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Annonces du Souverain.

Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      Aux sujets de France,
      A tous présents et à venir.
      Qui liront ou se feront lire.
      Salut.


    Des généraux de cagibi, avides de décorations et d'argent, inexpérimentés et prétentieux ; des ministres inexpérimentés, envieux, ou mal intentionnés ; des sous-fifres prodigues d'incompétence en les hautes chambres et du sang d'autrui en les champs de bataille, prompts à ramper à la cour devant les distributeurs de grâces ; telle est la panoplie des instruments employés par un État décadent et malade.
    De ce risque trop courant et trop insidieux nous préviendrons la France et à ce mal nous remédierons constamment, tout le long de notre règne, en nous portant sans discontinuer au chevet du Royaume, attentif à chacun et exigeant envers tous dans le cadre des droits et des devoirs qui leur sont échus.

    Annonçons nommer ce jour Sancte Iohannes von Frayner, Chevalier de France, Seigneur d'Eyrignac et de Domvallier, à la charge de Dauphin de France.

    Pèse sur lui dès à présent la lourde responsabilité de jouer son rôle de premier conseiller auprès du couple royal, de Nous assister, de Nous représenter, de mener à bien et à terme, sans discussion, les missions que Nous jugerons bon de lui confier en Notre nom, et de travailler en bonne intelligence avec le Grand Maître de France, Nos Grands Officiers, Nos Pairs, Nos vassaux et Nos Officiers Royaux.
    Notre foi en sa loyauté en totale. Puisse Dieu lui pourvoyer les ressources de force d'âme et de générosité qu'exigeront sa charge.

    Nous remercions enfin le Grand Maître de France Dotch de Cassel pour son investissement en tant que Dauphin et Régente et lui exprimons l'immensité de notre gratitude pour son dévouement continu au service de Notre Royaume.


    Pour la plus grande gloire du Royaume de France.
    Rédigé et scellé le 30e jour de novembre 1460.








Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]


[list][list][size=16]Aux sujets de France,
A tous présents et à venir.
Qui liront ou se feront lire.
Salut.[/size]
[/list][/list]
[list][i][b]Des généraux de cagibi, avides de décorations et d'argent, inexpérimentés et prétentieux ; des ministres inexpérimentés, envieux, ou mal intentionnés ; des sous-fifres prodigues d'incompétence en les hautes chambres et du sang d'autrui en les champs de bataille, prompts à ramper à la cour devant les distributeurs de grâces ; telle est la panoplie des instruments employés par un État décadent et malade.
De ce risque trop courant et trop insidieux nous préviendrons la France et à ce mal nous remédierons constamment, tout le long de notre règne, en nous portant sans discontinuer au chevet du Royaume, attentif à chacun et exigeant envers tous dans le cadre des droits et des devoirs qui leur sont échus.

Annonçons nommer ce jour Sancte Iohannes von Frayner, Chevalier de France, Seigneur d'Eyrignac et de Domvallier, à la charge de Dauphin de France.

Pèse sur lui dès à présent la lourde responsabilité de jouer son rôle de premier conseiller auprès du couple royal, de Nous assister, de Nous représenter, de mener à bien et à terme, sans discussion, les missions que Nous jugerons bon de lui confier en Notre nom, et de travailler en bonne intelligence avec le Grand Maître de France, Nos Grands Officiers, Nos Pairs, Nos vassaux et Nos Officiers Royaux.
Notre foi en sa loyauté en totale. Puisse Dieu lui pourvoyer les ressources de force d'âme et de générosité qu'exigeront sa charge.

Nous remercions enfin le Grand Maître de France Dotch de Cassel pour son investissement en tant que Dauphin et Régente et lui exprimons l'immensité de notre gratitude pour son dévouement continu au service de Notre Royaume.


Pour la plus grande gloire du Royaume de France.
Rédigé et scellé le 30e jour de novembre 1460.[/i][/b][/list]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]
[/quote]

_________________
Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France
      A Namaycush Salmo Salar, Prince de Pontoise et bien-aimé vassal,
      Respect et royales salutations.



    Nous vous sommes gré de la promptitude qui fut vôtre à nous communiquer vos positions et de votre volonté de poursuivre votre engagement armé au service de la Couronne de France. Nous considérons donc, eu égard aux compétences que vous avez acquises sur le terrain ainsi qu'à la force de votre expérience, que vous demeurez la personnalité idoine dans la sécurisation de nos provinces méridionales, de la Gascogne à Toulouse, en passant par l'Armagnac, les Comminges, et les terres du Béarn.

    Il vous revient désormais d'y étouffer les troubles, en notre nom et pour la gloire du pays de France. Nous vous commandons d'y être notre main, en agissant en protecteur de ces provinces. À ce titre, offrez votre aide ainsi que vos conseils avisés à leurs dirigeants, sans jamais chercher à leur disputer la place et l'autorité qui leur revient de droit. Telle sera votre réponse à la levée de notre ban. Cela étant, exigeons l'engagement de votre part que vos troupes ne sauraient être mobilisées sans notre aval expresse, celui de la Reyne ou celui du Dauphin. S'il devait en être autrement, grande serait notre déception et nous serions contraint de vous ôter les prérogatives dont par la présente, nous nous honorons de vous gratifier.


    Que le Très-Haut vous guide et vous protège,
    Ainsi que les braves de votre renommée compagnie.
    Et qu'après votre passage, caïmans et forbans souffrent le déluge !

    Rédigé et scellé le 4e jour de décembre 1460.











Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]
[list][list][size=16]A Namaycush Salmo Salar, Prince de Pontoise et bien-aimé vassal,
Respect et royales salutations.
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[/list][/list]
[list][i][b]
Nous vous sommes gré de la promptitude qui fut vôtre à nous communiquer vos positions et de votre volonté de poursuivre votre engagement armé au service de la Couronne de France. Nous considérons donc, eu égard aux compétences que vous avez acquises sur le terrain ainsi qu'à la force de votre expérience, que vous demeurez la personnalité idoine dans la sécurisation de nos provinces méridionales, de la Gascogne à Toulouse, en passant par l'Armagnac, les Comminges, et les terres du Béarn.

Il vous revient désormais d'y étouffer les troubles, en notre nom et pour la gloire du pays de France. Nous vous commandons d'y être notre main, en agissant en protecteur de ces provinces. À ce titre, offrez votre aide ainsi que vos conseils avisés à leurs dirigeants, sans jamais chercher à leur disputer la place et l'autorité qui leur revient de droit. Telle sera votre réponse à la levée de notre ban. Cela étant, exigeons l'engagement de votre part que vos troupes ne sauraient être mobilisées sans notre aval expresse, celui de la Reyne ou celui du Dauphin. S'il devait en être autrement, grande serait notre déception et nous serions contraint de vous ôter les prérogatives dont par la présente, nous nous honorons de vous gratifier.


Que le Très-Haut vous guide et vous protège,
Ainsi que les braves de votre renommée compagnie.
Et qu'après votre passage, caïmans et forbans souffrent le déluge !

Rédigé et scellé le 4e jour de décembre 1460.[/i][/b][/list]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]
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Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      À nos dirigeants de l'Alençon,
      À nos sujets & à son peuple,
      À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
      Salut




    La France est là et n'a jamais cessé de l'être. Elle bat en votre cœur comme elle se rassemble et se fédère autour de votre cause. Le Roy très craint, la Reyne Noire, nos fidèles, officiers, preux et freux, retiennent leur souffle en portant leur regard vers les murs de votre cité assiégée. Les rebuts de l'humanité qui mettent vos nerfs à l'épreuve n'ont négligé aucun moyen pour accomplir leur forfaiture.

    Contre la guerre que l'Anjou entend nous mener, nous mènerons notre propre lutte, avec toutes les armes du pouvoir, ainsi que les autres. Spadassins, mercenaires, courtisanes, enchanteurs, empoisonnements, corruption, chantage. Il n'est d'instrument qui ne sera trop sale pour faire de la terre maudite d'Anjou un terrain vague fumant, si celui-ci persiste à mener une partie que nous n'entendons pas lui laisser gagner. Parce qu'il est juste de refuser le possible à celui qui a exigé l'impossible, lorsque les cohortes de soudards déferleront sur ces terres damnées pour noyer les enfants dans les puits, pour forcer les femmes, pendre les hommes au balcon avec des cordelettes de chanvre, le cœur fermé à toute compassion nous n'interviendrons pas, pour que tous sachent à quoi s'exposent ceux qui non contents de refuser notre protection, viennent porter le fer et le feu dans les rangs de nos propres fils avec la crasse insolence que confère le sentiment d'impunité.

    Alençonnais, tu es Français ! Nul ne se rira de toi sans encourir la mort. La France se prépare à te porter l'aide massive et foudroyante que te doit la grandeur des Lys. En attendant ta libération prochaine, l'honneur te commande de défendre vaillamment ta famille et tes biens l'épée à la main, en dépit de la solitude et des privations, comme tes ancêtres l'ont toujours fait et comme dans ta vieillesse tes fils vigoureux le feront encore. Tous les braves qui de notre côté resteront sur le champ d'honneur seront morts d'une mort glorieuse: c'est la mort pour la liberté, c'est la mort des vrais soldats, c'est la mort des vrais braves, c'est la mort des francs. Elle ne sera que peu de chose face aux pertes que subira l'ennemi, dans l'espace et dans le temps.

    Devant toi et devant Dieu, nous en formulons l'inaltérable serment.
    L'Anjou brûlera.












Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]


[list][list][size=16]À nos dirigeants de l'Alençon,
À nos sujets & à son peuple,
À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
Salut[/size]
[/list][/list]
[list][i][b]

La France est là et n'a jamais cessé de l'être. Elle bat en votre cœur comme elle se rassemble et se fédère autour de votre cause. Le Roy très craint, la Reyne Noire, nos fidèles, officiers, preux et freux, retiennent leur souffle en portant leur regard vers les murs de votre cité assiégée. Les rebuts de l'humanité qui mettent vos nerfs à l'épreuve n'ont négligé aucun moyen pour accomplir leur forfaiture.

Contre la guerre que l'Anjou entend nous mener, nous mènerons notre propre lutte, avec toutes les armes du pouvoir, ainsi que les autres. Spadassins, mercenaires, courtisanes, enchanteurs, empoisonnements, corruption, chantage. Il n'est d'instrument qui ne sera trop sale pour faire de la terre maudite d'Anjou un terrain vague fumant, si celui-ci persiste à mener une partie que nous n'entendons pas lui laisser gagner. Parce qu'il est juste de refuser le possible à celui qui a exigé l'impossible, lorsque les cohortes de soudards déferleront sur ces terres damnées pour noyer les enfants dans les puits, pour forcer les femmes, pendre les hommes au balcon avec des cordelettes de chanvre, le cœur fermé à toute compassion nous n'interviendrons pas, pour que tous sachent à quoi s'exposent ceux qui non contents de refuser notre protection, viennent porter le fer et le feu dans les rangs de nos propres fils avec la crasse insolence que confère le sentiment d'impunité.

Alençonnais, tu es Français ! Nul ne se rira de toi sans encourir la mort. La France se prépare à te porter l'aide massive et foudroyante que te doit la grandeur des Lys. En attendant ta libération prochaine, l'honneur te commande de défendre vaillamment ta famille et tes biens l'épée à la main, en dépit de la solitude et des privations, comme tes ancêtres l'ont toujours fait et comme dans ta vieillesse tes fils vigoureux le feront encore. Tous les braves qui de notre côté resteront sur le champ d'honneur seront morts d'une mort glorieuse: c'est la mort pour la liberté, c'est la mort des vrais soldats, c'est la mort des vrais braves, c'est la mort des francs. Elle ne sera que peu de chose face aux pertes que subira l'ennemi, dans l'espace et dans le temps.

Devant toi et devant Dieu, nous en formulons l'inaltérable serment.
L'Anjou brûlera.

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[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]

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_________________
Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      Aux sujets de France,
      A tous présents et à venir.
      Qui liront ou se feront lire.
      Salut.


    Le mérite est une valeur revendiquée par beaucoup mais justifiée pour bien peu. Le Royaume de France a besoin de ces Élus de l'Histoire qui contribuent par leurs talents hors du commun à l'accroissement de son prestige et de son rayonnement aux quatre coins du continent.

    Pour ces motifs, élevons ce jour à la dignité de Pair de France sa Grâce Angélyque de la Mirandole, Duchesse du Charolais, Baronne de Cruzy le Chastel. Car nous autres Français pourrions être écrasés sur terre, anéantis sur mer, sans meuble, sans vaisselle, et sans espérance, qu'il nous restera toujours la grâce de Dieu, les chefs-d’œuvre de l'art, et l'opiniâtreté de la Charolaise.

    Qu’il lui soit remis dès à présent les attributs afférents à sa charge et qu’elle siège auprès de ses pairs dès aujourd'hui, car telle est notre volonté et telle est l'expression de notre bon plaisir.


    Rédigé et scellé le 30e jour de Novembre 1460.












Code:
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[list][list][size=16]Aux sujets de France,
A tous présents et à venir.
Qui liront ou se feront lire.
Salut.[/size]
[/list][/list]
[list][i][b]Le mérite est une valeur revendiquée par beaucoup mais justifiée pour bien peu. Le Royaume de France a besoin de ces Élus de l'Histoire qui contribuent par leurs talents hors du commun à l'accroissement de son prestige et de son rayonnement aux quatre coins du continent.

Pour ces motifs, élevons ce jour à la dignité de Pair de France sa Grâce Angélyque de la Mirandole, Duchesse du Charolais, Baronne de Cruzy le Chastel. Car nous autres Français pourrions être écrasés sur terre, anéantis sur mer, sans meuble, sans vaisselle, et sans espérance, qu'il nous restera toujours la grâce de Dieu, les chefs-d’œuvre de l'art, et l'opiniâtreté de la Charolaise.

Qu’il lui soit remis dès à présent les attributs afférents à sa charge et qu’elle siège auprès de ses pairs dès aujourd'hui, car telle est notre volonté et telle est l'expression de notre bon plaisir.


Rédigé et scellé le 30e jour de Novembre 1460.[/i][/b][/list]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img][/quote]

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Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      À nos officiers et feudataires,
      À nos sujets & à son peuple,
      À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
      Salut.




    Votre Roy a été gravement navré. Au sein des vastes plaines de Langres, un combat d'une extrême férocité fut mené au courant de la nuit contre l'armée du malveillant Thoros, placée sous étendard Angevin. Au terme d'un chaos de flammes et de métal où l'armée ennemie fut défaite et forcée de battre en retraite, le Souverain Monarque, défendant avec les siens le domaine de Champagne, y trouva dangereux navrement en son flanc gauche, une épée lui passant sous l'écu -sans jeu de mot facétieux.

    Du côté Ouest de notre domaine, les drapeaux ennemis se sont carapatés hors du sol Alençonnais, battant eux aussi en retraite à Mayenne face à la détermination de la résistance qui leur fut opposée.

    Aussi, par la présente, tenons à saluer de tout cœur la vaillance de nos sujets Alençonnais et des forces royales Champenoises.
    Et nous honorons enfin ceux qui en défendant notre domaine, sont morts avec honneur. Leur nom ira rejoindre ceux des braves qui ornent les marbres de la salle du trône.

    Pour la France ... Ainsi je frappe !

















Code:
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[list][list][size=16]À nos officiers et feudataires,
À nos sujets & à son peuple,
À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
Salut.[/size]
[/list][/list]
[list][i][b]

Votre Roy a été gravement navré. Au sein des vastes plaines de Langres, un combat d'une extrême férocité fut mené au courant de la nuit contre l'armée du malveillant Thoros, placée sous étendard Angevin. Au terme d'un chaos de flammes et de métal où l'armée ennemie fut défaite et forcée de battre en retraite, le Souverain Monarque, défendant avec les siens le domaine de Champagne, y trouva dangereux navrement en son flanc gauche, une épée lui passant sous l'écu -sans jeu de mot facétieux.

Du côté Ouest de notre domaine, les drapeaux ennemis se sont carapatés hors du sol Alençonnais, battant eux aussi en retraite à Mayenne face à la détermination de la résistance qui leur fut opposée.

Aussi, par la présente, tenons à saluer de tout cœur la vaillance de nos sujets Alençonnais et des forces royales Champenoises.
Et nous honorons enfin ceux qui en défendant notre domaine, sont morts avec honneur. Leur nom ira rejoindre ceux des braves qui ornent les marbres de la salle du trône.

Pour la France ... Ainsi je frappe !

[/i][/b][/list]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]

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Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      À nos officiers et feudataires,
      À nos sujets & à son peuple,
      À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
      Salut.






    L'après Rome.

    C'est sans l'once d'une surprise que Nous avons pris connaissance de la dernière annonce de la Curie concernant Notre excommunication. Cette dernière ne doit surprendre personne, car les tricheurs sont à la merci des gens de la galerie qui connaissent leurs tours. Fort de notre autorité de Roy, nous déclarons sans la moindre équivoque possible que la Couronne est insensible au chantage. Nous ne laisserons pas la Curie Romaine régner à Notre place pas plus que nous lui permettrons de déchirer ou de menacer impunément nos sujets et vassaux après l'avoir vue se menacer et se déchirer elle-même.

    Nous l'invitons à relire le concordat de Paris dont elle se réclame et par la même occasion à se rappeler que conformément à notre charte fondamentale, le règne du Monarque débute dès le jour des résultats d'où il tire sa pleine légitimité.

    Parce que nul ne verra en Nous un fol irresponsable dénué de patience et de magnanimité, laissons à la Curie Romaine deux jours pleins pour se rétracter du dangereux chemin dans lequel elle entend mener la France, faute de quoi, que chacun soit assuré que Nous prendrons TOUTES les dispositions nécessaires pour protéger les Sujets de France des trop nombreuses ingérences et trafics d'influence de quelques prélats vaniteux plus versés dans les affaires temporelles qu'ambitieux dans leurs attributions spirituelles. Ces dérives sont les causes directes du détournement des fidèles de son influence. La responsabilité de ces maux qui lui incombe et qu'elle entend malhonnêtement Nous faire endosser, lui reviendra quoi qu'il advienne.

    Nous attendons promptement sa réponse.
    Pour la France, ainsi Je parle !



    Rédigée au Louvre le 12 décembre 1460.









Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]


[list][list][size=16]À nos officiers et feudataires,
À nos sujets & à son peuple,
À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
Salut.[/size]
[/list][/list]
[list][i][b]



[size=18]L'après Rome.[/size]

C'est sans l'once d'une surprise que Nous avons pris connaissance de la dernière annonce de la Curie concernant Notre excommunication. Cette dernière ne doit surprendre personne, car les tricheurs sont à la merci des gens de la galerie qui connaissent leurs tours. Fort de notre autorité de Roy, nous déclarons sans la moindre équivoque possible que la Couronne est insensible au chantage. Nous ne laisserons pas la Curie Romaine régner à Notre place pas plus que nous lui permettrons de déchirer ou de menacer impunément nos sujets et vassaux après l'avoir vue se menacer et se déchirer elle-même.

Nous l'invitons à relire le concordat de Paris dont elle se réclame et par la même occasion à se rappeler que conformément à notre charte fondamentale, le règne du Monarque débute dès le jour des résultats d'où il tire sa pleine légitimité.

Parce que nul ne verra en Nous un fol irresponsable dénué de patience et de magnanimité, laissons à la Curie Romaine deux jours pleins pour se rétracter du dangereux chemin dans lequel elle entend mener la France, faute de quoi, que chacun soit assuré que Nous prendrons [color=darkred][u]TOUTES[/u][/color] les dispositions nécessaires pour protéger les Sujets de France des trop nombreuses ingérences et trafics d'influence de quelques prélats vaniteux plus versés dans les affaires temporelles qu'ambitieux dans leurs attributions spirituelles.  Ces dérives sont les causes directes du détournement des fidèles de son influence. La responsabilité de ces maux qui lui incombe et qu'elle entend malhonnêtement Nous faire endosser, lui reviendra quoi qu'il advienne.

Nous attendons promptement sa réponse.
Pour la France, ainsi Je parle ![/i][/b]


Rédigée au Louvre le 12 décembre 1460.[/list]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]
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Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


        À l'attention de Aaron de Nagan, Cardinal,
        À l'attention de Navigius di Carrenza, Primat de France,
        Aux esprits féaux du Royaume de France,
        À l'ensemble de Nos sujets,
        À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.




    L'Après Rome - Mesures Préliminaires


    Voilà des années que tous les sujets du Royaume s'accordent à affirmer que l'Église Aristotélicienne Romaine est malade. Aux messes vides, ont suivi les cures désertes. Aux cures désertes, ont suivi les évêchés vacants. Aux évêchés vacants, a succédé le déchirement de la Curie en son propre sein. Silencieuse, aimante, fidèle, la France a jusqu'ici enduré au travers d'une patience et d'une dévotion qui l'honorent tout le laxisme, toutes les incohérences, toutes les approximations, toutes les frasques des hauts représentants Romains qui ont conduit nombre de nos provinces au bord de la guerre civile. Aux messes vides, aux cures désertes, aux évêchés vacants, au déchirement de la Curie, se succède désormais la menace aux vassaux de France, l'incitation à la sédition, la tentative de déstabilisation du Royaume, sous prétexte qu'inapte à accomplir sa mission dans Nos cités et Nos villages de France elle entend Nous rendre responsable du fait que les sujets du Royaume se choisissent des représentants qui ne se soumettent pas à son influence. La Curie Romaine a décidé de tout examiner, de tout remuer, sans exception et sans ménagement, dès lors qu'il s'agit de se mêler de féodalité, d'allégeance, et de pouvoir temporel. Il Nous appartient désormais de la ramener à l'humilité qu'elle n'aurait jamais dû quitter, en sombrant sous Nos yeux impuissants dans les noirs marécages de l'orgueil ; tout comme il est de Notre Aristotélicien devoir de lui faire comprendre ce qu'il en coûte d'avoir tête de plomb et pieds d'argile.

    Nous lui avons laissé deux jours pour se rétracter de ses errements. Au lieu de quoi, avons reçu invitation à l'élaboration d'une "profonde réflexion" sur nos actes de la part du Primat de France. Nous aurions souhaité, que charité bien ordonnée, Monseigneur Navigius commence par engager sa propre réflexion sur lui-même et ce qu'il représente. En vain, car si l'Église mettait autant d'énergie dans sa remise en question qu'elle ne met de venin dans ses élégances d'élocution, sans doute n'aurait-elle pas besoin d'instiller la peur pour se faire aimer. Au silence méprisant des uns, Nous recevons donc la littérature des autres. Ces Messieurs, infiniment tristes et blessés au cœur, Nous rappellent avec des regrets que Nous préjugerons comme honnêtes et sans doute très légitimes, qu'hélas, l'Église est régie par des lois, et que ces lois étant ce qu'elles sont, nul ne peut s'y soustraire, même si c'est l'âme meurtrie qu'ils prennent l'infinie et douloureuse décision d'excommunier le Roy, de menacer d'excommunication ses vassaux, d'affirmer un jour que les non-baptisés peuvent être excommuniés comme les autres et d'affirmer le lendemain que c'est une aberration, de pratiquer le terrorisme de conscience sur Notre sol, de revenir sur des décisions prises par des Cardinaux juste avant la fin d'élections royales et de décider d'appliquer à la carte le respect ou non des concordats signés avec l'Église Romaine.

    C'est un langage qu'en tant que Souverain, ayant la lourde charge de diriger un État et de veiller sur ses Sujets comme sur ses propres fils, Nous ne pouvons que comprendre. Sed Lex, Dura Lex. Cependant, il s'avère que le Royaume de France est lui aussi régi par des lois, et que ces lois étant ce qu'elles sont, nul ne peut s'y soustraire. C'est donc l'âme profondément meurtrie qu'en ce jour, Nous constatons que la Curie que le peuple n'a jamais mandaté, a adopté et entend imposer à la France des lois qui vont à l'encontre de celles dont s'est doté le Royaume et dont dépendent à la fois sa stabilité et sa souveraineté, et que par conséquent, attristés par ce douloureux constat, Nous ne pouvons qu'être dans la bouleversante obligation d'appliquer Nos propres lois et nos propres mesures dans la juste défense et la bonne protection des sujets de France.



    Aussi, par la présente, déclarons:

    • Aaron de Nagan, Vicomte d'Ivry , Seigneur d'Arches et de Germigny, Félon à la Couronne, Traître & Ennemi de la France, avec toutes les conséquences qui en découlent. Qu'il soit destitué sur le champ de ses terres en Notre Domaine ; destitution assortie d'une demande expresse auprès de ses Suzerains de les déchoir dans le même sens s'ils ne veulent pas hériter de la même sentence ; placement en liste d'ennemi par Nos armées en tant que nuisible.

    • Navigius di Carraza, Traître & Ennemi de la France, avec toutes les conséquences qui en découlent. Qu'il soit sorti et interdit d'entrée sur le champ de notre chambre des Feudataires et placé en liste d'ennemi par Nos armées en tant que nuisible.

    Au motif de:
      - Nuisance au Suzerain
      - Opposition à l'autorité royale
      - Atteinte aux intérêts, à la stabilité et à l'intégrité du Royaume de France dans son ensemble, en ce compris son peuple.

    De fait,
    Toute personne soutenant des ennemis de la France dans leur œuvre de nuisance, de sédition, et de trahison,
    Toute personne s'associant à eux dans des listes, groupes, association etc.
    Toute personne obéissant ou suivant leurs directives subira le même sort qu'eux par la simple commission du fait.

    De la même façon, Nous invitons cordialement, dans un esprit de compassion évidemment fort chagriné, tous ceux qui soutiennent ces signataires à se manifester auprès de Notre personne afin qu'ils entérinent leur choix définitif quant à leur allégeance, afin que Nous puissions prendre en bon père de famille les aimables dispositions pour qu'en toute quiétude, après s'être dépouillés des terres, privilèges de charges, honneurs et avantages qui les relient à notre sol et à nos institutions, ils puissent avec la disgrâce quitter sereinement le territoire, la tête sur leurs épaules alourdies par les forfaits qu'il leur plaît de se rendre coupables.


    Aussi, annonçons solennellement dès à présent et jusqu'à nouvel ordre:

    • La caducité de fait du Concordat de Paris
    • La non-reconnaissance par le Roy, les Pairs de France, les Grands Officiers, les Officiers, et plus généralement les institutions de la Couronne de tout Concordat provincial contracté avec Rome
    • La perte de valeur juridique immédiate au devant de Nos institutions du statut d'hérétique ; de toute excommunication passée, présente, comme future agréée par la Curie Romaine indépendamment de Notre volonté.
    • La non-reconnaissance par la Hérauderie de France de Sacrements réalisés par des traîtres ou des ennemis de la France sous ce statut, ce qui entend à dater du moment où leur trahison et leur statut d'ennemi est avéré, sans effet rétroactif.
    • L'amendement de tous Nos textes par lesquels Nos vassaux, Notre noblesse, et Nos sujets, auraient à souffrir des chantages de la Curie, afin qu'il leur soit fait nul dommage ni dans leur dignité, ni dans leurs biens.


    Ces mesures étant préliminaires, qu'il soit entendu que d'autres suivront. Une aube nouvelle se lève sur l'Aristotélicité.
    Elle se fera avec la France, avec le Roy, avec le Pape, avec les Clercs féaux, et tous les sujets de bonne volonté.
    Trop de largesses ont asséché le cœur de ceux qui par Nous tiraient leur prestige, et qui l'ont funestement oublié.
    Désormais, Paris reprend la main et au chaos engendré par l'acédie et les ambitions déplacées des Hommes en pourpre, avec la loyauté de tous, finira par remettre bon ordre.


    Pour la France ... ainsi Je frappe !










Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]


[list][list][list][size=16]À l'attention de Aaron de Nagan, Cardinal,
À l'attention de Navigius di Carrenza, Primat de France,
Aux esprits féaux du Royaume de France,
À l'ensemble de Nos sujets,
À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.[/size]
[/list][/list]


[size=18][i][b][color=darkblue]L'Après Rome - Mesures Préliminaires[/color][/b][/i][/size]


[i][b]Voilà des années que tous les sujets du Royaume s'accordent à affirmer que l'Église Aristotélicienne Romaine est malade. Aux messes vides, ont suivi les cures désertes. Aux cures désertes, ont suivi les évêchés vacants. Aux évêchés vacants, a succédé le déchirement de la Curie en son propre sein. Silencieuse, aimante, fidèle, la France a jusqu'ici enduré au travers d'une patience et d'une dévotion qui l'honorent tout le laxisme, toutes les incohérences, toutes les approximations, toutes les frasques des hauts représentants Romains qui ont conduit nombre de nos provinces au bord de la guerre civile. Aux messes vides, aux cures désertes, aux évêchés vacants, au déchirement de la Curie, se succède désormais la menace aux vassaux de France, l'incitation à la sédition, la tentative de déstabilisation du Royaume, sous prétexte qu'inapte à accomplir sa mission dans Nos cités et Nos villages de France elle entend Nous rendre responsable du fait que les sujets du Royaume se choisissent des représentants qui ne se soumettent pas à son influence. La Curie Romaine a décidé de tout examiner, de tout remuer, sans exception et sans ménagement, dès lors qu'il s'agit de se mêler de féodalité, d'allégeance, et de pouvoir temporel. Il Nous appartient désormais de la ramener à l'humilité qu'elle n'aurait jamais dû quitter, en sombrant sous Nos yeux impuissants dans les noirs marécages de l'orgueil ; tout comme il est de Notre Aristotélicien devoir de lui faire comprendre ce qu'il en coûte d'avoir tête de plomb et pieds d'argile.

Nous lui avons laissé deux jours pour se rétracter de ses errements. Au lieu de quoi, avons reçu invitation à l'élaboration d'une "profonde réflexion" sur nos actes de la part du Primat de France. Nous aurions souhaité, que charité bien ordonnée, Monseigneur Navigius commence par engager sa propre réflexion sur lui-même et ce qu'il représente. En vain, car si l'Église mettait autant d'énergie dans sa remise en question qu'elle ne met de venin dans ses élégances d'élocution, sans doute n'aurait-elle pas besoin d'instiller la peur pour se faire aimer. Au silence méprisant des uns, Nous recevons donc la littérature des autres. Ces Messieurs, infiniment tristes et blessés au cœur, Nous rappellent avec des regrets que Nous préjugerons comme honnêtes et sans doute très légitimes, qu'hélas, l'Église est régie par des lois, et que ces lois étant ce qu'elles sont, nul ne peut s'y soustraire, même si c'est l'âme meurtrie qu'ils prennent l'infinie et douloureuse décision  d'excommunier le Roy, de menacer d'excommunication ses vassaux, d'affirmer un jour que les non-baptisés peuvent être excommuniés comme les autres et d'affirmer le lendemain que c'est une aberration, de pratiquer le terrorisme de conscience sur Notre sol, de revenir sur des décisions prises par des Cardinaux juste avant la fin d'élections royales et de décider d'appliquer à la carte le respect ou non des concordats signés avec l'Église Romaine.

C'est un langage qu'en tant que Souverain, ayant la lourde charge de diriger un État et de veiller sur ses Sujets comme sur ses propres fils, Nous ne pouvons que comprendre. Sed Lex, Dura Lex. Cependant, il s'avère que le Royaume de France est lui aussi régi par des lois, et que ces lois étant ce qu'elles sont, nul ne peut s'y soustraire. C'est donc l'âme profondément meurtrie qu'en ce jour, Nous constatons que la Curie que le peuple n'a jamais mandaté, a adopté et entend imposer à la France des lois qui vont à l'encontre de celles dont s'est doté le Royaume et dont dépendent à la fois sa stabilité et sa souveraineté, et que par conséquent, attristés par ce douloureux constat, Nous ne pouvons qu'être dans la bouleversante obligation d'appliquer Nos propres lois et nos propres mesures dans la juste défense et la bonne protection des sujets de France.



Aussi, par la présente, déclarons:

[list][*][color=darkred]Aaron de Nagan[/color], Vicomte d'Ivry , Seigneur d'Arches et de Germigny, Félon à la Couronne, Traître & Ennemi de la France, avec toutes les conséquences qui en découlent. Qu'il soit destitué sur le champ de ses terres en Notre Domaine ; destitution assortie d'une demande expresse auprès de ses Suzerains de les déchoir dans le même sens s'ils ne veulent pas hériter de la même sentence ; placement en liste d'ennemi par Nos armées en tant que nuisible.

[*][color=darkred]Navigius di Carraza[/color], Traître & Ennemi de la France, avec toutes les conséquences qui en découlent. Qu'il soit sorti et interdit d'entrée sur le champ de notre chambre des Feudataires et placé en liste d'ennemi par Nos armées en tant que nuisible.
[/list]
Au motif de:
[list]- Nuisance au Suzerain
- Opposition à l'autorité royale
- Atteinte aux intérêts, à la stabilité et à l'intégrité du Royaume de France dans son ensemble, en ce compris son peuple.[/list]
De fait,
Toute personne soutenant des ennemis de la France dans leur œuvre de nuisance, de sédition, et de trahison,
Toute personne s'associant à eux dans des listes, groupes, association etc.
Toute personne obéissant ou suivant leurs directives subira le même sort qu'eux par la simple commission du fait.

De la même façon, Nous invitons cordialement, dans un esprit de compassion évidemment fort chagriné, tous ceux qui soutiennent ces signataires à se manifester auprès de Notre personne afin qu'ils entérinent leur choix définitif quant à leur allégeance, afin que Nous puissions prendre en bon père de famille les aimables dispositions pour qu'en toute quiétude, après s'être dépouillés des terres, privilèges de charges, honneurs et avantages qui les relient à notre sol et à nos institutions, ils puissent avec la disgrâce quitter sereinement le territoire, la tête sur leurs épaules alourdies par les forfaits qu'il leur plaît de se rendre coupables.


Aussi, annonçons solennellement dès à présent et jusqu'à nouvel ordre:

[list][*]La caducité de fait du Concordat de Paris
[*]La non-reconnaissance par le Roy, les Pairs de France, les Grands Officiers, les Officiers, et plus généralement les institutions de la Couronne de tout Concordat provincial contracté avec Rome
[*]La perte de valeur juridique immédiate au devant de Nos institutions du statut d'hérétique ; de toute excommunication passée, présente, comme future agréée par la Curie Romaine indépendamment de Notre volonté.
[*]La non-reconnaissance par la Hérauderie de France de Sacrements réalisés par des traîtres ou des ennemis de la France sous ce statut, ce qui entend à dater du moment où leur trahison et leur statut d'ennemi est avéré, sans effet rétroactif.
[*]L'amendement de tous Nos textes par lesquels Nos vassaux, Notre noblesse, et Nos sujets, auraient à souffrir des chantages de la Curie, afin qu'il leur soit fait nul dommage ni dans leur dignité, ni dans leurs biens.[/list]

Ces mesures étant préliminaires, qu'il soit entendu que d'autres suivront. Une aube nouvelle se lève sur l'Aristotélicité.
Elle se fera avec la France, avec le Roy, avec le Pape, avec les Clercs féaux, et tous les sujets de bonne volonté.
Trop de largesses ont asséché le cœur de ceux qui par Nous tiraient leur prestige, et qui l'ont funestement oublié.
Désormais, Paris reprend la main et au chaos engendré par l'acédie et les ambitions déplacées des Hommes en pourpre, avec la loyauté de tous, finira par remettre bon ordre.


Pour la France ... ainsi Je frappe ![/i]

[/b][/list]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]

[/quote]

_________________
Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France
      À nos sujets & à son peuple,
      À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,



En ce jour du 20 décembre 1460 nous confirmons de notre scel l'annonce suivante :

Citation:

Pour et au nom de Sa Majesté Eusaias de Blanc Combaz, Roy de France,
De Nous, Sa Majesté Agnès de Saint Just, Reyne consort de France,

A Falco de Cartel, Capitaine de cavalerie du Coeur Navré, très estimé féal au Royaume,


Respect et royales salutations.

    L'heure est venue pour le Royaume de s'armer de compagnies aptes à servir les intérêts de la France et de son Roy de manière exclusive, car Nous sommes bien décidés à nettoyer ce territoire de tous ses vagabonds, ses fainéants, ses imposteurs, et ses voleurs. Que chacun sache, chers amis, chers sujets, que les désœuvrés et les paresseux sont dans nos villes comme les bourdons devant une ruche, qui mangent le miel fait par les abeilles laborieuses.

    Parce que Notre intention est de venir en aide aux paysans, de laisser aux gentilshommes les privilèges auxquels l'accomplissement de leurs devoirs donnent droit, de récompenser les vertueux, et surtout de respecter la religion et les clercs fidèles au Roy qui les nourrit et les protège, accordons charge et devoir au Sieur Falco de Cartel et à sa Cavalerie du Coeur Navré de porter le fer en Notre nom chez Nos ennemis déclarés et de défendre nos domaines.

    Qu'une pleine aide et entière collaboration leur soit apportée dans l'exécution de leur mission auprès de tous ceux qui Nous honorent de leur loyauté.

    Bien évidemment, moyens leur seront alloués pour la juste exécution de la mission qu'il Nous plaît de leur bailler, sans que ne leur soit remboursé toute dépense inutile.

    Profitons de la présente pour nommer le Sieur Falco de Cartel, Mignon Royal. Qu'il se montre digne de l'honneur et de la charge que nous lui conférons.


    Que le Très-Haut vous guide et vous protège,
    Ainsi que les braves de votre renommée cavalerie.
    Et qu'après votre passage, caïmans et forbans souffrent le déluge !


Faict à Paris, le 14e de Décembre 1460.

Nota bene : S'il prenait subitement l'envie au Sieur de Cartel de porter atteinte à la personne de Sa Majesté le Roy de France, qu'il soit porté à sa connaissance que Nous, Agnès de Saint Just, Reyne consort de France, l'éviscèrerions au coutel de chasse rouillé et lui arracherions les yeux à la fourchette à fruit directement importée d'Italie
A chaque mignon suffit sa peine.

Qu'il en soit ainsi et heureusement.






Ainsi nous confirmons.























Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]
[list][list][size=16]À nos sujets & à son peuple,
À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
[/size]
[/list][/list]

[b]En ce jour du 20 décembre 1460 nous confirmons de notre scel l'annonce suivante :[/b]

[quote]
[color=darkred][size=18]Pour et au nom de Sa Majesté Eusaias de Blanc Combaz, Roy de France,[/size]
[size=16]De Nous, Sa Majesté Agnès de Saint Just, Reyne consort de France,

A Falco de Cartel, Capitaine de cavalerie du Coeur Navré, très estimé féal au Royaume,[/size]

Respect et royales salutations.

[list]L'heure est venue pour le Royaume de s'armer de compagnies aptes à servir les intérêts de la France et de son Roy de manière exclusive, car Nous sommes bien décidés à nettoyer ce territoire de tous ses vagabonds, ses fainéants, ses imposteurs, et ses voleurs. Que chacun sache, chers amis, chers sujets, que les désœuvrés et les paresseux sont dans nos villes comme les bourdons devant une ruche, qui mangent le miel fait par les abeilles laborieuses.

Parce que Notre intention est de venir en aide aux paysans, de laisser aux gentilshommes les privilèges auxquels l'accomplissement de leurs devoirs donnent droit, de récompenser les vertueux, et surtout de respecter la religion et les clercs fidèles au Roy qui les nourrit et les protège, [b]accordons charge et devoir au Sieur Falco de Cartel et à sa Cavalerie du Coeur Navré de porter le fer en Notre nom chez Nos ennemis déclarés et de défendre nos domaines. [/b]

Qu'une pleine aide et entière collaboration leur soit apportée dans l'exécution de leur mission auprès de tous ceux qui Nous honorent de leur loyauté.

Bien évidemment, moyens leur seront alloués pour la juste exécution de la mission qu'il Nous plaît de leur bailler, sans que ne leur soit remboursé toute dépense inutile.

[b]Profitons de la présente pour nommer le Sieur Falco de Cartel, Mignon Royal.[/b] Qu'il se montre digne de l'honneur et de la charge que nous lui conférons.


Que le Très-Haut vous guide et vous protège,
Ainsi que les braves de votre renommée cavalerie.
Et qu'après votre passage, caïmans et forbans souffrent le déluge ![/list]

Faict à Paris, le 14e de Décembre 1460.

[size=10]Nota bene : S'il prenait subitement l'envie au Sieur de Cartel de porter atteinte à la personne de Sa Majesté le Roy de France, qu'il soit porté à sa connaissance que Nous, Agnès de Saint Just, Reyne consort de France, l'éviscèrerions au coutel de chasse rouillé et lui arracherions les yeux à la fourchette à fruit directement importée d'Italie
A chaque mignon suffit sa peine.

Qu'il en soit ainsi et heureusement.[/size][/color]
[img]http://i47.servimg.com/u/f47/14/87/19/90/gnia10.png[/img]
[img]http://i69.servimg.com/u/f69/11/69/50/92/gnia210.png[/img][/quote]



[b]Ainsi nous confirmons.[/b]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]

[/quote]

_________________
Gnia
Citation:
Pour et au nom de Sa Majesté Eusaias de Blanc Combaz, Roy de France,
De Nous, Sa Majesté Agnès de Saint Just, Reyne consort de France,

À nos sujets & à son peuple,
À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,

Salutations et Paix.

    Guidé par l'éternel souci de son peuple, de ses vassaux, de ses officiers, et désireux de préserver le Royaume des débris et des épaves sur la plage de l'Aristotélicité, avons manifesté le 19e de décembre nos bonnes dispositions au dialogue suite à la requête émanant de la Curie Romaine dès que la levée de notre excommunication sera effective.

    Au travers de cet acte, la Curie Romaine ouvrira de nouveau la porte du dialogue qu'elle a elle-même verrouillée, ce qui lui permettra de faire amende honorable en ce qu'elle outrepasse ses prérogatives en dirigeant l'excommunication contre la Couronne et ses vassaux.
    La France, qui ne saurait balayer la concorde du revers de la main, ne demande que des rétractations et des excuses chez ceux qui ont osé attenter à ses intérêts en se posant comme rivaux de son autorité et non comme alliés.

    Le Monarque n'est pas Roy par la volonté d'une poignée de Cardinaux qui souhaitent le soumettre par le chantage du Sacre, mais par la manifestation de Dieu s'exprimant via les urnes, et ce, quand bien même ce choix ne serait pas celui des hommes en pourpre, dont le pire des errements serait de vouloir se substituer au Très-Haut.

    Notre main restera tendue jusqu'au 26e de Décembre inclus.
    Faute de nouvelles, nous considèrerons que cette volonté de dialogue n'était qu'un voeu pieux, et poursuivrons dès lors les réformes et amendements liés à cette situation qui nous oblige.


Aux hommes la droiture et le devoir,
Et à Dieu seul la gloire.

Faict le 22e de décembre 1460.







Code:
[quote][color=darkred][size=18]Pour et au nom de Sa Majesté Eusaias de Blanc Combaz, Roy de France,[/size]
[size=16]De Nous, Sa Majesté Agnès de Saint Just, Reyne consort de France,[/size]

À nos sujets & à son peuple,
À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,

Salutations et Paix.

[list]Guidé par l'éternel souci de son peuple, de ses vassaux, de ses officiers, et désireux de préserver le Royaume des débris et des épaves sur la plage de l'Aristotélicité, [b]avons manifesté le 19e de décembre nos bonnes dispositions au dialogue suite à la requête émanant de la Curie Romaine dès que la levée de notre excommunication sera effective.[/b]

Au travers de cet acte, la Curie Romaine ouvrira de nouveau la porte du dialogue qu'elle a elle-même verrouillée, ce qui lui permettra de faire amende honorable en ce qu'elle outrepasse ses prérogatives en dirigeant l'excommunication contre la Couronne et ses vassaux.
La France, qui ne saurait balayer la concorde du revers de la main, ne demande que des rétractations et des excuses chez ceux qui ont osé attenter à ses intérêts en se posant comme rivaux de son autorité et non comme alliés.

[b]Le Monarque n'est pas Roy par la volonté d'une poignée de Cardinaux qui souhaitent le soumettre par le chantage du Sacre, mais par la manifestation de Dieu s'exprimant via les urnes,[/b] et ce, quand bien même ce choix ne serait pas celui des hommes en pourpre, dont le pire des errements serait de vouloir se substituer au Très-Haut.

[b]Notre main restera tendue jusqu'au 26e de Décembre inclus.[/b]
Faute de nouvelles, nous considèrerons que cette volonté de dialogue n'était qu'un voeu pieux, et poursuivrons dès lors les réformes et amendements liés à cette situation qui nous oblige.[/list]

Aux hommes la droiture et le devoir,
Et à Dieu seul la gloire.

Faict le 22e de décembre 1460.[/color]
[img]http://i47.servimg.com/u/f47/14/87/19/90/gnia10.png[/img]
[img]http://i69.servimg.com/u/f69/11/69/50/92/gnia210.png[/img]
[/quote]

_________________
Eusaias
Citation:

------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      Aux sujets de France,
      A tous présents et à venir. Salut.

                                          Quartier Général de la Connétablie.
                                          29e de Décembre an 1460




    « Soldats Français, Chevaliers de France, ne refusez pas votre bonté aux humbles laboureurs et à ce brave peuple qui a tant de droits à notre sympathie. Ne conservons en nous aucun orgueil au cœur de nos succès. N'y voyons que la preuve fatale de cette justice divine qui punit l'ingrat et décapite le parjure. »


      PROCLAMATION DE L'OCCUPATION D'ANJOU



    Après la libération du Maine, de l'Orléanais, et de l'Alençon, l'Illustre Armée des Lys descend la Loire, conquiert les terres, hameaux, et mines d'Anjou, avant de poursuivre sa marche sur Angers, qui seule résiste. Or,les troupes royales y ont établi leurs quartiers et entendent bien faire capituler la ville sous deux jours, après avoir évacué la mauvaise graine qui s'y loge, et qui par sa mauvaise influence, gâte le tout.


    Soldats Français, Chevaliers de France, un mois après que l'ennemi passa la frontière du Domaine Royal pour y être défait, au même jour, à la même heure, nous sommes entrés en Anjou. Ses mercenaires, ses conscriptions en masse, ses remparts respectivement payés, mobilisées, créés par la rage impuissante des princes autoproclamés de la Maison Angevine, n'ont point soutenu la comparaison avec l'excellence des Lys. Les princes de la Maison Angevine ont abandonné leur province, non comme des combattants d'honneur qui cèdent aux circonstances et aux revers de la guerre, mais comme des parjures qui après avoir osé porter le fer sur nos familles, poursuivent leurs propres remords jusque dans leur sous-sol. En désertant leurs places fortes, en fuyant leur village, leurs adieux au peuple d'Anjou se sont soldés par le meurtre et l'incendie. Comme Médée, ils ont de leurs propres mains égorgé leurs enfants sur l'autel de leur inconséquence, pour ne pas avoir eu la sagesse d'ouvrir la porte à un dialogue apaisé.

    Soldats Français, Chevaliers de France, le peuple du Duché d'Anjou, délaissé, abandonné, veuf, sera l'objet de votre considération. Nous prenons dès à présent les bons habitants de cette terre sous Notre spéciale protection. Quant aux gredins turbulents et perfides, Nous en ferons une justice exemplaire, car le crime ne saurait rester impuni.

    Soldats Français, Chevaliers de France, ne refusez pas votre bonté aux humbles laboureurs et à ce brave peuple qui a tant de droits à notre sympathie. Ne conservons en nous aucun orgueil au cœur de nos succès. N'y voyons que la preuve fatale de cette justice divine qui punit l'ingrat et décapite le parjure.


    Nous exigeons des séditieux angevins:

    - Qu'ils reconnaissent leur défaite en ce qu'ils ont abandonné entre Nos mains les outils de leur prospérité.
    - Qu'ils formulent auprès de Nous une proposition de tribut décente qu’ils honoreront auprès de Notre Domaine outragé.
    - Qu'ils démobilisent et baissent les bannières de leurs armées, hormis celle de Calyce, pour que cessent les difficultés et le déshonneur qu'ils font endosser au peuple d’Anjou.

    Ces conditions remplies, en bon Monarque, Nous leur accorderons audience, si la délégation Nous plait, en notre Palais, afin de reprendre les discussions là où elles en étaient après la signature de l’Aventin. Ces conditions rejetées, nous prendrons acte de la volonté des séditieux de préférer à la paix des braves, la ruine intégrale de la province qu'ils prétendent diriger, en lui donnant mauvaise(s) mine(s).

    Nous leur laissons deux jours.


    Pour la France... Ainsi je Frappe !












Code:
[quote]
[color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]


[list][list][size=16]Aux sujets de France,
A tous présents et à venir. Salut.[/size][/list]
[/list][list][list][list][list][list][list][list][list][list][list][list][list][list][list][list][list][list][list][list][list][size=9][b]Quartier Général de la Connétablie.
29e de Décembre an 1460[/b][/size][/list][/list][/list][/list][/list][/list][/list][/list][/list][/list][/list][/list][/list][/list][/list][/list][/list][/list][/list][/list]



[list][size=13][b]« Soldats Français, Chevaliers de France, ne refusez pas votre bonté aux humbles laboureurs et à ce brave peuple qui a tant de droits à notre sympathie. Ne conservons en nous aucun orgueil au cœur de nos succès. N'y voyons que la preuve fatale de cette justice divine qui punit l'ingrat et décapite le parjure. »[/b][/size]

[list]
[size=14]PROCLAMATION DE L'OCCUPATION D'ANJOU[/size][/list]


[i]Après la libération du Maine, de l'Orléanais, et de l'Alençon, l'Illustre Armée des Lys descend la Loire, conquiert les terres, hameaux, et mines d'Anjou, avant de poursuivre sa marche sur Angers, qui seule résiste. Or,les troupes royales y ont établi leurs quartiers et entendent bien faire capituler la ville sous deux jours, après avoir évacué la mauvaise graine qui s'y loge, et qui par sa mauvaise influence, gâte le tout.[/i]


[i][b]Soldats Français, Chevaliers de France, un mois après que l'ennemi passa la frontière du Domaine Royal pour y être défait, au même jour, à la même heure, nous sommes entrés en Anjou. Ses mercenaires, ses conscriptions en masse, ses remparts respectivement payés, mobilisées, créés par la rage impuissante des princes autoproclamés de la Maison Angevine, n'ont point soutenu la comparaison avec l'excellence des Lys. Les princes de la Maison Angevine ont abandonné leur province, non comme des combattants d'honneur qui cèdent aux circonstances et aux revers de la guerre, mais comme des parjures qui après avoir osé porter le fer sur nos familles, poursuivent leurs propres remords jusque dans leur sous-sol. En désertant leurs places fortes, en fuyant leur village, leurs adieux au peuple d'Anjou se sont soldés par le meurtre et l'incendie. Comme Médée, ils ont de leurs propres mains égorgé leurs enfants sur l'autel de leur inconséquence, pour ne pas avoir eu la sagesse d'ouvrir la porte à un dialogue apaisé.

Soldats Français, Chevaliers de France, le peuple du Duché d'Anjou, délaissé, abandonné, veuf, sera l'objet de votre considération. Nous prenons dès à présent les bons habitants de cette terre sous Notre spéciale protection. Quant aux gredins turbulents et perfides, Nous en ferons une justice exemplaire, car le crime ne saurait rester impuni.

Soldats Français, Chevaliers de France, ne refusez pas votre bonté aux humbles laboureurs et à ce brave peuple qui a tant de droits à notre sympathie. Ne conservons en nous aucun orgueil au cœur de nos succès. N'y voyons que la preuve fatale de cette justice divine qui punit l'ingrat et décapite le parjure.


Nous exigeons des séditieux angevins:

- Qu'ils reconnaissent leur défaite en ce qu'ils ont abandonné entre Nos mains les outils de leur prospérité.
- Qu'ils formulent auprès de Nous une proposition de tribut décente qu’ils honoreront auprès de Notre Domaine outragé.
- Qu'ils démobilisent et baissent les bannières de leurs armées, hormis celle de Calyce, pour que cessent les difficultés et le déshonneur qu'ils font endosser au peuple d’Anjou.

Ces conditions remplies, en bon Monarque, Nous leur accorderons audience, si la délégation Nous plait, en notre Palais, afin de reprendre les discussions là où elles en étaient après la signature de l’Aventin. Ces conditions rejetées, nous prendrons acte de la volonté des séditieux de préférer à la paix des braves, la ruine intégrale de la province qu'ils prétendent diriger, en lui donnant mauvaise(s) mine(s).

Nous leur laissons deux jours.


Pour la France... Ainsi je Frappe ![/b][/i][/list]


[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]

[/quote]

_________________
Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      A La Bourgogne ma bien-aimée vassale,
      A Aryanah de Bourgogne,
      Au nouveau conseil mis en place,
      A tous les sujets bourguignons,
      A tous les sujets de France,
      Respect et royales salutations.


    C’est le cœur empli de fierté que nous prenons la plume ce jour afin de féliciter les très aristotéliciens bourguignons, qui sans trahir leur foi n'ont pas hésité à se dresser contre les agents étrangers qui les commandaient de se rebeller contre leur suzerain pour des intérêts de boutiquiers en voulant faire de l'honorable Bourgogne un socle pour leur croisade infâme. La noblesse de Bourgogne a su montrer par son courage et son caractère impavide qu’un fils de France gagnait à être à la fois un croyant empli de piété et un bon sujet, conscient des devoirs qu'appelle sa liberté et de la liberté à laquelle aspirent ses devoirs. Nous n'avons jamais douté qu'ils étaient à même de comprendre que le Roi parle bien d'un alliage de la Foi et de la Couronne, quand la Curie Romaine appelle à se prononcer pour l'un ou pour l'autre. Nous en prenons acte, et désormais, les fondations de l'Après Rome se préparent.

    C'est avec la plus vive considération que nous honorons les braves de Dijon, que par la présente nous tenons à louer aussi bien leur courage que leur clairvoyance pour ne pas avoir livré leur État aux mains d'une puissance étrangère hostile et belliqueuse.

    Nous invitons la Dame Aryanah à faire ce que son malheureux prédécesseur s'est vu interdire de faire par ses maîtres extérieurs à la France, et à venir nous prêter allégeance en salle du trône afin que son mandat, placé sous les auspices de Dieu et de la Couronne, soit riche et prospère.

    Prévenons que nous serons à l'écoute de tous nos enfants qui souhaiteront s'amender des tragiques erreurs qui les ont porté à vouloir vendre au Pape et à l'Empire ce qui a été si longuement et douloureusement bâti au fil des âges par la sueur et le sang des nobles fils de Bourgogne.

    Que tous comprennent en revanche que ceux qui s’attaqueront à elle ou ses vassaux seront implacablement placés en ennemi du royaume de France et perdront ainsi tous les honneurs et privilèges que la France leur baille. Notre coeur est si magnanime, qu'il n'y reste plus de place pour tolérer en France les traîtres, les séditieux et autres vils, qui ne rêvent que d'y semer le trouble et le chaos au détriment de la tempérance et de l'amour des peuples.

    A vous, sujets de France, que la Bourgogne vous indique comme il n’est délicat d’être bon aristotélicien et fidèle sujet du Roy. Gardez toujours à l'esprit que nul homme n'est légitime à vous imposer le choix entre votre foi et votre roi, et que ceux qui le feront se fourvoieront car il ne peut y avoir de conviction religieuse honnête et de loyauté sincère dans le chantage et la menace.

    Que seules les attaques verbales, physiques, appel à la sédition, ainsi que la volonté de porter atteinte à l'unité sacrée du Royaume ou de nuire au Souverain sont punissables en France dans ce cas présent pour ce que ces actes imposent notre sévérité dans la protection de ceux qui s'en trouveraient victimes. Mais on ne saurait commettre la folie et l'imprudence de mettre en prison un homme pour sa seule foy, en ce que cette folie porte le scel pestiféré des tyrans, ce que fils imprégné des saines valeurs de la Bourgogne et désormais Roy de France, jamais ne serons !

    Pour Dieu, pour la Couronne éternelle, pour la Bourgogne.
    Français, le Roy vous salue !






















Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]


[list][list][size=16]A La Bourgogne ma bien-aimée vassale,
A Aryanah de Bourgogne,
Au nouveau conseil mis en place,
A tous les sujets bourguignons,
A tous les sujets de France,
Respect et royales salutations.
[/size]
[/list][/list]
[list][i][b] C’est le cœur empli de fierté que nous prenons la plume ce jour afin de féliciter les très aristotéliciens bourguignons, qui sans trahir leur foi n'ont pas hésité à se dresser contre les agents étrangers qui les commandaient de se rebeller contre leur suzerain pour des intérêts de boutiquiers en voulant faire de l'honorable Bourgogne un socle pour leur croisade infâme. La noblesse de Bourgogne a su montrer par son courage et son caractère impavide qu’un fils de France gagnait à être à la fois un croyant empli de piété et un bon sujet, conscient des devoirs qu'appelle sa liberté et de la liberté à laquelle aspirent ses devoirs. Nous n'avons jamais douté qu'ils étaient à même de comprendre que le Roi parle bien d'un alliage de la Foi et de la Couronne, quand la Curie Romaine appelle à se prononcer pour l'un ou pour l'autre. Nous en prenons acte, et désormais, les fondations de l'Après Rome se préparent.

C'est avec la plus vive considération que nous honorons les braves de Dijon, que par la présente nous tenons à louer aussi bien leur courage que leur clairvoyance pour ne pas avoir livré leur État aux mains d'une puissance étrangère hostile et belliqueuse.

Nous invitons la Dame Aryanah à faire ce que son malheureux prédécesseur s'est vu interdire de faire par ses maîtres extérieurs à la France, et à venir nous prêter allégeance en salle du trône afin que son mandat, placé sous les auspices de Dieu et de la Couronne, soit riche et prospère.

Prévenons que nous serons à l'écoute de tous nos enfants qui souhaiteront s'amender des tragiques erreurs qui les ont porté à vouloir vendre au Pape et à l'Empire ce qui a été si longuement et douloureusement bâti au fil des âges par la sueur et le sang des nobles fils de Bourgogne.

Que tous comprennent en revanche que ceux qui s’attaqueront à elle ou ses vassaux seront implacablement placés en ennemi du royaume de France et perdront ainsi tous les honneurs et privilèges que la France leur baille. Notre coeur est si magnanime, qu'il n'y reste plus de place pour tolérer en France les traîtres, les séditieux et autres vils, qui ne rêvent que d'y semer le trouble et le chaos au détriment de la tempérance et de l'amour des peuples.

A vous, sujets de France, que la Bourgogne vous indique comme il n’est délicat d’être bon aristotélicien et fidèle sujet du Roy. Gardez toujours à l'esprit que nul homme n'est légitime à vous imposer le choix entre votre foi et votre roi, et que ceux qui le feront se fourvoieront car il ne peut y avoir de conviction religieuse honnête et de loyauté sincère dans le chantage et la menace.

Que seules les attaques verbales, physiques, appel à la sédition, ainsi que la volonté de porter atteinte à l'unité sacrée du Royaume ou de nuire au Souverain sont punissables en France dans ce cas présent pour ce que ces actes imposent notre sévérité dans la protection de ceux qui s'en trouveraient victimes. Mais on ne saurait commettre la folie et l'imprudence de mettre en prison un homme pour sa seule foy, en ce que cette folie porte le scel pestiféré des tyrans, ce que fils imprégné des saines valeurs de la Bourgogne et désormais Roy de France, jamais ne serons !

Pour Dieu, pour la Couronne éternelle, pour la Bourgogne.
Français, le Roy vous salue !



[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]


[/list][/i][/b] [/quote]

_________________
Eusaias
Citation:


      De Nous, Eusaias, roy de France,
      A tous ceux qui liront ou se feront lire.



          « Dis moi qui tu hantes, je te dirais qui tu es. »



    Le Roy n'est pas propriétaire du Royaume, il en est l'usufruitier. C'est parce qu'il a pour devoir de le transmettre en les meilleures conditions possibles à son successeur que la Souveraineté de la Couronne et l'Unité du Royaume l'engagent. Feu le roy Louis Vonafred a œuvré durant son règne à l'apaisement du Royaume en contractant bonne paix avec ses ennemis dès lors qu'ils ouvraient leur cœur au compromis sans exiger de la France qu'elle-même se compromette. Notre politique en la matière s'inscrira dans la continuité de notre illustre prédécesseur.

    Aussi, en vertu des prérogatives qui sont nôtres, pour avoir été le témoin direct des évènements de la guerre civile qui a déchiré la Guyenne lors du conflit opposant la Couronne aux provinces Ponantaises séditieuses, pour avoir pris bonne connaissance de la demande en réhabilitation du Duc de Guyenne Orandin de Litneg en chambre des Feudataires concernant les belligérants de Guyenne destitués pour nuisance au Suzerain sous agrément des provinces Ponantaises et donc dans le cadre du-dit conflit, pour avoir pris acte de la grâce accordée par le Roy Louis Vonafred aux-dits belligérants concernant les dites actions, pour avoir promis ne pas tenir rigueur aux belligérants concernés par le traité de l'Aventin pour les crimes commis par les administrateurs irresponsables de l'Anjou ayant entraîné la rupture du-dit traité ; prenons la décision de casser le verdict du tribunal héraldique relatif à la destitution des belligérants susdits, daté du 12e de Décembre 1459.

    De fait, demandons à la hérauderie d'enregistrer le retour de monsieur Garzimlebo & madame Isambre en les terres du Duché de Blanquefort et de la Baronnie de Luzech, du sieur Betoval en ses terres du Vicomté de Monbahus, de mademoiselle Asophie en ses terres du Vicomté de Terrides comme il leur avait été octroyé, pour qu'ils en soient les bénéficiaires exclusifs & légitimes. Tout octroi éventuel des dites terres à un autre individu, établi postérieurement à la destitution du 12e de Décembre 1460 est donc rendu par la présente caduc, et demandons par conséquent aux éventuels concernés de contacter la hérauderie de France pour que leur soient octroyées de nouvelles terres d'un rang équivalent.

    En ce qui relève de la destitution de Hull19 pour crime de sang et refus d'obtempérer dans le cadre du-dit conflit actée le 10e jour de Novembre 1459, n'était besoin de raison particulière autre que la volonté du régnant pour lui ôter jouissance de sa seigneurie de mérite. Son cas peut dès lors être réglé rapidement par le feudataire actuel de Guyenne s'il décide de lui en octroyer une sans que la Couronne ne vienne contrevenir au bon droit de son vassal. En conséquence, nous laissons la main au feudataire de Guyenne pour se pencher sur le dit-cas, et l'invitons à le réhabiliter de lui-même si d'aventure il le trouvait toujours méritant.

    Ensuite, en vertu des prérogatives qui sont nôtres, annonçons casser le verdict héraldique du 17e de mai 1460 relatif à la destitution d'Agnès de St-Just du Comté de Lavedan pour félonie à la Couronne. Si félonie fut avérée, grâce royale fut octroyée là aussi par Notre prédécesseur. La faute pardonnée, demandons à la hérauderie royale de France d'acter que Nous levons la sanction que ladite faute a entraîné, et permettons dès lors à Agnès de St Just de recouvrer l'usufruit des terres du Comté de Lavedan, conformément à l'octroi qui lui en avait été fait.

    Enfin, nous réitérons notre désir d'ouvrir d'honnêtes discussions avec le Grand Duché de Bretagne pour l'établissement de relations de confiance et d'estime qui puissent se révéler pérennes dans le temps lors d'une entrevue au Mont St Michel, comme nous assurons aux provinces du Poitou, d'Artois, et du Berry, que conformément à nos engagements tenus lors de notre annonce du 30e de Novembre selon lesquels les fautes de l'Anjou ne seraient pas reportées sur les co-signataires du traité de l'Aventin, nous examinerons prochainement, avec eux, & dans un esprit de justice et de bienveillance, les contentieux héraldiques liés aux troubles de la guerre qui les a opposés à la Couronne de France et aux conséquences qui s'en sont suivies. Ces cas étant moins isolés et plus complexes, nous prendrons le temps de les traiter avec la méticulosité que la noblesse de France mérite, dans un état d'esprit apaisé et résolument tourné vers l'avenir.



Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Fait au Louvre le 10 janvier 1461.












Code:
[quote]

[list][list][i][b]De Nous, Eusaias, roy de France,
A tous ceux qui liront ou se feront lire.[/b][/i][/list]


[list][list][list][size=18][b]« Dis moi qui tu hantes, je te dirais qui tu es. »[/b][/size][/list][/list][/list]


[b][i]Le Roy n'est pas propriétaire du Royaume, il en est l'usufruitier. C'est parce qu'il a pour devoir de le transmettre en les meilleures conditions possibles à son successeur que la Souveraineté de la Couronne et l'Unité du Royaume l'engagent. Feu le roy Louis Vonafred a œuvré durant son règne à l'apaisement du Royaume en contractant bonne paix avec ses ennemis dès lors qu'ils ouvraient leur cœur au compromis sans exiger de la France qu'elle-même se compromette. Notre politique en la matière s'inscrira dans la continuité de notre illustre prédécesseur.

Aussi, en vertu des prérogatives qui sont nôtres, pour avoir été le témoin direct des évènements de la guerre civile qui a déchiré la Guyenne lors du conflit opposant la Couronne aux provinces Ponantaises séditieuses, pour avoir pris bonne connaissance de la demande en réhabilitation du Duc de Guyenne Orandin de Litneg en chambre des Feudataires concernant les belligérants de Guyenne destitués pour nuisance au Suzerain sous agrément des provinces Ponantaises et donc dans le cadre du-dit conflit, pour avoir pris acte de la [url=http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=83726597#83726597]grâce[/url] accordée par le Roy Louis Vonafred aux-dits belligérants concernant les dites actions, pour avoir promis ne pas tenir rigueur aux belligérants concernés par le traité de l'Aventin pour les crimes commis par les administrateurs irresponsables de l'Anjou ayant entraîné la rupture du-dit traité ; prenons la décision de casser le [url=http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=73541358#73541358]verdict du tribunal héraldique[/url] relatif à la destitution des belligérants susdits, daté du 12e de Décembre 1459.

De fait, demandons à la hérauderie d'enregistrer le retour de monsieur Garzimlebo & madame Isambre en les terres du Duché de Blanquefort et de la Baronnie de Luzech, du sieur Betoval en ses terres du Vicomté de Monbahus, de mademoiselle Asophie en ses terres du Vicomté de Terrides comme il leur avait été octroyé, pour qu'ils en soient les bénéficiaires exclusifs & légitimes. Tout octroi éventuel des dites terres à un autre individu, établi postérieurement à la destitution du 12e de Décembre 1460 est donc rendu par la présente caduc, et demandons par conséquent aux éventuels concernés de contacter la hérauderie de France pour que leur soient octroyées de nouvelles terres d'un rang équivalent.

En ce qui relève de la destitution de Hull19 pour crime de sang et refus d'obtempérer dans le cadre du-dit conflit actée le 10e jour de Novembre 1459, n'était besoin de raison particulière autre que la volonté du régnant pour lui ôter jouissance de sa seigneurie de mérite. Son cas peut dès lors être réglé rapidement par le feudataire actuel de Guyenne s'il décide de lui en octroyer une sans que la Couronne ne vienne contrevenir au bon droit de son vassal. En conséquence, nous laissons la main au feudataire de Guyenne pour se pencher sur le dit-cas, et l'invitons à le réhabiliter de lui-même si d'aventure il le trouvait toujours méritant.

Ensuite, en vertu des prérogatives qui sont nôtres, annonçons casser le [url=http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=82935812#82935812]verdict héraldique[/url] du 17e de mai 1460 relatif à la destitution d'Agnès de St-Just du Comté de Lavedan pour félonie à la Couronne. Si félonie fut avérée, [url=http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=83820628#83820628]grâce royale[/url] fut octroyée là aussi par Notre prédécesseur. La faute pardonnée, demandons à la hérauderie royale de France d'acter que Nous levons la sanction que ladite faute a entraîné, et permettons dès lors à Agnès de St Just de recouvrer l'usufruit des terres du Comté de Lavedan, conformément à l'octroi qui lui en avait été fait.

Enfin, nous réitérons notre désir d'ouvrir d'honnêtes discussions avec le Grand Duché de Bretagne pour l'établissement de relations de confiance et d'estime qui puissent se révéler pérennes dans le temps lors d'une entrevue au Mont St Michel, comme nous assurons aux provinces du Poitou, d'Artois, et du Berry, que conformément à nos engagements tenus lors de notre annonce du 30e de Novembre selon lesquels les fautes de l'Anjou ne seraient pas reportées sur les co-signataires du traité de l'Aventin, nous examinerons prochainement, avec eux, & dans un esprit de justice et de bienveillance, les contentieux héraldiques liés aux troubles de la guerre qui les a opposés à la Couronne de France et aux conséquences qui s'en sont suivies. Ces cas étant moins isolés et plus complexes, nous prendrons le temps de les traiter avec la méticulosité que la noblesse de France mérite, dans un état d'esprit apaisé et résolument tourné vers l'avenir.[/b][/i][/list]


[b][i]Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Fait au Louvre le 10 janvier 1461.[/b][/i]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]
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Eusaias
Citation:



Il est difficile pour l'esprit d'appréhender de sang-froid ce que peut être un procureur Cardinalice -et donc un Pape en devenir- aux ambitions criminelles. D'après nos récentes constatations, c'est un homme qui tire bénéfices de sa charge en parquant les autres dans les charrettes de l'ostracisme. C'est le pourvoyeur attitré des croisières infernales. Du reste, il nous apparaît que c'est un monsieur qui dispose de certaines prétentions à l'esthétique et au savoir, qui est éloquent ou qui plus souvent croit l'être, qui récite au besoin une ou deux maximes latines avant de sceller un avis d'excommunication, qui cherche à impressionner, qui affecte la fatuité de la noblesse. Ses semonces sont travaillées comme des poèmes, qu'il orne d'or, d'images et de symboles, qu'il remplit d'exemples, il faut que cela soit bien tourné, beau au regard, admirable à l'écoute, et que cela ravisse les bons sentiments des dames. Il a ses galanteries de langage, ses délicatesses, ses subtilités, comme autant de ficelles d'écrivassier. N'ayons point peur qu'il nomme ses actions telles qu'elles sont, grand Dieu, surtout pas ! Il a pour tout jugement péremptoire dont l'austérité et l'invective nous révulseraient toute sorte de travestissements de prédicats et de louanges. Ô misère !

Rome est si Unie, si Forte, si Vraie, si Juste, que les notes de service de sa Sainteté le Pape se retrouvent ainsi affichées publiquement, au vu et au su de tous, décrédibilisant autant l'institution qu'elle représente que la droiture morale qu'elle prétend défendre. Nous profitons donc de ces manquements pour affirmer le plus sereinement du monde les choses suivantes :

Le Royaume de France a au moins autant besoin de missionnaires et de clercs que les terres Scandinaves. Autant besoin de missionnaires et de clercs que les pâturages d'Irlande. À moins que Sa Sainteté ne se réjouisse de l'état de délabrement spirituel dans lequel elle a laissé sombrer le Royaume. Ce qui est sûr, en revanche, c'est que le Royaume de France ne saurait être dévoué en premier lieu qu'à ses sujets, et s'il plaît à Rome d'inféoder un Royaume sous son autorité, nous ne pouvons que l'inviter à se tourner vers le Grand Royaume d'Albanie. Au moins là-bas fera-t-elle mine de combattre les représentants du crime. En France, elle se contente de défendre les crimes de l'Anjou, qui arme et mandate sans vergogne des Hydres, Lycans, et autres hommes de main du dévoyé Thoros. Mais bien sûr, quand c'est un clerc qui emploie des repris de justice patentés en son nom propre pour semer la mort et le chaos sur les terres fertiles de France, il n'est plus question de baptême, d'excommunication, ou de vertu. Tout devient légitime.

À force de n'aborder que des sujets concernant la guerre, la féodalité, l'armée, la justice, l'autorité, il devient évident que Rome se perd en se posant non comme la suprême émanation d'une quintessence spirituelle d'inspiration divine, mais comme une autorité étatique qui se veut concurrente des Royaumes. Plaise à l'Albanie de s'y retrouver. Nous remarquons simplement que lorsque ces royaumes auxquels Rome doit si peu agissent dans le sens de la paix, ils sont traités avec les égards que Rome n'accorde pas à la France quand celle-ci ne demande qu'à être respectée dans sa Souveraineté. La guerre serait-elle une condition sine qua non aux yeux de la Curie Romaine pour que ses interlocuteurs acquièrent son respect ?

Dans ces conditions, nous nous interrogeons encore une fois sur le caractère raisonnable d'une Curie Romaine qui s'étonne de voir s'éloigner de sa morale à géométrie variable des États comme la France et comme l'Irlande. La France, qui, pourtant, a toujours soutenu les Princes de l'Église, ses représentants, sa légitimité, jusqu'au point de couvrir leurs torts, de les endosser en son nom, de ne conserver rancune de ses errements, de ne pas lui demander de compte sur l'état dans lequel se trouvent nos cures, de demander à ce que l'on célèbre, encore dernièrement, une messe quand un Cardinal ayant malencontreusement embarqué sur un navire pirate, s'est vu envoyer par le fond par des forces étrangères.

Abjurer, nous l'avons déjà fait. Mais notre levée d'excommunication, validée, puis annulée pour conflit interne à la Curie, prête à être de nouveau levée, puis re-confirmée pour avoir refusé de reconnaître un Duc qui pourtant l'était déjà de fait, est au centre de manigances qu'aucun esprit éclairé ne saurait décemment cautionner. Si pour cette raison Sa Sainteté déclare la guerre au Royaume, qu'il soit su que sans le moindre état d'âme, la France rendra coup pour coup face aux orgueilleux qui prétendent vouloir l'enchaîner au boulet de leur démence. De surcroît, nous ne pouvons décemment prendre au sérieux l'Empire qui se pose en médiateur d'un conflit dans lequel, dans la même annonce, il a déjà pris parti. Cela ne serait que ridicule, si cela n'était pas affligeant, et cela Nous prêterait qu'à rire, si les enjeux n'étaient point graves. Aucune discussion ne sera engagée avec les représentants de Rome sans levée expresse de notre excommunication. Nous n'y dérogerons pas.

Ainsi, Sa Sainteté nous apprend que Rome lavera son linge sale en public, sur la place d'Aristote. Nous ne pouvons que nous réjouir du caractère public de ce procès, même si nous aurions préféré sans doute voir au banc des acc... condamnés les fauteurs de guerre plutôt que les partisans de la paix, et exprimons notre surprise de constater avec ironie que l'on a pris soin de casser la levée d'excommunication à notre endroit agréée par les accusés avant même qu'un verdict ne soit rendu à leur encontre. Toutefois, le simulacre de justice dont Rome se pare, ne saurait en aucun cas remettre en cause Notre Sacre, qui se fera, avec ou sans son aval, des mains de clercs qui révoltés par les manigances des Princes Romains, ont su conserver leur loyauté vis-à-vis du Roy et des fidèles pour ce que Rome a délibérément failli à sa mission.

Ceux-la nous ont contacté. Ils trouveront en nous réponse favorable. Si Sa Sainteté persiste à vouloir divorcer de la Couronne, la Couronne saura combler son manque en trouvant les guides pour lesquels les vertus de tempérance, d'amitié, de conservation, de conviction, de don de soi, de plaisir, et de justice ne seront pas de vains mots, et qui auront à charge, collégialement, de sauver les âmes, en se détachant d'une autorité spirituelle qui tolère de certains prélats qu'ils maquillent leurs vices de vertus, comme se farde une putain. Sa Sainteté a tout de même un peu forcé, et nous fait même quelque infidélité avec le Royaume d'Albanie. En ce sens, il ne lui apparaîtra pas anormal que nous collaborions avec ceux qui se détournent d'elle. Car il faut bien cela, quand elle traite d'hérésiarque de la Religion prétendue Réformée Notre Dauphin, revenu de longue date dans le giron de l'Église Romaine ou d'anti-Roy, celui qui a su rassembler autour de son projet une large majorité de ses sujets, quand bien même ce choix Souverain déplairait aux teckels de Sa Sainteté.

Il est des Roys & il est des prêtres. Pour qu'il y ait des Roys Prêtres, il ne suffit que d'une condition: rassembler la France. Sa Sainteté et ses séides, hélas, n'ont de cesse en la matière de montrer le mauvais exemple. Qu'elle s'avise en France de vouloir des Régnants du Pape. Elle n'aura que des Prêtres du Roy.

La lune vous appelle, Papa. Cessez donc de vomir, pour ne point la faire attendre.
Et qu'Il vous garde. Sans qu'on ne sache bien qui.


In Majorem Franca Gloriam,

Eusaias, Tyrannosaurus Rex.











Code:
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Il est difficile pour l'esprit d'appréhender de sang-froid ce que peut être un procureur Cardinalice -et donc un Pape en devenir- aux ambitions criminelles. D'après nos récentes constatations, c'est un homme qui tire bénéfices de sa charge en parquant les autres dans les charrettes de l'ostracisme. C'est le pourvoyeur attitré des croisières infernales. Du reste, il nous apparaît que c'est un monsieur qui dispose de certaines prétentions à l'esthétique et au savoir, qui est éloquent ou qui plus souvent croit l'être, qui récite au besoin une ou deux maximes latines avant de sceller un avis d'excommunication, qui cherche à impressionner, qui affecte la fatuité de la noblesse. Ses semonces sont travaillées comme des poèmes, qu'il orne d'or, d'images et de symboles, qu'il remplit d'exemples, il faut que cela soit bien tourné, beau au regard, admirable à l'écoute, et que cela ravisse les bons sentiments des dames. Il a ses galanteries de langage, ses délicatesses, ses subtilités, comme autant de ficelles d'écrivassier. N'ayons point peur qu'il nomme ses actions telles qu'elles sont, grand Dieu, surtout pas ! Il a pour tout jugement péremptoire dont l'austérité et l'invective nous révulseraient toute sorte de travestissements de prédicats et de louanges. Ô misère !

Rome est si Unie, si Forte, si Vraie, si Juste, que les notes de service de sa Sainteté le Pape se retrouvent ainsi affichées publiquement, au vu et au su de tous, décrédibilisant autant l'institution qu'elle représente que la droiture morale qu'elle prétend défendre. Nous profitons donc de ces manquements pour affirmer le plus sereinement du monde les choses suivantes :

Le Royaume de France a au moins autant besoin de missionnaires et de clercs que les terres Scandinaves. Autant besoin de missionnaires et de clercs que les pâturages d'Irlande. À moins que Sa Sainteté ne se réjouisse de l'état de délabrement spirituel dans lequel elle a laissé sombrer le Royaume. Ce qui est sûr, en revanche, c'est que le Royaume de France ne saurait être dévoué en premier lieu qu'à ses sujets, et s'il plaît à Rome d'inféoder un Royaume sous son autorité, nous ne pouvons que l'inviter à se tourner vers le Grand Royaume d'Albanie. Au moins là-bas fera-t-elle mine de combattre les représentants du crime. En France, elle se contente de défendre les crimes de l'Anjou, qui arme et mandate sans vergogne des Hydres, Lycans, et autres hommes de main du dévoyé Thoros. Mais bien sûr, quand c'est un clerc qui emploie des repris de justice patentés en son nom propre pour semer la mort et le chaos sur les terres fertiles de France, il n'est plus question de baptême, d'excommunication, ou de vertu. Tout devient légitime.

À force de n'aborder que des sujets concernant la guerre, la féodalité, l'armée, la justice, l'autorité, il devient évident que Rome se perd en se posant non comme la suprême émanation d'une quintessence spirituelle d'inspiration divine, mais comme une autorité étatique qui se veut concurrente des Royaumes. Plaise à l'Albanie de s'y retrouver. Nous remarquons simplement que lorsque ces royaumes auxquels Rome doit si peu agissent dans le sens de la paix, ils sont traités avec les égards que Rome n'accorde pas à la France quand celle-ci ne demande qu'à être respectée dans sa Souveraineté. La guerre serait-elle une condition [i]sine qua non[/i] aux yeux de la Curie Romaine pour que ses interlocuteurs acquièrent son respect ?

Dans ces conditions, nous nous interrogeons encore une fois sur le caractère raisonnable d'une Curie Romaine qui s'étonne de voir s'éloigner de sa morale à géométrie variable des États comme la France et comme l'Irlande. La France, qui, pourtant, a toujours soutenu les Princes de l'Église, ses représentants, sa légitimité, jusqu'au point de couvrir leurs torts, de les endosser en son nom, de ne conserver rancune de ses errements, de ne pas lui demander de compte sur l'état dans lequel se trouvent nos cures, de demander à ce que l'on célèbre, encore dernièrement, une messe quand un Cardinal ayant malencontreusement embarqué sur un navire pirate, s'est vu envoyer par le fond par des forces étrangères.

[b]Abjurer, nous l'avons déjà fait. Mais notre levée d'excommunication, validée, puis annulée pour conflit interne à la Curie, prête à être de nouveau levée, puis re-confirmée pour avoir refusé de reconnaître un Duc qui pourtant l'était déjà de fait, est au centre de manigances qu'aucun esprit éclairé ne saurait décemment cautionner. Si pour cette raison Sa Sainteté déclare la guerre au Royaume, qu'il soit su que sans le moindre état d'âme, la France rendra coup pour coup face aux orgueilleux qui prétendent vouloir l'enchaîner au boulet de leur démence. De surcroît, nous ne pouvons décemment prendre au sérieux l'Empire qui se pose en médiateur d'un conflit dans lequel, dans la même annonce, il a déjà pris parti.[/b] Cela ne serait que ridicule, si cela n'était pas affligeant, et cela Nous prêterait qu'à rire, si les enjeux n'étaient point graves. Aucune discussion ne sera engagée avec les représentants de Rome sans levée expresse de notre excommunication. Nous n'y dérogerons pas.

Ainsi, Sa Sainteté nous apprend que Rome lavera son linge sale en public, sur la place d'Aristote. Nous ne pouvons que nous réjouir du caractère public de ce procès, même si nous aurions préféré sans doute voir au banc des acc... condamnés les fauteurs de guerre plutôt que les partisans de la paix, et exprimons notre surprise de constater avec ironie que l'on a pris soin de casser la levée d'excommunication à notre endroit agréée par les accusés avant même qu'un verdict ne soit rendu à leur encontre. [b]Toutefois, le simulacre de justice dont Rome se pare, ne saurait en aucun cas remettre en cause Notre Sacre, qui se fera, avec ou sans son aval, des mains de clercs qui révoltés par les manigances des Princes Romains, ont su conserver leur loyauté vis-à-vis du Roy et des fidèles pour ce que Rome a délibérément failli à sa mission. [/b]

Ceux-la nous ont contacté. Ils trouveront en nous réponse favorable. Si Sa Sainteté persiste à vouloir divorcer de la Couronne, la Couronne saura combler son manque en trouvant les guides pour lesquels les vertus de tempérance, d'amitié, de conservation, de conviction, de don de soi, de plaisir, et de justice ne seront pas de vains mots, et qui auront à charge, collégialement, de sauver les âmes, en se détachant d'une autorité spirituelle qui tolère de certains prélats qu'ils maquillent leurs vices de vertus, comme se farde une putain. Sa Sainteté a tout de même un peu forcé, et nous fait même quelque infidélité avec le Royaume d'Albanie. En ce sens, il ne lui apparaîtra pas anormal que nous collaborions avec ceux qui se détournent d'elle. Car il faut bien cela, quand elle traite d'hérésiarque de la Religion prétendue Réformée Notre Dauphin, revenu de longue date dans le giron de l'Église Romaine ou d'anti-Roy, celui qui a su rassembler autour de son projet une large majorité de ses sujets, quand bien même ce choix Souverain déplairait aux teckels de Sa Sainteté.

Il est des Roys & il est des prêtres. Pour qu'il y ait des Roys Prêtres, il ne suffit que d'une condition: rassembler la France. Sa Sainteté et ses séides, hélas, n'ont de cesse en la matière de montrer le mauvais exemple. Qu'elle s'avise en France de vouloir des Régnants du Pape. Elle n'aura que des Prêtres du Roy.

La lune vous appelle, Papa. Cessez donc de vomir, pour ne point la faire attendre.
Et qu'Il vous garde. Sans qu'on ne sache bien qui.


In Majorem Franca Gloriam,

Eusaias, Tyrannosaurus Rex.

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]

_________________
Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


        Aux sujets de Bourgogne,
        Aux membres de l'armée "Deus Manum Ducit" commandée par Istar.333,
        À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.




    La Bourgogne une fois de plus connait un profond déchirement, mais le Bon Roi que nous sommes ne laissera pas sa vassale, sa terre mère, sombrer dans le chaos et la folie des hommes. Afin de protéger nos sujets, les sujets de Bourgogne, déclarons ce jour

    • Que le seul régnant légitime de Bourgogne est la régente Aryanah, dont la régence a été reconnue par la Très Noble Assemblée des Pairs et scellée par son allégeance à la Couronne.
      Qu'adoncques le seul gouvernement légitime de Bourgogne est donc celui mené par Dame Aryanha.

    • Que l'armée menée par Istar.333, battant oriflamme Franc Comtois, est une armée hostile au Royaume de France et à la Bourgogne.
      Que cette armée ne doit pas être aidée d'une manière ou d'une autre, seule sa destruction compte.
      Que tout sujet de Notre Royaume portant atteinte à la Bourgogne et à son gouvernement légitime sera déclaré traître à la Couronne et devra subir toute les conséquences, perte des charges, statuts et rangs, qui découleront de ce statut.

    • Que la Franche Comté, offrant son oriflamme à armée hostile à la Couronne de France et ses vassaux, ne saurait être considérée autrement qu'hostile si elle persiste à aider les ennemis de la France.

      Que nous porterons nos troupes partout où séditieux et traitres gangrènent le Royaume et commençons dès ce jour par la Bourgogne.


    Que Dieu éclaire les esprits chagrins,
    Que les traitres soient châtiés de ma main.



Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Fait au Louvre le 14 janvier 1461.









Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]


[list][list][list][size=16]Aux sujets de Bourgogne,
Aux membres de l'armée "Deus Manum Ducit" commandée par Istar.333,
À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.[/size]
[/list][/list]


[b][i]La Bourgogne une fois de plus connait un profond déchirement, mais le Bon Roi que nous sommes ne laissera pas sa vassale, sa terre mère, sombrer dans le chaos et la folie des hommes. Afin de protéger nos sujets, les sujets de Bourgogne, déclarons ce jour

[list][*]Que le seul régnant légitime de Bourgogne est la régente Aryanah, dont la régence a été reconnue par la Très Noble Assemblée des Pairs et scellée par son allégeance à la Couronne.
Qu'adoncques le seul gouvernement légitime de Bourgogne est donc celui mené par Dame Aryanha.

[*]Que l'armée menée par Istar.333, battant oriflamme Franc Comtois, est une armée hostile au Royaume de France et à la Bourgogne.
Que cette armée ne doit pas être aidée d'une manière ou d'une autre, seule sa destruction compte.
Que tout sujet de Notre Royaume portant atteinte à la Bourgogne et à son gouvernement légitime sera déclaré traître à la Couronne et devra subir toute les conséquences, perte des charges, statuts et rangs, qui découleront de ce statut.

[*]Que la Franche Comté, offrant son oriflamme à armée hostile à la Couronne de France et ses vassaux, ne saurait être considérée autrement qu'hostile si elle persiste à aider les ennemis de la France.

Que nous porterons nos troupes partout où séditieux et traitres gangrènent le Royaume et commençons dès ce jour par la Bourgogne.[/list]

Que Dieu éclaire les esprits chagrins,
Que les traitres soient châtiés de ma main.[/b][/i][/list]


[b][i]Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Fait au Louvre le 14 janvier 1461.[/b][/i]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]
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Eusaias
Citation:



Nous, Eusaias de Blanc Combaz, Roy de France par la volonté du peuple et la grâce de Dieu,
À vous, Clodeweck de Montfort-Toxandrie, cardinal-archevêque de Tours, Primat de Bretagne,
Mais aussi à tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,


      « Un bateau ne peut naviguer sans capitaine à sa tête, et si le Très Haut le veut, je serais ce capitaine. »
      Saint Bonifacius, réorganisateur de l'Église corrompue et détruite.


    Réaffirmons notre volonté de préserver tout sujet du Royaume de France, qu'il soit clerc ou laïc, des manœuvres de la Curie Romaine. Au-devant de cette dernière qui souhaite la mort de Nos gens pour ce qu'ils remplissent leur devoir envers le Royaume de France avons-Nous déjà déclaré vouloir tout mettre en œuvre pour contrecarrer leurs noirs desseins. Car s'il Nous déplaît d'être au cœur des manipulations Romaines, Nous déplaît plus encore l'idée que Notre peuple ait à en subir les conséquences. Mais Nous tenons le peuple Françoys pour ce qu'il est, à savoir un peuple fort dans l'épreuve et valeureux dans l'adversité, prenant en horreur le fait d'être menacé chez lui, en son propre sol, sans égard aucun à la considération qu'il mérite.

    Nous Nous voyons forcés en ce jour de couper toutes nos relations avec les prélats fictifs et les prêtres dissolus qui ne correspondent plus en rien à l'exemple des héros de la foy qui les ont précédés. Nous prions en ce jour pour qu'ils reviennent sur le chemin de les vertu et qu'ils se remémorent les justes paroles de Saint Trufaldini:

    « En nos temps incertains, quoi de plus rassurant pour le fidèle que de prendre exemple sur un homme dont la vie et la piété furent exemplaires ? Les saints sont là pour nous guider, ils nous permettent de nous rattacher à quelque chose, à une tradition, à une manière de vivre ; ils sont donc utiles à la foi, aux œuvres, à la vertu ... ils participent à l'Aristotélisation de notre terre. »

    Que tous les prêtres dont l'esprit est agité par la haine Romaine l'entendent s'ils ne souhaitent finir dans les griffes de Belial:

    • Le don de soi, est la faculté de se sacrifier au profit de la communauté aristotélicienne, abstraction faite de sa propre individualité. Elle est la conscience de faire partie d’un tout. Au don de soi s'oppose le vice de l’orgueil, qui est le sentiment de pouvoir vivre hors de la communauté, ou d’être capable d’atteindre le statut de divin.

    • La tempérance est la faculté de se modérer, de suivre la voie du juste milieu qu’exige sa condition de croyant, de faire preuve de compréhension à l’égard de ses semblables. A la tempérance s'oppose la colère, qui est le vice de celui qui s’abandonne à sa haine de l’autre, ou qui de toutes ses forces tente de lutter contre sa condition.

    • La justice est la faculté de l’être à faire preuve de magnanimité, à reconnaître la valeur de l’autre, à identifier l’intérêt d’autrui. A la justice s'oppose l’envie, qui est le vice de celui qui désire bénéficier des justes récompenses attribuées à autrui, ou de celui qui convoite les biens ou le bonheur de son semblable.

    • La conviction est l’espérance en un avenir plein de promesses. Elle est plus largement la conscience des besoins et des intérêts futurs de la communauté des croyants, des nécessités de la conservation de l’espèce. A la conviction s'oppose la luxure, qui est le vice de celui qui se complaît dans l’abus des choses de la chair et dans le nihilisme le plus total.


    Les cardinaux qui prennent en ce jour en otage le Royaume de France ont oublié les vertus qui faisaient d'eux des prêtres. À ces derniers qui appellent à une guerre guidée par l'orgueil, le Roy les rappelle à leurs devoirs de clercs. La Curie qui n'a jamais été l'Église ne se donne même plus l'effort d'être la foy. C'est la Couronne de France qu'elle veut sur sa tête, quitte à décapiter le Royaume. Roy de France et Lieutenant de Dieu en le Royaume, Nous assumerons nos responsabilités. Les lois temporelles et les forces séculières s'abattront sur les ennemis de la France, d'où qu'ils viennent.

    Nos actes seront assumés devant le Très-Haut, puisqu'en ce jour, Nous en sommes plus que jamais l'humble Serviteur. Les anathèmes lancés par la Curie Romaine n'ont plus aucune valeur légale au regard de la Couronne. Il apparaît aujourd'hui vital qu'ils n'aient plus non plus aucune valeur spirituelle. Votre Éminence, Nous vous chargeons de contacter les évêques de France et de réunir les prêtres qui ont encore le désir de remplir leur mission sans se mêler de féodalité et qui ont à cœur de mettre fin à la surenchère dérisoire dont des prélats imbus d'eux-mêmes se rendent coupables, afin de participer à un Concile qui déterminera avec Nous ce qu'il est juste qu'il advienne de l'Église sur l'étendue du Royaume et ce que Nous pourrons faire pour elle, en terme de garanties et d'avantage à l'aune de ce qu'elle pourra sacrifier aux fidèles du Royaume de France.

    Le terrorisme de conscience de la Curie ne saurait Nous empêcher de régner. Le Pape est alité, et au regard de ses dernières communications, Nous comprenons tout de suite pourquoi. Dans ces conditions, Nous vous demandons d'organiser notre Sacre qui se tiendra en la Cathédrale de Tours. L'hérésie des hommes en pourpre est aujourd'hui telle et si manifeste que s'ils Nous proposaient d'officier, nous ne le voudrions même pas, par respect pour le Royaume que Nous représentons et que de toute évidence, ces gens là méprisent.

    Éminence, c'est avec tous les clercs de France qui refusent de continuer à être instrumentalisés par une poignée que Nous corrigerons ceux qui se sont écartés des vertus cardinales de notre foy. Cette concorde qu'offre le Royaume Nous apparaît salvatrice et nécessaire pour préserver les fidèles de France de l'enfer auquel d'avance Nos accusateurs et Nos juges, se prenant pour le Divin, semblent les vouer.

    Que la Curie menace. Convoque à ses procès truqués. Ses paroles tournent à vide et ses visages livides ne prennent plus la lumière. Que Dieu pardonne la perversité de ces fols, qui de toute évidence, ne savent plus ce qu'ils font. De Notre main, ces infâmes fauteurs de trouble et d'hérésie seront justement châtiés. Autant de fois que la protection de Nos sujets le nécessitera.

    À ceux qui convoitent le bien d'autrui, Saint Michel leur dirait:

    « Si ton œil droit t’attire vers ce qui ne t’es pas destiné, arrache le et brûle le, car mieux vaut qu’une partie de toi périsse, plutôt que d’attirer vers toi la colère de Dieu. »

    Et comme Barbare et Monique, face à leur fiel Nous leur disons:

    « Nous adorons le seul vrai Dieu et suivons nos uniques maîtres, Aristote et Christos. »

    L'assemblée de nos évêques respectueux des fidèles dont ils ont la charge et de l'autorité temporelle qui les protège et leur garantit leurs droits sera le roc de la paix Aristotélicienne qui s'étendra sur le Royaume sous Notre regard bienveillant. Cette paix qui s'étendra des Flandres aux Pyrénées, de la Bourgogne à la Normandie, Nous en serons le parrain, Nos clercs consciencieux en seront les acteurs. Ainsi seulement nous sauverons les âmes en rendant justice aux corps. Car protecteur des fidèles du Royaume, Nous Nous engageons à conforter les âmes sur le chemin de la vraie foy. Nous Nous engageons, à faire preuve envers Nos enfants de la clémence que Rome n'a pas. Nous Nous engageons à étendre les rameaux protecteurs du Lys sur tous ceux qui désirent vivre sur le territoire de France dans la vertu, l'harmonie, et la paix.

    Ainsi seulement nous serons tous libres d'aller à travers les prés et les bois en fredonnant ici un refrain, là une élégie, de nous désaltérer à l'eau cristalline d'un ruisseau gazouillant ou d'une rivière limpide. Les vergers nous donneront sans compter de leurs fruits juteux et savoureux, le chêne vert un tronc contre lequel nous reposer de nos fatigues ; le saule nous offrira son ombre ; les roses, leur parfum ; les vastes prairies, un tapis émaillé de milles couleurs champêtres ; l'air pur, sa fraîche haleine mentholée ; les astres et les étoiles, leur clarté dans la nuit ; les chants de Sylphaël , du plaisir ; les complaintes, de la joie ; l'Action Divine nous inspirera des vers et l'Amour Aristotélicien de si belles pensées que Nous autres Français seront célèbres et illustres jusque dans les siècles à venir.


Palais du Louvre, le 14e de Janvier 1461.









Code:
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Nous, Eusaias de Blanc Combaz, Roy de France par la volonté du peuple et la grâce de Dieu,
À vous, Clodeweck de Montfort-Toxandrie, cardinal-archevêque de Tours, Primat de Bretagne,
Mais aussi à tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,


[list][list] [b]« [color=darkred]Un bateau ne peut naviguer sans capitaine à sa tête, et si le Très Haut le veut, je serais ce capitaine.[/color] »[/b]
[i]Saint Bonifacius, réorganisateur de l'Église corrompue et détruite.[/i][/list][/list]

[list]Réaffirmons notre volonté de préserver tout sujet du Royaume de France, qu'il soit clerc ou laïc, des manœuvres de la Curie Romaine. Au-devant de cette dernière qui souhaite la mort de Nos gens pour ce qu'ils remplissent leur devoir envers le Royaume de France avons-Nous déjà déclaré vouloir [u]tout[/u] mettre en œuvre pour contrecarrer leurs noirs desseins. Car s'il Nous déplaît d'être au cœur des manipulations Romaines, Nous déplaît plus encore l'idée que Notre peuple ait à en subir les conséquences. Mais Nous tenons le peuple Françoys pour ce qu'il est, à savoir un peuple fort dans l'épreuve et valeureux dans l'adversité, prenant en horreur le fait d'être menacé chez lui, en son propre sol, sans égard aucun à la considération qu'il mérite.

Nous Nous voyons forcés en ce jour de couper toutes nos relations avec les prélats fictifs et les prêtres dissolus qui ne correspondent plus en rien à l'exemple des héros de la foy qui les ont précédés. Nous prions en ce jour pour qu'ils reviennent sur le chemin de les vertu et qu'ils se remémorent les justes paroles de Saint Trufaldini:

[i]« En nos temps incertains, quoi de plus rassurant pour le fidèle que de prendre exemple sur un homme dont la vie et la piété furent exemplaires ? Les saints sont là pour nous guider, ils nous permettent de nous rattacher à quelque chose, à une tradition, à une manière de vivre ; ils sont donc utiles à la foi, aux œuvres, à la vertu ... ils participent à l'Aristotélisation de notre terre. »[/i]

Que tous les prêtres dont l'esprit est agité par la haine Romaine l'entendent s'ils ne souhaitent finir dans les griffes de Belial:

[list][*][i]Le don de soi, est la faculté de se sacrifier au profit de la communauté aristotélicienne, abstraction faite de sa propre individualité. Elle est la conscience de faire partie d’un tout. Au don de soi s'oppose le vice de l’orgueil, qui est le sentiment de pouvoir vivre hors de la communauté, ou d’être capable d’atteindre le statut de divin.[/i]

[*][i]La tempérance est la faculté de se modérer, de suivre la voie du juste milieu qu’exige sa condition de croyant, de faire preuve de compréhension à l’égard de ses semblables. A la tempérance s'oppose la colère, qui est le vice de celui qui s’abandonne à sa haine de l’autre, ou qui de toutes ses forces tente de lutter contre sa condition.[/i]

[*][i]La justice est la faculté de l’être à faire preuve de magnanimité, à reconnaître la valeur de l’autre, à identifier l’intérêt d’autrui. A la justice s'oppose l’envie, qui est le vice de celui qui désire bénéficier des justes récompenses attribuées à autrui, ou de celui qui convoite les biens ou le bonheur de son semblable.[/i]

[*][i]La conviction est l’espérance en un avenir plein de promesses. Elle est plus largement la conscience des besoins et des intérêts futurs de la communauté des croyants, des nécessités de la conservation de l’espèce. A la conviction s'oppose la luxure, qui est le vice de celui qui se complaît dans l’abus des choses de la chair et dans le nihilisme le plus total.[/i][/list]

Les cardinaux qui prennent en ce jour en otage le Royaume de France ont oublié les vertus qui faisaient d'eux des prêtres. À ces derniers qui appellent à une guerre guidée par l'orgueil, le Roy les rappelle à leurs devoirs de clercs. La Curie qui n'a jamais été l'Église ne se donne même plus l'effort d'être la foy. C'est la Couronne de France qu'elle veut sur sa tête, quitte à décapiter le Royaume. Roy de France et Lieutenant de Dieu en le Royaume, Nous assumerons nos responsabilités. Les lois temporelles et les forces séculières s'abattront sur les ennemis de la France, d'où qu'ils viennent.

[b]Nos actes seront assumés devant le Très-Haut, puisqu'en ce jour, Nous en sommes plus que jamais l'humble Serviteur. Les anathèmes lancés par la Curie Romaine n'ont plus aucune valeur légale au regard de la Couronne. Il apparaît aujourd'hui vital qu'ils n'aient plus non plus aucune valeur spirituelle. Votre Éminence, Nous vous chargeons de contacter les évêques de France et de réunir les prêtres qui ont encore le désir de remplir leur mission sans se mêler de féodalité et qui ont à cœur de mettre fin à la surenchère dérisoire dont des prélats imbus d'eux-mêmes se rendent coupables, afin de participer à un Concile qui déterminera avec Nous ce qu'il est juste qu'il advienne de l'Église sur l'étendue du Royaume et ce que Nous pourrons faire pour elle, en terme de garanties et d'avantage à l'aune de ce qu'elle pourra sacrifier aux fidèles du Royaume de France.[/b]

Le terrorisme de conscience de la Curie ne saurait Nous empêcher de régner. Le Pape est alité, et au regard de ses dernières communications, Nous comprenons tout de suite pourquoi. Dans ces conditions, Nous vous demandons d'organiser notre Sacre qui se tiendra en la Cathédrale de Tours. L'hérésie des hommes en pourpre est aujourd'hui telle et si manifeste que s'ils Nous proposaient d'officier, nous ne le voudrions même pas, par respect pour le Royaume que Nous représentons et que de toute évidence, ces gens là méprisent.

Éminence, c'est avec tous les clercs de France qui refusent de continuer à être instrumentalisés par une poignée que Nous corrigerons ceux qui se sont écartés des vertus cardinales de notre foy. Cette concorde qu'offre le Royaume Nous apparaît salvatrice et nécessaire pour préserver les fidèles de France de l'enfer auquel d'avance Nos accusateurs et Nos juges, se prenant pour le Divin, semblent les vouer.

Que la Curie menace. Convoque à ses procès truqués. Ses paroles tournent à vide et ses visages livides ne prennent plus la lumière. Que Dieu pardonne la perversité de ces fols, qui de toute évidence, ne savent plus ce qu'ils font. De Notre main, ces infâmes fauteurs de trouble et d'hérésie seront justement châtiés. Autant de fois que la protection de Nos sujets le nécessitera.

À ceux qui convoitent le bien d'autrui, Saint Michel leur dirait:

[i]« Si ton œil droit t’attire vers ce qui ne t’es pas destiné, arrache le et brûle le, car mieux vaut qu’une partie de toi périsse, plutôt que d’attirer vers toi la colère de Dieu. »[/i]

Et comme Barbare et Monique, face à leur fiel Nous leur disons:

[i]« Nous adorons le seul vrai Dieu et suivons nos uniques maîtres, Aristote et Christos. »[/i]

L'assemblée de nos évêques respectueux des fidèles dont ils ont la charge et de l'autorité temporelle qui les protège et leur garantit leurs droits sera le roc de la paix Aristotélicienne qui s'étendra sur le Royaume sous Notre regard bienveillant. Cette paix qui s'étendra des Flandres aux Pyrénées, de la Bourgogne à la Normandie, Nous en serons le parrain, Nos clercs consciencieux en seront les acteurs. Ainsi seulement nous sauverons les âmes en rendant justice aux corps. Car protecteur des fidèles du Royaume, Nous Nous engageons à conforter les âmes sur le chemin de la vraie foy. Nous Nous engageons, à faire preuve envers Nos enfants de la clémence que Rome n'a pas. Nous Nous engageons à étendre les rameaux protecteurs du Lys sur tous ceux qui désirent vivre sur le territoire de France dans la vertu, l'harmonie, et la paix.

Ainsi seulement nous serons tous libres d'aller à travers les prés et les bois en fredonnant ici un refrain, là une élégie, de nous désaltérer à l'eau cristalline d'un ruisseau gazouillant ou d'une rivière limpide. Les vergers nous donneront sans compter de leurs fruits juteux et savoureux, le chêne vert un tronc contre lequel nous reposer de nos fatigues ; le saule nous offrira son ombre ; les roses, leur parfum ; les vastes prairies, un tapis émaillé de milles couleurs champêtres ; l'air pur, sa fraîche haleine mentholée ; les astres et les étoiles, leur clarté dans la nuit ; les chants de Sylphaël , du plaisir ; les complaintes, de la joie ; l'Action Divine nous inspirera des vers et l'Amour Aristotélicien de si belles pensées que Nous autres Français seront célèbres et illustres jusque dans les siècles à venir.[/list]

Palais du Louvre, le 14e de Janvier 1461.


[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img][/quote]

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