Deedee
[Normandie Dun mot a un autre, lidée fait son chemin
]
Il navait fallu que quelque jour pour que les paroles échangé en taverne ne fassent leur chemin dans les souvenirs enfoui de la Baronne jusqu'à pousser sa curiosité au delà de ses limites.
« Trouver un limier et partir à sa recherche, vous finirez surement par le retrouver » lui avait dit la Duchesse. Quelques mot seulement, quAdeline navait pas voulu croire, jusqu'à retrouver comme une vague déferlante sur la falaise tout ses souvenirs de cet homme, ce garçon qui avait ravi son cur denfant à lépoque où ses préoccupations ne se limitait quà : « Quels jeux inventerons-nous demain ? »
Aujourdhui était tout autre. Elle lavait perdu de vu, une nouvelle fois. Elle avait suivit son chemin lui le sien, ils avaient grandi oubliant leur jeux denfant, mais si Si lespoir de le revoir, de le retrouvait existait encore ? Si la duchesse avait raison ? Si elle pouvait croire dans ces jours de guerre que son âme denfant était encore là ? Tout ces si avaient eu raison delle et de sa curiosité, et aidé de son amie, elle avait entamé les démarches nécessaires pour commencer lenquête.
Première étape, trouver une personne assez fiable pour lui confier cette étrange mission. Sans oublier bien sûr le gage de cette mission. Ça le gage, elle lavait, ce nétait pas ce qui lui manquait Mais la personne fiable cétait tout autre chose. Vers qui se tourner ? A qui sadresser sans risquer de se faire plumer, agresser voir pire ? Heureusement de connaissance en connaissance, un nom fut glissé à loreille de la Duchesse de Sedan qui rapidement le confia à Adeline.
La personne était trouvé, le rendez vous était pris, rester plus quà .
Deuxième étape, direction le rendez vous
[Paris Dans les rues sombre, une taverne mal éclairé .]
On y était cette fois.
La nuit venait de tomber sur Paris et bien loin des beaux quartiers, capuche relevé sur la tête pour passer le plus inaperçu possible, Adeline avançait, nerveusement, regardant sans cesse derrière elle et sassurant que son amie était toujours a ses cotés. Un regard juste rassurant vers cette frêle jeune femme qui pourtant dun seul regard savait lui apporter une certaine force et détermination.
-Nous y sommes presque Ana, le message donnait rendez vous à lauberge du Corbeau enragé. Pensez vous vraiment que nous y croiseront notre rendez vous ?
Elle restait un tantinet septique tout de même la Baronne, craignant un traquenard, une mauvaise rencontre ou de faux espoirs. Et puis le nom de lauberge ne disait rien de bon, bien loin des auberges chaudes et accueillante quelles avaient lhabitude de côtoyer en Normandie. Sans parler de ce quartier. Était-ce à cause de la nuit noire et sans lune ou a cause de la ruelle sombre, mais tout lui semblait obscur et ténébreux. De quoi intimider et angoisser deux jeunes noble dames au visage dange. Sauf que les deux anges en question, savait insidieusement se montrer diablotine quand il le fallait.
-Lendroit ne plait guère Est-ce vraiment une bonne idée ? Plus nous approchons et plus je murs denvie de faire demi tour ou de sortir ma dague.
Pas si mauvaise idée que ça finalement ? Surtout lorsquelles traversèrent la petite place déserte où les formes des caisses et barrique formaient des masses informe et mystérieuse, vous donnant limpression quune masse allait sortir de là et vous sauter dessus.
Lauberge vite !
Et guider par la lueur dune lanterne, faible halot de lumière dans cette obscurité, elles arrivèrent enfin au lieu indiquer. Sassurant alors que personne ne les avait suivit, Adeline posa sa main, légèrement fébrile sur le bras de son amie pour se rassurer une dernière fois, et poussa la porte de la gargote.
On y était !
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Il navait fallu que quelque jour pour que les paroles échangé en taverne ne fassent leur chemin dans les souvenirs enfoui de la Baronne jusqu'à pousser sa curiosité au delà de ses limites.
« Trouver un limier et partir à sa recherche, vous finirez surement par le retrouver » lui avait dit la Duchesse. Quelques mot seulement, quAdeline navait pas voulu croire, jusqu'à retrouver comme une vague déferlante sur la falaise tout ses souvenirs de cet homme, ce garçon qui avait ravi son cur denfant à lépoque où ses préoccupations ne se limitait quà : « Quels jeux inventerons-nous demain ? »
Aujourdhui était tout autre. Elle lavait perdu de vu, une nouvelle fois. Elle avait suivit son chemin lui le sien, ils avaient grandi oubliant leur jeux denfant, mais si Si lespoir de le revoir, de le retrouvait existait encore ? Si la duchesse avait raison ? Si elle pouvait croire dans ces jours de guerre que son âme denfant était encore là ? Tout ces si avaient eu raison delle et de sa curiosité, et aidé de son amie, elle avait entamé les démarches nécessaires pour commencer lenquête.
Première étape, trouver une personne assez fiable pour lui confier cette étrange mission. Sans oublier bien sûr le gage de cette mission. Ça le gage, elle lavait, ce nétait pas ce qui lui manquait Mais la personne fiable cétait tout autre chose. Vers qui se tourner ? A qui sadresser sans risquer de se faire plumer, agresser voir pire ? Heureusement de connaissance en connaissance, un nom fut glissé à loreille de la Duchesse de Sedan qui rapidement le confia à Adeline.
La personne était trouvé, le rendez vous était pris, rester plus quà .
Deuxième étape, direction le rendez vous
[Paris Dans les rues sombre, une taverne mal éclairé .]
On y était cette fois.
La nuit venait de tomber sur Paris et bien loin des beaux quartiers, capuche relevé sur la tête pour passer le plus inaperçu possible, Adeline avançait, nerveusement, regardant sans cesse derrière elle et sassurant que son amie était toujours a ses cotés. Un regard juste rassurant vers cette frêle jeune femme qui pourtant dun seul regard savait lui apporter une certaine force et détermination.
-Nous y sommes presque Ana, le message donnait rendez vous à lauberge du Corbeau enragé. Pensez vous vraiment que nous y croiseront notre rendez vous ?
Elle restait un tantinet septique tout de même la Baronne, craignant un traquenard, une mauvaise rencontre ou de faux espoirs. Et puis le nom de lauberge ne disait rien de bon, bien loin des auberges chaudes et accueillante quelles avaient lhabitude de côtoyer en Normandie. Sans parler de ce quartier. Était-ce à cause de la nuit noire et sans lune ou a cause de la ruelle sombre, mais tout lui semblait obscur et ténébreux. De quoi intimider et angoisser deux jeunes noble dames au visage dange. Sauf que les deux anges en question, savait insidieusement se montrer diablotine quand il le fallait.
-Lendroit ne plait guère Est-ce vraiment une bonne idée ? Plus nous approchons et plus je murs denvie de faire demi tour ou de sortir ma dague.
Pas si mauvaise idée que ça finalement ? Surtout lorsquelles traversèrent la petite place déserte où les formes des caisses et barrique formaient des masses informe et mystérieuse, vous donnant limpression quune masse allait sortir de là et vous sauter dessus.
Lauberge vite !
Et guider par la lueur dune lanterne, faible halot de lumière dans cette obscurité, elles arrivèrent enfin au lieu indiquer. Sassurant alors que personne ne les avait suivit, Adeline posa sa main, légèrement fébrile sur le bras de son amie pour se rassurer une dernière fois, et poussa la porte de la gargote.
On y était !
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