Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4   >>

[RP] On est là pour voir le défilé !

Alatariel
C'était une situation assez cocasse que de voir ce qui restait de la Baronne de Chemillé, se battre contre une nuée de médicastre et de serviteur. "Trop faible" pour assister à la remise des médailles qu'on lui disait ! Ils en avaient de bonnes les médicastres.
Pour rien au monde, Alatariel n'aurait manqué cette cérémonie où sa soeur bien aimé, chérie, adorée, adulée, allait être décorée.

La baronne arriva donc à Angers sur une civière... car l'on ne se déplace pas à cheval lorsqu'on a l'abdomen transpercé de part en part par un boulet de couleuvrine tourangelle.

Ni une ni d'eux, on l'installe sur une estrade, où, debout, droite comme un i dans la robe que lui a confectionné son apprentie Lubbia - une tourangelle dont la patronne était de l'autre côté de la couleuvrine. Ironie toute prononcé la baronne avait agrafé sa médaille de l'ordre du Lys - ordre du mérite royal- mais sous la cotte.


Et elle était fière, la baronne quand elle aperçu la chevelure blonde de sa soeur adorée, Ysabelot du Bois doré Penthièvre.

_________________
Saltarius
Pffffffffffffffffffffffffffça braillait,ça courait, ça pêtait partout à Saumur..
Le Saint n'était même pas chez Ari en train de jouer avec Béca, l'était dans son lit et venait de se relever pour la quinzième fois pour pisser.
L'entendit à travers la fenêtre qui n'existait pas encore...
Le Maje Titi devait finir les travaux du manoir mais l'avait sans doute d'autres choses à faire...

-allons, bon...

Faut dire qu'il vivait reclus, le SAint...
Bécassine le fatiguait... Tout le fatiguait...
Saul la taverne...
Bon paraît qu'il y avait une nouvelle Reyne, une peau de vache...
La guerre...

Sortit son nez...
Vit tous les p'tits saumuriens marcher au pas, en ligne.
L'avait jamais su faire ça le SAint, même à l'armée quand par hasard l'y était.
On l'y gardait parce qu'il était costaud...
Mais les défilés, il les faisait à la cantine.
Dans ses verres....
Pas dans son coeur, l'en avait pas...
Et l'bonheur savait trop c'que c'était....
Se mit à rire et puis à chanter avec les autres, ça il aimait faire...
Repris avec son accent piqué Ari sait où :

On est pas là pour se faire engueuler
_________________
Vendettal
Abraxes à sa droite, V regarde la foule s'amasser. Bientot la tribune se remplie. Coup d'oeil à droite... Brennus! Hum... Ce n'est pas que V n'est pas ravie de le voir, loin de là; mais voilà plusieurs jours que partout où elle va, il est présent...
Une seconde de reflexion intense et... non!! Par Aristote! Le connetable s'est il mis en tête de la suivre? De l'escorter?? Mouarf... Il prend vraiment son travail à coeur pour vouloir la proteger comme ça. C'est donc d'autant plus ravie qu'elle le salut en retour en lui faisant signe de prendre place à ses cotés.

Mais très vite ses fières soldats arrivent. D'un pas unique, ils respirent à l'unisson. A l'arrêt devant la tribune, V se lève d'un bond et se met au garde à vous pour les saluer et leur rendre honneur. De longues minutes passent... sans un mot. Elle dévisage tous les hommes et les femmes présents devant elle. Elle les connait quasiment tous. Une bouffée de fierté l'envahit soudain. Une respiration plus tard, elle s'adresse à eux.


Nous sommes fière d'être là aujourd'hui. Parce que l'Anjou sans vous ne serait plus. Parce que ses terres sont notres et que vous êtes la pour les défendre au péril de votre vie. Au nom du peuple tout entier, et en notre nom, nous vous remercions humblement.

Inclinaison de tête et regard qui parcoure les militaires.

Ca c'est l'Anjou!! Au delà des rancoeurs et des divergeances au sein de notre duché, face à l'adversité, c'est l'unité qui vaincra! Pour l'Anjou et pour la liberté qui est si chère à nos yeux!

Nouveau salut, V est de nouveau au garde à vous. Puis elle pose son regard sur Abraxes afin qu'il prenne la suite.
_________________
Abraxes
Moment d'intense émotion. Abraxes avait écouté avec ferveur les paroles de la Duchesse. Comme du regard elle l'invitait à poursuivre, il se racla la gorge. Par où commencer ? Comment conclure ? Quelle responsabilité…

Oui, vaillants militaires de l'Ost angevin ici assemblés pour faire état de notre force, de notre détermination, du fond du cœur MERCI. Mais, sans nulle inquiétude, nous vous savions prêts à ce témoignage d'enthousiasme et de discipline, dans l'allégresse de cette journée, comme nous vous savons prêts chaque jour au sacrifice de vos vies dans la sombre fureur des batailles que veut nous imposer la Reyne carnassière..

Son regard se posa, par-delà la troupe figée au garde-à-vous, sur la foule qui s'était tue dès les premiers mots de Vendettal et qui bougeait vaguement, par petites ondes calmes. Certains détails en émergeaient, avec un relief affectif particulier. Il fut touché au plus profond par l'apparition de la Baronne Alatariel, qui à l'article de la mort se faisait porter en ces lieux, symbole sans pareil de l'Histoire du Duché depuis de longues années et manifestation éblouissante de la vie chevillée au corps de l'Anjou, têtue et résistante ! Il s'inclina profondément dans sa direction, en signe de gratitude et de respect immense.

Il vit aussi, dans la présence du Saint Plet, l'indice de la faveur de Bécassine patronne de l'Anjou, bénissant cette cérémonie à laquelle manquerait hélas la chaude présence de Mgr Navigius…

Et je voudrais ajouter : merci à vous tous, Angevins et amis présents sur notre sol, d'être venus aussi nombreux aujourd'hui soutenir nos forces armées. C'est pour elles, pour nous tous, un encouragement précieux. C'est avec votre image persistante à l'esprit que nos braves, et moi comme eux, allons aller, tout de suite après cette cérémonie, affronter l'ennemi pour préserver nos familles, nos biens, nos valeurs de liberté et de fierté !

Ayons aussi une pensée pour ceux qui se battent au loin, dans d'autres armées du Ponant, pour notre cause.


Il tira de sa poche un pli reçu l'avant-veille, d'un soldat qu'il avait informé de la tenue de la parade.

De l'un d'eux, le soldat Idefix, j'ai reçu ces quelques lignes, qui vous émouvront autant que moi par leur touchante simplicité, la camaraderie et le courage qui s'y expriment sans forfanterie :

Citation:
B'soir

J'espère que Saumur est toujours en Anjou, et que vous gardez bien ma bicoque... elle me manque un peu, mais bon d'un autre coté j'balade pas mal, j'vais pas m'en plaindre ! puis j'vous l'jure y'a des damoiselles charmantes dans les armées poit'vines, j'aurais jamais cru !

Enfin v'la... tout ca pour dire que j'défilerai moi aussi, mais sur les sentiers a la recherche d'une ou deux armées d'la reyne a détruire... puis qui sait, si j'pouvais, j'irais bien chaoutiller la reyne directement meme tiens !

Bien l'bonjour a tout mes amis d'anjou

fix

Voilà. Je salue particulièrement, parmi ceux qui ont défilé ici sous nos drapeaux, des Conseillers ducaux qui donnent l'exemple. Puissent-ils vous inciter nombreux, vous qui êtes venus acclamer notre défilé, à rejoindre l'Ost angevin si vous n'y êtes déjà, comme vous y incitent les affiches que vous avez pu lire ou vous faire lire.

La vie de notre caserne est également gratifiante, stimulante, éducative, chaleureuse, et le Commandant Ecurey va vous en donner la preuve en mettant à l'honneur certaines de nos recrues méritantes.

Ensuite, nous irons combattre. Nous ne faiblirons pas. Qu'Aristote nous garde, que Sainte Bécassine nous tienne sous sa protection, parfois un peu rugueuse mais sacrément efficace. Vive l'Anjou, dans nos verres comme dans nos cœurs !


Maintenant, le Commandant Ecurey allait pouvoir annoncer les promotions et leurs motifs. Un roulement de tambour le précéda.

_________________

Le plus pimpant éleveur de cochons de toute la côte ouest, et un vrai Saumurois s'il en est.
(la petite Reyne de l'Anjou, le 21 avril 1457 à Bourges lors du 5e GFC)
Atthenais
La blondine avait répondu, d'une voix forte et claire,en même temps que ses camarades à l'ordre donné par leur commandant.

Et fièrement elle avait écouté les discours, celui de leur Duchesse, moment émouvant. C'était la première fois qu'Atthénais assistait à une telle cérémonie. Et elle buvait chaque parole avec attention et intérêt.

Un roulement de tambour se fit entendre. Le commandant Ecurey allait s'exprimer à son tour et la jeune fille le suivit des yeux.

_________________
Ecurey
Le temps était venu de prendre la parole. La grande famille militaire est là devant lui. Il était fiers d'eux il avais accomplie. Mais notre mission n'est pas terminer. D'une voie bien forte il prononça son discourt :

Bonjour a toutes et a tous,

Merci capitaine.

Je demande aux recrûs Ysabelot et Atthenais d’avancer de trois pas.

Recrût Ysabelot c’est pour moi un très grand plaisir de vous nommer Soldat. Votre participation active à la vie de la caserne à était remarquer. Durant cette période difficile vous avez combattu avec vos frères d’armes et vous avez également nourri des bouches affamées en faisant cadeau de 120 sacs de maïs de vos champs à l'armée La Légion des ombres dans laquelle vous servez. Je ne puis que vous en remercier.

Recrût Atthenais quelle plaisir de vous nommez soldat aujourd’hui. Vous avez était intégrais très il y a peut de temps. Vous avez montré votre motivation par participation active à la vie de la caserne, votre excellent travail en temps que logisticienne de l’armée de Saumur. Durant cette période je ne peut pas oublier non plus votre participation au frais de bouche à l’armée la couleuvrine saumuroise. Vos 40 miches de pain ont était très appréciés par nos soldat, merci beaucoup.

Capitaine je vous invite à remettre les gallons à nous 2 nouveaux soldats.


un court silence
Le regard d’Ecurey balaye la population, et ses frères d’armes.



Vous le savez l’Anjou n’est point un moulin nous devons maintenant reprendre le chemin pour continuer à défendre nos terres.
Ysabelot
Il était tous là au garde à vous devant la tribune ... tous là enfin presque ... Il manquait tout ceux qui était partit ce battre loin de leurs terres, de leurs familles, de leurs amis, au nom et pour l'Anjou ... Elle trouva très bien que la Duchesse et le Capitaine ne les oublie pas en ce jour ...

Au premier mot du commandant la blonde se raidi pour parfaire son salut mais elle failli bien trébucher quand il leur demanda de faire 3 pas en avant avec Atthenais ...


Soldat !! Elle devenais soldat à par entière ... Elle rosi de plaisir mais ne pu s’empêcher de marmonner tout bas ... la belle affaire ... donner du maïs ... il était bien mieux dans l'estomac des soldats défendant notre terre que dans l'estomac de mes cochons ... Un sourire ce dessina sur son visage ... A moins que j’apprenne à mes cochon à tenir une épée et à défendre leurs enclos ...

Fière et droite elle salua à la fin du discours par un Merci mon commandant !
_________________
Josselin2
Josselin2 était toujours présent et suivait les différents événements qui s'enchainaient. L'allocution de la duchesse, le petit message d'Idefix et enfin, peut être le moment le plus attendu, la promotion d'ysabelot et d'Atthenais. Il pouvait discerner sur leur visage une fierté et une joie immense. Cette joie et cette fierté il la partager fortement. Il savait qu'avec ce genre de personne dans l'ost angevin, l'Anjou donnerait bien du fil à retorder à ses ennemis !
Maximatorus1
Maximatorus1 avait défilé avec les autres, arrivant finalement avec fierté devant la tribune où se tenaient la duchesse et le capitaine, il écouta avec intérêt leurs discours, heureux de voir l'ost d'Anjou reconnu à la juste valeur de ses services.

Vint ensuite le temps des nominations des nouveaux soldats, avec notamment Ysabelot et Atthenais, dont il était très fier de les voir rejoindre l'armée.

Mais il était grand temps, cette parade avait été une belle parenthèse, mais le moment était revenu d'aller repousser les ennemis hors des belles frontière angevines...

_________________
Dans mon verre et dans mon cœur, l'Anjou apporte le bonheur.

cogito ergo sum
Abraxes
Solennel comme un petit paysan qui serait devenu Capitaine sans passer par les usures de la routine et l'habitude des cérémonies, Abraxes descendu de la tribune pendant l'allocution du Commandant vit que le moment était venu de remettre aux deux recrues la preuve de leur promotion.

Il s'avança.


Par ces galons, jeune Atthenais, je te déclare membre à part entière de l'Ost angevin, notre armée ducale permanente. Bravo.

Accolade ou pas ? Mince, personne ne lui avait rien dit sur le sujet. Bah, une jolie soldate, va pour l'accolade.

Par ces galons, dame Ysabelot, je vous déclare membre à part entière de l'Ost angevin, notre armée ducale permanente. Bravo.

Et hop, re-accolade. Beaucoup de recrues femmes, ces derniers temps. Pourvu que d'autres villageoises s'enhardissent, du coup, à suivre leur exemple. Non, l'armée d'Anjou n'est pas que pour les soldats velus.

Puis il recula d'un pas, car ça on le lui avait bien précisé : à la fin, on échange les saluts militaires.

Fier et droit, il salua.

_________________

Le plus pimpant éleveur de cochons de toute la côte ouest, et un vrai Saumurois s'il en est.
(la petite Reyne de l'Anjou, le 21 avril 1457 à Bourges lors du 5e GFC)
Alatariel
Une quinte de toux vint secouer le frêle corps de la baronne. En un rien de temps elle cacha son visage et le sang qui perlait à ses lèvres dans un mouvoir carmin. Mais alors les spasmes qui la secouait, elle eut le temps de croiser le regard d'Abraxes.
C'était bête à dire, mais elle ne l'avait porté dans son coeur et en cet instant se sentie idiote comme jamais elle ne l'avait été. Elle répondit à son salut par une inclination de la tête et un sourire franc.
S'il ne lui restait pas longtemps à vivre, il faudrait au moins qu'elle répare cette erreur là et rende justice à Abraxes.

Une nouvelle quinte de toux agita le corps de la baronne, au moment même où l'on appelait sa soeur.

Et les larmes vinrent embuer ses yeux. oh ça elle était fière de sa soeur, fière surtout de la vie qui l'animait et la faisait avancé quand elle-même n'aspirait plus qu'à rejoindre Artémisa Beucheumeu et Sirdecno le seul amour de sa vie.
Elle était belle, Ysa, dans son uniforme droite comme un i ! et attendrie en voyant le pas hésitant et le rouge monter aux joues de sa soeur.

-t'es la meilleur soeurette...
_________________
Ecurey
Au même instant que le capitaine fit le salut, Ecurey fit de même.

Maintenant le protocole est terminé nous pouvons respirez se disais t'il quoi que.

La toux de la baronne inquiéta soudain Ecurey.
Il est vrai que nos méthodes de soin à l'armée ne son peut être pas les meilleurs. Mais ont ne peut pas laissez un malade sur le bord du chemin.

A cette instant il fut surpris de ne plus voir l'infirmière sans doute était elle en train de soigne des soldats ou encore des personnes parmi la foule qui s'était bléser.


Mais où est donc passé notre infirmière ? Si quelqu'un la voie je vous demande de l'invité à proposer c'est service au prés de la baronne Alatariel pour la soulager au mieux.
Atthenais
A l'appel de son nom, Atthénais avait fait trois pas en avant se trouvant du coup près de sa compagne d'arme Ysabelot. Elle fit un salut impeccable. C'est qu'elle s'était longuement entrainée devant le miroir la poulette dorée. Mais son visage avait pris une couleur coquelicot tout de même. C'est qu'elle était timide la blondine et sentir tous les regards tournés sur elle....

Elle remercia leur commandant également, tandis que s'avançait le capitaine des armées. Tremblante, elle écouta Abraxes et quand il lui fit l'accolade, elle devint couleur pivoine.

Je... je... vous... re... mer... mer... cie Capi... Capitaine !

Et une poulette qui bafouillait ! une ! Bon sang ! elle aurait aimé se cacher dans les jupons de sa grand-mère ou les braies de son père à ce moment précis. Mais bon ! Cela ne l'aurait pas fait tout de même. Atthénais avait voulu entrer dans l'armée, elle devait continuer à agir en adulte, bien qu'avec ses quatorze printemps elle n'en était pas vraiment une. Elle respira un bon coup et releva la tête écarlate fièrement, se tenant bien droite pour saluer comme il se doit leur Capitaine.
_________________
Killijo_de_denere
A l'annonce du nom de sa fille, Killi sentit une bouffée de fierté l'envahir. Il n'était point heureux de savoir les choix de sa fille, craignant pour sa vie en ces circonstances difficiles, mais il savait qu'elle voulait marcher dans les pas de sa grand-mère. Elle lui avait dit qu'elle s'entraînait dur. Il savait qu'elle devait certainement se donner à fond pour faire ses preuves. Il sourit en voyant les belles couleurs qu'elle avait prises en avançant vers le capitaine cochonnier.

Atthenais a écrit:
Je... je... vous... re... mer... mer... cie Capi... Capitaine !


Killi sourit. Le capitaine avait réussi à troubler sa fille. Il faudrait qu'il lui donne sa méthode, car il était soufflé de voir sa fille perdre ainsi son bagoût. Son enfant devenait une grande maintenant. Bientôt, elle deviendrait peut être elle-même capitaine d'armée, et mènerait des hommes à la baguette. Et ça, elle savait faire. Il attendit que la cérémonie se termine. Il serait bien temps de lui offrir une nouvelle épée, et une tenue pour qu'elle s'entraîne.
_________________
Chez moi
--Lzt_le_chroniqueur
Eh voilà, la cérémonie s'est achevée et autour de moi s'est vidée la tribune que déjà les ouvriers commencent à démonter, comme se vide la place alors que les soldats ont rejoint le front où les plus grands combats sont engagés, ce fut une bien belle et enthousiasmante journée et, tout comme ses organisateurs, j'espère qu'elle aura donné du courage à ceux qui sont allés combattre et de l'endurance aussi à ceux qui restent pour assurer le ravitaillement et qu'elle aura fait comprendre aux espions ennemis à quel point l'Anjou, même assiégé, même affamé, même massacré, jamais ne plie devant les arrogances de l'envahisseur, oui ce fut une magnifique journée à l'unisson des cœurs et si votre commentateur favori reste encore un peu ici à la prolonger à mi-voix dans le silence revenu c'est parce qu'au-delà de l'émotion momentanée perdure l'appel à rejoindre l'Ost angevin, que concrétise cette solide planche fermement posée sur un trépied au centre de la place, avec son inscription gravée au fer rouge dans le bois, je vous laisse la regarder, c'était Léo Z'y Trône pour l'AAP, je vous laisse la lire ou vous la faire lire, la méditer et la comprendre, marauds et roturières, beaux sires et nobles dames, bonsoir.


Citation:
Qu'est-ce que l'Ost Angevin ?

L'Ost angevin n'est pas plus la Couleuvrine Saumuroise qu'aucune autre des armées dans lesquelles vos proches ou vous-mêmes êtes actuellement engagés pour combattre. Vous pouvez être sous le drapeau de la Couleuvrine, ou d'une de nos armées alliées, sans être soldat de l'Ost, mais ce serait dommage.

L'Ost angevin est la structure militaire permanente de notre Duché, qui regroupe nos soldats de métier, en temps de paix comme en temps de guerre : hommes et femmes volontaires y sont instruits aux manœuvres, préparés à comprendre et exécuter les consignes ; en temps de paix chacun est autorisé à travailler au quotidien sauf ordre contraire dans son champ ou son échoppe ou à prendre un emploi à partir d'une certaine heure, mais chacun s'est engagé à rester disponible pour rejoindre une lance ou une armée sans perte de temps dès qu'il en reçoit l'ordre. C'est ainsi que nous forgeons notre capacité de riposte militaire immédiate. Ou que nous pouvons pourchasser les brigands qui auraient l'outrecuidance de vous racketter dans nos forêts.

L'Ost angevin, ce sont aussi des bâtiments, caserne, champs de manœuvre, bibliothèque, taverne intérieure, où seuls ont accès les membres autorisés. On y entre comme recrue après acceptation par le Commandant, on y pointe chaque jour pour mentionner son état (force, équipement…) et prendre les consignes. On y joue sur le terrain d'entraînement. On y commente les événements avec ses pairs et ses officiers. On peut y faire état de ses besoins en armement, en viande pour les muscles… On y apprend les bases du métier. Qu'on soit actif ou réserviste, on s'y retrouve dans une chaude fraternité.

Renseignements au Bureau de recrutement, à l'entrée de la caserne : suivez la flèche.

See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)