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[Pairie] Annonces de la noble assemblée des Pairs de France

melior
Code:
[rp][quote]
[i][b][size=18]A[/size][/b] [size=12]Vroqu, Vicomtesse de Cornedrue-Angillon, Baronne d'Anay-le-vieil,


Nous,  Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France ne peut donner suite à sa saisine accusant  George, duc d’Aigurande, dict Georgepoilu d'usurpation de titre.
Il n'est pas du ressort de cette Assemblée que de porter plainte auprès de la Grande Prévôté de France contre un Régnant, la plainte doit être adressée directement par le plaignant au Grand Prévôt, Althiof de Marigny.
La Noble Assemblée des Pairs de France étudiera le rapport de la Grande Prévôté lorsque celui-ci lui sera transmis et déterminera s'il y a motif ou non pour un procès en Haute Cour de Justice.

Faict à Paris le vingt-neuvième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.[/i][/size]

[img]http://img821.imageshack.us/img821/2679/maini.png[/img]

[URL=http://img641.imageshack.us/i/sceaumeliorfeejaune.png/][img]http://img641.imageshack.us/img641/8965/sceaumeliorfeejaune.png[/img][/URL]

[size=12][i]Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Llyr di Maggio d'Astralgan, Koyote de Cieux, Armoria de Mortain, Oksana de Floret, Ztneik du Ried, Dotch de Cassel. [/i][/size]
[/quote][/rp]

[quote]A sa Majesté Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reyne de France.
A la très noble Assemblée des Pairs de France
A Sa Seigneurie Melior de Lioure, Duchesse de Castelmoron d'Albret, Vicomtesse de Beaumont en Périgord, Primus Inter Pares.

Vos Seigneuries auront à cœur de se pencher sur la saisine à Elles présentée par nous, Vroqu, Vicomtesse de Cornedrue-Angillon, Baronne  d'Anay-le-vieil

Daigne la très noble Assemblée des Pairs de France, Vos Seigneuries, recevoir l’hommage du profond respect de

Vroqu, Vicomtesse de Cornedrue-Angillon, Baronne  d'Anay-le-vieil
[/quote]


[quote][b]Requérant[/b] : Vroqu, Vicomtesse de Cornedrue-Angillon, Baronne  d'Anay-le-vieil

[b]Saisine concernant le[/b] Berry

[b]Pièces du dossier :[/b]
[list] [*]Procès opposant le Duché du Berry à Jazzie, le 1 Avril de l'an de Pâques 1458 (soit le 1er avril de l’an d’Horace 1459) pour non paiement d'impôts
[*]Procès opposant le Duché du Berry à Banane, le 17 Avril de l'an de Pâques 1458 (soit le 17 avril de l’an d’Horace 1459) pour non paiement d'impôts
[*] Traité d’amitié/alliance passé le 25 avril de l’an de Pâques 1458 (soit le 25 avril de l’an d’Horace 1459) avec le Limousin[/list]


[b]Motif de la saisine [/b]: utilisation par le régent du titre de Duc de Berry et du scel ducal.

[b]Arguments liés à la saisine[/b] :
Le 20 mars de l'an de pâques 1458 (soit le 20 mars de l'an d'Horace 1459) George, duc d’Aigurande, dict Georgepoilu, était reconnu Duc de Berry par les conseillers légitimement issus des urnes.
Sa Majesté n’a pas accepté l’allégeance de Messire d’Aigurande, comme il appert dans les minutes du Louvre. Messire d’Aigurande est donc devenu Régent du Berry.

Or Sa Grasce George se proclame « Duc de Berry », et non « Régent de Berry », comme Vos Seigneuries pourront le constater sur les documents joints au dossier. Vos Seigneuries constateront également l’utilisation du sceau ducal.[/quote]





[quote]Procès ayant opposé Jazzie au Duché du Berry

Jazzie était accusé de trouble à l'ordre public.

Le jugement a été rendu
Enoncé du verdict
Le prévenu a été relaxé.
J'ai beaucoup étudié ce dossier. Il m'a été difficile de trouver une solution.

L'accusée Jazzie est relaxée.
Son dossier sera suivi par la prévoté et réexaminé dans 90 jours par la procure.

Madame, je vous enjoints de payer vos impots et de mettre vos champs en jachère, si vous repartez en retraite (reinitialisation).

Acte d'accusation
Acte d'accusation

*****Procès opposant le Duché du Berry à Jazzie, le 1 Avril de l'an de Pâques 1458 pour non paiement d'impôts****

Le procureur enchainait les passages au tribunal, les affaires se suivant mais ne se ressemblant pas, c'est pour un non paiement d'impots qu'il arriva ce jour.

La cour entre et s'installe et un greffier élève la voix
« La parole est à la procure ! »

Le procureur se leva et commença sa plaidoirie

***


-Monsieur le Juge,

En ce jour du 1 Avril de l'an de pâques mil quatre cinquante-huit, comparait devant vous la personne suivante :

Jazzie pour trouble à l'ordre publique et plus précisément, non paiement d'impôts, soit:

Jazzie : 15,00 écus (+20,85 écus de pénalité) avant le 2010-11-06
Jazzie : 15,00 écus (+14,55 écus de pénalité) avant le 2010-12-18
Jazzie : 15,00 écus (+18,75 écus de pénalité) avant le 2010-11-20
Jazzie : 15,00 écus (+3,90 écus de pénalité) avant le 2011-02-27
Jazzie : 15,00 écus (+16,65 écus de pénalité) avant le 2010-12-04
Jazzie : 15,00 écus (+12,30 écus de pénalité) avant le 2011-01-02
Jazzie : 15,00 écus (+10,35 écus de pénalité) avant le 2011-01-15
Jazzie : 15,00 écus (+1,95 écus de pénalité) avant le 2011-03-12
Jazzie : 15,00 écus (+25,05 écus de pénalité) avant le 2010-10-09
Jazzie : 15,00 écus (+22,95 écus de pénalité) avant le 2010-10-23
Jazzie : 15,00 écus (+8,25 écus de pénalité) avant le 2011-01-29
Jazzie : 15,00 écus (+6,15 écus de pénalité) avant le 2011-02-12

A ce jour, l'accusée doit 314,70 écus à la mairie de Saint-Aignan, inclu les intérêts.
Cette dernier a été contacté le 29 mars 1458 par le lieutenant Hereonus, lui demandant de s'acquitter de ses impôts et à répondu à l'injonction par missive. Les pièces à charge sont jointes au présent dossier.

Ces faits sont réprimés par la coutume berrichonne, notamment par l'un de ses trois grands principes :

- Livre III : De l'universalité d'action : « Est punissable l'acte qui mettrait gravement en péril la vie en société si tout citoyen se l'autorisait. »


La référence du corpus berrichon est jointe au dossier.

Conformément à la coutume berrichonne, le prévenu a le droit de se faire représenter par l'avocat de son choix. L'ordre des avocats du dragon propose de représenter à titre gracieux toute personne qui en fera la demande.

http://admin-berry.forumactif.com/t6462-liste-des-avocats-pouvant-plaider-en-berry


Faict à Bourges, le 1 Avril 1458
Par Calixte de Castelléo, procureur du Berry,
Au nom de Sa Grasce Georgepoilu, Duc de Berry

****

La parole est à l'accusé

=========================
Pièces jointes au dossier
=========================
Description de l'accusé :

http://img10.hostingpics.net/pics/809965Jazzie.png

lettre de relance:

Saint-Aignan, le 29 mars 1458 de l'an de pâque

Dame Jazzie

Salutations .

Je viens par la présente vous prier de bien vouloir solder le montant de vos impôts impayés
Peut être ignorez   vous que le non paiement dudict montant peut entraîner des poursuites judiciaires ?
Aussi et afin de vous éviter les désagréments d'un procès, je vous invite à régulariser la situation dans les plus brefs délais .
( Pour ce faire : moi , mon personnage   vous avez des impôts à payer inscrit en rouge )

Bien à vous

Hereonus, lieutenant de police de Saint-Aignan.

lettre de l'accusé:

Expéditeur : Jazzie
Date d'envoi : 31/03/2011 - 09:25:20
Titre : Re: Courier
Cher ... très CHER percepteur,

Je me réveille pour voir que je suis percluse de dettes.

C'est pas ma chemise , pas ma culotte que vous me prenez mais carrément le fond de mon string. Alors revoyez votre copie parce qu'il n'est pas question que je paie des impôts sur des revenus que je n'ai pas perçus puisque j'étais dans une profonde méditation.

Alors s'il vous plait de me mettre dans le "trou" après avoir pris le fond de ce que vous savez.... Ne vous gênez pas, le trou d'un cachot vaut bien celui d'une abbaye pour méditer

Bien à vous très CHER,

Jazz cul nu


Référence du corpus berrichon :

http://admin-berry.forumactif.com/le-rez-de-chaussee-f30/lois-en-vigueur-dans-notre-pays-t5823.htm


Première plaidoirie de la défense
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.

Réquisitoire de l'accusation
Le procureur s'avança de nouveau ayant laissé l'accuser prendre la parole, ce qu'elle n'avait point fait.
Il commença donc son réquisitoire:

-Votre Honneur,
Dame Jazzie par son silence nous montre sa culpabilité, ainsi je ne ferai point ici de longs discours et demande donc à l'encontre de cette dame 400 écus d'amende et 1 jour de prison.

Dernière plaidoirie de la défense
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.

La défense a appelé Georgepoilu à la barre
Voici son témoignage :

Dame Jazzie est ma belle soeur mais au dela de ce fait personnel qui ne devrait pas influencer notre justice, je tiens à rappeler qu'ellet a servi le Berry avec dévouement pendant la derniere guerre, puisqu'elle 'navait pas hésité à partir à l'étranger pour dissimuler une partie de nos biens à la voracité de l'envahisseur auvergnat.

elle a quitté champs, famille et amis pend ant pres de 6 semaines sans aucune contrepartie pour elle, ni récompense autre que notre silencieuse reconnaissance

pour cette raison,[color=red] moi George le poilu, Duc de Berry[/color] accorde un délai complémentaire de 3 mois à Dame Jazzie pour régler ses dettes d'impots.

Comme vous rendez la justice en mon nom, je vousz invite à acter cette décision et à soumettre à la prévoté une demande de surveillance.

Sur ce, je vous souhaite une bonne journée[/quote]



[quote]Procès ayant opposé Banane au Duché du Berry

Banane était accusé de trouble à l'ordre public.

Le jugement a été rendu

Enoncé du verdict
Le prévenu a été relaxé.

 *** BAM BAM BAM ***

Moi, Ouf !!, Juge de Berry, rend jugement dans l affaire opposant le Duché du Berry à Banane.

Vu l extrait du droit coutumier :
« De l universalité d action:
Est punissable l acte qui mettrait gravement en péril la vie en société si tout citoyen se l autorisait.»

Considérant que le dénommé Banane, habitant de Châteauroux, refuse de s acquitter de ses impôts ducaux, et que cet acte pourrait effectivement nuire au bon fonctionnement du duché du Berry si chacun en faisait de même.
Considérant que l accusation de la Procure n a été nullement contestée.
Considérant que l accusé ne pouvait payer ses impôts puisqu il se trouvait à prier à Noirlac.
Considérant que le Duc du Berry George Le Poilu, lui-même, témoignage d une grâce en la faveur de l accusé.

Pour ces motifs, la Cour reconnaît le dénommé Banane non coupable de Trouble à l Ordre Public.

Attendu que le coupable n a à ce jour, jamais été condamné en Berry.

La Cour condamne le dénommé Banane à la relaxe.
La Cour demande à l accusé de prendre contact avec le maire de Châteauroux afin de trouver une solution dans un délai de 3mois. Cette période passée, le dénommé Banane pourra de nouveau être jugé si sa situation n est pas rentrée dans l'ordre.

Les parties peuvent, si elles le souhaitent, faire appel de ce jugement devant la Cour d Appel.

Acte d'accusation
*****Procès opposant le Duché du Berry à Banane, le 17 Avril de l'an de Pâques 1458 pour non paiement d'impôts****

Le procureur suivait de près le cas du sieur Banane qui semble t'il avait décidé de ne point payer ses impots.
Contrainte lui fut donc fait de se présenter de force au tribunal afin que l'affaire soit mise à jour.

La cour entre et s'installe et un greffier élève la voix
« La parole est à la procure ! »

Le procureur se leva et commença sa plaidoirie

***


-Votre Honneur,

En ce jour du 17 Avril de l'an de pâques mil quatre cinquante-huit, comparait devant vous la personne suivante :

Banane pour trouble à l'ordre publique et plus précisément, non paiement d'impôts, soit:

Banane : 24,00 écus (+80,64 écus de pénalité) avant le 2010-04-26
Banane : 15,00 écus (+42,30 écus de pénalité) avant le 2010-06-19
Banane : 15,00 écus (+34,05 écus de pénalité) avant le 2010-08-13
Banane : 15,00 écus (+48,45 écus de pénalité) avant le 2010-05-09
Banane : 15,00 écus (+40,20 écus de pénalité) avant le 2010-07-03
Banane : 15,00 écus (+29,70 écus de pénalité) avant le 2010-09-11
Banane : 22,50 écus (+39,82 écus de pénalité) avant le 2010-10-02
Banane : 22,50 écus (+35,10 écus de pénalité) avant le 2010-10-23
Banane : 15,00 écus (+21,30 écus de pénalité) avant le 2010-11-06
Banane : 15,00 écus (+19,20 écus de pénalité) avant le 2010-11-20
Banane : 15,00 écus (+17,10 écus de pénalité) avant le 2010-12-04
Banane : 15,00 écus (+15,00 écus de pénalité) avant le 2010-12-18
Banane : 15,00 écus (+10,80 écus de pénalité) avant le 2011-01-15
Banane : 15,00 écus (+46,50 écus de pénalité) avant le 2010-05-22
Banane : 15,00 écus (+38,10 écus de pénalité) avant le 2010-07-17
Banane : 15,00 écus (+31,65 écus de pénalité) avant le 2010-08-29
Banane : 15,00 écus (+12,90 écus de pénalité) avant le 2011-01-01
Banane : 15,00 écus (+8,85 écus de pénalité) avant le 2011-01-28
Banane : 15,00 écus (+6,60 écus de pénalité) avant le 2011-02-12
Banane : 15,00 écus (+2,10 écus de pénalité) avant le 2011-03-14
Banane : 24,00 écus (+84,48 écus de pénalité) avant le 2010-04-10
Banane : 15,00 écus (+44,25 écus de pénalité) avant le 2010-06-06
Banane : 15,00 écus (+36,00 écus de pénalité) avant le 2010-07-31
Banane : 15,00 écus (+4,35 écus de pénalité) avant le 2011-02-27

A ce jour, l'accusée doit 1127,44 écus à la mairie de Chateauroux, inclu les intérêts.

Ce dernier ne semble visiblement pas vouloir s'acquiter de ses impots, d'ou sa présence en ce lieu.

Je rappellerai donc à l'accusé que ces faits sont réprimés par la coutume berrichonne, notamment par l'un de ses trois grands principes :

- Livre III : De l'universalité d'action : « Est punissable l'acte qui mettrait gravement en péril la vie en société si tout citoyen se l'autorisait. »


La référence du corpus berrichon est jointe au dossier.

Conformément à la coutume berrichonne, le prévenu a le droit de se faire représenter par l'avocat de son choix. L'ordre des avocats du dragon propose de représenter à titre gracieux toute personne qui en fera la demande.

http://admin-berry.forumactif.com/t6462-liste-des-avocats-pouvant-plaider-en-berry


Faict à Bourges, le 17 Avril 1458
Par Calixte de Castelléo, procureur du Berry,
Au nom de Sa Grasce Georgepoilu, Duc de Berry

****

La parole est à l'accusé

=========================
Pièces jointes au dossier
=========================
Description de l'accusé :
http://i25.servimg.com/u/f25/15/55/81/41/affair10.jpg

Référence du corpus berrichon :

http://admin-berry.forumactif.com/le-rez-de-chaussee-f30/lois-en-vigueur-dans-notre-pays-t5823.htm

Première plaidoirie de la défense
Puisqu on lui laissait enfin la parole, Banane s avança à la barre et énonça sa défense :

Tout d abord, bonjour messire procureur, et merci de vous intéresser de ma santé, je vais bien. C est incroyable la rapidité avec laquelle vous m avez jeté comme un malpropre devant ce tribunal, après un an de réclusion et de dévotion chez nos bons moines de Noirlac. A croire que vous deviez rêver de moi la nuit pendant des mois, espérant, telle une donzelle amourachée, me retrouver un jour. Je dois vous avouer que j en suis très flatté ! Il est vrai que je suis fort beau !

Banane sourit et marqua une courte pause, laissant l assemblée ricaner.

Pour ce qui est de mes impôts, je suis tout aussi étonné que vous d en avoir autant à payer. Je suis désolé, mais les pigeons sont interdits à Noirlac lorsque l on fait acte de pénitence, et mon courrier n a pas été acheminé jusqu à moi, je n avais donc aucune idée de la hauteur de ma dette. Je suis d ailleurs fort surpris que tout un chacun soit imposable durant une période de retraite. En effet, si l on ne travaille pas, comment peut-on payer ses impôts ? Et si l on ne reçoit pas de pigeons, comment peut-on avoir connaissance de la dette innommable qui nous attend à notre retour ? A croire que pour être un homme en règle avec les lois, il ne faut jamais aller montrer sa dévotion pour Aristote. Serait-il incompatible d être à la fois un homme pieux et un homme en règle avec les lois du Berry ?

Après cette première démonstration, Banane s adressa directement au juge.

Monsieur le Juge, pour être honnête avec vous, je ne vais pas pouvoir vous payer cette somme, pour la simple et bonne raison que je n en dispose pas. Cela se saurait si l on pouvait avoir 1127,44 écus sur soi sans avoir travaillé !! Et contrairement à ce que monsieur le procureur pense, je suis un honnête homme, et j étais justement en pourparler avec le maire de Châteauroux, le sieur Ydello, afin de régler ce problème entre nous. Evidemment, si on me jette devant un tribunal avant même que je puisse trouver le temps de résoudre mon problème, cela n arrange guère les choses.
Pour un homme qui travaille, payer ses impôts ne perturbe en rien son besoin de se nourrir, de se vêtir et de se loger, mais pour un homme qui n a pas travaillé depuis un an, et qui doit payer la somme de 1127,44 écus , c est tout autre chose !!

Puis, se tournant vers le procureur :

Je sais ce que vous allez me rétorquer. « Vous auriez dû vendre vos champs et casser votre échoppe, sire Banane ! ». C est bien facile. Devais-je, pour rendre honneur à Aristote, non seulement lui dévouer une année entière de mon humble vie, mais aussi détruire les biens de mes ancêtres ? Mes terres m appartiennent depuis des générations, monsieur, et je ne pouvais me résoudre à m en séparer.

Afin de finir sa plaidoirie, Banane se retourna vers le Juge.

Monsieur le juge, je suis un honnête homme. J ai toujours  uvré pour le bien du Berry. Je lui ai même dévoué quelques mois de mon existence, à exercer le métier de Marchand Ambulant, métier comme vous le savez non rémunéré à sa juste valeur, mais que j ai volontiers assuré pour le bien du Berry. Je sais que ma dette est énorme, mais je ne pourrai la rembourser.
Je propose, afin de régler tout cela, de donner au Berry mes futures récoltes de maïs et ma production de viande, pour une valeur de 393 écus, somme totale de mes impôts retranchée de celle des intérêts.

Banane laissa la parole au procureur, lequel, à force de payer ses impôts le pauvre, n avait même pas de quoi s acheter une chemise ! Il sourit en coin.

Réquisitoire de l'accusation
Le procureur vit venir à la barre le Duc du Berry plaidant pour la défense.
Une fois que celui-ci eu fini, le proc se leva donc afin de faire son réquisitoire.

-Votre Honneur,
Conformément à la demande de sa Grasce, je demande donc un délai au Sieur Banane, afin que celui-ci puisse s'acquitter de sa dette.
Qu'il sache ce pendant, que la peine demandé sera plus conséquente, si celui-ci ne venait pas honorer le règlement de ses impôts

Dernière plaidoirie de la défense
Qu'il en soit ainsi !

La défense a appelé Georgepoilu à la barre
Voici son témoignage :
votre honneur

le béda banane est un berrichon de bonne renommée. il a voulu prier pour le salut de nos défunts, grace lui soit rendue

[color=red]comme duc de Berry[/color], je lui accorde un délai de grâce de 3 mois pour se mettre en ordre et l'invite à contacter son maire pour les intérêts

Qu'il en soit ainsi que j'ia dit.[/quote]

[quote]Le Berry ratifie un traité d'amitié et d'alliance avec le Limousin [i](voté à l'unanimité du conseil ducal: 11 votants)[/i]

[size=24][center][b]Traité d'amitié/alliance Berry-Limousin[/b][/center][/size]

[list] [i]«  Un vrai ami est un égal car l'amitié doit être parfaitement réciproque et équitable. Si elle ne l'est pas, ce n'est plus de l'amitié mais de l'intéressement. L'amitié est le plus grand bien de l'homme. Elle noue les liens des communautés. Et les communautés forment à leur tour la Cité. L'amitié permet les relations sociales et l'Humain peut alors prendre part dans les affaires de la Cité. Et comme la vertu cardinale de l'homme est la participation à la cité, l'amitié est une chose essentielle. »[/i]
[size=9][right]Le Duo Prophétique -  La Vita d'Aristote - Chap. XIII - La réception chez Polyphilos – Extraits[/right][/size]
[/list][list]

L’amitié sincère relie les hommes, comme elle relie nos provinces – liées autant par l’amour réciproque de nos peuples que par la reconnaissance de nos valeurs justes et morales.

C'est ainsi que ce jour, nos régnants respectifs ont décidé d'officialiser ce lien indéfectible qui fait de nos contrées des amis. Notre histoire commune, la géographie qui nous place au centre du Royaume du France sont autant d'arguments qui s'ajoutent pour rendre cet événement inoubliable. Celui là même qui conclu à la signature d'une Alliance entre deux régions qui aspirent à ne faire qu'une.

En les articles suivants, nous échafaudons les bases de nos relations. De ces articles nous faisons notre pacte devant les hommes et devant le Dieu Créateur.

[list]
[list][b]Premier chapitre - De l'aspect militaire et de défense [/b][/list]

[b]Article un - De l'alliance militaire[/b]
[list]Les provinces signataires jurent de se défendre mutuellement contre toute menace, que ce soit l’attaque d’une province tierce ou l’arrivée de brigands ou de mercenaires mettant en péril la sécurité du Limousin & de la Marche et du Berry.

Pour cela, les provinces signataires s’engagent à mettre en commun tous les moyens à leur disposition : diplomatiques, financiers, commerciaux, militaires, etc. Et à organiser la collaboration commune de leurs états-majors, amirautés, services de sécurité, etc.[/list]

[b]Article deux - De la non agression[/b]
[list]Les provinces signataires s'engagent réciproquement à ne mener aucune action militaire, ou agression l'une envers l'autre. Elles garantissent mutuellement l'inviolabilité de leurs frontières existantes. Les provinces signataires s'engagent à considérer leurs armées comme amies et à ne pas pénétrer sur leur territoire réciproque sans accord préalable.[/list]

[b]Article trois - Du partage des informations[/b]
[list]Parce qu'il est plus simple et moins couteux, en écus sonnants et en sang humain, de prévenir que de guérir, les provinces signataires s'engagent à faire de toutes les données qui sont leurs, celles de son allié. A cet effet, les services de protection respectifs se devront de communiquer entre eux afin d'éviter les nuisibles : Arrivée de brigands, rumeurs d'assauts sous les remparts ou d'attaque en rase campagne, etc. [/list]

[b]Article quatre - De la libre circulation[/b]
[list]Les provinces signataires accordent un droit de libre circulation à leurs ressortissants sous réserve que la libre circulation soit pacifique et respectueuse des lois.
Les lances et groupes armés sont libres de circuler sur les territoires des deux duchés.
Le port d'armes est libre pour tous les ressortissants des territoires des duchés alliés.
La loi martiale n'est pas applicable aux ressortissants des provinces signataires sauf décision dûment motivée.[/list]


[list][b]Second chapitre - De la bonne justice [/b][/list]
[list]Le Comte du Limousin & de la Marche et le Duc du Berry, sous serment pris en toute bonne foi, se prêteront l'un à l'autre appui et assistance contre celui et contre tous ceux qui, par n'importe quel acte hostile, contraire aux coutumes ou aux lois, attenteraient à leurs sujets ou à leurs biens, ou à un seul d'entre eux, les attaqueraient ou leur causeraient quelque dommage.
Chacun promet à l'autre d'imposer réparation du tort commis. Tout garnement pris les doigts dans le miel chez l'un, et qui tenterait d'échapper à la fessée en se réfugiant dans les jupes de l'autre se verra sommé par l'un de se présenter immédiatement devant le juge de l'autre, pour y être jugé selon les bonnes lois de là-bas. Si le vilain n'obtempère point, il sera mis aux fers séance tenante, puis renvoyé par la force devant celui qui l'a fait rechercher. Si besoin est, il sera infligé au garnement sourd aux bonnes et sages paroles si lourde peine qu'il ne sera pas prêt à renouveler sa sotte insolence.[/list]

[list][b]Tierce chapitre - Du sain et prospère commerce [/b][/list]

[b]Article un - De la route commerciale Limougeo-Berruyère[/b]
[list]Depuis mille ans, une route existe entre nos deux Capitales. Initialement destinée à un usage militaire, cette route est devenue au fil des ans et des besoins un axe commercial. Regulièrement, une caravane prendra le départ, sur ce tracé millénaire afin que le commerce entre les provinces signataires soit fructueux. Le contenu de cette caravane sera établi par les deux commissaires au commerce selon leurs intérêts respectifs.[/list]

[b]Article deux - De la légitime préférence[/b]
[list]Dans le cadre des échanges commerciaux à venir, les provinces signataires s'engagent à à s’offrir mutuellement une préférence commerciale sur tous les produits, qu'ils soient issus directement du sol ou déjà transformés.
Si l'une des province recevait un contrat qu'elle n'était pas en mesure de satisfaire pleinement, un partenariat serait créé afin que les deux profitent de cet échange.[/list]

[list][b]Quatrième chapitre - De la forte et respectée diplomatie [/b][/list]
[b]Article un - Du partage des informations[/b]
[list]Comme pour la défense, les provinces signataires s'engagent  à se tenir informées de leur politique diplomatique respective, à faire en sorte que celle-ci ne porte pas atteinte aux intérêts de son ami et allié. Les chancelleries s’efforceront d’aider les deux provinces à aller vers une vision géopolitique et des intérêts communs profitables au deux provinces.

De même, les nouvelles provenant des quatre coins du Royaume seront échangées, anotées, pour que celles-ci soient bénéfiques et compréhensibles pour chacun. [/list]

[list][b]Cinquième chapitre - Des dispositions annexes [/b][/list]
[b]Article un - De l'exercice et du partage de la culture [/b]
[list]Il n'est meilleur liant entre deux hommes que l'histoire qui les lie. Savoir qui libéra avec témérité les Comtés du Limousin et de la Marché de l'envahisseur, qui réunifia avec sagesse quelques terres prospères pour former le Duché de Berry ; Connaitre la langue usitée par les troubadours pour vanter les mérites de nos soldats ; etc, voilà tout autant de chose qui constitue le ferment à déposer sur la terre pour espérer que la récolte sera meilleure.
Pour partager culture et histoire, pour vivre des moments de joie et d'amitié entre les peuples, sont jumelées nos villes afin que des événements de caractère divertissant soient organisés. [/list]

[b]Article deux - De l'entrée en vigueur du dit traité [/b]
[list]Dès l'aube suivant la signature du traité, ce dernier est déclaré en vigueur, conforme et légitime.[/list]

[b]Article trois - De la dénonciation du dit traité[/b]
[list]La province signataire souhaitant mettre fin au présent traité devra faire parvenir une lettre officielle à son homologue signataire. Ce dernier dispose d'une semaine pour en prendre acte. Sans réponse officielle le mentionnant, le présent traité est réputé nul passé ce délai. Les provinces signataires s’engagent à publier de façon officielle une lettre spécifiant la rupture du contrat.[/list]

[b]Article quatre - Des fins et faims [/b]
[list]Puisque ce serait un cuisant échec que d'en arriver là, que l'amertume parviendrait aux lèvres de ceux qui ont dans le passé contribuaient à l'élaboration de cette amitié, seront offerts à chaque province signataire un vin issu du terroir étranger. Qu'ainsi, cette bouteille ne sera ouverte qu'au jour de la rupture de ce traité afin que l'impudent est tout le loisirs de gouter ce délicieux breuvage qui sans conteste aurait été bien meilleur dans les années à venir. Que le produit de la terre qui a vu tomber ses soldats, que ces vignes qui se sont abreuvées du sang coulés lors de folles campagnes ; Que cette histoire et ce qui fit jadis notre si beau et unique lien, reste à jamais en celui qui, par une folle entreprise décidera de rompre cette harmonie, afin de le ronger et que les remords ne le quittent plus.[/list][/list]


[/list]

Arnaut de Malemort
Comte du Limousin & de la Marche
Scellé à Limoges le 21ieme jour du mois d'avril pour faire valoir ce que de droit,

[img]http://img80.imageshack.us/img80/9382/sceaucomtelimousinvert.png[/img]


Pour le Berry,
Whoopie60 Chancelière de Berry
George le poilu, Duc-régent de Berry
Fait à Bourges le 25 avril de l'an de Pâques 1458

[img]http://img178.imageshack.us/img178/1103/scberryvetu1.gif[/img][/quote]

_________________
melior


Citation:
Travaux de la Noble Assemblée des Pairs
Semaine du 23 au 29 mai 1459

Dossiers clos :
Dossiers liés au Royaume de France


Dossiers transmis par la Grande Prévôté


Saisines héraldiques
-

Candidatures à la Pairie
-

Réponses en cours de validation
Dossiers liés au Royaume de France
-

Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Saisines héraldiques
-

Débats en cours
Dossiers liés au Royaume de France
  • Refonte du droit royal.
  • Projet de Mécénat royal, projet présenté par Sa Seigneurie Argael.
  • Répartition des Pairs selon les Provinces.
  • Demande de recours en Justice, à la suite d'une plainte déposée par Sa Seigneurie Koyote de Cieux.


Saisines héraldiques

  • Saisine déposée par Ginger de Lubersac, Vicomte de Gimel les cascades, Baron de Saint Martial du Mont, Seigneur de Lubersac, pour destitution.
  • Saisine déposée par Leanice du Buis, Dame de Saint Amand le Petit, pour destitution.


Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Candidatures à la Pairie
-

Au nom de la Chambre des Pairs,
Faict à Paris le trentième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.









Code:
[rp][quote] [i][color=darkred][b][size=24]T[/size][size=18]ravaux de la Noble Assemblée des Pairs[/size][/b][/color][/i]
[i]Semaine du 23 au 29 mai 1459[/i]

[i][b][color=indigo]Dossiers clos :[/color][/b][/i]
[i][color=indigo]Dossiers liés au Royaume de France[/color][/i]
[i][list][*]Saisine déposée par Dragonet de Castelcerf quant à l'irrégularité et l'invalidité d'une décision de la Pairie :[url=http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=603688&postdays=0&postorder=asc&start=195]La Noble Assemblée des Pairs a apporté réponse, le vingt-huitième jour du mois de mai 1459[/url]
[*]Saisine déposée par Vroqu, Vicomtesse de Cornedrue-Angillon, Baronne d'Anay-le-vieil contre George dict le Poilu, Régent du Berry : [url=http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=603688&postdays=0&postorder=asc&start=195]La Noble Assemblée des Pairs a répondu que la plainte devait être déposée auprès de la Grande Prévôté, le vingt-neuvième jour du mois de mai 1459.[/url][/i][/list]

[i][color=indigo]Dossiers transmis par la Grande Prévôté[/color][/i]
[list][i][*]Dossier plainte à l'encontre de Natale, alors Comte de Toulouse, pour son implication dans la prise de Rodez : [url=http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=603688&postdays=0&postorder=asc&start=195]La Noble Assemblée des Pairs a déclaré l'affaire close, le vingt-quatrième jour du mois de mai 1459.[/url][/i][/list]

[i][color=indigo]Saisines héraldiques[/color][/i]
-

[color=indigo][i]Candidatures à la Pairie[/i][/color]
-

[b][i][color=blue]Réponses en cours de validation[/color][/i][/b]
[i][color=blue]Dossiers liés au Royaume de France[/color][/i]
-

[color=blue][i]Dossiers transmis par la Grande Prévôté[/i][/color]
-

[i][color=blue]Saisines héraldiques[/color][/i]
-

[i][color=darkblue][b]Débats en cours [/b][/color][/i]
[color=darkblue][i]Dossiers liés au Royaume de France[/i][/color]
[i][list][*]Refonte du droit royal.
[*]Projet de Mécénat royal, projet présenté par Sa Seigneurie Argael.
[*]Répartition des Pairs selon les Provinces.
[*]Demande de recours en Justice, à la suite d'une plainte déposée par Sa Seigneurie Koyote de Cieux.
[/list]

[color=darkblue]Saisines héraldiques[/color][/i]
[list][i][*]Saisine déposée par Ginger de Lubersac, Vicomte de Gimel les cascades, Baron de Saint Martial du Mont, Seigneur de Lubersac, pour destitution.
[*]Saisine déposée par Leanice du Buis, Dame de Saint Amand le Petit, pour destitution.
[/i][/list]

[color=darkblue][i]Dossiers transmis par la Grande Prévôté[/i][/color]
-

[color=darkblue][i]Candidatures à la Pairie[/i][/color]
-

[i]Au nom de la Chambre des Pairs,
Faict à Paris le trentième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459.[/i]

[img]http://img821.imageshack.us/img821/2679/maini.png[/img]


[URL=http://img641.imageshack.us/i/sceaumeliorfeejaune.png/][img]http://img641.imageshack.us/img641/8965/sceaumeliorfeejaune.png[/img][/URL]

[/quote][/rp]

_________________
melior


Citation:

A Messire Ginger de Lubersac, Vicomte de Gimel les cascades, Baron de Saint Martial du Mont,

Nous, Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France a débouté sa saisine portant plainte à l’encontre d’une décision héraldique de destitution du fief de Lubersac concernant sa personne datée du vingtième jour du mois de Mars de l'an de Grâce 1459.
Cette destitution est conforme aux lois héraldiques.
En effet, elle concerne une seigneurie de mérite, et en ce cas le Régnant peut faire une demande selon son bon vouloir, sans qu'il y ait procès ou dérogeance avérée.

Qu'il soit su et certifié.

Faict à Paris le cinquième jour du mois de Juin de l'an de Grâce 1459.







Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Martymcfly de Montfort-Balmyr, Llyr di Maggio d'Astralgan, Koyote de Cieux, Thomas de Clérel, Oksana de Floret, Dotch de Cassel.



Ginger a écrit:
Bonjour Marie Alice

Comme promis voici le courrier afin de saisir nos pairs.

Merci pour ce travail supplémentaire dont je vous serai redevable.

Avec toute mon amitié.


A la Noble Assemblée,
J’ai été destitué de ma seigneurie par un courrier du 27 mars émanant du Héraut du Limousin Marche ci après :
« A tous présent et advenir salut.

Par la présente, en vertu des pouvoirs afférant à notre charge, nous, Thomas de Clérel, magnanime Duc de Dun-le-Roy, Roy d'Armes & Pair de France, faisons acte de la demande de Dame Antonia, Comtesse du Limousin et de la Marche, quant à la destitution concernant les personnes de la noblesse suivantes :
• Dame Leanice, Dame du Buis
• Messire Ginger , Seigneur de Lubersac
• Messire Forcehung, Seigneur de Thiat


Tous trois accusés de ne pas avoir répondu à la levée de Ban dans le Comté.

Les fiefs inhérents retournent dans le giron de la province et pourront être octroyés selon les Lois et coutumes héraldiques établies.

La demande de destitution de Dame Juliette, pour la seigneurie de Meyssac est déboutée, la Dame étant entrée en agonie et ne pouvant ni se présenter, ni répondre.

Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques .

Faict le vingtième jour du mois de Mars de l'An de Grasce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf. «

J’ai l’honneur de soumettre à votre décision la requête suivante :
Reconnaitre mon bon droit en rétablissant ma seigneurie.
Voici pour ma défense ma déclaration :

En voyage en Castille et au Portugal depuis le 21 janvier 1459, j’ai appris par un courrier du 27 mars provenant de Dame Nébisa Héraut du Limousin Marche, reçu ces jours ci en terre lointaine ma destitution de la noblesse limousine en raison de ma non réponse à la levée de ban du Comté.

Je n’ai malheureusement jamais reçu cette missive me demandant de faire honneur à mes obligations limousines, de ce fait je n’ai jamais pu y répondre n’ayant pas de nouvelles particulières de troubles ici au Portugal.

En Limousin Marche depuis feu Sa grandeur Kalewia, 1er comte du Limousin Marche que j’ai cotyoyé régulièrement à Ventadour, j’ai toujours répondu aux levées de ban et j’ai toujours donné mon épée pour le Limousin Marche. Jamais je n’ai failli à l’allégeance soit au Château de Limoges soit par missive, de ce fait cette destitution est particulièrement excessive ou alors elle a été prise sans aucune vérification pour me contacter.
Qui a bien été engagé à envoyer la missive ? Ai-je bien été contacté (pour Ginger1 et non Ginger, il suffit parfois d’un rien) ?
D’autre part j’ai été en retraite du 11 mars au 3 avril puis du 9 au 16 avril, n’ai-je pas été contacté durant cette période où j’étais chez les moines au sud du Portugal ?
Pour ma défense je dois en outre vous indiquer que depuis le Portugal j’ai pu participer par missives aux travaux de notre ordre du Grand Couvain les 6 février, 20 février, 3 avril, pourquoi n’ai-je pas été rappelé par cette voie même de façon non officielle ?
Pour apporter un peu d’eau à mon moulin je dois également vous soumettre ce courrier envoyé par Dame Arestel de Comminges,
Grand Chancelier de l'Ordre du Grand Couvain :
« Bonjour à tous,

Copie du courrier envoyé ce jour (pour certain il y a une erreur dans la date... soucis de version avec mon ordinateur que je n'ai remarqué qu'une fois le tout envoyé)
Citation:
Aux Honorables Membres de l'Ordre du Grand Couvain, Commandeurs, Equites et Patriciens,

En ce jour, dix sept mai de l'An de Grâce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf, j'ai l'immense honneur de me présenter à vous comme le nouveau Grand Chancelier du Grand Couvain, récemment nommé par Sa Grandeur Sindanarie Carsenac.
Afin de pouvoir mettre en action ensemble, notre rôle de membre de l'Ordre du Grand Couvain, j'ai le plaisir de vous convoquer au Chateau de Limoges, en salle du Conseil de l'Ordre. J'y établierais par votre présence, une mise à jour du Nobiliaire, afin de pouvoir commencer les votes des différentes patentes en cours de rédaction.

En vous remerciant chaleureusement,
Avec mes salutations respectueuses

Arestel de Comminges,
Grand Chancelier de l'Ordre du Grand Couvain.


Les pigeons à l'attention de Ginger, Vicomte de gimel les Cascades et Mirka250 m'ont été retournés. Quelqu'un a-t-il des nouvelles de ses personnes? »

Enfin Dame Léanice, Dame du Buis, qui est également concernée par une destitution joindra elle aussi un dossier auprès de votre noble assemblée.
Je reste à votre disposition et vous remercie de votre écoute.

Notre Héraut ne pouvant officier pour le moment et étant encore en Castille, je remets officiellement à Marie Alice Alterac qui me connait depuis tant d’année ce courrier afin de me représenter en Royaume de France par devant vous noble assemblée.

Ginger de Lubersac, veuf de Dame Ned, Vicomte de Gimel les cascades, Baron de Saint Martial du Mont, Seigneur de Lubersac.

Valladolid, Castille le 22mai 1459.


Code:
[rp][quote]
[i][b][size=18]A[/size][/b] Messire Ginger de Lubersac, Vicomte de Gimel les cascades, Baron de Saint Martial du Mont,

Nous,  Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France a débouté sa saisine portant plainte à l’encontre d’une décision héraldique de destitution du fief  de Lubersac concernant sa personne datée du vingtième jour du mois de Mars de l'an de Grâce 1459.
Cette destitution est conforme aux lois héraldiques.
En effet, elle concerne une seigneurie de mérite, et en ce cas le Régnant peut faire une demande selon son bon vouloir, sans qu'il y ait procès ou dérogeance avérée.

Qu'il soit su et certifié.

Faict à Paris le cinquième jour du mois de Juin de l'an de Grâce 1459.[/i]

[img]http://img821.imageshack.us/img821/2679/maini.png[/img]


[URL=http://img641.imageshack.us/i/sceaumeliorfeejaune.png/][img]http://img641.imageshack.us/img641/8965/sceaumeliorfeejaune.png[/img][/URL]

[size=12][i]Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Martymcfly de Montfort-Balmyr, Llyr di Maggio d'Astralgan, Koyote de Cieux, Thomas de Clérel, Oksana de Floret, Dotch de Cassel. [/i][/size]

[/quote][/rp]

[quote="Ginger"]Bonjour Marie Alice

Comme promis voici le courrier afin de saisir nos pairs.

Merci pour ce travail supplémentaire dont je vous serai redevable.

Avec toute mon amitié.


A  la Noble Assemblée,
 J’ai été destitué de ma seigneurie par un courrier du 27 mars émanant du Héraut  du Limousin Marche ci après :
« A tous présent et advenir salut.

Par la présente, en vertu des pouvoirs afférant à notre charge, nous, Thomas de Clérel, magnanime Duc de Dun-le-Roy, Roy d'Armes & Pair de France, faisons acte de la demande de Dame Antonia, Comtesse du Limousin et de la Marche, quant à la destitution concernant les personnes de la noblesse suivantes :
•   Dame Leanice, Dame du Buis
•   Messire Ginger , Seigneur de Lubersac
•   Messire Forcehung, Seigneur de Thiat


Tous trois accusés de ne pas avoir répondu à la levée de Ban dans le Comté.

Les fiefs inhérents retournent dans le giron de la province et pourront être octroyés selon les Lois et coutumes héraldiques établies.

La demande de destitution de Dame Juliette, pour la seigneurie de Meyssac est déboutée, la Dame étant entrée en agonie et ne pouvant ni se présenter, ni répondre.

Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques .

Faict le vingtième jour du mois de Mars de l'An de Grasce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf. «

J’ai l’honneur de soumettre à votre décision la requête suivante :
Reconnaitre mon bon droit en rétablissant ma seigneurie.
Voici pour ma défense ma déclaration :

En voyage en Castille et au Portugal depuis le 21 janvier 1459, j’ai appris par un courrier du 27 mars provenant de Dame Nébisa Héraut du Limousin Marche, reçu ces jours ci en terre lointaine ma destitution de la noblesse limousine en raison de ma non réponse à la levée de ban du Comté.

Je n’ai malheureusement jamais reçu cette missive me demandant de faire honneur à mes obligations limousines, de ce fait je n’ai jamais pu y répondre n’ayant pas de nouvelles particulières de troubles ici au Portugal.

En Limousin Marche depuis feu Sa grandeur Kalewia, 1er comte du Limousin Marche que j’ai cotyoyé régulièrement à Ventadour,  j’ai toujours répondu aux levées de ban et j’ai toujours donné mon épée pour le Limousin Marche. Jamais je n’ai failli à l’allégeance soit au Château de Limoges soit par missive, de ce fait cette destitution est particulièrement excessive ou alors elle a été prise sans aucune vérification pour me contacter.
Qui a bien été engagé à envoyer la missive ? Ai-je bien été contacté (pour Ginger1 et non Ginger, il suffit parfois d’un rien) ?
D’autre part j’ai été en retraite du 11 mars au 3 avril puis du 9 au 16 avril, n’ai-je pas été contacté durant cette période où j’étais chez les moines au sud du Portugal ?
Pour ma défense je dois en outre vous indiquer que depuis le Portugal j’ai pu participer par missives aux travaux de notre ordre du Grand Couvain les 6 février, 20 février, 3 avril, pourquoi n’ai-je pas été rappelé par cette voie même de façon non officielle ?
Pour apporter un peu d’eau à mon moulin je dois également vous soumettre ce courrier envoyé par Dame Arestel de Comminges,
Grand Chancelier de l'Ordre du Grand Couvain :
« Bonjour à tous,

Copie du courrier envoyé ce jour (pour certain il y a une erreur dans la date... soucis de version avec mon ordinateur que je n'ai remarqué qu'une fois le tout envoyé)
Citation:
Aux Honorables Membres de l'Ordre du Grand Couvain, Commandeurs, Equites et Patriciens,

En ce jour, dix sept mai de l'An de Grâce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf, j'ai l'immense honneur de me présenter à vous comme le nouveau Grand Chancelier du Grand Couvain, récemment nommé par Sa Grandeur Sindanarie Carsenac.
Afin de pouvoir mettre en action ensemble, notre rôle de membre de l'Ordre du Grand Couvain, j'ai le plaisir de vous convoquer au Chateau de Limoges, en salle du Conseil de l'Ordre. J'y établierais par votre présence, une mise à jour du Nobiliaire, afin de pouvoir commencer les votes des différentes patentes en cours de rédaction.

En vous remerciant chaleureusement,
Avec mes salutations respectueuses

Arestel de Comminges,
Grand Chancelier de l'Ordre du Grand Couvain.


Les pigeons à l'attention de Ginger, Vicomte de gimel les Cascades et Mirka250 m'ont été retournés. Quelqu'un a-t-il des nouvelles de ses personnes? »

Enfin Dame Léanice, Dame du Buis, qui est également concernée par une destitution joindra elle aussi un dossier auprès de votre noble assemblée.
Je reste à votre disposition et vous remercie de votre écoute.

Notre Héraut ne pouvant officier pour le moment et étant encore en Castille, je remets officiellement à Marie Alice Alterac qui me connait depuis tant d’année ce courrier afin de me représenter en Royaume de France par devant vous noble assemblée.

Ginger de Lubersac, veuf de Dame Ned, Vicomte de Gimel les cascades, Baron de Saint Martial du Mont, Seigneur de Lubersac.

Valladolid, Castille le 22mai 1459.
[/quote]

_________________
melior


Citation:

A Dame Leanice, Dame de Saint Amand le Petit ,

Nous, Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France a débouté sa saisine portant plainte à l’encontre d’une décision héraldique de destitution du fief du Buis concernant sa personne datée du vingtième jour du mois de Mars de l'an de Grâce 1459.
Cette destitution est conforme aux lois héraldiques.
En effet, elle concerne une seigneurie de mérite, et en ce cas le Régnant peut faire une demande selon son bon vouloir, sans qu'il y ait procès ou dérogeance avérée.

Qu'il soit su et certifié.

Faict à Paris le cinquième jour du mois de juin de l'an de Grâce 1459.









Leanice a écrit:
Citation:

Requérant : Dame Leanice du Buis et Dame de Saint Amand le Petit

Saisine concernant : le Comté du Limousin et de la Marche

Pièces du dossier : Copie de la lettre du héraut du Limousin et de la Marche

Motif de la saisine : demande d'annulation de destitution de titre



Citation:


De nous, Dame Leanice,

A sa Majesté la Reyne de France,
A la noble assemblée des Pairs de France,
Au Primus Inter Pares.

C'est avec une certaine amertume que je prend ma plume à ce jour pour vous faire part de la destitution de mon titre de noblesse de mérite, tout à fait injustifiée.
En effet, le 22 Mars dernier, une amie en promenade en Limousin, lit la gargote et m'envoie une copie de la lettre déposée en annonce de la hérauderie Limousine.
Vous pouvez imaginer ma stupeur qu'apprendre que j'ai été tout simplement déchue de mon titre si durement acquis.

Inutile que je vous dire ma surprise d'apprendre que je n'ai pas répondu à la levée de ban alors que personne ne m'en a informé. J'étais à l'époque en déménagement entre la Touraine et le Périgord.
Ni la Comtesse d'alors Dame Antonia, ni aucune autre personne n'a jugé bon de m'envoyer une missive pour me demander de rentrer au plus tôt et comme je n'ai pas de don de divination, il était normal que je ne sois pas à cette levée de ban. Sachez bien que le Comté du Limousin m'est cher et qu'il est bien aise de penser que je serais venue, si....J'avais pu savoir.

De surcroit, je ne suis pas la seule dans ce cas.

Dès que j'ai reçu la missive de mon amie datant du 22 Mars, j'ai écris immédiatement à Dame Nebisa.
Dame Nebisa, alors Héraut du Limousin de la Marche, m'a écrit, je cite :

Citation:

....
Quand la Comtesse concernée a présenter la liste des destitutions, je lui ai bien demandé si tous les nobles avaient été prévenus, elle m'a assuré que oui ...
....
Le prochain ban, j'exigerai de gérer les lettres envoyées aux nobles, j'aime pas quand les choses sont pas transparentes...


Dame Nebisa m'a dit qu'elle transmettrait ce courrier à la Hérauderie et qu'elle me tiendrait informée. Depuis vous savez surement qu'il y a eu quelques soucis concernant ses fonctions et je n'ai plus eu de nouvelle, aussi je m'adresse à vous pour me rendre justice.
J'ai su que certains nobles qui étaient eux aussi hors des frontières du Limousin, avaient été informés par courrier de cette levée de ban alors que d'autres non.

Je n'irais pas à dire que cette action contre trois nobles du Limousin et de la marche est un acte de malveillance visant à nous destituer de nos titres mais l'histoire reste nébuleuse toutefois.

Avec mes respects.
Dans l'attente de votre réponse.

Fait à Limoges le 22 Mai 1459.

Dame Léanice


*Ci-joint une copie de la lettre en annonce à la hérauderie en gargote limousine, datant du 22 Mars 1459:
Nebisa a écrit:
A tous présent et advenir salut.

Par la présente, en vertu des pouvoirs afférant à notre charge, nous, Thomas de Clérel, magnanime Duc de Dun-le-Roy, Roy d'Armes & Pair de France, faisons acte de la demande de Dame Antonia, Comtesse du Limousin et de la Marche, quant à la destitution concernant les personnes de la noblesse suivantes :

  • Dame Leanice, Dame du Buis
  • Messire Ginger , Seigneur de Lubersac
  • Messire Forcehung, Seigneur de Thiat


Tous trois accusés de ne pas avoir répondu à la levée de Ban dans le Comté.

Les fiefs inhérents retournent dans le giron de la province et pourront être octroyés selon les Lois et coutumes héraldiques établies.

La demande de destitution de Dame Juliette, pour la seigneurie de Meyssac est déboutée, la Dame étant entrée en agonie et ne pouvant ni se présenter, ni répondre.

Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques .

Faict le vingtième jour du mois de Mars de l'An de Grasce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf.
Citation:





Nebisa a écrit:









































Code:
[rp][quote]
[i][b][size=18]A[/size][/b] Dame Leanice, Dame de Saint Amand le Petit ,

Nous,  Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France a débouté sa saisine portant plainte à l’encontre d’une décision héraldique de destitution du fief  du Buis concernant sa personne datée du vingtième jour du mois de Mars de l'an de Grâce 1459.
Cette destitution est conforme aux lois héraldiques.
En effet, elle concerne une seigneurie de mérite, et en ce cas le Régnant peut faire une demande selon son bon vouloir, sans qu'il y ait procès ou dérogeance avérée.

Qu'il soit su et certifié.

Faict à Paris le cinquième jour du mois de juin de l'an de Grâce 1459.[/i]

[img]http://img821.imageshack.us/img821/2679/maini.png[/img]


[URL=http://img641.imageshack.us/i/sceaumeliorfeejaune.png/][img]http://img641.imageshack.us/img641/8965/sceaumeliorfeejaune.png[/img][/URL]

[/quote][/rp]

[quote="Leanice"][quote]
[b]Requérant :[/b] Dame Leanice du Buis et Dame de Saint Amand le Petit

[b]Saisine concernant :[/b]  le Comté du Limousin et de la Marche

[b]Pièces du dossier :[/b] Copie de la lettre du héraut du Limousin et de la Marche

[b]Motif de la saisine :[/b] demande d'annulation de destitution de titre

[/quote]

[quote]

De nous, Dame Leanice,

A sa Majesté la Reyne de France,
A la noble assemblée des Pairs de France,
Au Primus Inter Pares.

C'est avec une certaine amertume que je prend ma plume à ce jour pour vous faire part de la destitution de mon titre de noblesse de mérite, tout à fait injustifiée.
En effet, le 22 Mars dernier, une amie en promenade en Limousin, lit la gargote et m'envoie une copie de la lettre déposée en annonce de la hérauderie Limousine.
Vous pouvez imaginer ma stupeur qu'apprendre que j'ai été tout simplement déchue de mon titre si durement acquis.

Inutile que je vous dire ma surprise d'apprendre que je n'ai pas répondu à la levée de ban alors que personne ne m'en a informé. J'étais à l'époque en déménagement entre la Touraine et le Périgord.
Ni la Comtesse d'alors Dame Antonia, ni aucune autre personne n'a jugé bon de m'envoyer une missive pour me demander de rentrer au plus tôt et comme je n'ai pas de don de divination, il était normal que je ne sois pas à cette levée de ban. Sachez bien que le Comté du Limousin m'est cher et qu'il est bien aise de penser que je serais venue, si....J'avais pu savoir.

De surcroit, je ne suis pas la seule dans ce cas.

Dès que j'ai reçu la missive de mon amie datant du 22 Mars, j'ai écris immédiatement à Dame Nebisa.
Dame Nebisa, alors Héraut du Limousin de la Marche, m'a écrit,  je cite :

[quote]
....
Quand la Comtesse concernée a présenter la liste des destitutions, je lui ai bien demandé si tous les nobles avaient été prévenus, elle m'a assuré que oui ...
....
Le prochain ban, j'exigerai de gérer les lettres envoyées aux nobles, j'aime pas quand les choses sont pas transparentes...
[/quote]

Dame Nebisa m'a dit qu'elle transmettrait ce courrier à la Hérauderie et qu'elle me tiendrait informée. Depuis vous savez surement qu'il y a eu quelques soucis concernant ses fonctions et je n'ai plus eu de nouvelle, aussi je m'adresse à vous pour me rendre justice.
J'ai su que certains nobles qui étaient eux aussi hors des frontières du Limousin, avaient été informés par courrier de cette levée de ban alors que d'autres non.

Je n'irais pas à dire que cette action contre trois nobles du Limousin et de la marche est un acte de malveillance visant à nous destituer de nos titres mais l'histoire reste nébuleuse toutefois.

Avec mes respects.
Dans l'attente de votre réponse.

Fait à Limoges le 22 Mai 1459.

Dame Léanice
[url=http://www.servimg.com/image_preview.php?i=73&u=13287452][img]http://i68.servimg.com/u/f68/13/28/74/52/sceaul10.png[/img][/url]

*Ci-joint une copie de la lettre en annonce à la hérauderie en gargote limousine, datant du 22 Mars 1459:
[quote="Nebisa"]A tous présent et advenir salut.

Par la présente, en vertu des pouvoirs afférant à notre charge, nous, Thomas de Clérel, magnanime Duc de Dun-le-Roy, Roy d'Armes & Pair de France, faisons acte de la demande de Dame Antonia, Comtesse du Limousin et de la Marche, quant à la destitution concernant les personnes de la noblesse suivantes :

[list][*]Dame [b]Leanice[/b], Dame du Buis
[*]Messire [b]Ginger [/b], Seigneur de Lubersac
[*] Messire [b]Forcehung[/b], Seigneur de Thiat[/list]

Tous trois accusés de ne pas avoir répondu à la levée de Ban dans le Comté.

Les fiefs inhérents retournent dans le giron de la province et pourront être octroyés selon les Lois et coutumes héraldiques établies.

La demande de destitution de Dame Juliette, pour la seigneurie de Meyssac est déboutée, la Dame étant entrée en agonie et ne pouvant ni se présenter, ni répondre.

Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques .

Faict le vingtième jour du mois de Mars de l'An de Grasce Mil Quatre Cent Cinquante Neuf.
[img]http://gi139.photobucket.com/groups/q306/PY3PJQVZHO/thomas5.png[/img][/quote][/quote][/quote]

[quote="Antonia"][quote]D’Antonia de Rocheclaire, Comtesse de Chambéret, Dame de Sannat et de Saint Solve,

A la très noble assemblée de la Pairie,

Salut,

Nous aimerions apporter mon témoignage dans la saisine faite par Léanice contre le Limousin et la Marche et en quelques sortes contre nous-même, puisque nous en étions la Comtesse au moment des faits et demanderesse de cette destitution.

Tout d’abord, nous nous permettons une petite précision, Léanice dit que sa seigneurie était de mérite, or ceci est faux puisqu’il s’agissait d’une seigneurie vénale. Nous savons très bien qu’une noblesse vénale ou de mérite impose les mêmes règles, mais nous tenions à ce que les choses soient claires. Son autre fief, Saint Amand le Petit, était lui une seigneurie issue du mérite, nous nous étonnons d’ailleurs que la dite Léanice en arbore toujours les titres et armes alors que cette seigneurie était octroyée à son défunt époux, mais ceci est un autre débat.

Ensuite, pour cette histoire de courriers non envoyés, nous sommes plus qu’étonnée. Nous avouons ne pas les avoir envoyé nous-même, mais c’est une personne de grande confiance qui l’a fait, conseillère comtale au moment des faits devenue Comtesse du Limousin et la Marche depuis, Sindanarie Carsenac. Elle nous a certifié avoir envoyé ces courriers et a toujours fait son travail avec le plus grand soin, sinon nulle doute qu’elle ne serait point Comtesse du Limousin et la Marche actuellement, nous n’avons aucune raison de douter de ses dires. D’autant plus qu’à l’exception de quatre nobles, tous ont répondu à la levée du ban même s’ils étaient à l’étranger. Aussi nous nous demandons bien comment trois nobles, puisque trois se plaignent, seraient passés entre les mailles du filet.
Quant à dire que les choses ne sont pas transparentes… Nous tenions nous-même une liste des nobles en mentionnant ceux n’ayant pas répondu à la levée du ban et qui était affichée dans la salle du conseil, tous les conseillers y avaient accès. Il me semble que c’est transparent.

D’autres part, la dame dit ne pas être au courant des faits. Pourtant le 22 janvier dernier, une demande de laissez-passer fut faite à notre Prévot. Nous précisons que l’annonce de la levée de ban fut faite le 20 janvier au soir et celle de la fermeture des frontières le 21 et qu’elles furent toutes deux affichées en même temps par notre Porte-parole. Aussi comment Léanice pouvait-elle être au courant de l’une mais ignorer l’autre ? Avouez que ceci est un peu gros. La dame a donc traversé le Comté dont elle était vassale sans s’inquiéter pour lui.

Je vous laisse juger de tout ceci.

Bien respectueusement,

Faict à Limoges le 26 du mois de Mai de l’an 1459

[img]http://img211.imageshack.us/img211/2713/signatureantonia.png[/img]

[img]http://img413.imageshack.us/img413/2047/sceauantoniarv1jaune.png[/img][/quote][/quote]

_________________
melior


Citation:
Travaux de la Noble Assemblée des Pairs
Semaine du 30 mai au 5 juin 1459

Dossiers clos :
Dossiers liés au Royaume de France
-

Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Saisines héraldiques


Candidatures à la Pairie
-

Réponses en cours de validation
Dossiers liés au Royaume de France
-

Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Saisines héraldiques
-

Débats en cours
Dossiers liés au Royaume de France
  • Refonte du droit royal.
  • Demande de recours en Justice, à la suite d'une plainte déposée par Sa Seigneurie Koyote de Cieux.
  • Saisine de Cyphus Garion, Comte de Châtellerault concernant la condamnation de Sophie, pour des faits s'étant déroulés pendant son règne de Comtesse du Poitou.
  • Saisine d'Ephyael sur la justice en Limousin.
  • Rôle de la Pairie.


Saisines héraldiques

-

Dossiers transmis par la Grande Prévôté
-

Candidatures à la Pairie
-

Au nom de la Chambre des Pairs,
Faict à Paris le sixième jour du mois de juin de l'an de Grâce 1459.









Code:
[rp][quote] [i][color=darkred][b][size=24]T[/size][size=18]ravaux de la Noble Assemblée des Pairs[/size][/b][/color][/i]
[i]Semaine du 30 mai au 5 juin 1459[/i]

[i][b][color=indigo]Dossiers clos :[/color][/b][/i]
[i][color=indigo]Dossiers liés au Royaume de France[/color][/i]
-

[i][color=indigo]Dossiers transmis par la Grande Prévôté[/color][/i]
-

[i][color=indigo]Saisines héraldiques[/color][/i]
[list][i][*]Saisine déposée par Ginger de Lubersac, Vicomte de Gimel les cascades, Baron de Saint Martial du Mont, Seigneur de Lubersac, pour destitution : [url=http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=603688&start=210]La Noble Assemblée des Pairs a débouté la saisine, le cinquième  jour du mois de juin 1459.[/url]
[*]Saisine déposée par Leanice du Buis, Dame de Saint Amand le Petit, pour destitution : [url=http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=603688&start=210]La Noble Assemblée des Pairs a débouté la saisine, le cinquième jour du mois de juin 1459.[/url]
[/i][/list]

[color=indigo][i]Candidatures à la Pairie[/i][/color]
-

[b][i][color=blue]Réponses en cours de validation[/color][/i][/b]
[i][color=blue]Dossiers liés au Royaume de France[/color][/i]
-

[color=blue][i]Dossiers transmis par la Grande Prévôté[/i][/color]
-

[i][color=blue]Saisines héraldiques[/color][/i]
-

[i][color=darkblue][b]Débats en cours [/b][/color][/i]
[color=darkblue][i]Dossiers liés au Royaume de France[/i][/color]
[i][list][*]Refonte du droit royal.
[*]Demande de recours en Justice, à la suite d'une plainte déposée par Sa Seigneurie Koyote de Cieux.
[*]Saisine de Cyphus Garion, Comte de Châtellerault concernant la condamnation de Sophie, pour des faits s'étant déroulés pendant son règne de Comtesse du Poitou.
[*]Saisine d'Ephyael sur la justice en Limousin.
[*]Rôle de la Pairie.
[/list]

[color=darkblue]Saisines héraldiques[/color][/i]
-

[color=darkblue][i]Dossiers transmis par la Grande Prévôté[/i][/color]
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[color=darkblue][i]Candidatures à la Pairie[/i][/color]
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[i]Au nom de la Chambre des Pairs,
Faict à Paris le sixième jour du mois de juin  de l'an de Grâce 1459.[/i]

[img]http://img821.imageshack.us/img821/2679/maini.png[/img]


[URL=http://img641.imageshack.us/i/sceaumeliorfeejaune.png/][img]http://img641.imageshack.us/img641/8965/sceaumeliorfeejaune.png[/img][/URL]

[/quote][/rp]

_________________
melior


Citation:

A Ephyael ,


Nous, Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France ne peut donner suite à sa saisine demandant de rappeler à la Comtesse du Limousin et de la Marche que toute justice se doit de respecter son propre code de procédure mise en place. Ceci est du ressort du Grand Chancelier de France, ainsi que stipulé dans les statuts de la Grande Chancellerie de France :


Citation:
Préambule - Du Chancelier de France

Il est à la tête de l’administration judiciaire du Royaume. Il est gardien du Sceau Royal qui scelle les actes Royaux. Son rôle est de veiller à la Justice dans le Royaume, de veiller à l’amélioration constante des structures et pratiques judiciaires, à observer les méthodes des juges, à contrôler que la Loi Royale soit appliquée. Il sert de lien permanent entre les autorités judiciaires locales et le Droit Royal. Il détient ainsi le pouvoir judiciaire, le pouvoir législatif étant du ressort de la Pairie de France.


Faict à Paris le neuvième jour du mois de juin de l'an de Grâce 1459.





Citation:













Citation:
Aux pairs de France,

Par la présente , Nous, Ephyael , citoyen du limousin saisissons la haute assemblée des affaires courante de justices du limousin

Disons qu'en date du 17 mai 1459 nous informions ,à travers notre organisation la ligue limousine libertaire et libertine (4L), la comtesse du limousin par courrier rendu publique d'irregularités dans les proces mener par sir Arnault de Malemort et presider par Dame Seleina . Courrier que nous joignions a nostre saisine.

Disons avoir par lettre du 19 mai relancer la comtesse sur l'etat de la situation avons accusé reception le meme jour d'un reponse de sa part nous assurant qu'enquete etais mener (voir courrier joint)

Disons avoir a ce jour du 30 mai 1459 vu nul avancé dans notre legitime demande et au contraire nous constatons que la situation s'empire comme le confirme la declaration recente de la comtesse du limousin. Le procureur Arnault de Malemort etais visblement pleinement defaillant selon ses dires calfeutrer par de pauvre excuses

Ajoutons que , comme le prouve les 5 actes d'accusation jointe aux dossiers, lancer par le procureur Arnault de Malemort et comme le prouve l'extrait du code de procedure de la justice limousine. Le procureur arnault de malemort qui a lui meme en son mandat de comte fait valider ce texte de procedure a violer le dit code et rendu obselete la justice du limousin

Que par son manque de reaction la juge Seleina contribue a maintenir cet etat d'obselescance perpetuelle sur les affaire de justice du limousin . Que par son manque de reaction malgres plusieur lettre la comtesse du limousin contibue a rendre sa justice inutilisable pour ses concitoyens limousin et autres justiciable francais et etranger

Nous demandons a la haute d'assemblée de rappeler a la comtesse du limousin que toute justice se doit de respecter son propre code de procedure mise en place.
De constater la carence pleine et entiere du fait de sa procure defaillante de la justice du limousin a l'heure actuelle
De faire suspendre toute affaire de justice du limousin et de depayser toute les affaires en cours et a venir sur les duchés voisins du Berry, de l' Auvergne, de Guyenne et du Perigord a egale repartition du nombre et ceux jusqu'a ce que la comtesse du limousin est demis son procureur et sa juge responsable de ce desordre de leur poste

Pour que justice soit

Ephyael,
Le 30 mai 1459



Citation:
A la comtesse du Limousin,
Au conseillé du limousin,
Au peuple libre du limousin
Au citoyens encore enchainé,

Nous membre de la ligue accusons le sieur Arnault de Malemort d'avoir sciement saboter les proces qui lui fut confier afin de se venger d'avoir perdu les elections

Sur les 6 dossiers presenter par le sieur Arnault , tous sont entacher de faute grave de procedure . Il ne peut pretendre a une etourderie car la même erreur a etais faite dans 6 dossiers sur 6
Arnault ne peut pretendre ne pas connaitre le dit code de procedure puisqu'il la lui meme refait valider quand il a creer le nouveau codex.

Tous ses faits nous prouve qu' Arnault de Malemort a agi sciement pour aneantir la justice du Limousin

Nous membre de la ligue accusons Seleina d'avoir couvert son procureur. En effet la dame ne peut pas pretendre ne pas connaitre la loi puisqu'elle la selon les sources ecrite, desiré et defendu ardement lorsque les membres de la ligues lui ont fait remarquer que cela etais source d'erreur. Elle ne peut pretendre a l'etourderie puisqu'elle a rendu jugement sur un des dossiers ouvert sans en mentionner l'erreur faite a son procureur.

Devant cette faillite collective de la justice Limousine, nous membre de la ligue exigeons des sanctions et des changements immediat. Nous tenons des a present chaque conseillé comme responsable de la situation actuelle car Tous et Toute ont profondement manqué de vigilance quand a l'exercice de la justice actuelle.

En consequence de quoi nous demandons :
1 ) La demission immediate d' Arnault de Malemort du poste de procureur, de son poste de conseillé comtale. Sa parution devant la cour de justice pour trahison, l'ouverture d'un proces heraldique en decheance de ses titres
2) La demission immediate du poste de Juge de Seleina, son attribution a un role plus en adecquation avec ses qualités
3) la nommination rapide d'un nouveau procureur et un nouveau juge. 4) L'arret immediat de tout les dossier de justice en cours
5) Une lettre d'excuse a chaque partie en presence dans les proces non valable

Que tous sache que La ligue est toujours vigilante a ce qui se passe en Limousin et que nous continuerons nos effort pour le bien etre de tous. Il ne sert donc a rien au conseil de gagner du temps ou de cacher ses erreurs . Tout ce sait et tout nous dirons

Le 17 mai 1459
Pour le Limousin eclairé et libre
LA LIGUE LIMOUSINE LIBERTAIRE ET LIBERTINE



Citation:
A la comtesse du Limousin,

Il y a de cela quelque jours nous revelions au limousins les incompetences et manipulations de Seleina et Arnault .

Nous nous etonnons que vous n'ayez pas encore pris la peine de reagir et d'exiger les demissions des deux fautifs.

Dois t on en conclure que pour vous les erreurs et magouille en justice sont un etat normal du fonctionnement du limousin ?

Faute d'obtenir reaction de votre part nous presenterons sous 48 heures saisine a la pairie ainsi que rapport a la chancellerie sur les methodes mafieuse et la pourriture qui gangrene la justice limousine

Justice triomphera
La ligue Limousine Libertaire et Libertine
Le 19 mai 1459




Citation:
A Ephyael,
Mécontent chronique en déficit de confiance manifeste,

Salutations.

Sachez que tout ne vous est pas visible. Si aucun changement n'a actuellement eu lieu, c'est que les erreurs que vous dénonciez sont en cours d'éclaircissement voire ont totalement été clarifiées au sein du Conseil comtal. Les mises au point se sont succédées, avec avis de Xollir Enparlëor, Procureur à la Cour d'Appel, à l'appui.

Dès lors, une saisine est inutile, je le crains fort, d'autant que les Pairs ont fort à faire par ailleurs. Il y a eu problème, il est en cours de résorption, directives ont été donnés en ce sens. Que demander de plus ?

Le Très-Haut veille sur vous et vous préserve de travers procéduriers.

S.C.
19 mai 1459




Citation:
De Sindanarie Carsenac, Comtesse du Limousin et de la Marche,
A tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,

Salutations.


De la fermeture des frontières aux ressortissants du Ponant

Rappelons par la présente notre précédente annonce : nos frontières sont totalement fermées aux ressortissants d'une province du Ponant. Ceux qui se trouvent sur le territoire du Limousin et de la Marche doivent quitter ces Comtés dans les plus brefs délais.

Le passage sur le territoire du Limousin et de la Marche ne sera plus autorisée qu'aux ressortissants de provinces étrangères au Ponant ayant réalisé une demande de laissez-passer et l'ayant reçue avant d'y pénétrer, exception faite des membres des Ordres royaux de chevalerie. Ceux-ci demeurent libre d'aller et venir en Limousin et en Marche ainsi que d'y séjourner sans demande de laissez-passer préalable.


Des suites judiciaires de l'action du Duc Nilas d'Artignac

Le Procureur Arnaut de Malemort se trouve actuellement surchargé de dossiers et ne peut mettre en procès, comme le veut la coutume limousine, le Duc Nilas d'Artignac pour les faits de révolte aggravée qui lui sont reprochés. En conséquence, nous autorisons, à titre exceptionnel, le maire de Limoges Zeinar à effectuer sa mise en procès, afin de permettre à la justice de nos Comtés de suivre son cours.


De la sécurité des villes du Limousin et de la Marche

A l'heure actuelle, aucune ville du Limousin et de la Marche ne peut considérer qu'elle est en sécurité. Il est probable que la destruction de l'armée Yop par la Compagnie d'ordonnance du Limousin et de la Marche sera prétexte au pillage méthodique du Comté.

En conséquence, nous appelons les habitants de chaque ville à contacter leur maire élu et à lui proposer leur aide pour la défense de leur cité.


Puisse le Très-Haut garder le Limousin et la Marche, ses habitants et ses institutions.


Fait à Limoges, le vingt-huitième jour de mai mil quatre cent cinquante-neuf





Citation:
Acte d'accusation

[D'un pas majestueux, d'une allure assuré, déterminé, et fier, le procureur s'avança pour prononcer l'acte d'accusation. Il était très fier de tenir son premier vrai brigand, et donc, d'espérer l'éprouver par quelque une de ses exquises sentences.]

- Madame le Juge, Dame de Varetz, le bonjour. C'est tout à fait attristé que nous prenons parole devant la cour de justice pour des faits les plus délictueux. C'est un acte honteux qui a été réalisé la nuit dernière, une atteinte grave à l'intégrité du Limousin. Je parle évidemment de la prise de la mairie de Ventadour, en date d'aujourd'hui, donc du 7 mai 1459.

Ce trouble à l'ordre publique manifeste rentre dans le cadre des révoltes totalement injustifiées, définies par le Coutumier Lémovice en ces termes :

Article IV.1.3.1 Trouble à l'ordre public aggravé.
Tout acte portant préjudice grave à l'économie et au peuple limousin de nature à en déstabiliser l'équilibre.
[...]
2) Révoltes injustifiées
Révoltes ayant pour but de renverser le pouvoir en place dans une Mairie sans l'accord du Conseil Comtal. La prise de force d'une Mairie sans l'accord du Conseil, son pillage est de la dernière gravité.

Le conseil comtal n'avait évidemment pas donné son accord, aucune annonce de sa Grandeur la Comtesse Carsenac. C'est donc un pillage tout à fait méprisable, et punissable.

Ainsi, nous, Arnaut de Malemort, procureur du Limousin & de la Marche, intentons un procès à l'encontre de Deskil pour trouble à l'ordre publique de force 4, ce qui est beaucoup, sur une échelle de 5. L'accusé a été reconnu grâce à ses mauvais goût vestimentaire. L'association du blanc, du gris et du noir, cette absence de couleur ayant incontestablement choqué les habitants de Ventadour, qui ont pu aisément fournir description de l'accusé.

Nous demandons que celui-ci vienne s'explique icelieu, et en sus, nous exigeons que dans son déshonneur, il livre ses camarades, afin d'espérer, si je puis, une belle séance d'épilation collective à la pince chaude, ou mieux, de tester le nouveau pilori à étage.

Nous appelons à témoigner l'ancien maire de Ventadour, Sieur Batouk. Nous avions initialement prévu de faire témoigner Dame Nana Mousse Courie, mais celle-ci, enceinte, pauvre, doit réconforter son enfant unijambiste qui, ayant assisté à la scène, ne se remet toujours pas de la violence des assaillants.

[Alors qu'il s'apprêtait à clôturer son acte d'accusation, on vînt discrètement lui susurrer quelque mot à l'oreille droite.]

- Votre honneur, nous apprenons à l'instant que notre autre témoin, Messire Ordralfabétix, ne pourra pas se rendre au tribunal pour témoigner. En effet, celui-ci, borgne de son état, le pauvre malheureux, a reçu du jus de poisson pourrie dans l'oeil qui lui restait. Signe supplémentaire d'une violence excessive. Les médecins lui prescrit 15 ave Maria, et 20 Crédo. Mais ne vous inquiétez pas, nous trouverons tout de même quelqu'un



Citation:
acte d'accusation 2
[Le procureur, qui regrettait amèrement son étoffe noire en ce jour de forte chaleur, et où les rayons du soleil venait bouillir son sang, commença son accusation légèrement désappointé.]

- Dame de Varetz, votre honneur, le bonjour ! En ce 9ieme jour du mois de mai 1459, nous intentons un procès à l'encontre de Seblebeau pour trouble à l'ordre publique. En effet, en date dans la nuit du 8 au 9 mais 1459, celui a tenté de prendre par révolte la mairie de Tulle !

C'est donc un procès de moyenne justice que nous ouvrons en ce jour, d'après le coutumier :

Article IV.1.2.1 Troubles à l'ordre public :
a. Tout acte portant préjudice à une personne ou à un groupe de personnes, ou susceptible de le faire, de quelque nature qu'il soit, sera considéré comme trouble à l'ordre public. Il en sera de même de tout acte nuisant à la quiétude publique.

Nous comprenons aisément que des étrangers aient envie de visiter de belle mairie la nuit, c'est en effet le moment le plus calme, mais il est cependant inconvenant de resister à l'opposition des maréchaux.

Notre premier témoin sera donc Madame Calamande, qui a reconnu l'accusé. Celui-ci avait-il pour volonté ferme de prendre la mairie ? Cherchait-il seulement un toit pour s'abriter ? L'accusé n'étant du Limousin, et nos coutumes lui étant inconnu, peut-être aura-t-il, par inadvertance, suivi un groupe d'individu ?

Les explications de l'accusé seront plus que nécessaire pour venir à bout de se procès tortueux.


Citation:
Acte d'accusation 3

[Le procureur, muni d'une longue robe noire (devenu depuis la tenu officielle des procureurs) s'avança devant la juge Seleina, pour lancer une nouvelle affaire d'escroquerie.]

- En ce 4ieme jour du mois de mai 1459, nous, Arnaut de Malemort, intentons un procès à l'encontre de Messire XTC, pour escroquerie.

En effet, en date du 30 mai de cette même année, soit à peine 5 jours après les fêtes de Pâques, le sieur a vendu sur le marché de Guéret, un kilo de minerai de fer. Rien de bien grave me direz-vous, un simple kilo de minerai de fer pour certains ... MAIS UN GRAIN DE SABLE SUFFIT POUR OBSTRUER LES PORES D'UNE PEAU DE PÈCHES ET LA FAIRE SUFFOQUER JUSQU'AU MOISI ! La loi est la même pour tous ! Si votre honneur nous le permet, nous aimerons rappeler la loi qui régit notre beau Comté en matière économique.

[Sortant de son fatras un papier plus beau que les autres, il le brandit aux yeux de tous, puis entrepris sa lecture : ]

- Hormis le fer, dont la vente nécessite l'autorisation comtale ou municipale, et les autres denrées soumises à régulation, l'achat et la vente de marchandises, dans le comté du Limousin et de la Marche est totalement libre.

Voila donc l'article 12 du livre du Coutumier Lemovice sur l'économique, et plus précisément, sur la libre circulation des marchandises

Seul la mairie et le Comté ont le droit de vendre du fer sur le marché. L'accusé avait-il le droit ? Que nenni votre honneur ! Pour témoigner de cela, nous invitons tout d'abord Dame Arthaud, maire de Guéret, et enfin, florent6901, Lieutenant de Guéret, qui a pris sur le fait cet truandaille*.

*voyou



Citation:

Acte d'accusation 4

[En ce lancement de nouveau procès, le Malemort était à mi-chemin entre l'appréhension, et le contentement. S'élançant d'un pas faussement assuré, pour donner le change, il s'exclama.]

- Votre honneur, Madame de Varetz, salutation. Ce sont des faits de la plus hautes importances qui nous mènent à vous. L'accusé, ici présent, n'est autre que l'ancien maire de Ventadour : Messire Batouk75.

Ainsi, en ce 9ieme jour du mois de mai 1459, nous, Arnaut de Malemort, procureur du Limousin & de la Marche, intentons un procès à l'encontre de Messire Batouk75 pour trahison.

La trahison se définit ainsi dans le coutumier Lémovice, d'après l'article IV.1.3.2 du livre sur la justice :

De la trahison: Tout acte portant atteinte au Limousin-Marche, ou susceptible de le faire, qui serait commis par une personne lui devant fidélité sera considéré comme acte de trahison.

Les faits ayant été commis alors que l'accusé était maire de ventadour, il serait difficile de nier le lien de fidélité entre l'accusé et le Comté du Limousin et de la Marche.

Nous reprochons à l'accusé d'avoir usé de sa charge de maire, et des moyens de communications mis à sa disposition en tant que telle, à savoir l'envoi de courrier massif, pour se faire de la propagande pour les élections municipales.

Le Coutumier Lémovice, et le livre sur les Villes et Villages définit clairement les limites des droits des maires :

b. Les pouvoirs du maire ne sauraient en aucun cas être utilisés à son bénéfice personnel, qu'il soit moral ou financier.

Le maire a la possibilité de se représenter autant de fois qu'il le souhaite. Toutefois, dans un souci d'équité entre les différents compétiteurs, il ne devra pas utiliser les moyens institutionnels de communication à des fins de campagne (courriers du maire, panneau d'annonces de la mairie, taverne municipale).

Maintenant, nous allons citer le passage du courrier du maire envoyé en date du 5 ou du 6 mai, selon la date de réception, ou celui-ci avoue lui-même faire de la propagande :

-------------------------------------
C'est bientôt les élections, je vous informe que je me représente. Si ce premier mandat vous a plu, n'hésitez pas, les actions menées seront sensiblement les mêmes (avec de nouvelles animations!). Je ne vous fait pas plus de propagande, sachant que les autres candidats ne peuvent pas faire de même.
-------------------------------------

Il y a là une incitation claire au vote pour Batouk, un appel à sa réélection. Le prosélytisme politique est une plaie pour le Limousin ! Les courriers du maire qui sont envoyés de manière automatique, et non manuel, ne seraient être utilisé à des fins politiques. Batouk essaye de faire passer sa faute pour un zèle informatif, mais c'est exactement le problème ! Il présente même, de façon succinct, son propre programme électoral.

Si de tels agissement sont interdis, c'est justement car ils déséquilibrent la balance politique municipale, et stigmatise insidieusement toutes les personnes qui penseraient autrement. Il s'agit là d'une atteinte grave aux libertés chères à notre province. Nous exigeons des explications !



Citation:
Acte d'accusation 5

[Suite à la mairie de Ventadour, il y avait un certain nombre de procès à lancer. Ce qui fut fait.]

- Votre Honneur, Dame de Varetz, c'est en ce beau jour du 9 mai 1459 que nous, Arnaut de Malemort, intentons un procès à l'encontre de lulu point point, que nous appelerons lulu par facilité, pour le motif de trouble à l'ordre publique.

En effet, dans la nuit du 8 au 9 mai de cette même année, dame Lulu.. a été surprise avec un groupe d'individu en état d'ébriété certains, tentant de prendre d'assaut la mairie de Tulle, bafouant ainsi, l'article IV.1.2.1 du Coutumier Lémovice indiquant :

Troubles à l'ordre public :
a. Tout acte portant préjudice à une personne ou à un groupe de personnes, ou susceptible de le faire, de quelque nature qu'il soit, sera considéré comme trouble à l'ordre public. Il en sera de même de tout acte nuisant à la quiétude publique.

Le trouble a été avéré par un groupe de maréchaux, qui a tenté de repousser l'accusé ici présente, qui �uvrait un groupe, apparemment tout aussi perdu qu'elle.

L'accusé a été reconnu par Monsieur Smithy59, que nous appelons a témoigner en ce jour.




Extrait du codex du limousin
Citation:
Article III.1.4 : L'acte d'accusation doit mentionner certaines informations pour être recevable.
Elles sont les suivantes:

* Le nom du procureur
* Le nom du juge
* Le nom de l'accusé
* Le nom de la victime
* Le lieu et la date de l'infraction
* Le détails de l'infraction
* Les références juridiques
* Les preuves
* Le nom du ou des témoins
* La date, lieu et signature du procureur


Seleina a écrit:
Citation:
Aux pairs de France,


J'apprends ce jour dépôt de saisine concernant les actes d'accusation développés par sieur Arnaut de Malemort.

Je viens par la présente préciser certains points afin d'éclaircir le débat.

Hormis l'acte d'accusation concernant sieur Xtc, relaxé pour vice de procédure, l'erreur pouvant être imputée à un lieutenant trop impatient qui a déposé le dossier en salle de plaintes en omettant de proposer réglement amiable au préalable comme le veut la coutume, les autres actes sont conformes. L'on y trouve les textes de lois, le motif du délit et les faits reprochés au prévenu afin que celui ci sache ce qui lui est reproché et puisse se défendre en conséquence. Le vicomte Arnaut de Malemort n'a donc rien à se reprocher. Et si la procure omet de signifier un léger détail dans son acte d'accusation, elle peut toujours corriger cette erreur minime et sans importance dans son réquisitoire. Rien ne l'interdit. L'essentiel étant que l'on sache qui agissait en tant que procureur au moment des faits, qui était juge... Ce qui est le cas ici ou peut être facilement précisé dans le réquisitoire encore une fois.


J'ai pris le temps à l'époque de demander confirmation auprès de sieur Xollir Enparlëor, procureur à la cour d'appel qui m'a indiqué ceci :


Citation:
J'ai parcouru rapidement les loys du Limousin, et je dois dire qu'elles me semblent claires : il est imposé au procureur de fournir ces éléments dans l'acte d'accusation. Y manquer, je ne vous le cache point, fait peser sur le procès un gros risque. Ceci étant dit, citer les éléments dans le réquisitoire, en une tentative d'amendement, ne peut point faire de mal.

Si vous devez rendre verdict sur une telle affaire, à vous de juger si les vices ont été réparés ou non. Mon conseil est le suivant : explicitez brièvement votre conclusion à ce sujet, sans vous y attarder mais sans l'ignorer. Une ou deux phrases devraient faire l'affaire.

Si j'avais à juger cette affaire en Cour d'Appel, je regarderais quels éléments le procureur a oublié. S'il omet de préciser que le procès se tient en la Cour du Limousin, ma foy, ce n'est guère dérangeant. Si par contre il oublie de décrire les faits, le procès est pour ainsi dire irrécupérable.


Nulle part, sieur Arnaut n'a omis d'expliciter les faits reprochés.

J'ajoute que ces affaires sont en cours de jugement. Nous en sommes aux réquisitoires pour la plupart, verdicts n'ont pas encore été rendus pour quatre de ces affaires.

Quant à mon manque de réaction, je ne vois pas en quoi ni pourquoi je devrais réagir.
La procure est indépendante du juge. Celui ci n'a pas à lui dicter ses actes. Chacun ayant un rôle bien défini comme l'indique le texte sur la justice édicté par notre coutumier, je cite :


Citation:
Il (Le juge) a le devoir de rendre son verdict en se basant uniquement sur les preuves déposées au dossier, aux témoignages des témoins ainsi que les plaidoiries de la défense et de l'accusation entendus lors du procès.


Ainsi je n'ai pas à avoir d'autre réaction que celle de juger avec impartialité les faits qui me sont présentés,ce dans leur ensemble, avant de prononcer le moindre verdict.


Merci de m'avoir lue.
Respectueusement,

Seleina Romans, dame de Varetz,
Juge au service du Limousin et Marche.
Citation:




Citation:























Arnaut_de_malemort a écrit:
Citation:


    De nous, Arnaut de Malemort,
    A à la très noble assemblée des Pairs de France,
    Vos Seigneuries,

    Salut !

    Chaque jour que notre le Très-Haut fait, alors que défile les saisines en votre bureau, nous louons le ciel de votre sagesse et de votre inébranlable patience. Ainsi, puisqu'il n'en est pas coutume lors de la lecture des différents témoignages, nous tenons à débuter le notre par une boutade. Espérant que cela adoucira votre journée :


    C'est donc Monique et Germaine, deux vieilles paysannes, qui s'en vont ramasser les patates dans les champs.
    Soudain Monique sort de la terre humide, 2 grosses patates et dit :
    - Vindiou, on dirait les couilles de Dragonet !!
    Germaine, étonnée par la taille des féculents :
    - Oooohhh aussi grosses ??
    et Marie :
    - Non aussi sales

    Rentrons maintenant dans les détails de la saisine. Nous nous contenterons de faire remarquer à vos seigneuries que la plainte du Sieur Ephyael souffre cruellement de pertinence, et qu'il se garde bien de pointer avec précision les vices de nos actes d'accusations. Un homme éduqué au déchiffrage des mots, ce qui n'est visiblement pas le cas d'Ephyael, aura, après une simple lecture, du mal à convenir des manquements de procédures. C'est simple : ce qu'il nous reproche de ne pas y inscrire, y est pourtant bel et bien. Il est donc aisé de voir ici une distorsion factuelle, conforme à l'intention directrice d'Ephyael. Nous sommes en réalité béat devant l'énergie déployé par l'éternelle amuseur de fille du Limousin, qui dénonce des fautes, là où toutes preuves, et même celles présentés par lui, s'y oppose. Certains y verront de la ruse, moi, j'y vois surtout de la bêtise.

    Ceci étant dit, nous ne pouvons nous empêcher de remarquer que le combat que mène, à son niveau de compréhension, le jeune Ephyael, pour une justice procédurière, est justement celui que tous les feudataires de France ont récemment dénoncé à travers une lettre ouverte à la Reine, et à la Cour d'Appel de France. Le Limousin a montré sa volonté de ne pas faire de la forme du procès un carcan étroit et dogmatique, mais bien le support d'une information judiciaire.

    Nous apportons tous notre courage et notre soutiens à vos Seigneuries pour résoudre ce cas oh combien épineux.

    Amitié Aristotélicienne,

    Arnaut de Malemort


Dragonet a écrit:
Citation:
De nous, Dragonet de castelcerf
A à la très noble assemblée des Pairs de France,
Vos Seigneuries,

ayant eu vent de l'humour du fils de celle qui insulta mainte fois la reyne, me voila donc mis au rang de sa majesté, victime des quolibets malemort.

Il est cependant dommage que ce jeune homme ne soit justement lui même pas assez couillu pour me servir son humour en face. Nul doute que si le descriptif s’avérait être vrai, cela ne pourrait être provoqué que par le fait de me souiller au contact de mignon dans son genre, plus prompte à se baisser qu'a se dresser.

cette précision étant faite, je vous rend à vos augustes travaux, et je précise que c'est bien un document à charge sur le dossier, rappelons qu'une enquête à déjà été demandé à l'encombre du morveux, et qu'elle n'attend que la disponibilité du grand prévôts de France. .

courtoisement,

Dragonet de Castelcerf


Ephyael a écrit:
Citation:
Au pair de France

Nous ne reviendrons point sur la blague douteuse de sir Arnault de Malemort nous y repondrons seulement par une histoire limousine
Savez vous pourquoi les blagues sur Dragonet font rire Arnaut de Malemort ? Ben parce que c'est les seuls qu'il comprend !

Ceci etant dit nous precisons au sir Arnaut et au pair de France que les defauts reprocher sont bien evidement l'absence de date, de signature et de lieu qui brille tellement par leur absence que meme mon fils de 9 ans l'(avais remarqué

Ephyael

_________________
melior
Code:
[rp][quote]
[i][b][size=18]A[/size][/b] [size=12] Ephyael ,


Nous,  Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France ne peut donner suite à sa saisine demandant de rappeler à la Comtesse du Limousin et de la Marche que toute justice se doit de respecter son propre code de procédure mise en place. Ceci est du ressort du Grand Chancelier de France, ainsi que stipulé dans les statuts de la Grande Chancellerie de France :[/i][/size]

[quote]Préambule - Du Chancelier de France

Il est à la tête de l’administration judiciaire du Royaume. Il est gardien du Sceau Royal qui scelle les actes Royaux. Son rôle est de veiller à la Justice dans le Royaume, de veiller à l’amélioration constante des structures et pratiques judiciaires, à observer les méthodes des juges, à contrôler que la Loi Royale soit appliquée. Il sert de lien permanent entre les autorités judiciaires locales et le Droit Royal. Il détient ainsi le pouvoir judiciaire, le pouvoir législatif étant du ressort de la Pairie de France. [/quote]

[i][size=12]Faict à Paris le neuvième jour du mois de juin de l'an de Grâce 1459.[/i][/size]

[img]http://img821.imageshack.us/img821/2679/maini.png[/img]

[URL=http://img641.imageshack.us/i/sceaumeliorfeejaune.png/][img]http://img641.imageshack.us/img641/8965/sceaumeliorfeejaune.png[/img][/URL]

[/quote][/rp]


[quote="Ephyael"][quote] Aux pairs de France,

Par la présente , Nous, Ephyael , citoyen du limousin saisissons la haute assemblée des affaires courante de justices du limousin

Disons qu'en date du 17 mai 1459 nous informions ,à travers notre organisation la ligue limousine libertaire et libertine (4L),  la comtesse du limousin par courrier rendu publique d'irregularités dans les proces mener par sir Arnault de Malemort et presider par Dame Seleina . Courrier que nous joignions a nostre saisine.

Disons avoir par lettre du 19 mai relancer la comtesse sur l'etat de la situation avons accusé reception le meme jour d'un reponse de sa part nous assurant qu'enquete etais mener (voir courrier joint)

Disons avoir a ce jour du 30 mai 1459 vu nul avancé dans notre legitime demande et au contraire nous constatons que la situation s'empire comme le confirme la declaration recente de la comtesse du limousin. Le procureur Arnault de Malemort etais visblement pleinement defaillant selon ses dires calfeutrer par de pauvre excuses

Ajoutons que , comme le prouve les 5 actes d'accusation jointe aux dossiers, lancer par le procureur Arnault de Malemort et comme le prouve l'extrait du code de procedure de la justice limousine. Le procureur arnault de malemort qui a lui meme en son mandat de comte fait valider ce texte de procedure a violer le dit code et rendu obselete la justice du limousin

Que par son manque de reaction la juge Seleina contribue a maintenir cet etat d'obselescance perpetuelle sur les affaire de justice du limousin . Que par son manque de reaction malgres plusieur lettre la comtesse du limousin contibue a rendre sa justice inutilisable pour ses concitoyens limousin et autres justiciable francais et etranger

Nous demandons a la haute d'assemblée de rappeler a la comtesse du limousin que toute justice se doit de respecter son propre code de procedure mise en place.
De constater la carence pleine et entiere du fait de sa procure defaillante de la justice du limousin a l'heure actuelle
De faire suspendre toute affaire de justice du limousin et de depayser toute les affaires en cours et a venir sur les duchés voisins du Berry, de l' Auvergne, de Guyenne et du Perigord a egale repartition du nombre et ceux jusqu'a ce que la comtesse du limousin est demis son procureur et sa juge responsable de ce desordre de leur poste

Pour que justice soit

Ephyael,
Le 30 mai 1459[/quote]


[quote]A la comtesse du Limousin,
Au conseillé du limousin,
Au peuple libre du limousin
Au citoyens encore enchainé,

Nous membre de la ligue accusons le sieur Arnault de Malemort d'avoir sciement saboter les proces qui lui fut confier afin de se venger d'avoir perdu les elections

Sur les 6 dossiers presenter par le sieur Arnault , tous sont entacher de faute grave de procedure . Il ne peut pretendre a une etourderie car la même erreur a etais faite dans 6 dossiers sur 6
Arnault ne peut pretendre ne pas connaitre le dit code de procedure puisqu'il la lui meme refait valider quand il a creer le nouveau codex.

Tous ses faits nous prouve qu' Arnault de Malemort a agi sciement pour aneantir la justice du Limousin

Nous membre de la ligue accusons Seleina d'avoir couvert son procureur. En effet la dame ne peut pas pretendre ne pas connaitre la loi puisqu'elle la selon les sources ecrite, desiré et defendu ardement lorsque les membres de la ligues lui ont fait remarquer que cela etais source d'erreur. Elle ne peut pretendre a l'etourderie puisqu'elle a rendu jugement sur un des dossiers ouvert sans en mentionner l'erreur faite a son procureur.

Devant cette faillite collective de la justice Limousine, nous membre de la ligue exigeons des sanctions et des changements immediat. Nous tenons des a present chaque conseillé comme responsable de la situation actuelle car Tous et Toute ont profondement manqué de vigilance quand a l'exercice de la justice actuelle.

En consequence de quoi nous demandons :
1 ) La demission immediate d' Arnault de Malemort du poste de procureur, de son poste de conseillé comtale. Sa parution devant la cour de justice pour trahison, l'ouverture d'un proces heraldique en decheance de ses titres
2) La demission immediate du poste de Juge de Seleina, son attribution a un role plus en adecquation avec ses qualités
3) la nommination rapide d'un nouveau procureur et un nouveau juge. 4) L'arret immediat de tout les dossier de justice en cours
5) Une lettre d'excuse a chaque partie en presence dans les proces non valable

Que tous sache que La ligue est toujours vigilante a ce qui se passe en Limousin et que nous continuerons nos effort pour le bien etre de tous. Il ne sert donc a rien au conseil de gagner du temps ou de cacher ses erreurs . Tout ce sait et tout nous dirons

Le 17 mai 1459
Pour le Limousin eclairé et libre
LA LIGUE LIMOUSINE LIBERTAIRE ET LIBERTINE[/quote]


[quote]A la comtesse du Limousin,

Il y a de cela quelque jours nous revelions au limousins les incompetences et manipulations de Seleina et Arnault .

Nous nous etonnons que vous n'ayez pas encore pris la peine de reagir et d'exiger les demissions des deux fautifs.

Dois t on en conclure que pour vous les erreurs et magouille en justice sont un etat normal du fonctionnement du limousin ?

Faute d'obtenir reaction de votre part nous presenterons sous 48 heures saisine a la pairie ainsi que rapport a la chancellerie sur les methodes mafieuse et la pourriture qui gangrene la justice limousine

Justice triomphera
La ligue Limousine Libertaire et Libertine
Le 19 mai 1459[/quote]



[quote]A Ephyael,
Mécontent chronique en déficit de confiance manifeste,

Salutations.

Sachez que tout ne vous est pas visible. Si aucun changement n'a actuellement eu lieu, c'est que les erreurs que vous dénonciez sont en cours d'éclaircissement voire ont totalement été clarifiées au sein du Conseil comtal. Les mises au point se sont succédées, avec avis de Xollir Enparlëor, Procureur à la Cour d'Appel, à l'appui.

Dès lors, une saisine est inutile, je le crains fort, d'autant que les Pairs ont fort à faire par ailleurs. Il y a eu problème, il est en cours de résorption, directives ont été donnés en ce sens. Que demander de plus ?

Le Très-Haut veille sur vous et vous préserve de travers procéduriers.

S.C.
19 mai 1459[/quote]



[quote]De Sindanarie Carsenac, Comtesse du Limousin et de la Marche,
A tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,

Salutations.


De la fermeture des frontières aux ressortissants du Ponant

Rappelons par la présente notre précédente annonce : nos frontières sont totalement fermées aux ressortissants d'une province du Ponant. Ceux qui se trouvent sur le territoire du Limousin et de la Marche doivent quitter ces Comtés dans les plus brefs délais.

Le passage sur le territoire du Limousin et de la Marche ne sera plus autorisée qu'aux ressortissants de provinces étrangères au Ponant ayant réalisé une demande de laissez-passer et l'ayant reçue avant d'y pénétrer, exception faite des membres des Ordres royaux de chevalerie. Ceux-ci demeurent libre d'aller et venir en Limousin et en Marche ainsi que d'y séjourner sans demande de laissez-passer préalable.


Des suites judiciaires de l'action du Duc Nilas d'Artignac

Le Procureur Arnaut de Malemort se trouve actuellement surchargé de dossiers et ne peut mettre en procès, comme le veut la coutume limousine, le Duc Nilas d'Artignac pour les faits de révolte aggravée qui lui sont reprochés. En conséquence, nous autorisons, à titre exceptionnel, le maire de Limoges Zeinar à effectuer sa mise en procès, afin de permettre à la justice de nos Comtés de suivre son cours.


De la sécurité des villes du Limousin et de la Marche

A l'heure actuelle, aucune ville du Limousin et de la Marche ne peut considérer qu'elle est en sécurité. Il est probable que la destruction de l'armée Yop par la Compagnie d'ordonnance du Limousin et de la Marche sera prétexte au pillage méthodique du Comté.

En conséquence, nous appelons les habitants de chaque ville à contacter leur maire élu et à lui proposer leur aide pour la défense de leur cité.


Puisse le Très-Haut garder le Limousin et la Marche, ses habitants et ses institutions.


Fait à Limoges, le vingt-huitième jour de mai mil quatre cent cinquante-neuf[/quote]




[quote]Acte d'accusation

[D'un pas majestueux, d'une allure assuré, déterminé, et fier, le procureur s'avança pour prononcer l'acte d'accusation. Il était très fier de tenir son premier vrai brigand, et donc, d'espérer l'éprouver par quelque une de ses exquises sentences.]
 
- Madame le Juge, Dame de Varetz, le bonjour. C'est tout à fait attristé que nous prenons parole devant la cour de justice pour des faits les plus délictueux. C'est un acte honteux qui a été réalisé la nuit dernière, une atteinte grave à l'intégrité du Limousin. Je parle évidemment de la prise de la mairie de Ventadour, en date d'aujourd'hui, donc du 7 mai 1459.

Ce trouble à l'ordre publique manifeste rentre dans le cadre des révoltes totalement injustifiées, définies par le Coutumier Lémovice en ces termes :
 
Article IV.1.3.1 Trouble à l'ordre public aggravé.
 Tout acte portant préjudice grave à l'économie et au peuple limousin de nature à en déstabiliser l'équilibre.
[...]
 2) Révoltes injustifiées
 Révoltes ayant pour but de renverser le pouvoir en place dans une Mairie sans l'accord du Conseil Comtal. La prise de force d'une Mairie sans l'accord du Conseil, son pillage est de la dernière gravité.

Le conseil comtal n'avait évidemment pas donné son accord, aucune annonce de sa Grandeur la Comtesse Carsenac. C'est donc un pillage tout à fait méprisable, et punissable.
 
Ainsi, nous, Arnaut de Malemort, procureur du Limousin & de la Marche, intentons un procès à l'encontre de Deskil pour trouble à l'ordre publique de force 4, ce qui est beaucoup, sur une échelle de 5. L'accusé a été reconnu grâce à ses mauvais goût vestimentaire. L'association du blanc, du gris et du noir, cette absence de couleur ayant incontestablement choqué les habitants de Ventadour, qui ont pu aisément fournir description de l'accusé.
 
Nous demandons que celui-ci vienne s'explique icelieu, et en sus, nous exigeons que dans son déshonneur, il livre ses camarades, afin d'espérer, si je puis, une belle séance d'épilation collective à la pince chaude, ou mieux, de tester le nouveau pilori à étage.
 
Nous appelons à témoigner l'ancien maire de Ventadour, Sieur Batouk. Nous avions initialement prévu de faire témoigner Dame Nana Mousse Courie, mais celle-ci, enceinte, pauvre, doit réconforter son enfant unijambiste qui, ayant assisté à la scène, ne se remet toujours pas de la violence des assaillants.

[Alors qu'il s'apprêtait à clôturer son acte d'accusation, on vînt discrètement lui susurrer quelque mot à l'oreille droite.]
 
- Votre honneur, nous apprenons à l'instant que notre autre témoin, Messire Ordralfabétix, ne pourra pas se rendre au tribunal pour témoigner. En effet, celui-ci, borgne de son état, le pauvre malheureux, a reçu du jus de poisson pourrie dans l'oeil qui lui restait. Signe supplémentaire d'une violence excessive. Les médecins lui prescrit 15 ave Maria, et 20 Crédo. Mais ne vous inquiétez pas, nous trouverons tout de même quelqu'un[/quote]


[quote]acte d'accusation 2
[Le procureur, qui regrettait amèrement son étoffe noire en ce jour de forte chaleur, et où les rayons du soleil venait bouillir son sang, commença son accusation légèrement désappointé.]
 
- Dame de Varetz, votre honneur, le bonjour ! En ce 9ieme jour du mois de mai 1459, nous intentons un procès à l'encontre de Seblebeau pour trouble à l'ordre publique. En effet, en date dans la nuit du 8 au 9 mais 1459, celui a tenté de prendre par révolte la mairie de Tulle !
 
C'est donc un procès de moyenne justice que nous ouvrons en ce jour, d'après le coutumier :
 
Article IV.1.2.1 Troubles à l'ordre public :
 a. Tout acte portant préjudice à une personne ou à un groupe de personnes, ou susceptible de le faire, de quelque nature qu'il soit, sera considéré comme trouble à l'ordre public. Il en sera de même de tout acte nuisant à la quiétude publique.

Nous comprenons aisément que des étrangers aient envie de visiter de belle mairie la nuit, c'est en effet le moment le plus calme, mais il est cependant inconvenant de resister à l'opposition des maréchaux.
 
Notre premier témoin sera donc Madame Calamande, qui a reconnu l'accusé. Celui-ci avait-il pour volonté ferme de prendre la mairie ? Cherchait-il seulement un toit pour s'abriter ? L'accusé n'étant du Limousin, et nos coutumes lui étant inconnu, peut-être aura-t-il, par inadvertance, suivi un groupe d'individu ?

Les explications de l'accusé seront plus que nécessaire pour venir à bout de se procès tortueux.[/quote]

[quote]Acte d'accusation 3

[Le procureur, muni d'une longue robe noire (devenu depuis la tenu officielle des procureurs) s'avança devant la juge Seleina, pour lancer une nouvelle affaire d'escroquerie.]
 
- En ce 4ieme jour du mois de mai 1459, nous, Arnaut de Malemort, intentons un procès à l'encontre de Messire XTC, pour escroquerie.
 
En effet, en date du 30 mai de cette même année, soit à peine 5 jours après les fêtes de Pâques, le sieur a vendu sur le marché de Guéret, un kilo de minerai de fer. Rien de bien grave me direz-vous, un simple kilo de minerai de fer pour certains ... MAIS UN GRAIN DE SABLE SUFFIT POUR OBSTRUER LES PORES D'UNE PEAU DE PÈCHES ET LA FAIRE SUFFOQUER JUSQU'AU MOISI ! La loi est la même pour tous ! Si votre honneur nous le permet, nous aimerons rappeler la loi qui régit notre beau Comté en matière économique.
 
[Sortant de son fatras un papier plus beau que les autres, il le brandit aux yeux de tous, puis entrepris sa lecture : ]
 
- Hormis le fer, dont la vente nécessite l'autorisation comtale ou municipale, et les autres denrées soumises à régulation, l'achat et la vente de marchandises, dans le comté du Limousin et de la Marche est totalement libre.

Voila donc l'article 12 du livre du Coutumier Lemovice sur l'économique, et plus précisément, sur la libre circulation des marchandises
 
Seul la mairie et le Comté ont le droit de vendre du fer sur le marché. L'accusé avait-il le droit ? Que nenni votre honneur ! Pour témoigner de cela, nous invitons tout d'abord Dame Arthaud, maire de Guéret, et enfin, florent6901, Lieutenant de Guéret, qui a pris sur le fait cet truandaille*.
 
*voyou[/quote]


[quote]
Acte d'accusation 4

[En ce lancement de nouveau procès, le Malemort était à mi-chemin entre l'appréhension, et le contentement. S'élançant d'un pas faussement assuré, pour donner le change, il s'exclama.]
 
- Votre honneur, Madame de Varetz, salutation. Ce sont des faits de la plus hautes importances qui nous mènent à vous. L'accusé, ici présent, n'est autre que l'ancien maire de Ventadour : Messire Batouk75.

Ainsi, en ce 9ieme jour du mois de mai 1459, nous, Arnaut de Malemort, procureur du Limousin & de la Marche, intentons un procès à l'encontre de Messire Batouk75 pour trahison.

La trahison se définit ainsi dans le coutumier Lémovice, d'après l'article IV.1.3.2 du livre sur la justice :
 
De la trahison: Tout acte portant atteinte au Limousin-Marche, ou susceptible de le faire, qui serait commis par une personne lui devant fidélité sera considéré comme acte de trahison.

Les faits ayant été commis alors que l'accusé était maire de ventadour, il serait difficile de nier le lien de fidélité entre l'accusé et le Comté du Limousin et de la Marche.

Nous reprochons à l'accusé d'avoir usé de sa charge de maire, et des moyens de communications mis à sa disposition en tant que telle, à savoir l'envoi de courrier massif, pour se faire de la propagande pour les élections municipales.
 
Le Coutumier Lémovice, et le livre sur les Villes et Villages définit clairement les limites des droits des maires :

 b. Les pouvoirs du maire ne sauraient en aucun cas être utilisés à son bénéfice personnel, qu'il soit moral ou financier.

Le maire a la possibilité de se représenter autant de fois qu'il le souhaite. Toutefois, dans un souci d'équité entre les différents compétiteurs, il ne devra pas utiliser les moyens institutionnels de communication à des fins de campagne (courriers du maire, panneau d'annonces de la mairie, taverne municipale).
 
Maintenant, nous allons citer le passage du courrier du maire envoyé en date du 5 ou du 6 mai, selon la date de réception, ou celui-ci avoue lui-même faire de la propagande :
 
-------------------------------------
 C'est bientôt les élections, je vous informe que je me représente. Si ce premier mandat vous a plu, n'hésitez pas, les actions menées seront sensiblement les mêmes (avec de nouvelles animations!). Je ne vous fait pas plus de propagande, sachant que les autres candidats ne peuvent pas faire de même.
-------------------------------------
 
Il y a là une incitation claire au vote pour Batouk, un appel à sa réélection. Le prosélytisme politique est une plaie pour le Limousin ! Les courriers du maire qui sont envoyés de manière automatique, et non manuel, ne seraient être utilisé à des fins politiques. Batouk essaye de faire passer sa faute pour un zèle informatif, mais c'est exactement le problème ! Il présente même, de façon succinct, son propre programme électoral.

Si de tels agissement sont interdis, c'est justement car ils déséquilibrent la balance politique municipale, et stigmatise insidieusement toutes les personnes qui penseraient autrement. Il s'agit là d'une atteinte grave aux libertés chères à notre province. Nous exigeons des explications ![/quote]


[quote]Acte d'accusation 5

[Suite à la mairie de Ventadour, il y avait un certain nombre de procès à lancer. Ce qui fut fait.]
 
- Votre Honneur, Dame de Varetz, c'est en ce beau jour du 9 mai 1459 que nous, Arnaut de Malemort, intentons un procès à l'encontre de lulu point point, que nous appelerons lulu par facilité, pour le motif de trouble à l'ordre publique.
 
En effet, dans la nuit du 8 au 9 mai de cette même année, dame Lulu.. a été surprise avec un groupe d'individu en état d'ébriété certains, tentant de prendre d'assaut la mairie de Tulle, bafouant ainsi, l'article IV.1.2.1 du Coutumier Lémovice indiquant :
 
Troubles à l'ordre public :
 a. Tout acte portant préjudice à une personne ou à un groupe de personnes, ou susceptible de le faire, de quelque nature qu'il soit, sera considéré comme trouble à l'ordre public. Il en sera de même de tout acte nuisant à la quiétude publique.
 
Le trouble a été avéré par un groupe de maréchaux, qui a tenté de repousser l'accusé ici présente, qui �uvrait un groupe, apparemment tout aussi perdu qu'elle.

L'accusé a été reconnu par Monsieur Smithy59, que nous appelons a témoigner en ce jour. [/quote]



Extrait du codex du limousin
[quote]Article III.1.4 : L'acte d'accusation doit mentionner certaines informations pour être recevable.
Elles sont les suivantes:

* Le nom du procureur
* Le nom du juge
* Le nom de l'accusé
* Le nom de la victime
* Le lieu et la date de l'infraction
* Le détails de l'infraction
* Les références juridiques
* Les preuves
* Le nom du ou des témoins
* La date, lieu et signature du procureur[/quote][/quote]

[quote="Seleina"][quote]Aux pairs de France,


J'apprends ce jour dépôt de saisine concernant les actes d'accusation développés par sieur Arnaut de Malemort.

Je viens par la présente préciser certains points afin d'éclaircir le débat.

Hormis l'acte d'accusation concernant sieur Xtc, relaxé pour vice de procédure, l'erreur pouvant être imputée à un lieutenant trop impatient qui a déposé le dossier en salle de plaintes en omettant de proposer réglement amiable au préalable comme le veut la coutume, les autres actes sont conformes. L'on y trouve les textes de lois, le motif du délit et les faits reprochés au prévenu afin que celui ci sache ce qui lui est reproché et puisse se défendre en conséquence. Le vicomte Arnaut de Malemort n'a donc rien à se reprocher. Et si la procure omet de signifier un léger détail dans son acte d'accusation, elle peut toujours corriger cette erreur minime et sans importance dans son réquisitoire. Rien ne l'interdit. L'essentiel étant que l'on sache qui agissait en tant que procureur au moment des faits, qui était juge... Ce qui est le cas ici ou peut être facilement précisé dans le réquisitoire encore une fois.


J'ai pris le temps à l'époque de demander confirmation auprès de sieur Xollir Enparlëor, procureur à la cour d'appel qui m'a indiqué ceci :


[quote]J'ai parcouru rapidement les loys du Limousin, et je dois dire qu'elles me semblent claires : il est imposé au procureur de fournir ces éléments dans l'acte d'accusation. Y manquer, je ne vous le cache point, fait peser sur le procès un gros risque. Ceci étant dit, citer les éléments dans le réquisitoire, en une tentative d'amendement, ne peut point faire de mal.

Si vous devez rendre verdict sur une telle affaire, à vous de juger si les vices ont été réparés ou non. Mon conseil est le suivant : explicitez brièvement votre conclusion à ce sujet, sans vous y attarder mais sans l'ignorer. Une ou deux phrases devraient faire l'affaire.

Si j'avais à juger cette affaire en Cour d'Appel, je regarderais quels éléments le procureur a oublié. S'il omet de préciser que le procès se tient en la Cour du Limousin, ma foy, ce n'est guère dérangeant. Si par contre il oublie de décrire les faits, le procès est pour ainsi dire irrécupérable. [/quote]

Nulle part, sieur Arnaut n'a omis d'expliciter les faits reprochés.

J'ajoute que ces affaires sont en cours de jugement. Nous en sommes aux réquisitoires pour la plupart, verdicts n'ont pas encore été rendus pour quatre de ces affaires.

Quant à mon manque de réaction, je ne vois pas en quoi ni pourquoi je devrais réagir.
La procure est indépendante du juge. Celui ci n'a pas à lui dicter ses actes. Chacun ayant un rôle bien défini comme l'indique le texte sur la  justice édicté par notre coutumier, je cite :


[quote]Il (Le juge) a  le devoir de rendre son verdict en se basant uniquement sur les preuves déposées au dossier, aux témoignages des témoins ainsi que les plaidoiries de la défense et de l'accusation entendus lors du procès. [/quote]

Ainsi je n'ai pas à avoir d'autre réaction que celle de juger avec impartialité les faits qui me sont présentés,ce dans leur ensemble, avant de prononcer le moindre verdict.


Merci de m'avoir lue.
Respectueusement,

Seleina Romans, dame de Varetz,
Juge au service du Limousin et Marche.[/quote][/quote]

[quote="Ephyael"][quote] Aux pairs de France,

Faisons suite a la lettre de seleina, juge du limousin, nous permettons comme il est coutume d'user de notre droit de reponse ; Droit laisser dans le cadre du dossier

Rappelons que la loi est dure mais qu'elle est la loi. Il est risible qu'une juge censé faire respecter la loi se prevale de largesse honteuse quand a l'application de la loi

Lorsque obligation est faite de faire figurer des elements pour qu'une procedure soit valable alors toute absence des elements entraine obligatoirement la nullité.

C'est en cela que j'estime ma saisine plus que d'actualité car encore a l'heure actuelle , la juge du limousin , s'accroche a des tentative des negociations honteuse avec la loi, des arrangements bas et miserable avec les textes pour justifier les erreurs de son procureur et pire justifier son inaction.

Tout devoir de conseillé ducal, juge ou commissaire au commerce est d'alerter ses confreres lorsqu'un soucis est detecter . La juge aurais du alerter son procureur sur les erreurs qu'il avais commis pour eviter que cela se reproduise or aucun des conseillé du limousin n'a fait cette simple operation il fallut que ce soit moi , simple citoyen qui en alerte le conseil

On tente aujourd'hui d'etouffer les affaires et de minimiser les actes de chacun . Alors que la solidarités n'interesse pas avant bizarrement une fois mis en cause la elle interesse le conseil .

Nous savons qu'il n'est pas dans les habitudes de la cour des pairs de s'aventurer dans des affaires de justices cependant en tant qu'instance supreme elle a le devoir d'agir en cas de defaillance des justices provincales de rappeler les regles de fonctionnement et d'agir pour que les justices fonctionne correctement

Nous rappelons a ce titre l'intervention faite en son temps par sa majesté Levan en Languedoc ou il avait fait cesser tout acte de justice au nom de ses grand principe

Ephyael[/quote][/quote]

[quote="Arnaut_de_malemort"][quote][list]

De nous, Arnaut de Malemort,
A à la très noble assemblée des Pairs de France,
Vos Seigneuries,

Salut !

Chaque jour que notre le Très-Haut fait, alors que défile les saisines en votre bureau, nous louons le ciel de votre sagesse et de votre inébranlable patience. Ainsi, puisqu'il n'en est pas coutume lors de la lecture des différents témoignages, nous tenons à débuter le notre par une boutade. Espérant que cela adoucira votre journée :


C'est donc Monique et Germaine, deux vieilles paysannes, qui s'en vont ramasser les patates dans les champs.
Soudain Monique sort de la terre humide, 2 grosses patates et dit :
- Vindiou, on dirait les couilles de Dragonet !!
Germaine, étonnée par la taille des féculents :
- Oooohhh aussi grosses ??
et Marie :
- Non aussi sales

Rentrons maintenant dans les détails de la saisine. Nous nous contenterons de faire remarquer à vos seigneuries que la plainte du Sieur Ephyael souffre cruellement de pertinence, et qu'il se garde bien de pointer avec précision les vices de nos actes d'accusations. Un homme éduqué au déchiffrage des mots, ce qui n'est visiblement pas le cas d'Ephyael, aura, après une simple lecture, du mal à convenir des manquements de procédures. C'est simple : ce qu'il nous reproche de ne pas y inscrire, y est pourtant bel et bien. Il est donc aisé de voir ici une distorsion factuelle, conforme à l'intention directrice d'Ephyael. Nous sommes en réalité béat devant l'énergie déployé par l'éternelle amuseur de fille du Limousin, qui dénonce des fautes, là où toutes preuves, et même celles présentés par lui, s'y oppose. Certains y verront de la ruse, moi, j'y vois surtout de la bêtise.

Ceci étant dit, nous ne pouvons nous empêcher de remarquer que le combat que mène, à son niveau de compréhension, le jeune Ephyael, pour une justice procédurière, est justement celui que tous les feudataires de France ont récemment dénoncé à travers une lettre ouverte à la Reine, et à la Cour d'Appel de France. Le Limousin a montré sa volonté de ne pas faire de la forme du procès un carcan étroit et dogmatique, mais bien le support d'une information judiciaire.

Nous apportons tous notre courage et notre soutiens à vos Seigneuries pour résoudre ce cas oh combien épineux.

Amitié Aristotélicienne,

Arnaut de Malemort[/list][/quote][/quote]

[quote="Dragonet"][quote]De nous, Dragonet de castelcerf
A à la très noble assemblée des Pairs de France,
Vos Seigneuries,

ayant eu vent de l'humour du fils de celle qui insulta mainte fois  la reyne, me voila donc mis au rang de sa majesté, victime des quolibets malemort.

Il est cependant dommage que ce jeune homme ne soit justement lui même pas assez couillu pour me servir son humour en face.  Nul doute que si le descriptif s’avérait être vrai, cela ne pourrait être provoqué que par le fait de me souiller au contact de mignon dans son genre, plus prompte à se baisser qu'a se dresser.

cette précision étant faite, je vous rend à vos augustes travaux, et je précise que c'est bien un document à charge sur le dossier, rappelons qu'une enquête à déjà été demandé à l'encombre du morveux, et qu'elle n'attend que la disponibilité du grand prévôts de France. .

courtoisement,

Dragonet de Castelcerf[/quote][/quote]

[quote="Ephyael"][quote] Au pair de France

Nous ne reviendrons point sur la blague douteuse de sir Arnault de Malemort nous y repondrons seulement par une histoire limousine
[i]Savez vous pourquoi les blagues sur Dragonet font rire Arnaut de Malemort ? Ben parce que c'est les seuls qu'il comprend ![/i]

Ceci etant dit nous precisons au sir Arnaut et au pair de France que les defauts reprocher sont bien evidement l'absence de date, de signature et de lieu qui brille tellement par leur absence que meme mon fils de 9 ans l'(avais remarqué

Ephyael[/quote][/quote]

_________________
melior


Citation:

Nous, Melior de Lioure,

Signifions par la présente que nous avons formellement remis notre démission de notre poste de Primus Inter Pares, à Sa Majesté Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

Qu'il soit su et certifié,

Faict à Paris le neuvième jour du mois de juin de l'an de Grâce 1459.







Code:
[rp][quote]
[i][b][size=18]N[/size][/b]ous, Melior de Lioure,

Signifions par la présente que nous avons formellement remis notre démission de notre poste de Primus Inter Pares, à Sa Majesté Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

Qu'il soit su et certifié,

Faict à Paris le neuvième jour du mois de juin de l'an de Grâce 1459.[/i]

[img]http://img821.imageshack.us/img821/2679/maini.png[/img]


[URL=http://img641.imageshack.us/i/sceaumeliorfeejaune.png/][IMG]http://img641.imageshack.us/img641/8965/sceaumeliorfeejaune.png[/IMG][/URL][/quote][/rp]

_________________
Actarius


Citation:
Au Peuple d'Anjou,
Aux Grands Feudataires de France.

La Chambre des Pairs de France au Nom de Sa Majesté Beatritz, Reyne du Royaume de France,

En raison de la légalité avérée de la prise de pouvoir par Sa Grasce Kilia de Mauléon Penthièvre, duchesse de Chasteau-En-Anjou, Baronne de Montreuil-Bellay, Comtesse de Pons , Baronne de Mauléon, de la volonté d'apaisement et de conciliation qui a amené à cette prise de pouvoir,

Reconnaît la qualité de régente du Duché d'Anjou à Sa Grasce Kilia de Mauléon Penthièvre, à compter du neuvième jour du mois de juin de l'an de Grâce 1459 et ce, jusqu'aux nouvelles élections.

Qu'il en soit su et certifié.

Faict à Paris le onzième jour du mois de juin de l'an de Grâce 1459.







Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Valnor de Landemorte, Argael Devirieux, Melior de Lioure, Dotch de Cassel.



Code:
[rp][quote][i]Au Peuple d'Anjou,
Aux Grands Feudataires de France.

La Chambre des Pairs de France au Nom de Sa Majesté Beatritz, Reyne du Royaume de France,

En raison de la légalité avérée de la prise de pouvoir par Sa Grasce Kilia de Mauléon Penthièvre, duchesse de Chasteau-En-Anjou, Baronne de Montreuil-Bellay, Comtesse de Pons , Baronne de Mauléon, de la volonté d'apaisement et de conciliation qui a amené à cette prise de pouvoir,

Reconnaît la qualité de régente du Duché d'Anjou à Sa Grasce Kilia de Mauléon Penthièvre, à compter du neuvième jour du mois de juin de l'an de Grâce 1459 et ce, jusqu'aux nouvelles élections.

Qu'il en soit su et certifié.

Faict à Paris le onzième jour du mois de juin de l'an de Grâce 1459.[/i]


[img]http://nsm03.casimages.com/img/2010/07/30//100730123311389346486979.gif[/img]
[img]http://i39.servimg.com/u/f39/11/69/50/92/actari15.png[/img]


[i]Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Valnor de Landemorte, Argael Devirieux, Melior de Lioure, Dotch de Cassel.[/i]  [/quote][/rp]

_________________
Actarius


Citation:
Au Peuple de Périgord et d'Angoumois,
Aux Grands Feudataires de France.

La Chambre des Pairs de France au Nom de Sa Majesté Beatritz, Reyne du Royaume de France,

En raison des incertitudes et les différentes saisines déposées à la suite de la reprise de pouvoir en Périgord-Angoumois par Dame Brygh Ailean McFadyen de Chateaubernard, conseille à Monseigneur Louis Vonafred de la Varenne Salmo Salar, Vicomte de Salignac, Baron de Segonzac, Landmeister de Saint Astier et au Seigneur Anthémios de Deliancourt, Baron de Lalinde et de Massy en Isle-de-France d'adresser une demande d'enquête à la Grande Prévôté Royale, ce que la Chambre des Pairs n'a pas vocation à faire.

Dans l'attente de ces éclaircissements, la Chambre des Pairs ajourne la reconnaissance et ne confère donc pas à Dame McFadyen le statut de Régente ainsi qu'au conseil le statut de conseil de Régence. Dame McFadyen, dont la liste est arrivée en tête des élections, assurera cependant la transition à la tête du conseil actuel. Et ce jusqu'à ce que la Chambre des Pairs ait pu statuer en toute connaissance de cause ou jusqu'aux prochaines élections.

La Chambre des Pairs recommande à Dame McFadyen et au conseil de transition d'accepter la bienveillante surveillance de Sa Seigneurie Valnor de Lande Morte, Pair de France, Comte d'Aubeterre, Baron de Montmoreau de Belvès, Seigneur de Romefort, et de lui accorder des accès.

Sa Seigneurie serait en charge d'amener ses conseils et d'aider à trouver la voie de la conciliation afin d'éviter que les conflits politiques ne portent préjudice à la gestion et au redressement de la Province.


Qu'il en soit su et certifié.

Faict à Paris le quatorzième jour du mois de juin de l'an de Grâce 1459.







Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Valnor de Landemorte, Melior de Lioure, Dotch de Cassel.



Code:
[rp][quote][i]Au Peuple de Périgord et d'Angoumois,
Aux Grands Feudataires de France.

La Chambre des Pairs de France au Nom de Sa Majesté Beatritz, Reyne du Royaume de France,

En raison des incertitudes et les différentes saisines déposées à la suite de la reprise de pouvoir en Périgord-Angoumois par Dame Brygh Ailean McFadyen de Chateaubernard, conseille à Monseigneur Louis Vonafred de la Varenne Salmo Salar, Vicomte de Salignac, Baron de Segonzac, Landmeister de Saint Astier et au Seigneur Anthémios de Deliancourt, Baron de Lalinde et de Massy en Isle-de-France d'adresser une demande d'enquête à la Grande Prévôté Royale, ce que la Chambre des Pairs n'a pas vocation à faire.

Dans l'attente de ces éclaircissements, la Chambre des Pairs ajourne la reconnaissance et ne confère donc pas à Dame McFadyen le statut de Régente ainsi qu'au conseil le statut de conseil de Régence. Dame McFadyen, dont la liste est arrivée en tête des élections, assurera cependant la transition à la tête du conseil actuel. Et ce jusqu'à ce que la Chambre des Pairs ait pu statuer en toute connaissance de cause ou jusqu'aux prochaines élections.

La Chambre des Pairs recommande à Dame McFadyen et au conseil de transition d'accepter la bienveillante surveillance de Sa Seigneurie Valnor de Lande Morte, Pair de France, Comte d'Aubeterre, Baron de Montmoreau de Belvès, Seigneur de Romefort, et de lui accorder des accès.

Sa Seigneurie serait en charge d'amener ses conseils et d'aider à trouver la voie de la conciliation afin d'éviter que les conflits politiques ne portent préjudice à la gestion et au redressement de la Province.


Qu'il en soit su et certifié.

Faict à Paris le quatorzième jour du mois de juin de l'an de Grâce 1459.[/i]


[img]http://nsm03.casimages.com/img/2010/07/30//100730123311389346486979.gif[/img]
[img]http://i39.servimg.com/u/f39/11/69/50/92/actari15.png[/img]


[i]Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Valnor de Landemorte, Melior de Lioure, Dotch de Cassel.[/i][/quote][/rp]

_________________
Mariealice
Citation:
Au Conseil du Périgord Angoumois,
Au peuple du Périgord Angoumois,
A tous ceux qui liront et se feront lire salut.

Nous, Pairs de France, confirmons que le conseil est place est légitime en tant que conseil transitoire le temps de l'enquête de la Prévosté de France.

Pour rappel, il se compose comme suit:

Brygh_ailean ,Kildara, Pattricia, Schumif1, Cubi, Angelynna, Tetedefer, Princekris, Vanupied, Doreine, Astorius, Alceste avec le concours de notre Com-Pair Valnor.

Ces personnes ont toutes latitudes pour exercer leurs fonctions au sein de celui-ci.

De plus, et pour répondre à une énième saisine sur ce sujet, il est rare qu'un conseil de reprise soit à l'image exacte du conseil élu et nous doutons que prendre et reprendre un château, sans garantie d'avoir exactement les personnes voulues, soit une chose saine lorsqu'une province doit déjà faire face à un pillage.

Faict à Paris, le 16ième jour du mois de juin 1459.

Marie Alice Alterac
Pour la Pairie


Pairs ayant participé à cette décision: Valnor de Lande Morte, Melior de Lioure, Argael Devirieux, Dotch de Cassel, Oksana de Floret, Actarius d'Euphor, Llyr di Maggio d'Astralgan, Marie Alice Alterac


Code:
[quote][b]Au Conseil du Périgord Angoumois,
Au peuple du Périgord Angoumois,
A tous ceux qui liront et se feront lire salut.

Nous, Pairs de France, confirmons que le conseil est place est légitime en tant que conseil transitoire le temps de l'enquête de la Prévosté de France.

Pour rappel, il se compose comme suit:

Brygh_ailean ,Kildara, Pattricia, Schumif1, Cubi, Angelynna, Tetedefer, Princekris, Vanupied, Doreine, Astorius, Alceste avec le concours de notre Com-Pair Valnor.

Ces personnes ont toutes latitudes pour exercer leurs fonctions au sein de celui-ci.

De plus, et pour répondre à une énième saisine sur ce sujet, il est rare qu'un conseil de reprise soit à l'image exacte du conseil élu et nous doutons que prendre et reprendre un château, sans garantie d'avoir exactement les personnes voulues, soit une chose saine lorsqu'une province doit déjà faire face à un pillage.

Faict à Paris, le 16ième jour du mois de juin 1459.

Marie Alice Alterac
Pour la Pairie
[url=http://www.servimg.com/image_preview.php?i=25&u=13323603][img]http://i62.servimg.com/u/f62/13/32/36/03/scel_o10.gif[/img][/url]

Pairs ayant participé à cette décision: Valnor de Lande Morte, Melior de Lioure, Argael Devirieux, Dotch de Cassel, Oksana de Floret, Actarius d'Euphor, Llyr di Maggio d'Astralgan, Marie Alice Alterac[/b][/quote]

_________________
melior


Citation:

A dame Annelouise , dicte Ayat,

Nous, Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France a étudié sa saisine déposée le sixième jour du mois de février de l'an de Grâce 1459, portant sur le décret béarnais suivant :


Citation:
Décret comtal sur la validation des listes électorales

a) Lorsqu'un groupe de personnes désire se déclarer candidat aux élections comtales, la liste doit se présenter (Noms, Villages de résidence et dates d’arrivée en Béarn) d'abord sur la gargote béarnaise.

b) Le citoyenneté des candidats ainsi que leur casier judiciaire seront vérifiés par les services de la prévôté pour s'assurer de leur éligibilité.

c) La liste ne pourra être déposée officiellement au château [IG] qu'une fois obtenu l'accord du Comte en exercice, étant entendu que le Coms ne saurait refuser l'inscription d'une liste dont tous les candidats remplissent les critères d'éligibilité.

d) Une fois la liste déposée, il ne pourra être changé plus de Quatre (4) noms sur la liste présentée, étant entendu que les éventuels remplaçants doivent remplir les critères d'éligibilité. L’utilisation du nom d’une personne sur une liste sans son accord peut entraîner plainte et poursuite judiciaire contre le meneur de la liste en infraction.

e) Le non-respect des « lois électorales » précitées, et instituées comme telles dans la Coutume du Comté du Béarn entraînera des poursuites judiciaires de la part du Comté du Béarn contre les contrevenants et rendra les contrevenants, et les listes dont ils sont membres, inéligibles.

Adopté par le conseil
Signé par Agnès de Dénéré de Saint Just dicte Gnia, Comtessa do Bearn
Faict à Pau le 22e jour de Février de l'An de Grasce mil quatre cent cinquante huit.


Il est apparu que ledit décret a été abrogé le premier jour du mois de juin de l'an de Grâce 1458 :

Citation:

Béarnais, Béarnaises

Et à tous ceux qui auront, liront ou se feront lire la présente,

Nous, Vanyel d'Arezac, Coms du Béarn, annonçons :


L’abrogation du Décret comtal du 22 février 1458 sur la validation des listes électorales.



Citation:
Citation:
Décret comtal sur la validation des listes électorales

a) Lorsqu'un groupe de personnes désire se déclarer candidat aux élections comtales, la liste doit se présenter (Noms, Villages de résidence et dates d’arrivée en Béarn) d'abord sur la gargote béarnaise.

b) Le citoyenneté des candidats ainsi que leur casier judiciaire seront vérifiés par les services de la prévôté pour s'assurer de leur éligibilité.

c) La liste ne pourra être déposée officiellement au château [IG] qu'une fois obtenu l'accord du Comte en exercice, étant entendu que le Coms ne saurait refuser l'inscription d'une liste dont tous les candidats remplissent les critères d'éligibilité.

d) Une fois la liste déposée, il ne pourra être changé plus de Quatre (4) noms sur la liste présentée, étant entendu que les éventuels remplaçants doivent remplir les critères d'éligibilité. L’utilisation du nom d’une personne sur une liste sans son accord peut entraîner plainte et poursuite judiciaire contre le meneur de la liste en infraction.

e) Le non-respect des « lois électorales » précitées, et instituées comme telles dans la Coutume du Comté du Béarn entraînera des poursuites judiciaires de la part du Comté du Béarn contre les contrevenants et rendra les contrevenants, et les listes dont ils sont membres, inéligibles.

Adopté par le conseil
Signé par Agnès de Dénéré de Saint Just dicte Gnia, Comtessa do Bearn
Faict à Pau le 22e jour de Février de l'An de Grasce mil quatre cent cinquante huit.



Abrogé par le Conseil Comtal & scellé par Vanyel d'Arezac, Coms do Bearn le 31 mai 1458


Citation:

















L'abrogation du texte du 30 juillet 1457 sur le salaire minimum en Béarn.


Citation:
Citation:
Béarnaises, Béarnais,

Saludi e Patz !

Par la présente, nous, Eugénie de Varenne, Comtessa do Béarn, rappelons que la grille de salaire comtale est abrogée.

Qu'il soit su de tous que le salaire minimum de 15 écus pour toute embauche dans les champs du Béarn comme le stipule le Coutumier Béarnais.

Tout contrevenant au dit plafond minimum d'embauche imposé par le Coutumier du Béarn sera poursuivi devant la Cour de Justice du Béarn pour Esclavagisme.

Validé, signé et scellé de notre main le 30 Juiller 1457 en Castèth de Pau.
Eugénie de Varenne, Comtessa do Béarn.

Per lo nouste Béarn !





Abrogé par le Conseil Comtal & scellé par Vanyel d'Arezac, Coms do Bearn le 31 mai 1458

Citation:

















L'abrogation de la loi de citoyenneté béarnaise en date du 22 février 1458.


Citation:
Citation:
Loi de citoyenneté Béarnaise

Article 1 - Est citoyen Béarnais
* toute personne née dans une ville du Béarn et y possédant au moins une terre ou une échoppe.
* toute personne résidant depuis au moins 30 jours en Béarn et y possédant au moins une terre ou une échoppe.

Article 2 - Toute personne perd la citoyenneté Béarnaise si elle est reconnue coupable par la cour de justice Béarnaise.
Cette perte de statut citoyen est de 3 mois pour les cas de trahison et de haute-trahison, de 2 mois pour les cas de brigandage. Pour les cas de trouble à l'ordre public, d'escroquerie grave ou de récidive d'esclavagisme et de petite escroquerie, cette durée est laissée à l'appréciation du Juge et ne saurait excéder 2 mois.

Article 3 - Nul ne pourra prétendre à être candidat à des élections Municipales ou Comtales en Béarn sans avoir au préalable acquis la citoyenneté Béarnaise.

Une dérogation peut être demandée au Comte en exercice avant le dépôt de candidature et en place publique. Toute demande par un autre biais sera déclarée non recevable.
Un silence du Conseil Comtal de plus de 5 jours après la demande équivaudra à une acceptation tacite.

Adopté par le conseil
Signé par Agnès de Dénéré de Saint Just dicte Gnia, Comtessa do Bearn
Faict à Pau le 22e jour de Février de l'An de Grasce mil quatre cent cinquante huit.



Abrogé par le Conseil Comtal & scellé par Vanyel d'Arezac, Coms do Bearn le 31 mai 1458

Citation:




















L'abrogation du Coutumier du Béarn validé par le Coms Juliano Di Juliano le 26 avril 1456.

Citation:



Citation:
Le droit coutumier

La Coutume existe en tant que telle et est source de droit au Béarn. La coutume est l'ensemble des usages en vigueur au Béarn et ayant force de loi. Il s'agit des lois non-écrites appliquées dans le Comté depuis toujours.


Contrairement au droit écrit représenté par le codex champenois, la Coutume ne se base pas en priorité sur le seul écrit. La loi écrite n'est que l'expression de la Coutume ou l'interprétation de celle-ci pour les situations où elle semble ambiguë.

Il n'est pas nécessaire d'élaborer une loi pour fixer les pouvoirs du Comte, des membres du conseil Comtal ou pour gérer l'organisation pratique d'une élection par exemple.

En prononçant ses jugements, le Juge énonce la Coutume en se basant sur le bon sens juridique et les trois principes inséparables et inébranlables de la Coutume :

1) le critère du bon père de famille : est permise toute action que pourrait commettre une personne normalement sérieuse, raisonnable et soucieuse de ne causer aucun préjudice à autrui. Ce bon père de famille est un homme ordinaire, un homme de la place du marché qui agit en vertu de son bon sens.

2) l'universalité d'action : est punissable l'acte qui mettrait gravement en péril la vie en société si toute personne se l'autorisait.

3) la jurisprudence : Comme la coutume existe par elle-même, le Juge ne la crée pas mais l'énonce en s'inspirant dans ses jugements des décisions antérieures de la justice du Béarn et en expliquant s'il y a lieu pourquoi il s'écarte de la jurisprudence (et donc de la Coutume).

Si la trinité coutumière (bon père de famille, jurisprudence et universalité d'action) s'avère incapable d'éclairer le juge, il peut discrétionnairement s'inspirer des pratiques juridiques des autres régions du Royaume.

Evidement, si une loi particulière existe et a permis de marquer par écrit la Coutume en vigueur, le juge l'applique classiquement.

La coutume établit certains principes fondamentaux qu'il est judicieux de rappeler ici :

1) Décret temporaire
Le Comte peut prendre seul un décret temporaire si une situation l’exige.

2) Grâce Comtale
Le Comte dispose d’un pouvoir de grâce de toute condamnation quel que soit la nature de la peine et de l'infraction.

3) Révolte
Toute révolte approuvée par une majorité de conseil Comtal est légitime.

4) Du trouble à l’ordre public
Constitue un acte de trouble à l’ordre public, toute perturbation au bon ordre, à la sécurité, à la salubrité et à la tranquillité publique.

5) Juge
Le Juge reçoit son pouvoir de juger par délégation du pouvoir souverain du Comte sur ses terres. Par cette délégation, le Juge devient le seul habilité à rendre la Justice comtale en se basant sur la législation béarnaise, la jurisprudence et la coutume pour rendre un jugement et décider de la peine à appliquer.

Lois:

1.Toute personne se trouvant sur le territoire du Comté de Béarn doit respecter les lois royales et locale sera poursuivie par le Comté du Béarn en cas d'infraction.

2.Nul n'est censé ignorer la Loi

3.Le Comté du Béarn est régi par le droit coutumier.

Livre II: Lois royales

Table des Lois du Comté d'Arras
Édictées en l'an de grâce
MCDXLIII
par Sa Majesté le Roy de France, qui les tenait de Dieu. traduction béarnaise, l'original étant ici:
http://www.lesroyaumes.com/aide/fr/guide_de_jeu )


1-La sorcellerie
Tout joueur ne peut avoir qu'une seule incarnation (personnage). Toute tentatives de contrôler les mouvements ou pensées d'autrui est un acte de sorcellerie.

Les personnes manipulées seront brûlées vifs en place publique à titre d'esprit faible et le prévenu s'exposera à une très lourde amende. En cas de récidive ou d'abus notoire, le suspect sera pendu par le cou jusqu'à ce que mort s'ensuive.

2-L'escroquerie
Tout coquin qui osera utiliser ses dons de bonimenteur pour revendre à un pauvre innocent un produit à un prix indécent devra répondre d'escroquerie devant le tribunal compétent. Il s'exposera à une lourde amende, en monnaie sonnante et trébuchante ainsi qu'en points de réputation. Toute récidive sera punie d'une peine d'emprisonnement dont la longueur dépendra de la somme extorquée.

3-L'esclavagisme
Toute embauche au prix inférieur au minimum légal sera considérée comme un cas d'esclavagisme et l'employeur sera poursuivi devant la Cour de Justice.

Loi béarnaise fixant le salaire minimum
En vue de défendre les plus faibles et de continuer néanmoins à bénéficier d'une économie compétitive. Les salaires minimaux sont désormais de 15 écus. Embaucher en dessous est un délit d'esclavagisme.

Livre III: Lois pénales

1.Toute personne remettant en cause l'unicité et l'indivisibilité du territoire béarnais sera considérée comme un traître et sera poursuivie devant la justice pour haute trahison.

2.Le brigandage avec ou sans violence n’est pas toléré en territoire béarnais. Les contrevenants seront poursuivis pour trouble a l’ordre public.

3.La spéculation de masse est interdite sur le territoire béarnais. La spéculation de masse consiste à acheter plus de 5 marchandises sur un marché et à les revendre à des prix supérieurs sur le même marché. L'achat puis la revente du même produit à un prix moins élevé n'est pas répréhensible. La spéculation de masse est considérée comme une escroquerie sur le territoire Béarnais.

4.Toute personne traversant le Béarn et achetant autre chose que des produits de consommation immédiate : pain, maïs, viande, lait et légumes pour un maximum de cinq jours, réalise une activité marchande sans autorisation et risque une amende pécuniaire.

5.Le prosélytisme d'une religion non officielle ou d'une secte est considéré comme un trouble à l'ordre publique.

6.Toute lance, ou corps d'armes étrangers sont interdits de circulation et de création sur le territoire du Béarn sans l'autorisation écrite du Comte ou du Capitaine. Tous les contrevenants seront poursuivis pour trouble à l'ordre publique. Toute personne créant une armée sans l'autorisation écrite du Comte sera poursuivie pour haute trahison.

6.1 Toute personne ne mettant pas immédiatement un terme à l'existence d'une lance, un corps d'armes ou une armée à laquelle le Comte ou le Capitaine a décidé de sa dissolution
sera poursuivie pour trouble à l'ordre publique.

7.Les seuls ordres militaires reconnus et acceptés en Béarn sont ceux sous tutelle du Conseil Comtal.

8.
En cas de besoin, il est exigé de chacun de collaborer avec les représentants du Pouvoir Comtal.

Extradition
Les demandes d'extradition sont examinées par le Comte qui statue discrétionnairement.


Arrêté municipal
Avant d'entrer en vigueur, un arrêté municipal doit être contresigné par le Comte.
Le Conseil du Comté peut casser un arrêté municipal par un vote à la majorité absolue de ses membres. En cas de partage des voix, la voix du Comte l'emporte. Le conseil doit être saisi par un habitant possédant au moins un champ ou une échoppe ou plus du village qui doit prouver son appartenance à ce village depuis 7 jours. Le vote ne pourra avoir lieu plus de 5 jours après l'acceptation du dépôt par le porte-parole du Comté.

Des charges éligibles
Les membres du conseil ne peuvent pas être bourgmestre sauf dans le cas d'une révolte ou d'une dérogation du Comte uniquement pour que le bourgmestre élu au conseil puisse terminer son mandat en cours. Dans les autres hypothèses, il devra démissionner de sa fonction de conseiller.

Les personnes disposant d'une charge nominative (IG) doivent prévenir une semaine à l'avance (minimum trois jours en cas de force majeure) avant de démissionner afin que le Conseil Comtal puisse préparer leur succession.

Loi électorale - citoyenneté
Ne peuvent se présenter à des élections sur les terres du Béarn que les sujets de notre Comté. Pour obtenir la citoyenneté béarnaise, il faut être au moins propriétaire d'une terre en Béarn. Mais également pouvoir revendiquer ou la naissance sur notre terre ou y habiter depuis plus de 3 mois. Ou bénéficier d'une dérogation du Comte du Béarn. Au vu du jeune âge de notre province, il suffit de justifier de la possession d'une terre et cela jusqu'à ce que des élections Comtal se clôturent pour la seconde fois en Béarn.

Lois religieuses
La liberté de culte est autorisée, à priori. Pour se voir reconnue officiellement une dite religion doit en faire la demande auprès du conseil Comtal, en présentant le nombre de membres la composant (preuve à l'appui) et en ayant au moins le parrainage d'un Noble vivant en Béarn. Dans le cas contraire, la dite religion ne peut être pratiquée que de façon privée.

l'évêque de la région bénéficie d'un droit de véto quand à la délivrance d'une reconnaissance.


Approuvé à l'unanimité des votants du conseil comtal
Validé par Juliano Di Juliano, Coms Régent du Béarn
Faict à Pau, le 26 Avril de l'an de grâce 1456






Abrogé par le Conseil Comtal & scellé par Vanyel d'Arezac, Coms do Bearn le 31 mai 1458

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Abrogations votées par le Conseil comtal du Béarn comme suit :

Pour : 11
Contre : 1



Pour le Conseil Comtal du Béarn,
Rédigée, proposée et annoncée par AnacrOn, Porte-Parole du Béarn.
Validée par Vanyel d'Arezac, Coms du Béarn.






Fait à Pau, le premier jour, du sixième mois de l’an de Grâce mil quatre cent cinquante huit.
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Lequel décret a été remplacé par un article dans le Coutumier béarnais :

Citation:
Béarnais, Béarnaises


Et à tous ceux qui auront, liront ou se feront lire la présente,


Nous, Vanyel d'Arezac, Coms do Béarn,
Annonçons l’adoption d’un nouveau Coutumier. Il entre en vigueur dès aujourd’hui sur l’ensemble du territoire du Béarn.



Citation:
Le droit coutumier

La Coutume existe en tant que telle et est source de droit au Béarn. La Coutume est l'ensemble des usages en vigueur au Béarn et ayant force de loi.
Le présent texte a vocation à s'appliquer sur le territoire dit du comté de Béarn, défini comme comprenant les villes de Pau, Lourdes, Mauléon, Tarbes et Orthez, l'ensemble des nœuds qui les relient, le nœud situé au nord de Tarbes et le nœud situé au sud de Lourdes.

Contrairement au droit écrit, la Coutume ne se base pas en priorité sur le seul écrit. La loi écrite n'est que l'expression de la Coutume ou l'interprétation de celle-ci pour les situations où elle semble ambiguë.

En prononçant ses jugements, le juge énonce la Coutume en se basant sur le bon sens juridique et les trois principes inséparables et inébranlables de la Coutume :

1) le critère du bon père de famille : est permise toute action que pourrait commettre une personne sérieuse, raisonnable et soucieuse de ne causer aucun préjudice à autrui. Ce bon père de famille est une personne ordinaire, une personne de la place du marché qui agit en vertu de son bon sens.

2) l'universalité d'action : est punissable l'acte qui mettrait gravement en péril la vie en société si toute personne se l'autorisait.

3) la jurisprudence : comme la coutume existe par elle-même, le Juge ne la crée pas mais l'énonce en s'inspirant dans ses jugements des décisions antérieures de la justice du Béarn et en expliquant s'il y a lieu pourquoi il s'écarte de la jurisprudence (et donc de la Coutume).

Si la trinité coutumière (bon père de famille, jurisprudence et universalité d'action) s'avère incapable d'éclairer le juge, il peut à sa discrétion s'inspirer des pratiques juridiques des autres régions du Royaume.

Évidement, si une loi particulière existe et a permis de marquer par écrit la Coutume en vigueur, le juge l'applique classiquement.

La coutume établit certains principes fondamentaux qu'il est judicieux de rappeler ici :

1) Décret temporaire
Le Comte peut prendre seul un décret temporaire si une situation l’exige.

2) Grâce Comtale
Le Comte dispose d’un pouvoir de grâce de toute condamnation sur le sol béarnais quelle que soit la nature de la peine et de l'infraction.

3) Révolte
Il est interdit de se révolter, ou d'appeler à la révolte contre l'autorité comtale ou les autorités municipales, que se soit en prenant pour cible le château de Pau ou les municipalités.

Cependant, toute révolte approuvée par une majorité du conseil Comtal élu est légitime.

4) Unicité et indivisibilité
Toute personne remettant en cause l'unicité et l'indivisibilité du territoire béarnais sera considérée comme un traître et sera poursuivie devant la justice pour trahison.

5) Respect de la Noblesse et du Clergé
De part le statut qu'ils ont acquis, le tiers état se doit de respecter la noblesse et le clergé.

6) Culpabilité/Innocence
La culpabilité ou l'innocence est laissée au libre arbitre de chacun –avec ou sans preuves- jusqu'à ce que verdict soit rendu par le Juge.

7) Juge
Le Juge reçoit son pouvoir de juger par délégation du pouvoir souverain du Comte sur ses terres.

• Lois :

1. Toute personne se trouvant sur le territoire du Comté de Béarn doit respecter les lois royales et locales. En cas d’infraction elle sera poursuivie par le Comté du Béarn .

2. Nul n'est censé ignorer la Loi

3. Le Comté du Béarn est régi par le droit coutumier.

• Chefs d'Inculpations :

1 - Des délits particuliers :
Ceux-ci sont régis par la charte du juge.
( http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=20472 )

2-La sorcellerie
Toute personne ayant un comportement laissant à penser qu'il peut être un sorcier de par ses actes et ses propos, qui tenterait de contrôler les mouvements ou pensées d'autrui sera mis en accusation pour sorcellerie.

Les personnes manipulées seront brûlées vives en place publique à titre d'esprit faible et le prévenu s'exposera à une très lourde amende. En cas de récidive ou d'abus notoire, le suspect sera pendu par le cou jusqu'à ce que mort s'ensuive.

3-L'escroquerie
Tout coquin qui osera utiliser ses dons de bonimenteur pour revendre à un pauvre innocent un produit à un prix indécent devra répondre d'escroquerie devant le tribunal compétent. Il s'exposera à une lourde amende, en monnaie sonnante et trébuchante ou encore quelques jours de prison.

Toute infraction à des décrets Comtaux ou arrêtés Municipaux d'ordre économique sera considéré comme escroquerie et poursuivie en tant que telle.

4-L'esclavagisme
Toute embauche au prix inférieur au minimum légal sera considérée comme un cas d'esclavagisme et l'employeur sera poursuivi devant la Cour de Justice.

Le salaire minimum en Béarn est fixé à 15 écus.


5-Trouble à l'ordre Public
Constitue un acte de trouble à l’ordre public, toute perturbation au bon ordre, à la sécurité, à la salubrité et à la tranquillité du comté et de ses habitants.

6-Trahison
Constitue un acte de Trahison toute perturbation visant sciemment à nuire au bon ordre, à la sécurité, et à la tranquillité du comté et de ses habitants.

7-Haute Trahison
Constitue un acte de Haute Trahison, tout acte relevant de la Trahison et fait par un ou des membres du conseil comtal, d'une mairie ou d'une quelconque institutions Béarnaise


• Lois pénales

Brigandage
Le brigandage avec ou sans violence n’est pas toléré en territoire béarnais. Les contrevenants seront poursuivis pour trouble à l’ordre public.

Marchés du Béarn
Il est interdit de participer et organiser la déstabilisation d'un marché béarnais. Est considéré comme déstabilisation tout acte d'achat ou de vente en grande quantité entraînant un monopole, une déflation massive, ou encore une pénurie. L'appréciation de la quantité appartient au Juge. Toute personne soucieuse de s'éviter des poursuites est tenue, si elle désire effectuer des transactions dépassant le cadre de son activité ou de sa consommation, de demander l'avis du maire au préalable.

Fonctionnaires en Béarn
Seuls les résidents du Béarn peuvent prétendre à travailler en tant que fonctionnaire auprès du Comté ainsi que de toute autre institution nécessitant de telles compétences.
Si un fonctionnaire ne résidant pas Béarn, s'octroie de lui-même une offre d'embauche, sans dérogation écrite d'une personne représentant légalement le comté pour ce domaine, il se verra poursuivi pour escroquerie.


Religion
Le prosélytisme d'une religion non officielle ou d'une secte est formellement interdit

Lance et Corps D'armes

- La non-dissolution d'une lance, corps d'arme ou armée suite à la décision du Comte ou du Prévôt (ou Sénéchal/capitaine) est passible de poursuites pour Trouble à l'Ordre Public. La procédure sera lancée 24h après réception de la missive demandant la dissolution.

-Toute lance, ou corps d'armes menés par des étrangers sont interdits sur le territoire du Béarn sans l'autorisation écrite du Comte ou du Prévôt des Maréchaux (ou Sénéchal/capitaine). Tous les contrevenants seront poursuivis pour Trouble à l'Ordre Public.

Armée
Toute personne créant une armée sans l'autorisation écrite du Comte sera poursuivie pour haute trahison. Toute personne voulant intégrer ou intégrant une armée non autorisée par le Comte sera poursuivie pour trahison.De même, toute personne fournissant des PEA à une armée non autorisée par le Comte sera poursuivie pour trahison.

Ordres militaires
Les seuls ordres militaires reconnus et acceptés en Béarn sont ceux sous tutelle du Conseil Comtal et ceux ayant une reconnaissance royale valide.

Collaboration
En cas de besoin, il est exigé de chacun de collaborer avec les représentants du Pouvoir Comtal.

Bannissement
Les demandes bannissement sont examinées par le Comte. Celles ci ne peuvent durer plus de 3 mois (90 jours).

Arrêté municipal
Avant d'entrer en vigueur, un arrêté municipal doit être contresigné par le Comte.
Le Conseil du Comté peut casser un arrêté municipal par un vote à la majorité absolue de ses membres.
Tout habitant possédant au moins un champ ou une échoppe et résidant dans un village depuis 7 jours peut saisir le Conseil sur un décret municipal en déposant une saisine auprès du Porte Parole. Le Conseil dispose alors de 5 jours pour statuer sur ledit décret, il peut casser un arrêté municipal par un vote à la majorité absolue de ses membres.

Des charges éligibles
Les membres du conseil ne peuvent pas être maire sauf dans le cas d'une révolte autorisée.

Un maire ne peut être membre du conseil. Si par jeu des élections ou de démission il devait accéder au conseil, il lui faudrait démissionner de la fonction de conseiller.
Le Comte peut toutefois accorder une dérogation.

Les personnes élues doivent prévenir trois (3) jours en avance avant de démissionner afin que le Conseil Comtal puisse préparer leur succession.

Sujet du Béarn
Est citoyen Béarnais
* toute personne née dans une ville du Béarn et y possédant au moins une terre ou une échoppe.
* toute personne résidant depuis au moins 30 jours en Béarn et y possédant au moins une terre ou une échoppe.

Toute personne perd la citoyenneté Béarnaise si elle est reconnue coupable par la cour de justice Béarnaise.
Cette perte de statut citoyen est de 3 mois pour les cas de trahison et de haute trahison, de 2 mois pour les cas de brigandage. Pour les cas de trouble à l'ordre public, d'escroquerie grave ou de récidive d'esclavagisme et de petite escroquerie, cette durée est laissée à l'appréciation du Juge et ne saurait excéder 2 mois.

Loi électorale
Ne peuvent se présenter à des élections sur les terres du Béarn que les sujets ayant la citoyenneté Béarnaise.
Pour les élections comtales la liste ne pourra être déposée officiellement au château [IG] qu'une fois obtenu l'accord du Comte en exercice qui devra vérifier les casiers, la citoyenneté et l'affichage en place publique (gargote) de la liste.
Une fois la liste déposée, il ne pourra être changé plus de Quatre (4) noms sur la liste présentée, étant entendu que les éventuels remplaçants doivent remplir les critères d'éligibilité. L’utilisation du nom d’une personne sur une liste sans son accord peut entraîner plainte et poursuite judiciaire contre le meneur de la liste en infraction.
Le non-respect de la loi précitée, et instituée comme telles dans le Coutumier du Comté du Béarn entraînera des poursuites judiciaires de la part du Comté du Béarn contre les contrevenants et rendra les contrevenants, ou les listes dont ils sont membres, inéligibles.


Le présent texte a été adopté et accepté par le Conseil du Béarn comme suit :

Pour : 11
Contre : 1


Pour le Conseil Comtal du Béarn,
Rédigée, proposée et annoncée par AnacrOn, Porte-Parole du Béarn.
Validée par Vanyel d'Arezac, Coms du Béarn.






Fait à Pau, le premier jour, du sixième mois de l’an de Grâce mil quatre cent cinquante huit.
Citation:

















































































































































A la suite de cette saisine, réflexion a été menée sur le principe d'éligibilité, réflexion ayant abouti à la proposition d'un texte de loi royal, soumis aux Grands Feudataires du Royaume de France avant d'être remise aux mains de Sa Majesté pour validation.
Sa Majesté a finalement promulgué la proposition avec l'Edit d'Azincourt, le sixième jour du mois de mai de l'an de Grâce 1459 :


Citation:
Nous, Béatrice de Castelmaure, par la grace du Très Haut & du peuple, Reine de France,

A tous qui la présente annonce entendront ou liront,
Aux Grands Feudataires de la Couronne,

Salut !

La nécessité s'étant présentée de rappeler & mettre d'accord nos loyaux vassaux & gestionnaires sur la façon dont peuvent être réglementées les élections provinciales, nous faisons ce jour proclamation des conditions sous lesquelles les élections provinciales peuvent être réglementées, le collège des Grands Feudataires ayant été consulté &, ayant débattu & corrigé le présent édit, n'y a plus rien trouvé à redire.

De là viennent les dispositions suivantes :

    Les causes d'inéligibilité électorales ne concernent qu'un individu propre, et ne sauraient s'étendre à un groupe dans son ensemble. Elles peuvent être légales ou judiciaires.

    Article 1 : Les causes légales :

    Il appartient à chaque province du Royaume de France de définir les critères légaux pour être éligible, dans le but de prémunir ladite province contre des personnes dont il est avéré qu'elles mettront en péril les institutions municipales ainsi que ducales et comtales. Tout individu ne répondant pas à ces critères se verra refuser l'accès à un mandat électif et deviendra inéligible. Levée de l'inéligibilité peut être demandée auprès des autorités de la Province, qui restent décisionnaires.

    Il est à noter cependant que :
    - Pour pouvoir se présenter à une élection, il peut être nécessaire d'être résident de la province, depuis une durée établie par les autorités comtales ou ducales, mais n'excédant pas 3 mois.
    - Les vassaux directs de sa Majesté et les Nobles détenant un fief dans la province concernée ne sauraient être soumis aux délais quant au critère de résidence.
    - L'appartenance ou non à la religion aristotélicienne et romaine reste soumise au Concordat, si Concordat il y a, régissant la province concernée.

    Article 2 : les causes judiciaires :

    Toute condamnation judiciaire, qu'elle soit royale pour crime de Lèse Majesté, ou qu'elle soit locale pour Haute Trahison, pour Trahison, ou pour certains cas de Trouble à l'Ordre Public impliquant brigandage ou crime de sang, peut amener à une peine d'inéligibilité.
    Les peines d'inéligibilité peuvent toutefois faire l'objet d'une Grâce Comtale, Ducale ou Royale.
    Les peines d'inéligibilité, prononcées à l'issue d'un procès, désignent l'incapacité à briguer un mandat électoral pour une durée déterminée par le Juge. Elles ne peuvent cependant excéder trois mois consécutifs, et sont suspendues en cas de révision du procès par la Cour d'Appel.


Pour que les présentes dispositions soient observées pour l'avenir, & affermir la valeur du présent édit, nous faisons apposer le grand sceau de la Couronne en cire verte.

Donné à Azincourt, le 6 mai de l'an d'Horace 1459.

B.d.C.



Les listes ne peuvent donc être déclarées inéligibles en leur globalité.
Si la réponse fut longue à parvenir, la saisine ne fut cependant point oubliée.


Faict à Paris le dix-neuvième jour du mois de juin de l'an de Grâce 1459.








Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Valnor de Landemorte, Dotch de Cassel, Nebisa de Malemort, Actarius d'Euphor, Argael Devirieux, Oksana de Floret, Thibaud-Xavier de Ludgarès.
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Citation:

A Althiof de Marigny, Grand Prévôt de France,
A Mc Legrand, Vicomte de Mongommery, Seigneur de Gaudigny, Chancelier de France,

Nous, Melior de Lioure,au nom de la Chambre des Pairs,

Après étude du dossier par vous présenté, concernant la plainte déposée par Hector Eribert Livius Isidore ORPHEE, dict Heliorphée à l’encontre d'Amael Sanche de Leslur, alors Comte de Toulouse, pour la prise de la mairie de Toulouse par révolte et du pillage des biens publics de cette même ville, abus de pouvoir et incitation à la révolte,

Signifions qu'il y a motif pour un procès en Haute Cour de Justice et demandons la poursuite de la procédure.

Faict à Paris le dix-neuvième jour du mois de juin de l'an de Grâce 1459.







Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Actarius d'Euphor, Argael Devirieux, Dotch de Cassel , Llyr di Maggio d'Astralgan, Oksana de Floret.



_________________
melior


Citation:
 
A  Cyphus Garion, Comte de Châtellerault,

A Oane de Surgéres, Comtesse de Poitou, 


Nous,  Melior de Lioure, signifions par la présente que la Noble Assemblée des Pairs de France apporte réponse à la saisine portant sur la condamnation de Sophie pour des faits s'étant déroulés alors qu'elle était Comtesse en exercice du Poitou, par le Comte Baillant et le juge Oane.
Il est du ressort du Grand Chancelier de France, de veiller à ce que la loi Royale soit appliquée, ainsi que stipulé dans les statuts de la Grande Chancellerie de France :
 

Citation:
Préambule - Du Chancelier de France 

Il est à la tête de l’administration judiciaire du Royaume. Il est gardien du Sceau Royal qui scelle les actes Royaux. Son rôle est de veiller à la Justice dans le Royaume, de veiller à l’amélioration constante des structures et pratiques judiciaires, à observer les méthodes des juges, à contrôler que la Loi Royale soit appliquée. Il sert de lien permanent entre les autorités judiciaires locales et le Droit Royal. Il détient ainsi le pouvoir judiciaire, le pouvoir législatif étant du ressort de la Pairie de France.
 

Détenteur du pouvoir judiciaire, il est de son pouvoir d'intervenir en cas de violation d'une loi royale.
La Noble Assemblée des Pairs de France ne saurait aller à l'encontre de sa décision, qui se trouve ici légitime.
Quant à l'interprétation de l'article suivant :


Citation:
Art. 221-11-2 : Du Committimus 

En matière pénale, certaines qualités accordent le privilège d’être jugé en prime instance exclusivement devant la Haute Cour de Justice. 

La Haute Cour de Justice est seule compétente pour juger pénalement les Cardinaux, les Pairs et les Grands Officiers, ainsi que les Régnants de province, à savoir les Comtes, Ducs et Gouverneur en exercice. 


S'il est certain que dame Sophie n'était plus Comtesse au moment du procès, ce dernier repose, néanmoins, sur des faits ayant eu lieu durant son mandat.
Renseignements pris auprès du Grand Prévôt de France, celui-ci a signifié avoir mis en garde les autorités poitevines contre l'interprétation erronée qu'elles faisaient de cet article.
La Coutume veut que pour des actes effectués pendant son mandat, un Régnant soit jugé en Haute Cour de Justice, même s'il n'est plus en exercice au moment du procès.
Afin que nul doute ne subsiste sur la question, la Noble Assemblée des Pairs va proposer la modification suivante concernant les statuts de la Haute Cour de Justice :


Citation:
Art. 221-11-2 : Du Committimus 

En matière pénale, certaines qualités accordent le privilège d’être jugé en prime instance exclusivement devant la Haute Cour de Justice. 

La Haute Cour de Justice est seule compétente pour juger pénalement les Cardinaux, les Pairs et les Grands Officiers, ainsi que les Régnants de province, à savoir les Comtes, Ducs et Gouverneur, pour des actions liées à l'exercice de leur fonction. 



Faict à Paris le vingt-deuxième jour du mois de juin de l'an de Grâce 1459. 

 

 

Pairs de France ayant participé à la prise de décision suite à la saisine : Marie-Alice Altérac, Armoria de Mortain, Actarius d'Euphor, Valnor de Landemorte, Dotch de Cassel.

Citation:


Citation:




Citation:




































Vu que l'accusée était comtesse en exercice au moment des faits,

Déclarons que la justice de prime instance était incompétente pour traiter ce dossier.
Déclarons la Cour d'Appel toute aussi incompétente pour ce dossier, selon les mêmes statuts de la haute cour de justice.

En conséquence,
invalidons la peine de prime instance rendue illégitimement par le comté du Poitou, considérons son verdict nul et non avenu.

Conseillons, si le comté souhaite toujours porter sa plainte, de faire appel à la haute cour de justice en portant plainte à la Grand Prévôté de France, comme il se doit.

Mc Legrand,
Chancelier de France





Si l’on résume, les pièces du dossier ne sont poinct au dossier mais ... dans la salle de « Dépôt des dossiers en appel » à la Cour d’Appel, ce qui rejoint nostre premier étonnement : Que vient faire icelle cette saisine adressée à la Pairie ?
En outre, et cela rejoint nostre précédent propos, nous avons pris connoissance des motifs de saisine possibles, motif qui doit être clairement explicité lors de la dite saisine par le requerrant et, nous avons beau cherché encore et encore, nous ne voyons poinct parmi la dite liste le motif évoqué par sa Grandeur Cyphus Garion à savoir :




Ce qui tend à nouveau à prouver que cette saisine outrepasse la sphère d’action de l’hosnorable Pairie, mais bien sur, nous laissons les Pairs libre d’en juger par eux mesme ne nous octroyons poinct leur apanage.

Ne serait-il pas alors respectueux de nos propres institutions de laisser la justice suivre son cours ou plutôt ses recours juridiques légaux et adonc la dite Cour d’Appel répondre d’abord avant d’entamer une autre procédure, sans aucun doute superfétatoire ?

Ensuite, le requerrant dénonce selon ses mots « l'aspect illégal » de cette affaire et il argue :




N’est- il pas « illégal » également de vouloir spolier le comté de Poitou et les comtes régnants successifs lors des cette affaire premièrement de leurs droits conféré par la Reyne lors de l’allégeance à juger en leur terre et secondement de leur devoir à répondre de leur justice devant l’instance toute désignée pour se faire ?

Nous citerons pour appuyer nos dires cet extrait d’une annonce sur le rôle de la Pairie et les saisines de la noble Assemblée des Pairs de France, écrit de la main de Moktar en date du 8ème jour du mois de décembre de l’an de grasce mil-quatre-cent-cinquante-sept

« Cette Chambre [La Pairie] rassemble les conseillers du Roy qui ont devoir de s'exprimer sur les questions de gestion du Royaume. Sa Majesté Levan III, Roy de France, a décidé de confier la direction des Provinces à chacun des Feudataires, qui en reçoivent le pouvoir lors de la cérémonie de prestation d'allégeance. Il n'est donc en aucun cas question que la Chambre des Pairs s'arroge un droit que le Roy a cédé, celui qui consisterait à faire ingérence dans la politique locale. »

Enfin, nous avons ouie dire que la saisine du comte de Chatelrault fut tout d’abord faicte en des termes insultants envers nombre de nobles poitevins respectés et en outre envers le Poitou en général et sa justice en particulier ; mesme si le dit « courrier » fut ensuite ôté à la vue, la malfaisance fut répandue et cela est inadmissible.
Nous ajouterons adonc que le Bureau de la noble Pairie n’est pas un lieu où venir répandre des propos haineux et des accusations sans fondement aucun contre son peuple, ses pairs et sa souveraine. Le Poitou vaut mieux que cela et nous y veillerons. Qu’ il soit su par tout le Royaume et au delà que telle attitude ne sera en aucun cas tolérée par le comté de Poitou.

Que le Très Haut vous tienne en sa Saincte Garde,

Faict à Poitiers, en ce cinquième jour du mois de juin de l'a de grasce mil-quatre-cent-cinquante-neuf

Oane de Surgères,
Comtesse de Poitou






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