Alinoe_de_chenot
Alinoë n'en pouvait plus, apprendre que Emeris était en danger était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase.
Les mauvaises nouvelles succédaient aux mauvaises nouvelles. L'emprisonnement de ses amis, la découverte de la torture sur des innocents, l'assassinat de son tendre parrain et maintenant son filleul.
Elle pleurait la jeune fille. Elle pleurait de désespoir et d'impuissance. Elle pleurait. Assise dans le fauteuil, ne se souciant pas des personnes présentes.
Des bras qui l'entourent, des bras consolateurs et la douce voix de son ami Fenthick. Il l'emmène dans ses appartements, il lui abjure de se reposer, elle ne veux pas. Elle veut rester près de son parrain, elle veut le veiller mais la voix de Fenthick est persuasive. Alors elle rentre dans sa chambre et lui, il s'en va.
Debout devant le lit, elle ne peut se résoudre à s'allonger. elle ne pourrait pas dormir, elle le savait.
Alors comme un automate, elle retourne dans le salon de soins de Eddo. Elle marche doucement comme une somnambule, elle en était une d'une certaine façon. Le chagrin et la peur lui vrillant le cerveau.
La jeune fille se traînait, s'appuyant sur les murs, tentant vainement de chasser son angoisse, deux noms se bousculant sans cesse dans sa tête, accélérant les battements de son coeur.
*Emeris...Eddo...*
Elle etait devant la porte du salon, se préparant à affronter Fenthick, elle ouvrit la porte et entendit le cri
Shera!
Elle avait failli raté le réveil de son parrain. Alors elle poussa la porte à la volée et se précipita au chevet de Eddo qui était assis sur le lit, hagard.
Elle se laisse tomba à genoux au pied du lit, prit Eddo dans ses bras et pleurant à chaudes larmes.
- Parrain!!! tu es revenu ! Tu es là ! Enfin !
Et doucement, elle glissa sur le sol.
Devant la porte Fluette qui tenait à la main la missive du duc de Bresse, empêcha un homme portant parchemin d'entrer dans le salon.
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Les mauvaises nouvelles succédaient aux mauvaises nouvelles. L'emprisonnement de ses amis, la découverte de la torture sur des innocents, l'assassinat de son tendre parrain et maintenant son filleul.
Elle pleurait la jeune fille. Elle pleurait de désespoir et d'impuissance. Elle pleurait. Assise dans le fauteuil, ne se souciant pas des personnes présentes.
Des bras qui l'entourent, des bras consolateurs et la douce voix de son ami Fenthick. Il l'emmène dans ses appartements, il lui abjure de se reposer, elle ne veux pas. Elle veut rester près de son parrain, elle veut le veiller mais la voix de Fenthick est persuasive. Alors elle rentre dans sa chambre et lui, il s'en va.
Debout devant le lit, elle ne peut se résoudre à s'allonger. elle ne pourrait pas dormir, elle le savait.
Alors comme un automate, elle retourne dans le salon de soins de Eddo. Elle marche doucement comme une somnambule, elle en était une d'une certaine façon. Le chagrin et la peur lui vrillant le cerveau.
La jeune fille se traînait, s'appuyant sur les murs, tentant vainement de chasser son angoisse, deux noms se bousculant sans cesse dans sa tête, accélérant les battements de son coeur.
*Emeris...Eddo...*
Elle etait devant la porte du salon, se préparant à affronter Fenthick, elle ouvrit la porte et entendit le cri
Shera!
Elle avait failli raté le réveil de son parrain. Alors elle poussa la porte à la volée et se précipita au chevet de Eddo qui était assis sur le lit, hagard.
Elle se laisse tomba à genoux au pied du lit, prit Eddo dans ses bras et pleurant à chaudes larmes.
- Parrain!!! tu es revenu ! Tu es là ! Enfin !
Et doucement, elle glissa sur le sol.
Devant la porte Fluette qui tenait à la main la missive du duc de Bresse, empêcha un homme portant parchemin d'entrer dans le salon.
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