--Ethelbruge
[Dans le secret d'une chambre de taverne]
Jétais la proie au doute, limage de mon paternel sétait imposé à moi refroidissant mes ardeurs, je faisais une bêtise et puis soudain une puissance dernière moi, une chaleur esquisse qui se colle, ses mains, une caresse, un baiser dans mon cou et des mots doux, presque amoureux, je ne millusionne pas je sais que les mots ne sont là que pour memmener vers son plaisir, je le sais, mais je ne veux pas le savoir, je veux millusionner lespace de cette nuit, oublier, aimer et être aimer .par cet homme qui prend impérieusement mais qui donne en retour
Hooo .Rodan
Ces sensations quil me fait découvrir alors quil me caresse et hooo je ne savais pas quon pouvait faire ça, cest .je mabandonne contre lui la proie de frisson, il memporte, membrasse, mapprivoise, mhypnotise de ses mots, de ses baisers, de ses caresses. Toutes ces sensations si nouvelles qui viennent en moi avec force, jamais jamais je nai ressenti ça jai oublié le beau Mathieu, je ne vois que Rodan, que cette force, cette puissance, ce désir qui émane de lui, qui vient à la rencontre du mien, nous nous retrouvons dans sa chambre, la porte fermée, mes seins à lair libre frissonnant vers un désir qui me possède et je ne sais comment nous en sommes arrivés là.
Nous nous faisons face dans cette chambre, devant sa paillasse, nos regards sarriment, il me tient à sa merci, une nouvelle caresse dans cet endroit si intime font céder mes derniers doutes, mes dernières résistances avec ce désir qui déferlent en moi balayant tout sur son passage, accélérant ma respiration, mon cur .et cette envie au fond de moi que par pudeur je nose dire « oui, encore, je veux plus », le plus je laurais bientôt, jesquisse un sourire, plus de pudeur, juste lenvie !
Rodan je
Un murmure presque une supplique alors quà mon tour je déboutonne sa chemise, glisse mes mains sur son torse puissant, doucement dabord, ivresse de la découverte, jose un baiser sur son torse, je frisonne encore sous ses caresses .plus, je veux plus, mes caresses se font plus insistantes, je me colle à lui
Rodan .dis moi montre moi ne me fait pas mal....
La peur soudain de ne pas être à la hauteur, son désir est fort, puissant, mais elle est si ignorante, soudain cela l'assaille alors qu'elle va franchir la barrière, elle se souvient de la douleur, elle ne veut plus avoir aussi mal que lorsque le beau Mathieu la prise, et qu'amoureuse transis elle lui a bêtement cédé....
Jétais la proie au doute, limage de mon paternel sétait imposé à moi refroidissant mes ardeurs, je faisais une bêtise et puis soudain une puissance dernière moi, une chaleur esquisse qui se colle, ses mains, une caresse, un baiser dans mon cou et des mots doux, presque amoureux, je ne millusionne pas je sais que les mots ne sont là que pour memmener vers son plaisir, je le sais, mais je ne veux pas le savoir, je veux millusionner lespace de cette nuit, oublier, aimer et être aimer .par cet homme qui prend impérieusement mais qui donne en retour
Hooo .Rodan
Ces sensations quil me fait découvrir alors quil me caresse et hooo je ne savais pas quon pouvait faire ça, cest .je mabandonne contre lui la proie de frisson, il memporte, membrasse, mapprivoise, mhypnotise de ses mots, de ses baisers, de ses caresses. Toutes ces sensations si nouvelles qui viennent en moi avec force, jamais jamais je nai ressenti ça jai oublié le beau Mathieu, je ne vois que Rodan, que cette force, cette puissance, ce désir qui émane de lui, qui vient à la rencontre du mien, nous nous retrouvons dans sa chambre, la porte fermée, mes seins à lair libre frissonnant vers un désir qui me possède et je ne sais comment nous en sommes arrivés là.
Nous nous faisons face dans cette chambre, devant sa paillasse, nos regards sarriment, il me tient à sa merci, une nouvelle caresse dans cet endroit si intime font céder mes derniers doutes, mes dernières résistances avec ce désir qui déferlent en moi balayant tout sur son passage, accélérant ma respiration, mon cur .et cette envie au fond de moi que par pudeur je nose dire « oui, encore, je veux plus », le plus je laurais bientôt, jesquisse un sourire, plus de pudeur, juste lenvie !
Rodan je
Un murmure presque une supplique alors quà mon tour je déboutonne sa chemise, glisse mes mains sur son torse puissant, doucement dabord, ivresse de la découverte, jose un baiser sur son torse, je frisonne encore sous ses caresses .plus, je veux plus, mes caresses se font plus insistantes, je me colle à lui
Rodan .dis moi montre moi ne me fait pas mal....
La peur soudain de ne pas être à la hauteur, son désir est fort, puissant, mais elle est si ignorante, soudain cela l'assaille alors qu'elle va franchir la barrière, elle se souvient de la douleur, elle ne veut plus avoir aussi mal que lorsque le beau Mathieu la prise, et qu'amoureuse transis elle lui a bêtement cédé....