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[RP Fermé] De fil en fées, les fées se pavanent !

Caerellyn
Elle arriva juste quand Valeryane faisait l'annonce aux personnes présentes.
Corps fin et agile, elle se contorsionna entre les fauteuils pour se laisser tomber dans celui qu'elle avait repéré depuis l'entrée, point trop près ni trop loin de l'estrade.

Elle soupira discrètement. Que ne ferait-elle pas pour assister à un défilé ? rien ne la retenait, elle adorait les robes, luxueuses si possibles et valant des écus à ne pouvoir compter. Qu'importait, elle avait les moyens et avec sa fille, les jolie tenues étaient sa passion, irraisonnable passion.

Elle jeta un regard discret pour savoir si elle connaissait certaines personnes. Elle fut déçue, personne ! sauf les artistes bien sur.

Peut être qu'à la collation, car elle espéraient bien que serait servie une collation, le voyage l'avait affamée, elle ferait quelques connaissances !

Elle se cala bien dans son fauteuil et attendit.

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Helena.
[A Poitiers]

Helena était occupé à répondre à des courriers importants, lorsqu'un pigeon vint se déposer sur le rebord de la fenêtre et émis un petit son. La jeune leva la tête tout en fronçant les sourcils. Qui pouvait bien lui écrire à cette heure ci? Une lettre de la comtesse Oane. Dans un bruissement de robe elle se leva et se dirigea vers le volatile. Elle défit le parchemin et parcouru le contenu de celui ci en souriant.
Un défilé? Quel bonne idée, cela lui changerait un peu les idées et surement lui permettrait de faire de nouvelles connaissances.
Elle ferma son encrier et se dirigea vers sa commode pour choisir une robe afin de se rendre au défilé de mode automne-hiver de l'atelier des Fées Tisserandes.


[Quelques heures plus tard]


La jeune noble était enfin arrivée au lieu. Elle descendit du carrosse en souriant remontant la capuche sur sa tête cachant ainsi ses longs cheveux ébènes et légèrement son visage le temps d'affronter le froid hivernal qui s'était installé.
Elle poussa la porte et remarqua que déjà pas mal de monde était déjà arrivé et notamment l'une des artistes avait déjà pris la parole. Elle se cala contre une colonne discrètement et enleva sa cape qu'elle confia à l'un de ces serviteurs.
Maintenant il ne lui restait plus qu'à profiter du spectacle en toute discrétion.

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Marine.
Marine Blanche adorait les robes des Fées Tisserandes car il faut bien le dire, elles ont un don. Lorsque l'enfant reçut un pigeon, un grand sourire illumine son visage. Bien évidemment qu'elle va se rendre au défilé pour s'en mettre pleins la vue, ce n'est pas payant déjà et peut-être même qu'il y'aura quelque chose à manger. La gamine a faim car sur les champs de bataille, il est rare de se faire un repas de luxe. C'est soit pain, soit mais.

Bref, c'est l'occasion de se changer les idées et de rester bouche bée bêtement pendant quelques secondes, quelques minutes ou heures, tout dépendra de ce que réserve les Fées Tisserandes mais la rouquine est certaine qu'elle ne sera pas déçue. Roxy est laissé à Marc. Chenapan a sa selle. Tout est prêt pour le départ. Elle grimpe sur son poney avant de se rendre à l'adresse indiquée.

Marine Blanche a demandé quelques fois son chemin avant de trouver l'endroit. Elle attache son poney à un arbre avant de rentrer en poussant la porte et elle se faufile entre tout le monde, sans trop faire attention aux gens présents et elle remarque l'estrade. Sans doute est-ce là que les femmes vont défiler. Elle demande au serviteur de lui servir quelque chose à manger avant de partienter, tranquillement.

Tranquillement? Non.
Elle est impatiente.
Amarante.
Il était temps ! Un dernier regard vers Kory pour voir si elle avait compris et elle s’engouffra derrière la tenture rouge qui les cachait. Val allait devoir meubler un peu le temps du changement de tenue et faire quelques petit explicatif, mais là, elle se changeait et ce n’était pas une mince affaire …

Première tenue, celle de son amie Fleurette. Une robe au couleur d’automne. Elle prit le châle en fourrure et monta les quelque marche pour monter sur l’estrade. Un petit coup d’œil derrière le rideau. Le trac se faisait sentir, mais elle ne pouvait plus reculer maintenant …

Prenant une profonde inspiration et a l’appelle de Val, ouvrit la tenture et s’avança bien droite et un sourire ficher sur son visage.

Elle avançait d’un pas qu’elle voulait léger même si elle était tendue. Tous ses regards sur elle la stressaient un peu. Arriver en bout d’estrade, elle prit de chaque côté un bout de tissue et fit une légère révérence pour montrer la souplesse de la robe et du tissu. Un coup de talon et se retourna en faisant froufrouter le tout.

Elle n’avait pas encore vu Baudouin et dans l’action, elle se précipita presque vers ce rideau rouge qui l’appelait indéniablement …

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Les Fées Tisserandes ici
Hersende
[Avignon]

Hersende contempla avec surprise le vélin qu'on venait de lui apporter. Une invitation de Pertacus! cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas eu de nouvelles de lui...quoiqu'elle eût appris qu'il avait été frappé par le deuil.

Elle aurait dû être sa marraine. Et même si la cérémonie n'avait pas eu lieu, elle ne pouvait s'empêcher de le considérer comme son filleul.

Aussi lut-elle avec attention l'invitation... Un défilé de mode? On a beau être Marquise, essentiellement préoccupée des affaires de l'Etat, on n'en est pas moins femme. Hersende jeta un regard critique sur la tenue qu'elle portait. Quoique fort élégante, elle n'était sans doute pas à la dernière mode... Depuis qu'elle avait perdu son créateur vestimentaire, hélas décédé, elle avait l'impression de ne plus renouveler sa garde-robe

Ma foi cela serait l'occasion de voir de nouvelles créations et - elle n'en doutait pas - de céder au plaisir d'en acquérir! Elle rapporterait ces petites merveilles dans le sud où ses amies, mais plus certainement encore ses rivales, s'empresseraient de les copier...

Allons il ne fallait plus tergiverser! Elle fit envoyer une missive à Pertacus, atteler son carrosse et mander sa garde. Deux jours plus tard, elle quittait Avignon.

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Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales
Cleopatre2
La brune perdue dans les parchemins de la bibliothèque du Secrétariat d'Etat, n'avait point vu passer le temps.
Une voix l'avait appelé plusieurs fois... elle, elle avait dit qu'elle arrivait..mais elle s'était replongée dans les manuscrits...

Et maintenant, réalisant qu'on l'avait demandé ou rappelé une invitation à un défilé de mode de son amie, la jeune femme laissa tout tomber et partit précipitamment à l'endroit sus mentionné sur le velin.

Bien sur, elle s'était perdue dans les méandres des rues de Paris. Tournant en rond.. et revenant sur ses pas... Elle se demandait si elle arriverait à temps.

La Chef de Cabinet entra dans la salle, et s'installa sans bruit... déjà un modèle faisait son apparition sur l'estrade.
Ouff.. il était temps.

Un coup d'oeil à droite et à gauche, espérant voir des personnes connues.

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"Si tu n'espères pas l'inespéré, tu ne parviendras pas à le trouver" Héraclite
Caerellyn
Le rideau trembla et, instinctivement , elle se redressa, certainement l'apparition de la première robe.

Son souffle se suspendit. Sa bouche s'ouvrit mais aucun son n'en sortit fort heureusement pour ses voisines.

Elle était splendide, toute en tons d'automne, le tissu tombait à la perfection, il semblait léger mais tombait avec aplomb. La jupe du dessous était, à ce qu'elle pouvait voir un mélange de tissu mat et brillant qui rendait les fleurs si jolies . L'écharpe réchaufferait le tout.

Elle se demanda avec angoisse si elle était à vendre.

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Asterie
[Quelque temps auparavant.]

La baronne de Châteauneuf sur Cher avait reçue une invitation à un défilé celui des fées tisserande .
Elle avait mis le parchemin de cotés ne sachant si elle pourrait si rendre .
Sa fille aperçue le parchemin et comme il se devait le fait remarquer à sa mère .


Maman tu as reçue un parchemin t’invitant à un défilée de belle toilettes et tu ne m’en a rien dit!

Brianna je n’étais pas sûr de pouvoir m’y rendre avec tout le travail que j’ai je pensais en profiter une fois à Paris et …

Je pourrais t’y remplacer .

Non ma fille tu ne le peux pas n’as-tu point quelques parchemins à étudier et quelques théories à me réciter sur les différentes humeurs .

Oui mais .

Je sais ma chère enfant c’est très dur pour toi mais tes études passe avant .
Donc lorsque je reviendrais j’aimerais que tu soit prêt pour ta maîtrise de médecine .


[Le jour du défilé ]

Une voiture déposa la Baronne devant une grande demeure ou devait se dérouler le défilée des fées tisserande.
Elle était juste à l’heure elle donna son invitation puis on la plaça .
Elle salua les personnes présentent et attendit. Le défilée promettait d’être magnifique comme toutes les confections faites par les couturières.

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"Labor improbus omnia vincit"
--Margoulette


Margie regarda attentivement la robe, Amy avait la grâce et ses pas était léger, comme si elle flottait, la robe malgré l'étoffe de velours, n'était pas d'apparence lourde, mais suffisamment légère, elle prit la parole pour expliquer aux clientes, avec un grand sourire, elle s'était entraînée la jeune femme, avec les conseils de Val.

Voici une trés jolie création de la talentueuse apprentis couturière de maître Valeryane, elle est faite pour la saison d'un jupon imprimé, dans de la soie doublée, une surcote de velours, et d'une écharpe en fourrure de zibeline.

Pffiou! Margie n'était pas très forte avec les détails des robes, souvent c'était margoulette qui s'occupait des commande et elle faisait ses créations selon les étoffes commandés

La robe suivante vous sera présenté par Amarante, elle est une création de Valeryane.

Margie laissa place à la robe suivante...

Baudouin.
Amy, rideau rouge, robes. Baudouin, les bras chargés de sa fille. qui venait d'apparaître, somptueuse. Il resserra son étreinte sur l'enfant et sourit à la mère, plus charmeur qu'il n'aurait voulu, le vieil ours. Elle avait bonne mine et arborait les couleurs automnales avec grâce et beauté.

Il murmura doucement à sa fille.


Regarde mon trésor, tu as vu comme ta maman est belle?

Il était fier, heureux, un instant de paix dans un monde de guerre et de sang, il appréciait intensément qu'Amarante ait eu l'idée de l'inviter. Etre avec Korydwen était un ravissement.

La jeune mannequin improvisée s'en sortait très bien, elle faisait jouer le tissu de sa robe et ondulait doucement ce qui lui donnait un air à la fois innocent et voluptueux qu'elle savait si bien avoir parfois.

A nouveau, elle revint vers le rideau et en un instant, il se retrouva devant elle, sans trop savoir quoi dire.
Amarante.
Elle entendit à peine la voix de Margoulette qui faisait office de présentatrice. Sourire toujours fiché sur son visage, au moment où elle faisait demi-tour, elle croisa le regard de Baudouin qui tenait Kory dans ses bras. Son coeur manqua un battement, comme à chaque fois qu'elle le voyait. Rempart ou non, elle réagissait toujours de la même façon en sa présence et cela l'agaçait parfois. Cet homme là savait briser la moindre muraille érigé ...

Le rideau rouge et la voilà enfin à l'abri des regards, mais Ô surprise, c'était encore à elle !


Les filles pinaise mais ... Bon sang Val t'as fait quoi ?! Meuble ! Meuble, va y avoir un troue sinon !!

Vite vite, elle se changea à la va vite et passa les nouveaux vêtements. Elle s'installa sur un tabouret et se mit à grimacer de douleur pendant qu'une des filles la coiffait avec une résille. C'est à ce moment-là qu'elle le vit arriver ... Baudouin ...

Le rouge lui monta aux joues, autant pour la gêne de le revoir alors qu'elle était en train de se faire « martyriser », que de le revoir ainsi. Cela faisait si longtemps ...

Elle lui sourit, en essayant de ne pas crier quand une épingle lui arracha le cuir chevelu ...


Aïïïeuhhh !!! Doucement les filles !

... Baudouin ! ... Excuse-moi, je dois encore passer ... Mais installe-toi ! Je sais que tu n'es pas dans ton élément ici, mais profites ! J'aurais plus de temps après ce passage ... On discutera, promis !

Elle se leva et regarda si elle tout était bien mis malgré la rapidité du changement. Avant de remonter sur l'estrade, elle fit un petit bisou sur la joue de sa fille, posa une de ses mains sur le bras du soldat et y imprima une légère pression en guise de remerciement pour être venu.

Merci d'être venu ! Je file on m'attend ...

Elle grimpa de nouveau sur l'estrade, pris une autre inspiration et ouvrit le rideau encore une fois. Sourit à nouveau et elle avança, heureuse plus que jamais. IL était là, IL était venu et elle se sentait des ailes ...

Arrivé en bout de l'estrade, elle prit un pan du manteau de fourrure qu'elle fit remonter jusqu'à son visage pour en caresser la douceur du poil.

Comme la première fois, elle tourna sur elle-même et s'inclina légèrement. Finalement c'était agréable et très amusant de venir montrer ses robes ... Puis dans un geste gracieux, elle tourna les talons et se dirigea de nouveau vers ce rideau rouge où elle allait pouvoir retrouver Baudouin ...
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Les Fées Tisserandes ici
Korydwen.
Bien calée dans les bras de son papa, Kory se sentait grande. D'habitude, c'est le monde qui avait l'air grand comparé à elle, alors là, elle s'amusait à regarder tout ce qu'elle pouvait regarder, d'en haut.

{ Regarde mon trésor, tu as vu comme ta maman est belle? }

Toujou' belle mâma !

Bah oui, c'était sa maman, alors forcément c'était la plus belle, et pas qu'aujourd'hui. Bon, apparemment les jolies robes ça rendait les gens plus beaux, mais enfin Kory elle s'en moquait un peu des jolies robes, surtout celles dans lesquelles on avait pas le droit de courir ou de s'asseoir par terre, les deux seuls critères de qualité qu'on acceptait à son âge.

Sa maman passa rapidement dans un sens, puis dans l'autre, lui faisant un bisou en repartant... Cette fois-ci, elle portait un grand manteau qui avait l'air tout doux, comme un animal. Peut-être que c'était une tenue pour se faire passer pour un animal de la forêt ? Qu'est-ce qu'ils vont pas inventer les grands, je vous jure...

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Elorn
Bien assis aux cotés de sa princesse , Elorn ouvrait de grands yeux en regardant Amarante défiler.

Nora! tu as vu comme elle est belle Amy. On dirait une princesse comme toi. Sauf que toi t'es plusss belle encore.
Quand je serais riche, je t'en offrirais une coume ça de robe. Enfin si tu veux hein ! Faudra que j' demande à Amy ou qu'il faut aller pour en commander une.

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--Hayel_
Hayel était venue faire un tour au défilé dont on parlait beaucoup. Pas qu'elle eut les moyens, non non, mais rêver faisait toujours du bien. Encore faudrait il qu'on la laisse entrer. Elle lissa et tressa ses long cheveux roux comme elle pouvait , mis sa plus jolie guenille et alla se faufiler non long de l'estrade. Enfin le plus proche possible sans qu'on la remarque et qu'on lui demande de s'éloigner.
La première robe arriva et elle fut émerveillée. Parfois quand elle allait se promener aux alentours du chateau ou le dimanche à la cathédrale , elle pouvait voir les jolies nobliotes porter de tels atours.
La deuxième robe fut encore plus belle , le manteau semblait si chaud. Comme elle aurait voulu en avoir un de même pour l'hivers. Elle devrait se contenter de sa couverture rapiécée pour protéger ses épaules. Elle soupira, heureuse de pouvoir contempler de si beaux tissus néanmoins en rêvant qu'un prince charmant l'emporterait un jour et lui offrirait de telle parure.
Fannaick
[A Dunkerque ]

Occupé dans son moulin a faire de la farine quand ses fonction de maire lui en laissait le temps, elle remplissait les sacs quand elle entendait un roucoulent venant du rebord de la fenêtre entrouverte,
Elle regarda le volatil et décida qu’il était tant de faire une pose..
Elle sourit en voyant son chat Ténèbres coucher sur une botte de foin, a faire sa toilette,

encore un message pour le maire,


dit’ elle a son chat que rien ne perturba dans sa toilette, même pas un pigeon..elle alla détacher le vélin de la patte de l’oiseau, et vins s’asseoir près de son minou..
Elle parcourut le message, un sourire vins ce deciner sur ses lèvres,

C’est une invitation pour un défilé de la maison des fées tisserande
Tu entend sa, je vais a paris …

elle regarda la date et fronça un sourcils

Mais c'est demain ,vite plus de temps a perdre

elle courut vers sa chaumiére ,pris quelques affaires ,et enfourcha son cheval pour chevauché toute la nuit ,et arriver au plus vite a Paris ....
elle était descendu dans un petit hôtel pas loin de la salle ,elle s’apprêta et ce coiffa , toute excité ,c’était une première fois , et mis la magnifique robe que Maitre Val lui avait confectionner ...
Elle arriva juste quand Maitre Val pris la parole, ramenant le calme dans la salle,
Elle ce faufila pamis la foule et alla s’installer au deuxième rang afin de rien perdre du défilé.
Elle prépara un vélin et sa plume, pour noter celle qui lui plairait,,
La première robe d’automne fis son entrée elle reconnue son amie Amy, elegante
Et souriante
Sans suivit d’un manteau qu’elle trouva ravissant,
Elle releva le numéro et attendit la suite

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