Naelhy
[Rp faisant suite à celui-ci]
Que serait un histoire sans son subtile rebondissement? Les happy-ending n'arrivent qu'après un scenario légèrement corsé. Naeva croit dur comme fer au prince charmant, à cette théorie foireuse de l'amour unique et aux conneries fleurs bleue sur le bonheur qu'on vous raconte au bord du lit, sur ces courses à travers champ dans un univers tout à fait chaste. Tout ça pour dire, que la Tartine n'était pas sortie de l'auberge. Elle y croyait tellement, qu'à la vue de cette lettre pragmatique de son presque-fiancé-mais-on-sait-jamais-trop, qui dans un premier temps, l'a emplie d'une joie digne de ces niaiseries froufrouteuses, ses vieilles croyances refirent surface.
Où était les petits mots d'amour, lui glissant qu'elle était la plus belle? Certes, sa demande en mariage n'était ni des plus formelles, ni des mieux amenées, mais cela n'allait pas. D'ailleurs, pourquoi est-il tombé malade juste après qu'elle l'ait demandé en épousailles?
« Albert, y'en a marre. elle marque une courte pause Je ne sais plus... je suis torturée! » On a toujours besoin d'un pigeon de compagnie Freudien avec soit.
Pour comprendre la détresse Naevesque, il faut revenir beaucoup en arrière. Il y a de cela quelques mois, alors que la jeune Naelhy se rendait aux funérailles de feue sa tata, elle se souvenue, lorsqu'elle passait par la Touraine, de la présence dans ce coin là, d'un certain Anthoyne de la Louveterie. Ici commence les emmerdes. Fière comme quelque chose qui pourrait sûrement grandement m'aider à réussir ma comparaison, elle lui écrivit sans trop tarder pour lui demander des explications quant à une scène antérieur à Paris entre nos deux protagonistes. La réponse non plus de se fît pas attendre, et de fils en aiguille, la supercherie fini en demande de convolage en juste noce de la part de Naeva, dans un brillant effort pour briser les conventions.
Que serait un histoire sans son subtile rebondissement? Les happy-ending n'arrivent qu'après un scenario légèrement corsé. Naeva croit dur comme fer au prince charmant, à cette théorie foireuse de l'amour unique et aux conneries fleurs bleue sur le bonheur qu'on vous raconte au bord du lit, sur ces courses à travers champ dans un univers tout à fait chaste. Tout ça pour dire, que la Tartine n'était pas sortie de l'auberge. Elle y croyait tellement, qu'à la vue de cette lettre pragmatique de son presque-fiancé-mais-on-sait-jamais-trop, qui dans un premier temps, l'a emplie d'une joie digne de ces niaiseries froufrouteuses, ses vieilles croyances refirent surface.
Où était les petits mots d'amour, lui glissant qu'elle était la plus belle? Certes, sa demande en mariage n'était ni des plus formelles, ni des mieux amenées, mais cela n'allait pas. D'ailleurs, pourquoi est-il tombé malade juste après qu'elle l'ait demandé en épousailles?
« Albert, y'en a marre. elle marque une courte pause Je ne sais plus... je suis torturée! » On a toujours besoin d'un pigeon de compagnie Freudien avec soit.
Pour comprendre la détresse Naevesque, il faut revenir beaucoup en arrière. Il y a de cela quelques mois, alors que la jeune Naelhy se rendait aux funérailles de feue sa tata, elle se souvenue, lorsqu'elle passait par la Touraine, de la présence dans ce coin là, d'un certain Anthoyne de la Louveterie. Ici commence les emmerdes. Fière comme quelque chose qui pourrait sûrement grandement m'aider à réussir ma comparaison, elle lui écrivit sans trop tarder pour lui demander des explications quant à une scène antérieur à Paris entre nos deux protagonistes. La réponse non plus de se fît pas attendre, et de fils en aiguille, la supercherie fini en demande de convolage en juste noce de la part de Naeva, dans un brillant effort pour briser les conventions.
Citation:
De Naeva-Lisbeth Wolback,
A Anthoyne de la Louveterie,
Le Bon jour,
Au plaisir,
Amicalement,
N-L .W
A Anthoyne de la Louveterie,
Le Bon jour,
- Je suis flattée de recevoir enfin votre réponse. Après autant d'attente vous auriez sûrement mieux fait de vous dispenser de cette réponse, plutôt plaisante à vrai dire mais fort mal à propos après autant de temps. Vous connaissez cette phrase qui dit qu'il vaut mieux tard que jamais? Et bien elle a tout faux.
Aucunes inquiétudes à avoir quant à mes terres, qui bientôt me seront remise, mais sachez que nos échanges pour le futur ne pourront être que diplomatique.
J'accepte donc vos excuses, je vous laisse juste sur la paille. La moindre des choses auraient été, que même mourant, vous vous débrouillez pour alors me faire parvenir je ne sais quel bijou hors de prix, ou un joueur de luth qui aurait pu répondre à votre place.
Pendant votre longue absence, une amie m'a offert de me présenter un charmant jeune homme, bientôt vicomte, dont je ne dévoilerais pas le nom. Ne vous blâmez donc pas, ce serait inutile.
Au plaisir,
Amicalement,
N-L .W