[RP] Gooooooooooooooood morniiiiing Alençon!!!

Enfin de retour de leur petit voyage ou plutôt promenade de santé, elle avait décidé de s'octroyer un moment de détente dans un bain chaud et parfumé, ayant détaché sa longue chevelure et presque .. dévêtue .. elle s’apprêtait à mettre un pied dans la baignoire ...

Hésitante à mettre un pied dans l'eau encore un peu chaude, elle attendait en fredonnant, avançant lentement ses petits doigts de pieds, quand il lui sembla entendre un bruit de pas bien familier qui s'approchait de la porte.
Aussitôt son cœur se mit à battre un peu plus vite, elle remis son pied au sol et attendit .. elle n'eut pas à attendre bien longtemps que déjà on frappait doucement à la porte ...

Oui .. qui est là ?.. heuuu si c'est pour les fleurs placez les ou vous voulez ... si c'est pour le repas, veuillez le garder au chaud, mon Coucou n'est pas encore rentré .. puis d'un petit air espiègle ... par contre .. si c'est mon tendre amour qui est derrière la porte .. vous pouvez entrer Messire mais .. veuillez tourner la tête je vous prie je ne suis pas particulièrement présentable ..

Quand elle entendit la porte s'ouvrir doucement, elle eut un petit sourire et tourna juste la tête .. elle constata qu'il avait bien la main devant les yeux .. mais le sourire qu'il affichait cachait mal ce qui lui trottait dans la tête .. elle attrapa une petite serviette et là passa autour de ses reins tout en avançant lentement vers lui ..

surtout ne regardez pas Messire.. je peux vous garantir que je vais très bien et suis en pleine santé, mais la bienséance ne vous autorise pas à ouvrir les yeux ..

Elle n’était plus qu'à deux pas de lui .. elle du prendre sa respiration tant elle était troublée par la prestance et le corps de son amant ..elle tendit une main .. effleurant la finesse du tissu de la chemise .. tout en admirant ses formes dans ce pantalon moulant à souhait ses cuisses .. . sa main venant tout naturellement caresser la texture du tissu ..longeant lentement ses cuisses fermes qu'elle sentait se contracter sous ses doigts..
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Tout sourire, il était entré dans la chambre, au premier abord une douce chaleur lui frappait le visage, une chaleur humide parfumée à la violette, il y avait dans cette pièce un bacquet d'eau chaude qui attendait avec impatience qu'un corps veuille bien plongé dedans.....

Messire, elle m'avait appelé Messire, arffff je vais lui en donner du Messire moi !!!! Non mais !!!!

Les mains posaient sur ses yeux, il jouait le jeu et ne voyait rien, il sentait une main caresser ses braies.

Voyons dame? un peu de tenue s'il vous plait, je ne suis pas homme à céder à la va vite, j'ai besoin d'être charmé, dompté, APPrivoisé. Et non je ne suis pas le fleuriste, cette maison il me semble n'a point besoin d'être fleurie, elle compte avec vous et Dame Luaine 2 fleurs des plus jolies et éternelles....
Je ne suis pas non plus venu vous apporter votre souper, vous êtes bientôt attendu en salle avec Messire Heimdal et Dame Luaine....

Ecarte doucement ses doigts et la regarde, elle est là devant lui, sa main toujours sur ses cuisses, en tenue légère, une seule serviette autour des reins et une nuisette des plus affriolantes, petit sourire coquin.

Par contre je suis bien votre cher et tendre Coucou et .....

Enleve sa main de ses yeux

Et je crois que dans moins de dix minutes, je vais faire un crime et faire rougir tout les saints, pour les seins on verra plus tard.......

Je n'ai qu'une seule envie
me laisser tenter
La victime est si belle
et le crime est si gai

Alors il l'attrape et d'un geste précis la soulève contre lui et la porte sur le lit, écarte une mèche de ses cheveux et l'embrasse langoureusement, puis ouvre sa nuisette et regarde le corps parfait de sa belle, sourire quand ses yeux se posent sur sa poitrine nue. Une main se pose dessus et caresse lentement le galbe et .......... dans un sourire coquin

L'eau va être froide mon amour,
veux tu que je te lave le dos?

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Depuis quelques jours la demeure d'Heimdal avait pris des allures de camp. La petite cohorte habitait entre les même murs.
Depuis leur arrivée bien des choses avaient changé et maintenant ils étaient quatre soudards d'Alençon, quatre ours.
Coucou et Léa avaient élu domicile dans l'hôtel du procureur. Fort heureusement l'endroit était assez vaste pour qu'ils ne se marchent pas dessus.
Cunégonde avait fort à faire la pauvre servante. Elle passait de une personne à quatre.

Luaine savourait la vie douce qu'elle menait ici, même si la guerre faisait rage et que ses tâches de tribun et d'intendant lui prenaient du temps, elle était auprès de l'homme qu'elle aimait et cela valait tous les trésors du monde.

Coucou et Léa étaient partis en mission quelques jours et le couple se retrouva seul pour savourer les joies de la vie en couple.
La peau de bête devant le feu de cheminée fut allégrement utilisé ainsi que d'autres lieux que nous tairont ici pour les oreilles chastes.

Quand ils revinrent, ce fut à grand coup de baquet plein d'eau qu'ils savourèrent leur retour.
Luaine, quand à elle, passa au bureau de son amour de bourgmestre qui travaillait dur entre la procure et la mairie.
Elle posa son popotin sur son bureau en pleins sur ses dossiers. C'était une façon polie de lui dire "on arrête tout".

Tu sais qu'ils sont revenus....Mais tu dois t'en douter.

Elle se retint d'une forte envie de rire. Quelques fois le jeune couple avait des cernes qui n'étaient pas du qu'à leurs séances émotions personnelles.

Je crains fort que ce soir, après deux jours de brousse inconfortable, ils nous fassent la nouba genre réveillon de noël.

Elle se mordit la lèvre en le regardant amusée.

Je pense qu'il a deux solutions, soit on va passer la nuit quelques part en amoureux, soit faudra voir qu'ils se trouvent une gentilhommière. J'ai trouvé dans la ville une demeure magnifique. Je crois qu'il faut que je leur en parle. Non?

Elle leva ses sourcils en accent circonflexe.
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Elle éclate d'un rire cristallin comme il aimait tant, elle se délectait à se montrer ensorceleuse, charmeuse, enjôleuse et tentante, elle se délectait de le pousser au bout de ses envies, exciter son désir .. elle se laissa saisir et chavirer sur le grand lit le frôlant de son corps tout en laissant ses mains le parcourir .. mais elle ne le laissa pas longtemps prendre possession de ce corps qui pourtant ne demandait que çà ..

Elle se leva prestement .. Un petit bruit se fit entendre .. la clef .. la clef dans la serrure afin de ne pas être dérangé quoique les jeunes mariés avaient du pain sur la planche et ne pointeraient pas le bout de leurs nez avant le lendemain ..

Complicité échangée dans les regards , elle prit une de ses mains et lui embrassa la paume, et d'une langue agile lécha ses doigts un à un.. sentant les effluves délicates et parfumées du bain .. alors lentement elle entreprit de se déshabiller puis pénétrant dans le baquet elle en fit de même pour lui .. chaque partie de son corps dévoilé faisant monter en elle un désir encore plus grand ...
Elle l'avait entièrement déshabillé. Aussi, il s'étendit effrontément dans l'eau, passant les bras de chaque coté du bassin en soupirant de bien être. La tête légèrement en arrière, il tendit la main vers elle ...

Ahhh... on est bien ici... Tu peux me passer le savon mon Coeur ?

Elle avait libéré ses cheveux qui s’écroulèrent doucement sur ses épaules venant caresser la naissance de ses seins, elle n'avait gardé sur elle que son petit dessous blanc.. fausse pudeur de sa part .. prenant un certain plaisir à se sentir observer .. prenant entre ses mains un peu d'eau qu'elle faisait couler doucement sur elle soupirant doucement, sentant un fin filet d'eau venir caresser les pointes de ses seins orgueilleusement dressés ...

hummmm .. le savon mon Coeur ? .. oh oui de suite ..

Se penchant du baquet elle attrapa le savon convoité et le lui tendit avec un sourire ..

voilà mon Amour .. peux tu me laver le dos .. heuu .. je n'y arrive pas ..

Elle se retourna et vint se placer délicatement entre ses jambes ..
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La lumière est rentré dans son bureau. Cette lumière était représenté par Luaine son épouse.
IL était assis sur sa chaise et pouvait voir la Dame de belleville se présenter devant lui.
Il pouvait la dévisagé et la regarda avec amour. Son attitude avec les lèvres entre ses dents
fit de l'effet envers le procureur. Il posa sa main sur la cuisse qui se présenta devant lui.
Il se leva en l'enlaça entre ses bras et l'embrassa.

Déjà de retour....mmmvvii ...partir en vadrouille rien que les deux..mmmhhh interessant...mmmhhh...ou bien ...
mmmmhhh...différer la vadrouille.... de quel...mmmhhque...heures..

Puis les lèvres du procureur descendit dans le cou de la belle et donna quelques baisers.
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L'eau du bain était chaude, sa chérie entre ses jambes, un bien être l'envahissait...... La guerre était aux portes du comté, aux portes d'Alençon mais il pouvait bien prendre un peu de bon temps avant de mourir. Dame Faucheuse n'était jamais pressée, tôt ou tard chacun d'entre nous irait la rejoindre.

Tendrement, ne pensant à rien il couvrait les épaules de sa cuivrée de mille et un baisers, mordillait ses omoplates et son cou, remontait vers ses lobes d'oreille et les léchait avec délectation.

Elle lui avait donné le savon, il s'en était était mis pleins les mains, pas besoin d'éponge pour un dos aussi tentant et doux!
Il commençait par caresser plus que frotter ses épaules et son cou, massait légèrement ses vertèbres cervicales, étalait le savon sur le dos prenant soin d'enduire amoureusement de matière moussante toute sa peau fine et douce massant doucement autour de la colonne vertébrale, tartinait de saponite ensuite ses muscles dorsaux.

Il marquait un temps d'arrêt et sensuellement passait sous ses bras qui doucement s'écartaient laissant le champ libre à une main baladeuse et coquine, cherchant sa poitrine ferme et douce, attrapait tendrement un sein enduisant le galbe, le mamelon et le téton de savon avant de repartir laver le dos.

Ils sont magnifiques mon amour. magnifiques et tendres .......

Ses mains frottaient un peu le bas de son dos, à la naissance des fesses musclées par la pratique régulière d'exercice physiques; exercices plus ou moins coquins qu'eux seuls avaient le secret, passaient de chaque coté de sa taille cajolant ses cuisses, les griffait légèrement et alors qu'elle les écartait doucement comme pour l'inviter à moins de retenue il remontaient sur son ventre, chatouillait son nombril. Ses main délaissaient son ventre pour se saisir de sa poitrine, s'y attardant un peu plus que de raison, mais le plaisir se trouve là ou on le prend .... enduisait alors son cou de savon parfumé et délicatement, lui faisait tourner la tête vers lui et l'embrassait amoureusement, mordillait ses lèvres et murmurait


Te voilà savonné de partout amour!
Dois je te rincer aussi?
Nous sommes attendus pour dîner avec les jeunes mariés mais peu-être pouvons arriver légèrement en retard? une heure ou deux? suivant notre appétit commun?
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Rayonnants de bonheur ils riaient tous les deux comme des enfants .. surtout en voyant les flaques à terre s'agrandir à vue d’œil ...

- aucune importance pour le sol mon Amour ce n'est pas moi qui vais éponger .. par contre il y en a qui vont s’étonner de toute cette eau partout .. elle ne put s'empêcher de rire à nouveau imaginant la tête des domestiques ..et de la nouvelle maîtresse des lieux...

Il avait saisit le pain de savon et fit mousser du plus qu'il pouvait cette brique de senteur et vint en appliquer le long de son dos. Il déposait des baisers dans son cou et frottait doucement afin que sa peau devienne blanche de crème odorante.

Ca te va ainsi Amour ? Je frotte pas trop fort ?

Puis il prit un peu d'eau dans ses main et la fit tomber sur sa nuque pour la laver..il se plaqua contre elle et posa ses mains sur ses seins... La tenant contre lui, déposant ses lèvres chaudes sur ses épaules.
Elle avait l'impression de flotter doucement quand elle sentit la douceur du savon dans son dos .. les yeux mi clos écoutant le clapotis de l'eau, doux moment de relaxation dans les bras de son tendre amour .. un baiser dans son cou et l'eau coulant dans son dos là firent tressaillir ..

- hummm ... non c'est bon mon Amour .. tu es d'une telle douceur ..

Elle s'appuya contre son torse, se calant entre ses bras la tête sur son épaule, ses mains plongèrent sous l'eau pour se reposer sur ses cuisses .. il avait emprisonné ses seins, leurs pointes commençant à se dresser ..

Elle était aux anges dans ses bras, plus rien ne pouvait lui arriver elle se sentait en sécurité, savourant ce moment de tendresse et d'amour.. il caressait doucement ses seins en déposant de légers baisers déclenchant de petits frissons..

Amour... Tu sais que je t'aime ? Je ne me rappelle plus si je te l'ai dit aujourd'hui ?
tout en guettant sa réaction elle prit le pain de savon et en chantonnant doucement le passa sur une de ses jambes posée sur le rebord du baquet ..

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Assise confortablement à chauffer toute une pile de dossier, Luaine était sérieuse, une fois n'est pas coutume. Pourtant son tendre Heimdal, n'en fit cure et commença toute une salve de baisers dans son cou. Comment rester de marbre face à ce genre de baisers ?
Impossible, surtout depuis le temps que Luaine se languissait de lui et se morfondait dans le Limousin, maintenant qu'elle vivait avec lui, ce n'était pas pour faire la fine bouche.
L'affaire "Coucou/Léanice et nuits blanches sur Alençon" fut oubliée pour un moment pour savourer pleinement la tendresse de son amant.
Etirant son cou, elle lui montra ainsi son désir de le voir continuer.

Elle se sentit soudain assez mal placée pour parler des deux affreux pervers à proximité, qui devait faire ce qu'elle ne voulait même pas penser qu'ils faisaient. Trop profond ça!!!

Ses bras vinrent enlacer son étoile tendrement.

Je crois que le sujet te passionne.

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Le procureur général esquissa un sourire. Il avait donné quelques baisers dans le
cou et elle avait répondu à montre son cou.

Le procureur se leva et enlaça à son tour sa jeune femme.

Le sujet de t'aimer me passionne énormément et de te rendre heureuse aussi...
et puis pensons à nous, non? ...oublions ...les deux...

Il n'avait pas pu finir sa phrase. En effet, il fut attiré par les lèvres douce de son
épouse. Que voulait-il dire? les deux autres. Il l'embrassa langoureusement et
en même temps ses mains caressèrent le dos de la dame. Le désir et le plaisir
prenait le pas sur le reste.
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Amour... Tu sais que je t'aime ? Je ne me rappelle plus si je te l'ai dit aujourd'hui ?

Comme ci, bien sur qu'elle lui avait dit, elle le répétait à longueur de journée mais jamais il ne s'en lasserai......

Alors qu'elle savonnait, caressait, palpait? ses cuisses, amoureusement à son oreille il murmurait:

Je crois que tu l'as pas encore dit aujourd'hui amour.

Léchait doucement son oreille et souriait devant sa main audacieuse, écartait lentement les cuisses comme pour l'inviter à plus d'effronterie.

Oui amour, tout à besoin d'être lavé

Sourire de connivence entre les deux amoureux et échange d'un baiser langoureux, baiser ou se mêlent les langues, ou se mordillent les lèvres et ou les mains se font aventureuse, baiser ou le temps s'arrête et contemple l'amour qui vole de coeur en coeur.......

Discrètement son regard se posait sur sa poitrine, ou les tétons étaient cachés par la mousse savonneuse, il soufflait dessus, pour admirer cette poitrine offerte, ne put s'empêcher de caresser son galbe et de laisser son majeur frôlait son téton.

Les libertins s'adonnaient à leur passion commune, se découvraient tout les jours, et se débattaient dans le bacquet moussant, La main de Léa se faisait plus espiègle et caressait ses cuisses de plus en plus haut; il sentait sa respiration s'accélérait au contact de ses doigts; il laissait glisser ses mains vers sa taille et la serrait contre lui.

Amour si on allait se sécher dans les draps, il nous restent très peu de temps avant d'aller rejoindre les Von Strass pour le souper!
Mais assez quand même .....
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Sortir de sa caboche la pensée des pervers, tel un fil argenté ôté comme un célèbre barbu, Luaine pu alors se concentrer pleinement sur les baisers de son étoile. Le sujet de son attention était "elle". Vaste sujet qui méritait amplement d'y passer du temps.
Le temps avait joué sur leur libido, il était vrai que l'éloignement avait favorisé le fantasme, très bon pour la santé dirons nous en passant, mais qui ne nourrit pas son homme. Seul sur Alençon, il avait eu le temps de passer à ce qu'il aimerait lui faire et elle ne tarderait pas à en faire les frais, pour son plus grand bonheur.
Certes ils passeraient aussi pour un couple de pervers tel la cuivrée et son coucou, mais ici en ce lieu, personne n'était là pour les voir les balbutiement d'une superbe nuit.

Evidement ils étaient un peu prit par le temps. La pauvre Cunégonde faisait figure de Dame Claude au milieu de cette luxure mais elle avait tout de même préparé le dîner du soir. Dîner, rappelons-nous, auquel ils devraient tous les quatre faire honneur.
Ca allait être la course contre l'horloge, ou plus précisément contre les cloches.
Sexte avait déjà sonnée et dans très peu de temps, ils étaient tous attendus.
Nous verrons ultérieurement si les mines seraient rayonnantes et les pommettes roses.

En attendant, Luaine répondit très favorablement au baiser de son procureur préféré. Assise sur le bureau, il s'était levé devant elle. Le visage tendue vers lui, elle l'attira contre elle, caressant sa nuque simultanément.

Tu sais très bien tout me faire oublier, fatigue, angoisse, tension....Tout s'envole.

Elle se sentait aussi légère qu'une bulle de savon.
A bien tient en parlant savon, les deux s'en donnaient à coeur joie, tralalahitou!!! Mais Luaine s'abandonna dans les bras de son aimé avec passion.
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Elle se retourna en une légère glissade et vint s'installer devant lui, se mettant à genoux pour être à sa hauteur.
Elle pouvait détailler à loisir le torse musclé de son amour.. dans un petit soupir... elle prit le savon, laissant tomber l’éponge, préférant se servir de ses mains pour sentir sa peau sous ses doigts ... et commença à le passer doucement sur les épaules .. plongeant ses mains dans l'eau elle les passa doucement partant des épaules tout en le massant et les fit descendre le long de son torse s'arrêtant à la limite de la naissance du nombril qui lui était dans l'eau ..... se servant de ses ongles venant le griffer très doucement et le faisant frissonner ...
Elles sentait ses mains attirer comme par un aimant .. elle ne lui lavait plus le torse .. non elle avait tout transformé en caresses légères remontant dans son cou pour venir passer les mains dans ses cheveux .. surprise par un petit gémissement qu'elle avait laisse échapper sans s'en rendre compte ..et dans un murmure avant de prendre ses lèvres ...

- oui amour on va y aller .. je sais ils nous attendent .. mais ...

Voulant se donner une certaine contenance pour ne pas céder à la tentation elle s'empara à nouveau du savon .. mais quand elle le posa sur son bras celui-ci glissa de ses doigts et elle le vit s'enfoncer inexorablement au fond du baquet ....

.. ohh le savon est parti mon Cœur ... plongeant un bras dans l'eau ... attends ne bouge pas je vais le chercher...
elle promena sa main un peu partout sentant le fond du baquet.. frôlant ses fesses qu'elle ne put s’empêcher de caresser au passage .. puis avançant à genoux elle chercha du cote de ses cuisses ... levant sa tête vers son Coucou pour lui demander avec un petit sourire ...

...peux tu écarter un peu les jambes Amour .. ma main ne passe pas et si çà continue il va fondre .....
continuant ses investigations avec un petit plaisir non dissimulé.. elle arriva à ses pieds .. toujours rien pas l'ombre d'un morceau .. elle remonta doucement entre ses jambes tâtant de droite et de gauche .. quand elle poussa un petit cri de victoire, elle sentit sous sa main quelque chose de dur qu'elle serra aussitôt dans ses doigts, mais un gémissement lui fit relever la tête ... fixant son tendre amour dans les yeux elle lui murmura ...

... je ne pense pas que ce soit le savon Amour .. pressant doucement ses doigts sur sa découverte ....

Ses yeux s'écarquillèrent, un sourire naissant sur ses lèvres... et il lui répondit ...

A non... je confirme ma Belle... ce n'est pas le savon !
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