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[RP] On est là pour voir le défilé !

--Lzt_le_chroniqueur
Marauds et roturières, beaux sires et nobles dames, ici Léo Z'y Trône pour l'AAP en direct de la tribune officielle de la grande parade angevine, impressionnante démonstration de force militaire sur la place rouge, rouge et bleue évidemment aux couleurs de l'Anjou, l'ambiance est indescriptible, entre kermesse et grand-messe, guerre et paix, enfer et damnation, ombre et lumière, oh qu'elle est belle la Duchesse Vendettal dont la Reyne boudeuse a boudé l'allégeance, V comme victoire en lamé armé or et argent, son armure sans doute dessinée par la très grande disaïneuse Alatariel dont on murmure pourtant qu'elle serait souffrante mais quelle classe, quelle maîtrise, tandis qu'à côté de la duchesse je vois le sombre Connétable, et il n'est pas accompagné de son âme sœur, oh la la, se trame-t-il quelque chose, une nouvelle idylle, intrigue d'amoureux, nous sommes intrigués, nous n'en savons pas plus pour l'instant, tandis que les flonflons annoncent l'arrivée de l'avant-garde de nos défenseurs, oui, je les vois, casaque rouge et bleue toque métallisée c'est le lieutenant Josselin qui vient de prendre la courbe en brandissant le fier oriflamme de l'Ost, talonné par le groupe de Maximatorus dans lequel je distingue, mais oui, c'est bien le Bailli en personne, reconnaissable à sa chéchia, messire Globs qui a choisi de courir sous l'uniforme plutôt que de siéger à la tribune ducale, ah qu'ils sont méritants nos conseillers angevins et comme cela fait chaud au cœur toute cette solidarité, cette liesse, tandis que derrière les soldats un triangle parfait débouche au bout de la rue, emmené par le sergent Richy, tisserand dans le civil, ce sont des nouvelles recrues, très acclamées, je consulte mes notes et je vois que l'une d'elles est dame Ysabelot, maire de Saumur en personne, récemment entrée en formation à la caserne, ainsi que la fille aînée du maire d'Angers, je confirme que les élus et leurs familles n'hésitent pas à payer de leur personne, et je vois une recrue inconnue à la luxuriante chevelure, beaucoup de dames décidément parmi les récentes engagées, tandis qu'on me signale que c'est l'heure de la réclame, je vous retrouve très vite pour la suite de mon rapportage, j'en profite un instant pour reprendre mon souffle, c'était Léo Z'y Trône en direct du défilé de l'Ost angevin, à vous l'AAP !

De derrière la tribune, voix de femme, charmeuse :

Citation:
Besoin de vêtements ? Ne cherchez plus : contactez le meilleur tisserand de Saumur, RICHY84, merci à lui pour la qualité et la rapidité de son travail ^^ et ses prix avantageux !!!


Paradoxe ? Pendant la page de réclame, le rapporteur s'épongeait le front trempé de sueur, tout en s'humectant le gosier qui, lui, était sec… Effet d'un frénétique débit.de paroles réclamant l'urgente fréquentation d'un débit de boissons.
Josselin2
Josselin2 était prêt depuis un petit moment déjà, il avait vu arriver les derniers soldats ainsi que les invités au défilé qui prennaient place progressivement de chaque côté.

C'est alors qu'il entendit


Citation:
Lieutenant Josselin je t'invite à conduire notre défilée.


D'un pas léger mais en cadence il se mit donc en marche criant aussi fort qu'il lui en était possible
Dans mon verre comme dans mon coeur, l'Anjou m'apporte le bonheur
Killijo_de_denere
Killi avait entendu parler de la grande parade. Il avait été réveillé au chant du coq, son animal fétiche, celui qu'on ne confondrait jamais avec un clairon, car sa voix est bien plus mélodieuse. Namého. Il sortait à peine de sa mairie, sauf pour rendre visite à la famille, et encore. Il avait décidé de sortir tout de même ce jour, pour sa fille, pour l'assurer qu'il était à ses côtés de coeur, même s'il ne l'était pas encore physiquement. La mairie avait certainement plus besoin de ses bras et de sa cervelle que l'armée qui se préparait.

Il arriva sur la place où il vit sa fille chérie, son aînée, qui était devenue femme, bien qu'il préférait ne pas y penser. Il avait toujours envie de tuer le malandrin qui posait une main sur elle, ne serait-ce que pour lui baiser la main. Il venait seul, puisque désormais, il serait seul. Il avait eu tant de mal à s'habituer à l'idée qu'il ne sortirait plus à son idée, et aurait maintenant des comptes à rendre au moindre de ses pas, mais elle lui manquait. Terriblement. Et cette absence, il ne savait comment il pourrait l'expliquer à sa fille. De toute manière, c'était sa fête aujourd'hui. Il tenterait d'être le plus gai possible, en tentant de cacher son malaise.

Il vit que la duchesse était présente, magnifique. Son coeur se serra en voyant sa fille en tenue, et en entendant leur hymne. L'Anjou était fière, et il voulait continuer à travailler pour elle à sa manière. Il se mit plus près dans la foule pour la regarder défiler. Elle ressemblait de plus en plus à sa grand-mère. Il était fier d'elle, même s'il aurait préféré la savoir à l'école, étudiant les manières d'une jeune fille noble.

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Chez moi
La_foule, incarné par Abraxes
La foule est là, comme aux grands jours. C'est un grand jour ! La foule est massée, massive. La foule est heureuse, la foule vibre, la foule houleuse roule, roucoule, foule les pieds de la foule qui ne se plaint même pas. La foule est bon enfant. La foule est bon public. La foule salue les officiers, acclame les soldats, fait une ovation aux recrues. La foule se sent des envies de se mêler au défilé.

La foule a envie de s'engager, et c'est très bien, c'est utile, car déjà l'ennemi gronde aux portes de Saumur et il se pourrait bien que de la fête les troupes filent directement aux frontières…

Heureusement la foule est nombreuse, et le nombre allié à la discipline fera la force de l'Anjou. Tremblez, Reyne tyranne, le peuple angevin est dans la rue aux côtés de son armée.
--Leceline
Dans cette foule compacte, qui s'extasie devant ses soldats, alors que la menace est belle et bien réelle, est bien à leurs portes, Leceline reprend avec ferveur :


Dans Mon Verre Comme Dans Mon Coeur, l'Anjou apporte le Bonheur!!!


Elle suivit son exclamation d'applaudissements sonores en voyant les premiers soldats passer devant elle.
C'était un grand moment pour l'Anjou, ce sentiment d'être unis derrière une cause commune.

Si demain la Reyne tentait de braver les frontières de leur Duché, elle espérait que ces soldats sauraient les protéger contre ces royalistes qui pensaient pouvoir étendre leur tyrannie sur eux, indépendants et fiers.

"A bas la Reyne!!!" reprit-elle en choeur avec ses voisins. Il allait falloir lutter encore de longs jours mais au moins, elle connaissait la vaillance, l'investissement des soldats Angevins, parmi ceux qui défilaient, certains portaient des marques d'anciens combats.

Elle remarqua un brillant présentateur qui expliquait qui était qui dans le cortège, elle s'en approcha pour essayer d'identifier chaque protagoniste et sourit en entendant la teneur du discours.
--La_vieille_de_saumur
La vieille voyait arriver doucement le défilé. A cette instant porter par la joie de voir toute l'anjou réunie. Elle applaudit le soldat.

Elle s'exclama d'une foi bien forte et joyeuse :


Dans Mon Verre Comme Dans Mon Coeur, l'Anjou apporte le Bonheur!!!
Joffrey
Jo avait appris qu'un défilé avait lieu. Sachant sa petite fille dans l'armée , elle se décida , non point à défiler mais à en être spectatrice.

C'est ainsi que trouvant un endroit tranquille , elle se posta afin de bien voir Atthé et de lui montrer qu'elle en était fière.

Lorsque celle- ci passerai devant elle , Jo lui ferait un salut dans les règles.
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Agit\\\'prop, incarné par Abraxes
Le placardeur d'annonces sentait monter physiquement autour de lui l'enthousiasme populaire. Et cela l'emplissait de fierté, car il avait conscience de participer à un de ces moments importants où se soude l'unité d'une nation.

Bien que fatigué d'avoir à jouer des coudes pour se frayer un chemin, il se dépêcha de poursuivre sa tâche car le temps pressait, on rapportait de la frontière des nouvelles de combats et il fallait au plus vite que la campagne de propagande décidât les derniers hésitants à rejoindre les lances qui renforceraient les armées ponantaises.

Sur la façade somptueuse d'un échevin cossu, il apposa donc cette troisième incitation :

Citation:
Vous qui voulez vous enrichir, engagez vous !

Certes c'est un travail ingrat, qui ne vous rapportera parfois qu'un quignon de pain par jour, mais dites-vous ceci : si l'ennemi gagne, vous serez ruiné, nos mines saccagées ne produiront plus, le Duché ne pourra plus fournir d'animaux pour nos fermes, le marché fermera faute de provisions, les marchands ambulants ne déambuleront plus, vous devrez vous expatrier pour recommencer ailleurs à zéro, tout ce que vous avez commencé à acquérir sera réduit à néant.

Alors quel intérêt de prendre des embauches dans le but de vous enrichir, sachant que la ruine vous attend ? Pour l' éviter, rejoignez nos rangs. Défendez votre propriété, votre échoppe, votre taverne, investissez vos économies dans des armes, c'est aujourd'hui un fier placement.

INVESTISSEZ-VOUS ! Venez vous renseigner au Bureau de recrutement, à l'entrée de la caserne : suivez la flèche.

Et voilà ! Pas mal du tout ! Les soldats dont le cortège l'avait maintenant rattrapé et dépassé tournaient un peu la tête au passage, mine de rien, pour lire la pancarte, et en semblaient satisfaits. Ce qui prouvait au moins qu'il n'y avait pas que des analphabètes dans les rangs.
Globs
Globs regardait oisivement la foule s'amaser au fur et a mesure que la tribune officielle se remplissait. Quand il entendit enfin l'ordre de marche, il bonba le torse et releva fierement la tête.

Citation:
En avant toute.
Dans mon verre comme dans mon cœur, l'Anjou apporte le bonheur.


Le soldat Globs suivit la cadence donné par le Lieutenant Josselin et hurla aussi fort que lui...
Dans mon verre comme dans mon coeur, l'Anjou apporte le bonheur

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--Lzt_le_chroniqueur
Eh bien, toujours depuis la tribune d'honneur dressée pour saluer la grande parade angevine, me revoici, beaux sires et nobles dames, marauds et roturières, Léo Z'y Trône pour l'AAP bonjour, tandis que le long cortège défile sous mes yeux, dans un ordre impeccable malgré les bousculades de la foule grouillante, ils sont venus ils sont tous là, ceux qui vont mourir nous saluent, tandis que je reçois par coursiers d'heure en heure des nouvelles alarmantes de la situation aux frontières, on m'indique de source officieuse mais "généralement" bien informée, excusez le jeu de mots, que la colonne impressionnante constituée pour ce grand spectacle populaire pourrait fort bien prolonger ensuite ses pas, en gardant la formation, jusqu'à l'ennemi qui menace à nos portes… Mais voici qu'on me dit aussi que la Duchesse pourrait prononcer bientôt une brève allocution, la Duchesse comme je vous le disais resplendissante dans le lamé or et argent de son armure de cérémonie tandis que le Capitaine debout non loin d'elle est comme à son habitude tout de cyan vêtu, braies blanches, col noir et, fait plus rare, toque noire également, l'épée au côté car lui aussi est mobilisé, il a laissé son bouclier au vestiaire je pense pour afficher sa confiance en la sécurité de la capitale, tandis que devant nous ça continue à s'écouler en un long flot imperturbable, la force tranquille, la fleur à l'arbalète, toujours tout ce rouge et ce bleu, et dans la foule certains parents attendris dont certains sont de haute souche, ce qui montre s'il en était besoin que la noblesse est comme tout le monde, sentimentale aussi, et envoie aussi ses fils et ses filles à la guerre verser leur sang, tandis qu'on me dit que le Commandant ne devrait pas tarder à donner l'ordre de halte pour l'écoute du discours officiel et l'annonce de certaines récompenses, je cherche à connaître les noms des heureux promus, tandis que là-bas apparaît l'infirmière-balai qui ferme la marche afin de porter secours aux éventuels malaises, surtout parmi le public car on ne compte plus les pieds écrasés et les évanouissements par étouffement, c'est tout l'Anjou qui est là aujourd'hui, sauf les soldats partis dans des troupes ponantaises qui ont opéré au Berry, au Limousin, et actuellement en train de défendre la ville de Saintes en proie à de viles attaques, ayons une pensée pour eux qui se battent loin des êtres chers mais je fais silence car j'entends du nouveau, je ne dois pas couvrir de ma voix les… je fais silence, je fais silence…
Atthenais
Tout en avançant en cadence, la tête toujours bien haute, le torse bombé, la poulette dorée guettait, guettait et... La première personne qu'elle vit fut son papounet. Du coup elle en tourna la tête toute heureuse qu'il soit venu et lui fit un large sourire. Mais là elle découvrit son père fatigué, un teint morose et des yeux tristes même si il lui souriait. Fronçant les sourcils, inquiète, elle en perdit le pas. Son voisin la ramena à la réalité et aussitôt elle reprit le rythme.

Était-ce la mort de son grand-frère qui affectait toujours son père ? Était il arrivé quelque chose à sa grand-mère ?... Ce fut dans un tumulte de questions dans sa tête qu' Atthénais continuait le défilé. Elle fut rapidement rassurée pour sa grand-mère quand elle la vit enfin, en bonne santé apparemment. Ses yeux suivaient sa grand-mère tandis qu'un sourire naissait à nouveau sur ses lèvres. Bientôt elle passerait devant elle. Allait elle réussir à se contenir, à se retenir pour ne pas aller rejoindre sa grand-mère qu'elle adorait énormément et dont elle suivait les pas ?

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Ecurey
Ecurey était là en train de surveiller le déroulement de l'arrière le défilé. Satisfait jusqu'à maintenant il souhaitez que cela continu comme cela.

La tribune officiel approchai à grand pas.

La population était innombrable. Il y avais beaucoup de bruit. Les angevins et les gens venu d'ailleurs était en délire.
D'une voie fort il dit :

ont s'arrête devant la tribune des officiels et ont se mets au garde a vous.

A cette instant il attendais qu'une seul réponse en cœur : "a vos ordre mon commandant".

Ysabelot


La foule des grands jours était de sortie, ça commençait même à être un peu la bousculade au fur et à mesure que l'on s’approchait de la tribune mais la blonde gardait le rythme et sa place dans le rang avec moult aplomb malgré la pression. Elle cherchait du regard, sans trop y croire connaissant mieux que personne son état de santé, la silhouette de sa sœur ... La colonne avance, joyeux ruban bleu et rouge au milieu de la foule en liesse ...

Citation:
ont s'arrête devant la tribune des officiels et ont se mets au garde a vous.


Une demi fraction de seconde pour intégrer l'ordre que ... d'une seule voix, ou presque ... la réponse fuse du rang ...

- A vos ordres mon Commandant !!
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Lluwella
Après avoir fait un petit signe à Abra qui se rendait à la tribune officielle, toujours perchée dans son arbre, Lulu était aux premières loges pour assister au défilé et admirer les soldats angevins bien disciplinés dans leurs magnifiques uniformes rouges et bleus. Au moins d'ici elle n'en perdait pas une miette, alors qu'en bas avec le foule qui se pressait, elle n'aurait probablement rien vu du tout.

Elle reconnut nombre des militaires présents et les applaudit bien fort lorsqu'ils passèrent devant son perchoir, avant de s'arrêter pour saluer les officiels à la tribune.
Cette manifestation était un vrai succès. Il était bien que les angevins soient venus en masse rendre hommage à leur armée.
Loupio, incarné par Abraxes


Le mioche trépignait d'allégresse depuis un moment, se faufilant entre les jupes des paysannes qui se battaient pour une place en bordure de cortège, et grappillant de-ci de-là des bouts de biscuits à la cannelle que certaines avaient l'imprudence de laisser traîner à peine pincés au bout de leurs doigts. C'est que l'heure du déjeuner était largement passée, et le défilé défilait depuis un bout de temps déjà.

Donc, il sautillait et grappillait, grappillait et sautillait, lorsque soudain retentit l'ordre de garde-à-vous, et la colonne bicolore s'immobilisa en une fraction de seconde, bel exemple de discipline et de cohésion. Loupio ne put retenir l'envie de les imiter, se figeant lui aussi sur place tout en clamant du plus fort qu'il pouvait :


À vos hordes, mon corps-mandant !

Un rire discret se fit entendre dans l'arbre juste au-dessus de lui.
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