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[Pairie] Annonces de la noble assemblée des Pairs de France

melior


Citation:
Au Peuple du Bourbonnais Auvergne,
Aux Grands Feudataires de France.

La Chambre des Pairs de France au Nom de Sa Majesté Beatritz, Reyne du Royaume de France, reconnaît la qualité de régent du Duché du Bourbonnais-Auvergne à Thibaud-Xavier de Ludgarès, dict Tixlu, à compter du dixième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459 et ce, jusqu'aux nouvelles élections.

Qu'il en soit su et certifié.

Faict à Paris le onzième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.










_________________
melior


Citation:

A Messire Dragonet de Castelcerf,

Nous, Melior de Lioure signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France a débouté sa saisine portant plainte à l’encontre d’une décision héraldique de destitution de fiefs concernant sa personne datée du douzième jour du mois d'avril de l'an de Grâce 1459 .

Si le jugement paraît sévère, nulle entorse à la procédure héraldique n'a été notée, procédure héraldique qui diffère de la procédure pénale.
Après consultation du dossier lié au procès, est apparu dans le réquisitoire de Phelim Guerrero, Héraut royal ès-justice dict Astrée,
que le motif d'accusation concernant l'appartenance au groupuscule appelé "le cénacle" n'a pas été retenue.
que pour le motif d'accusation quant au lien aux Lunes Pourpres ont été retenues de fortes présomptions, mais pas de preuve absolue.
que le motif d'accusation portant sur les menaces vis à vis du Comté a été retenu, sur la base des témoignages d'Antonia de Rocheclair et d'Antoinette Diane de Tartasse Mirabeau de la Rotonde, qui constituent des preuves.


Qu'il en soit su et certifié.

Faict à Paris le onzième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.







Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Armoria de Mortain, Koyote de Cieux, Oksana de Floret, Valnor de la Lande Morte, Martymcfly de Montfort-Balmyr, Dotch de Cassel, Llyr di Maggio d'Astralgan, Ztneik du Ried.



_________________
melior


Citation:

Au Peuple de France,

Nous, Melior de Lioure, Primus Inter Pares, au nom de la Chambre des Pairs,

Par la présente, signifions l'abrogation du texte sur la procédure des saisines en Pairie, daté du 1er jour du mois de septembre 1457,

Indiquons la nouvelle procédure à suivre :

  • Les Saisines sont à déposer au bureau de la Pairie, selon le formulaire ci-joint :

Citation:
Requérant : xxxx

Saisine concernant le xxxx (nom de la Province)

Pièces du dossier :xxxx

Motif de la saisine : xxxx(choix à faire parmi la liste proposée en première partie).

Arguments liés à la saisine :xxxx

    Les documents non issus de lieux publics et officiels ne seront pas acceptés (aucune copie d'un forum autre que le forum officiel).

  • Dès la demande reçue, la Noble Assemblée des Pairs en fera l'annonce, par le biais du Primus Inter Pares ou d'un autre Pair en cas d'absence de celui-ci.
    Hormis les cas d'urgence, où le délai est ramené à deux jours, la Noble Assemblée des Pairs recevra, pendant cinq jours, toutes les informations concernant la saisine, d'où qu'elles proviennent. Passé ce délai plus aucun complément ne sera accepté et seule une nouvelle saisine pourra faire modifier le dossier.

  • Information sera faite auprès des personnes ou des autorités des Provinces concernées par la saisine afin qu'elles puissent apporter les précisions qu'elles jugeront nécessaires.

  • La Noble Assemblée des Pairs tâchera de statuer et rendre sa décision, en moins de quinze jours à partir du dépôt de la saisine. La publication de la décision sera accompagnée des documents constituant le dossier. Si le délai ne pouvait être tenu, en raison de la complexité de la saisine, la Noble Assemblée des Pairs publiera une information à ce sujet en bureau de Pairie.


Qu'il en soit su et certifié.

Faict à Paris le douzième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459
.






Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Koyote de Cieux, Armoria de Mortain, Actarius d'Euphor, Llyr di Maggio d'Astralgan, Oksana de Floret, Valnor de Landemorte, Argael Devirieux, Ztneik du Ried.
Citation:






























_________________
melior


Citation:

Aux Nobles Tourangeaux,

Nous, Melior de Lioure signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France a validé leur saisine portant plainte à l’encontre d’une décision héraldique de destitution de fiefs concernant la personne de Burin_Kazad datée du vingt-troisième jour du mois d'avril de l'an de Grâce 1459 .

La Noble Assemblée des Pairs a estimé que le fait que seul Burin_Kazad soit considéré comme dérogeant, alors qu'une autre personne n'a prêté ni hommage, ni allégeance, que d'autres ont envoyé des vassaux prêter allégeance à leur place constitue un vice de procédure, car il est spécifié dans le Codex Levan, chapitre 5 partie 2 :


Citation:
Cas du défaut d’hommage :
La demande doit provenir du Régnant et uniquement lui. Charge revient au Héraut de signaler les dérogeant à celui-ci qui décide ou non de porter la dérogeance en Justice directe ou pas selon son bon vouloir. La demande ne se fait point au cas par cas mais pour tous les dérogeant ou aucun.
La sanction pour défaut d’hommage est la destitution des fiefs sis en la province.


La Noble Assemblée des Pairs de France transmet donc le dossier à la Haute Cour de Justice, conformément au Codex Levan chapitre 5, partie 3 :

Citation:
Possibilités d’appel
L'Hérauderie est une institution royale de même titre que la Cour d'Appel, et un juge local ne peut retirer des titres de noblesse, et qu’il n'est donc point dans les attributions de la Cour d'Appel de traiter des destitutions et réhabilitations des titres de noblesse. C’est pourquoi, afin de préserver la possibilité des Nobles de faire appel exceptionnellement des sanctions les plus importantes que pourraient prendre le Collège Héraldique (rétrogradation d'un rang de noblesse, réduction à l'état de roture et réduction à l'état de roture assortie d'un délai avant tout nouvel anoblissement) seule la pairie, par délégation de l'autorité royale, est habilitée à recevoir et traiter ces demandes d’appel. Si un noble souhaite contester le jugement et la peine retenus par la Cour Héraldique, il peut donc saisir la Pairie, pour y faire appel.
Si la Pairie accepte le dossier il sera transmis à la Haute Cour de Justice qui statuera.


Qu'il en soit su et certifié.

Faict à Paris le quatorzième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.






Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Dotch de Cassel, Argael Devirieux, Llyr di Maggio d'Astralgan, Valnor de Landemorte.
Citation:


Citation:




















_________________
melior


Citation:
Travaux de la Noble Assemblée des Pairs
Semaine du 9 au 15 mai 1459

Dossiers clos :
Dossiers liés au Royaume de France


Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Saisines héraldiques


Candidatures à la Pairie
-

Réponses en cours de validation
Dossiers liés au Royaume de France
-

Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Saisines héraldiques
-

Débats en cours
Dossiers liés au Royaume de France
  • Refonte du droit royal.
  • Projet de Mécénat royal, projet présenté par Sa Seigneurie Argael.
  • Répartition des Pairs selon les Provinces.
  • Demande de recours en Justice, à la suite d'une plainte déposée par Sa Seigneurie Koyote de Cieux.
  • Passage d'une armée bretonne en terres françaises.
  • Saisine déposée par Vald de Flaynac quant aux élections ducales en Guyenne.


Saisines héraldiques

  • Saisine déposée par Pierre Louis de Villefort, Duc de Touraine, quant à l'octroi ou non du fief de retraite à Camille d'Anclair.


Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Candidatures à la Pairie
-

Au nom de la Chambre des Pairs,
Faict à Paris le seizième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.










_________________
melior


Citation:

A Pierre Louis de Villefort, Duc de Touraine,
A Camille d'Anclair,

Nous, Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France apporte réponse à la saisine concernant l'octroi ou non d'un fief de retraite à Camille d'Anclair.
Selon le Codex Levan, chapitre 2, partie 2 :


Citation:
Interruptions de mandat
Si un Duc ou Comte en exercice venait à démissionner de son poste en cours de mandat, ou bien se trouvait dans l'incapacité d'exercer ses fonctions, ou était démis d’une manière ou d’une autre de son poste, c'est à son successeur régent ou intendant de déterminer s'il peut prendre fief de retraite et le rang de celui-ci, en fonction de la nature de la régence/intendance. Néanmoins, si ce n’est pas le premier mandat du régnant, les fiefs acquis le demeurent.
S’il s’agit d’une interruption de régence, c’est également à son successeur de déterminer si une baronnie peut être octroyée ou non si au moins 6 semaines de mandat consécutives ont été effectuée par le régent sortant.


La Noble Assemblée des Pairs considère qu'il y a bien eu interruption de mandat, du fait de la révolte s'étant déroulée la nuit du dix-sept au dix-huit du mois d'avril de l'an de Grâce 1459.

La Noble Assemblée des Pairs de France estime que le successeur légitime est sa Grâce Pierre Louis de Villefort, actuel Duc de Touraine, et que lui revient la décision de l'octroi ou non d'un fief de retraite à Camille d'Anclair.


Faict à Paris le vingtième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.






Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Actarius d'Euphor, Martymcfly de Montfort-Balmyr, Llyr di Maggio d'Astralgan, Dotch de Cassel, Ztneik du Ried.
Citation:






















Étant donné que la régence n'a pas été accordée par sa majesté à la Baronne Badgirl, étant donné que nous avons succédé à celle-ci de par les urnes, étant donné que nous avons été intendant de la Touraine jusqu'à reconnaissance de sa Majesté, étant donné que nous avons été reconnu Duc de Touraine par sa Majesté, nous nous trouvons être le successeur légitime de l'ex Duchesse de Touraine et de ce fait demandons à ce que la décision sur l'octroi d'un fief de retraite ou non, nous appartienne.


Si toute fois, vous nous refusez ce droit qu'un simple gueux, fusse t il régent, aurait eu, nous insistons solennellement à ce que la décision sur l'octroi, ou non, d'un fief de retraite reste une prérogative de notre province, comme le veut l'esprit et la raison de l'article du Codex Levan cité ci dessus.
Pour ce faire nous proposons un vote du conseil Ducal et de la chambre des feudataires de plein droit de Touraine, le tout sous contrôle d'un membre de l'Hérauderie Royale, a l'issu de celui ci, la majorité absolue l'emporterait.




Fait à Tours, le dixième jour du mois de Mai de l'an de grâce quatorze cent cinquante neuf.
Pierre Louis de Villefort Duc de Touraine





P3r3v3rt a écrit:
Citation:

De nous Pierre du Val de Loire, Duc de Montlouis, Baron de Saint Cyr sur Loire
A la noble assemblée des Pairs de France.

Par la présente, nous souhaitons apporter quelques précisions concernant la saisine déposée par notre Suzerain, le Duc de Touraine.

Nous ne comprenons pas pourquoi notre Suzerain, doit perdre son temps à rédiger saisine pour une affaire qui coule sous le bon sens.
L’ex Duchesse de Touraine, Camille d’Anclair à été démise du Trône, peu importe la manière, le motif, toujours est il qu’elle n’a point terminé son mandat.
Comme le veut les lois royales, de part le codex Levan, en ce qui nous concerne, il est au successeur légitime de définir ou non l’octroi d’un fief de retraite au déchu.
Cet article n’est pas si anodin qu’il en a l’air, il a été rédigé avec pour esprit, de laisser le choix à la province de s’accorder un vassal ou non, en fonction du ressenti qu’a laissé le déchu sur son régne.*
Pour confirmation des mes dires, ou plus de détails, vous pourrez toujours en discuter avec la personne qui à écrite ce Codex, celle-ci siégeant en votre assemblée.
La régence de Badgirl n’ayant pas été acceptée, ne fait que reporter la décision, au prochain successeur, régent, intendant, mais en aucun cas ne doit annuler le fait que Camille a perdu son trône.
Pierre Louis ayant été choisi de par les urnes, c’est donc retrouvé intendant de Touraine puis Duc de Touraine.
Vous n’êtes pas sans savoir que les prérogatives et droits du dernier dépassent de loin ceux du premier. Pour reprendre une citation de notre Reyne, dans une autre affaire, « Qui peut le plus peut le moins. »
Dans ce cas là, pourquoi refuser ce droit au Duc de Touraine, légitime, reconnu par la Reyne, alors qu’un simple régent ou pire encore un intendant, aurait pu, lui, le faire avec légitimité ?
Est-ce donc parce que l’on connait déjà la décision que prendra notre Suzerain et que celle-ci ne conviendrait pas à certaines personnes ?
Est-ce donc parce que Camille est appréciée dans les offices royaux ?
En somme est ce donc parce qu’elle a des appuis hauts placés qui n’hésiteraient pas à sacrifier l’unité d’une province qui c’est toujours montrées loyale à la couronne de France par simple népotisme ?

Nous espérons sincèrement que non, car Touraine n’est pas dupe, et contrairement a d’autres a très bonne mémoire.

Fait à Saint Cyr sur Loire, le treizième jour du mois de Mai de l’an de grâce quatorze cent cinquante neuf.


Camille. a écrit:
Citation:
De nous Camille d'Anclair,
A la noble assemblée des Pairs,


    nous souhaitons rappeler en réponse à la lettre de sa Grasce Pierre du Val de Loire, qu'il a été décidé par la chambre des Pairs de ne pas valider la régence et que par conséquent, il a été considéré par l'hérauderie qu'il n'y a pas eu d'interruption de mandat. Pour appuyer ce fait, nous avons continué notamment à discuter de traités diplomatiques avec les grands chambellans du Domaine Royal, nous avons travaillé à organiser une défense sur Loches assaillie par des brigands italiens alors que la noblesse faisait centraliser les armées tourangelles sur Tours pour couvrir leur acte de force et avons été autorisée durant la fin de mandat de continuer à sceller nos actes et décisions avec les scels de Touraine. De part ce fait, la hérauderie a déjà statué que l'octroi du fief de retraite n'a pas à être statué et est légitimement valable. Que cependant, celui ci pourra être retiré s'il est reconnu par la Haute Cour de Justice que crime de Haute Trahison a été commis en ayant mis en danger la Touraine par une gestion incompétente du Duché. Nonobstant ceci, il est important de rappeler qu'il n'y a nul népotisme à appuyer cette version des faits, deux cas de jurisprudence confirmant cette interprétation depuis la rédaction du codex Levan en Béarn et Poitou.

    D'autre part, tenter d'influer une décision qui a déjà été entérinée sur deux situations identiques en essayant d'y voir du nespotisme est une attaque de l'impartialité des institutions royales. Si nous comprenons bien, il nous est reproché d'avoir su par notre travail trouver notre place dans les charges d'ambassadrice royale et d'y faire assez bon travail pour y être appréciée. Ces arguments qui vont à l'encontre des points avancés d'incompétence de notre personne, nous font nous demander si les actions répétées passées à notre encontre ne sont pas plutôt causées par des ressentiments tout personnels que par des jugements de valeur sur notre bon droit à recevoir fief de retraite. Les textes et jurisprudences appuient tous ce dossier et nous sommes surprise d'apprendre que malgré notre reprochée incompétence en tant que Duchesse on puisse nous considérer capable de tisser en quelques semaines un tel faisceau de relations dans toutes les institutions royales et héraldiques au point de parvenir à infléchir la décision concertée de dizaines de personnes de haut rang et de haut mérite.


Faict à Rigny Ussé en ce 14 mai 1459,




Code:
[rp][quote]
[i][b][size=18]A[/size][/b] [size=12]Pierre Louis de Villefort, Duc de Touraine,
A Camille d'Anclair,

Nous,  Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France apporte réponse à la saisine concernant l'octroi ou non d'un fief de retraite à Camille d'Anclair.
Selon le Codex Levan, chapitre 2, partie 2 :[/i][/size]

[quote] [u][b]Interruptions de mandat [/b][/u]
Si un Duc ou Comte en exercice venait à démissionner de son poste en cours de mandat, ou bien se trouvait dans l'incapacité d'exercer ses fonctions, ou était démis d’une manière ou d’une autre de son poste, c'est à son successeur régent ou intendant de déterminer s'il peut prendre fief de retraite et le rang de celui-ci, en fonction de la nature de la régence/intendance. Néanmoins, si ce n’est pas le premier mandat du régnant, les fiefs acquis le demeurent.
S’il s’agit d’une interruption de régence, c’est également à son successeur de déterminer si une baronnie peut être octroyée ou non si au moins 6 semaines de mandat consécutives ont été effectuée par le régent sortant. [/quote]

[size=12][i]La Noble Assemblée des Pairs considère qu'il y a bien eu interruption de mandat, du fait de la révolte s'étant déroulée  la nuit du dix-sept au dix-huit du mois d'avril de l'an de Grâce 1459.

La Noble Assemblée des Pairs de France estime que le successeur légitime est sa Grâce Pierre Louis de Villefort, actuel Duc de Touraine, et que lui revient la décision de l'octroi ou non d'un fief de retraite à Camille d'Anclair.


Faict à Paris le vingtième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.[/i][/size]

[img]http://img821.imageshack.us/img821/2679/maini.png[/img]

[URL=http://img641.imageshack.us/i/sceaumeliorfeejaune.png/][img]http://img641.imageshack.us/img641/8965/sceaumeliorfeejaune.png[/img][/URL]

[size=12][i]Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Actarius d'Euphor, Martymcfly de Montfort-Balmyr, Llyr di Maggio d'Astralgan, Dotch de Cassel, Ztneik du Ried. [/i][/size]
[/quote][/rp]


[quote="Pierre_louis"][quote][b]De nous Pierre Louis de Villefort Duc de Touraine.
A sa Majesté Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reyne de France.
A la noble assemblée des Pairs de France.
A la noble assemblée des Hérauts de France.


Nous prenons nostre plume ce jour afin de porter à votre connaissance nos intentions concernant l'ex Duchesse de Touraine, Camille d'Anclair, déchue par révolte de la noblesse Tourangelle.


Vous n'êtes pas sans savoir que la Touraine a vécu, il y a quelques jours de cela une situation un peu hors norme, tout du moins dans le reste du Royaume de France, car dans notre duché ce n'est point la première fois que ceci se produit. La Noblesse ayant décidé de renverser la Duchesse en place, elle n'a donc point terminé son mandat et de ce fait ne peut donc obtenir, ou pas, son fief de retraite que par décision de son successeur légitime, dixit le codex Levan.[/b]


[quote]Interruptions de mandat
Si un Duc ou Comte en exercice venait à démissionner de son poste en cours de mandat, ou bien se trouvait dans l'incapacité d'exercer ses fonctions, ou était [b]démis d’une manière ou d’une autre de son poste,[/b] [b]c'est à son successeur régent ou intendant de déterminer s'il peut prendre fief de retraite[/b] et le rang de celui-ci, en fonction de la nature de la régence/intendance. Néanmoins, si ce n’est pas le premier mandat du régnant, les fiefs acquis le demeurent.
S’il s’agit d’une interruption de régence, c’est également à son successeur de déterminer si une baronnie peut être octroyée ou non si au moins 6 semaines de mandat consécutives ont été effectuée par le régent sortant. [/quote]


[b]Étant donné que la régence n'a pas été accordée par sa majesté à la Baronne Badgirl, étant donné que nous avons succédé à celle-ci de par les urnes, étant donné que nous avons été intendant de la Touraine jusqu'à reconnaissance de sa Majesté, étant donné que nous avons été reconnu Duc de Touraine par sa Majesté, nous nous trouvons être le successeur légitime de l'ex Duchesse de Touraine et de ce fait demandons à ce que la décision sur l'octroi d'un fief de retraite ou non, nous appartienne.


Si toute fois, vous nous refusez ce droit qu'un simple gueux, fusse t il régent, aurait eu, nous insistons solennellement  à ce que la décision sur l'octroi, ou non, d'un fief de retraite reste une prérogative de notre province, comme le veut l'esprit et la raison de l'article du Codex Levan cité ci dessus.
Pour ce faire nous proposons un vote du conseil Ducal et de la chambre des feudataires de plein droit de Touraine, le tout sous contrôle d'un membre de l'Hérauderie Royale, a l'issu de celui ci, la majorité absolue l'emporterait. [/b]



[b]Fait à Tours, le dixième jour du mois de Mai de l'an de grâce quatorze cent cinquante neuf.
Pierre Louis de Villefort Duc de Touraine[/b]
[img]http://img125.imageshack.us/img125/6659/sctourainejaqz8.gif[/img][/quote][/quote]

[quote="Camille."][quote]De nous, Camille d'Anclair,
A la Chambre des Pairs,


[list]nous tenons simplement à rappeler que messire Pierre Louis n'a à aucun moment été régent ou intendant durant la période citée de l'avis même du maréchal d'armes. Qu'il a été duc élu par le Conseil puis reconnu par la Reyne. Que la question de la légitimité d'un octroi validé par un tiers a été demandé déjà par le Maréchal d'Armes Eragon à la Reyne elle même, sur les conseils de sa Grasce Llyr. Que celle-ci a statué en suivant l'avis de l'hérauderie qui, dans la mesure où la révolte et la régence de Dame BadGirl n'ont pas été reconnues par la Pairie, considère que nous sommes seule restée duchesse de droit et de devoirs, jusqu'à la fin de notre mandat et que le texte présenté ici n'a donc pas lieu de s'appliquer.

Je suis d'autre part étonnée de voir le Duc actuel s'acharner à courir entre les institutions à la recherche d'une validation que l'hérauderie puis sa Majesté elle même ont déboutés par deux fois. Je reste toutefois à votre disposition pour toute question complémentaire.[/list]

Faict à Rigny Ussé en ce 12 mai 1459,

[img]http://img819.imageshack.us/img819/6678/signature001.png[/img][/quote][/quote]

[quote="P3r3v3rt"][quote]
[b]De nous Pierre du Val de Loire, Duc de Montlouis, Baron de Saint Cyr sur Loire
A la noble assemblée des Pairs de France.

Par la présente, nous souhaitons apporter quelques précisions concernant la saisine déposée par notre Suzerain, le Duc de Touraine.

Nous ne comprenons pas pourquoi notre Suzerain, doit perdre son temps à rédiger saisine pour une affaire qui coule sous le bon sens.
L’ex Duchesse de Touraine, Camille d’Anclair à été démise du Trône, peu importe la manière, le motif, toujours est il qu’elle n’a point terminé son mandat.
Comme le veut les lois royales, de part le codex Levan, en ce qui nous concerne, il est au successeur légitime de définir ou non l’octroi d’un fief de retraite au déchu.
Cet article n’est pas si anodin qu’il en a l’air, il a été rédigé avec pour esprit, de laisser le choix à la province de s’accorder un vassal ou non,  en fonction du ressenti qu’a laissé le déchu sur son régne.*
Pour  confirmation des mes dires, ou plus de détails, vous pourrez toujours en discuter avec la personne qui à écrite ce Codex, celle-ci siégeant en votre assemblée.
La régence de Badgirl n’ayant pas été acceptée, ne fait que reporter la décision, au prochain successeur, régent, intendant, mais en aucun cas ne doit annuler le fait que Camille a perdu son trône.
Pierre Louis ayant été choisi de par les urnes, c’est donc retrouvé intendant de Touraine puis Duc de Touraine.
Vous n’êtes pas sans savoir que les prérogatives et droits du dernier dépassent de loin ceux du premier. Pour reprendre une citation de notre Reyne, dans une autre affaire, « Qui peut le plus peut le moins. »
Dans ce cas là, pourquoi refuser ce droit au Duc de Touraine, légitime, reconnu par la Reyne, alors qu’un simple régent ou pire encore un intendant, aurait pu, lui, le faire avec légitimité ?
Est-ce donc parce que l’on connait déjà la décision que prendra notre Suzerain et que celle-ci ne conviendrait pas à certaines personnes ?
Est-ce donc parce que Camille est appréciée dans les offices royaux ?
En somme est ce donc parce qu’elle a des appuis hauts placés qui n’hésiteraient pas à sacrifier l’unité d’une province qui c’est toujours montrées loyale à la couronne de France par simple népotisme ?

Nous espérons sincèrement que non, car Touraine n’est pas dupe, et contrairement a d’autres a très bonne mémoire.

Fait à Saint Cyr sur Loire, le treizième jour du mois de Mai de l’an de grâce quatorze cent cinquante neuf.
[img]http://img14.imageshack.us/img14/5172/p3r3v3rt2.png[/img][/b][/quote][/quote]

[quote="Camille."][quote]De nous Camille d'Anclair,
A la noble assemblée des Pairs,

[list]
nous souhaitons rappeler  en réponse à la lettre de sa Grasce Pierre du Val de Loire, qu'il a été décidé par la chambre des Pairs de ne pas valider la régence et que par conséquent, il a été considéré par l'hérauderie qu'il n'y a pas eu d'interruption de mandat. Pour appuyer ce fait, nous avons continué notamment à discuter de traités diplomatiques avec les grands chambellans du Domaine Royal, nous avons travaillé à organiser une défense sur Loches assaillie par des brigands italiens alors que la noblesse faisait centraliser les armées tourangelles sur Tours pour couvrir leur acte de force et avons été autorisée durant la fin de mandat de continuer à sceller nos actes et décisions avec les scels de Touraine. De part ce fait, la hérauderie a déjà statué que l'octroi du fief de retraite n'a pas à être statué et est légitimement valable. Que cependant, celui ci pourra être retiré s'il est reconnu par la Haute Cour de Justice que crime de Haute Trahison a été commis en ayant mis en danger la Touraine par une gestion incompétente du Duché. Nonobstant ceci, il est important de rappeler qu'il n'y a nul népotisme à appuyer cette version des faits, deux cas de jurisprudence confirmant cette interprétation depuis la rédaction du codex Levan en Béarn et Poitou.

D'autre part, tenter d'influer une décision qui a déjà été entérinée sur deux situations identiques en essayant d'y voir du nespotisme est une attaque de l'impartialité des institutions royales. Si nous comprenons bien, il nous est reproché d'avoir su par notre travail trouver notre place dans les charges d'ambassadrice royale et d'y faire assez bon travail pour y être appréciée. Ces arguments qui vont à l'encontre des points avancés d'incompétence de notre personne, nous font nous demander si les actions répétées passées à notre encontre ne sont pas plutôt causées par des ressentiments tout personnels que par des jugements de valeur sur notre bon droit à recevoir fief de retraite. Les textes et jurisprudences appuient tous ce dossier et nous sommes surprise d'apprendre que malgré notre reprochée incompétence en tant que Duchesse on puisse nous considérer capable de tisser en quelques semaines un tel faisceau de relations dans toutes les institutions royales et héraldiques au point de parvenir à infléchir la décision concertée de dizaines de personnes de haut rang et de haut mérite. [/list]

Faict à Rigny Ussé en ce 14 mai 1459,


[img]http://img819.imageshack.us/img819/6678/signature001.png[/img][/quote][/quote]


_________________
melior


Citation:

A Vald de Flaynac,
A Sancte Iohannes,

Nous, Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France apporte réponse à sa saisine concernant l'éligibilité ou non du sieur Sancte.
Cette éligibilité repose sur la validité actuelle ou non du Concordat liant le Duché de Guyenne à l'église aristotélicienne et romaine.
Lors de l'étude du dossier, il est apparu que le Concordat avait été dénoncé par la Duchesse d'alors, Asophie, le treizième Jour du mois de Juillet de l'An de Grâce 1458, peu avant la fin de son mandat.
Sur l'annonce ne figure pas qu'il ait eu accord des Conseillers à l'époque :


Citation:
C’est pourquoi, en ce jour et en cette heure, Nous, Sophie, Duchesse de Guyenne, autorité temporelle suprême de la Guyenne et représentante de notre Province, ainsi que le stipule le Grand Coutumier de Guyenne,
Constatons que les autorités de l’Eglise aristotéliciennes ont par leurs attaques, provocations et insinuations rendu caduque ipso facto le Traité entre la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine et le Duché de Guyenne aussi connu sous le nom de « Concordat de Guyenne » scellé à Bordeaux et Rome le septième jour d'avril de l'an de grâce MCCCCLVI.
Usons de notre droit souverain et supérieur sur la Guyenne pour dénoncer à notre tour dans son intégralité, le Traité entre la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine et le Duché de Guyenne aussi connu sous le nom de « Concordat de Guyenne », scellé à Bordeaux et Rome le septième jour d'avril de l'an de grâce MCCCCLVI, rendant caduque l’ensemble de ses articles.


Or, pour l'abrogation d'un traité, l'accord des Conseillers semble nécessaire.
Cette dénonciation a été effectuée en violation du Concordat de Guyenne, plus précisément de l'article 1, partie I :


Citation:
I - Modification ou suppression du traité

Art 1. Ce traité ne pourra être modifié, supprimé ou suspendu qu'avec l'accord des deux parties, à savoir l'Eglise, représentée par l'archevêque de Bordeaux et la Nonciature Romaine et le conseil ducal de Guyenne.



Dans la missive datée du seizième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459, Monseigneur Aurélien Maledent de Feytiat, Archevêque de Bordeaux et Grand Aumonier de France réaffirme la position de l'église aristotélicienne et romaine qui considère le Concordat de Guyenne toujours valide.


Citation:
Contrairement à ce que pourra ergotter ledit Sieur Sancte, le Concordat de Guyenne n'a jamais été révoqué. Il ne pourrait l'être que d'un accord commun entre l'Eglise Aristotélicienne, que je représente en Guyenne, et un Conseil Ducal. Chose qui n'est JAMAIS arrivée. La duchesse Asophie a bien tentée, à l'époque où elle dirigeait le Duché, de révoquer unilatéralement cet concordat, mais dans sa grande sagesse, le Duc Trunks a précisé qu'il n'en était rien, puisque l'article 1 n'avait pas été respecté.


La Noble Assemblée des Pairs de France estime donc cette dénonciation illégale.

Quant aux points soulevés par Sancte Iohannes, c'est-à-dire :


Citation:
La dénonciation du concordat, telle que le rapporte la première pièce du dossier de Vald de Flaynac (1) fut définitivement entérinée par la majorité des conseillers ducaux le mandat suivant (2). Or, le Duc Trunks59, dont la dérogeance envers ses devoirs et ses obligations de régnant fut telle qu'il se vit sanctionné par la hérauderie royale (3), affirma réinstaurer un concordat au travers d'une annonce (4) n'ayant pas été rédigée dans les formes en ce qu'elle ne nomme aucun texte connu ou identifiable (sans mention de titre, de lieu, ou de date de signature), et ce, de surcroît, sans l'aval de son conseil ce que sanctionne le coutumier local de Guyenne.


Il apparaît que l'annonce du Duc Trunks, promulguée en place publique guyennoise, dans les annonces ducales, le deuxième jour du mois de septembre de l'an de Grâce 1458, est postérieure à celle des Conseillers. Le Duc Trunks était Duc légitime de Guyenne, son hommage à Sa Majesté Levan ayant été reçu au Louvre en bonne et due forme.
La sanction héraldique ne remet aucunement en cause cette légitimité.
L'annonce du Duc Trunks fait référence :


Citation:
nous, Trunks le LIXeme du nom,
Duc de Guyenne, par la Grâce d'Aristote, et la voix du Peuple Guyennois,
déclarons que ledit concordat est légitime et légal.avons décidé de
remettre en place le concordat de Guyenne.


Il n'y a eu qu'un Concordat de Guyenne, le texte est donc clairement identifiable.
La Noble Assemblée des Pairs estime qu'il n'y a aucune violation du Coutumier de Guyenne, le Concordat étant à considérer comme un traité liant le Duché de Guyenne à une autre autorité, comme un traité diplomatique et non comme une partie du Coutumier.
Quand bien même, il faudrait l'envisager sous l'angle d'un texte de loi, l'annonce ne fait que déclarer valide un texte déjà existant, signifiant l'illégalité de la dénonciation de la Duchesse Asophie, elle n'abroge rien, n'amende rien, ne modifie rien.
Dès lors que l'annonce porte scel ducal, et qu'elle a été publiée aux yeux de tous, elle est valide.

Quant au fait que ne figure que la dénonciation dans l'espace réservé à l'affichage du Coutumier de Guyenne et de ses annexes, l'annonce du Duc Trunks figure également en place publique, mais en un autre espace, le contenu du Concordat est visible de tous, de même que la déclaration de sa validité, qui lui est postérieure.

Pour toutes ces raisons, la Noble Assemblée des Pairs de France reconnaît le Concordat de Guyenne comme encore valide.
Elle recommande cependant aux autorités de Guyenne de remédier au souci posé par la publication des deux annonces en deux endroits différents.

Du fait de la validité dudit Concordat, le sieur Sancte Iohannes ne peut mener de liste, conformément à cet article :

Citation:
II - Des conseils ducaux

Art 1. Les têtes de listes en course aux élections ducales, ainsi que tout prétendant au poste de duc ou duchesse, devront avoir été baptisés selon les rites Aristotéliciens avant le dépôt de leur liste.


Ce qui le rend inéligible.
Cette mesure s'applique à toute personne le suivant sur la liste, ne correspondant pas à ce critère, et se retrouvant de facto tête de liste.

Faict à Paris le vingt-deuxième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.






Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Actarius d'Euphor, Dotch de Cassel, Llyr di Maggio d'Astralgan, Koyote de Cieux.
Citation:


Citation:


Citation:
Citation:
Citation:



Citation:



























































Approuvé et scellé à bordeaux le septième jour d'avril de l'an de grâce 1456;

Confirmé le 23 juin 1457
Son Éminence Aaron de Nagan, Cardinal-Chancelier de la Congrégation des Affaires du Siècle, Archevêque de Césarée.



Monseigneur Aurélien87, Archevêque de Bordeaux


Sa Grasce Garzimlebo, Duc de Guyenne


Confirmé le 22 janvier 1458

Sa Grâce Melior, Duchesse de Guyenne



Rappelons néanmoins que selon le Coutumier de Guyenne, la Religion Aristotélicienne demeure la religion officielle du Duché.
Précisons que le Duché de Guyenne est prêt à rouvrir de nouvelles négociations avec les autorités de l’Eglise Aristotélicienne et Romaine à conditions que celle-ci fasse preuve de la Sagesse et de l’Humilité qui sont censées être ses seules armes.
Appelons tous les citoyens de Guyenne à faire preuve de Tempérance dans les jours qui vont suivre et de ne pas avoir peur car la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine mène à la souffrance.

Faict à L'Ombrière, le Treizième Jour du mois de Juillet de l'An de Grâce Quatorze Cent Cinquante Huit

Sophie
Duchesse de Guyenne.




Vald a écrit:
Citation:
A tous, présent, et à venir, salut,

Le concordat ayant été dénoncé unilatéralement par mon prédécesseur
malgré l'article 1 suivant

Citation:
Art 1. Ce traité ne pourra être modifié, supprimé ou suspendu qu'avec
l'accord des deux parties, à savoir l'Eglise, représentée par
l'archevêque de Bordeaux et la Nonciature Romaine et le conseil ducal de
Guyenne.



Afin de calmer les esprits et de reprendre les négociations pour le bien
de tous, en sachant que la Sainte Eglise Aristotélcienne n'avait jamais
reconnu la suppression du concordat, tenant compte des explications
claires apportées par SE Mgr Aaron sur ledit concordat, nous, Trunks
le LIXeme du nom,
Duc de Guyenne, par la Grâce d'Aristote, et la voix du Peuple Guyennois,
déclarons que ledit concordat est légitime et légal.avons décidé de
remettre en place le concordat de Guyenne.
Nous regrettons les déclarations irréfléchies de quelques membres du
Conseil, ayant eut pour seul résultat, d'envenimer la situation et de
jeter le discrédit sur la Guyenne.

Nous demandons, dans le même temps, que Ledit Concordat, qui ne
correspond plus au besoin de nos terres et
notre peuple, soit revu avec L'Eglise par la voie de la Congrégation
des affaires du Siècle .

Nous souhaitons que ce nouveau concordat soit plus juste pour tout le
monde, y compris le peuple de Guyenne. Nous devons continuer de l'avant
mais en gardant les erreurs du passé en mémoire afin que cela n'arrive
plus.

Fait à l'Ombrière, le 2 Septembre 1458

Trunks
Duc de Guyenne.
Citation:


































Citation:
A tous, présent, et à venir, salut,

Nous, Melior, Duchesse de Guyenne, par la Grâce d'Aristote, et la voix du Peuple Guyennois, après accord de notre Conseil,
Abrogeons le Grand Coutumier actuellement en vigueur.
Abrogeons le décret sur le statut de Sujet Guyennois du 23 décembre de l'an de Grâce 1547, sur la procédure judiciaire du 22 avril de l'an de Grâce 1458, lesquels sont inclus dans le nouveau texte.
Promulgons le Grand Coutumier suivant, fruit du travail de plusieurs Conseils Ducaux :

Citation:
_______________Grand Coutumier de Guyenne ______________


LIVRE I - DE LA GUYENNE

Chapitre I - Généralités

Article 1
La Guyenne est une province vassale de la Couronne de France ayant rang de Duché.

Article 2
Les armes de Guyenne sont de gueule au léopard d'or armé et lampassé d'azur. Le scel de Guyenne est celui confectionné par la chambre de sigillographie de l'Hérauderie Royale. Seul ledit scel peut valablement authentifier les actes et écrits du Duc.

Article 3
La devise de la Guyenne est "Advienne que pourra , la Guyenne brillera".

Article 4
Le Duché reconnaît que seule la Loi Royale est supérieure au Grand Coutumier Guyennois. Le Duché reconnaît aussi les Institutions Royales du Royaume de France.

Article 5
Le territoire de Guyenne tel que défini par Sa Majesté Levan III, Roy de France, après la reconquête de 1455, est indivisible et inaliénable. Il se compose de huit bailliages chacun regroupés autour d'une des villes du Duché, à savoir : Agen, Bazas, Blaye, Bordeaux, Cahors, La Teste de Buch, Marmande et Montauban. La ville de Bordeaux est la capitale du Duché et le siège de ses institutions.

Article 6
La Guyenne a pour religion officielle celle du Roy de France, c’est-à-dire la religion aristotélicienne.

Chapitre II - Des institutions de Guyenne

Opus I - Du Duc

Article 1
Le Duc, une fois reconnu par les douze membres du Conseil, prête allégeance à la Couronne de France dans les formes et termes définis par l'Hérauderie Royale. Une fois l'allégeance acceptée par la Couronne, il devient le Suzerain de la Guyenne et, par ce fait, l'autorité temporelle suprême de la Guyenne, ainsi que le représentant de sa province.

Article 2
Le Duc étant source de la justice en Guyenne, il ne peut être poursuivi devant les autorités judiciaires de la province et ne répond des actes, faits et paroles accomplis durant son mandat que devant la Haute Cour de Justice du Royaume, dans les conditions prévues par les textes régissant cette Institution Royale.

Article 3
Le Duc et le Conseil Ducal disposent du pouvoir législatif, ils peuvent donc promulguer, abroger, amender les lois du Duché.
Toute modification, abrogation partielle ou totale, ou ajout du Grand Coutumier Guyennois, d'un décret doit passer par un vote. Les décisions issues d’un vote sont prises à la majorité des votes exprimés, en cas d'égalité la voix du Duc comptant double.

Article 4
Le Duc dispose du droit de veto sur toute décision du Conseil, ainsi que sur toute décision d'un Conseiller prise dans l'exercice de ses fonctions.

Article 5
Le Duc peut former un Conseil élargi en appelant à participer aux discussions, ou à certaines d'entre elles, toute personne qu'il jugera susceptible d'apporter un avis et des connaissances particulières et reconnues.

Article 6
Le Duc peut à tout moment lever le ban de la noblesse du Duché.

Article 7
Le Duc peut à tout moment déclarer la loi martiale et y mettre fin, le droit commun reprenant à ce moment là son cours normal.
La loi martiale est décrétée lorsque le Duché se trouve gravement menacé.
Durant toute la durée d'application de la loi martiale, toute personne non Guyennoise se trouvant sur le sol guyennois a l'obligation de se signaler à la Prévôté sous peine d'être traduite en Justice pour Trouble à l'Ordre Public, encourant le bannissement.

Opus II - Du Conseil

Article 1
Le Conseil Ducal se compose de onze Conseillers et du Duc, douze personnes élues par le peuple de Guyenne suivant les modalités coutumières en usage dans tout le Royaume*, ainsi que du Chancelier.

Article 2
Au sein du Conseil Ducal se trouvent des postes fixes** :
Les attributions coutumières de chaque poste sont les suivantes.
- Porte parole, lequel a pour charge principale la communication entre le Conseil et la population.
- Bailli, lequel fixe les salaires des ouvriers selon les nécessités dues à l’entretien des sites dont il est garant du bon fonctionnement et de la sécurité. Il s'occupe également de gérer le bétail.
- Commissaire au commerce, lequel met en place la politique économique, gère le commerce ducal.
- Commissaire aux mines, lequel gère les mines et supervise les ports du Duché.
- Prévôt des maréchaux, lequel dirige et met en place les forces de police ducales ainsi que la maréchaussée.
- Procureur, lequel poursuit les contrevenants à la loi guyennoise. Il a pleine autorité pour ordonner aux forces de police de mener enquête.
- Juge, lequel rend les verdicts en vertu des lois en vigueur et de son bon sens.
- Capitaine, lequel dirige l'Ost et veille à l'entraînement et au recrutement des soldats.
- Connétable, lequel gère la logistique de l'Ost dans le domaine de l'armement.

Article 3
Les devoirs de chaque Conseiller, dont le Chancelier, sont :
- de prêter devant le Duc un serment de fidélité au Duché de Guyenne, dans les cinq jours suivants la prestation d'allégeance du Duc à la Couronne ou son accession à la charge de Conseiller Ducal.
- d' informer le Duc quarante-huit heures à l'avance par missive privée afin d'en définir les modalités et que les dispositions soient prises pour sa succession, en cas de démission.
- de participer activement à l'activité et à l'ensemble des débats menés au sein du Conseil.
- de remplir avec diligence les missions ponctuelles qui peuvent lui être confiées.
- de respecter la confidentialité des débats et discussions menées au sein du Conseil.

Article 4
Le non-respect de ses devoirs par un Conseiller pourrait entraîner des poursuites judiciaires à son encontre. En cas de procès à l'encontre d'un Conseiller Ducal, seul le Duc est habilité à rendre un verdict.

Opus III - Des Maires

Article 1
Les Maires des huit villes de Guyenne sont élus par le peuple suivant les modalités coutumières en usage dans tout le Royaume.*

Article 2
Les devoirs de chaque Maire, sont :
- de prêter dans les deux jours de son élection serment de fidélité au Duché de Guyenne devant le Duc.
- de porter l'ensemble des règles municipales qu'il a édictées à la connaissance du Conseil avant adoption. Le Duc et son Conseil disposent alors de quarante-huit heures pour les valider ou les invalider. En cas d'invalidation, le Conseil est tenu de fournir au Maire concerné les raisons justifiées de son refus. Sans réponse du Conseil, au-delà de ce délai, les règles entreront en vigueur dans la ville concernée.
- de présenter les comptes et stock de leur mairie au Commissaire au Commerce de manière hebdomadaire.
- d' informer le Duc quarante-huit heures à l'avance par missive privée afin d'en définir les modalités et que les dispositions soient prises pour sa succession, en cas de démission.
- de garantir la sécurité en son village. A ce titre obligation lui est faite d'employer quotidiennement quatre miliciens et d'en rendre compte au Duché. Il ne doit pas volontairement laisser entrer en son village une armée non reconnue par le Duc.
- de ne pas laisser volontairement l'économie de son village s'écrouler.
- de ne pas utiliser les outils municipaux mis à son service, comme le courrier ou le bureau du Maire, le panneau d'affichage de la mairie, la taverne municipale, à des fins de propagande personnelle.

Article 3
Le non-respect de ses devoirs par un Maire pourrait entraîner des poursuites judiciaires à son encontre.

Opus IV - Dispositions communes à l'ensemble des institutions de Guyenne

Article 1
Est Sujet Guyennois toute personne ayant un champ, une échoppe ou un fief en Guyenne.
Le titre de Guyennois d'honneur peut être donné par le Duc en raison de services rendus au Duché. Ce titre donne accès aux même droits qu'un Sujet Guyennois.
Seul les Sujets Guyennois peuvent se présenter à une élection Municipale ou Ducale.

Article 2
Chacune des institutions officielles de Guyenne, autres que celles sus-mentionnées précédemment, voit son organisation et son fonctionnement régis par un édit ou une ordonnance externe au présent Grand Coutumier Guyennois.

Article 3
Aucune personne ne pourra cumuler les postes suivants :
- Cumul de la charge de Duc ou Régent avec tout autre poste au sein du Duché de Guyenne.
- Cumul de la charge de Maire et de Conseiller Ducal avec une charge fixe*.
- Cumul de la charge de Recteur et Conseiller Ducal avec une charge fixe*.
- Cumul de la charge de Chancelier et de Conseiller Ducal avec une charge fixe*.
- Cumul d'une charge au sein de la Prévôté et de l'Ost, hors du cadre coopération Prévôté-Ost.
Toute personne se plaçant en situation de cumul effectif sera passible de poursuites judiciaires.
Le Duc peut néanmoins accorder une dispense motivée autorisant une personne à cumuler plusieurs postes lorsque les circonstances l'exigent.

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* Mode de scrutin IG
** Fonctions spécifiques IG
*** Personnage détenant une fonction codée IG

LIVRE II - DE LA JUSTICE

Chapitre I - Généralités

Article 1
Tout crime et délit commis contre le Duché de Guyenne, au sens large, par un habitant ou un transitant, est passible d'une assignation en la Cour de Justice de Guyenne.
Rem : L'expression Duché au sens large comprend le Duché, ses représentants (Duc, Conseillers, Maires...), ses habitants, ses biens publics, ainsi que ses institutions et valeurs symboliques.

Article 2
La présomption d'innocence prévaut en Guyenne.

Article 3
Toute victime est en droit de déposer plainte auprès des membres de la Prévôté. Les membres de la Prévôté sont chargés, dans ce cas, de monter le dossier de plainte, rassemblant les preuves nécessaires.

Article 4
Le délai de prescription entre le jour du dépôt de la plainte et l'ouverture du procès est de trois mois. Passé ce délai, aucun procès ne pourra plus être lancé concernant le fait reproché dans le dépôt de plainte.

Chapitre II - De la conciliation et du plaider coupable

Article 1
Une conciliation est possible avant la mise en procès. Dès lors qu'un arrangement est trouvé, le procès n'a plus lieu d'être.

Article 2
En l'absence de conciliation ou en cas d'échec, le Procureur ou le Maire lance le procès.

Article 3
Le Procureur ou le Maire peut, dans son acte d'accusation, faire une proposition si l'accusé plaide coupable. En cas d'acceptation de la proposition par l'accusé, celui-ci le signifie dans sa plaidoirie de défense. Le Procureur ou le maire expose alors les modalités de rachat de l'accusé aux yeux de la Justice dans son réquisitoire, et demande une peine en cas d'échec. Le Juge rend son verdict en fonction de la réussite ou de l'échec du rachat de l'accusé.

Article 4
La non-application des engagements pris par un accusé plaidant coupable est une circonstance aggravante, étant considérée comme un outrage à la Cour.

Chapitre III - Des peines encourues

Les peines pouvant être prononcées, à titre non exhaustif, sont :
- Sanctions publiques (mise au pilori, excuses publiques,…).
- Sanctions financière (Remboursements, dédommagements, amendes,…).
- Sanctions de travaux d’utilité publique.
- Sanctions pénitentiaires légères (peine de prison inférieure ou égale à 3 jours).
- Sanctions pénitentiaires lourdes (peine de prison supérieure à 3 jours).
- Sanctions corporelles (sévices corporels infligés au condamné afin de l’amener à mieux réfléchir sur ses erreurs).
- Inéligibilité.
- Bannissement.
- Peine capitale. (Les nobles seront par égard décapités. Pour les roturiers, c’est laissé à l’appréciation du Juge.)

Chapitre IV - Des chefs d'inculpation

Article 1
L'Esclavagisme correspond à toute embauche d'un pauvre innocent à un salaire obscène (soit inférieur aux salaires établis en ce duché) par un faquin.

Article 2
L'Escroquerie, de manière générale, correspond à tout comportement engendrant un bénéfice indu.
Plus précisément, et de manière non exhaustive, cela comprend :

- La spéculation soit l'achat et la revente sur un même marché d'une même marchandise mais plus cher.
- Le non respect d'un décret municipal en matière de transactions sur le marché de la ville.
- Le détournement d'un mandat ducal, ou municipal.
- La vente de menus fictifs.

Article 3
Le Trouble à l’Ordre Public, de manière générale, correspond à tout comportement portant préjudice à autrui voire à l'ensemble de la communauté .
Plus précisément, et de manière non exhaustive, cela comprend :

- Toute violation d’un décret ducal, lorsque le motif d'inculpation n'est pas précisé.
- Toute violation d'un décret municipal, hors transactions sur le marché de la ville.
- Tout refus de payer les taxes.
- Tout refus de se soumettre aux autorités ducales (non respect d'un verdict, refus de se soumettre aux opérations de vérification de la prévôté...)
- L'insulte, la diffamation.
- La rapinerie.
- Le meurtre, ou la tentative de meurtre.
- Toute tentative de révolte, révolte et l’incitation à la révolte, non autorisées par le Conseil Ducal, par un non Guyennois.
- Toute levée d'armée sur les terres de Guyenne, par un non Guyennois.

Article 4
La Trahison, de manière générale, correspond à tout agissement portant atteinte à la stabilité ou à l'intégrité du Duché ou de ses institutions par des Guyennois.
Plus précisément, et de manière non exhaustive, cela comprend :

- Toute tentative de révolte, révolte et l’incitation à la révolte, non autorisées par le Conseil Ducal, par un Guyennois.
- Tout manquement d'un Maire, d'un membre de la prévôté, ou de l'Ambassade aux devoirs inhérents à sa charge.

Article 5
La Haute Trahison, de manière non exhaustive, comprend :

- Toute dérogation d'un Conseiller aux devoirs inhérents à sa charge.
- Toute levée d'armée par un Guyennois, n'appartenant pas à la noblesse guyennoise, sur les terres de Guyenne, sans l'autorisation écrite du Duc.



Ledit Grand Coutumier entrera en vigueur un jour franc après sa promulgation.

Faict à L'ombrière, le quinzième du mois de mai de l'an de grâce 1458
Melior
Duchesse de Guyenne.











Vald a écrit:
Citation:




    Congrégation de la Sainte Inquisition
    Avis d'excommunication



    Moi, Clodeweck de Montfort-Toxandrie, cardinal-archevêque de Tours, Primat de Bretagne, Cardinal Chancelier de la Saincte Inquisition, duc de Montforzh, par la grâce de Dieu, devant le Très Haut, sous le regard d’Aristote et au nom de notre Sainte Mère l’Eglise,


    Constatant que le dénommé Sancte a fuit lâchement son procès et n'a pas su profiter des mois qui suivirent pour retrouver la raison.
    Constatant que se cache derrière un prétendu théologien un vrai brigand.
    Constatant que le mal a pris possession de son esprit creux au point de lui faire croire, qu'il est amiral et qu'il sert Dieu, alors qu'il n'est rien et ne sert que des brigand.
    Constatant son refus d'abjurer
    Ce dernier est jugé obstiné, fauteur d'hérésie et l'interdit qui le frappait est commué en excommunication.

    Cette mesure ayant effet à la date de la présente
    Toute personne le soutenant dans son œuvre de faute d'hérésie, de tentative d'hérésie.
    Toute personne s'associant à lui dans des listes, groupes, association etc.
    Toute personne obéissant ou suivant ses directives sera excommuniée latae sententiae, autrement dit par la simple commission du fait.
    Cette excommunication entrainant, de fait:
    la mise sous interdit;
    la dissolution du mariage
    plainte auprès de l'hérauderie
    mise à l'index
    et demande de mise en ennemi de toute armée de la foy en tant que nuisible.
    Les clercs de Guyenne auront pour mission de veiller à l'application de cette arrêt en communicant les noms des personnes concernées à la congrégation de la Saincte Inquisition.

    Puisse Dieu avoir Pitié d'un simple brigand


    Ad Claram et Sanctam Veritatem

    Fait en Guyenne le XIéme du mois de Juin, de l’an MCDLVIII de la Saincte Eglise aristotélicienne






Vald a écrit:
Asophie a écrit:
Citation:
A l’attention du Cardinal-Camerlingue Clodeweck, Duc de Montfort-Toxendrie.
A l’attention de l’Evêque Odoacre.
A tous ceux qui liront ou se feront lire.


En ce jour et cette heure, Moi, Sophie Aficus, Vicomtesse de Terrides,

Dénie à quelconque mortel le droit de juger de ma Foi, de ma conduite et de mes convictions spirituelles ; de mener enquête, et de s’octroyer le droit de me juger ou de me condamner pour cela, car Dieu seul Juge.

Dénie à quiconque le droit me chasser d’une Communauté que je choisis volontairement de quitter, sans autre remord ni regret que de ne pas l’avoir fait plus tôt et d’avoir combattu pour la défendre.

Déclare, saine de corps, d’esprit et d’âme, abjurer ma Foi en l’Eglise Aristotélicienne et Romaine à qui j’ôte fermement et volontairement le pouvoir de guider mon Âme qui n’appartient qu’à Dieu.

Déclare publiquement, en mon Âme et Conscience, mon adhésion à la Foi Aristotélicienne Réformée, et déclare le faire sans peur aucune car la peur est la gangrène de l’Ame.



Adjure les nobles ayant embrassé la nouvelle opinion et qui s’en cachent, de se libérer du pouvoir de la peur, de la menace et de la coercition et de crier haut et fort leurs convictions, de les porter plus fièrement qu’ils n’arborent leur blason.

Adjure les hommes et femmes politiques ayant embrassé la nouvelle opinion, de ne plus céder aux chantages d’un pouvoir qui se prétend spirituel mais qui étend son joug sur le pouvoir Temporel par la menace, et leur rappelle que seuls les élus par le suffrage du Peuple sont en droit de l’incarner.

Adjure toutes les femmes et les hommes de bonne volonté, convertis à la nouvelle opinion et quels qu’ils soient, manants ou artisans, nantis ou paysans, de porter leur Foi en étendard et de ne plus en avoir honte, de ne plus se terrer pour prier, de ne plus se cacher pour rendre Grâce à Dieu. "Aux hommes la droiture et le devoir, et à Dieu seul la gloire !"



LUX PERPETUA.


Faict à Montauban le Treizième Jour du Mois de Novembre de l’An de Grâce Quatorze-Cent-Cinquante-Huit.


Citation:

































Citation:
De nous, Sancte Iohannes,
A vous, honorables seigneuries de la chambre des Pairs.

Salut et Paix.


    C'est sans surprise que nous avons appris par l'intermédiaire du Primus Inter Pares que saisine avait été déposée par monsieur Vald à l'encontre de notre liste de candidats aux élections ducales de Guyenne, et avec un froid dédain que nous avons pris connaissance des termes infamants en laquelle elle vous fut formulée.

    L'objet de la saisine de monsieur Vald est le suivant :
    • Vérification de la validité des élections tenues hors le domaine royal.

    Soit un motif conforme aux compétences de la chambre des Pairs.


    Quels arguments du requérant pour étayer la justification de la dite vérification ?

    Aucun. En lieu et place d'un argumentaire solide démontrant en quoi la liste R.$.P. contrevient aux lois locales, monsieur de Flaynac fait passer à notre personne un examen de moralité. Si l'attention est touchante, nul doute que la Pairie n'en demande pas tant. En admettant la douloureuse réalité qu'il est en Guyenne des Hommes incapables de soutenir la gageure d'une solide opposition politique sans chercher à salir leurs adversaires sur le terreau de leurs propres angoisses fantasmées, nous ne commenterons pas plus outre le procès d'intention qui nous vise céans. En réponse, nous prions donc la chambre des Pairs de nous excuser humblement de ne pas commenter les médisances et autres calomnies qui ciblent notre humble personne et qui au lieu d'ajouter du poids aux propos de son auteur, ne font que lui en enlever en laissant entrevoir la mesquine réalité de ses funestes desseins.

    Ainsi, derrière le paravent d'abjections déversées sur notre compte par l'intéressé qui croit rehausser son honneur en entachant celui de ses adversaires par voie de diffamation, pensons-nous dénicher dans l'amas diffus de ses attaques dérisoires la possibilité d'une réserve de sa part au sujet de la validité de notre candidature qui, selon lui, se heurterait aux lois locales. Aussi, expliciterons nous la validité de notre position face à la dite réserve.

    En préambule, rappelons l'article 3 de l'Opus I du Coutumier de Guyenne :

    Coutumier de Guyenne - I.3 a écrit:
    Le Duc et le Conseil Ducal disposent du pouvoir législatif, ils peuvent donc promulguer, abroger, amender les lois du Duché.
    Toute modification, abrogation partielle ou totale, ou ajout du Grand Coutumier Guyennois, d'un décret doit passer par un vote. Les décisions issues d’un vote sont prises à la majorité des votes exprimés, en cas d'égalité la voix du Duc comptant double.


    La dénonciation du concordat, telle que le rapporte la première pièce du dossier de Vald de Flaynac (1) fut définitivement entérinée par la majorité des conseillers ducaux le mandat suivant (2). Or, le Duc Trunks59, dont la dérogeance envers ses devoirs et ses obligations de régnant fut telle qu'il se vit sanctionné par la hérauderie royale (3), affirma réinstaurer un concordat au travers d'une annonce (4) n'ayant pas été rédigée dans les formes en ce qu'elle ne nomme aucun texte connu ou identifiable (sans mention de titre, de lieu, ou de date de signature), et ce, de surcroît, sans l'aval de son conseil ce que sanctionne le coutumier local de Guyenne.

    Ajoutons enfin, qu'en gargote bordelaise, au lieu dit recensant :
    [RP] Grand Coutumier de Guyenne, Chartes et Décrets

    Nous trouvons :


    I – Grand Coutumier de Guyenne

    - Annexe I : Décrets divers, amendements et addendas
    - Annexe II : Codex Militaire Guyenne
    - Annexe III : Statuts de la noblesse et décret sur la noblesse vénale
    - Annexe IV : De l'université et du collège
    - Annexe V : Chartes des guildes marchandes

    - Annexe VI : Dénonciation du Concordat de Guyenne (1)
    - Annexe VII : De la Chancellerie de Guyenne.
    - Annexe VIII : Codex de Navigation


    Mais pas la moindre trace du concordat de Guyenne en dehors de l'officialisation formelle de sa dénonciation, ce qui atteste indubitablement que la ré-instauration du-dit Concordat ne fut jamais ratifiée dans les faits ni par Sa Grâce Trunks59 ni par les Régnants qui se sont succédés depuis son abrogation le 13e de Juillet 1458.

    Or, loi non publiquement publiée par le pouvoir temporel, ne saurait être loi applicable.
    En conséquence de quoi, réaffirmons avec la plus paisible assurance que la candidature de nos membres est tout ce qu'il y a de plus légitime et en accord avec notre législation provinciale.



Avec nos plus humbles salutations,
Au nom de tous les membres de la liste de la liste R.$.P.






























___________________________________________________________
(1) Pièce apportée au présent dossier le 15 Mai 2011 10:19




(2)
Citation:
Citation:
Nous Conseillers Ducaux de Guyenne,

Considérant l'indisponibilité temporaire de sa Grâce Trunks,

Déclarons que la nomination prématurée de la Vicomtesse Ombres comme régente :

Ne faisant pas suite à la démission de notre Duc,

Celle-ci n'étant pas désignée par l'ensemble des conseillers ducaux ni soumise à la reconnaissance de notre bon Roy,

N'est pas effective, et que le terme de régente n’est pas approprié.

Le seul nouveau rôle que nous reconnaissons à la vicomtesse Ombres, est d'assurer le relais entre le Conseil et son Duc convalescent.

Annonçons que les Conseillers, unis en l'absence de leur dirigeant, continueront à gouverner de concert la Guyenne car telle est leur mission confiée par le peuple, par la voie de l'élection, et ce jusqu'à son retour ou sa démission, si le sort venait à s'acharner sur sa santé.

Pour le Conseil,


Novembre
Drykern
Eruntalon
Foster



Citation:
Les négociations pour un nouveau Concordat ne sont pas entamées, la présence du Duc nous est nécessaire.
Néanmoins, nous conseillers, refusons majoritairement une condition préalable et imposée par l'Église pour les entamer : remettre l'ancien concordat en application pendant les discussions.

Voix POUR la pose du Concordat : Ombres, Brixius
Voix CONTRE la pose du Concordat : Sophie, Emi, Aradiia, Mimi83720, Drykern, Barryroots, Novembre, Eruntalon, Foster
Citation:























Citation:






(3)
Llyr a écrit:
A tous présent et advenir salut.

Par la présente, en vertu des pouvoirs afférant à notre charge, nous LLyr di Maggio et d'Astralgan, dict MontJoy, Roy d'Armes de France, après consultation du collège héraldique, ne validons ni ne contresignons la demande de fief de retraite demandé par Messire Trunks59, au motif de sa dérogeance envers ses devoirs et obligations de régnant, notamment l'obligation de port des armes du Duché de Guyenne durant son mandat, malgré plusieurs rappels et avertissements d'usage.

Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux reglements Héraldiques .

Faict le Vingt-quatrième jour du mois de Septembre de l'An de Grasce Mil Quatre Cent Cinquante Huit, sous le règne de nostre souverain bien aimé le Roy Levan le troisième de Normandie



(4) Pièce apportée au présent dossier le 15 Mai 2011 10:21







_________________
melior
Citation:
Congrégation de la Sainte Inquisition

Avis d'excommunication

Moi, Clodeweck de Montfort-Toxandrie, cardinal-archevêque de Tours, Primat de Bretagne, Cardinal Chancelier de la Saincte Inquisition, duc de
Montforzh, par la grâce de Dieu, devant le Très Haut, sous le regard d’Aristote et au nom de notre Sainte Mère l’Eglise,

Constatant que le dénommé Sancte a fuit lâchement son procès et n'a pas su profiter des mois qui suivirent pour retrouver la raison.

Constatant que se cache derrière un prétendu théologien un vrai brigand.

Constatant que le mal a pris possession de son esprit creux au point de lui faire croire, qu'il est amiral et qu'il sert Dieu, alors qu'il n'est rien et ne sert que des brigand.

Constatant son refus d'abjurer

Ce dernier est jugé obstiné, fauteur d'hérésie et l'interdit qui le frappait est commué en excommunication.


De ce fait en se présentant en tête d'une liste ducale il démontre une nouvelle fois qu'il ne respecte pas les Loys de sa propre province, contrairement à ce qu'il a laissé croire pendant bon nombre d'années.

Contrairement aux dires de celui ci le concordat est toujours en vigueur, puisqu'il a été dénoncé unilatéralement par la Duchesse Asophie, qui se déclare elle même hérétique


Citation:
A tous, présent, et à venir, salut,

Nous, Sophie, Duchesse de Guyenne,par la Grâce d'Aristote, et la voix du Peuple Guyennois,

Prenons acte de la rétractation de Mgr Vanwolk concernant la surenchère à la prime de meurtre sur la tête de Messer Sancte.

Prenons acte du fait qu’il se permet de juger de notre action quand les autorités de locales de notre Eglise ne savent que condamner à mort et chasser ceux des leurs qui ont le malheur de désobéir, au lieu de s’occuper du rôle qui leur ait échu, accusant les autorités temporelles du Duché de ne pas faire leur propre travail.

Prenons acte de la dernière provocation de Monseigneur Bardieu qui, sous couvert de se conformer à notre sommation se moque de nous, et donc de la Guyenne. .

Prenons acte que sous prétexte de les démentir, Monseigneur Bardieu se sert d’une déclaration officielle signée de sa main d’évêque pour répandre à notre sujet des rumeurs scandaleuses et gravissimes.

Prenons acte que dans cette déclaration, Monseigneur Bardieu persiste et signe à se faire le porte parole d’une autorité ecclésiastique et donc que ses actes, paroles et insinuations sont celle de l’Eglise à l’égard du Duché de Guyenne.

Rappelons qu’un troisième évêque, Monseigneur Odoacre, nous ayant souffleté et provoquée en duel, que l’insulte n’a toujours reçu aucune présentation d’excuses ni de la part de celui-ci, ni de la part des autorités de l’Eglise Aristotélicienne pourtant avertie, considérons ce geste comme une offense non à notre personne mais au Duché de Guyenne dont nous sommes suzeraine de la part d’une autorité ecclésiastique officielle.

C’est pourquoi, en ce jour et en cette heure, Nous, Sophie, Duchesse de Guyenne, autorité temporelle suprême de la Guyenne et représentante de notre Province, ainsi que le stipule le Grand Coutumier de Guyenne,

Constatons que les autorités de l’Eglise aristotéliciennes ont par leurs attaques, provocations et insinuations rendu caduque ipso facto le Traité entre la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine et le Duché de Guyenne aussi connu sous le nom de « Concordat de Guyenne » scellé à Bordeaux et Rome le septième jour d'avril de l'an de grâce MCCCCLVI.

Usons de notre droit souverain et supérieur sur la Guyenne pour dénoncer à notre tour dans son intégralité, le Traité entre la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine et le Duché de Guyenne aussi connu sous le nom de « Concordat de Guyenne », scellé à Bordeaux et Rome le septième
jour d'avril de l'an de grâce MCCCCLVI, rendant caduque l’ensemble de ses articles.


Par ailleurs, vous ne trouverez nul part dénonciation de ce concordat par la Sainte église Aristotélicienne comme le prévoit l'Art 1 du concordat

Citation:
Art 1. Ce traité ne pourra être modifié, supprimé ou suspendu qu'avec l'accord des deux parties, à savoir l'Eglise, représentée par l'archevêque de Bordeaux et la Nonciature Romaine et le conseil ducal de Guyenne.


Par la suite, il a été confirmé par le Duc Truncks par une annonce qu'il a signé et scellé de sa main, et ceci est incontestable puisque la Vicomtesse Istar faisait partie de son conseil. Ce fut bien après que le Duc fut absent. Quant au fait qu'il n'ait pas reçu son fief de retraite cela n' a aucun rapport comme vous pouvez en juger et qu'il fut Duc reconnu par le Roy.

Citation:
A tous, présent, et à venir, salut,
Le concordat ayant été dénoncé unilatéralement par mon prédécesseur malgré l'article 1 suivant

Citation:
Art 1. Ce traité ne pourra être modifié, supprimé ou suspendu qu'avec
l'accord des deux parties, à savoir l'Eglise, représentée par l'archevêque de Bordeaux et la Nonciature Romaine et le conseil ducal de Guyenne.



Afin de calmer les esprits et de reprendre les négociations pour le bien de tous, en sachant que la Sainte Eglise Aristotélcienne n'avait jamais reconnu la suppression du concordat, tenant compte des explications claires apportées par SE Mgr Aaron sur ledit concordat, nous, Trunks le LIXeme du nom,
Duc de Guyenne, par la Grâce d'Aristote, et la voix du Peuple Guyennois, déclarons que ledit concordat est légitime et légal.avons décidé de remettre en place le concordat de Guyenne.

Nous regrettons les déclarations irréfléchies de quelques membres du Conseil, ayant eut pour seul résultat, d'envenimer la situation et de jeter le discrédit sur la Guyenne.

Nous demandons, dans le même temps, que Ledit Concordat, qui ne correspond plus au besoin de nos terres et notre peuple, soit revu avec L'Eglise par la voie de la Congrégation des affaires du Siècle .

Nous souhaitons que ce nouveau concordat soit plus juste pour tout le monde, y compris le peuple de Guyenne. Nous devons continuer de l'avant mais en gardant les erreurs du passé en mémoire afin que cela n'arrive plus.

Fait à l'Ombrière, le 2 Septembre 1458

Trunks

Duc de Guyenne.







Vous trouverez ci dessous quelques exemples de ses propos :

Citation:
Communiqué de la bonne ville de Montauban au reste du Monde. a écrit:

Une main ouverte,
Et un poing fermé,
L'une pour connaître,
L'autre pour cogner.


A tous, présents et à venir,
Salut et Paix.

Les disciples disaient à Christos : "Maître, ces marginaux ne nous apportent rien, et Aristote nous met en garde contre ceux qui fuient la cité !"
A ceux-là Christos leur répondait : "Disciples ! Vivez pour les autres au lieu d’attendre des autres qu’ils vivent pour vous. C’est à la cité d’accueillir les marginaux, et non aux marginaux d’aider la cité. "

Dès lors et conformément aux dires de notre bon prophète, l'éternelle cité de Montauban, phare de l'aristotélicité d'Occident en compagnie de Genève, à l'heure où fleurissent les plus vives velléités de dénigrement et de disqualification envers une frange de la population du Royaume de France que nous chérissons tant, clame à tous ceux qui l'entendront ou qui voudront l'entendre qu'à partir de ce jour à marquer d'une pierre blanche, elle émet le vœu pieu de se faire mécène des arts et pourvoyeuse d'asile aux persécutés et aux marginaux.

Que tous les sculpteurs, peintres, cartomanciens, troubadours, cracheurs de feu, musiciens, conteurs et raconteurs ; tous les acrobates, ventriloques, lutteurs de foire et montreurs d'ours ; tous les barbouilleurs, fantaisistes, amuseurs de petite flambe, bouffons et teutoniques, pourront être placés sous la protection de la rayonnante municipalité Montalbanaise qui leur garantira la respectabilité et la subsistance auxquels ils aspirent à la hauteur de leur talent !

Que tous les roumes, agitateurs, démagogues et colporteurs, les anciens cambrioleurs, voleurs de bétail, caïmans et brigands, les anciens contrebandiers et trafiquants de cadavres, les vieux matons et les pilleurs de tombes à la retraite, les mendiants, les joueurs de ramponneau ayant déjà vendu leur mère et prostitué leurs enfants, ainsi que les guides-racoleurs, les charlatans et les curés, sachent qu'ils tous les bienvenus si leur intention est de couler une vie paisible et lucrative dans le respect des règles et lois fondamentales du vaste Duché de Guyenne et de la Cité des Saules. Par la foi, sans doute trouveront-ils la force de croire encore et toujours en leurs chances de rédemption.


Car nul homme probe et de bonne volonté n'est tenu de rester au bord du chemin,


Bon et Généreux Bourgmestre, humble mais néanmoins mirifique Gouverneur de Montauban.
Scellé le 22e jour de Juillet de l'an de Grâce 1458




Citation:
Titre : Avis des Réformés en mission de guerre.

Je suis chevalier errant de la Réforme Aristotélicienne qui opère depuis
Montauban, cité des Saules et de la foi des origines dépouillée des
superstitions papistes. Je vous informe que vos biens, en écus et en
marchandises, ont été saisis afin de financer la lutte que nous menons
contre le clergé romain.

Nous ne sommes ni brigands, ni larrons,
ni coupe-jarrets. Nous défendons, avec nos moyens de proscrits, la foi
aristotélicienne réformée qui nous anime mais que nous voulons
débarrassée de sa gangrène : l'Église de Rome et ses suppôts.

Joignez-vous à nous ! Ni pape ni concordats ! Que le Très Haut nous juge !


Citation:
De Sancte Iohannes,
Au bon peuple de Guyenne.

Si les exigences de mes études théologiques m'ont momentanément éloigné de vous, croyez bien que la Guyenne demeure et demeurera quoi qu'il advienne la terre de mes racines, où je compte bien écouler mes vieux jours.

J'apprends cependant depuis ma convalescence sur les terres argileuses de l'Angoumois, que certains partis politiques de notre belle province ont la ferme intention de pratiquer une politique répressive en usant du recours archaïque des suppressions des libertés au motif démagogique de vouloir protéger le peuple de Guyenne. Comme si celui-ci n'était pas apte à choisir de lui-même les représentants qui lui conviennent ! En réalité, ces gens cherchent à faire retomber notre province dans ses vieux travers visant ni plus ni moins à disqualifier toute une frange de la population dans une politique ayant pour seule finalité la mise en place d'une chasse aux sorcières.

Nul ne saurait contredire l'évidence: une politique efficiente est celle qui sait exploiter toutes les forces vives dont elle dispose, qui saura tirer parti de tout son potentiel au-delà des différences de classe, de religion, ou d'affinités. Voilà le chemin que trace l'exigence de paix et de prospérité. Voilà la seule direction vers laquelle se tourner. Ceux qui vous diront que pour que la Guyenne avance, il faut l'amputer de ceux-ci et de ceux-là, sous des prétextes divers larvés de rancunes personnelles, ne feront que plonger le Duché dans l'abîme d'une lutte fratricide. N'en avons-nous pas assez connues ? Combien nous faudra-t-il de crises d'inéligibilité, de mandats de régence, de procès d'intention, de menaces d'excommunication instrumentalisées, pour que nous nous rendions compte que priver les Guyennois de l'exercice de leur libre-arbitre et de leur pleine expression de souveraineté au travers des urnes est une atteinte même à la santé de nos institutions ?

La Guyenne est-elle assez riche pour se permettre de refuser dans les rangs de ses armées des postulants prêts à la servir ? Est-elle assez pourvue de politiciens pour qu'elle se permette de marginaliser toute une frange de la population en la faisant déchoir de ses droits sous les critères les plus douteux ? La Guyenne est-elle si prestigieuse qu'elle se permette d'écarter d'un revers de bras les bonnes volontés ? Cela n'a jamais été mon impression. Et pour cause. Nous avons longtemps été la province la plus fragilisée du Royaume, et ce, à tous points de vue. Mais c'est pourtant l'inverse, qu'on tente de nous faire croire.

Elle semble en tout cas assez pauvre aux yeux de certains, pour qu'ils se réjouissent du fait qu'on laisse librement des clercs et des membres d'ordres militaires religieux, souvent étrangers par ailleurs, faire pression sur notre conseil. Pauvre, elle semble l'être suffisamment pour qu'ils affirment leur volonté d'insérer dans nos salles du conseil des évêques qui n'ont aucune légitimité démocratique, et cautionner ainsi l'ingérence de l'Église dans toutes les affaires temporelles. A ce rythme, autant laisser le Primat de France nommer directement nos conseillers en le laissant superviser lui-même les débats ! Après tout, à quoi bon les élections, mes frères, puisque ces gens nous dénient la faculté de voter "comme il le faudrait" ?

A la vérité, le projet qui vous est présenté n'est rien d'autre qu'une politique qui prend racine dans une peur fantasmée. Le fantasme des brigands tapis dans l'ombre. Le fantasme de l'hérésie aux dents longues. Le fantasme des mercenaires pilleurs de Duché. Le fantasme de l'étranger qui ne songe qu'à envahir la Guyenne. Le fantasme des lances agressives. Sur le socle de cette peur, on justifiera pour votre bien la suppression des voyages en lance, on justifiera pour votre bien-être de nouvelles contraintes électorales, on justifiera pour votre bien-être le bannissement de toute une liste d'indésirables jugés au faciès, on justifiera pour votre bien-être l'exclusion de soldats non-baptisés, hétérodoxes, et hérétiques, on justifiera pour votre bien-être la destruction d'armées dirigés par ceux-là, on justifiera pour votre bien-être de baiser la bague des évêques afin de ne pas être frappé d'interdit.

Ce projet est la marque des hommes qui faute de savoir convaincre se sont mis dans la tête qu'il fallait vaincre. Vaincre des Guyennois au profit d'autres Guyennois. Il s'agit là d'une politique de faibles, menés par des faibles, et pour des faibles, au seul bénéfice d'une ambition de caste aux velléités fratricides assumées.

La peur est la gangrène de l'esprit. Elle nécrose tout à la fois la raison et le discernement. Je n'ose croire qu'après tant de progrès (la réforme du coutumier, la suppression de la commission électorale, la levée du décrets sur les contraintes de déplacement) nous autres Guyennois puissions cautionner un tel viol de nos libertés au moment même où nous traversons une longue et bénéfique période de paix conjuguée à un redressement économique sans précédent.

A tous, je vous invite à envisager l'avenir avec la sérénité qui, seule, saura vous permettre de faire le bon choix.
Fraternellement,

Amiral de l'Advocatus D.
Sicaire et Chevalier du Lion de Juda.




Compte tenu de la position de l'église sur toute personne soutenant un hérétique, nous vous demandons de rendre inéligible l'ensemble des membres de sa liste ducale afin que la Guyenne ne tombe dans une guerre civile qui s'étendrait à l'ensemble des provinces du Sud ouest.

Citation:
Cette mesure ayant effet à la date de la présente

Toute personne le soutenant dans son œuvre de faute d'hérésie, de tentative d'hérésie.

Toute personne s'associant à lui dans des listes, groupes, association etc.

Toute personne obéissant ou suivant ses directives sera excommuniée
latae sententiae, autrement dit par la simple commission du fait.

Cette excommunication entrainant, de fait:

la mise sous interdit;

la dissolution du mariage

plainte auprès de l'hérauderie

mise à l'index

et demande de mise en ennemi de toute armée de la foy en tant que nuisible.


Nous demandons également que soit enlevé le titre de noblesse de la Vicomtesse Asophie.

Faict à Rodez, le 16 ième jour du moi de May 1459

Alexandre de Demessy, Comte du Rouergue, Vicomte de Nérac, Seigneur de Pierre Buffière et de Sainte Bazeille, Premier huissier de France.




Istar de Demessy, Comtesse consort du Rouergue, Vicomtesse de Nérac, Dame de Sainte Bazeille et de Pierre Buffière,




Aurelien87 a écrit:
Citation:



Aux membres de la Pairie du Royaume de France,

Nous, Monseigneur Aurélien Maledent de Feytiat, Archevêque de Bordeaux et Grand Aumonier de France,

Apportons notre entier soutien à la saisine posée icelieu par Messire Vald, à l'encontre du Sieur Sancte.

Contrairement à ce que pourra ergotter ledit Sieur Sancte, le Concordat de Guyenne n'a jamais été révoqué. Il ne pourrait l'être que d'un accord commun entre l'Eglise Aristotélicienne, que je représente en Guyenne, et un Conseil Ducal. Chose qui n'est JAMAIS arrivée. La duchesse Asophie a bien tentée, à l'époque où elle dirigeait le Duché, de révoquer unilatéralement cet concordat, mais dans sa grande sagesse, le Duc Trunks a précisé qu'il n'en était rien, puisque l'article 1 n'avait pas été respecté.

Ajoutons que le Sieur Sancte, renégat de la foy de son baptême, a été excommunié, le rendant ainsi inéligible

Ajoutons que nous sommes attérés devant l'immobilisme de l'actuel Duc, qui n'a pas daigné répondre au courrier que nous lui avons adressé, pour lui signaler ce dénit de justice.

Ajoutons également que nous sommes attérés de voir que la plainte déposée par Sa Grâce Koyotte, Pair de France, contre le Sieur Sancté, pour brigandage, n'a pas été pris en compte par l'actuelle procureur de Guyenne, alors que Sa Grace Koyote a parfaitement reconnu le sieur Sancte parmi ses agresseurs.

Ajoutons que nous avons les plus grandes craintes pour la tranquilité de cette région de notre Royaume en cas d'élection du Sieur Sancte. Nombre d'actuels régnants, dont les régnants des provinces voisines de la Guyenne, ont émis de grandes craintes, soulignant qu'ils envisageaient une riposte militaire. Réponses qui n'ont pu échapper à la noble assemblée des Pairs de France, et principalement le Primus inter Pares


fait au Louvre, ce 16 de mai 1459



Sancte a écrit:
Citation:
De nous, Sancte Iohannes,
A vous, honorables membres de la chambre des Pairs.

Salut et Paix.


Nous ne chercherons pas plus outre à commenter les appréciations méprisantes et mal avisées des deux tristes sires sur notre compte, singeant le requérant par là même où ce dernier a péché. A l'attention des Pairs de France en réponse aux simili-arguments de ces messieurs, trois choses:


    I. Au sujet de l'article I.1 de l'ancien concordat de Guyenne que seule l'Eglise reconnait encore comme valide, à défaut du pouvoir temporel:

    Ancien Concordat de Guyenne - I.1 a écrit:
    Art 1. Ce traité ne pourra être modifié, supprimé ou suspendu qu'avec l'accord des deux parties, à savoir l'Eglise, représentée par l'archevêque de Bordeaux et la Nonciature Romaine et le conseil ducal de Guyenne.


    Signalons humblement que l'acte de dénonciation stipule expressément:

    Dénonciation du Concordat a écrit:
    Usons de notre droit souverain et supérieur sur la Guyenne pour dénoncer à notre tour dans son intégralité, le Traité entre la Sainte Église Aristotélicienne et Romaine et le Duché de Guyenne aussi connu sous le nom de « Concordat de Guyenne », scellé à Bordeaux et Rome le septième jour d'avril de l'an de grâce MCCCCLVI, rendant caduque l’ensemble de ses articles.


    ... rendant caduque l'ensemble de ses articles. Dont le fameux article 1. Fatalement.


    II. C'est par les actions de l’Église Aristotélicienne Romaine, à qui la main du pouvoir temporel fut maintes fois tendue et à chaque fois mordue, que le traité dit "Concordat de Guyenne" fut rendu caduque et qu'au final, la Duchesse Asophie ne fit qu'entériner un état de fait. (1) (2)


    III. Que les dernières pièces apportées ne s'attaquent pas à l'argument final de notre défense, à savoir que pour espérer être encore valide, le dit Concordat aurait du figurer dans le Coutumier de Guyenne et ses Annexes, consultables publiquement en gargote Bordelaise. Ce n'est pas le cas, puisque n'y figure, précisément, que sa dénonciation. Ce qui est déjà en soi nécessaire et suffisant pour justifier du bon droit des candidats de notre liste à se présenter aux suffrages du peuple, sans avoir à s'encombrer des états d'âme des valets de chambre de la disqualification politique.


Parce que la vérité n'aime rien tant que la simplicité de la vérité, nous nous arrêterons là.

Vale.


Ancien Concordat de Guyenne - I.1 a écrit:
Dénonciation du Concordat a écrit:








(1)
Citation:
A tous, présent, et à venir, salut,

Nous, Sophie, Duchesse de Guyenne, par la Grâce d'Aristote, et la voix du Peuple Guyennois,

Afin de faire un geste de paix envers l’Eglise, de reprendre sereinement les discussions diplomatiques et en réponse au premier geste effectué par Monseigneur Verty et Son Excellence Typhanie de Divonne,
Déclarons temporairement et pour un délai de sept jours, suspendre la dénonciation du Traité entre la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine et le Duché de Guyenne aussi connu sous le nom de « Concordat de Guyenne », scellé à Bordeaux et Rome le septième jour d'avril de l'an de grâce MCCCCLVI, et ce sous condition que
- aucune excommunication ou mesure d’interdit ne soit lancée contre nous, notre Conseil ou le Duché de Guyenne,
- que les offenses de Messeigneurs Bardieu, Vanwolk et Odoacre contre le Duché de Guyenne soient reconnues par l’Eglise Aristotélicienne et Romaine et réparées.
- Que les négociations soient menées de façon constructives et pacifiques pour établir un nouveau Concordat, sans menace ni contrainte, à l’Archevêché de Bordeaux mais que les minutes de ces discussions soient rendues publiques par des rapports réguliers.

Si l’une de ces conditions n’était pas respectées, le Traité entre la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine et le Duché de Guyenne aussi connu sous le nom de « Concordat de Guyenne », scellé à Bordeaux et Rome le septième jour d'avril de l'an de grâce MCCCCLVI serait ipso facto annulé.

Nos interlocuteurs privilégiés seront Monseigneur Aurélien Maledent de Feytiat, Primat de France et Archevêque de Bordeaux, Monseigneur Tully de Nivellus de Sparte, Archevêque de Reims, Protonotaire Consul Apostolique, Soeur Typhanie de Divonne, Sous secrétaire de Bordeaux et Première archidiacre de Bourges, et le Frère Kronembourg, diacre et curé de Blaye, représentant les curés de Guyenne.

Faict à L'Ombrière, le Treizième Jour du mois de Juillet de l'An de Grâce Quatorze Cent Cinquante Huit.

Sophie
Duchesse de Guyenne.






(2)
Citation:
A tous, présent, et à venir, salut,

Nous, Sophie, Duchesse de Guyenne, par la Grâce d'Aristote, et la voix du Peuple Guyennois,

Rappelons que la Guyenne est suzeraine, qu'elle n'a pas à souffrir de chantage, de menace, ou de méthodes de coercition indigne de l'Institution de l'Église Aristotélicienne et Romaine,

Annonçons que, les conditions préliminaires à toute négociation en bonne entente avec les autorités désignées comme interlocuteurs privilégiés n'ayant pas été respectées, nous confirmons en ce jour et en cette heure la dénonciation du Traité entre la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine et le Duché de Guyenne aussi connu sous le nom de « Concordat de Guyenne », scellé à Bordeaux et Rome le septième jour d'avril de l'an de grâce MCCCCLVI, de par notre droit souverain et annulons la précédente suspension de cette dénonciation.


Citation:
A tous, présent, et à venir, salut,

Nous, Sophie, Duchesse de Guyenne, par la Grâce d'Aristote, et la voix du Peuple Guyennois,

Afin de faire un geste de paix envers l’Eglise, de reprendre sereinement les discussions diplomatiques et en réponse au premier geste effectué par Monseigneur Verty et Son Excellence Typhanie de Divonne,
Déclarons temporairement et pour un délai de sept jours, suspendre la dénonciation du Traité entre la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine et le Duché de Guyenne aussi connu sous le nom de « Concordat de Guyenne », scellé à Bordeaux et Rome le septième jour d'avril de l'an de grâce MCCCCLVI, et ce sous condition que
- aucune excommunication ou mesure d’interdit ne soit lancée contre nous, notre Conseil ou le Duché de Guyenne,
- que les offenses de Messeigneurs Bardieu, Vanwolk et Odoacre contre le Duché de Guyenne soient reconnues par l’Eglise Aristotélicienne et Romaine et réparées.
- Que les négociations soient menées de façon constructives et pacifiques pour établir un nouveau Concordat, sans menace ni contrainte, à l’Archevêché de Bordeaux mais que les minutes de ces discussions soient rendues publiques par des rapports réguliers.

Si l’une de ces conditions n’était pas respectées, le Traité entre la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine et le Duché de Guyenne aussi connu sous le nom de « Concordat de Guyenne », scellé à Bordeaux et Rome le septième jour d'avril de l'an de grâce MCCCCLVI serait ipso facto annulé.

Nos interlocuteurs privilégiés seront Monseigneur Aurélien Maledent de Feytiat, Primat de France et Archevêque de Bordeaux, Monseigneur Tully de Nivellus de Sparte, Archevêque de Reims, Protonotaire Consul Apostolique, Soeur Typhanie de Divonne, Sous secrétaire de Bordeaux et Première archidiacre de Bourges, et le Frère Kronembourg, diacre et curé de Blaye, représentant les curés de Guyenne.

Faict à L'Ombrière, le Treizième Jour du mois de Juillet de l'An de Grâce Quatorze Cent Cinquante Huit.

Sophie
Duchesse de Guyenne.





Faict à L'Ombrière, le Dix-Huitième Jour du mois de Juillet de l'An de Grâce Quatorze Cent Cinquante Huit.

Sophie
Duchesse de Guyenne.


Citation:







































Citation:























Citation:








Citation:



























Citation:






























_________________
melior

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melior

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melior


Citation:
Au Peuple de Guyenne,
Aux Grands Feudataires de France.

La Chambre des Pairs de France au Nom de Sa Majesté Beatritz, Reyne du Royaume de France,

En raison du manquement avéré à ses devoirs de régnant du Duc Drykern, de la participation d'autres membres du Conseil ducal élu, rendant la révolte légitime,

Reconnaît la qualité de régent du Duché de Guyenne à Archybald Hatzfeld, à compter du dix-neuvième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459 et ce, jusqu'aux nouvelles élections.

Qu'il en soit su et certifié.

Faict à Paris le vingt-deuxième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.






Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Actarius d'Euphor, Dotch de Cassel, Ztneik du Ried.






Code:
[rp][quote][i]Au Peuple de Guyenne,
Aux Grands Feudataires de France.

La Chambre des Pairs de France au Nom de Sa Majesté Beatritz, Reyne du Royaume de France,

En raison du manquement avéré à ses devoirs de régnant du Duc Drykern, de la participation d'autres membres du Conseil ducal élu, rendant la révolte légitime,

Reconnaît la qualité de régent du Duché de Guyenne à Archybald Hatzfeld,  à compter du dix-neuvième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459 et ce, jusqu'aux nouvelles élections.

Qu'il en soit su et certifié.

Faict à Paris le vingt-deuxième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.[/i]

[img]http://img821.imageshack.us/img821/2679/maini.png[/img]


[URL=http://img641.imageshack.us/i/sceaumeliorfeejaune.png/][img]http://img641.imageshack.us/img641/8965/sceaumeliorfeejaune.png[/img][/URL]
[size=12][i]Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Actarius d'Euphor, Dotch de Cassel, Ztneik du Ried. [/i][/size]
[/quote][/rp]

[quote="Archybald"][quote][b]Requérant :[/b] Archybald Hatzfeld, au nom du conseil ducal de Guyenne.

[b]Saisine concernant le :[/b] Duché de Guyenne.

[b]Pièces du dossier :[/b] Lettre en pièce jointe.

[b]Motif de la saisine :[/b] Validation d'une régence.

[b]Arguments liés à la saisine :[/b] Nonchalance, négligence, dédain, mépris et désertion du Duc Drykern, légitimement élu à la fin mars 1459, des affaires courantes de la province de Guyenne.[/quote]

[quote][list]
[i]À Sa Majesté Béatrice I, Souveraine du royaume de France & à la noble assemblée des pairs de France,
D'Archybald Hatzfeld,

Salutations.

Par la présente, j'ai l'honneur de faire connaître à Sa Majesté et la noble assemblée des pairs la prise de pouvoir par la force en le duché de Guyenne, ce dix-neuf mai de l'an de grâce mil quatre cent cinquante-neuf, prise de pouvoir qui m'a vu démettre et remplacer le Duc Drykern du trône ducal.

C'est aujourd'hui un conseil de huit membres qui siège à Bordeaux, dont six prirent part au règne de Drykern en tant que conseillers légitimes, et deux dont la présence est justifiée par leur rang au sein de l'état-major de l'armée régulière du duché de Guyenne. Sur les douze membres originels du conseil légitimement élu à la fin mars de l'année courante, quatre sont portés absents dont le Duc, deux soutiennent la présente révolte et n'ont pu prendre part à celle-ci.

Les motifs invoqués pour justifier cette prise de pouvoir sont :[list]
[*]Dénigrement du Duc de la gestion des affaires courantes et administratives du duché de Guyenne, à savoir l'absence de directives données à ses conseillers et de leur suivi, l'absence de représentativité et de présence du Duc en le conseil ducal, en chacune des institutions ducales ou de la place publique, exception faite de l'université dans le seul but d'enseigner ou de fournir ses services de fonctionnaire au bailli, et exception faite des bouges crasseux de Guyenne où le Duc se fit plusieurs fois remarquer pour sa volonté à satisfaire ses besoins charnels plutôt qu'à diriger la province.

[*]Désertion du petit salon du conseil ducal près de trente jours avant la fin de sa mandature malgré les relances successives formulées par les conseillers à son intention, et malgré l'ultimatum que je lui fixa personnellement en le salon du conseil le douze mai de l'année en cours.

[*]Volonté du conseil ducal d'en finir avec la politique d'immobilisme et l'absentéisme imposés par le Duc Drykern, et refus de voir ledit régnant achever sa mandature en laissant l'administration ducale amèrement blessée par le comportement des plus intolérables de son feudataire.[/list]
C'est pour toutes ces raisons que je fais aujourd'hui la respectueuse demande de voir Sa Majesté la Reine et la plus haute assemblée du royaume statuer sur la présente révolte, fomentée et perpétrée par un conseil ducal légitimement élu. 

Donné à Bordeaux le 19 mai de l'an de grâce 1459.

Archybald Hatzfeld [/i][/list][/quote][/quote]

_________________
melior


Citation:
Travaux de la Noble Assemblée des Pairs
Semaine du 16 au 22 mai 1459

Dossiers clos :
Dossiers liés au Royaume de France


Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Saisines héraldiques
-

Candidatures à la Pairie
-

Réponses en cours de validation
Dossiers liés au Royaume de France
-

Dossiers transmis par la Grande Prévôté
  • Dossier plainte à l'encontre de Natale, alors Comte de Toulouse, pour son implication dans la prise de Rodez.

Saisines héraldiques
-

Débats en cours
Dossiers liés au Royaume de France
  • Refonte du droit royal.
  • Projet de Mécénat royal, projet présenté par Sa Seigneurie Argael.
  • Répartition des Pairs selon les Provinces.
  • Demande de recours en Justice, à la suite d'une plainte déposée par Sa Seigneurie Koyote de Cieux.
  • Passage d'une armée bretonne en terres françaises.
  • Saisine déposée par Vroqu, Vicomtesse de Cornedrue-Angillon, Baronne d'Anay-le-vieil contre George dict le Poilu, Régent du Berry.
  • Saisine déposée par Dragonet de Castelcerf quant à l'irrégularité et l'invalidité d'une décision de la Pairie.


Saisines héraldiques

  • Saisine déposée par Ginger de Lubersac, Vicomte de Gimel les cascades, Baron de Saint Martial du Mont, Seigneur de Lubersac, pour destitution.


Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Candidatures à la Pairie
-

Au nom de la Chambre des Pairs,
Faict à Paris le vingt-troisième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.









Code:
[rp][quote] [i][color=darkred][b][size=24]T[/size][size=18]ravaux de la Noble Assemblée des Pairs[/size][/b][/color][/i]
[i]Semaine du 16 au 22 mai 1459[/i]

[i][b][color=indigo]Dossiers clos :[/color][/b][/i]
[i][color=indigo]Dossiers liés au Royaume de France[/color][/i]
[i][list][*]Saisine déposée par Pierre Louis de Villefort, Duc de Touraine, quant à l'octroi ou non du fief de retraite à Camille d'Anclair :[url=http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=603688&start=195]La Noble Assemblée des Pairs a apporté réponse, le vingtième jour du mois de mai 1459[/url]
[*]Saisine déposée par Vald de Flaynac quant aux élections ducales en Guyenne : [url=http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=603688&postdays=0&postorder=asc&start=195]La Noble Assemblée des Pairs a estimé le Concordat de Guyenne toujours valide, le vingt-deuxième jour du mois de mai 1459.[/url]
[*][url=http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=603688&postdays=0&postorder=asc&start=195]La Noble Assemblée des Pairs a validé la Régence d'Archybald Hatzfeld, pour le Duché de Guyenne, le vingt-deuxième jour du mois de mai 1459[/url][/i][/list]

[i][color=indigo]Dossiers transmis par la Grande Prévôté[/color][/i]
-

[i][color=indigo]Saisines héraldiques[/color][/i]
-

[color=indigo][i]Candidatures à la Pairie[/i][/color]
-

[b][i][color=blue]Réponses en cours de validation[/color][/i][/b]
[i][color=blue]Dossiers liés au Royaume de France[/color][/i]
-

[color=blue][i]Dossiers transmis par la Grande Prévôté[/i][/color]
[list][i][*]Dossier plainte à l'encontre de Natale, alors Comte de Toulouse, pour son implication dans la prise de Rodez.[/i][/list]
[i][color=blue]Saisines héraldiques[/color][/i]
-

[i][color=darkblue][b]Débats en cours [/b][/color][/i]
[color=darkblue][i]Dossiers liés au Royaume de France[/i][/color]
[i][list][*]Refonte du droit royal.
[*]Projet de Mécénat royal, projet présenté par Sa Seigneurie Argael.
[*]Répartition des Pairs selon les Provinces.
[*]Demande de recours en Justice, à la suite d'une plainte déposée par Sa Seigneurie Koyote de Cieux.
[*]Passage d'une armée bretonne en terres françaises.
[*]Saisine déposée par Vroqu, Vicomtesse de Cornedrue-Angillon, Baronne d'Anay-le-vieil contre George dict le Poilu, Régent du Berry.
[*]Saisine déposée par Dragonet de Castelcerf quant à l'irrégularité et l'invalidité d'une décision de la Pairie.
[/list]

[color=darkblue]Saisines héraldiques[/color][/i]
[list][i][*]Saisine déposée par Ginger de Lubersac, Vicomte de Gimel les cascades, Baron de Saint Martial du Mont, Seigneur de Lubersac, pour destitution.
[/i][/list]

[color=darkblue][i]Dossiers transmis par la Grande Prévôté[/i][/color]
-

[color=darkblue][i]Candidatures à la Pairie[/i][/color]
-

[i]Au nom de la Chambre des Pairs,
Faict à Paris le vingt-troisième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.[/i]

[img]http://img821.imageshack.us/img821/2679/maini.png[/img]


[URL=http://img641.imageshack.us/i/sceaumeliorfeejaune.png/][img]http://img641.imageshack.us/img641/8965/sceaumeliorfeejaune.png[/img][/URL]

[/quote][/rp]

_________________
melior


Citation:

A Althiof de Marigny, Grand Prévôt de France,
Au futur Grand Chancelier de France,

Nous, Melior de Lioure, Primus Inter Pares, au nom de la Chambre des Pairs,

Après étude du dossier par vous présenté, concernant la chute de Rodez le le vingt-troisième octobre de l'an de Grâce 1458 et à sa mise à sac par des Italiens, et la possible implication de Natale Adriano di Foscari Widmann d'Ibelin, alors Comte de Toulouse,

Signifions que Natale Adriano di Foscari Widmann d'Ibelin n'a violé aucune loi royale, ni aucune loi toulousaine, que les preuves concernant une possible Trahison vis à vis du Comté de Rouergue sont insuffisantes, ne constituant que des présomptions,

Estimons qu'il n'y a pas là motif pour un procès en Haute Cour de Justice et déclarons l'affaire close.

Faict à Paris le vingt-quatrième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.






Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Valnor de Landemorte, Oksana de Floret, Ztneik du Ried.


Code:
[rp][quote]
[i][b][size=18]A[/size][/b] Althiof de Marigny, Grand Prévôt de France,
Au futur Grand Chancelier de France,

Nous, Melior de Lioure, Primus Inter Pares, au nom de la Chambre des Pairs,

Après étude du dossier par vous présenté, concernant  la chute de Rodez le le vingt-troisième octobre de l'an de Grâce 1458 et à sa mise à sac par des Italiens, et la possible implication de Natale Adriano di Foscari Widmann d'Ibelin, alors Comte de Toulouse,

Signifions que Natale Adriano di Foscari Widmann d'Ibelin n'a violé aucune loi royale, ni aucune loi toulousaine, que les preuves concernant une possible Trahison vis à vis du Comté de Rouergue sont insuffisantes, ne constituant que des présomptions,

Estimons qu'il n'y a pas là motif pour un procès en Haute Cour de Justice et déclarons l'affaire close.

Faict à Paris le vingt-quatrième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.[/i]

[img]http://img821.imageshack.us/img821/2679/maini.png[/img]


[URL=http://img641.imageshack.us/i/sceaumeliorfeejaune.png/][img]http://img641.imageshack.us/img641/8965/sceaumeliorfeejaune.png[/img][/URL]
[size=12][i]Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Valnor de  Landemorte, Oksana de Floret, Ztneik du Ried. [/i][/size]
[/quote][/rp]

_________________
melior


Citation:

A Dragonet de Castelcerf,

Nous, Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France a étudié sa saisine portant sur la procédure de votes en son sein, et a pris en compte ses arguments.
S'il est regrettable que le nombre de participants soit faible lors des prises de décision, il demeure néanmoins que cela ne remet pas en cause leur validité.
Etablir en l'état une clause établissant une représentativité viendrait à allonger le délai de réponse.
Recours auprès de Sa Majesté demeure, en cas de litige avec ladite Assemblée.


Faict à Paris le vingt-huitième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.







Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Argael Devirieux, Llyr di Maggio d'Astralgan, Koyote de Cieux, Oksana de Floret, Ztneik du Ried, Dotch de Cassel.




Citation:
Requérant : Dragonet de Castelcerf

Saisine concernant le Paris

Pièces du dossier : lettre

Motif de la saisine : irrégularité et invalidité de décision de la pairie

Arguments liés à la saisine : représentativité non respecté


D
Citation:
e nous, Dragonet de Castelcerf,

A sa Majesté la Reyne de France,
A la noble assemblée des Pairs de France,

rappelons à votre noble assemblé que 4 décisions me concernant ont été prise dernièrement.

je met de coté celles concernant ma grâce qui relevait de sa majesté, ou celle de la demande d'enquête sur félonie d'Arnault de malemort puisqu'il s'agir de soucis de juridiction.

reste celles concernant la décision de justice Héraldique et celle contestant la validité de mon procès en Haute cour.

Il s’avère que au pro rata de la population de chaque province, il devrait y avoir 32 pairs de France.

Il y en a actuellement 14 après revérification et suppression des pairs émérites (à ce passage, aucun texte officiel n'est a jour puisque par exemple, Nebisa de Malemort est encore considéré comme pair dans les annonces, avouons le ça fait brouillon)


Sur ces 14, aucune décision n'a impliqué plus de 8 pairs de France, que cela soit dans mes saisines ou dans celle que j'ai pu étudier.

Sur ses 8 membres maximum, la majorité des votants domine.

Ce qui veut dire qu'une décision de la pairie peut être prise selon les cas par 3 à 5 pairs de France alors que la représentativité en exigerait 17.

Même en admettant que le royaume de France soit si dépourvus de talent qu'il n'y ai dans ce royaumes que 14 personnes aptes à rejoindre vos seigneuries, mais en considérant que tout les pairs présent sont actifs (puisque ceux qui ne le sont pas sont émérite), chaque décision pour être validé devrait recevoir 8 voix dans un sens ou un autre.

Or, pour ne parler que de mon cas, nous savons tous très bien qu'au sujet de ma saisine sur la décision héraldique, nous étions très loin des 8 dans le sens de la décision finale.

Il va de soi que savoir qu'une décision en final ne dépend que de 3 à 5 personnes ne peut que discréditer les respects et la crédibilité de la pairie, ce qui fut il faut l'admettre un soucis récurant depuis sa création, mais que la création des pairs émérites étaient sensés régler.

je demande donc à vos seigneuries la rédaction d'une close stipulant une représentativité et un quota de votes dans un sens ou dans l’autre minimum et représentatifs, et qu'ils soient rendu possible pour ceux qui ont été victimes de décision non représentatives de faire appel pour revoir les dossiers auprès de la pairie et refaire l'objet d'un vote.

En vous remerciant d'avance de votre écoute, et j'informe au passage vos seigneuries que j'ai déjà pris contact avec le prévôt de France pour mes excuses publiques à Notre Dame et la séance de pilori. La crise de la chancellerie actuelle ayant repoussé la procédure, mais nous travaillons sur les détails.

je ne peux en effet vous demander de faire preuve d'un minimum de moralité et d’éthique, si je ne fais pas de même pour ma part, et cela même si je contexte la décision de justice et la régularité du procès, j'en accepte le verdict, puisqu'il s'agit d'une volontés appuyés par sa majesté, légalement désigné.

J'ose espérer que cette exemple de probité et d'honneur puisse en inspirer certains et que ma saisine saura être entendu.

respectueusement,

Faict à Paris le dix-septième jour du mois de mars de l'an de Grâce 1459.

Dragonet de Castelcerf.





Code:
[rp][quote]
[i][b][size=18]A[/size][/b] [size=12]Dragonet de Castelcerf,

Nous,  Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France a étudié sa saisine portant sur la procédure de votes en son sein, et a pris en compte ses arguments.
S'il est regrettable que le nombre de participants soit faible lors des prises de décision, il demeure néanmoins que cela ne remet pas en cause leur validité.
Etablir en l'état une clause établissant une représentativité viendrait à allonger le délai de réponse.
Recours auprès de Sa Majesté demeure, en cas de litige avec ladite Assemblée.


Faict à Paris le vingt-huitième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.[/i][/size]

[img]http://img821.imageshack.us/img821/2679/maini.png[/img]


[URL=http://img641.imageshack.us/i/sceaumeliorfeejaune.png/][img]http://img641.imageshack.us/img641/8965/sceaumeliorfeejaune.png[/img][/URL]

[size=12][i]Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Argael Devirieux, Llyr di Maggio d'Astralgan,  Koyote de Cieux, Oksana de Floret,  Ztneik du Ried, Dotch de Cassel. [/i][/size]
[/quote][/rp]

[rp][quote][b]Requérant : [/b] Dragonet de Castelcerf

[b]Saisine concernant le[/b] Paris

[b]Pièces du dossier :[/b] lettre

[b]Motif de la saisine : [/b]irrégularité et invalidité de décision de la pairie

[b]Arguments liés à la saisine :[/b] représentativité non respecté[/quote]

D[quote]e nous, Dragonet de Castelcerf,

A sa Majesté la Reyne de France,
A la noble assemblée des Pairs de France,

rappelons à votre noble assemblé que 4 décisions me concernant ont été prise dernièrement.

je met de coté celles concernant ma grâce qui relevait de sa majesté, ou celle de la demande d'enquête sur félonie d'Arnault de malemort puisqu'il s'agir de soucis de juridiction.

reste celles concernant la décision de justice Héraldique et celle contestant la validité de mon procès en Haute cour.

Il s’avère que au pro rata de la population de chaque province, il devrait y avoir 32 pairs de France.

Il y en a actuellement 14 après revérification et suppression des pairs émérites  (à ce passage, aucun texte officiel n'est a jour puisque par exemple, Nebisa de Malemort est encore considéré comme pair dans les annonces, avouons le ça fait brouillon)


Sur ces 14, aucune décision n'a impliqué plus de 8 pairs de France, que cela soit dans mes saisines ou dans celle que j'ai pu étudier.

Sur ses 8 membres maximum, la majorité des votants domine.

Ce qui veut dire qu'une décision de la pairie peut être prise selon les cas par 3 à 5 pairs de France alors que la représentativité en exigerait 17.

Même en admettant que le royaume de France soit si dépourvus de talent qu'il n'y ai dans ce royaumes que 14 personnes aptes à rejoindre vos seigneuries, mais en considérant que tout les pairs présent sont actifs (puisque ceux qui ne le sont pas sont émérite), chaque décision pour être validé devrait  recevoir 8 voix dans un sens ou un autre.

Or, pour ne parler que de mon cas, nous savons tous très bien qu'au sujet de ma saisine sur la décision héraldique, nous étions très loin des 8 dans le sens de la décision finale.

Il va de soi que savoir qu'une décision en final ne dépend que de 3 à 5 personnes ne peut que discréditer  les respects et la crédibilité de la pairie, ce qui fut il faut l'admettre un soucis récurant depuis sa création, mais que la création des  pairs émérites étaient sensés régler.

je demande donc à vos seigneuries la rédaction d'une close stipulant une représentativité et un quota de votes dans un sens ou dans l’autre minimum et représentatifs, et qu'ils soient rendu possible pour ceux qui ont été victimes de décision non représentatives de faire appel pour revoir les dossiers auprès de la pairie et refaire l'objet d'un vote.

En vous remerciant d'avance de votre écoute, et j'informe au passage vos seigneuries que j'ai déjà pris contact avec le prévôt de France pour mes excuses publiques  à Notre Dame et la séance de pilori. La crise de la chancellerie actuelle ayant repoussé la procédure, mais nous travaillons sur les détails.

je ne peux en effet vous demander de faire preuve d'un minimum de moralité et d’éthique, si je ne fais pas de même pour ma part, et cela même si je contexte la décision de justice et la régularité du procès, j'en accepte le verdict, puisqu'il s'agit d'une volontés appuyés par sa majesté, légalement désigné.

J'ose espérer que cette exemple de probité et d'honneur puisse en inspirer certains  et que ma saisine saura être entendu.

respectueusement,

Faict à Paris le dix-septième  jour du mois de mars de l'an de Grâce 1459.

Dragonet de Castelcerf.

[/quote][/rp]

_________________
melior


Citation:

A Vroqu, Vicomtesse de Cornedrue-Angillon, Baronne d'Anay-le-vieil,


Nous, Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France ne peut donner suite à sa saisine accusant George, duc d’Aigurande, dict Georgepoilu d'usurpation de titre.
Il n'est pas du ressort de cette Assemblée que de porter plainte auprès de la Grande Prévôté de France contre un Régnant, la plainte doit être adressée directement par le plaignant au Grand Prévôt, Althiof de Marigny.
La Noble Assemblée des Pairs de France étudiera le rapport de la Grande Prévôté lorsque celui-ci lui sera transmis et déterminera s'il y a motif ou non pour un procès en Haute Cour de Justice.

Faict à Paris le vingt-neuvième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.






Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Llyr di Maggio d'Astralgan, Koyote de Cieux, Armoria de Mortain, Oksana de Floret, Ztneik du Ried, Dotch de Cassel.


Citation:
A sa Majesté Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reyne de France.
A la très noble Assemblée des Pairs de France
A Sa Seigneurie Melior de Lioure, Duchesse de Castelmoron d'Albret, Vicomtesse de Beaumont en Périgord, Primus Inter Pares.

Vos Seigneuries auront à cœur de se pencher sur la saisine à Elles présentée par nous, Vroqu, Vicomtesse de Cornedrue-Angillon, Baronne d'Anay-le-vieil

Daigne la très noble Assemblée des Pairs de France, Vos Seigneuries, recevoir l’hommage du profond respect de

Vroqu, Vicomtesse de Cornedrue-Angillon, Baronne d'Anay-le-vieil



Citation:
Requérant : Vroqu, Vicomtesse de Cornedrue-Angillon, Baronne d'Anay-le-vieil

Saisine concernant le Berry

Pièces du dossier :
  • Procès opposant le Duché du Berry à Jazzie, le 1 Avril de l'an de Pâques 1458 (soit le 1er avril de l’an d’Horace 1459) pour non paiement d'impôts
  • Procès opposant le Duché du Berry à Banane, le 17 Avril de l'an de Pâques 1458 (soit le 17 avril de l’an d’Horace 1459) pour non paiement d'impôts
  • Traité d’amitié/alliance passé le 25 avril de l’an de Pâques 1458 (soit le 25 avril de l’an d’Horace 1459) avec le Limousin



Motif de la saisine : utilisation par le régent du titre de Duc de Berry et du scel ducal.

Arguments liés à la saisine :
Le 20 mars de l'an de pâques 1458 (soit le 20 mars de l'an d'Horace 1459) George, duc d’Aigurande, dict Georgepoilu, était reconnu Duc de Berry par les conseillers légitimement issus des urnes.
Sa Majesté n’a pas accepté l’allégeance de Messire d’Aigurande, comme il appert dans les minutes du Louvre. Messire d’Aigurande est donc devenu Régent du Berry.

Or Sa Grasce George se proclame « Duc de Berry », et non « Régent de Berry », comme Vos Seigneuries pourront le constater sur les documents joints au dossier. Vos Seigneuries constateront également l’utilisation du sceau ducal.






Citation:
Procès ayant opposé Jazzie au Duché du Berry

Jazzie était accusé de trouble à l'ordre public.

Le jugement a été rendu
Enoncé du verdict
Le prévenu a été relaxé.
J'ai beaucoup étudié ce dossier. Il m'a été difficile de trouver une solution.

L'accusée Jazzie est relaxée.
Son dossier sera suivi par la prévoté et réexaminé dans 90 jours par la procure.

Madame, je vous enjoints de payer vos impots et de mettre vos champs en jachère, si vous repartez en retraite (reinitialisation).

Acte d'accusation
Acte d'accusation

*****Procès opposant le Duché du Berry à Jazzie, le 1 Avril de l'an de Pâques 1458 pour non paiement d'impôts****

Le procureur enchainait les passages au tribunal, les affaires se suivant mais ne se ressemblant pas, c'est pour un non paiement d'impots qu'il arriva ce jour.

La cour entre et s'installe et un greffier élève la voix
« La parole est à la procure ! »

Le procureur se leva et commença sa plaidoirie

***


-Monsieur le Juge,

En ce jour du 1 Avril de l'an de pâques mil quatre cinquante-huit, comparait devant vous la personne suivante :

Jazzie pour trouble à l'ordre publique et plus précisément, non paiement d'impôts, soit:

Jazzie : 15,00 écus (+20,85 écus de pénalité) avant le 2010-11-06
Jazzie : 15,00 écus (+14,55 écus de pénalité) avant le 2010-12-18
Jazzie : 15,00 écus (+18,75 écus de pénalité) avant le 2010-11-20
Jazzie : 15,00 écus (+3,90 écus de pénalité) avant le 2011-02-27
Jazzie : 15,00 écus (+16,65 écus de pénalité) avant le 2010-12-04
Jazzie : 15,00 écus (+12,30 écus de pénalité) avant le 2011-01-02
Jazzie : 15,00 écus (+10,35 écus de pénalité) avant le 2011-01-15
Jazzie : 15,00 écus (+1,95 écus de pénalité) avant le 2011-03-12
Jazzie : 15,00 écus (+25,05 écus de pénalité) avant le 2010-10-09
Jazzie : 15,00 écus (+22,95 écus de pénalité) avant le 2010-10-23
Jazzie : 15,00 écus (+8,25 écus de pénalité) avant le 2011-01-29
Jazzie : 15,00 écus (+6,15 écus de pénalité) avant le 2011-02-12

A ce jour, l'accusée doit 314,70 écus à la mairie de Saint-Aignan, inclu les intérêts.
Cette dernier a été contacté le 29 mars 1458 par le lieutenant Hereonus, lui demandant de s'acquitter de ses impôts et à répondu à l'injonction par missive. Les pièces à charge sont jointes au présent dossier.

Ces faits sont réprimés par la coutume berrichonne, notamment par l'un de ses trois grands principes :

- Livre III : De l'universalité d'action : « Est punissable l'acte qui mettrait gravement en péril la vie en société si tout citoyen se l'autorisait. »


La référence du corpus berrichon est jointe au dossier.

Conformément à la coutume berrichonne, le prévenu a le droit de se faire représenter par l'avocat de son choix. L'ordre des avocats du dragon propose de représenter à titre gracieux toute personne qui en fera la demande.

http://admin-berry.forumactif.com/t6462-liste-des-avocats-pouvant-plaider-en-berry


Faict à Bourges, le 1 Avril 1458
Par Calixte de Castelléo, procureur du Berry,
Au nom de Sa Grasce Georgepoilu, Duc de Berry

****

La parole est à l'accusé

=========================
Pièces jointes au dossier
=========================
Description de l'accusé :

http://img10.hostingpics.net/pics/809965Jazzie.png

lettre de relance:

Saint-Aignan, le 29 mars 1458 de l'an de pâque

Dame Jazzie

Salutations .

Je viens par la présente vous prier de bien vouloir solder le montant de vos impôts impayés
Peut être ignorez vous que le non paiement dudict montant peut entraîner des poursuites judiciaires ?
Aussi et afin de vous éviter les désagréments d'un procès, je vous invite à régulariser la situation dans les plus brefs délais .
( Pour ce faire : moi , mon personnage vous avez des impôts à payer inscrit en rouge )

Bien à vous

Hereonus, lieutenant de police de Saint-Aignan.

lettre de l'accusé:

Expéditeur : Jazzie
Date d'envoi : 31/03/2011 - 09:25:20
Titre : Re: Courier
Cher ... très CHER percepteur,

Je me réveille pour voir que je suis percluse de dettes.

C'est pas ma chemise , pas ma culotte que vous me prenez mais carrément le fond de mon string. Alors revoyez votre copie parce qu'il n'est pas question que je paie des impôts sur des revenus que je n'ai pas perçus puisque j'étais dans une profonde méditation.

Alors s'il vous plait de me mettre dans le "trou" après avoir pris le fond de ce que vous savez.... Ne vous gênez pas, le trou d'un cachot vaut bien celui d'une abbaye pour méditer

Bien à vous très CHER,

Jazz cul nu


Référence du corpus berrichon :

http://admin-berry.forumactif.com/le-rez-de-chaussee-f30/lois-en-vigueur-dans-notre-pays-t5823.htm


Première plaidoirie de la défense
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.

Réquisitoire de l'accusation
Le procureur s'avança de nouveau ayant laissé l'accuser prendre la parole, ce qu'elle n'avait point fait.
Il commença donc son réquisitoire:

-Votre Honneur,
Dame Jazzie par son silence nous montre sa culpabilité, ainsi je ne ferai point ici de longs discours et demande donc à l'encontre de cette dame 400 écus d'amende et 1 jour de prison.

Dernière plaidoirie de la défense
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.

La défense a appelé Georgepoilu à la barre
Voici son témoignage :

Dame Jazzie est ma belle soeur mais au dela de ce fait personnel qui ne devrait pas influencer notre justice, je tiens à rappeler qu'ellet a servi le Berry avec dévouement pendant la derniere guerre, puisqu'elle 'navait pas hésité à partir à l'étranger pour dissimuler une partie de nos biens à la voracité de l'envahisseur auvergnat.

elle a quitté champs, famille et amis pend ant pres de 6 semaines sans aucune contrepartie pour elle, ni récompense autre que notre silencieuse reconnaissance

pour cette raison, moi George le poilu, Duc de Berry accorde un délai complémentaire de 3 mois à Dame Jazzie pour régler ses dettes d'impots.

Comme vous rendez la justice en mon nom, je vousz invite à acter cette décision et à soumettre à la prévoté une demande de surveillance.

Sur ce, je vous souhaite une bonne journée




Citation:
Procès ayant opposé Banane au Duché du Berry

Banane était accusé de trouble à l'ordre public.

Le jugement a été rendu

Enoncé du verdict
Le prévenu a été relaxé.

*** BAM BAM BAM ***

Moi, Ouf !!, Juge de Berry, rend jugement dans l affaire opposant le Duché du Berry à Banane.

Vu l extrait du droit coutumier :
« De l universalité d action:
Est punissable l acte qui mettrait gravement en péril la vie en société si tout citoyen se l autorisait.»

Considérant que le dénommé Banane, habitant de Châteauroux, refuse de s acquitter de ses impôts ducaux, et que cet acte pourrait effectivement nuire au bon fonctionnement du duché du Berry si chacun en faisait de même.
Considérant que l accusation de la Procure n a été nullement contestée.
Considérant que l accusé ne pouvait payer ses impôts puisqu il se trouvait à prier à Noirlac.
Considérant que le Duc du Berry George Le Poilu, lui-même, témoignage d une grâce en la faveur de l accusé.

Pour ces motifs, la Cour reconnaît le dénommé Banane non coupable de Trouble à l Ordre Public.

Attendu que le coupable n a à ce jour, jamais été condamné en Berry.

La Cour condamne le dénommé Banane à la relaxe.
La Cour demande à l accusé de prendre contact avec le maire de Châteauroux afin de trouver une solution dans un délai de 3mois. Cette période passée, le dénommé Banane pourra de nouveau être jugé si sa situation n est pas rentrée dans l'ordre.

Les parties peuvent, si elles le souhaitent, faire appel de ce jugement devant la Cour d Appel.

Acte d'accusation
*****Procès opposant le Duché du Berry à Banane, le 17 Avril de l'an de Pâques 1458 pour non paiement d'impôts****

Le procureur suivait de près le cas du sieur Banane qui semble t'il avait décidé de ne point payer ses impots.
Contrainte lui fut donc fait de se présenter de force au tribunal afin que l'affaire soit mise à jour.

La cour entre et s'installe et un greffier élève la voix
« La parole est à la procure ! »

Le procureur se leva et commença sa plaidoirie

***


-Votre Honneur,

En ce jour du 17 Avril de l'an de pâques mil quatre cinquante-huit, comparait devant vous la personne suivante :

Banane pour trouble à l'ordre publique et plus précisément, non paiement d'impôts, soit:

Banane : 24,00 écus (+80,64 écus de pénalité) avant le 2010-04-26
Banane : 15,00 écus (+42,30 écus de pénalité) avant le 2010-06-19
Banane : 15,00 écus (+34,05 écus de pénalité) avant le 2010-08-13
Banane : 15,00 écus (+48,45 écus de pénalité) avant le 2010-05-09
Banane : 15,00 écus (+40,20 écus de pénalité) avant le 2010-07-03
Banane : 15,00 écus (+29,70 écus de pénalité) avant le 2010-09-11
Banane : 22,50 écus (+39,82 écus de pénalité) avant le 2010-10-02
Banane : 22,50 écus (+35,10 écus de pénalité) avant le 2010-10-23
Banane : 15,00 écus (+21,30 écus de pénalité) avant le 2010-11-06
Banane : 15,00 écus (+19,20 écus de pénalité) avant le 2010-11-20
Banane : 15,00 écus (+17,10 écus de pénalité) avant le 2010-12-04
Banane : 15,00 écus (+15,00 écus de pénalité) avant le 2010-12-18
Banane : 15,00 écus (+10,80 écus de pénalité) avant le 2011-01-15
Banane : 15,00 écus (+46,50 écus de pénalité) avant le 2010-05-22
Banane : 15,00 écus (+38,10 écus de pénalité) avant le 2010-07-17
Banane : 15,00 écus (+31,65 écus de pénalité) avant le 2010-08-29
Banane : 15,00 écus (+12,90 écus de pénalité) avant le 2011-01-01
Banane : 15,00 écus (+8,85 écus de pénalité) avant le 2011-01-28
Banane : 15,00 écus (+6,60 écus de pénalité) avant le 2011-02-12
Banane : 15,00 écus (+2,10 écus de pénalité) avant le 2011-03-14
Banane : 24,00 écus (+84,48 écus de pénalité) avant le 2010-04-10
Banane : 15,00 écus (+44,25 écus de pénalité) avant le 2010-06-06
Banane : 15,00 écus (+36,00 écus de pénalité) avant le 2010-07-31
Banane : 15,00 écus (+4,35 écus de pénalité) avant le 2011-02-27

A ce jour, l'accusée doit 1127,44 écus à la mairie de Chateauroux, inclu les intérêts.

Ce dernier ne semble visiblement pas vouloir s'acquiter de ses impots, d'ou sa présence en ce lieu.

Je rappellerai donc à l'accusé que ces faits sont réprimés par la coutume berrichonne, notamment par l'un de ses trois grands principes :

- Livre III : De l'universalité d'action : « Est punissable l'acte qui mettrait gravement en péril la vie en société si tout citoyen se l'autorisait. »


La référence du corpus berrichon est jointe au dossier.

Conformément à la coutume berrichonne, le prévenu a le droit de se faire représenter par l'avocat de son choix. L'ordre des avocats du dragon propose de représenter à titre gracieux toute personne qui en fera la demande.

http://admin-berry.forumactif.com/t6462-liste-des-avocats-pouvant-plaider-en-berry


Faict à Bourges, le 17 Avril 1458
Par Calixte de Castelléo, procureur du Berry,
Au nom de Sa Grasce Georgepoilu, Duc de Berry

****

La parole est à l'accusé

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Pièces jointes au dossier
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Description de l'accusé :
http://i25.servimg.com/u/f25/15/55/81/41/affair10.jpg

Référence du corpus berrichon :

http://admin-berry.forumactif.com/le-rez-de-chaussee-f30/lois-en-vigueur-dans-notre-pays-t5823.htm

Première plaidoirie de la défense
Puisqu on lui laissait enfin la parole, Banane s avança à la barre et énonça sa défense :

Tout d abord, bonjour messire procureur, et merci de vous intéresser de ma santé, je vais bien. C est incroyable la rapidité avec laquelle vous m avez jeté comme un malpropre devant ce tribunal, après un an de réclusion et de dévotion chez nos bons moines de Noirlac. A croire que vous deviez rêver de moi la nuit pendant des mois, espérant, telle une donzelle amourachée, me retrouver un jour. Je dois vous avouer que j en suis très flatté ! Il est vrai que je suis fort beau !

Banane sourit et marqua une courte pause, laissant l assemblée ricaner.

Pour ce qui est de mes impôts, je suis tout aussi étonné que vous d en avoir autant à payer. Je suis désolé, mais les pigeons sont interdits à Noirlac lorsque l on fait acte de pénitence, et mon courrier n a pas été acheminé jusqu à moi, je n avais donc aucune idée de la hauteur de ma dette. Je suis d ailleurs fort surpris que tout un chacun soit imposable durant une période de retraite. En effet, si l on ne travaille pas, comment peut-on payer ses impôts ? Et si l on ne reçoit pas de pigeons, comment peut-on avoir connaissance de la dette innommable qui nous attend à notre retour ? A croire que pour être un homme en règle avec les lois, il ne faut jamais aller montrer sa dévotion pour Aristote. Serait-il incompatible d être à la fois un homme pieux et un homme en règle avec les lois du Berry ?

Après cette première démonstration, Banane s adressa directement au juge.

Monsieur le Juge, pour être honnête avec vous, je ne vais pas pouvoir vous payer cette somme, pour la simple et bonne raison que je n en dispose pas. Cela se saurait si l on pouvait avoir 1127,44 écus sur soi sans avoir travaillé !! Et contrairement à ce que monsieur le procureur pense, je suis un honnête homme, et j étais justement en pourparler avec le maire de Châteauroux, le sieur Ydello, afin de régler ce problème entre nous. Evidemment, si on me jette devant un tribunal avant même que je puisse trouver le temps de résoudre mon problème, cela n arrange guère les choses.
Pour un homme qui travaille, payer ses impôts ne perturbe en rien son besoin de se nourrir, de se vêtir et de se loger, mais pour un homme qui n a pas travaillé depuis un an, et qui doit payer la somme de 1127,44 écus , c est tout autre chose !!

Puis, se tournant vers le procureur :

Je sais ce que vous allez me rétorquer. « Vous auriez dû vendre vos champs et casser votre échoppe, sire Banane ! ». C est bien facile. Devais-je, pour rendre honneur à Aristote, non seulement lui dévouer une année entière de mon humble vie, mais aussi détruire les biens de mes ancêtres ? Mes terres m appartiennent depuis des générations, monsieur, et je ne pouvais me résoudre à m en séparer.

Afin de finir sa plaidoirie, Banane se retourna vers le Juge.

Monsieur le juge, je suis un honnête homme. J ai toujours uvré pour le bien du Berry. Je lui ai même dévoué quelques mois de mon existence, à exercer le métier de Marchand Ambulant, métier comme vous le savez non rémunéré à sa juste valeur, mais que j ai volontiers assuré pour le bien du Berry. Je sais que ma dette est énorme, mais je ne pourrai la rembourser.
Je propose, afin de régler tout cela, de donner au Berry mes futures récoltes de maïs et ma production de viande, pour une valeur de 393 écus, somme totale de mes impôts retranchée de celle des intérêts.

Banane laissa la parole au procureur, lequel, à force de payer ses impôts le pauvre, n avait même pas de quoi s acheter une chemise ! Il sourit en coin.

Réquisitoire de l'accusation
Le procureur vit venir à la barre le Duc du Berry plaidant pour la défense.
Une fois que celui-ci eu fini, le proc se leva donc afin de faire son réquisitoire.

-Votre Honneur,
Conformément à la demande de sa Grasce, je demande donc un délai au Sieur Banane, afin que celui-ci puisse s'acquitter de sa dette.
Qu'il sache ce pendant, que la peine demandé sera plus conséquente, si celui-ci ne venait pas honorer le règlement de ses impôts

Dernière plaidoirie de la défense
Qu'il en soit ainsi !

La défense a appelé Georgepoilu à la barre
Voici son témoignage :
votre honneur

le béda banane est un berrichon de bonne renommée. il a voulu prier pour le salut de nos défunts, grace lui soit rendue

comme duc de Berry, je lui accorde un délai de grâce de 3 mois pour se mettre en ordre et l'invite à contacter son maire pour les intérêts

Qu'il en soit ainsi que j'ia dit.


Citation:
Le Berry ratifie un traité d'amitié et d'alliance avec le Limousin (voté à l'unanimité du conseil ducal: 11 votants)

[center]Traité d'amitié/alliance Berry-Limousin[/center]

    « Un vrai ami est un égal car l'amitié doit être parfaitement réciproque et équitable. Si elle ne l'est pas, ce n'est plus de l'amitié mais de l'intéressement. L'amitié est le plus grand bien de l'homme. Elle noue les liens des communautés. Et les communautés forment à leur tour la Cité. L'amitié permet les relations sociales et l'Humain peut alors prendre part dans les affaires de la Cité. Et comme la vertu cardinale de l'homme est la participation à la cité, l'amitié est une chose essentielle. »
    [right]Le Duo Prophétique - La Vita d'Aristote - Chap. XIII - La réception chez Polyphilos – Extraits[/right]


    L’amitié sincère relie les hommes, comme elle relie nos provinces – liées autant par l’amour réciproque de nos peuples que par la reconnaissance de nos valeurs justes et morales.

    C'est ainsi que ce jour, nos régnants respectifs ont décidé d'officialiser ce lien indéfectible qui fait de nos contrées des amis. Notre histoire commune, la géographie qui nous place au centre du Royaume du France sont autant d'arguments qui s'ajoutent pour rendre cet événement inoubliable. Celui là même qui conclu à la signature d'une Alliance entre deux régions qui aspirent à ne faire qu'une.

    En les articles suivants, nous échafaudons les bases de nos relations. De ces articles nous faisons notre pacte devant les hommes et devant le Dieu Créateur.


        Premier chapitre - De l'aspect militaire et de défense


      Article un - De l'alliance militaire
        Les provinces signataires jurent de se défendre mutuellement contre toute menace, que ce soit l’attaque d’une province tierce ou l’arrivée de brigands ou de mercenaires mettant en péril la sécurité du Limousin & de la Marche et du Berry.

        Pour cela, les provinces signataires s’engagent à mettre en commun tous les moyens à leur disposition : diplomatiques, financiers, commerciaux, militaires, etc. Et à organiser la collaboration commune de leurs états-majors, amirautés, services de sécurité, etc.


      Article deux - De la non agression
        Les provinces signataires s'engagent réciproquement à ne mener aucune action militaire, ou agression l'une envers l'autre. Elles garantissent mutuellement l'inviolabilité de leurs frontières existantes. Les provinces signataires s'engagent à considérer leurs armées comme amies et à ne pas pénétrer sur leur territoire réciproque sans accord préalable.


      Article trois - Du partage des informations
        Parce qu'il est plus simple et moins couteux, en écus sonnants et en sang humain, de prévenir que de guérir, les provinces signataires s'engagent à faire de toutes les données qui sont leurs, celles de son allié. A cet effet, les services de protection respectifs se devront de communiquer entre eux afin d'éviter les nuisibles : Arrivée de brigands, rumeurs d'assauts sous les remparts ou d'attaque en rase campagne, etc.


      Article quatre - De la libre circulation
        Les provinces signataires accordent un droit de libre circulation à leurs ressortissants sous réserve que la libre circulation soit pacifique et respectueuse des lois.
        Les lances et groupes armés sont libres de circuler sur les territoires des deux duchés.
        Le port d'armes est libre pour tous les ressortissants des territoires des duchés alliés.
        La loi martiale n'est pas applicable aux ressortissants des provinces signataires sauf décision dûment motivée.



        Second chapitre - De la bonne justice

        Le Comte du Limousin & de la Marche et le Duc du Berry, sous serment pris en toute bonne foi, se prêteront l'un à l'autre appui et assistance contre celui et contre tous ceux qui, par n'importe quel acte hostile, contraire aux coutumes ou aux lois, attenteraient à leurs sujets ou à leurs biens, ou à un seul d'entre eux, les attaqueraient ou leur causeraient quelque dommage.
        Chacun promet à l'autre d'imposer réparation du tort commis. Tout garnement pris les doigts dans le miel chez l'un, et qui tenterait d'échapper à la fessée en se réfugiant dans les jupes de l'autre se verra sommé par l'un de se présenter immédiatement devant le juge de l'autre, pour y être jugé selon les bonnes lois de là-bas. Si le vilain n'obtempère point, il sera mis aux fers séance tenante, puis renvoyé par la force devant celui qui l'a fait rechercher. Si besoin est, il sera infligé au garnement sourd aux bonnes et sages paroles si lourde peine qu'il ne sera pas prêt à renouveler sa sotte insolence.


        Tierce chapitre - Du sain et prospère commerce


      Article un - De la route commerciale Limougeo-Berruyère
        Depuis mille ans, une route existe entre nos deux Capitales. Initialement destinée à un usage militaire, cette route est devenue au fil des ans et des besoins un axe commercial. Regulièrement, une caravane prendra le départ, sur ce tracé millénaire afin que le commerce entre les provinces signataires soit fructueux. Le contenu de cette caravane sera établi par les deux commissaires au commerce selon leurs intérêts respectifs.


      Article deux - De la légitime préférence
        Dans le cadre des échanges commerciaux à venir, les provinces signataires s'engagent à à s’offrir mutuellement une préférence commerciale sur tous les produits, qu'ils soient issus directement du sol ou déjà transformés.
        Si l'une des province recevait un contrat qu'elle n'était pas en mesure de satisfaire pleinement, un partenariat serait créé afin que les deux profitent de cet échange.


        Quatrième chapitre - De la forte et respectée diplomatie

      Article un - Du partage des informations
        Comme pour la défense, les provinces signataires s'engagent à se tenir informées de leur politique diplomatique respective, à faire en sorte que celle-ci ne porte pas atteinte aux intérêts de son ami et allié. Les chancelleries s’efforceront d’aider les deux provinces à aller vers une vision géopolitique et des intérêts communs profitables au deux provinces.

        De même, les nouvelles provenant des quatre coins du Royaume seront échangées, anotées, pour que celles-ci soient bénéfiques et compréhensibles pour chacun.


        Cinquième chapitre - Des dispositions annexes

      Article un - De l'exercice et du partage de la culture
        Il n'est meilleur liant entre deux hommes que l'histoire qui les lie. Savoir qui libéra avec témérité les Comtés du Limousin et de la Marché de l'envahisseur, qui réunifia avec sagesse quelques terres prospères pour former le Duché de Berry ; Connaitre la langue usitée par les troubadours pour vanter les mérites de nos soldats ; etc, voilà tout autant de chose qui constitue le ferment à déposer sur la terre pour espérer que la récolte sera meilleure.
        Pour partager culture et histoire, pour vivre des moments de joie et d'amitié entre les peuples, sont jumelées nos villes afin que des événements de caractère divertissant soient organisés.


      Article deux - De l'entrée en vigueur du dit traité
        Dès l'aube suivant la signature du traité, ce dernier est déclaré en vigueur, conforme et légitime.


      Article trois - De la dénonciation du dit traité
        La province signataire souhaitant mettre fin au présent traité devra faire parvenir une lettre officielle à son homologue signataire. Ce dernier dispose d'une semaine pour en prendre acte. Sans réponse officielle le mentionnant, le présent traité est réputé nul passé ce délai. Les provinces signataires s’engagent à publier de façon officielle une lettre spécifiant la rupture du contrat.


      Article quatre - Des fins et faims
        Puisque ce serait un cuisant échec que d'en arriver là, que l'amertume parviendrait aux lèvres de ceux qui ont dans le passé contribuaient à l'élaboration de cette amitié, seront offerts à chaque province signataire un vin issu du terroir étranger. Qu'ainsi, cette bouteille ne sera ouverte qu'au jour de la rupture de ce traité afin que l'impudent est tout le loisirs de gouter ce délicieux breuvage qui sans conteste aurait été bien meilleur dans les années à venir. Que le produit de la terre qui a vu tomber ses soldats, que ces vignes qui se sont abreuvées du sang coulés lors de folles campagnes ; Que cette histoire et ce qui fit jadis notre si beau et unique lien, reste à jamais en celui qui, par une folle entreprise décidera de rompre cette harmonie, afin de le ronger et que les remords ne le quittent plus.





Arnaut de Malemort
Comte du Limousin & de la Marche
Scellé à Limoges le 21ieme jour du mois d'avril pour faire valoir ce que de droit,




Pour le Berry,
Whoopie60 Chancelière de Berry
George le poilu, Duc-régent de Berry
Fait à Bourges le 25 avril de l'an de Pâques 1458


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