---fromFRmeroot
Citation:
Cher Vicomte,
Vous qui me demandiez une carte, avez-vous vu celle qui sert de référence au traité frontalier d'avec la Touraine? J'ose espérer qu'elle vous siéra et sera fort agréable à manipuler pour vos projets cartographiques.
Quant à nostre présente affaire, merci pour vostre intervention.
Toutefois, le terme "semblerait" est bien trop aléatoire que pour etre une certitude et donc une exactitude quant à la date à laquelle une telle demande auroit pu estre adressée à ma personne.
Et pour septembre, cela est impossible car je n'ai pris langue d'avec, présentement, Monsieur le Duc de Montsoreau et alors seulement Baron de Beauvau que courant novembre au sujet de sa non-allégeance à la Couronne de France quant il faisait office de Duc d'Anjou. Avant cela, je lui adressai invitations, en tant que Baron de Beauvau, aux allégeances
à la Duchesse Paquerette qui estoit alors nostre Duchesse d'Anjou.
Pour ce qui est des règles régissant le statut héraldique des seigneuries, celles-ci ne sont entrées en vigueur que le 2 novembre 1454 et furent publiées en Anjou, ici-mesme,le 4 novembre de la mesme année.
Avant cela, il n'y avait point de réglementation sur ce type de noblesse qui, d'ailleur, ne se retrouvait point référenciée dans les nobiliares quels qu'ils soient.
Si cela fut en septembre, comme il est dit plus avant, mon aval sur la question n'estoit point nécessaire. Il en fut d'ailleur ainsi des seigneuries qu'octroyat la Duchesse de Chateau-Gontier à Messer Sébastien Deldor et Messer Roland.fr. où, à ma grande surprise, je vis ceux-ci arborer en leurs signatures titres te parfois blasonnement et, soit dit en passant, sa,s que je n'y trouve à redire.
Lorsque j'eus vent des futures épousailles du Baron de La Baste, je m'enquis auprès de lui afin de connoitre la belle qui devint plus tard son épouse.
Je le prévins que si cela devait etre comme tel, l'épousée n'étant point noble de titre, il se trouverait alors de facto en contradiction avec les édicts régissant les règles héraldiques.
Il auroit été alors fort simple qu'il octroyasse terre et titre de Dame à sa future épousée, chose qu'il ne fit point.
Que du contraire.
Mais chose que, toutefois, fit feu le Duc de Cholet d'avec son futur gendre, Messer Philippaurus, et où, n'en déplaise à certain, je recherchai, trouvai et balsonnai la fief de La Pommeraye sur les terres de Montejean en Anjou pour celui-ci avant son marriage d'avec Paquerette de Dénéré.
J'ose espérer qu'elle s'en souviendra et pourroit tesmoigner du fait de nos échanges plus que quotidien de missives pour en régler l'épineuse question qui ne devint d'ailleur
jamais un problème Phillipaurus recevant son titres quelque temps avant ses épousailles.
D'aucun pourroit m'accuser d'attentisme où encore crier au loup, que ceux-là ferait bien mieux de réagir plus promptement aux missives qui leur sont adressées.
Si, avant leurs épousailles, vous auriez agit (et réagit) tel feu le Duc de Cholet, nous n'en serions point là à perdre temps et énergie dans de vains palabres.
Vous qui me demandiez une carte, avez-vous vu celle qui sert de référence au traité frontalier d'avec la Touraine? J'ose espérer qu'elle vous siéra et sera fort agréable à manipuler pour vos projets cartographiques.
Quant à nostre présente affaire, merci pour vostre intervention.
Toutefois, le terme "semblerait" est bien trop aléatoire que pour etre une certitude et donc une exactitude quant à la date à laquelle une telle demande auroit pu estre adressée à ma personne.
Et pour septembre, cela est impossible car je n'ai pris langue d'avec, présentement, Monsieur le Duc de Montsoreau et alors seulement Baron de Beauvau que courant novembre au sujet de sa non-allégeance à la Couronne de France quant il faisait office de Duc d'Anjou. Avant cela, je lui adressai invitations, en tant que Baron de Beauvau, aux allégeances
à la Duchesse Paquerette qui estoit alors nostre Duchesse d'Anjou.
Pour ce qui est des règles régissant le statut héraldique des seigneuries, celles-ci ne sont entrées en vigueur que le 2 novembre 1454 et furent publiées en Anjou, ici-mesme,le 4 novembre de la mesme année.
Avant cela, il n'y avait point de réglementation sur ce type de noblesse qui, d'ailleur, ne se retrouvait point référenciée dans les nobiliares quels qu'ils soient.
Si cela fut en septembre, comme il est dit plus avant, mon aval sur la question n'estoit point nécessaire. Il en fut d'ailleur ainsi des seigneuries qu'octroyat la Duchesse de Chateau-Gontier à Messer Sébastien Deldor et Messer Roland.fr. où, à ma grande surprise, je vis ceux-ci arborer en leurs signatures titres te parfois blasonnement et, soit dit en passant, sa,s que je n'y trouve à redire.
Lorsque j'eus vent des futures épousailles du Baron de La Baste, je m'enquis auprès de lui afin de connoitre la belle qui devint plus tard son épouse.
Je le prévins que si cela devait etre comme tel, l'épousée n'étant point noble de titre, il se trouverait alors de facto en contradiction avec les édicts régissant les règles héraldiques.
Il auroit été alors fort simple qu'il octroyasse terre et titre de Dame à sa future épousée, chose qu'il ne fit point.
Que du contraire.
Mais chose que, toutefois, fit feu le Duc de Cholet d'avec son futur gendre, Messer Philippaurus, et où, n'en déplaise à certain, je recherchai, trouvai et balsonnai la fief de La Pommeraye sur les terres de Montejean en Anjou pour celui-ci avant son marriage d'avec Paquerette de Dénéré.
J'ose espérer qu'elle s'en souviendra et pourroit tesmoigner du fait de nos échanges plus que quotidien de missives pour en régler l'épineuse question qui ne devint d'ailleur
jamais un problème Phillipaurus recevant son titres quelque temps avant ses épousailles.
D'aucun pourroit m'accuser d'attentisme où encore crier au loup, que ceux-là ferait bien mieux de réagir plus promptement aux missives qui leur sont adressées.
Si, avant leurs épousailles, vous auriez agit (et réagit) tel feu le Duc de Cholet, nous n'en serions point là à perdre temps et énergie dans de vains palabres.
Cher Herault,
Je vous remercie pour cette première frontière tracée, c'est un bon début de trevail, il reste encore quelques 4 ou 5 frontières a faire reconnaitre, je pense cependant commencer mes travaux cartographique sous peut, prenant comme reference la liste des fiefs angevins publié a la héraulderie et corrigeant s'il faut pour la présente frontière.
Ma belle soeur m'eut dit que les demandes de seigneurerie se firent en septembre sans grande exactitude sur la date, la lois héraldique concernant ces evenements étant faite de novembre, elles ne purent effectivement etre faites avant.
Concernant se point sur les seigneureries, sont elles validé du temps de la demande ou du temps de la cérémonie officielle ?
Ainsi si missive de demande fut faite avant le mariage, Fifounijoli resterait baronne et non douairière puisque sans heritié de mon frère.
Dans le cas d'une reconnaissance du temps de la cérémonie ou d'une demande après mariage, le problème est reglé et Fifounijoli non noble.
Il semblerait que dans le reste de votre lettre, vous m'ayez confondut avec Montsoreau
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R.I.P