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[RP : Ouvert aux clients] "C'est la nuit qu'il est beau

--La_femme_au_masque
[Salon : présentation et perturbations]

Voici pour vous Dame, j'espère que le tout sera à votre convenance.

A peine a-t-elle prit place, laisse divaguer son regard ça et là, la jeune femme déjà apporte un verre.

Merci mademoiselle.

Elle gratifie la serveuse d'un sourire aimable. Non jamais au grand jamais elle n'a mal considéré servante. D'ailleurs ses meilleurs moments d'enfance, elle les a passé dans une cuisine, entre deux jupons de domestiques. Ce qui lui a valu maintes brimades maternelles. "Ce n'est pas ainsi que tu apprendras les bonnes manières ma fille!" ces mots résonnent encore dans son esprit quand l'homme désigné d'un seul regard s'approche.

Je suis Jules, pour vous servir, ma dame.

La main fragile de la dame désigne doucement le fauteuil voisin. Pas un ordre, non, une invitation. Puisqu'il à l'air de comprendre à merveille les attitudes les plus anodines ou insignifiantes, autant s'économiser des mots inutiles.

Ravie, Jules, appelez moi... hmmm.. Cassandre cela vous convient-il?

Un éclair malicieux traverse son regard quelques instants. Ce soir, elle sera qui il veut. Rien d'autre n'a d'importance. Puisse-t-elle simplement oublier sa condition pour quelques heures.

A cet instant, quelques cris leur parviennent. Rapidement, une rousse sortie de l'ombre s'en va ouvrir la porte et accueille chaleureusement le nouveau client. Ce dernier ne se prive pas d'admirer les atours de la belle. Attitude qui ne manque pas de faire sourire Cassandre. La mine amusée elle se retourne vers son compagnon de soirée.


Et bien, voilà qui a le mérite d'être clair!

Puis son attention est attirée vers un autre homme, blond, dans le fond de la salle. Un coup d'oeil discret. Elle ne l'a pas remarqué toute à l'heure. Peu importe, il ressemble trop à ce qu'elle côtoie chaque jour. Elle ne doute pas qu'il saura trouver cliente pour la soirée. Il est charmant. Mais depuis qu'elle a vu Jules en entrant, aucuns doutes, aucuns regrets.

Moi qui avait l'impression que c'était vide en arrivant, voilà que cela s'emplit. C'est un pari osé que d'ouvrir un... boudoir.

Rien à faire, difficile de faire fuser le mot bordel entre ses lèvres. Et puis pourquoi elle parle comme si elle se trouvait à un bal bien huppé?

Pouvons nous dire que la soirée s'annonce bonne Jules?

Une oeillade coquine accompagne ses mots. Bien sûr qu'il ne dira pas non. Qu'importe, elle veut se l'entendre dire. Des compliments, même si ils ne sont pas sincères, elle s'en fiche, elle en a besoin. De plus, on ne peut pas dire que ses hanches ne sont pas appétissantes. De même que son fessier rebondit n'a pas de quoi donner des idées. "Un corps parfait pour enfanter" avait vanter son père au moment de fixer le montant de la dote. Raté! Visiblement son ventre ne serait jamais rebondit que des mets délicats -ou non- que l'on servait dans les banquets.
Bisac
[Dans une rue …]

A gauche … à droite … encore à gauche et de nouveau à droite. Bisac pestait intérieurement. Bordel ! Que les rues de Paris peuvent estre tortueuses et labyrinthiques ! Le bourgeois provincial n’était pas vraiment à son aise dans les rues mal famées de la capitale.

Il avait quitté le Louvre un peu agacé, sa lettre de candidature n'avait pas toujours pas eu de réponse, Bisac commençait à s'inquiéter.

Il avait troqué sa tenue d’Huissier Royal pour une tenue plus « passe-partout » (pas une tenue de nain … ). Il aurait été malin, en mantel bleu flanqué de fleur de lys sur les épaules …

Vêtu d’un élégant pourpoint bordeaux, de braies de velours assorties, d’une paire de bottes de cuir brun et d’une cape fine dans les mêmes tons (pour la déco). Le parfait archétype du petit bourgeois de province en somme …

Petit saut pour éviter une flaque nauséabonde et voila nostre Bisac non loin du Boudoir des Sens.

Entre deux accueils au louvre, l'huissier avait entendu parler du ce Boudoir ... Les informations courraient rapidement entre les membres du louvres.

[Sur le seuil du Boudoir, une lourde porte fermée]

La mine fermée il frappa plusieurs coups sur la lourde porte, le judas finirait bien par laisser apparaitre quelques donzelles ou un portier...

"Une bien lourde porte ", se dit-il, "on va estre surement surveillé ... pas question de cogner quiconque après les servives rendus cette fois-ci ... "

Un léger sourire flotta un instant sur ses lèvres, parfois il repensait à cette prostituée catalane qui avait essayé de lui prendre plus d'argent que nécessaire, bien mal lui en avait pris ... le tenancier quant à lui s'était abstenu de tout commentaire ... dès lors que Bisac lui avait lancé une bourse rebondie.

Trèves de souvenirs de jeunesse.

Le froid tombait et de la buée s'échappait des lèvres du client qui patientait encore devant la porte ...

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Huissier Royal
Medicastre diplômé
Jharka
[devant la lanterne allumée]

La lanterne est allumée comme pour la pousser à pénétrer plus avant.
Elle plonge sans réfléchir dans le puits de lumière et s'arrête net avant de monter l'escalier.

Il y a un homme en haut des marches, manifestement décidé à entrer.

Il est vêtu avec recherche et les deux éléments conjugués, la présence de l'homme et son élégance, la clouent au bas des marches.

La jeune voyageuse baisse les yeux sur sa propre tenue mais l'objet de son hésitation n'est pas vraiment là.

Elle a imaginé entrer furtivement et voilà qu'il semble y avoir du monde.

Fallait-il être connu, reconnu ?
Fallait-il être homme ?
Etait-ce bon ou mauvais signe ?

Indécise, elle attend de voir ce qui va se passer, priant le ciel que personne ne se hasarde dans la ruelle.
--La_damoiselle_en_bleu
[IMG]http://data.imagup.com/12/1136972857.6 femme bleujpg[/IMG]

venant d'arrivée dans la belle ville de paris, je me promenais dans les ruelles

quand je vis une pancarte au doux nom de " boudoir des sens "

me dirigeais vers la et vit un messire qui toquais a la porte,

je fit celle qui passais par la en attendant qu'il entre dans la maison

visitant les alentours pour faire diversion, mais dit au messire :

bonsoir messire, pouvez vous me dire ce qu'est cette maison ?

je suis nouvelle ici


attendit sa réponse...
Rouquine
[salon, porte, porte, salon... bref, partout]

L'homme ne se contente pas que de jeter un coup d'oeil rapide, et elle sait déjà qu'elle lui plait. Parfait, elle n'aura pas à aller quérir Désirée trop vite... Mais alors qu'il se détourne d'elle pour s'approcher du bar et qu'elle s'apprête à l'y suivre, le heurtoir de la porte retentit. Profitant que le client était occupé par Emilla et ne s'était point encore clairement approprié ses services, elle l'abandonna quelques secondes aux bons soins de la petite fée du comptoir pour aller ouvrir le judas.

Dieu, un homme, encore...S'il voulait Marceau, tout irait bien. Sinon, une catin pour deux hommes... Désirée, tu en mets un temps à nourrir ton marmot, songea-t-elle avec inquiétude, tout en souriant au visiteur dont l'allure et la vêture criaient "bourgeois nanti"... L'huis s'ouvrit bientôt sur le nouveau visiteur, qu'elle invita à entrer d'un geste doux.


Le bonsoir, doux sire, bienvenue au Boudoir.

A nouveau la révérence, à nouveau le décolleté. Et puis un geste vers le comptoir. Si elle peut les entretenir tous deux en même temps jusqu'à l'arrivée de Désirée, il n'y aurait pas de client perdu. Et Emilla ne serait pas sous le feu des regards.

Désirez vous un breuvage...?
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Bisac
Bisac attendait tranquillement devant la porte lorsqu'un bruit de pas feutrés le fit se retourner. Il crut distinguer une vague forme en bas des escaliers. Hélas, la rue était mal éclairée et il ne vit qu'une masse noiratre dans le bleu sombre de la nuit ...

Il fit un pas avant lorsqu'une seconde personne gravit les marches et s'approcha de lui.

Elle lui demanda ce qu'était cette batisse.

L'homme ne put réprimer un petit sourire ...
Il se fendit d'une réponse enigmatique.


Et bien, voyez-vous dame, cette demeure est celle de la l'expression des sens, des senteurs opiacées et de la perdition la plus totale ... Un vrai petit coin de paradis en somme.

Nouveau sourire amusé.

Soudain la porte s'ouvre. Bisac s'éloigne de la femme et se présente à la charmante demoiselle aux cheveux de feu. D'un geste elle l'invite à entrer.

Le médicastre passa le seuil de la porte et se retrouva dans un salon des plus agréable.

De lourdes tentures étaient tirées, une singulière odeur d'encens tronait dans la pièce, l'illusion de l'éden des sens et de la fornication était des plus réussie.

Il penserait à remercier bien chaleureusement l'homme qui lui avait indiqué ce lieu.

Aymé attarda ses yeux un instant dans ceux de la courtisane. Son regard bleu-vert fixa celui de la fille ... comme s'il pouvait lire en elle, sonder son âme ...

Bisac sourit, il inclina la tête et déclara.


Je vous suis gré de vostre accueil à mon égard. Voila qui sonne de bon augure pour le reste de la soirée.

A boire ? Mon dieu oui bien sur ...
...
Je vous serai sincèrement reconnaissant de me faire porter une coupe d'hypocras.


Le médicastre parlait d'une voix calme et douce, son ton presque mielleux lui donnait un air aimable et gentil.
Enfin ... un "faux-gentil", en proie à des excès de violence, Bisac perdait facilement sa voix si douce et reposante ... un ton mielleux ? Un beau leurre oui !

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Huissier Royal
Medicastre diplômé
Emilla
[Comptoir et salon : diverses saveurs]


Une bière, s'il te plaît... petite.

Camille a entendu l'appel du soldat et son visage rosit imperceptiblement. Petite, mot à la fois doux et si... lointain. Elle ne laisse rien paraitre mais un regard furtif à la cliente lui montre combien elle est belle, polissée. Une cliente de qualité, une de celles qui se fidélise et s'attache. Piqure au creux du coeur et sourire de façade. Que lui arrive t'il donc? Emilla préfère se retirer et s'occuper des clients en priorité pour se calmer avant de revenir au comptoir. Elle rejoint donc le bar et prend les diverses commandes.

Attendant la réponse de l'homme au comptoir, elle versait déjà une fraiche blanche de Bruges pour Jules, et un hypocras en prévision de la demande de l'homme à la porte. Laissant celui ci s'avancer dans la salle, elle se glisse du comptoir et apporte sa bière à son soldat. Le regard qu'elle lui laisse est troublé, timide et a ce reflet du petit soldat qui avance dans la vie malgré les heurts qu'elle doit subir, découvrant la saveur apre de la jalousie. Quelques secondes, le trouble de doigts qui s'effleurent puis sans un mot, elle se détourne pour aller assumer son rôle ici, que tous aient de quoi manger demain.

S'avançant vers le nouveau venu dans le boudoir et lui laissant juste le temps de s'installer, elle dépose avec délicatesse le verre sur un guéridon, image vivante d'une discrète attention.

Désirez vous davantage? Fruits, poudres, confiseries?
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Jharka
[toujours pas décidée à entrer]

Un bruit de pas et elle tente de se dissimuler. Collée contre la porte, elle distingue une forme bleue et entend une voix féminine héler l'homme qui s’applique à manifester sa venue commesi la femme passait là par hasard.

Quel aplomb! pense Jharka.

Bonsoir messire, pouvez vous me dire ce qu'est cette maison?

Se pouvait-il que la naïve ignore où elle mettait les pieds, que le messire la fasse entrer à sa suite et que...

Jharka étouffe un rire

L'homme répond le plus sérieusement du monde :


Et bien, voyez-vous dame, cette demeure est celle de l'expression des sens, des senteurs opiacées et de la perdition la plus totale ... Un vrai petit coin de paradis en somme.

Cette simple phrase ravive le creux qui s'est niché au creux de son estomac.

L'homme est entré, laissant la jeune femme à l'extérieur.

Le cœur battant, Jharka attend. Si la fille s'éloigne, elle frappera à son tour.

Si elle entre...
Si elle entre...
Kalan
[Toujours au salon. Boudiou, quand est-ce qu'on ....]

Il se demande dans quel bouge il a mis les pieds. L'ambiance est feutrée, un peu guindée. La femme alanguie n'a pas daigné quitter son fauteuil pour s'occuper de ses deux prétendants.

La rousse est retournée à la porte, refait le numéro de la courbette qui précipite le regard de l'homme dans son décolleté.
Elle a des gestes doux. Il l'imagine le chevauchant, sa longue crinière flamboyante dénouée, et une douce chaleur envahit ses braies.

L'homme a quitté la poitrine du regard et se plonge dans les yeux de la belle.
Il prononce une longue phrase bien tournée tandis que Kalan se retourne vers la jeune fille qui... qui vient de quitter son comptoir.

Elle tend un verre au brun et il surprend le regard qu'elle lui lance, les doigts qui s’entrelacent un bref instant.
La petite aurait un béguin pour un client ?

Elle s'affaire encore puis revient... enfin !


Sers-moi donc un bière, fraîche !
Et dis moi ton nom, mignonnette !


Tout juste si elle se tourne vers lui ! De quoi a-t-elle peur, bordel ?

Quand il parvient à capter son regard, il lui fait un signe discret et l'invite à lui présenter son oreille. Il préfère parler à l'écart de la rousse. Il éprouve beaucoup plus de respect pour les catins que pour les mijaurées de salon.


Dis-moi jolie pucelle, n'y aurait-il aucune blonde dans la maison ?
Rouquine
[ Salon : Emilla à la rescousse/comptoir : au boulot ! ]

Souriant sous le regard perçant du bourgeois, moins insistant que le client qui l'attend au comptoir, la jeune rousse se retourne et.... pas le temps de héler Emilla que déjà elle s'avance et sert le bourgeois, déposant le verre qu'il mande sur un guéridon non loin. Rouquine sourit à sa soeurette et se sent tout à coup moins seule.

Désirez vous davantage? Fruits, poudres, confiseries?

Oh, que tu es parfaite, et quelle épine tu me retires du pied... Se tournant vers l'homme, la rousse saute sur l'occasion.

Je dois retourner auprès de mon invité pour l'heure, mais Désirée ne saurait tarder à réapparaître pour vous amuser, doux sire. Vous verrez, l'on vante sa beauté dans tout Paris, et c'est mérité... Emilla, sers à notre invité tout ce qu'il lui plaira pour tromper l'attente, veux-tu ?

Reculant d'un pas ou deux, elle glisse à l'oreille de sa cadette.

Va voir où en est Désirée, j'ai besoin d'elle.. ou plutot non... occupe-le, fais lui converse, chante lui quelque chose que sais-je...

Et sur ce chuchotement urgent, elle repart auprès du premier arrivé -premier servi- posant sans manières sa main sur son avant bras. Peut-être se trompe-t-elle, mais à ses yeux un homme qui prononce les mots puterelle et ribaude tout de go n'a pas le goût pour les politesses excessives...

Je vois qu'Emilla vous a servi. Laissez moi donc vous accompagner, et puis nous nous installerons... où vous voulez.

Incsonciente qu'il vient de réclamer une blonde à sa soeurette, elle désigne d'un geste vague à la fois la cheminée, ses tablées et ses fauteuils accueuillants, et les deux alcôves de part et d'autres de l'âtre... Tous les clients n'aiment pas forcément converser avant l'acte. La plupart ne deviennent bavards qu'après.... Vivement, la voilà qui passe derrière le bar et, délaissant son breuvage sucré habituel pour une bonne bière des Flandres, sourit à l'homme...

On m'appelle la rouquine. Quel est votre petit nom, mon joli ?

Mon joli : traduire, mets toi à l'aise, demande, et je te servirai. A boire, et plus. Le message est clair.
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Bisac
A peine s'était-il assis sur un fauteuil "haute époque" du salon, qu'une jeune femme vint lui porter un verre d'hypocras qu'elle déposa délicatement sur un petit guéridon.
Le client leva les yeux vers la servante, elle semblait bien jeune pour servir ici-lieu. Ses mains encore blanches, son visage vide des stigmates d'une vie de services corporels trahissaient sa jeunesse.

Cette pensée décrocha un sourire du visage du maistre médicastre qui ne put s'empêcher de penser, " La jeunesse est un défaut... Mais le défaut de l'âge, c'est de voir les défauts de la jeunesse *".

Un instant, il se demanda l'image qu'il renvoyait à la serveuse, le voyait-elle comme un vieillard ? Comme un vieux vicelard avide de caresser la peau ferme des jeunes femmes ?

Aymé sourit encore, il ne se considérait pas comme un vieux ni comme un homme d'âge mur. Lui qui n'avait pas trente ans, pas d'enfant ni d'épouse ne pouvait se résoudre à passer pour un vieux ...
La vieillesse lui faisait peur, il se refusait à vouloir ressembler au portrait de son père qui tronait en maistre dans la maison familiale ... pourtant quelque chose lui disait qu'un jour il ressemblerait à ce tableau ...

"Mourir ? La belle affaire ! Mais vieillir ... oh vieillir ... ** "

D'un nouveau sourire et d'un mouvement de tête il remercia la serveuse.


Hum ... je serai un homme des plus comblé si vous me fassiez le plaisir de me porter quelques friandises ... que sais-je, des pattes de fruit par exemple. Un met des plus exquis ...

La courtisane aux cheveux de feu, s'excusa poliment et se retira non sans chuchotter quelques mots à la serveuse. Bisac ne pretta nulle intention à cet inchange et se contenta de déclarer.

Je vous prie, dòna, allez vaquer à vos occupations ... je ne suis point un homme pressé, j'aime prendre le temps ... de savourer des petits plaisirs.

Il esquissa un léger sourire et jetta un dernier coup d'oeil sur le déhanché de la courtisane.
Elle se dirigeait vers un autre client, un homme à l'aspect robuste et rude.

Prenant une nouvelle gorgée d'hypocras, il attendait que les pattes de fruit arrivent ... ciel que la vie est faite de petits plaisirs qu'il ne faudrait gaspiller ...


* Thomas Bernhard
** Jacques Brel, les Marquises

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