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[RP Ouvert] Le destin frappe encore...

Dragones
[La providence et retrouvaille…]

Monastère St Glinglin...

La Brune laisse le vieux moine prendre la charrette en main pour les mener au Monastère et reste près de l’homme.
Dragones ne pensait pas arrivée ainsi au Monastère, qu’allait dire ses enfants en la voyant souillé de sang ?...
Elle ne put s’interroger plus, l'homme gémit. La Brune lui prend la main essayant de le rassurer tout en essuyant son visage.
Iroise les suivait, laissant pour une fois Ness en tête et à voir l’âne cela lui plaisait bien.

Les lourdes portes du Monastère s’ouvrent et la Brune est surprise de voir les moines agir comme des fourmies autour d’eux.
Menant Iroise pour la panser ainsi que Ness.
Dragones se penche vers l’homme…
Tout ira bien à présent, vous êtes en lieu sur et nous vous apporterons les soins nécessaires et j’écrirais à Akkar pour le prévenir…
Elle ne savait pas s’il était assez conscient pour comprendre ses mots mais elle se devait de la rassurer.
La Brune glisse hors de la charrette quand elle entend…Maman !
Son sang se fige, elle se tourne vers les voix et son cœur bondit dans sa poitrine.
La lumière dans son regard se ranime, le sourire se désigne sur son visage.
Sans plus de contrôle, elle court près de ses enfants avec la crainte au ventre de recevoir en retour une froideur.
Mais bien vite cela fut oubliez, ses bras enlacèrent Deirdre et Howel pendant qu’une pluie de baisaient leur tombé dessus.
Pour son plus grand soulagement, les enfants la serrèrent dans leur bras en rendant ses baisaient…
_________________
Que le souffle des Dragons rechauffe vos âmes...
--Le_prieur


{...Dans la famille "voyageurs", je demande la mère...}

Monastère St Glin- glin, Niort.

Qui a dit qu'un monastère était un endroit calme, propre a la méditation et aux voyage intérieur?...

Certes la grande majorité des établissements devaient ressembler a ça, mais concernant le monastère St Glin-glin ces deniers temps il en était tout autrement. Impossible de s'isoler pour prier ou autre sans qu'on vienne interrompre ce moment de communion avec le très haut...
Il étudiait, ou réétudiait plutôt une des passages du Livres des vertus. Une bougies apportait un renfort de lumière plus que nécessaire. Tout en suivant les lignes d'un doigt, il prenait des notes, inscrivait des remarques sur tel ou tel passages. Ses yeux plissés allait du grimoire au parchemin sur lequel courrait une plume qu'animait une écriture saccadée. Tout a sa tache, il n'entendit pas dans un premier temps qu'on tapait a la porte de sa cellule.


Reposant la plume, il se leva, et d'un pas traînant, alla ouvrir la porte grinçante. Il se trouva nez a nez avec le novice qui semblait bien excité pour cette heure de la journée.
- Pardonnez le dérangement frère Prieur...dit-il en souriant, mais je crois qu'il serait bon que vous descendiez accueillir de nouveaux visiteurs..
- Hé bien qu'on leur offre gîte et couvert... répondit-il...et précisez leur que la chapelle de l'hostellerie est ouverte.
- Frère Prieur....Je crois qu'il s'agit de la mère des enfants...
- Quoi?...mais....il écarte d'une main le moinillon et prend le couloir...vous pouviez pas le dire plus tot?!

Il tient d'une main un des pans de sa robe de bure pour éviter de choir dans l'escalier qu'il dévale en courant et se précipite dans la cours du monastère. La bas, trônant au beau milieu, une charrette, menée par un âne a laquelle était attaché un cheval. Il reconnu la silhouette voûtée du père Benoit , les enfant qui serraient une dame brune.
Ralentissant le pas, il remarqua un homme gisant a l'arrière de la carriole. Il glissa ses mains dans les manches de sa robe ecclésiastique, en égrenant nerveusement son chapelet et arriva à la hauteur du père Benoit, il dit a voix basse
:
- On dirait que la famille se retrouve enfin....
--Moine.benoit



[Emulsion dans un Monastère…]

Monastère St Glinglin…

L’émotion gagne le vieil homme en voyant les enfants contre leur mère. Les mots n’étaient plus utiles à ce moment, rien que de les voir, heureux malgré tout de se retrouver enfin…
Benoit se tourne vers le Prieur pour mieux entendre son murmure…
- On dirait que la famille se retrouve enfin....
Les revoir ensembles leur fera que du bien et je pense qu’elle en a besoin. Son teint ne me rassure en rien et son regard avant d’avoir vue les enfants…
Il soupire et garde le silence un instant s’interrogeant sur ce qui avait bien pu arriver à Dragones…

J’ai fait demander le frère Anselmes pour l’homme blessé. Il semble qu’elle l’a découvert dans un état épouvantable. Espérons que le Très-Haut dans sa miséricorde lui accorde la vie…
Tout en parlant, Benoit s’était rapproché de la charrette pour rejoindre le malheureux. Le vieux moine pose une main sur le front de l’homme et commence une prière…
Nick23
[Prière inattendue . ]

Nick ce réveilla au moment ou le vieux moine fessait une prière la main au front et ce mit a toussoté ... Il regarda le vieil homme et dit :

Qui êtes vous ? où suis-je ? .... cela fait longtemps que je dormait ? ....

Nick tenta de s’asseoir mais en fut incapable ...

Aie ... !! Ça fait mal ...

Nick avait une sérieuse douleur à la tête ...
Nick pensa alors au temple et au retard qu'il aurait causé par ces blessures ...
Il pensa par la suite à Morgana et Thais de St-Lizier , deux amis chère qui lui manquais énormément ..


Avez vous informé le frère Akkar ???
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Dragones
[Procès…]

Monastère St Glinglin vers le tribunal…

Dragones se redresse tenant ses enfants et se tourne vers la charrette, elle voit un autre moine près du père Benoit et s’avance.
Bien le bonjour, je suis Dragones de la Mirandole et de Tinùviel.
Elle allait poursuivre quand elle remarque que l’inconnu s’était réveillé…
Sourit en le voyant plus prompt dans ses mouvements même si cela le fit tomber.
La Brune allait répondre quand la porte fut assaillie de coup…

Des gardes forcèrent la porte et s’avance dans la cours.
Amenez nous Dragones !
La surprise se lit sur le visage de l’intéressée…
C’est moi, que me voulez vous ?
Vous êtes accusé d’être en territoire Poitevin sans autorisation !
Ils ne lui laissèrent pas le temps d’agir que déjà un des gardes lui agrippent un bras et la tirent vers l’extérieur.
Dragones se tourne vers ses enfants…
Ne bougez pas, je reviendrais dès que cette affaire sera résolue…
Elle leur sourit et se retrouve entourée de soldat la menant à son procès…
Dragones, la missive ?...
Oui mon père elle a été envoyée…
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Que le souffle des Dragons rechauffe vos âmes...
--Moine.benoit


[Pourquoi ?...]

Monastère St Glinglin…

Benoit ne s’y attendait pas le pensant encore inconscient, il eut un recul de surprise en l’entendant et lui sourit.
Vous êtes dans un monastère, n’ayez crainte, je suis le Père Benoit.
Dragones vous a menez en ce lieu…Quand il voulu se redressez, il le poussa à rester allongé…
Ne vous redressez pas, vous êtes blessé…
Puis la scène qui suivi le laissa pendant un moment sans voix.
Des soldats agrippèrent Dragones sans ménagement la traitant comme un brigand de grand chemin.
Lâchez là…
Ne vous en mêlez pas moine, nous l’emmenons en procès !
...
Dragones, la missive ?...

Oui mon père elle a été envoyée…
Le moine Benoit la regarde quitter le Monastère encadrée de soldats avec dépit…
L’homme bouge et fait se souvenir de sa dernière question et y répond…
La missive a été envoyée, ne vous inquiétez pas…
--Howel.


[Retrouvaille trop brève…]

Monastère St Glinglin…

Howel suivait de près sa sœur pour voir ce qui se tramait dans la cour. Ils virent dans un premier temps la charrette tirer par un âne qu’ils connaissaient mais qui était bien trop calme.
Puis petit à petit dans leur esprit l’information se forme, leur mère était de retour !
Dans un même cri…Maman !
Les regardes se croisent et se portent jusqu'à l’autre et enfin les membres se déplacent pour finir dans les bras.
Les enfants étaient heureux de la sentir contre eux et se mirent à rire de ses multiples baisés.
L’étreinte venait à peine de prendre fin quand tout bascula dans ce moment de retrouvaille…

Howel la retient mais il ne fait pas le poids devant la force d’un garde qui lui retire sa mère.
Regard qui ne la quitte pas, main de Deirdre serrait dans la sienne…
Ne bougez pas, je reviendrais dès que cette affaire sera résolue…
Les enfants encore sous le coup de la surprise, hochèrent la tête en la regardant repartir entourer des gardes.
Maman…Howel court à la porte pour la suivre…
--Le_prieur



{...le sabre et le goupillon...}

Monastère St Glin- glin.

Joie....
Joie des retrouvailles familiales entre une mère et ses enfants.
Instant magiques, émouvant même, mais fugace....

Un fracas se fait entendre, le Prieur tourne la tête et voit entrer une bonne douzaines de gaillard en armures portant livré du Poitou. Très vite quelques un d'entre eux forment un cercle autour d'eux. Le frère Prieur est dans l'incapacité de dire un mot: Le sabre ne faisant guère le poids contre le goupillon difficile, difficile d'aller contre. Pourtant
:

- Vous êtes accusée d’être en territoire Poitevin sans autorisation ! dit un des gardes, alors que le Prieur portant sur lui en regard noir de colère lui dit:

-Et vous, vous forcez une enceinte religieuse où tout a chacun peut demander droit d'asile...lance presque accusateur le Prieur... La justice des hommes prendrait elle le pas sur celle du très haut?..Le Frère Eudes malgré sa fonction ne peut que laisser les hommes d'armes emmener Dragones qui d'une voix douce :

- Ne bougez pas, je reviendrais dès que cette affaire sera résolue… . Elle fait trois pas , le Prieur a les larmes aux yeux de voir un si bref bonheur baffoué par les armes. Il a juste le temps de dire:
- Nous veillerons sur votre blessé...vous le retrouverez ici soyez sans craintes. Il trace un rapide signe de benediction en direction de la brune quand surgit devant lui Howel, affolé, les yeux remplis d'incompréhension.
- Maman…. Il l'attrape par le bras le retenant malgré la force que celui ci met a tenter de rejoindre sa mère:
- Conduits toi en homme jeune Howel....dit il, ta mère a besoin de savoir que ses enfants sont devenus grands...nous ferons tout pour la sortir de là crois moi....
--Howel.


[Maman !...]

Monastère St Glinglin…

Il allait franchir la porte quand une poigne le saisie, il tire, se débat en vain.
- Conduits toi en homme jeune Howel....dit il, ta mère a besoin de savoir que ses enfants sont devenus grands...nous ferons tout pour la sortir de là crois moi...
Howel se fige et la regarde s’éloigner précédant d’un bon pas celui des gardes qui l’entoure. Elle marche droite et tête haute sans honte ni crainte. Le jeune garçon prend la même attitude que sa mère en finissant de se tenir aussi droit qu’elle et se tourne vers le Prieur.
Que pouvons nous faire ?...
Howel essayait de faire bonne figure, les poings serrés contre ses cuisses.
Il regarde le Père Benoit toujours près de l’inconnu blessé qui semblait plus accaparé par l’homme que l’événement qui venait de se passer. Mais c’était sans connaitre le vieux moine…
Puis le regard vers sa sœur, qui a le teint blanc, la peur se lit dans son regard, il lui tend la main. Il la serre contre lui et reporte son regard vers le Prieur…
Ils ne vont pas lui faire de mal ?...
--Le_prieur


{...Dignité...}

Cours du Monastère St Glin glin.

Stupidité humaine...

A sa grande surprise le Prieur du monastère vit le jeune et impétueux Howel obtempérer . Celui- ci prit sur lui pour garder une posture digne , gardant le contrôle de lui même. Sur ce point, il rejoignait sa mère. La situation ne serait pas ce qu'elle est, il se laisserait aller a un trait d'ironie.
Le regard du jeune homme se fit, perçant, calculateur et croisa celui du Prieur
:

- Que pouvons nous faire ?... un peu affolé tout de même, il cherche le réconfort moral du regard. Il a besoin de sa cellule, de ses repère. Sa soeur surtout, voyant sa détresse et prenant son rôle de mâle protecteur peut être à coeur pour la première fois il la serre contre lui demandant au frère Eudes...Ils ne vont pas lui faire de mal ?...

Gardant le silence un moment, le vieux moine égraine son chapelet, réfléchissant, analysant les différents cas de figures. Il cherche ses mots aussi qu'il veut réalistes mais rassurant. Il lève les yeux sur les deux jeunes gens blottis l'un contre l'autre:
- ne tirons pas des plans sur la comète...dit-il, ..attendons de savoir les faits qu'on lui reproche. Les faits qu'on lui reproche?...La bonne blague se disait-il, en temps de guerre on peut accuser n’importe qui de n'importe quoi.Et connaissant un peu le tréfonds de l'âme humaine, le Prieur savait ô combien l'imagination était sans bornes a ce niveau là. Cherchant à rassurer les enfants, il posa une main paternaliste sur chacune de leur épaules...ils ne peuvent rien lui faire sans procès, espérons juste qu'il sera équitable.

Il regarda la charrette, près de laquelle se trouvait le père Benoit, qui semblait complètement indifférent a ce qu'il venait de se passer, comme si, intention louable, seul comptait le blessé. Il alla, menant les enfants vers lui, e se pencha sur l'homme: Les blessures étaient spectaculaires mais heureusement, sans gravité. Il tira la peau sou son oeil, tâtât son pouls. Celui-ci était faible, mais vu la quantité de sang perdu, rien d'étonnant.
Faire participer les enfants, occuper leurs esprits pour éviter l'angoisse
:
- Deirdre, Howel?....aidez le père Benoit a installer cet homme au dispensaire dit -il,...je vous envoie le Frère Anselme.
Il les regarda, leur fit un sourire qui se voulait rassurant...je vous préviens si j'ai des nouvelles de votre mère.
--Howel.


[Contrôle, maitrise de soi…]

Monastère St Glinglin…

S’accrocher à la seule personne qui n’a jamais changé de langage et qui a voulu lui faire ouvrir les yeux sur la réalité de l’abandon…
Les mots choisi par le Prieur ne l’aida pas à s’apaiser…

Un procès équitable…bien sur qu’il sera équitable, y avait pas de raison qu’il ne le soit pas. Après tout il connait sa mère, la main tendu, toujours prête à aider son voisin. L’homme dans la charrette n’en est-il pas la preuve ?...

Il en était là de ses réflexions serrant toujours sa sœur dans ses bras quand l’appel d’Eudes le fit sortir de ses pensées…
- Deirdre, Howel?....aidez le père Benoit à installer cet homme au dispensaire dit-il,...je vous envoie le Frère Anselme. Il les regarda, leur fit un sourire qui se voulait rassurant...je vous préviens si j'ai des nouvelles de votre mère.
Les enfants obtempèrent et aidèrent le Père Benoit…
Howel croise son regard à celui du vieux moine et il reste figé un instant, contrairement à ce qu’il avait pensé. Benoit était touché par ce qu’il venait d’arrivé, cela se voyait dans son regard…
--Moine.benoit



[La lourdeur du passé…]

Monastère…De la cour au dispensaire…

Alors qu’elle franchit les portes entourée des gardes, Benoit se force a reporté son attention sur le blessé.
Apres l’avoir rassuré sur la missive envoyé, il resta prostré, accusant le coup de se départ et l’impossibilité d’agir pour aider Dragones.
Le crie d’Howel, lui fait rentré la tête dans ses épaules, ne réagissant toujours pas. Il laisse le Prieur gérer les enfants, essayant de revenir sur l’homme en sang.

L’événement le ramène vers un passé qui le paralyse et lui fait peur.
Il se souvient de ce jour où elle avait été accusée d’Hérésie par un Evêque des plus fous. Dragones avait frôlé le buché ainsi que Seamus…
Benoit avait aidé le couple et en avait aussi payé le prix de les avoir soutenus.
C’était à partir de là qu’une grande amitié c’était faites entre eux…

Les gémissements de l’homme le fit revenir au moment présent, son regard se relève et croise celui d’Howel. Le vieux moine ne put cacher sa peur à l’enfant, il essaye un sourire se voulant rassurant.
Benoit recule pour laisser le Prieur vérifier l’état de l’homme puis aider des enfants le transporte vers le dispensaire…
Dragones
[Procès ou mascarade ?...]

Niort...Tribunal…Geôle…


Elle suivait les gardes la menant à son jugement pour non autorisation en territoire Poitevin…
La Brune pour éviter un coup des gardes dans les cotes ou dans son dos calque ses pas aux hommes l’entourant.
Les marches menant au tribunal sont franchit et la voilà entrant dans la salle d’audience.
Le regard que lui porte le Procureur n’était que colère, celui du juge plus subtile.
Dragones ressent un frisson lui monter le long de l’échine, les gardes la mène vers une table…
A peine arrivé que l’acte d’accusation fut dit…

Accusateur: Comté du Poitou
Juge: Kiriell de la Rose Noire
Procureur: Brisson.

Accusé: Dragones
Dernière adresse connue
Pays : Royaume de France
Comté/Duché : Comté du Périgord
Village : Castillon

Nous, Brisson, en notre qualité de procureur du Poitou, accusons ce jour, le 16 octobre 1459, Dragones de Trouble à l’Ordre Public…et n'a pas quitté la ville malgré les courriers d'avertissement…


Dragones sur le chemin la menant en prison n’en revenait pas de se simulacre de procès.
Les dès avaient été jetés bien avant qu’elle se défende.
Pour eux elle était coupable et malgré les preuves apporté sur document officiel.
Ils ne croyaient pas en l’existence de ses enfants et l’accusé même d’espionnage pour la Reine.
Pourquoi avait-elle demandé qu’on la nomme avec son nom entier…

Le Procureur avait saisie la perche avec joie parlant de son cousin Flex alors qu’elle n’avait dit son nom…
Pourtant elle savait que le nom de la Mirandole faisant penser directement à Flex…

Malgré ses explications sur le Monastère St Glinglin, ses enfants, le Procureur et le juge ne crurent en rien ses propos.
Le dédain et la colère avait été présent tout le reste du procès et la sentence tomba…

Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.

Cette phrase revenait sans cesse dans son esprit…
Trouble à l’ordre public alors qu’elle était là pour rejoindre ses enfants…Ou était donc le trouble dans se fait ?...

Dragones ferme les yeux, ralentissant le pas se souvenant du regard que le juge avait porté sur elle.
Le mépris de l’homme l’avait fait frissonner, le coup qu’il frappa sur son bureau avec violence l’avait fait sursauter.
Les gardes avaient prit sa bourse contenant 91 écus et la lui rendirent avec une seule pièce…
Puis l’empoignèrent afin de l'attacher pour l’emmener en geôle pour quatre jour de prison…

Un coup donner dans son dos la ramena au moment présent, elle failli tomber mais réussi à se stabiliser et reprendre la cadence des gardes…

Avance !

Les mains liaient, elle avance dans la cour où une foule l’insulte et lui lance des fruits pourris et des pierres…
La Brune essaye de rester stoïque et droite, regardant devant elle sans répondre à la provocation.
Ne montrant pas la douleur et protégeant son visage…
Les gardes ne firent rien pour la protéger, son regard se porte vers des tours jumelles qui allaient être son habitat pendant quatre jours…

Elle dégluti, première fois qu’elle se retrouve à nouveau emprisonné…
Ses anciens démons remontent lentement dans ses souvenirs qu’elle repousse de toutes ses forces…

Marchoukrev ! Nous t’amenons une cliente !
Une espionne Royaliste qui va gouter à l’hospitalité Ponantaise dans nos geôles pendant quatre jours !


Un rire ponctue la phrase, un des gardes la détache laissant le geôlier prendre la relève…
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Que le souffle des Dragons rechauffe vos âmes...
--Marchoukrev


Niort, dans les geôles du Donjon.

{... Ça, c'est Palace !!!...}

Les deux massifs Donjons de Niort, jumeaux de pierre, imposants, impressionnants avaient en leur sein un endroit de sinistre réputation: Les Geôles.

Assis derrière une table de mauvaise facture, le chef geôlier Marchoukrev, consultait le registre des prisonniers sous sa responsabilité. Il y avait là un sodomite, une pseudo sorcière en attente de procès, quelques voleurs maladroits dont il couperait au choix les mains ou les oreilles plus tard...
La il avait réuni les gardes de factions pour leur expose l'affaire qui arriverait sous peu
.
- Ecoutez moi !!!...sous peu on va recevoir un pensionnaire de plus, dit il, ...je devrais dire, UNE pensionnaire de plus...sifflements équivoques de l'assemblée....SILEEEEEEEEENCE !!!! le calme revint....le premier qui la touche sans ma permission finit aux oubliettes...nous la mettrons dans la XXII...Il avise un garde qui n'écoute pas et regarde par un soupirail. Celui ci se retourne...

- La voilà chef !!!!...la voilà !!!. Marchoukrev tape dans ses mains:....a vos postes!!!

Stoïque, imperturbable et l'air sévère, il regarde la prisonnière remonter le couloir jusqu'a lui encadrée par deux hommes de la prévôté. A travers les barreaux des portes, des bras décharnés se tendent , des visages couverts de crasse la fixe...rituel immuable. Les gardes l’arrêtent a a quelques pas de lui. Elle est fière, presque qu'arrogante, malgré les détritus qui couvre sa robe. Il la toise, soutenant son regard, les mains sur les hanches:
- Marchoukrev ! Nous t’amenons une cliente ! ...Une espionne Royaliste qui va gouter à l’hospitalité Ponantaise dans nos geôles pendant quatre jours !
Le geôlier fait le tour de la femme. Son visage pale est fermer, de longues mèches brune sont collées a son visage mais...mais il y a cette lueur dans son regard...

- Espionne hein?....sois la bienvenue dans mes geôles, dit-il, tu es a moi pour quatres jours, je te conseils de te tenir tranquille, Royaliste, sinon tu tâteras de mon fouet...son regard accroche le sien. Elle le soutient, un sourire narquois nait doucement sur le faciès du chef geolier...il y a de la colère, de la haine dans ton regard Espionne,...excellent!!!..la haine et la colère aident a survivre en ce lieu...suis moi !!!

Ils avancent un peu dans le couloir dont le mur de pierre est couvert de mousse, témoignant de l'humidité ambiante. La maigre lueur de quelques torches accrochées aux murs par des pattes de fers permet de ne pas se perdre de vu. Il arrive devant une cellule dont la porte de bois épaisse est ouverte. Marchoukrev prend une torche, et entre, suivit de la "pensionnaire".
Qui pourrait tenir ici plus de quatres jours?...le sol est fait de terre humide, un fenestron permet a peine de renouveler l'air...et comble de tout, la paillasse grouille de vermines.
- un repas par jour te sera porté...dit le chef geôlier, les visites sont interdites ....ou acceptées moyennant la taille de la bourse. De la tete il désigne un pot de grès dans un coin de la pièce...ça c'est pour te soulager et tu as droit a une couverture...il lui jete une morceau de laine douteux et par d'un rire sadique en refermant la porte derrière lui en sortant.
Il ouvre une petite trappe, et ajoute:


- Bienvenue en Poitou !!!!
--_anselme_


Dispensaire du Monastère St Glin-glin.

{..quand y'en a plus, y'en a encore !!!...}

La plaie avait quasi disparue.
Seul restait la trace d'un cercle qui avait été découpé dans le cuir chevelue. Aucune fièvre, aucun symptômes d'aggravation.
Il pouvait remercier le très Haut de son aide.


Tout en refaisant le pansement il pensait que le jeune Willow avait eut de la chance de tomber entre ses mains. Pêcher de vanité?...d'orgueil?...qu'importe, il récitera trois "Pater Noster" de plus ce soir et voila, mis le fait était là: il lui avait sauver la vie.
- surtout, ménages toi encore jeune Willow, tu es presque tiré d'affaires, lui dit-il, sais tu que...
Le bruit de la porte du dispensaire qui claque lui coupa la parole, il se retourna et vit entrer les enfants, suivit du moine Benoit.
Ils portaient un homme qui laissèrent tomber sans ménagement sur une des paillasses .
Laissant là le jeune willow, il se précipité vers le petit groupe pour juger de l’état de l'homme mal en point
.
- Doucement, par Aristote !!!....vous voulez le tuer ?...

Il souleva le drap qui recouvrait le guerrier et maqua un temps de surprise, reconnaissant le manteau a la croix rouge.
- Par la malepeste.....un templier ?! il regarde les blessures en grimaçant. Les coupures c'était rien....un peu de fils, de concentration et d'onguent divers savamment appliqués feront des miracles.
Il en était tout autre de la jambe.
Au dessous du genoux, les chair étaient réduites en une bouillies sanguinolente et la jambe en elle même était déformée.
Il fallait d'abord réduire ce qui était une fracture visiblement. Sans prendre plus de précaution, profitant de l'effet de surprise, le frère Anselme redressa brusquement la jambe en la gardant légèrement tendue avant de demander qu'on le remplace,pour effectuer la pose d'un pansement qui recouvrait presque entièrement le membre. Ceci fait, il immobilisa la jambe en la prenant entre deux attelles.
Il regarda l'homme
.
- désolé, c’était plus que nécessaire...je vais recoudre vos plaies...il grimace...je suis plus réservé quand a votre jambe...dit-il...si le mal s'installe , nous devrons....il ne finit pas sa phrase...nous changerons les pansements régulièrement, et surveillerons tous ça.

Il trempe un linge dans un seau d'eau et nettoie le visage de l'homme, humecte ses lèvres avant de prendre son nécessaire et de commencer a recoudre les plaies.
- Alors les enfants? dit il, ne sachant pas le drame qui vient de se jouer dehors....votre mère va bien?
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