Karyaan
[Ici et pas ailleurs..]
Comme si c'était d'une logique implacable, inéluctable, coulant de source.
D'ordinaire, quand ils viennent en Maine, ils ne restent pas dans un champ isolé. Les grilles d'un domaine leurs sont ouvertes.
Mais pas là...
Elle avait refusé le Grand Maitre, parce qu'elle ne voulait pas qu'ils se séparent, parce que cette fois-ci, ils étaient un ensemble, et pas seulement des groupes formant un tout mais restant chacun de leur coté.
Alors les grilles resteront closes, attendant le retour de celle qui les ouvrira et redonnera vie à tout ça.
Ils sont arrivés nombreux du front. Sortant pour la plupart de convalescence, ayant marché ou chevauché durant des jours pour aller là où on les attendait pour mieux repartir.
Ils sont là, épuisés, meurtris. Portant bandages et cicatrices plus ou moins soignés.
Il y en a d'autres des blessés ?
Ah ben oui, tous...
Et la question ne se posa même pas. Seul l'endroit où elle pouvait les recevoir restait à déterminer.
A Chinon, les pseudo médecins avaient fait ce qu'ils avaient pu, voire pire, fait semblant de...
Elle est rentrée dans l'Ordre pour ça, surtout pour ça.
C'était une évidence, une logique, une certitude.
Il était hors de question que quelqu'un d'autre les touches mis à part elle, tant qu'ils seraient ici.
C'était son devoir, sa pierre à apporter, sa force, l'atout qu'elle pouvait leur offrir. C'était ce pour quoi elle les avait rejoint un jour de juillet.
Alors le mot fut lancé, comme une trainée de poudre.
Que ceux qui avaient besoin pouvaient aller au 227 chemin du Lys.
La porte n'y était jamais fermée, et il suffisait de la faire appeler.
Elle avait tout sur place en plus, pratique... oui... pratique...
_________________
"La parole est l'arme du faible, l'épée l'arme du sot, j'ai choisi d'être faible et de m'entourer de sots."
Comme si c'était d'une logique implacable, inéluctable, coulant de source.
D'ordinaire, quand ils viennent en Maine, ils ne restent pas dans un champ isolé. Les grilles d'un domaine leurs sont ouvertes.
Mais pas là...
Elle avait refusé le Grand Maitre, parce qu'elle ne voulait pas qu'ils se séparent, parce que cette fois-ci, ils étaient un ensemble, et pas seulement des groupes formant un tout mais restant chacun de leur coté.
Alors les grilles resteront closes, attendant le retour de celle qui les ouvrira et redonnera vie à tout ça.
Ils sont arrivés nombreux du front. Sortant pour la plupart de convalescence, ayant marché ou chevauché durant des jours pour aller là où on les attendait pour mieux repartir.
Ils sont là, épuisés, meurtris. Portant bandages et cicatrices plus ou moins soignés.
Il y en a d'autres des blessés ?
Ah ben oui, tous...
Et la question ne se posa même pas. Seul l'endroit où elle pouvait les recevoir restait à déterminer.
A Chinon, les pseudo médecins avaient fait ce qu'ils avaient pu, voire pire, fait semblant de...
Elle est rentrée dans l'Ordre pour ça, surtout pour ça.
C'était une évidence, une logique, une certitude.
Il était hors de question que quelqu'un d'autre les touches mis à part elle, tant qu'ils seraient ici.
C'était son devoir, sa pierre à apporter, sa force, l'atout qu'elle pouvait leur offrir. C'était ce pour quoi elle les avait rejoint un jour de juillet.
Alors le mot fut lancé, comme une trainée de poudre.
Que ceux qui avaient besoin pouvaient aller au 227 chemin du Lys.
La porte n'y était jamais fermée, et il suffisait de la faire appeler.
Elle avait tout sur place en plus, pratique... oui... pratique...
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"La parole est l'arme du faible, l'épée l'arme du sot, j'ai choisi d'être faible et de m'entourer de sots."