Deedee
Elle allait finir par voir rouge la de Courcy, et pas seulement a cause du sang quelle voyait maintenant a longueur de journée. Non ! Certain avait visiblement envie de jouer avec ses nerfs ou simplement de tester ses connaissances médicale.
Que Maccord joue les héros, ca ne létonnait pas, il navait pas changé, mais quil ne veuille pas se faire soigné Là elle reconnaissait la tête de mule quelle avait connue. Et voila que pour couronner le tout, son régisseur la suppliait de ne rien dire a Mathilde. Ah mais oui, mais non !
-Non mais vous vous moquez dmoi ? Mon brave vous êtes blessé, il faut vous soigner, vous nallez pas faire comme Jason la tete de mule. Déjà que je le retiens celui la et son caractère de mule davoir attendu si longtemps.
Et Adeline de se mettre à râler tout en préparant une bassine deau pour rafraichir le visage de MacCord ruisselant par la fièvre. En colère elle létait Adeline. Et plus le temps passait, plus la De Courcy tentait de contrôler cette colère qui ne demandait maintenant qua sortir. Non mais ils avaient quoi tous en ce moment à jouer les fortes têtes.
Levant tout de même son visage vers le régisseur, Adeline tenta de lui offrir un sourire réconfortant et continua :
-Messire, votre femme mest dune aide précieuse pour soigner les blessés. Je ne vais pas pouvoir lui cacher bien longtemps ce quil sest passé. Dautant quavec larrivée des blessé et le bruit que vous avez fait, elle ne va surement pas tarder.
Même pas un chouilla solidaire la De Courcy. Solidarité féminine oblige, elle nallait pas cacher quoi que ce soit, surtout si môssieur avait quelque chose a se reprocher. Peut être craignait-il le courroux de sa tendre épouse ? La paix des ménages le parfais bonheur !
Sassurant que le messire lavait tout de même comprise, Adeline retourna auprès de Jason pour tenter de le remettre sur pied, enfin disons plutôt déjà de faire baisser la fièvre et trouver linfection si infection il y avait. Plus tard, lorsquil serait sur pied, elle létriperait davoir attendu si longtemps. Mais plus tard. Promis.
-Fièvre fièvre de larmoise, non plutôt de la bourrache cest plus fort. Marmonnait-elle pour elle-même en fouillant dans les bocaux de plantes disposée dans la tente.
-Voilà, de la Bourrache, et tu vas men boire en veux tu en voilà, et sans calva !
Tout en préparant linfusion elle jeta un il sur Riggson sassurant quil ne sétait pas défiler et quil était bien encore dans la tente et pria intérieurement pour que Mathilde arrive aussi vite que possible pour soccuper de son mari.
-Ne restez pas de debout voyons, asseyez vous. Je regarde le Seigneur de Crevecoeur et je moccupe de votre bras.
Infusion prête, elle sapprocha de Jason et lui releva doucement la tête pour laider à boire cette potion au gout plutôt délicat
-Allez Jason Accroche toi murmura-t-elle doucement espérant quil lentende
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Que Maccord joue les héros, ca ne létonnait pas, il navait pas changé, mais quil ne veuille pas se faire soigné Là elle reconnaissait la tête de mule quelle avait connue. Et voila que pour couronner le tout, son régisseur la suppliait de ne rien dire a Mathilde. Ah mais oui, mais non !
-Non mais vous vous moquez dmoi ? Mon brave vous êtes blessé, il faut vous soigner, vous nallez pas faire comme Jason la tete de mule. Déjà que je le retiens celui la et son caractère de mule davoir attendu si longtemps.
Et Adeline de se mettre à râler tout en préparant une bassine deau pour rafraichir le visage de MacCord ruisselant par la fièvre. En colère elle létait Adeline. Et plus le temps passait, plus la De Courcy tentait de contrôler cette colère qui ne demandait maintenant qua sortir. Non mais ils avaient quoi tous en ce moment à jouer les fortes têtes.
Levant tout de même son visage vers le régisseur, Adeline tenta de lui offrir un sourire réconfortant et continua :
-Messire, votre femme mest dune aide précieuse pour soigner les blessés. Je ne vais pas pouvoir lui cacher bien longtemps ce quil sest passé. Dautant quavec larrivée des blessé et le bruit que vous avez fait, elle ne va surement pas tarder.
Même pas un chouilla solidaire la De Courcy. Solidarité féminine oblige, elle nallait pas cacher quoi que ce soit, surtout si môssieur avait quelque chose a se reprocher. Peut être craignait-il le courroux de sa tendre épouse ? La paix des ménages le parfais bonheur !
Sassurant que le messire lavait tout de même comprise, Adeline retourna auprès de Jason pour tenter de le remettre sur pied, enfin disons plutôt déjà de faire baisser la fièvre et trouver linfection si infection il y avait. Plus tard, lorsquil serait sur pied, elle létriperait davoir attendu si longtemps. Mais plus tard. Promis.
-Fièvre fièvre de larmoise, non plutôt de la bourrache cest plus fort. Marmonnait-elle pour elle-même en fouillant dans les bocaux de plantes disposée dans la tente.
-Voilà, de la Bourrache, et tu vas men boire en veux tu en voilà, et sans calva !
Tout en préparant linfusion elle jeta un il sur Riggson sassurant quil ne sétait pas défiler et quil était bien encore dans la tente et pria intérieurement pour que Mathilde arrive aussi vite que possible pour soccuper de son mari.
-Ne restez pas de debout voyons, asseyez vous. Je regarde le Seigneur de Crevecoeur et je moccupe de votre bras.
Infusion prête, elle sapprocha de Jason et lui releva doucement la tête pour laider à boire cette potion au gout plutôt délicat
-Allez Jason Accroche toi murmura-t-elle doucement espérant quil lentende
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