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[RP] On est là pour voir le défilé !

Abraxes
Le Capitaine d'Anjou était heureux. Il avait reçu l'approbation de sa Grâce Vendettal pour l'organisation d'une grande parade militaire afin de faire partager à toute la population le moral d'acier de nos valeureuses troupes, à l'heure où la reyne sanglante tentait difficilement de mobiliser contre le Ponant, contre nos libertés. Et à la caserne officiers, soldats et même nouvelles recrues avaient répondu d'enthousiasme à sa proposition. On allait pouvoir défiler fièrement dans les rues de la capitale, et montrer qu'on n'était pas prêt à se laisser faire.

Déjà, commençait à s'édifier, à grands coups de marteaux, la tribune officielle depuis laquelle la Duchesse et les Conseillers pourraient saluer le passage des valeureux combattants et réservistes de l'Ost angevin.

De sa voix forte et claire qu'amplifiaient ses mains en porte-voix, il ameuta les passants, afin qu'ils colportent la nouvelle et que la foule commence bientôt à s'amasser sur le trajet du cortège.


Angevins, Angevines, et vous chers amis Ponantais venus de partout combattre à nos côtés, oyez !

Vous êtes conviés à venir acclamer en masse, à partir de ce beau samedi 10 septembre, la grande parade militaire qui va défiler dans nos rues depuis les casernements jusqu'au Château, pour vous montrer la détermination et l'armement de nos soldats de métier, ceux de l'Ost angevin, formés par nos instructeurs, entraînés à la caserne, présents toute l'année même quand vous n'en êtes pas conscients, et qui sont actuellement mobilisées dans les différentes armées de l'Anjou et de ses alliés poitevins, bretons, artésiens, guyennais, certains partis aussi prêter main forte au Berry…

Venez admirer les uniformes, envier les musculatures acquises à l'exercice et au combat, apprécier la solidité des armes… Et, si vous êtes tentés de rejoindre les rangs de notre armée ducale permanente conduite par notre excellent Commandant des casernes Ecurey, si la joie des nouvelles recrues vous donne envie de faire de même, vous trouverez au long du défilé des tables tenues par nos recruteurs, qui pourront vous inscrire et vous indiquer la marche à suivre pour vous engager.

Sur la tribune que vous voyez ici en cours d'édification, notre Duchesse en personne viendra savourer le spectacle et marquer son estime pour nos braves.

Allez, et portez partout la nouvelle ! Et que, si elle parvient aux oreilles de nos ennemis, ils en soient terrifiés, et rentrent pleurer chez eux au plus vite. Car notre parade sera non seulement démonstration de force, mais affirmation de notre détermination à ne pas céder, dussent tous les méchants soudards de la Malreyne s'entasser sous nos murailles !


Ayant dit, avant l'extinction de voix qui menaçait il se versa une rasade de ce vin d'Anjou qui apporte le bonheur.

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Le plus pimpant éleveur de cochons de toute la côte ouest, et un vrai Saumurois s'il en est.
(la petite Reyne de l'Anjou, le 21 avril 1457 à Bourges lors du 5e GFC)
Ecurey
Ecurey arriva au point de rassemblement il descendit de son cheval.
L’épée bien aiguiser dans son fourreau, le bouclier à la main, le casque sur la tête.

Il vit l’oriflamme de notre armée était là. Ses couleurs pour lequel soldat et civile se battait depuis déjà longtemps.

Maintenant il reste plus qu’a attendre que la garnison.
Arthur12
Arthur etait venu de saumur pour voir les troupes qui combattaient a son coté .
Il avait reviti son uniforme , aiguisé son epee , lustrer son bouclier pour cette occasion.

Il se placa au premier rang pour voir les soldats tout pres meme si cela ne l'impressionait pas , etant un soldat lui meme .
Loupio, incarné par Abraxes


Le fiston du maréchal-ferrant adorait jouer à la guerre. Peut-être parce qu'il avait toujours cru que son père était Maréchal, et que parmi les cavaliers qui défilaient à la forge beaucoup étaient de nobles soldats. Vocation précoce.

Dés qu'il entendit annoncer le spectacle, il quitta la jupe de cuir du paternel pour aller voir de quoi il retournait. Il avait lui-même fière allure, avec son cheval de bois, son sabre de bois… Pour la gueule de bois on verrait plus tard, il était encore un peu jeune, même pour un Angevin.


Ils sont où, les soldats ?

Il se tordait le cou pour essayer de voir plus loin, du côté de la caserne, et être le premier à les voir arriver.
Lluwella
Abra lui avait dit qu’en tant que capitaine fraichement nommé du duché d’Anjou, il envisageait d’organiser un défilé militaire. La duchesse avait donné son accord de principe. Lulu trouvait ça un peu bizarre d’organiser un truc pareil alors que c’était la guerre. Surement un truc de militaire que le commun des mortels ne pouvait pas comprendre.

Mais bon c’était son ami, et les soldats qui défendaient le Ponant méritaient bien qu’on leur rendent hommage. Aussi en ce jour, s’était-elle levé au chant du clairon (euh du coq, mais c’est presque pareil hein !) pour être aux premières loges sur le trajet dudit défilé.

En dépit de l’heure matinale il y avait déjà quelques personnes qui attendaient. Lulu reprit sa place habituelle dans les branches de son arbre préféré de la place du village, où elle s’installa le plus confortablement possible, pour attendre l’arrivée du cortège. Au moins de là-haut, elle ne serait pas gênée pour voir le spectacle, ce qui était souvent le cas du fait de sa petite taille.
Richy84
Richy arriva sur le lieu de rassemblement en tenue d'apparat. L'épée aiguisée et ruisselante rangée dans son fourreau, le bouclier lustré, dans lequel nous pouvions voir notre reflet et le casque flambant neuf. Sa tenue était impeccable, les galons de sergent sur ses épaules et fier de les montrer.
Il attendait avec ses officiers le reste de sa garnison afin de se mettre en place pour le défilé.


--La_vieille_de_saumur
Maintenant il faut que je me trouve une place. Une place confortable pour mes vieux oz.


Oh tien un tonneau je vais prendre place dessus.

J'espère que cela sera bien, que je me soit pas déplacer pour rien surtout.
Abraxes
Un peu fébrile, le Capitaine courait entre la caserne où les soldats étaient en pleins préparatifs (contrôle des tenues et répétition de l'ordre de marche), et les travaux d'érection de la tribune, qu'une escouade d'ouvriers spécialisés était en train d'assembler soigneusement, à grands coups de maillets. C'est qu'il ne fallait pas que les gradins s'écroulent sous le poids des officiels !

Allez, allez, on vérifie bien le soutènement, et ici je veux une rambarde, que sa Grâce ne risque pas de chuter si les pas cadencés de nos braves font trembler les planches !

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Le plus pimpant éleveur de cochons de toute la côte ouest, et un vrai Saumurois s'il en est.
(la petite Reyne de l'Anjou, le 21 avril 1457 à Bourges lors du 5e GFC)
--Shaiana
Doigts de fée ! Diablotins ! Gâteaux à la cannelle ! Je vous en mets pour 50 deniers, mon prince ? Léchez-vous les doigts, messeigneurs ! Dames, régalez-vous. C'est qu'il faudrait pas que vous tombiez de faim pendant le défilé…

Elle avait du bagout, la petite vendeuse. Dégaine de bohémienne mais port de reine, et environnée des senteurs de miel et d'épices de ses pâtisseries. Et pas mal se précipitaient pour être servis avant le gros de l'affluence. Mais du coup, bientôt il allait faire soif !

Atthenais
C'était l'effervescence à la caserne. Il fallait que tout soit parfait pour le défilé des soldats. Et Atthénais s'affairait à briquer sa bastarde, son écu et ses bottes. Une fois ceux-ci étincelants, elle enfila sa tenue tout propre, ajusta son baudrier et prit place derrière le sergent Richi84 fin prête.



La poulette dorée était depuis peu de temps dans l'armée d'Anjou. En voyant son duché constamment menacé par l'ennemi, elle s'était décidée à s'engager malgré ses quatorze printemps et bien sûr sans demander la moindre permission, sachant que son père très protecteur n'aurait pas vu son désir militaire d'un très bon œil. Depuis toute petite, elle rêvait de devenir soldat et enfin son rêve se réalisait. Et elle était fière notre Atthénais d'en faire aujourd'hui partie. Elle ne regrettait rien et était parfaitement certaine à présent que sa vocation était l'armée. Tenait elle ces gênes de sa grand-mère ? Allez savoir...

L'ambiance à la caserne était excellente, les nouvelles recrues bien entourées.

Ce fut une jeune fille radieuse dans sa tenue, parfaitement rangée qui attendit le début du défilé, la tête haute.

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Richy84
Richy prit position devant Atthenais, en tête de groupe, prêt à défiler derrière le groupe de Maximatorus. Le reste de la troupe ne tardait pas à arriver.

Ysabelot
Tout le monde courait partout, que ce soit à la caserne ou sur la place central, lieu choisi pour le défilé ...

La place d'Ysa l'attendait toujours la derrière le Sergent Richy, sur l'autre pointe du triangle ou se trouvait Atthenais. Visiblement la blonde avait eu beau faire elle était encore une fois limite en retard ... Pas sa faute si elle avait été retenu à la dernière minute à la mairie de Saumur pour encore une histoire de poisson pas frais ...

Oubliant un temps la mairie et ces soucis elle se concentra sur son uniforme ... les bottes impec, les bas c'est bon pas de plies, les braies et la chemise tout étaient au poil lui restait plus qu'a prendre son épée, son bouclier et son bâton ... La voila fin prête ...




Elle se glissa donc rapidement à sa place, non sans un salut à ses camarades ... Et attendit le signale du départ en observant tout autour d'elle ... Vraiment, la caserne était devenu sa seconde maison ... Elle était bien.
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Josselin2
Josselin2 arriva sur place avec la tenue des grands jours. Il était fier de pouvoir défiler ainsi pour la première fois accompagné de ces compagnons d'armes. Malgré un séjour forcé chez les moines et de longues périodes d'immobilisation, il se sentait plus que jamais proche de ces collègues. C'est pourquoi il arbora un large sourire lorsqu'il prit place devant Maximatorus, Globs et Logan ; l'oriflamme à la main
Loupio, incarné par Abraxes


Ah, voilà que les premiers uniformes apparaissaient, soldats et soldates (ces dernières bien jolies ma foi, même le petit gars était en âge de commencer à apprécier) s'organisaient selon des figures géométriques précises, ça fleurait bon la discipline, la force aussi, mais dans une sorte de bonne humeur pourtant : ces militaires se montraient heureux d'être là, on le sentait. Le combattant en herbe brûlait de se joindre à eux, mais il avait un peu peur… de se faire repérer par le paternel, à qui il n'avait pas demandé la permission de venir. Les baffes administrées par les grosses paluches du maréchal-ferrant étaient célèbres.

La populace qui se densifiait était également intéressante à regarder. Tant que le défilé n'avait pas commencé, c'était un charivari de marchandes de boustifailles salées ou sucrées hélant le chaland, de gens d'armes tentant de dégager le passage, de mômes couinant hissés sur les épaules de leurs parents, de gens tournant la tête dans tous les sens pour s'interpeller entre voisins… Il y en avait même une juchée dans un arbre, qui n'avait pas froid aux yeux, mais silencieuse celle-là, pour l'heure. Et, en fond sonore un peu plus loin, le rythme des maillets et des scies provenant du chantier de la tribune d'honneur, ponctué par les éclats de voix pressants d'un bonhomme qui devait se prendre pour quelqu'un d'important, à gueuler des ordres comme il le faisait.

Puis, venant des faubourgs est, une petite bande de copains quasi en âge de s'enrôler déboula en chantant à tue-tête une espèce de provocation narquoise aux forces de l'ordre.

Loupio battit des mains.


Bravo ! Bravo !

Il ne savait pas trop lui-même s'il applaudissait les jeunes et leur gouaille, le cortège à venir qui se formait devant la caserne, l'ambiance animée de la foule, les senteurs agréables des marchandes d'envies, ou la satisfaction qu'il éprouvait d'avoir échappé à la surveillance de son père pour profiter à loisir de cette belle journée.
Maximatorus1
Le sergent Maximatorus1 arriva à la caserne à l'heure prévue, il vit que nombre de ses camarades étaient déjà en train de se préparer et de mettre en place le défilé.

Il se prépara rapidement en enfilant sa tenue d'apparat et rejoignit les autres à l'extérieur, un rapide coup d’œil lui permit de reconnaitre la formation établie par l'état major et il y trouva sa place sans mal.

Il se plaça donc derrière son ami le lieutenant Josselin, heureux de le revoir en état de forme après sa blessure lors des premiers jours de conflit.

Il avait en ligne de mire l'oriflamme fièrement brandie et sentait derrière lui les autres soldats se positionner, bientot ils se mettraient en marche, déjà des gens se massaient autour de l'itinéraire prévu.

Maximatorus1 était aux anges, malgré les soucis liés à la guerre, cette parade montrerait que l'Anjou n'était pas prête de céder.
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Dans mon verre et dans mon cœur, l'Anjou apporte le bonheur.

cogito ergo sum
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