paysans chaque jour.

A quoi les brigands d'Uchi avaient ils utilisé ces mânes financières, en dehors de payer grassement leurs serviteurs Lézards et une horde de collabos bien pensants qui vendaient leurs petits muscles ou leurs PE sans vergogne?

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Tsuba
Son bandage à la poitrine était taché de sang, la rude marche qu'il avait fait le long de la côte de Kiyosu pour le remettre un peu en forme l'avait épuisé.
Puisque les autorités du moment le laisser libre, Tsuba profitait de son temp libre pour reprendre des force et trouver un nouvel objectif. La défaite de son camp ne l'empècherait pas de faire ce que bon lui semblait.
D'ailleur le jeune homme n'était nullement impressionné par ce petit procureur, il les connaissait bien ces gens là. Il s'en était presque toujour sortit libre, ça sera encore plus facile avec celui là pensa Tsuba.
Ses pas lui fit souvent rencontrer ses ennemis et toujour personne ne vint entraver sa liberté, il faillit presque aller directement en prison de lui même juste par amusement, comme si cela avait était un jeu.
Mais il avait mieu a faire, son esprit jeune s'était concentré déjà sur un autre objectif, ou plutot sur une autre cible...

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Miyagino
Rétablie, Miyagino put enfin rejoindre l'armée de Kiato, étant prête à repartir sur le champ de bataille.
Parcourant les chemins en lance avec plusieurs blessés de la seconde bataille, les voici se faisant attaqué par l'armée des ombres. Cette dernière ne leur laissant pour ainsi dire aucune chance.

Un premier duel fut engagé dans lequel elle lutta avec acharnement, face à un homme moustachu, les cheveux gris étant reprit en arrière. Ce visage fut gravé dans sa mémoire sur le coup, l'ayant de suite regarder avec hargne et immense franchise, son assurance en elle étant des plus forte sur le moment. Mais un coup lui fut assené avec force et violence inouïe, la faisant tomber au sol. Son autre côté touché d'un revers de katana, l'ouvrant et la faisant hurler de douleur, blêmir. Ses genoux touchant le sol en premier, alors que ses mains vinrent se poser sur son côté, elle posa rapidement une de celles-ci au sol, se sentant perdre toute force restante.

Se retrouvant pratiquement à quatre pattes, commençant à cracher du sang. Voyant toujours ses pieds, le bas de ses jambes, elle remarqua cet homme restant devant elle, la regardant agoniser. Et comme si cela ne suffisait pas, elle reçut un second coup, venant d'une autre personne qu'elle ne put hélas pas voir, car venant la frapper de plein de fouet dans l'arrière des jambes. Une douleur à nouveau insoutenable l'envahissant, ses cuisses entaillées toutes deux. Miyagino, hurla et s'étala de tout son long sur la terre d'Oda, son sang s'y répandant, le noir l'emprisonnant, l'inconscience l'emportant...

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