[RP] C'est pour quand? Bah maintenant...j'crois bien!!!

LA NAISSANCE D'UNE AUTRE PESTE


[Entre Ghent et Antwerpen]

J’étais soucieuse, et perturbée…cela faisait quelques jours que mon ventre me tiraillait…
Normal, pourrait-on penser, c’est des choses qui arrivent lorsque l’on est enceinte…Oui… sauf que là, ce n’était pas comme d’habitude, ce qui aurait du d’ailleurs me mettre la puce a l’oreille, ce genre de tiraillement était plutôt annonciateur d’un accouchement imminent…

La crainte m’envahissait à nouveau…

Depuis le début de ma grossesse, la petite blonde aux azurs perçants que j’étais, n’avais cessé d’avoir des doutes…c’était en faite, une peur profonde d’accoucher…
Pourquoi me direz-vous ?

Ma jeunesse peut être, mon manque d’expérience sans doute…il est vrai que la gestation en elle-même n’était pas un souci pour moi, j’avais aimé être enceinte, j’aimais voir le sourire ravi de mon tendre et son regard attentionné sur moi, et sur mon ventre…ces derniers mois…
Par contre la délivrance, elle, c’était tout autre chose…et ca me fichait une trouille bleu…
Pourtant…

Quoi de plus normal, après tout, pour une femme que de donner la vie a un enfant…n’est ce pas ?

Bah oui…Quoi de plus normal, que d’hurler pendant des heures pour au final voir les yeux d’un enfant…voir l’amour que deux êtres ont partagés pour concevoir une si belle petite chose…un lien solide qui renforce l’amour indéfectible d’un couple.

Seulement voila, mettre un enfant au monde quant on a seulement quinze ans et que l’on est encore soit même une enfant…la peur ne peux en être que légitime…vous ne croyez pas ?


Sur la route

Bref…sur la route nous menant de Ghent à Antwerpen, je n’avais pas su dormir, je pensais…pensais… et priais pour que la petite chose tant attendue, prenne encore un peu son temps avant de nous montrer le petit bout de son nez, qu’elle attende au moins qu’on soit chez nous…

Hum…Il faut reconnaitre que les conditions n’était franchement pas requises pour accoucher, là…sur les chemins…
Imaginez un peu, la procureure, entrain d’hurler comme un bœuf…humpfff !!!
Remarquez ce ne serait pas la première fois qu’on lui reprocherait ca…

… Les minutes s’écoulaient a grande vitesse, et mon mal ne passait pas, peut être était-il temps de réveiller l’prévôt…ce que je fis d’ailleurs sans trop attendre plus…

Je me retournai donc brièvement vers lui, il était si paisible, que je n’avais guère envie de troubler son sommeil…mais je ne pouvais vraiment plus faire autrement, il fallait accélérer…

Krattos, mon amour…lui dis-je de ma voix frêle.
Mon cœur, réveille toi…je t’en prie...je crois que… une grimace se dessina sur mon visage en tentant de le réveiller.
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Krattos dormait d'un sommeil léger, ces derniers jours n'étaient pas de tout repos..
Il rêvait qu'il rencontrait les sales brigands qui rôdaient en Flandres ces derniers jours, sa lame bien aiguisée, un joli combat mais pas très difficile, une belle marque de sa botte sur leur fessier et une marque au fer rouge afin de les ridiculiser..

Ralala.. Y pouvait toujours courir, ça n'arrive qu'aux autres de les rencontrer..

Soudainement il entendit une voix dans son rêve, une voix douce qui surplombait et résonnait dans sa tête, il comprit rapidement d'où elle venait et se réveilla.

Il cligna à maintes reprises les yeux puis regarda sa douce princesse.

Oh mon ange, qu'est ce qui ne va pas???

Se reprenant rapidement vu l'urgence que la chose devait avoir pour qu'elle le réveil ainsi.

Tu n'es pas bien mon amour? Tu veux qu'on s'arrête? Tu as besoin de quelque chose?
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Juge des Flandres

La grimace n’avait point quitté mon visage pourtant si paisible habituellement, elle s’accentuait même…et quand mon tendre amour se réveilla et qu’il me posa toutes ses questions, c’est à demi pliée en deux que je lui fis réponse…

Krattos, c’est le bébé ! Il faut qu’on…
Je veux qu’on rentre…vite...

Il fallait qu’il prenne ma place sur la charrette, qu’il prenne en main le restant du voyage, nous étions proche d'Anvers…tout proche…mais peut être pas assez pour y arriver avant que le travail ne commence vraiment…c’est donc tant bien que mal, que je descendis de la charrette que nous avions aménagés pour un voyage qui se devait tranquille…afin de pouvoir avec l’aide de mon chéri me mettre à l’arrière…

Quelle mauvaise idée…à peine, mes pieds touchèrent le sol que d’effroyables douleurs vinrent me faire chanceler... j’en posais mes mains sur mon ventre…

Le petit bout était prêt à sortir, et là…il le faisait savoir…

Rhoo…humm…amour…ça fait horriblement mal la….
Si c’est ça…d’avoir un bébé…je n’en veux plus…

A croire que le bébé entendait tout ce que je pouvais bien dire, car j'eus à peine le temps de finir ma phrase qu’une nouvelle douleur vint me rappeler à l’ordre, et me faire vaciller, cette fois la douleur était plus forte , au point qu’elle m'obligea à poser un genou au sol.

La délivrance devait surement encore être plus proche que ce que je pensais et ce fut confirmé lorsque je me relevai et que le long de mes jambes, je sentis un liquide couler…
J’aurai pu penser que le petit appuyait si fort sur ma vessie, et que de ce fait, je ne me serais plus senti…mais non, ce n’était bien sûr pas cela…
Des gouttes perlèrent de mon front et sur tout mon visage…

Vite Krattos, vite…il faut que l’on se rende vite à Anvers…

Tant bien que mal, mon géant me porta avec une extrême tendresse jusqu'à l’arrière de la charrette et m’y posa délicatement…

Il allait devoir faire vite…mais il allait surtout falloir de la prudence…à l’arrière se tenait le convoi exceptionnel de tout sa vie…sa femme et son enfant sur le point de voir le jour.
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C'était le bébé.. en même temps c'était assez évident, pourquoi ne pas y avoir pensé immédiatement..

Oh mon ange non hein, ne t'en fais pas ça ira mieux bien vite, ne dis pas des choses pareilles sur le bébé..

L'aidant à descendre, il se repérait rapidement de la route et, comme il la connaissait bien, savait qu'ils n'étaient plus loin de chez eux.

Il l'aida doucement à s'installer à l'arrière et la posa confortablement afin que le dernier bout ne soit pas un vrai calvaire.. mais bon, il ne fallait pas rêver, ça devait être très dur..

Ne t'en fais pas ma princesse, on y sera en moins de deux, ça va aller très vite.

Il l'embrassa puis se dépêcha de reprendre tout en main et de les faire partir au plus vite pour Anvers, jetant en permanence un œil à l'arrière, s'inquiétant pour sa procureur bien aimée..
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Juge des Flandres

Une fois parfaitement installé sur cette couche de fortune que nous avions aménagée, je pus enfin m’allonger, sauf que bien sur, lorsque vous êtes enceinte, et sur le point d’accoucher, la position allongé est dur a tenir…surtout lorsque vous êtes sur la route, ballotée…remuée…dans tous les sens…

Mon ventre ne cessait de me tirailler, j’avais comme l’impression qu’un monstre me bouffait les entrailles de l’intérieur, sensation étrange qui me poussait à marmonner entre mes dents que «je n’en voulais plus…que c’était le premier et le dernier…que jamais plus aucun enfant nichera dans mon ventre »

Evidement penser ce genre de chose alors que le bébé et en connexion direct avec moi….me valu encore une rafale de coup dans le bas du ventre….coup de pied ou autre d’ailleurs…

Chéri, accélère, j’t’en prie… C’était plus agréable de dire cela dans mon souvenir, oui plus agréable quand je lui demandais d’être plus rapide…

Je sentais le regard de mon tendre amour sur moi, je sentais aussi son inquiétude, ce qui n’était pas fait pour me rassurer…

Cette maudite peur ne me quittait pas…peur de ne pas survivre à mon enfant…parce que j’étais trop inexpérimentée…
Pourquoi, je pensais à cela moi ? Pourquoi ses horribles doutes m’assaillaient ainsi…un accouchement était il toujours aussi difficile ?

A cet instant, mon buste se souleva, je savais que j’allais devoir pousser, mais je m’y refusais, je ne voulais pas accoucher sur la route…je ne devais pas…

Mais…j’avais déjà perdu les eaux…le travail avait donc déjà commencé et ce n’était plus qu’une question de minutes avant que…le reste s’enchaine !!!
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Très inquiet pour son amour, Krattos faisait de son mieux pour qu'ils arrivent rapidement et qu'elle puisse apaiser ce dur moment.

Après quelques minutes qui passaient très lentement, Anvers montrait enfin le bout de son nez, il ne fallu pas longtemps avant qu'ils y entrent.

Krattos les emmena directement à leur domaine, à peine ils furent arrivé qu'il alla porter sa princesse dans ses bras et il se dirigeait très rapidement vers la maison.

T'en fais pas mon amour, c'est là on est arrivé, je vais te poser tout de suite.

Il poussa fortement leur porte et criait dès qu'il entra sur les domestiques.

Vite, on se dépêche ! Nom de Dieu on se magne y'a le bébé ! Y'a le bébé j'ai dit !!!

Sous ses ordres, les femmes de la maisons couraient dans tous les sens, préparant tout à gauche à droite..

Krattos emmena rapidement sa princesse sur un lit aux draps propres, et les domestiques arrivaient déjà avec des serviettes et de l'eau.

Aller mon amour, ça va aller, je suis là tout va bien aller.
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Juge des Flandres

Le petit corps de l’adolescente se contorsionnait dans tout les sens…les grimaces ne quittait désespérément plus son visage…

Et plus encore lorsqu’ une fois arrivé, son tendre amour l’attrapa dans ses bras….il avait beau être tendre…mais un simple mouvement lui faisait horriblement mal…et la tendresse de ses gestes n’y changeait rien…

Je tentai de lui sourire mais en vain…j’avais mal, et les quelques mètres parcourues de la charrette a la chambre me parurent un enfer…
Une fois a l’intérieur, se fut un véritable brouhaha…lorsque Krattos en entrant, hurla a tous de se bouger, que bébé était sur le point d’arriver...

En quelques secondes, se fut le branle bas de combat…ca courrait dans tout les sens…ca crier…ca piaillait a tel point qu’on n’entendait à peine mes propres râles…

Vite !!!!! Mam’zelle Anaelle…va accoucher…vite de l’eau…des linges propres… la petite va accoucher… dit l’une des domestiques

Enfin, la chambre…

Avec une délicatesse extrême, le Juge déposa la blondinette que je suis, sur le lit…me regardant avec tendresse…

Dans ma tête de gamine, le remue ménage avait laissé place a un silence presque pensant…un silence qu’on aime guère entendre, un silence qu’on entend de toute façon pas lors d’un accouchement…

je scrutai les gens autour de moi, mais je ne les comprenais pas, je les voyais gesticuler mais je n’entendait plus leur voix, je ne savais pas ce qu’il se disait, j’étais plongé en plein ralenti…presque comme un arrêt sur image…

Mais soudain, la scène se remit bien en place…une douleur intense me fit émettre un cri….quasi strident….

Et de nouveau le bruit, le vacarme, et les gens qui s affèrent autour de moi, krattos donnait des ordres a toute la petite troupe, leur attribuant a chacun des taches à faire…

L’heure devenait grave, sans attendre que tous se mettent en place, je poussai de moi-même pour la première…des gouttes perlèrent de mon front…et de nouvelles grimaces firent leurs apparitions…

AHHHH!!!!AHHHHHHHHHH!!!!!

Bébé arrivait …
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Tout était calme et reposant depuis que Katlynn ne faisait plus ses tours de garde. Elle en profitait pour préparer la naissance du bébé de son bébé à elle.

Depuis qu elle avait apprit que sa douce Anaelle attendait un enfant, cela avait bousculé sa vie et toute sa raison.

Quand elle fermait ses yeux elle revivait la fameuse soirée qui avait bousculée sa vie............. Non elle ne devait plus y penser cela faisait partie du passé.

Quand on vint la prevenir que sa douce Anaelle commençait le long travail de la délivrance, elle laissa tombé sa broderie avec precipitation . Elle courru chercher sa saccoche de potion à base de plante et s habilla en sachant que cela allait durée trés longtemp.


Elle prit son cheval et galopa jusqu a la grande maison d'Anaelle. Elle sauta de sa monture en prennant bien soin de sa sacoche.


Katlynn respira profondement puis frappa a la porte en se jurant de garder son sang froid devant l'épreuve qui l attendait .................Ne pas se rappeller ..... Ne pas repenser.............

Quand on vint lui ouvrir, elle n eut qu une question a poser

Ou est Annaelle? ....... Et d un geste enleva sa cape tout en gardant serré contre elle la précieuse sacoche . Elle monta quatres à quatres les grandes marches qu on lui indicat et s avança vers la chambre de sa fille.

Elle frappa deux coups léger et entra . Ce qu elle vit la stoppa nette. Elle reprit une profonde respiration et continua prés du grand lit ou se trouvait son petit ange confronté aux douleurs de l enfantement. Ce n'était pas le moment de flancher , elle devait surtout garder son calme.

Prennant la main douce d'Anaelle , katlynn lui murmura

Ma douce , je suis la prés de toi et je vais t aider........... tu dois respiré profondement et surtout garde ton calme tout va bien se passer .......

Katlynn regarda autour d elle, déjà se pressaient des servantes avec des linges propres, des marmites d'eau bouillante et bien d'autres préparatif pour l'événement .

Le lit avait été préparer avec un coussin et des serviettes avaient été posées pres d'anaelle. Sur une table recouverte d un l inge blanc tout les ustensils avaient été posé pour le coté pratique.

Tout était prés , Katlynn prit un grand tablier blanc qu elle noua autour de sa taille et gardant un sourire rassurant elle commenca par osculté sa petite patiente tout en lui parlant d une voix calme douce et réconfortante ................

Tu vas respirer en rytme et me dire quand tu as une douleur qui commence , puis au moment qu elle grandi tu respire plus vite en haletant ......... je reste pres de toi et je te dirais quand il sera l heure de pousser mais en attendant ne pousse pas et respire profondement..
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Emmanuel venait d'arriver a Antwerpen .
Il avait marcher depuis L'anjou et arrivait tranquillement .
Il etait impatient de revoir sa soeur .
Il alla se renseigner ou pouvait bien se trouver le domaine de sa soeur .
Ont lui indiqua le chemin , qu'il prit sans s'en faire prier .

Arriver devant le domaine , il entendit des hurlements.
Une voix , puis une intonnation de quelqu'un de famillier .
apres avoir passé le garde , il accouru avec le garde jusqu'a la porte .
pensant que cela venait de l'acte de brigand ayant passer les murs de l'enceinte du domaine par l'egard du pauvre garde en fonction.

Il arriva epee en main . puis entendit de plus en plus les cris et gemissement
Mais que ce passer t'il donc ! Il arriva a l'etage et vu plein de personne autours d'elle !!
Il fut soudain rassurer , mais inquiet du fait des gemissements.
Il vit soudain une femme autours d'elle l'aidant a extirper de l'antre de ses jambes , une chose , un peux rougeatre et sanguinolante .

Ca n’arrêtait plus, bébé bougeait, bébé tourbillonnait, bébé donnait des coups…mais bébé voulait surtout sortir…et voir le jour…

Ma mine déconfite de procureure en disait long sur la douleur que j’éprouvais a cette instant, et les paroles de ma tante bien que rassurante lorsqu’elle arriva, ne suffirent pas…

Mon ange avait prit la place de chef d’orchestre au moins jusqu’ a l’arrivée de Katlynn, et lorsqu’elle reprit l’affaire en mains, ce dernier vint s’installer auprès de moi et épongea avec une serviette mon front qui perlait maintenant à grosses gouttes…

Comme pour me rassurer, une énième fois, je saisi sa main libre, que je pressai a chacune de mes contractions…celles-ci étant très rapprochées maintenant…

Le pauvre souffrait autant que moi, j’aurai voulu le lâcher mais cela m’était parfaitement impossible, je n’y arrivais pas…c’était plus fort que moi…

Voyez-vous…Lorsque l’on est enceinte, et qui plus est sur le point d’accoucher, il est surprenant de voir que l’on décuple certaines forces, insoupçonnées…

Bref…

Tout était en place, c’était a moi de jouer, nous vivions un moment Krattos et moi, qui allait bouleverser notre vie a tout jamais…j’allais donner sous peu la vie a un être que nous avons désiré tout deux.

Je me mis donc à respirer plus rapidement …mais cela m’était pénible, je grimaçai…je fis signe a ma tante, un signe cessé lui faire comprendre que le mal était a son point culminant…

…La douleur était tellement indescriptible que j’en avais perdu la parole…alors je respirai plus vite encore, en haletant…J’appliquais scrupuleusement tout ce que l’on mauvais dit…ce qu’il fallait faire pour que cette horrible douleur s’attenue !

Mais … bien sûr, rien ne changea …et au contraire, la douleur s’intensifia…

…C’est alors que…contre l’avis de ma tante, dans un cri strident, mes muscles qui jusqu’alors étaient crispés…se relâchèrent…

Et…je poussai…sans reprendre mon souffle un seul instant.
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Les secondes étaient de plus en plus longues, le temps semblait ralentir. Krattos était toujours là pour soutenir sa princesse.

Courage mon amour c'est bientôt fini, je sais que tu peux le faire.

Il pensait lui dire de lui serrer la main en cas de douleur, mais à peine venait-il d'y penser qu'elle l'avait déjà fait. Il pensait qu'elle ne lui ferait pas mal vu la taille et la force de sa main, mais quelle ne fût pas sa surprise lorsqu'il la sentit refouler sa douleur sur lui. Une petite prise de respiration bruyante pour faire entendre sa douleur, mais il pouvait bien endurer ça, ça ne pouvait pas être autant qu'elle.

Aller mon ange, sers fort s'il le faut.

Il continuait d'éponger son front quand nécessaire de l'autre main, tout en regardant le remue ménage qu'il y avait dans la chambre avec ce monde..
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Juge des Flandres