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{RP} berrichonnerie à Poitiers

Nathan
Le jeune blond était donc arrivé, il avait demandait à son infirmière de lui servir un verre de poire, ça faisait longtemps qu'il n'avait pas dégusté ce breuvage berrichon.

Citation:
Debrinska, Nathan, Mildiou, Aure, bimba
avancez, joignez vous à moi pour cette longue nuit
comment allez vous mes amis ?


Nathan répondit du haut de son fauteuil à roulettes :

"Bonsoir, tout le monde, c'est un réel plaisir de voir des berrichons ici, j'me sentais seul! George je te remercie d'avoir organisé cette réunion, c'est une excellente idée."

Et évidemment la question "comment allez vous ?" fut posée.

"Pour ma part, ça moyennement bien, la guerre m'a bien amoché!''
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Mildiou
Il arriva au campement, comme prévu le Duc était présent,
Eclopé, comme lui même, comme cette cour des miracles,
Une guerre de trois jours, disaient-ils, les mois les avaient tués.

Il essaya de se donner une contenance, en se rapprochant de Georges,
qu'il tutoyait, maintenant, comme on le faisait avec les roués.
Il salua revérencieusement, sans savoir s'il le reconnaitrait, et dit :

Salut a toi, Comte !

Je suis Mildiou, de Tonnerre, mercenaire de mon état.
Je suis tombé en cette ville et y ai perdu mes armes,
Il est aimable que nous nous regroupions pour de nouveaux assauts.
Mais j'ai peur qu'il faille que vous attendiez un peu.

Il prit sans façon une bouteille qui traînait par là, et en tira une copieuse rasade. C'était fort, cela effacait cette douleur permanente.

En la reposant, il vit Aure, allongée près du feu, en piteux état, elle aussi, il se rapprocha.
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Senatore Mildiou y Basta della Bolognèse
Mamamouchi du Culte du Grand Baveux
Ministre des Etranges et Autres Affaires
Kennor
Kennor avait reçu une invitation pour rejoindre un groupe de rescapés, qui, comme elle avait été blessés lors des violentes batailles du mois passé.

Elle vit un attroupement, en boitant encore légèrement elle s'approcha, elle n'avait jamais beaucoup parlé avec ses frères d'armes, c'était une bonne occasion de les rencontrer dans le calme d'un feu de camp.
Cela faisait plusieurs semaines qu'elle passait ses journées dans le verger, elle y trouvait de la nourriture dans la journée et un abri pour la nuit, mais y était terriblement seule. Depuis que sa nièce Fatal avait été emprisonnée elle ne rencontrait que peu de gens.

Il fallait en finir de cette vie de sauvageonne.

Bonjour à vous je suis Kennor de Troyes et je combat à vos côté.
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"Il est plus aisé d'être sage pour les autres que pour soi même."
Bimba18
Un George pensif, des soldats bien amochés, la Rebelle Berrichonne se sentait à sa place. Elle demeurait pensive à beaucoup de choses surtout à certaines missives échangées sans oublier que balafres et plaies recouvraient encore une fois son corps de jeune femme. Elle était loin cette époque de Miss Tarbes et Miss Berry. Non pas que sa beauté l'avait quitté, mais la guerre ne pardonnait pas à ceux qui décidait de la gagner !

C'est en écoutant le félon prendre la parole, qu'elle esquissa un sourire.

Citation:
Debrinska, Nathan, Mildiou, Aure, bimba
Avancez, joignez vous à moi pour cette longue nuit
Comment allez vous mes amis ?


Se joindre à lui pour une longue nuit ? C'est pas qu'elle ne voulait pas la Berrichonne bien au contraire, mais ces derniers temps, elle préférait demeurer seule et isolée. Sachant parfaitement ce qu'elle désirait, elle ne pouvait semblant d'aller à merveille.

Elle s'avança vers lui comme il le leur avait demandé...

Pour ma part, je suis heureuse d'assister à ce petit comité. Pour le reste... Comme beaucoup, les cicatrices et les plaies sont encore douloureuses...

Il y avait bien là une plaie qui peinait à se refermer, mais pour celle là, elle devait attendre encore qu'elle retrouve ses esprits comme ce qui avait été écrit sur une lettre...

Et vous cher Duc... Comment vous portez vous ?

Elle s'attendait à une réponse brève comme la plupart du temps... Elle savait qu'il n'aimait pas parler de lui mais qui sait... Peut être lui en dirait-il plus qu'à l'habitude...
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Aure62
En découvrant Mildiou s'approcher du feu et se pencher tendrement vers une bûche qui attendait patiemment qu'on la jetât dans les flammes, Aure comprit que la vue de son compagnon avait vraiment baissé.
A la fin de la guerre elle ne manquerait pas de le convaincre de porter des bésicles.

Puis avisant Georges :
Ah Duc, quelle bonne idée vous avez eue là !
J'ai failli m'ennuyer et de là à dépérir il n'y a qu'un pas. Mais comme vous voyez la Mort n'a pas voulu de moi, pas plus que le couvent d'ailleurs.
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"Soyons heureux en attendant le bonheur"
Berruyer
Cela avait trop duré... La Trémouille était un magnifique village, mais il y avait déjà trop longtemps que Berru tournait en rond, se remettant de ses blessures.
Quel ne fut pas son bonheur lorsqu'il reçu une invitation de son suzerain à une berrichonnerie dans la capitale poitevine.
C'est donc tout naturellement, en bon vassal, boitant de façon artistique, qu'il entreprit ce voyage avec ses frères d'armes pour rallier le lieu des festivités.
Il espérait vivement qu'il y aurait du royaliste au menu...

Tout juste arrivé sur la capitale, Berruyer alla saluer ses amis et commença à conter ses péripéties contre la raclure parisienne.
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Georgepoilu
Content de voir ses compatriotes arriver, George se lève mais exécutant cela trop rapidement, il est déséquilibré par une douleur lancinante à la jambe. le Duc plie le genou et se retrouve à califourchon sur le tonneau de bug (bière berrichonne)

voilà qui me servira de trône dit il en rigolant

Mildiou, crois tu vraiment que je pourrais t'oublie, toi qui combat depuis le premier jour avec nous

Kennor, c'est un plaisir de faire ta connaissance

Aure, normal que la mort et aristote ne veulent pas de toi, ils savent que Mildiou ne partage pas

Bimba, content de voir que tu te rétablis bien, nous allons pouvoir reprendre la route alors

Après avoir picolé une partie de la nuit avec ses compagnons, George se réjouit de voir arriver ceux qui étaient en convalescence à La Tremouille.

Une fois la bande réunie, George plonge dans sa besace et en sort un courrier et des colliers.

il s'adresse alors à ceux qui sont présents

mes amis,
au nom de notre Duc Alleaume, le Berry tient à vous exprimer sa gratitude de notre pays pour votre long dévouement, pour votre bravoure, sacrifice et obéissance. la majorité d'entre vous sont mobilisés depuis déjà 143 jours, ont participé aux combats en Berry, en Bourbonnais, en Poitou dont les sanglantes batailles de bourges et la tremouille.

Vous avez fait preuve d'un courage et dévouement qui devrait forcer l'admiration de tout berrichon

Pour cette raison, au nom du Duc de Berry, notre pays décerne le titre d'écuyer de l'ordre des chevaliers de Berry aux dames Bimba, Aure et Kennor et aux sieurs Berruyer, Mildiou, Nathan, Nathaniel et Zelgius.

Voici le collier et la médaille qui confirmeront cette distinction honorifique que je vous invite à porter avec fierté



Debrinska, tu n'es point berrichonne, mais tu as monté une troupe pour venir nous porter assistance, et depuis le début, tu combats à nos cotés, dans toutes les batailles servant fidèlement nos armées. pour cela, le Duc de Berry t'exprime sa reconnaissance en te décernant le titre d'offivcier de l'ordre des chevaliers de Berry

voici le collier et la médaille que je t'invite à porter avec fierté



mes amis, je vous remets également la médaille de guerre et je vais vous demander de m'aider à les remettre à nos compagnons qui sont en trop mauvais état pour avoir pu venir à notre feu de camp


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Zelgius
La veille au soir, à La Trémouille

C'est bon, on est au complet ? On peut partir ? Il ne fallut longtemps au brun pour se rendre compte que non, ils n'étaient pas au complet, il manquait la Rouquine... comment elle s’appelait déjà ? Azhania ? Non, Azhina ? Non plus... A oui Azhanna. Quelqu'un sait où est Azhanna ? La rouquine qui voulait nous accompagner. Un regard vers ceux qui voyageaient avec lui lui fit comprendre qu'il parlait comme un Royaliste que personne ne comprend. Norf ! Est ce que quelqu'un sait qui est Azhanna au moins ? Bon pas grave, je l'ai prévenu qu'on partait elle est pas là, on part quand même ! Et voilà, le voyage vers Poitiers, et leurs frères Berrichons commençait et aller durer toute la nuit...

Le matin, à Poitiers

La voilà, la capitale Poitevine ! Pas mal, mais ça valait pas le Berry, ça non ! Il ne fut pas dur pour le groupe en provenance de LT de trouver la berrichonnerie organisée par George, il suffisait de suivre la fumée et les rires. C'est donc tout naturellement qu'une fois arrivée la première chose que fit le brun fut de saluer les berrichons présent avant de prendre une bouteille du doux breuvage qui lui avait tant manqué, enfin une des bouteilles restantes, la nuit n'en aillant apparemment pas laissé beaucoup en vie.
Ce n'est qu'une fois les premières gorgées bues qu'il vit son frère, d'habitude si plein d'entrain et de fougue assis. Il avait entendu des rumeurs, des bruits disant qu'un blond avec un poisson avait été blessé à Poitiers et qu'il en était fortement réduit, mais il n'avait voulu y croire... Son frère, en chaise à roulettes... Inconcevable ! Non ! Il devait en avoir le coeur net, son frère était il juste assis ou était il vraiment en chaise à roulettes ? Arrivé près de lui, il ne put que confirmer ses craintes, son frère n'était pas "juste" assis.

Bonjour Nathan. Je ne vais pas être assez stupide pour te demander si ça va, mais... tu t'en sors ?

Il y avait souvent eu des vacheries entre les deux frères, depuis leur enfance, mais là... c'était différend, il s'inquiétait pour son frère.

Et, avant même qu'il est le temps de dire ou faire quoique ce soit, il entendit une voix s'élever par dessus les autres, voix qu'il reconnu tout de suite comme étant celle de son parrain.

mes amis,
au nom de notre Duc Alleaume, le Berry tient à vous exprimer sa gratitude de notre pays pour votre long dévouement, pour votre bravoure, sacrifice et obéissance. la majorité d'entre vous sont mobilisés depuis déjà 143 jours, ont participé aux combats en Berry, en Bourbonnais, en Poitou dont les sanglantes batailles de bourges et la tremouille.

Vous avez fait preuve d'un courage et dévouement qui devrait forcer l'admiration de tout berrichon

Pour cette raison, au nom du Duc de Berry, notre pays décerne le titre d'écuyer de l'ordre des chevaliers de Berry aux dames Bimba, Aure et Kennor et aux sieurs Berruyer, Mildiou, Nathan, Nathaniel et Zelgius.

Voici le collier et la médaille qui confirmeront cette distinction honorifique que je vous invite à porter avec fierté

Ils étaient maintenant, pour quelques uns du moins, Écuyers de l'Ordre de la Chevalerie du Berry. Un honneur quand on savait qu'ils étaient les premiers.

Après la remise des médailles et des colliers, le brun se dirigea vers George, et, surement insidieusement, vers le tonneau qui lui servait de trône.

Quelle magnifique idée ! Les Poitevins sont gentils mais dix d'entre eux valent pas un Berrichon question beuverie. Puis, après son laïus sur les Poitevins et leur mauvaise bière. Comment vas tu ? Tu en auras pris des coups dans cette guerre...
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Mildiou
Il vit qu'il s'était trompé, il jeta donc la bûche au feu, en sifflotant pour se donner une contenance, et rejoignit l'attroupement.

La plupart de visages lui étaient inconnus, dans le combat, tous les chats sont gris, noyés dans la brume, le bruit et la poussière.

A sa surprise, il entendit le Duc lui remettre à lui, simple paysan bourguignon,le titre d'Ecuyer de l'Ordre de Chevaliers du Berry, et la Médaille de Guerre.

Emu, il mit un genou à terre, tant bien que mal, recut le collier et les médailles, se releva, et laissa la place aux autres.

La larme à l'oeil, il préféra se taire, et serra les objets dans sa besace
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Senatore Mildiou y Basta della Bolognèse
Mamamouchi du Culte du Grand Baveux
Ministre des Etranges et Autres Affaires
Bimba18
La soirée passa... Faut dire qu'elle était contente au final d'être sortie un peu de son lit... Elle avait pu faire la connaissances de quelques valeureux guerriers et puis elle avait revu sa vieille relique... Et oui ! Quand on est vieux, on le reste ! Surtout aux yeux de la Berrichonne !

C'est quand le Duc s'arrêta de boire pour s'asseoir sur un fut, qu'elle porta toute son attention sur lui... Que mijotait-il encore... Et voilà qu'en écoutant la parole gratitude, elle se douta de ce qui allait suivre... A quoi bon être ainsi remercier ? Si elle se battait pour le Berry et le Ponan se n'était certes pour être remercier en retour ! C'était son choix, son devoir aussi...

Mais quand on reçoit un présent de cette valeur, mieux vaut ne pas le refuser et le porter dignement...

Un regard sur George quand elle reçut ses ornements et elle lui dit :

Vous savez ce que j'en pense de toutes ces décorations, mais je les porterais avec fierté soyez en sûr... Encore merci...

Ah il voulait qu'elle porte des décorations, elle allait les porter avec honneur et fierté, mais à son tour elle lui réservait une petite surprise... Petite vengeance ou autre... Qui sait !
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Aure62
Une remise de décorations !
Ce n'était donc pas une simple fête autour d'un feu de camp !
Et elle n'avait rien prévu.
Sa houppelande verte qui se marierait si bien avec la médaille et le collier rouges.

Aure avait l'habitude de se remplir la tête de futilités afin de ne pas se laisser submerger par l'émotion et préserver ainsi son sang-froid.
N'ayant jamais assisté à ce genre de cérémonie, elle regarda alentour et finit par se décider à ne pas dépareiller en mettant un genou à terre.
Sa gorge était sèche. Elle ne voulait plus penser qu'à boire.
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"Soyons heureux en attendant le bonheur"
Nathaniel
Berrichon, il n'était pas depuis très longtemps, depuis son départ des terres Artésiennes son sang avais coulé par deux fois, une fois au Berry et une fois dans le Poitou, mais à chaque fois il se remettais debout bien rapidement, se battre et survivre aux cotés des gens partageant quelques idéaux est en soit déjà un cadeau, Si beaucoup voit en cette guerre une plaie le jeune Nathaniel à su voir le bon coté, la guerre réunis parfois bien des gens au lieu de séparé comme certain aime le faire croire, depuis son arrivé en pleine guerre aux Berry, Les berrichons en général avait toujours été plus aimable avec lui qu'une personne en son genre pourrais le demandez, ceux qui le connaissent témoignerais de sa piètre qualité à gagnez l'amitié.

Les pieds du Sade Montfort, venais à peine de frôlé le sol du campement du duc, que les récompenses tombais, il choisit de se taire et d'écouter puis acceptez, mais il savait, que sans une certaine personne pour les aidez dans les temps dur, soit par des armes ou des pains en cas de dure coup, leur présence loin du Berry n'aurais pas été si aisé. Mais ainsi est la vie, les plus grand méritant sont parfois sans l'obcurité. ''Dédicase^^''
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Debrinska
Regarde Sa Seigneurie assise.. sur le fût...

Il est beau, il est noble le seigneur Georges..on peut pas dire que les Berrichons ont du poils dans la main pense.telle!

L'ironie la sauve dans ces moments là... elle ne doit pas se laisser avoir!
Elle s'avance vers le tonneau... et s'agenouille devant....
Devant Georges, hein, pas devant le tonneau!
Bravache.... comme une Deb seule sait l'être!

Elle incline la tête pour le laisser passer le collier...rage de savoir ses jades s'humidifier ..... Par les saints couillons du pape ...on se refait pas,,,put...d'émotions que diantre...

Georges lui passe le collier autour du cou....elle relève les yeux pour le remercier en son nom et aux noms de ses camarades ...

Seigneur , soyez remercier de votre geste, mon arme et mon coeur seront toujours en faveur des opprimés... des peuples tels que celui du Berry... a chaque fois que des gens seront opprimés, mes hommes et moi viendront prêter main forte!

En signe d'allégeance à votre cause, voici mon épée que je gage de mettre au service de votre duché tant que vous en aurez besoin.
De part mon arme, je gage aussi mes hommes à votre service!

Par ma bouche, ils vous remercie pour cette distinction! Ils en seront digne et fiers!





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