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[RP Ouvert] Le destin frappe encore...

--Deirdre.


{Retour gênant…}

Du couvent vers le Monastère...


Alors que l’insouciance était présente dans la cours un rappel ce fit entendre du Prieur. Howel et Deirdre stoppèrent et firent un câlin aux enfants avant de rejoindre les adultes. Howel s’incline devant Yselda pour la saluer et Deirdre lui fit une légère révérence et en cœur ils dirent…
Merci de votre accueil.
La main du Prieur sur l’épaule des enfants, ils prirent le chemin de la sortie sans un mot jusqu’à la lourde porte. Ils saluèrent encore les enfants est Yselda et franchir la porte qui les ramena dans un autre univers, loin des enfants abandonnées ou des mourants…

Deirdre ne vit pas que son frère discuter avec la vendeuse de fleur tant son regard était porté sur un jeune troubadour qui faisait des prouesses d’acrobates. La jeune fille était admirative et l’artiste faisait une belle démonstration de ses talents et de ses muscles sans la quitter du regard...
Le Prieur la ramena à l’ordre en répétant sa propre phrase et le rouge monta à ses joues. La tête baissée, elle s’éloigne à regret du spectacle que lui offrait le troubadour pour emboiter le pas du moine sans rajouter un mot. La main se glisse dans celle de son frère poursuivant le chemin qui les ramene au Monastère.
--Willow.


{Willow ? Oui c’est moi…}

Monastère St Glinglin...

Il reçut le liquide avec joie et soulagement malgré la toux qui suivi la première gorgée. Willow reprend et boit avant de se laisser retomber sur l’oreiller un sourire sur les lèvres. Il se rendit à peine compte de l’expression du jeune moine et encore moins sa précipitation.
Son regard se porte au plafond et lentement il essaye de regarder autour de lui. Il dû fermé un instant les yeux pour calmer son trouble.
Une main lui prend la sienne…Maman ?...
Le visage se tourne et les yeux s’ouvrent.
L’homme était pas connu et n’était pas mais pas du tout sa mère.
Qu’avait il dit déjà ?...Ah oui son prénom Oui ?
Willow regarde le moine qui semblait soulagé et heureux. Il se demandait où il se trouvait et qui était l’homme à ses cotés.
Tant de questions se bousculaient dans sa tête…
Dragones
{Quand est-il?...}

Les jours étaient passés depuis la missive du Père du Monastère St Glinglin…
Régulièrement, la Brune scrutait l’horizon espérant voir venir soit un pigeon soit un moine pour lui porter une missive.
Mais rien, l’attente était d’autant plus difficile qu’elle ne savait absolument rien du résultat de l’opération.
Avait-elle réussi ? A-t-elle été seulement faite ?
Dragones se rend en taverne et s’installe avec précaution tout en sortant son écritoire…



Capital de Limoges
Le 28 Septembre de l’an 1459

Père Eudes,

Je m’inquiète de ne point avoir de retour de votre part suite à la trépanation. A-t-elle eu lieu ? Y a-t-il un résultat que je souhaite de tout cœur positif.
Je ne peux me déplacer pour le moment, j’ai été blessée…Rien de grave, je vous rassure mais n’en dite rien aux enfants je vous en conjure !
Dites leur que je vais bien.
J’essayerai de venir dès que possible.
Merci de prendre soin de mes enfants et de saluer le Père Benoit de ma part. J’espère qu’il va également bien tout comme votre monastère.
Merci mon père.

Dragones de la Mirandole et de Tinùviel.


La Brune verse un peu de sable et attend avant de rouler le vélin et de le sceller…
Lentement elle ouvre la fenêtre de la taverne et siffle, son pigeon arrive et le message est fixé à la patte.
Dragones regarde le pigeon voler vers le Monastère de Niort en soupirant…
La fenêtre est refermée et elle retourne à ses occupations montrant sa bonne humeur qui n’était qu’une façade…
_________________
Que le souffle des Dragons rechauffe vos âmes...
--Le_prieur




Monastère Saint Glin-glin, aux environs de Niort..


Voilà plusieurs j'ours qu'ils étaient rentrés du couvent des soeurs de la sainte illumination. La vie du monastère se poursuivait aussi tranquillement qu'a l'accoutumé...ou presque.
Car si les enfant vaquaient a leur occupations, Le Prieur lui alternait le contenu de ses journée entre offices et veille au chevet du jeune Willow.
A peine était-il arrivée de sa visite a soeur Jeanne avec les enfants qu'un des novice lui avait dit d'aller au plus vite au dispensaire car il lui semblait avoir entendu le frère herboriste crier. Toutes affaire cessante, il s'y rendit non sans avoir confié Deirdre et Howel au novice afin de les mener prendre un repas. les jours depuis s'écoulaient...les trois religieux veillant sur lui a tour de rôles
.

Ce matin la, il traversa la cour intérieur dont le sol était déjà couvert de feuilles mortes, tenant une missive a la main et se dirigeait vers le dispensaire. Il poussa la porte de chêne et se signa rapidement en entrant. Il chercha du regard le frére Anselme. Celui -ci,infatigable, était au chevet du convalescent et y passait le plus clair de son temps. Eudes, le Prieur tira un tabouret et s'installa. Il regarda la mine du jeune homme:

Alors?....il semblerait que l'opération soit un succès. dit il en souriant. un regard vers le frère Anselme, celui ci observait le jeune homme avec un air satisfait.

Il semblerait en effet... répondit le frère Anselme, remercions le Trés Haut d'avoir guider mon esprit et d'avoir vu juste. il regarde la main du Prieur tenant une missive et demande:...qu'est ce ?

Le Prieur sourit et regarde tour a tour le jeune homme et le frère Anselme. Il agite la man tenant la missive et dit, regardant Willow:....Des nouvelles de votre mère....qui en attend de vous d'ailleur...il déroule le parchemin...je vous lis :




Capital de Limoges
Le 28 Septembre de l’an 1459

Père Eudes,

Je m’inquiète de ne point avoir de retour de votre part suite à la trépanation. A-t-elle eu lieu ? Y a-t-il un résultat que je souhaite de tout cœur positif.

...Il évite soigneusement le passage évoquant la blessure de leur mère et continu, pour donner le change par un commentaire: Voyez comme elle pense a vous?!...avant de reprendre...


Dites leur que je vais bien.
J’essayerai de venir dès que possible.
Merci de prendre soin de mes enfants et de saluer le Père Benoit de ma part. J’espère qu’il va également bien tout comme votre monastère.
Merci mon père.

Dragones de la Mirandole et de Tinùviel.


Roulant le parchemin doucement il regarde le Frère Anselme... Je vais de ce pas dans ma cellule , envoyer un messager pour la rassurer...il se tourne vers le jeune homme...continues de manger, ...tu vas mieux certes et nous en sommes ravis, mais si tu dois reprendre la route, il te faut encore plus de forces...il traça un signe de croix sur le front du jeune homme avant de s'en retourner. Une fois dans sa cellule, il se met a son lutrin et trace de sa plus belle plume , un message pour la mère.




Monastère St Glin-glin
Niort

Dame de la Mirandole et de Tinùviel.

C'est avec un joie immense que je peux enfin vous rassurer sur l'état de santé de votre fils.
En effet , pardonnez moi le blasphème mais, on peut vraiment dire que notre frère Herboriste a fait là un miracle.

Willow va bien.
Il a certes mis du temps a ses remettre, mais au bout de quelques jours il a peu a peu retrouver l'usage de la parole, et mange d'un appétit certes moindre que la norme mais correct vu son état ...et surtout, il n'est plus prostré.
J'imagine la joie que vous devez ressentir en lisant ces mots.

Je ne vous cache pas qu'il est encore faible mais, voyant la façon dont il réagit, il ne fait aucun doute que sous peu, il sera a nouveau l'enfant que vous avez connu.

Nous vous remercions de la confiance que vous nous avez témoigné, et vous souhaitons un prompt rétablissement et la protection du Très Haut.
Si d'aventure vos pas vous porte à Niort, nous aurions plaisir frère Anselme et moi a vous rencontrer.

Pax vobicum

Frère Eudes, Prieur du monastère St Glin-glin.


Il relit, jete un poignée de sable pour sécher l'encre et tout en cachetant la missive fait demander un courrier. Quand celui ci se présente, il donne la lettre :...Portes ça a Limoges, trouves l'armée Memento Mori et donnes ça a Dragones de la Mirandole et de Tinùviel.
Le courrier incline la tête sort. De sa fenêtre, Le Prieur le voit sortir du monastère en chevauchant au galop.
Dragones
[Enfin…]

Campement de la Momento Mori…

La Brune se déplaçait avec lenteur, son flanc gauche la faisant par moment souffrir selon ses mouvements.
Dans son entêtement, elle n’avait vu de Médicastre et avait fait son possible pour se soigner.
Mais ce jour en taverne, un jeune Italien avait vérifié sa blessure et avait fait le nécessaire tout en la sermonnant un peu.
L’homme avait quitté son Italie natale pour devenir érudit en tant que Médicastre…
L’Italie était bien loin pour La Brune qui a toujours une nostalgie de ce pays qui l’avait accueillie, blessée dans sa chaire et soignée…

Elle en était là de ses réflexions devant un des feux de camp quand un garde s’approche d’elle.
Dame Dragones, un courrier pour vous…L’homme se tourne vers le courrier.
Les yeux se relève sur le garde et se tourne vers le coursier, le corps se relève lentement.
Merci…
La main se tend vers le courrier, jeune moinillon pour prendre la missive.
Le soulagement se lit sur son visage au fur et à mesure de la lecture…

Dragones se rassoit invitant le courrier à faire pareil lui offrant de quoi boire et de faire une légère ripaille.
Elle n’attendit point pour répondre au frère et du se relever chercher son écritoire…



Capital de Limoges
Le 29 Septembre de l’an 1459

Père Eudes,

Me voilà soulager d’apprendre cette belle nouvelle qui réchauffe mon âme et mon cœur.
Dites à mes enfants que dès que possible je viendrais les rejoindre.
Je vous dois beaucoup mon Père ainsi qu’au Père Benoit et Anselmes pour leur bon soin.

Je vous fais parvenir une bourse légère de quelques écus pour votre Monastère, c’est la moindre des choses que je puisse faire.
Faites en ce qui bon vous semble, je suis certaine que ces quelques pièces aideront dans le quotidien.

Encore merci mon Père.

Dragones de la Mirandole et de Tinùviel.



La Brune verse du sable et le fait glisser vers le sol avant de fermer et sceller la missive.
Elle se lève et retourne dans sa tente déposant son écritoire et prenant le peu d’écus qu’elle avait encore.
Tenez et donnez ceci au Père Eudes.
Dragones regarde le courrier ranger missive et bourse et l’accompagne jusqu'à la sortie du campement.
Le regard se fait vague, une ombre en moins s’y lie…
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Que le souffle des Dragons rechauffe vos âmes...
--Moine.benoit


[…Joie…]

Monastère Saint Glin-glin…

Le Père Benoit devant le prie dieu repensait à l’annonce qui lui avait fait bondir son cœur de joie.
Le vieux moine était entrain de se reposer dans sa couche quand un moinillon était arrivé en trombe criant "Il est réveillé !.... Il est réveillé !...Mon Père… Il est réveillé !..."
Benoit s’était redressé ne comprenant pas tout de suite le moine.
Celui-ci avait reprit son souffle et avait annoncé l’heureuse nouvelle.
Le Père se déplaça bien rapidement pour son âge et entra dans le dispensaire allant vers la couche de Willow. Le jeune garçon était assis à boire un bouillon avec le frère Prieur.

Le vieil homme en avait pleuré de joie, en serrant le jeune garçon et encore plus quand il avait vu l’expression du frère et de la sœur.
C’est trois là s’était enfin retrouvés et à les voir cela fait chaud au cœur…
Willow était enfin guéri, il reprenait des forces de jours en jours.
Il avait eu l’autorisation de se rendre dans la cour pour profiter des dernières chaleurs de septembre…

Le Prieur lui avait fait lire la dernière missive de Dragones et elle ne parlait pas d’elle. Rien, et cela l’inquiétait que plus, il se demandait quand elle allait arriver et surtout dans quel état…
Benoit pria pour elle et les enfants en priorité puis pour tout le monde…
Il déplia son vieux corps et comme chaque matin, il sort du Monastère pour faire le tour de la ville et guettait aux portes de la ville espérant la voir enfin arriver…
--Le_prieur


Monastère St Glin-glin, aux environs de Niort.

{...Reflexions...}

Un des derniers beaux jours de l'année surement. Bientot la pluie viendrait prendre part a la grande ronde du temps. Debout devant la fenêtre de son bureau, Le Prieur pesait, engrenant son chapelet, comme a son habitude.

La vie du monde extérieur lui paraissait bien tumultueuse. Était ce le fait du temps qui passait sur lui qui lui faisait penser ça?....peut-être.
Cette guerre qui hors de murs faisait rage de puis de longs mois avait finit par enflammer une grande partie du royaume et même lui qui aimait a se tenir au courant des choses de ce monde avait finit par ne plus savoir qui défendait ou attaquait, allant même jusqu'a perdre la notion de "bons" et gentils"
:
Beatus ille qui procul negotiis...marmona-t-il pour lui même. Il se jura de faire graver cette phrase en lettre d'or au dessus de la porte d'entrée du monastère.
Tout ne peut pas etre tout le temps névaste....oui, au sein de tous les revers de toutes les peines, de tout les mécomptes, il y a toujours quelque chose de gratifiant qui vient vous réconforter Il suffit a chacun de savoir l’apprécier. Le très haut n'attend que gratitude pour donner plus de mansuétude. Son regard se tourna vers le jeune novice qui lui servait de secrétaire et attendait, près a écrire
.

- Où en étions nous, déjà ? demanda Le Prieur. L'hiver approchait, et un monastère de leur confrérie situé dans une province voisine s'inquietant de la quantité insuffisante de grains avait demander assistance, et Le prieur dictait sa réponse.

- euh...nous en étions resté à.."... nous vous ferons livrer sous quinzaine, cinquante sacs de blé", mon père. répondit l'autre.

- Bien...dit Le Prieur, finissez par une formule de politesse de votre choix et faites portes cette missive au plus vite...le moinillon se leva salua et se prépara a quitter la pièce...Non !!!....portez la vous même, et restez la bas en attendant la livraison...alors qu'il ouvrait la porte, il retint encore une fois le Novice...une dernière chose. Etes vous au fait d'une éventuelle annonce de l'arrivée de la mère de notre jeune protéger?

- Non...non mon père, aucune nouvelle a ce jour.
Le prieur le congédia d'un signe de la main et une fois que la porte se referma dans un claquement sourd, il retourna a sa fenêtre.Reprenant le cours de ses pensées, il regarda le père Benoit, sortir du monastère. Pauvre vielle homme, le temps et les épreuves ne l'avaient pas ménagé non plus...


Traduction:
(*) Bienheureux ceux qui, loin des affaires... (Horace, Épodes, ode II, v. 1)
Dragones
[Au porte de Niort...]

La Brune avait trouvé une taverne d’ouverte sur le chemin et y était entré, les personnes présente lui firent gouter une boisson Guyennaise qu’elle ne connaissait.
Pas faute pourtant de connaitre la Guyenne…
Elle avait passé une bonne partie de la soirée à les écouter, glissant par moment une phrase ou deux sans plus.
Quand ils parlèrent de Nebisa, elle garda que plus le silence et fini par prendre congé reprenant la route.

Montant sur sa jument, Ness la suivant, Dragones poursuit sa route, croisant bien des armées qui ne semblaient pas s’occuper d’elle pour sa plus grande joie.
Un voyageur de croisé puis un deuxième et encore une armée quand enfin au loin, elle voit les murailles de la ville…
Son teint est toujours aussi pâle donnant l’impression qu’elle est blessé ou sort de longue maladie, son regard est éteint.
Devant les lourdes portes sa voix se fait entendre légère et ferme…
Bonjour, je suis Dragones de la Mirandole et de Tinùviel.
Je suis attendu au Monastère St Glinglin*…

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Que le souffle des Dragons rechauffe vos âmes...
--Nick23.
[Au porte de Niort...]


Nick ce dirigea vers Poitiers afin de poursuivre sont chemin , tout en attendant désespérément une missive de Crisolde pour sont Laissé Passé .

Quelque heure plus tard , Nick revint sur ces pas , sont cheval n'était plus avec lui , Nick rampait sur le sol de peine et de misère , couvert de sont propre sang ...

Il avais subit de grave blessure , ayant été confronté à une armé entière sur un seul homme ... En dessous de sont genou , il était perforé , et des blessure au bras et au visage ... Il avait subit de grand coup et avait peine à ce déplacé ... Une fois presque rendu à Niort , Nick ce leva la tête et tenta de crié à l'aide ... Il vit simplement une silhouette au loin et s’évanouit ...

Allait-il mourir ? Qui donc le saurais ...

Le Templier Normand n'avais plus de moyen de transport et ne pouvais aucunement communiqué les siens pour leurs en témoigné cette mésaventure d'une malchance extrême qui , évidement n'était pas une malchance car Nick était au courant des guerres en ces temps malheureux et qu'il marchait en terrain hostile ...
Dragones
[Au porte de Niort...]


Elle avait attendu que quelqu’un lui réponde en vain et s’apprêter à partir quand son Ness devint nerveux et tirait sur sa longe…
Froncement de sourcils de la Brune, regard qui cherche ce qui met dans cet état son âne.
Elle laisse Ness avancer et finit par voir un homme en sang…
Par tout les saints !

Mouvement de talon et la voilà qui se retrouve à hauteur du malheureux, elle glisse au sol attrapant au vol sa besace contenant sa boite de soin qu’elle avait souvent utilisé ses derniers temps…
L’inconnu avait été bien malmené, Dragones se penche sur lui…
Restez avec moi, ne sombrez pas…
Tout en parlant, elle fait un garrot sur la blessure au-dessous de genou, elle fit de même pour les bras.

Dragones regarde autour d’elle, cherchant le moyen de le déplacer et se décide pour sa charrette.
Elle se glisse à hauteur de sa tête, glisse ses mains sous ses aisselles et le tire.
A la voir, on pourrait être surpris qu’elle arrive à le tirer, son teint est toujours aussi pâle.
Son regard s’était légèrement allumé en le voyant blessé mais la lumière s’est vite éteinte…
La Brune descend de la charrette et se dirige vers le premier point d’eau qu’elle trouve.
Elle récupère de sa charrette un sceau et le rempli d’eau avant de rejoindre l’homme…
Sa boite fut à nouveau ouverte, la blessure près du genou fut rincée, un onguent fut mit et un bandage fut posé, serré au mieux.
Elle poursuit avec les blessures au bras faisant fie des regards des habitants.
Tout en le soignant, elle lui parlait disant chacun de ses gestes, glissant par moment des mots rassurants…
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Que le souffle des Dragons rechauffe vos âmes...
--Nick23.
[Au porte de Niort...]


Nick entendait une douce voix en écho , une voix féminine ce disait-il .
Était-ce vrai ? ou était t'il tout simplement mort et au paradis ... Nick tentait de ce ressaisir mais c'était sans progrès.

Les yeux ouvraient et fermaient sans arrêt , et il voyais un visage mais dans un brouillard tout autemp qu'il entendais ça voix d'un écho incertain .

Nick chuchota quelque mot.


L... L... Le Temple .... informé le temple ... le temple ... je vous en pris ... Informé le ... ll ... le frère ... Akkar ! Il doit être mit au courant des évènement ...

Nick retomba par la suite dans un commas ...

Nul ne savais s'il survivrait mais la demoiselle semblait savoir ce quelle fessait ... Il aurait besoin d'un abris ...

Malheureusement , Il ne connaissait personne à Niort ...
Dragones
[Au porte de Niort...]


L’homme ouvre et referme les yeux, la Brune se veut rassurante, il chuchote, elle se penche pour l’entendre…
Vous inquiétez pas je ferais mon possible pour prévenir les vôtres…
Dragones essaye de le rassurer et prend un linge propre, le trempe dans l’eau.
Elle reprend ses soins en nettoyant son visage de son sang pour mieux voir les blessures…
La Brune a des gestes surs et rapides profitant qu’il soit dans l’inconscience pour faire ce qu’il faut.
Elle redresse la tête, personne ne vient l’aider ou lui demander si elle a besoin d’aide.
Dragones décide de l’emmener au monastère St Glinglin, le Prieur pourrait l’aider, le Père Benoit ou le Père Anselmes pourra compléter ses soins au besoin…
Tout en étant dans ses réflexions de comment agir, elle se nettoie les mains, descend de sa charrette et vide le sceau d’eau souillé par le sang du malheureux…
Elle allait partir quand elle entend une voix l’appeler…

Dame Dragones !...

La Brune se tourne vers la voix, son regard se pose sur la vieille silhouette qu’elle reconnait.
Père Benoit !...
Elle court le rejoindre, lui prend la main en la serrant.
C’est la providence qui vous fait être là mon père !
Dragones lui montre sa charrette avec le blessé…
Il faut l’emmener au monastère pour le soigner, j’ai fait au mieux…
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Que le souffle des Dragons rechauffe vos âmes...
--Moine.benoit


[Au porte de Niort...]


Le vieux moine referme la porte du monastère derrière lui et avance d’un pas lent en direction de la ville.
Benoit avançait dans la ville se dirigeant vers les portes espérant la voir sans y croire et la scène qu’il vit le surprit que plus.
Elle était là devant sa charrette, les vêtements couverts de sang…de sang ! Aristote ! Faites qu’elle ne soit pas blessée !...
Dame Dragones !...

Le vieux moine essaye d’allonger le pas pour la rejoindre mais la Brune est bien plus rapide.
Elle ne semblait pas blessé, il soupire de soulagement et l’écoute tout en portant son regard vers la charrette désignée…
Il hoche la tête, l’accompagne et monte dans la charrette vérifiant l’état de l’homme…
Tu as fait ce qu’il fallait mais emmenons le au monastère.Le convoi prit le chemin du monastère…
Nick23
Nick était semi-inconscient , Il voyait bien qu'il ce dirigeais quelque part ... Il commençait à halluciné , des hommes les poursuivait ? les démons le pourchassais ? il voyais les arbres défilé au dessus de lui ...

Il ne comprit rien... étourdit , il ce rendormit aussi vite ...

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--Moine.benoit



[Soulagement et inquiétude pour un inconnu…]

Monastère St Glinglin…

Benoit la laissant avec l’homme et prit les rennes afin de les mener au Monastère. Prend soin de lui le tend du trajet, nous ne sommes pas très loin.Le vieux moine se voulait rassurant et espéré que l’homme ne trépasserait pas.
Pour une fois Ness ne fit pas des siennes et les mena sans rechigner sous la charge comme a son habitude.
Arrivé aux portes, Benoit cogne à la lourde porte… L’huis est ouvert, suivi de la porte.Ouvrez les portes en grand! Faites querir le frère Anselmes et de quoi déplacer un blessé!
Il laissa faire un jeune moinillon qui courra chercher l’herboriste au dispensaire…

Benoit remonte sur la charrette et entre dans le Monastère s’arrêtant au milieu de la cours.
Bien vite les moines se chargèrent de l’âne et de la jument, les menant à l’étable.
Habituellement, le lieu à cette heure était des plus calmes mais là des bruits de précipitation se faisaient entendre. Ce qui eut pour résultat de faire sortir deux minois d’enfants qui crièrent à l’unisson… Maman !...
Regard du moine vers les enfants et la mère, le contraste était saisissant. Le visage des enfants respiraient la santé alors que leur mère était d’une pâleur à faire peur…
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