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[rp ouvert] un feu pour un ami

Duflan


Des brèves histoires pour le joueur Devil un ami........


Elle revient toujours, on la sait autour de soit, on croit que les rires sont plus fort, qu'elle n'osera pas venir, mais si elle vient et nous prend ceux qu'on aime.
Duflan avait quitté la place du "il parait" puisque de toutes façon, on nous communiquer sur rien, il parait qu'on avait un nouveau comte ?, il parait que Neo avait pris de force la ville de Toulouse ?, Il parait que la porte Parole est muette mais qu'elle est fière de son titre, il parait qu'elle porte un sac toute la journée dans le comté ou il y a écrit "par rôle" et qu'elle trouve jolie le sac, enfin bref il faudrait attendre les élections pour voir les gens venir s'exprimer de nouveau.
En attendant il était monté bien haut sur la colline avait ramassé du bois et fait un petit tas, et puis il avait mis le feux dedans, bien que triste il avait repensé au parti des roux de Devil, qui avait pour but de bruler tous les roux du coin, une plaisanterie , une provocation comme il les aimait.
Il savait l'homme usé, mais il l'avait vu tellement de fois tenir tête à un contre plusieurs qu'il n'aurait pas douté que cela l'affaiblisse à ce point.
Il y des mots qui sont plus forts que d'autres et plus puissants qu'une épée, des mots anodins qui deviennent ces mots assassins.
Pas vu le truc venir pas eu le temps de le soutenir, Duflan regarda les flammes du feu, les yeux humides, il n'avait pas envie de rigoler, il avait perdu un ami et il n'avait pas eu le temps de lui dire............

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Chipette
Attirée par la vue du grand feu , Chip avait rejoint Duflan. Pas besoin de mots elle compris rapidement pourquoi il était ici. Les yeux du gros étaient humides, un air triste qu'elle n'avait jamais vu.
Elle se posa auprès de lui..Dévil.... Son papa pas papa... Un ami de sa mère... Ses moqueries, ses sarcasmes .... Leur rencontre, cette admiration qu'avait eu Arfie pour cet homme qui avait eu le chic de disparaître a chaque fois qu'elle avait eu besoin de lui.. Celui qui la regardait desespéré par tant de stupidité et qui ne se génait pas pour lui dire.. Chaque rencontre avait été un pur bonheur . Lui qui lui avait appris qu'elle n'avait que du vide dans le crane.. Qui disait qu'elle ne réfléchissait que la Lumière... L'histoire de Duduche et du prince Valium qu'il avait comté un jour sur un banc à Arfie et Duflan... Cette forte amitié qui les avait liés pendant des années. La fierté qu'elle avait de l'avoir pour ami ...

Elle regarda Duflan, lui prit la main, la serra très fort . De grosses larmes coulaient sur son visage..

Il le sait qu'on l'aimait t'inquiète gros... Pi on le garde là...

D'un geste elle montra son coeur ...Puis elle resta là , assise à coté de son Saint Homme lui tenant la main . Envie de vomir, de hurler, de pleurer.... Elle n'oublierait jamais celui qui avait été sa plus belle histoire ici bas, sa raison de vivre quand tout allait mal..... Il est avec sa mère maintenant , elle le protège et doit se charger de lui redonner le sourire et de le faire redevenir celui qu'elle aimait ...
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Duflan
Il la regarda un moment la chipette, elle était bien naïve, ça faisait du bien un peu de candeur dans ce monde.
Et puis il attrape sa besace, en sort une bouteille de blanc et la débouche avec la bouche envoyant au loin le bouchon.
Une bonne rasade, les yeux sur le feu et puis cette chaleur le long de son corps.


Ecoute ! Mais avant boit un coup ! Il faut que tu saches ! t'es assez grande maintenant ! faut point se raconter des histoires !Je va te dire la vérité !
Je va te raconter la genéve du comté de Toulouse , comment tout c'est passé !
Comment c' est arrivé, tu va tous savoir !


Il attrape une branche et remue le feu, Duflan aime bien remuer le feu !
Il ne sait pas pourquoi, mais ça fais toujours sérieux de remuer un brasier surtout quand raconte une histoire !
Et puis par chance ou par complicité une chouette hulule au loin !


Oui, il est temps que tu saches, qui était ta mère, le rôle qu'a tenu Devil, Valium, Ingalls, duduche et tant d'autres !
Prit à son propre jeu, Duflan prend une voix mystérieuse
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Le.jaccot


Il y avait toujours une dose de mystère dans l'air du soir, et plus encore quand, lors que vous regardez dessus les palissades de la ville, vous appercevez, sur une des collines qui surplombent Castel, une de ces lumières orangées qui vous racontent une histoire.

Quelqu'un se trouvait-là, mais qui ? Pourquoi ? Un chasseur faisant cuir son repas avant de se remettre à l'ouvrage, dans une de ces traques nocturnes qui lui fournirait peut-être pitance pour la semaine ? Un voyageur faisant halte pour la nuit ? Un brigand de grands chemins comptant le fruit de ses larcins ? Ou était-ce juste le conteur, celui qui vous anime le coeur en même temps que le feu et fait revivre en vous la joie des jours passés ?

Le comte Dévil n'avait pas toujours été comme ça. Jaccot l'avait connu braillard, rieur, et puis il était devenu sérieux. Un gars sérieux et un gars bien, qui vous mettait la boule au ventre quand il parlait, surtout parce qu'il parlait bien, et puis il était parti, et le Jaccot, lui, il s'était un peu éloigné de la vie aussi, et puis ils étaient revenus, un peu tous les deux en même temps, l'un pour bécher ses champs et tenter de faire prospérer sa ville, l'autre pour devenir coms.

Et de fil en aiguille, le coms était devenu une menace aux yeux du maire, lui qui n'avait jamais trop apprécié l'autorité du comté et c'était bien pour ça que, ce soir, comme à son habitude depuis quelques-temps, le castrais montait la garde en haut des barricades, le vent lui caressant le visage, les yeux plissés sur ce feu. A présent, le coms était mort, et tout ce manège inutile, peut-être... Jaccot, lui, en avait juste pris l'habitude et savourait ces rares moments de quiétudes, à la tombée de la nuit.

Mais qui donc se tenait au loin, là-haut, sur la colline, sifflant peut-être une bouteille de blanc ? Etait-ce le conteur ou la mémoire des gens ? L'âme d'un coms, peut-être, qui s'attardait encore un instant et peut-être était-ce lui, cette brise qui avivait les flemmes et le sang du castrais. Peut-être était-ce bien lui, peut-être...

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Un peu dépassé niveau emploi du temps en ce moment. Si des réponses vous étant dues se font attendre, relancez-moi.
Chipette
Les yeux rivés sur les flammes , Chipette en larmes , la rage au coeur , jette des brindilles sur le feu.. Sursaute quand Duflan lui tend la bouteille. Pas de refus, l'alcool son refuge.. Elle la prend et en boit une bonne rasade.. Penche la tête en arrière comme il lui a appris ou surtout comme elle a compris ..

Marchi ...

Citation:
Oui, il est temps que tu saches, qui était ta mère, le rôle qu'a tenu Devil, Valium, Ingalls, duduche et tant d'autres !


Elle le regarde, son visage est sérieux et mystérieux. La lueur du feu fait briller ses yeux , a moins que ce ne soient les larmes ... Une histoire ? Elle les adorait, jamais personne ne lui en racontait, pourquoi fallait-il que ce soit le personnage le plus improbable qui lui fasse ce plaisir, et dans de telles circonstances...

Ah ... Une histoire comme celle du banc ? Ouiiiiiii !!!

Lueur dans son regard, ébauche d'un sourire... Elle renifle un bon coup, essuie ses yeux et son nez d'un revers de manche et se rapproche du Gros. Le bruit de la chouette donne un coté lugubre a l'ambiance. Pas rassurée la fille.

J'ai pas peur hein, mais j'entendrais mieux.. Z'avez po entendu des bruits de pas ???
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Duflan
QUoi !D'un geste brusque, il se relève et forcement la chipette se retrouve la figure dans la terre.
Il brandit sa branche enflammée autour de lui, plissant les yeux à la recherche d'un hypothétique bandit et puis d'un geste il invite la chipette au silence


Tais toi, bougre diou ! l'es à moitié bizarre c'te forêt ! Sorcellerie et compagnie ! Parait qu'il a plusieurs année ! une jeune femme a été pris en otage pour une histoire de champignon, on l'a jamais retrouvé tu penses !
Bien sur, il ne dira pas que c'était lui le preneur d'otage et qu'a la fin il avait pris une dérouillé par la jeune fille, mais qu'importe.
ET puis un instant plus tard, à moitié rassuré il se rassoit


Euh, ouais, bon alors écoute voir comment tout a commencé, à l'époque quand je suis arrivé dans le comté de Toulouse, je ne connaissez point ta mère, la sainte Arfadette et Devil, j'étais plus jeune et plutôt bien fait, d'ailleurs plus d'une jolie dame me voulez en épousaille, mais moy tu penses, l'étais fait pour l'aventure pourchassant les bandits de là et d'içi

Bien sur, il ne peut s'empêcher de se glorifier , quand à savoir si il a été jeune un jour et surtout bien fait c'est autre chose, en attendant il a repris sa bouteille et poursuit son histoire marquant un temps d'arrêt de temps en temps pour écoutez si il entend un bruit


Alors, oui ! le comté été dirigé par un Prince de noble sang, le prince VALIUM................
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--Prince_valium






Une contrée magnifique, vision sur une prairie et la en arrière plan, des hommes en armure qui jouent à saute mouton


Valium
Ayi ayi, fidèle soldat, ha ha c'est toujours à plaisir de jouer à grimpe soldat, fasse un jour que ce noble jeu soit ouvert au joutes et que nous puissions faire manger la terre au maudits Anglois !
Allez allez, c'est à moi , poussez vous que je vous montre comment un homme de sang royal s'y prend !


Chaque soldat s’évertue à bien se baisser afin que le prince gagne, car il n'aime pas perdre, malheureusement au moment de passer au dessus du quatrième soldat, sa main droite glisse sur l'armure et il se s'écroule à terre tel un vulgaire maraud se faisant sortir de la taverne du banastié

Un soldat :
Prince, Prince vous avez perdu !vous avez perdu

Silence des autres soldats, qui jugent imprudent la remarque du jeune soldat, ils tremblent pour lui, le jeune soldat viens de comprendre son erreur et demande grâce un genou à terre

Valium:
Sache jeune impétueux que je n'ai point perdu !J'ai voulu démontrer une nouvelle technique de ..euh..roulez..boulet..et oui ! Voila tout , tu ne connais pas toutes les règles et tu la ramènes avec ton air supérieur...hein ! Valium à sorti son épée et le soldat et toujours genoux à terre tremblant de toutes ses forces implorant pitié, Valium lui tapote les fesses avec son épée.
Hum...., je vois que faire du cheval, te fais du bien jeune fou ! Pour ta peine tu viendra me rejoindre sous ma tente ce soir, nous nous entrainerons et je ferais taire ton insolence.....

A peine le jeune soldat se relève t'il qu'on entend un cri de femme au loin ! Vision d'un femme au loin qui court vers leurs direction terrorisée.
Chipette
Vlam encore le cul par terre... Mais quelle brute celui là hummm ... Elle se relève rapidement et tape sur sa jupe qui commence à prendre feu. Elle peut pas lui en vouloir, n'écoutant que son courage il s'est levé un peu brutalement... Pi si elle lui rentre dedans il ne va pas vouloir lui raconter son histoire.. Rapide regard aux alentours... Personne, puis qu'est ce qu'elle risque aux cotés du plus courageux des habitants de Castel, lui qui a fait la guerre, qui c'est battu contre les sorciers..qui n'a peur de rien , même pas de Paquita .. Un peu rassurée elle se rassoit à ses cotés, tout près , limite sur lui.. Le regarde avec son plus beau sourire niais ravageur et l'écoute... Il raconte si bien qu'elle semble voir la scène ...
Le prince Valium, beau, tout de blanc vétu, la mèche rebelle ... Donc lui c'est le Comte de Toulouse au début du début.... Et zou la voilà parti dans son imagination.




Une femme arrive en courrant , une élégance rare, un visage angélique, une bouche à damner un Saino .. Un regard percant, des yeux d'un bleu azur... Elle galope la belle, tenant sa ceinture de chasteté à travers ses vêtements..


Au secours, au secours.... On m'attaque ... On en veut à ma ceinture de chasteté... Un roux que j'ai oublié de faire brûler ... Pas eu le temps de lui faire remplir le formulaire 3545 T avenant au formulaire 7244 P braise et cendre en tout genre... Je veux voir Valium et vite ...

Le soldat , un regard lubrique sur la belle lui montre un buisson ..


Bah Valium l'est occupé là ... Et oui il a beau être parfait notre Prince , il n'en reste pas moins humain ... Ca casse le mythe hein ...

Ranafout... jveux le voir immédiatement ou j'vous griffe .. Tsss savez a qui vous parlez là ? Pour la peine ce soir vous passerez dans ma chambre..

Le soldat se gratte la tête ... Il y a des jours où les nuits sont bien occupées..

j'peux pas j'ai Valium ce soir ...

Le dévoué soldat s'en va vers le buisson ,quelques parchemins à la main, se bouche le nez en le pincant avec ses doigts..

Tenez mon prince.. ca va ? Tout se passe bien ? Satisfait ? Bon quand z'aurez fini, il y a une charmante Dame qui vous demande ...


Retour à la réalité, Chip essuie une grosse larme ... Assez dur d'imaginer une telle femme, d'être à la hauteur ... Pourquoi elle... Arfie lui avait expliqué qu'un jour au détour d'une petite place, d'un banc, Duduche avait été sa fille....

Donc une Dame arrive en courrant ... c'est Moman ? C'est Dévil ? C'est la moche ? C'est qui ?
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Paquita
Paquita arrive en courant. A la main une longue broche où quelques volailles dansent la farandole.

Poussez vous !!!!

Sans ménagement elle écarte Duflan et Chipette et installe la broche sur deux branches fourchues qu'elle plante vigoureusement de chaque côté du foyer.

La cheminée du Banastié s'est éteinte ! on a une grosse commande pour ce soir et tout le bois de la réserve à disparu ! J'ai vu du feu, je viens finir de rôtir céans ! Ne vous dérangez point pour moy.

Tout en disant, elle tourne autour du feu, s'active, leur piétine les pieds, les oblige à se reculer. Quand tout est installé à sa convenance, elle remonte une mèche humide qui balaye son front, s'essuie les mains à son devantier de cuisinière et les considère tous deux.
S'accroupissant près de manche de la broche, elle commence à le tourner lentement.


Vous parliez de quoi ? Z'avez soif ?


et de désigner de son pouce, sa besace posée au sol d'où le goulot d'une grosse fiasque émerge.
Elle reporte son regard sur ses oies, poulardes et canards quand un détail accroche ses yeux. Entre les bûches en tas non loin, un torchon est coincé. Il porte le monogramme du Banastié. Paquita plisse les paupières et scrute Duflan tandis que ses joues virent doucettement au zinzolin.
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Duflan
Qui est la dame ? ET bien voila ce qui..

Pas eu le temps de finir que la maudite débarque avec sa discrétion habituel.
Duflan tombe à la renverse et se relève avec l'élégance d'une tortue renversé sur son dos, il fulmine mais la vue de toute cette nourriture le calme aussitôt.

Bougre diou, m'a fait cheur de là , pis toi l'es comme ça que tu surveilles !Là il s'adresse à chipette, toujours sa mauvaise foi Si ça avait été des bandits, on serait mort à l'heure là, pas possible ! ET pis toi la maud...oh l'es joli cte nourriture l'es pour nous l'es gentil...
il se radoucit de suite à la vue de toute cette nourriture et ses yeux se mettent à briller à l'évocation de boire en plus

Pour sûr ! que je veux ben boire un coup ! té je racontais à la p'tite l'histoire du comté de Toulouse

Et puis, il voit le visage de Paquita sur le tas de bois, il passe du rouge au violet, se doute t'elle de quelque chose ?
Car l'endroit ou se situe nos comparses, n'est autre que le lieu de stockage du bois volé au banastié avant sa revente

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Chipette
Haaaaaaaaaaaaaaaa !!!! J'ai rien fait c'est pas moi c'est lui.... Tuyez moi pas ... Jsuis sage, gentille !!!!

Fausse alerte ce n'est que la Paquita qui débarque avec tout un tas de bonnes choses pour eux... Enfin c'est bien comme ca qu'elle l'entend la Chip, prise d'otage de volailles roties. Chip éclate de rire en voyant son St homme gesticulant dans tous les sens pour se relever .. Se calme bien vite sous les reproches du Gros.

Gné et vous croyez j'ai fais quoi moi ??? Bien sûr j'ai surveillé té, jvous ai même poussé pour vous protèger ...

Après vérification rapide de la présence de sa langue, Chip regarde Paquita au bord du feu... héhé, il serait si simple de la pousser et zou brulée la sorcière. Mais Dévil l'aimait bien ... Il serait faché ...
Bien vite Chip voit le trouble de la Paquita... Voir même un rictus de haine sur son visage, le regard habituel qu'elle a quand elle regarde Duflan.. Il a du faire une bêtise encore le gros ... Mission sauver le St Homme et surtout son histoire... Tu poses ton cul là et tu la fermes ou jte crame la sorcière... Nan ...

Prenez place Dame la plus belle du royaume bleuuuuuuarp... Duflan va nous raconter une belle histoire, sur Dévil , Moman, Valium et tout et tout ... Il sait lui té .. Voulez vous que je vous remplace pour tourner votre broche là ? Non ? Bien sure ? Bah j'insiste pas....

Chip reprend place et regarde Duflan


Alors c'est qui là Dame ?
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--Prince_valium
ET duflan reprend son histoire.........




Le prince valium était donc au milieu de la prairie et une femme en crie courait vers eux.
Valium:
EUh, dites vous croyez qu'elle nous a vue hein ? On pourrait peu être partir l'air de rien hein ? z'e, pensez quoi ? mais répondez ...pourquoi elle viens vers nous, protégez votre prince...vite position de combat

La position de combat, consistez tout simplement à positionner le prince derrière les soldats, Valium en fin stratagème avait même fait évoluer la technique en se positionnant sur son cheval prés à fuir ou à chercher du renfort selon lui.
Ainsi monté sur son cheval, il pouvait donner les ordres avant de partir

Soldat arquebuse ! attention feu !

Image d'une femme qui coure en pleure vers les soldats et vision d'un millier de flèches qui s'abattent sur elle quelques secondes plus tard et puis la joie des soldats quand ils la voient s’effondrer au sol

Bravo, les gas, on la eu la grosse ! Ne bouger pas je vais la finir, elle regrettera d'avoir eu le toupet de m'attaquer !

D'un geste serein monté sur son cheval, il décoche son épée et s'approche de la victime, mais au moment de la frapper, elle lui attrape le pied et relève la tête, Valium prend peur et tente de partir mais la bougresse s'accroche à son pied
La paysanne

Mon prince, Bamael le félon ! il est de retour...ah...sau..ah !

Visage déconfit, du prince et puis la colère !
Mes fidèles soldat , Bamael est de retour ! jamais ce traite ne montera sur le trône ! et puis qu'a t'elle voulu dire par sau...c'te maudite paysanne n'a pas pu finir sa phrase ! c'est toujours pareil avec eux, aucun honneur...
sau...sau...hum


Un soldat :
Sautez peu être non ? hein ?

Valium :
hum, oui peut être sautez , Bamael arrive en sautant..tu a surement raison, mes amis, ils faut se dépêcher et s'entrainer avant son arrivé, vite en route !
Valium et toute sa troupe partir en direction de Castres, et l'on pouvaient voir une dizaine de cavalier partir, d'on l'un avait une femme accroché à sa botte
Chipette
Chipette écoute ... Gné Bamael rhoooooo et la dame alors l'est mourrut pffff et Dévil l'est où et Maman et .... Pas très patiente la fille... Donc Bamael le frelon ou félon arrive pour tuer Valium.... En sautant ??? Etrange mais bon c'était avant ca , il y a longtemps..S'battaient pas comme maintenant... Chip repart dans ses visions et imagine le fameux Bamael sautant à pieds joints ...





Chtoing ! greling ! blong !

P'tain j'm'en vois mais jl'aurais ce Valium, à moi Toulouse. J'en serais le Comte et je partirais avec la caisse... Sur un pied ce coup ci ...

Chtong , chtong ..

Allez encore quelques sauts et je pourrais combattre ce Valium... Vais lui couper la mèche moi !!!

Chtong doing blong

Maudite Armure !!! Maudite grosse qui me fait sauter ....
Hannnnnn zut flute crotte sont déjà parti... Je boude...


Et le pauvre Bamael saute de plus belle

Attendez moi nous !!!! Je suis le felon, zavez pas le droit de me faire ce coup là pffff... C'est deg...

Chtong, chtong....


Sursaute, regarde Duflan et Paqui...

Doit avoir mal aux pieds le Bamael hein ? Pi Dévil l'est ou ? C'est lui qu'est déguisé ? Moman c'est po la grosse dis hein ?

Devant le regard agacé de Duflan et de Paqui, Chipette se tait, boit un coup et attend la suite ...
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Duflan
Ça lui donné soif, de parler comme ça et puis faim aussi, toutes ses bonnes nourritures juste devant ses yeux à tourner sur cette broche, il aurait bien mordu à pleine dents dedans, mais il y avait un problème de taille, et celui la s'appelait la Paquita dit la maudite pour les intimes.
Il s'imagina sautant sur la broche avant qu'elle ne lui arrache la viande des mains, il aurait bien le temps d'avaler deux trois gros morceaux, mais bon, les coups qui s'en suivraient le refrénait dans cette solution.


me donne faim, moy cte viande là ?, on pourrait en avoir un morceau , oh juste pour gouter ! hein ?

ET voila que la chipette en remettait une couche avec sa mâmâânn.., pas possible ça, il racontait n'importe quoi de toute façon, et il allait pas se gêner pour continuer surtout si l'autre gober tout, il espérait que ou il était il se marrait bien le Devil

Mais , non ta mAmann c'est pas la grosse..., pis écoute d'on tu va comprendre, tu va voir...
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--Prince_valium





Le prince Valium et ses soldats arrivèrent devant les palissades énormes de Castres !

Valium

Ola, ouvrez la porte c'est moi le prince Valium

La ville de Castres à l'époque était la plus fortifiée, ses hautes palissades en bois apportée la tranquillité à ses villageois, le bourgmestre de l'époque s'appelait Braccot, un homme bourru portant une immense barbe, on prétendait qu'il était issue du peuple des montagnes, pas méchant mais à moitié sauvage.
L'homme ne pensait qu'a entourer son village d'immense tronc d'arbre et de creuser pour les mines


Braccot:
Oauis, l'es pourquoi ? et qui va là ! hein ! j’aime pas trop qu'on me dérange pendant que je creuse dans ma mine !

Valium :
AH ah, je te comprends bien mon cher gaillard, moi aussi j'aime creuser mon trou ! Rien de mieux que ça, mais là n'es pas la question je suis Valium ton prince et je veux entrer, je m’impatiente un petit peu là

Braccot mâchouillant un os et regardant du haut sa palissade
Oauis, oauis et qui me dis que t'es pas un brigand hein ! ouais qui me dis que tu viens pas me voler mes troncs d'arbre, hein ?
D'abord donne moi le mot de passe , allez je t'écoute


Valium sentait la colère montait en lui et se retourna vers ses soldats
Qu'il mange sa barbe, se bougre de montagnard, qui connait le mot de passe ?

Un des soldats:
Hum...il me semble avoir entendu parler d'un truc comme ça entre une vieille dame et sa petite fille, une sale gamine si vous voulez mon avis, attendez que je me souvienne, hum....
Oui, voila c'est tire la chevillette et la bobinette s'ouvrira...


Valium éclata de bonheur et frappa dans le dos de son soldat
Bravo ! bien vu ! oauis ! et you you you ou ou !
ET puis d'une voix sure il donna le mot de passe à braccot, par chance celui la n'avait aucune mémoire et ne se souvenait jamais du vrai de mot de passe, alors il fit signe qu'on ouvre la porte

Braccot:
Bon très bien, mais dis moi qu'est ce qui t’amènes ici ? hein ?

Valium :
ET bien, Bamael le félon arrive et...mais..

A peine avait-il entendu le nom d'Bamael que le braccot avait donné l'ordre de refermer les portes avant que Valium et sa troupe puissent passer

Valium:
Mais, que fais tu ?
Bracco
Bamael, le fourbe ! LE félon arrive et tu veux que j’ouvre mes portes jamais, ce traite, cte bouffeur de piquet, cte effondreur de mines ! ne posera pied içi ! Vite aux armes ! Bamael l'ignoble arrive ! Les portes sont fermées à jamais !

Valium pris peur et implora sans réussite l'ouverture des portes, il parti sans avoir maudit une dernière fois le Braccot et le village de castres, voila pourquoi depuis à Castres on ne trouve que du bois pourri !
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