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[RP] Hérauderie d' Anjou

Cheeky
Hip Hip Hip pour Blue !

Vraiment très heureux pour lui. (en plus je trouve le blason pas mal)!

Félicitation ! Bienvenue au GCD ...
Finam
La vache, ça remonte à loin tout ça...
_________________
"Aristote aurait pu devenir un saint, le patron de tous ces Romains qui ne cessent de trahir.."
pnj
Citation:
A tous les lettrés du Royaume

Par la présente, nous faisons savoir que l’Hérauderie de France procède à un appel aux candidatures pour les marches suivantes :

Alençon
Anjou
Artois
Champagne
Flandres
Normandie
Orléans
Poitou
Armagnac et Comminges
Rouergue
Gascogne
Toulouse

et en Généalogie.


La charge de héraut ne nécessite nullement de faire partie de la Noblesse, ainsi toute personne sachant lire et écrire, désireuse d’œuvrer pour la Couronne, possédant quelques aptitudes au dessin, s’étant intéressée à l’art héraldique, à ses règles et/ou à la géographie peut déposer sa candidature en la Chapelle Saint Antoine de Paris.
Aucune missive privée ne sera acceptée.
Ne peuvent postuler à une charge de héraut que les personnes habitant dans le duché ou comté visé par son acte de candidature.

Certaines marches furent annoncées vacantes par le passé. Suite aux ouvertures des nouveaux comtés et aux déménagements qui en ont découlé, nous demandons à tous les candidats ayant déjà déposés leur demande de la confirmer.

La date butoir est fixée au jeudi 15 mai de cette année. S’en suivra un test pour départager les candidats.


Faict le quatrième de Mai Anno Domini Quatorze Cent Cinquante Six,
à Sainct-Anthoine-le-Petit.


Naluria
Citation:
Par la présente, Nous Naluria Marthun Vaast, dicte Auvergne, Héraut du Bourbonnais Auvergne faisons acte de la demande de Dame Kilia Chandos de Pentièvre, Duchesse de Chasteau-en-Anjou quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur ses terres de Chasteau-en-Anjou Sise au fief nommé Villiers-au-Bouin à Messire BladeMaster.

Apres recherches héraldiques dument entérinées par le Roy d'armes, Dame Morgwen de La Louveterie, le Fief de Villiers-au-Bouin est bien seigneurie du Duché de Chasteau-en-Anjou.
Après consultation d'armoriaux, l'écu se référant à ladicte seigneurie est : Coupé de gueules et d'or, au coq coupé d'argent et de sable, brochant sur le tout , soit, après dessin :



Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques et nous engageons en tant que Hérault du Bourbonnais-Auvergne, intérimaire pour l'Anjou, à estre le témoin Héraldique des serments vassaliques échangés entre l'octroyante et l'octroyé.

Faict le XXVe jour du Mois de Mai 1456 sous le règne de nostre souverain bien aimé le Roy Lévan le troisieme de Normandie.

Jason
Citation:
Du lignage Noble


Du lignage noble

  • Un lignage est une ascendance noble fondée sur une série continue de mariages aristotéliciens et d'héritages d'un mesme titre et fief, transmis des parents aux enfants par primogéniture simple ou par primogéniture masculine (ou féminine), selon les volontés édictées par testament. En l'absence de testament, la primogéniture simple sera appliquée.
  • Une lignée est une descendance noble fondée sur semblables caractères.
  • Il appartient aux Hérauts ès Généalogie de recenser et d'archiver les lignages nobles, afin que se puissent régler les cas de successions de titres de noblesse.
  • Tout Noble titré est donc invité à faire cognoistre auprès du greffe du héraut ès généalogie ses ascendants et descendants.
  • Les archives généalogiques seront regroupées en la bibliothèque de la chapelle Sainct-Anthoine.
  • Dans le cas où ledict noble n'aurait point fourni lesdictes informations, la succession des titres de noblesse sera laissée au bon jugement de la Hérauderie, qui pourra également décider, en l'absence d'héritier valide, leur rétrocession au Duché ou Comté.
  • Les documents possiblement antidatés ne sauroient constituer preuves de filiation.
  • Les nobles peuvent également transmettre aux Hérauts leurs dispositions testamentaire (répartition des titres entre héritiers légitimes, deshéritage de tout ou partie des héritiers présomptifs...), qui seront conservées scellées et secrètes au Scriptorium Sainct-Anthoine, et ne seront dévoilés qu'à leur trépas.
  • Au sujet des jumeaux, plusieurs théories cohabitant dans les coutumes et croyances, l'Hérauderie laisse à la discrétion des parents la désignation de l'ainesse lors de l'enregistrement de leur descendance.


Du port des armes familiales dans une mesme maison

  • Seuls le chef de la maison et son conjoint devant Aristote portent les armes familiales pleines et non brisées.
  • Ces armes familiales peuvent correspondre ou non aux armes du fief noble fondateur de la lignée. Ainsi, un baron de X pourra avoir pour armes familiales les armes du fief de X, mais pas forcément.
  • Quand ils ne possèdent pas de titre de noblesse propre, les filles et fils d'une mesme maison peuvent porter les armes familiales, à la condition expresse qu'elles soient brisées et dépourvues de couronne. Ainsi, par exemple, l'aisné brisera les armes familiales avec un lambel, le cadet une bande, le benjamin une bordure...
  • Les brisures peuvent s'accumuler : l'aîné du fils cadet pourra porter une bande et un lambel superposés sur les armes familiales.
  • Comme dict précédemment, les bastards doivent obligatoirement briser les armes familiales. Certaines brisures, comme la barre, sont d'ailleurs signes usuels de bastardise.


Du Mariage

  • Les mariages aristotéliciens sont les seuls mariages reconnus comme valides et donnant droict à transmission desdicts titres à progéniture.
  • L'Église Aristotélicienne est légalement habilitée à rompre les liens conjugaux.
  • Les mariages spinozistes et averroessiens, en tant que religions du Livre, sont tolérés, et permettent le port des titres par les deux conjoints.
  • Les aultres types d'union usurpant le nom de « mariage » n'ont aucune existence légale et sont assimilés à simple concubinage. Partant, elles ne sauraient donner aucun droict à échange de titre ou à transmissions d'iceux à progéniture.
  • Le mariage de noblesse ne sera reconnu à la hérauderie et permettra l'accès aux droits y afférant que si l'époux et l'épouse sont de mesme condition. Ce serait déchoir qu'un Noble épouse une roturière, ou inversement.
  • Pour pouvoir convoler en nobles noces, un enfant non fieffé issu d'un lignage noble devra se voir constituer une dot par l'octroi d'un fief.
  • En cas d'absence de contrat de mariage, on appliquera de fait la communauté de biens qui veut que les deux espoux partagent et portent les mesmes titres, sauf en cas de Duc/Duchesse/Comte/Comtesse en exercice, pour lequel le conjoint ajoutera « consort » au dict titre. En cas de ruptures ou dissolutions des liens du mariage, chacun ne portera que ses propres titres.
  • Un contrat de mariage peut être conclu par les époux au moment d'une union. Pour avoir valeur légale, il doit être daté et revêtu des signatures et/ou sceaux des deux conjoints, et dûment validé par l'Hérauderie. Son enregistrement auprès d'icelle est également nécessaire.


De la bastardise

  • Tout enfant né hors les liens sacrés du mariage aristotélicien sera dict et considéré bastard.
  • Un bastard de noble n'est point considéré noble.
  • Les « simples bastards » sont enfants nés de deux personnes absolument libres de toute obligation maritale ou religieuse (célibataires, défroqués et veufs). L'enfant sera recognu et pourra hériter des titres paternels et/ou maternels si et seulement si les deux géniteurs contractent mariage aristotélicien par la suite. La mort de l'un des concubins entérine la bastardise de l'enfant.
  • Les « bastards adultérins » sont enfants procréés de personnes unies à d'autres par le sacré lien du mariage ou à Aristote par le sacré lien du voeux ecclésiastique. Un bastard adultérin n'héritera jamais des titres parentaux, mesme s'il en est l'unique prétendant. Lesdicts titres retourneront au duché ou comté et seront librement octroyables.
  • Les bastards ne portent pas les titres parentaux. Ils ont simplement le droict de se dire « bastard de (nom de famille du géniteur) » et de porter les armes parentales brisées et sans couronne.
  • Seuls les liens de sang dans le cadre d'unions légitimes permettent la transmission de titre et fief, tant vers les ascendants, descendants qu'avec la fratrie légitimisée.
  • Estant exclus de la succession des titres de noblesse, les bastards peuvent néanmoins prétendre à la succession des biens meubles et immeubles que leurs géniteurs leur auront légué. Leurs droicts seront toutefois supplantés par ceux des branches aisnée et cadettes du lignage.
  • Toute construction, bâtisse, castel, bien et meuble dont la possession provient de l'anoblissement par octroi comtal ou ducal dudit fief, sont considérés indissociables du fief. En cela, un bastard ne sauroit prétendre conserver le castel de son noble géniteur adultérin par succession, attendu que ledict castel est entré en possession de ce dernier via son anoblissement.
  • Seuls les bastards royaux sauroient faire exception auxdicts principes. Adoncques, un bastard royal recognu et légitimé aura rang de noblesse.


De l'adoption

  • Il est loisible à tout noble d'adopter un enfant dont il pourra devenir le tuteur. Néanmoins, jamais ledict adopté ne pourra prétendre aux titres de son tuteur/sa tutrice, attendu que la noblesse s'acquiert par le mérite ou par le sang, non par l'amictié.
  • De mesme, un adopté ne pourra porter les armes du ou des fief(s) de son tuteur.
  • Un adopté pourra, comme un bastard, prétendre néanmoins aux biens meubles et immeubles (non liés à la noblesse) que lui aura légué son tuteur.


Transmission d'un titre de son vivant

On ne peut transmettre un ou des titre(s) qu'à sa descendance légitime directe.
Le titre légué n'appartiendra désormais plus au couple, mais à son fils/sa fille.
Pour céder un ou l'intégralité de ses titres de son vivant à son enfant, il y a plusieurs conditions :
  • que le mariage du couple soit valide ;
  • que la descendance légitime du couple soit enregistrée par les Hérauts ès Généalogie.

En sus, pour une transmission partielle :
  • que le couple ait plusieurs titres (au moins deux), afin de pouvoir rester noble ;
  • que le titre cédé soit inférieur ou égal à celui qui reste porté par le couple ;

En sus pour une transmission complète :
  • que le couple, renonce volontairement et irrémédiablement au(x) titre(s) dont il a la jouissance, et se retire séparément dans des ordres religieux.


Des règles de succession

En l'absence de contrat de mariage et/ou de testament, les règles suivantes seront appliquées pour régler les cas de succession.

  • Dans un couple marié, au décès du conjoint fieffé :
    • Conjoint survivant : prend le fief en douaire (1)
    • Héritier : prend le titre et le fief
      -si majeur : prête lui mesme allégeance (2)
      -si mineur : le conjoint survivant prête allégeance jusqu’à la majorité de l’héritier en tant que tuteur
    • Remariage du survivant :
      Nouveau conjoint : ni titre, ni fief
      Enfants de ce mariage : rien

  • Si le fieffé décède sans enfant et sans conjoint :le fief retourne au Duché/Comté.
  • Si existence d'enfant(s) adopté(s) : aucun droict
  • Si existence de Bâtard(s), reconnu(s) ou non : aucun droict


Les contrats de mariage et testament, dûment enregistrés ante mortem auprès de l'Hérauderie, offrent aux nobles titrés les possibilités suivantes, en plus des règles de succession dictes "par défaut" :

- Dans le cas d'un couple marié, le conjoint titré peut stipuler si le survivant pourra jouir des pleins droits sur le fief durant toute sa vie ou jusqu'à la majorité de leur héritier légitime, ou, comme prévu dans les règles de succession par défaut, ne laisser que le douaire à son conjoint survivant.

- Dans le cas où les pleins droits sont conservés au survivant sur le fief et le titre, le noble titré peut également décider de ce qu'il adviendra de son fief en cas de remariage.
  • Possibilités si existence d'un descendant légitime :
    • le titre et le fief lui reviennent en cas de remariage de son parent survivant. Le nouveau conjoint et les descendants nés de cette union n'ayant aucun droit dessus.
    • le titre et le fief lui reviennent à sa majorité ou au décès de son parent survivant, dont le nouveau conjoint aura pu porter les dites armes ou non

  • Possibilités si absence d'un descendant légitime :
    • Le titre et le fief sont rétrocédés au duché/comté au décès du conjoint survivant dont le nouveau conjoint aura pu porter les dites armes ou non
    • le titre et le fief sont transmis avec les pleins droits au conjoint survivant qui pourra les partager avec son nouveau conjoint et les transmettre à la descendance issue de cette seconde union.

    Attention : ces dispositions doivent avoir été clairement établies et ratifiées dans le contrat de mariage ou le testament du noble titré.


- Si héritier est une fille : possibilité de ne léguer que le douaire au décès du survivant, à son mariage transmission du titre et du fief à son époux (qui devra prêter allégeance)
Ceci est issue de la volonté du survivant, qui doit faire connaître celle ci dans un testament.

- Si le fieffé décède sans enfant et sans conjoint, il peut désigner par testament :
  • frère ou soeur (si décédés : nièce ou neveu) : hérite du titre et du fief (transmissible) rétrogradé d'un rang (exception faite des baronnies et seigneuries)
  • parent : hérite du douaire (non transmissible)
  • personne : le fief retourne au duché/comté

Le titre de chevalier n'est pas transmissible par héritage (ou par donation de son vivant) car il ne possède pas de fief afférent. Exception faite des Chevaliers de l'Ordre de Saint Ouen et de l'Etoile qui transmettent leur titre et le fief lié à leur héritier.

(1) Remarques concernant le douaire:
- Une génération précédente ne peut hériter que d'un douaire
- Un douaire n'est pas transmissible.
- Le titulaire d'un douaire doit porter la mention "douairière/douairier" à la suite du titre concerné

(2) L'entrée dans l'âge adulte se fait à 14 ans, tant pour les garçons que pour les filles. La majorité implique la responsabilisation des jeunes gens pour les droits et devoirs afférants aux titres et terres dont ils sont dotés.



Des seigneuries dites "issues de mérite"

Les seigneuries dictes "issues de mérite", octroyées par les nobles fieffés, ne sauraient être léguées à descendance par testament et ne sont donc pas soumises aux règles de succession. Si le défunt vassal a fait connaitre sa volonté sur l'attribution de la seigneurie, la décision d'octroi à la descendance ou à l'époux survivant dépend du bon vouloir du suzerain.

Des seigneuries peuvent être baillées de son vivant ou par testament à des Ordres Royaux de Chevalerie, des Ordres Religieux ou à l'Eglise avec l'accord formel du suzerain (Comte/Duc règnant). La reconduction du Baillage sera revue à chaque transmission du fief dont est issu la seigneurie.


_____________________________

Le présent texte aura prééminence sur les testaments et coutumes familiales. Le champs d'application de ceux-ci étant défini dans le présent texte. Il est applicable dès à présent.

Le Roy d'Armes, « Montjoye », a escrit,
Les Hérauts ont ratifié.

Faict le vingt septième de May de l'An de Grasce Quatorze Cent Cinquante Six.





_________________
Naluria
Citation:
Par la présente, Nous Naluria Marthun Vaast, dicte Auvergne, Héraut du Bourbonnais Auvergne faisons acte de la demande de Messire Vadikura, Vicomte de Charnée quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur ses terres de Charnée Sise au fief nommé Vautorte à Messire Crokie de Nerra.

Après recherches héraldiques dument entérinées par le Roy d'armes, Dame Morgwen de La Louveterie, le Fief de Vautorte est bien seigneurie du Vicomté de Charnée.
Après consultation d'armoriaux, l'écu se référant à ladicte seigneurie est : D'azur à trois herses d'or, deux en tête, une en pointe , soit, après dessin :



Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques et nous engageons en tant que Hérault du Bourbonnais-Auvergne, intérimaire pour l'Anjou, à estre le témoin Héraldique des serments vassaliques échangés entre l'octroyant et l'octroyé.

Faict le Ve jour du Mois de Juin 1456 sous le règne de nostre souverain bien aimé le Roy Lévan le troisième de Normandie.

Naluria
Citation:
Par la présente, Nous Naluria Marthun Vaast, dicte Auvergne, Héraut du Bourbonnais Auvergne faisons acte de la demande de Messire Vadikura en tant que régnant en titre du Duché d'Anjou, quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur les terres d'Anjou Sise au fief nommé Lion d'Angers à Dame Line.
Après recherches héraldiques dument entérinées par le Roy d'armes, Dame Morgwen de La Louveterie, le Fief de Lion d'Angers est bien seigneurie du Duché d'Anjou.
Après consultation d'armoriaux, l'écu se référant à ladicte seigneurie est : Ecartelé : au premier et au quatrième d'or à la fasce de sable, au deuxième et au troisième de sable au pal d'or , soit, après dessin :



Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques et nous engageons en tant que Hérault du Bourbonnais-Auvergne, intérimaire pour l'Anjou, à estre le témoin Héraldique des serments vassaliques échangés entre l'octroyant et l'octroyée.

Faict le VIe jour du Mois de Juin 1456 sous le règne de nostre souverain bien aimé le Roy Lévan le troisième de Normandie.

Jason
Citation:
En ce dixième jour de juin en l’année de grâce 1456 sous le rêgne de notre Majesté notre Roy LevanIII, avons par notre charge de héraut d’Armes du Maine dicte maine été témoin d’octroie en le Domaine de Beaufort-Montjoie, propriété de Madame la Vicomtesse Joffrey de Beaufort-Montjoie :

Nous avons pu entendre de l’octroie de seigneuries concédé par Madame la Vicomtesse Joffrey de Beaufort-Montjoie, nous avons pu voir des baisers de paix en cette cérémonie prouvant le lien du Seigneur envers ses vassaux

Avons contresigné le document prouvant du lien de vassalité entre Madame la Vicomtesse Joffrey-Montjoie et Dame Alix de Beaufort suite à allégeance rendu par icelle, et entre Madame la Vicomtesse Joffrey-Montjoie et Messire Enguerrant dict" Blashyrkh, de Beaufort suite à allégeance rendue par icelui.
Avons consigné pour faire valoir de droit, des dire de Madame la Vicomtesse à l’encontre de ses vassaux. .


La Ménitré a écrit:
Dame Alix de Beaufort-Monjoie
Seigneurie de la Ménitré (beaufort-la-vallée): "Tiercé en pairle : au premier d'azur aux deux fasces ondées d'argent, au second de sinople au lion contourné d'argent armé et lampassé de gueules, au troisième d'or au lion de sable".


Citation:
Alix, acceptes tu de recevoir librement de nos mains le fief de La Ménitré, terres vassales du Vicomté de Beaufort-en-Vallée, de ne point nous attaquer, de nous être fidèle sur ces terres, de nous laisser droit d’y rendre la justice …….puisque tu acceptes.....je te donne la seigneurie de La Ménitré...... son château et ses terres....en contre partie, je t'offre aide, protection et amour.


Mazé a écrit:
Messire Enguerrand, dict" Blashyrkh", de Beaufort-Monjoie
Seigneurie de Mazé(beaufort-la-vallée) : "Parti : au premier burelé d'argent et de gueules de dix pièces, à la cotice d'or brochant sur le tout, au second de gueules semé de fleurs de lys d'or."


Citation:
Enguerrand, dict" Blashyrkh", acceptes tu de recevoir librement de nos mains le fief de Mazè, terres vassales du Vicomté de Beaufort-en-Vallée, de ne point nous attaquer, de nous être fidèle sur ces terres, de nous laisser droit d’y rendre la justice ."
Surtout d'y rendre justice…………..puisque tu acceptes.....je te donne la seigneurie de Mazé..... son château et ses terres....en contre partie , je t'offre aide, protection et amour. .


Fait ce jour du dixième jour de juin en l’année de grâce 1456 sous le rêgne de notre Majesté notre Roy LevanIII, en le Domaine de Beaufort les vallées.

Déposé auprès de sa Grâce Madame la Vicomtesse, en Chapelle Héraldique, et en gargote Angevine pour faire valoir de droit.

Jason de Prie-Montpoupon, Héraut du maine
Dicte Maine.

















_________________
Jason
Citation:
Nous, Lévan de Normandie, Roy de France par la grâce divine, déclarons :

Suite à l'audience tenue par la Pairie, le dict Urbs est destitué de sa dignité de Pair de France ainsi que de son titre de Marquis de Dreux, pour avoir gravement manqué à son devoir de vassal et à sa charge ;

Suite à la demande de grâce concernant le Duc LLyr, la lui accordons pour le procès du printemps 1454 l'ayant opposé à l'alors Duc Jacknight, procès qui l'avait vu condamné pour trouble à l'ordre public ;

Suite aux pertes de fiefs des Pairs Belgian et Koyote, et peu soucieux de devoir nous passer de leur présence au sein de la Pairie, demandons à l'Hérauderie de nous soumettre proposition de fief à leur attribuer en Isle de France, à titre de Barons ;

Suite à la demande du Pair Aconit de se voir titré en Isle de France, sommes favorable à ce qu'échange soit fait entre son Comté de Vermandois et un Comté dont nous sommes suzerain direct.

Fait en le Louvres, le 10 de Juin 1456,

SMLIII



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Alatariel
Erfff, Levan perd un vassale fidèle en la personne de Urbs...
_________________
Tithieu
Moi j'dis, comme ça, en toute honnêteté... Vive les magouilles de la Pairie.
Un Marquis perd ses titres sans plus d'explications et suite à une "audition" des plus... invraisemblable.
Deux Barons déchus par la justice héraldique pour avoir enfreint volontairement le "vivre noblement" récupèrent leurs titres pour pouvoir continuer à siéger auprès du Roy... Aurais-je la mesme chance, si je suis destitué?
Le privilège du rang, ou une justice à deux poids deux mesures... Jugera qui voudra et comme il voudra.
Alatariel
N'oublie pas, le Roy, il est roy, il fait ce qu'il veut...
_________________
Tithieu
Qui tire les ficelles? Ce n'est pas luy.
Le Roy est Roy, mais il est aussi et surtout le pantin de magouilleurs Parisiens sans vergogne. M'enfin, ne jouons pas les naïfs effarouchés et tombant des nues... Je ne peux juste pas m'empêcher de penser qu'un 197856 aurait bien plus sa place à la Pairie qu'un Belgian, et que si la corruption et la complaisance n'estait pas le maistre mot en nos haultes sphères tout irait bien mieux en ce Royaume.
Naluria
Auvergne salua les deux personnes devant le panneau d'affichage, sourit au Vicomte de Brissac puis afficha le contreseing.

Citation:
A tous présent et advenir salut.

Nous, Morgwen de la Louveterie, dicte « Montjoye », Roy d’Armes de France, en vertu des lois héraldiques, accédons à la demande de Vadikura, Duc d'Anjou, Vicomte de Charney, quant à son fief dict de retraite.
Messire Vadikura, à l'issue de son second mandat à la tête du Duché d'Anjou, voit son vicomté de retraite élevé au rang de duché. Il deviendra donc Duc de Charney ; il portera « D'azur aux trois fleurs de lys d'or, à la bordure cousue de gueules, à la fasce de sable chargée de deux tours d'argent maçonnées de sable et accolées de deux lions d'argent brochant sur le tout ».






Faict le seizième de Juin Anno Domini Quatorze Cent Cinquante Six,
à Sainct-Anthoine-le-Petit.


Naluria
Citation:
Par la présente, Nous Naluria Marthun Vaast, Héraut du Bourbonnais Auvergne, héraut intérimaire d'Anjou, faisons acte de la demande de Messire Tithieu Chandos de Penthièvre, Vicomte de Brissac, Seigneur de Couesmes quant à l'octroi d'une seigneurie se trouvant sur ses terres de Brissac Sise au fief nommé Quincé à Dame Myrtilla de Dénéré.

Apres recherches héraldiques dument enterinées, le de Quincé est bien seigneurie du Vicomté de Brissac.

Après consultation d'armoriaux, l'écu se référant à ladicte seigneurie est : De sable aux trois fasces d'or dentelées en partie basse, au franc canton de gueules , soit, après dessin :



Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux réglements Héraldiques et nous engageons en tant que Héraut du Bourbonnais-Auvergne, à estre le témoin Héraldique des serments vassaliques échangés entre l'octroyant et l'octroyée.

Faict le XXIIIe jour du Mois de Juillet 1456 sous le règne de nostre souverrain bien aimé le Roy Lévan le troisieme de Normandie.

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