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Annonces du Souverain.

Eusaias
Citation:



------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


        À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.



    « De pire Empire »


    Par les caprices d'un Empereur, la longue entente entre la France et l'Empire a viré lof pour lof. Il prive ainsi les siens d'un soutien qui fut tant solidaire que sincère lorsque la France apporta son appui concret aux provinces impériales francophones dès lors qu'elles subissaient quelques difficultés. Qu'il en soit donc ainsi. La seule raison qui nous importe est la raison d'État et c'est le front haut que Nous affronterons tous ceux qui voudront la compromettre sur notre propre sol. Le Royaume de France est une terre Souveraine, subjuguée dans ses affaires temporelles par nul autre. Un Monarque qui se fait dicter sa ligne de conduite par un agent extérieur, fut-il Romain, n'est plus un Monarque. C'est un esclave qui reconnaît son maître. Ainsi, la raison de l'Empereur ne saurait être la nôtre car le Royaume de France ne saurait jamais se défaire des prérogatives qui fondent sa Souveraineté en les abandonnant librement à des agents étrangers sans porter atteinte à la liberté et à la dignité de ses peuples. Plaise alors aux populations de l'Empire de se satisfaire de voir leur représentant courber l'échine devant ses commanditaires, il ne Nous appartient pas d'en être juge. Nous remercions donc sincèrement l'Empereur pour les prières qu'il adresse à Notre endroit, mais l'honneur nous interdit de suivre l'exemple qui est le sien.

    De compassion n'avons besoin. Le peuple de France ne saurait que faire d'une compassion d'un Empereur qui n'a pour seul but que de l'asservir aux caprices d'intrigants. Si compassion il devait y avoir, c'est vers les peuples de l'Empire si mal représentés que la nôtre se dirigerait. Ont-ils seulement eu le choix, avec deux seuls candidats au trône ? Les carences de notre voisin s'éclairent alors sous un jour nouveau. C'est à la lueur de ces faits qu'à leur endroit, notre compassion s'anime.

    Ce que l'Empereur refuse de comprendre, c'est que les valeurs Aristotéliciennes et la Foi, nous les portons au cœur et à l'esprit. Christos et Aristote n'y sont point étrangers. C'est cependant parce que ces valeurs ne sont plus défendues ni incarnées par l'institution qui se met en tête d'asservir les Princes que nous ne cèderons pas aux mains de Rome notre autorité séculière, quand la mission originelle de l'Église est aujourd'hui si désertée. Le Roy de France n'a pas vocation à occuper les cures. Rome n'a pas vocation à recevoir les allégeances. Bien morose est l'époque dans laquelle nous évoluons et bien sombre y est l'état de la pensée, qui nous voit rappeler aux Princes ces évidences élémentaires qui font le socle de l'harmonie et de la tranquillité des États.

    Au sein du SRING, nous comprenons bien qu'un représentant de la foi soit sacré, et qu'à ce titre, il puisse se permettre de faire ce qui lui plaît avec la bénédiction de l'Empereur. Ce n'est pas un fait qui soit réellement de nature à nous étonner. En France, en revanche, un représentant de la foi tout sacré qu'il soit et qui viendrait à vouloir régner à la place du Roy, à décider de la validité des allégeances non selon des lois temporelles, mais selon son jugement propre, à menacer les vassaux de la Couronne, à faire commerce d'influence de l'arme excommunicatoire, ne saurait s'en tirer sans un bon coup de pied au cul afin de le ramener à plus d'humilité et de dignité, valeurs auxquelles devrait naturellement le contraindre sa charge plutôt que de l'en émanciper. Il Nous semble que Sa Sainteté avait une bonne expression à ce sujet, en ce qu'elle appelait cela une "saine médecine". Nous inviterions d'ailleurs fort volontiers l'Empereur à la table des négociations, afin de définir avec lui les modalités d'asile de tous les évêques et les cardinaux qui se déclareraient par leurs actes félons, traîtres, ou ennemis de la France, afin qu'ils puissent généreusement prospérer dans un cadre plus propice à leur épanouissement parasite, s'il n'était si affolé à l'idée de Nous rencontrer.

    Cependant, parce que Nous sommes quelqu'un d'assez tempéré et de plutôt raisonnable, et combien même jugerions-Nous les manières de Sa Majesté Impériale infantiles et cavalières, Nous lui assurons que Nous le reconnaissons toujours dans sa dignité, sans qu'il n'aille un instant s'imaginer que Nous souhaiterions passer des vacances sous son hospitalité. Si Sa Majesté Impériale était au fait des convenances de son rang, elle saurait qu'il est de l'usage d'un Monarque de ne jamais quitter son Royaume de sa propre volonté, item de sa famille. Et s'il devait le faire, ce ne serait sans doute pas pour se rendre en Empire. Nous espérons qu'il n'y voit pas là un affront. De même lui assurons que si jamais son cœur était à de nouveau guidé par des sentiments plus distingués et raisonnables à Notre endroit, c'est avec grand plaisir que nous recevrions ses émissaires diplomatiques, et les traiterons avec tous les égards que la cordialité impose.

    Sa Majesté Impériale se plaît à exprimer la tempérance, la dignité, la raison, la sagesse, et l'honneur comme une petite fille enfile des perles. Cela en est touchant, et à cette candeur une tendre affection nous invite. Seulement, ces mots recouvrent des réalités auxquelles il faut savoir rendre hommage par des faits. Il est aisé de tresser des lauriers de mérite et de se les poser sur la tête. Il l'est bien moins de les honorer. Car jusque là, nous ne pouvons qu'observer d'un œil bienveillant que Sa Majesté Impériale se fait le plus remuant acteur de la mascarade qu'il lui plaît d'alimenter comme le dernier des ânes et ce, en dehors de toute considération des vertus qu'il s'attribue. Nous avons pris note cependant de l'outrage qui était le sien et Nous en sommes sincèrement navré. Aussi jugeons-nous intéressant de bien vouloir lui laisser la possibilité de venir le réparer à la frontière, sur la base d'un duel en lice. D'homme à homme. De Souverain à Souverain. Pour qu'il montre à la France et à son peuple d'Empire à quelle hauteur peut monter l'honneur et la dignité dont il se revendique. Qu'il Nous montre qu'il est à même de soutenir par l'épée les arrogances juvéniles qu'il s'octroie par la plume, et qu'il constate par l'ordalie de quel côté se range le Très-Haut dans les différends qui nous opposent, lui qui se dit si convaincu d'en être accompagné.

    Il Nous appartient en tous les cas de rappeler que nulle malveillance n'anime le cœur du Roy, et malhonnête est celui qui fait passer la seule défense du peuple Françoys pour telle.

    Nous n'avons jamais contraint nos sujets à choisir entre leur foy et leur roy.
    La Curie et le Pape ont osé le faire.
    Nous n'avons jamais pris tout un royaume en otage en nous ingérant par la menace en des prérogatives qui n'étaient pas nôtres.
    La Curie et le Pape ont osé le faire.
    Ne se prend pas pour Dieu le Roy qui défend les intérêts et l'intégrité des sujets de France contre tous ceux qui chercheraient à leur nuire, d'une façon ou d'une autre, car nous n'avions jamais imaginé remettre en cause le bon ordre des choses voulues par Dieu.
    La Curie et le Pape ont osé le faire.

    Dès lors, il appartient au Roy de remettre bon ordre en ces errements qui par Nos sujets & Vassaux ne peuvent plus être ni tolérables ni tolérés.
    Dès lors, il appartient au Roy de remettre Sa Sainteté à sa place quand celle-ci se fait pourvoyeur d'un message de haine dans ses notes de Service visant spécifiquement notre État.
    Dès lors, il appartient au Roy de prendre acte que les visées de la Curie ne sont point la paix, mais le pouvoir, ne sont point la concorde, mais la rupture, ne sont point l'harmonie, mais l'intimidation et l'appel à la guerre.

    Notre tolérance est aujourd'hui arrivée à son terme.
    À celui qui se plaît à croire que nous ne sommes plus à même de gouverner, envers et contre tout, avec nos vassaux, avec nos officiers, avec nos sujets unifiés dans leur lutte pour la dignité, lui démontrerons le contraire. Aux orgueilleux qui nous morguent, bien des surprises les attendent. Car la Royauté est. Si elle dépendait de la petite sensibilité de Sa Majesté Impériale du SRING, cela serait chose connue. Lorsqu'un Prince est capable de se poser en médiateur d'un conflit auquel il a déjà pris parti en condamnant les actions de l'un et en ralliant les positions de l'autre, et de s'offusquer à ce que l'on en fasse la remarque, il Nous semble que le sommet de la bêtise est largement atteint. Le SRING peut avoir ses propres coutumes en matière d'arbitrage, mais le Royaume de France n'a pas l'habitude de choisir pour médiateur impartial les avocats de ses accusés. On ne sait pas d'où ça vient, mais jusque là, cela nous paraissait presque évident. Tout comme il Nous apparaissait évident que l'arrivée sur le territoire de l'une de nos provinces vassales d'une armée de soldats Teutoniques aux ordres du Souverain Pontife sous agrément étranger à la demande d'un régnant non reconnu ne semblait pas relever d'un élan particulièrement amical et de bonne volonté propre à encourager une telle médiation.

    Mais les prétextes de Sa Majesté Impériale sont décidément impénétrables.
    La colère gronde aux frontières du SRING. Elle gronde également aux nôtres.
    Comme toujours, Majesté, on ne récolte que ce que l'on sème.


    Pour le Royaume de France, au nom de la loyauté et du panache.
    Ad Majorem Franciae gloriam.

    Fait au Louvre, le 14e de Janvier 1461.











Code:
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[list][list][list][size=16]À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.[/size]
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[color=darkblue][b]« De pire Empire »[/b][/color]


[b][i]Par les caprices d'un Empereur, la longue entente entre la France et l'Empire a viré lof pour lof. Il prive ainsi les siens d'un soutien qui fut tant solidaire que sincère lorsque la France apporta son appui concret aux provinces impériales francophones dès lors qu'elles subissaient quelques difficultés. Qu'il en soit donc ainsi. La seule raison qui nous importe est la raison d'État et c'est le front haut que Nous affronterons tous ceux qui voudront la compromettre sur notre propre sol. Le Royaume de France est une terre Souveraine, subjuguée dans ses affaires temporelles par nul autre. Un Monarque qui se fait dicter sa ligne de conduite par un agent extérieur, fut-il Romain, n'est plus un Monarque. C'est un esclave qui reconnaît son maître. Ainsi, la raison de l'Empereur ne saurait être la nôtre car le Royaume de France ne saurait jamais se défaire des prérogatives qui fondent sa Souveraineté en les abandonnant librement à des agents étrangers sans porter atteinte à la liberté et à la dignité de ses peuples. Plaise alors aux populations de l'Empire de se satisfaire de voir leur représentant courber l'échine devant ses commanditaires, il ne Nous appartient pas d'en être juge. Nous remercions donc sincèrement l'Empereur pour les prières qu'il adresse à Notre endroit, mais l'honneur nous interdit de suivre l'exemple qui est le sien.

De compassion n'avons besoin. Le peuple de France ne saurait que faire d'une compassion d'un Empereur qui n'a pour seul but que de l'asservir aux caprices d'intrigants. Si compassion il devait y avoir, c'est vers les peuples de l'Empire si mal représentés que la nôtre se dirigerait. Ont-ils seulement eu le choix, avec deux seuls candidats au trône ? Les carences de notre voisin s'éclairent alors sous un jour nouveau. C'est à la lueur de ces faits qu'à leur endroit, notre compassion s'anime.

Ce que l'Empereur refuse de comprendre, c'est que les valeurs Aristotéliciennes et la Foi, nous les portons au cœur et à l'esprit. Christos et Aristote n'y sont point étrangers. C'est cependant parce que ces valeurs ne sont plus défendues ni incarnées par l'institution qui se met en tête d'asservir les Princes que nous ne cèderons pas aux mains de Rome notre autorité séculière, quand la mission originelle de l'Église est aujourd'hui si désertée. Le Roy de France n'a pas vocation à occuper les cures. Rome n'a pas vocation à recevoir les allégeances. Bien morose est l'époque dans laquelle nous évoluons et bien sombre y est l'état de la pensée, qui nous voit rappeler aux Princes ces évidences élémentaires qui font le socle de l'harmonie et de la tranquillité des États.

Au sein du SRING, nous comprenons bien qu'un représentant de la foi soit sacré, et qu'à ce titre, il puisse se permettre de faire ce qui lui plaît avec la bénédiction de l'Empereur. Ce n'est pas un fait qui soit réellement de nature à nous étonner. En France, en revanche, un représentant de la foi tout sacré qu'il soit et qui viendrait à vouloir régner à la place du Roy, à décider de la validité des allégeances non selon des lois temporelles, mais selon son jugement propre, à menacer les vassaux de la Couronne, à faire commerce d'influence de l'arme excommunicatoire, ne saurait s'en tirer sans un bon coup de pied au cul afin de le ramener à plus d'humilité et de dignité, valeurs auxquelles devrait naturellement le contraindre sa charge plutôt que de l'en émanciper. Il Nous semble que Sa Sainteté avait une bonne expression à ce sujet, en ce qu'elle appelait cela une "saine médecine". Nous inviterions d'ailleurs fort volontiers l'Empereur à la table des négociations, afin de définir avec lui les modalités d'asile de tous les évêques et les cardinaux qui se déclareraient par leurs actes félons, traîtres, ou ennemis de la France, afin qu'ils puissent généreusement prospérer dans un cadre plus propice à leur épanouissement parasite, s'il n'était si affolé à l'idée de Nous rencontrer.

Cependant, parce que Nous sommes quelqu'un d'assez tempéré et de plutôt raisonnable, et combien même jugerions-Nous les manières de Sa Majesté Impériale infantiles et cavalières, Nous lui assurons que Nous le reconnaissons toujours dans sa dignité, sans qu'il n'aille un instant s'imaginer que Nous souhaiterions passer des vacances sous son hospitalité. Si Sa Majesté Impériale était au fait des convenances de son rang, elle saurait qu'il est de l'usage d'un Monarque de ne jamais quitter son Royaume de sa propre volonté, item de sa famille. Et s'il devait le faire, ce ne serait sans doute pas pour se rendre en Empire. Nous espérons qu'il n'y voit pas là un affront. De même lui assurons que si jamais son cœur était à de nouveau guidé par des sentiments plus distingués et raisonnables à Notre endroit, c'est avec grand plaisir que nous recevrions ses émissaires diplomatiques, et les traiterons avec tous les égards que la cordialité impose.

Sa Majesté Impériale se plaît à exprimer la tempérance, la dignité, la raison, la sagesse, et l'honneur  comme une petite fille enfile des perles. Cela en est touchant, et à cette candeur une tendre affection nous invite. Seulement, ces mots recouvrent des réalités auxquelles il faut savoir rendre hommage par des faits. Il est aisé de tresser des lauriers de mérite et de se les poser sur la tête. Il l'est bien moins de les honorer. Car jusque là, nous ne pouvons qu'observer d'un œil bienveillant que Sa Majesté Impériale se fait le plus remuant acteur de la mascarade qu'il lui plaît d'alimenter comme le dernier des ânes et ce, en dehors de toute considération des vertus qu'il s'attribue. Nous avons pris note cependant de l'outrage qui était le sien et Nous en sommes sincèrement navré. Aussi jugeons-nous intéressant de bien vouloir lui laisser la possibilité de venir le réparer à la frontière, sur la base d'un duel en lice. D'homme à homme. De Souverain à Souverain. Pour qu'il montre à la France et à son peuple d'Empire à quelle hauteur peut monter l'honneur et la dignité dont il se revendique. Qu'il Nous montre qu'il est à même de soutenir par l'épée les arrogances juvéniles qu'il s'octroie par la plume, et qu'il constate par l'ordalie de quel côté se range le Très-Haut dans les différends qui nous opposent, lui qui se dit si convaincu d'en être accompagné.

Il Nous appartient en tous les cas de rappeler que nulle malveillance n'anime le cœur du Roy, et malhonnête est celui qui fait passer la seule défense du peuple Françoys pour telle.

Nous n'avons jamais contraint nos sujets à choisir entre leur foy et leur roy.
La Curie et le Pape ont osé le faire.
Nous n'avons jamais pris tout un royaume en otage en nous ingérant par la menace en des prérogatives qui n'étaient pas nôtres.
La Curie et le Pape ont osé le faire.
Ne se prend pas pour Dieu le Roy qui défend les intérêts et l'intégrité des sujets de France contre tous ceux qui chercheraient à leur nuire, d'une façon ou d'une autre, car nous n'avions jamais imaginé remettre en cause le bon ordre des choses voulues par Dieu.
La Curie et le Pape ont osé le faire.

Dès lors, il appartient au Roy de remettre bon ordre en ces errements qui par Nos sujets & Vassaux ne peuvent plus être ni tolérables ni tolérés.
Dès lors, il appartient au Roy de remettre Sa Sainteté à sa place quand celle-ci se fait pourvoyeur d'un message de haine dans ses notes de Service visant spécifiquement notre État.
Dès lors, il appartient au Roy de prendre acte que les visées de la Curie ne sont point la paix, mais le pouvoir, ne sont point la concorde, mais la rupture, ne sont point l'harmonie, mais l'intimidation et l'appel à la guerre.

Notre tolérance est aujourd'hui arrivée à son terme.
À celui qui se plaît à croire que nous ne sommes plus à même de gouverner, envers et contre tout, avec nos vassaux, avec nos officiers, avec nos sujets unifiés dans leur lutte pour la dignité, lui démontrerons le contraire. Aux orgueilleux qui nous morguent, bien des surprises les attendent. Car la Royauté est. Si elle dépendait de la petite sensibilité de Sa Majesté Impériale du SRING, cela serait chose connue. Lorsqu'un Prince est capable de se poser en médiateur d'un conflit auquel il a déjà pris parti en condamnant les actions de l'un et en ralliant les positions de l'autre, et de s'offusquer à ce que l'on en fasse la remarque, il Nous semble que le sommet de la bêtise est largement atteint. Le SRING peut avoir ses propres coutumes en matière d'arbitrage, mais le Royaume de France n'a pas l'habitude de choisir pour médiateur impartial les avocats de ses accusés. On ne sait pas d'où ça vient, mais jusque là, cela nous paraissait presque évident. Tout comme il Nous apparaissait évident que l'arrivée sur le territoire de l'une de nos provinces vassales d'une armée de soldats Teutoniques aux ordres du Souverain Pontife sous agrément étranger à la demande d'un régnant non reconnu ne semblait pas relever d'un élan particulièrement amical et de bonne volonté propre à encourager une telle médiation.

Mais les prétextes de Sa Majesté Impériale sont décidément impénétrables.
La colère gronde aux frontières du SRING. Elle gronde également aux nôtres.
Comme toujours, Majesté, on ne récolte que ce que l'on sème.


Pour le Royaume de France, au nom de la loyauté et du panache.
Ad Majorem Franciae gloriam.

Fait au Louvre, le 14e de Janvier 1461.[/i][/b][/list]


[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]
[/quote]

_________________
Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France
      A Falco de Cartel, Capitaine de cavalerie du Coeur Navré,
      À nos sujets & à son peuple,
      À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
      Salut.


    La confiance est un sentiment fragile qu'il faut nourrir et préserver en confirmant paroles dans les actes.
    Lorsque la personne en qui Nous avons placé Notre confiance l'ignore et Nous met en péril, il met dès lors en danger le Royaume de France tout entier.

    Aussi, à compter de ce jour, et aux vues des décisions récentes du Sieur de Cartel durant la Campagne en Anjou, décidons d'annuler la lettre de marque royale qui lui fut faite pour sa compagnie franche. Nous ne saurions continuer à compter sur un allié dont la loyauté louvoie au gré de ses intérêts propres et au mépris de ceux qui lui baillent confiance.

    Concernant son statut de Mignon Royal, Nous le lui laissons en revanche bien volontiers, en ce qu'au travers de ses caprices et de ses manières précieuses, il Nous semble aujourd'hui bien plus proche du favori maniéré que du redoutable homme de guerre que nous avions employé.


Aux hommes la droiture et le devoir,
Et à Dieu seul la Gloire.

Faict à Paris le 15e de janvier 1461







Code:
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À nos sujets & à son peuple,
À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
Salut.[/size] [/list][/list]

[i][b][list]La confiance est un sentiment fragile qu'il faut nourrir et préserver en confirmant paroles dans les actes.
Lorsque la personne en qui Nous avons placé Notre confiance l'ignore et Nous met en péril, il met dès lors en danger le Royaume de France tout entier.

Aussi, à compter de ce jour, et aux vues des décisions récentes du Sieur de Cartel durant la Campagne en Anjou, décidons d'annuler la lettre de marque royale qui lui fut faite pour sa compagnie franche. Nous ne saurions continuer à compter sur un allié dont la loyauté louvoie au gré de ses intérêts propres et au mépris de ceux qui lui baillent confiance.

Concernant son statut de Mignon Royal, Nous le lui laissons en revanche bien volontiers, en ce qu'au travers de ses caprices et de ses manières précieuses, il Nous semble aujourd'hui bien plus proche du favori maniéré que du redoutable homme de guerre que nous avions employé.

[/list]
Aux hommes la droiture et le devoir,
Et à Dieu seul la Gloire.

Faict à Paris le 15e de janvier 1461[/b][/i]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img][/quote]

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Eusaias
Citation:



Rome et le Léviathan.

    Tout clerc de la société sise en le Royaume soucieux de l'intérêt de la foi et de ses fidèles ne saurait se contenter de traiter ses petites affaires pendant que cette chose monstrueuse s'accomplit. Cette chose monstrueuse destinée à broyer la simplicité du libre arbitre n'est rien d'autre que la transfiguration de l'institution cléricale en une machine de haine soucieuse d'affirmer sa toute puissance par le sang quand la Couronne n'a eu de cesse de tendre la main aux compromis les plus raisonnables.

    Ciselée est Notre plume et fermes sont Nos résolutions, mais nul ne saurait prétendre avoir subi du sceptre les abus d'autorité d'où découlent l'injustice. Pour preuve, le Primat de France par Nous détenu après qu'il se soit rendu sans heurts, n'a subi ni violence ni outrage, et sous notre égide, jamais sa sécurité ne fut inquiétée. Mieux encore, il fut traité durant sa détention avec les égards dus à son rang et à sa position, car seules les inspirations démoniaques du Sans Nom invitent à abuser de la domination du fort sur la vulnérabilité du faible.

    Nous regardons droit dans les yeux cette Église qui ajoute à la force ce qui lui manque à la vertu, et qui use de l'héritage que lui ont légué nos prophètes pour se faire craindre au lieu de se faire aimer. Pour ce que le bien est supérieur au mal, le vice sera toujours plus aisé que la vertu. Tel Gabriel face à Léviathan, Nous fixons nos Pères qui se veulent Nos ennemis avec la générosité qu'octroie une foi impavide, sans colère ni haine. C'est sûre d'elle et apaisée en sa conscience que la Couronne dirigera les affaires du Royaume, par delà les coups et les troubles que les malveillants stipendiés par le vice voudront lui porter. Jamais, sous Notre égide, elle se taira face au crime. Jamais, sous Notre bienveillance, elle ne se confortera dans le laxisme.

    De la même manière regardons-Nous Namaycush de Salmo Salar, qui inspiré par les murmures de Satan, se fourvoie dans le péché d'envie en se croyant aujourd'hui habilité à Nous relever de Nos fonctions, et croyant Nous subjuguer par la triste imposture dont il s'enorgueillit d'être le dupe. Nul esprit sain et de bonne foi ne peut un seul instant croire qu'un félon turbulent placé sous interdit par l'Église qui devient en l'espace d'un jour le champion de Rome contre les hérésies fantasmées de la Couronne par le fait d'un billet rédigé à la hâte n'est pas victime d'une tragique escroquerie. Un certain ébahissement Nous gagne cependant quand nous voyons avec quelle facilité l'Église se satisfait de son rôle de prétexte au règlement de querelles personnelles ou politiques, avec quel aplomb elle excommunie un Roy pour ne pas avoir sanctionné un élu du peuple Aristotélicien réformé reconnu Duc par son prédécesseur pour mieux s'empresser de désigner un homme sous interdit à la prétendue légitimité du Trône.

    Il appartient au peuple de France de se montrer clairvoyant dans cette affaire éminemment grave dans ce qu'elle ne compte rien de sérieux. Le ralliement du Sud au félon Namaycush a une apparence: la sécession de trois provinces. Elle a une réalité: le recel par trois petits fonctionnaires de nos provinces du Midi à ceux qui ont pour ambition affichée de porter le fer et le feu, la mort et le chaos, au cœur de l'unité du Royaume en totale violation avec la responsabilité que leur peuple leur avait confié. Obscure fut leur manœuvre pour ce qu'elle a sans doute de honteux au devant de leur conscience. Mais la clandestinité de l'acte illustre à lui seul la qualité morale de ses auteurs. À leur endroit et pour cet action pleine de petitesse, seul un doux dédain Nous invite, pour ce que les décisions des-dit traîtres ne sauraient être davantage reconnues par Nous durant leur règne que les verdicts rendus par leur semblant de justice. Nos sujets eux-mêmes ainsi que notre noblesse, insidieusement trompés par cette forfaiture, avec l'aide de leurs voisins féaux, sauront corriger les coupables irresponsabilités de Riwenn de Castel-Vilar, d'Azilize, et de Rozenn, qui entachent l'Armagnac, les Comminges, le Béarn, et la Gascogne du scel infamant de la lâcheté et du parjure. Ceux-la ne sont rien sans leurs villes et de leurs honorables habitants, que ces derniers, que j'appuie, se le remémorent.

    Nos priorités résolues, viendra l'heure des comptes.
    Il appartient désormais à chaque sujet de France et fidèle Aristotélicien de se regarder dans la glace et de prendre sa responsabilité de Français et de Croyant en se posant la question: "Où se trouve le droit ?" et "Où se trouve la vertu ?"
    Alors les justes rejoindront les honorables rangs de nos braves par la saine vigueur de la foi.
    Et les déchus fourvoyés par le reflet de fausses vérités se condamneront à la perdition pour avoir osé croire qu'ils étaient à même d'ébranler les fondements d'un Royaume éternel.



Pour la plus grande gloire de France,
Par delà les Temps.


Fait et scellé au Louvre, le 16e de Janvier 1461.








Code:
[quote][img]http://i45.servimg.com/u/f45/11/45/86/54/roieus10.png[/img]


[size=18][b]Rome et le Léviathan.[/b][/size]

[list]Tout clerc de la société sise en le Royaume soucieux de l'intérêt de la foi et de ses fidèles ne saurait se contenter de traiter ses petites affaires pendant que cette chose monstrueuse s'accomplit. Cette chose monstrueuse destinée à broyer la simplicité du libre arbitre n'est rien d'autre que la transfiguration de l'institution cléricale en une machine de haine soucieuse d'affirmer sa toute puissance par le sang quand la Couronne n'a eu de cesse de tendre la main aux compromis les plus raisonnables.

Ciselée est Notre plume et fermes sont Nos résolutions, mais nul ne saurait prétendre avoir subi du sceptre les abus d'autorité d'où découlent l'injustice. Pour preuve, le Primat de France par Nous détenu après qu'il se soit rendu sans heurts, n'a subi ni violence ni outrage, et sous notre égide, jamais sa sécurité ne fut inquiétée. Mieux encore, il fut traité durant sa détention avec les égards dus à son rang et à sa position, car seules les inspirations démoniaques du Sans Nom invitent à abuser de la domination du fort sur  la vulnérabilité du faible.

Nous regardons droit dans les yeux cette Église qui ajoute à la force ce qui lui manque à la vertu, et qui use de l'héritage que lui ont légué nos prophètes pour se faire craindre au lieu de se faire aimer. Pour ce que le bien est supérieur au mal, le vice sera toujours plus aisé que la vertu. Tel Gabriel face à Léviathan, Nous fixons nos Pères qui se veulent Nos ennemis avec la générosité qu'octroie une foi impavide, sans colère ni haine. C'est sûre d'elle et apaisée en sa conscience que la Couronne dirigera les affaires du Royaume, par delà les coups et les troubles que les malveillants stipendiés par le vice voudront lui porter. Jamais, sous Notre égide, elle se taira face au crime. Jamais, sous Notre bienveillance, elle ne se confortera dans le laxisme.

De la même manière regardons-Nous Namaycush de Salmo Salar, qui inspiré par les murmures de Satan, se fourvoie dans le péché d'envie en se croyant aujourd'hui habilité à Nous relever de Nos fonctions, et croyant Nous subjuguer par la triste imposture dont il s'enorgueillit d'être le dupe. Nul esprit sain et de bonne foi ne peut un seul instant croire qu'un félon turbulent placé sous interdit par l'Église qui devient en l'espace d'un jour le champion de Rome contre les hérésies fantasmées de la Couronne par le fait d'un billet rédigé à la hâte n'est pas victime d'une tragique escroquerie. Un certain ébahissement Nous gagne cependant quand nous voyons avec quelle facilité l'Église se satisfait de son rôle de prétexte au règlement de querelles personnelles ou politiques, avec quel aplomb elle excommunie un Roy pour ne pas avoir sanctionné un élu du peuple Aristotélicien réformé reconnu Duc par son prédécesseur pour mieux s'empresser de désigner un homme sous interdit à la prétendue légitimité du Trône.

Il appartient au peuple de France de se montrer clairvoyant dans cette affaire éminemment grave dans ce qu'elle ne compte rien de sérieux. Le ralliement du Sud au félon Namaycush a une apparence: la sécession de trois provinces. Elle a une réalité: le recel par trois petits fonctionnaires de nos provinces du Midi à ceux qui ont pour ambition affichée de porter le fer et le feu, la mort et le chaos, au cœur de l'unité du Royaume en totale violation avec la responsabilité que leur peuple leur avait confié. Obscure fut leur manœuvre pour ce qu'elle a sans doute de honteux au devant de leur conscience. Mais la clandestinité de l'acte illustre à lui seul la qualité morale de ses auteurs. À leur endroit et pour cet action pleine de petitesse, seul un doux dédain Nous invite, pour ce que les décisions des-dit traîtres ne sauraient être davantage reconnues par Nous durant leur règne que les verdicts rendus par leur semblant de justice. Nos sujets eux-mêmes ainsi que notre noblesse, insidieusement trompés par cette forfaiture, avec l'aide de leurs voisins féaux, sauront corriger les coupables irresponsabilités de Riwenn de Castel-Vilar, d'Azilize, et de Rozenn, qui entachent l'Armagnac, les Comminges, le Béarn, et la Gascogne du scel infamant de la lâcheté et du parjure. Ceux-la ne sont rien sans leurs villes et de leurs honorables habitants, que ces derniers, que j'appuie, se le remémorent.

Nos priorités résolues, viendra l'heure des comptes.
Il appartient désormais à chaque sujet de France et fidèle Aristotélicien de se regarder dans la glace et de prendre sa responsabilité de Français et de Croyant en se posant la question: "Où se trouve le droit ?" et "Où se trouve la vertu ?"
Alors les justes rejoindront les honorables rangs de nos braves par la saine vigueur de la foi.
Et les déchus fourvoyés par le reflet de fausses vérités se condamneront à la perdition pour avoir osé croire qu'ils étaient à même d'ébranler les fondements d'un Royaume éternel.[/list]


[b]Pour la plus grande gloire de France,
Par delà les Temps.[/b]

Fait et scellé au Louvre, le 16e de Janvier 1461.

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]
[/quote]

_________________
Eusaias
Citation:


            Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France

        À la noblesse de France ayant fief en Empire,
        À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.


    Nous savons que Sa Majesté impériale vous appelle non seulement à vous révolter contre votre Roy, mais aussi à briser la paix entre frères aristotéliciens. Soucieuse de plaire à ses maîtres romains, elle ne cherche qu'à semer la discorde et le chaos.

    Qu'il soit su que ceux qui la suivent ne connaîtront que la défaite et la mort parce que les infinies armées de France marchent, la tête haute et le poing ferme, animées de bravoure et nourries de panache. Nous vous invitons à rejoindre ces dernières, à vous placer sous Notre protection et à combattre la tyrannie d'un clergé simoniaque et de leurs agents. Le fat Fenthick pourra tempêter et vous menacer, il ne pourra vous atteindre.

    Car Notre cause est juste et votre Roy, un souverain respectueux, courageux et digne. Nous agissons par amour du Très Haut et de Notre Royaume, et c'est pourquoi oncques ne plierons l'échine devant le chantage et les tentatives d'intimidation. Nous n'en attendons pas moins de vous.

    Demain sera un grand jour, car la France sera libérée du joug des despotes de Rome sans jamais avoir renoncé à sa foi. Vous vivrez libres, en harmonie avec le Très Haut, et ensemble, nous avancerons vers un avenir radieux.


    Aux hommes la droiture et le devoir,
    Et à Dieu seul la gloire.


    Fait au Louvre, le 22e jour de Janvier 1461.










Code:
[quote][list][img]http://i45.servimg.com/u/f45/11/45/86/54/roieus10.png[/img]

[list][list][list][list][size=18]Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France [/size][/list][/list][/list][/list]
[list][list][size=14]À la noblesse de France ayant fief en Empire,
À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.[/size][/list][/list]

[i][b]Nous savons que Sa Majesté impériale vous appelle non seulement à vous révolter contre votre Roy, mais aussi à briser la paix entre frères aristotéliciens. Soucieuse de plaire à ses maîtres romains, elle ne cherche qu'à semer la discorde et le chaos.

Qu'il soit su que ceux qui la suivent ne connaîtront que la défaite et la mort parce que les infinies armées de France marchent, la tête haute et le poing ferme, animées de bravoure et nourries de panache. Nous vous invitons à rejoindre ces dernières, à vous placer sous Notre protection et à combattre la tyrannie d'un clergé simoniaque et de leurs agents. Le fat Fenthick pourra tempêter et vous menacer, il ne pourra vous atteindre.

Car Notre cause est juste et votre Roy, un souverain respectueux, courageux et digne. Nous agissons par amour du Très Haut et de Notre Royaume, et c'est pourquoi oncques ne plierons l'échine devant le chantage et les tentatives d'intimidation. Nous n'en attendons pas moins de vous.

Demain sera un grand jour, car la France sera libérée du joug des despotes de Rome sans jamais avoir renoncé à sa foi. Vous vivrez libres, en harmonie avec le Très Haut, et ensemble, nous avancerons vers un avenir radieux.


Aux hommes la droiture et le devoir,
Et à Dieu seul la gloire.


Fait au Louvre, le 22e jour de Janvier 1461.[/b][/i]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img][/list][/quote]

_________________
Eusaias
Citation:

De L'exemption de taxes des Ordres Royaux

Que connute chose soit à vous qu'en ce jour Nous, Eusaias de Blanc-Combaz, déclarons que les membres d'Ordres royaux en campagne pour la Couronne se verront exempter sur l'ensemble du Domaine Royal des taxes qui pourraient être levées sur leurs possessions au cours de l'une de ces campagnes.

Item que nous encourageons les Conseils ducaux et comtaux des Provinces Vassales du Royaume de France à prendre une décision semblable.

Rédigé en les murs du Louvre ce XXIème jour du mois de janvier de l'an de grasce MCDLXI









Code:
[quote]
[b][color=darkred][size=18]De L'exemption de taxes des Ordres Royaux[/size][/color][/b]

Que connute chose soit à vous qu'en ce jour Nous, Eusaias de Blanc-Combaz, déclarons que les membres d'Ordres royaux en campagne pour la Couronne se verront exempter sur l'ensemble du Domaine Royal des taxes qui pourraient être levées sur leurs possessions au cours de l'une de ces campagnes.

Item que nous encourageons les Conseils ducaux et comtaux des Provinces Vassales du Royaume de France à prendre une décision semblable.

Rédigé en les murs du Louvre ce XXIème jour du mois de janvier de l'an de grasce MCDLXI

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]
[/quote]

_________________
Eusaias
Citation:

    De nous, Eusaias Blanc Combaz,
    Très Puissant et Très Redouté Roi de France,


    A tous qui la présente annonce entendront ou liront,
    A Dotch de Cassel, Princesse du Valois,
    A Lexhor d'Amahir, Duc d'Alluyes




    Salut.


    Nous prenons par la présence acte de la démission de Dotch de Cassel de sa charge de Grand Maitre de France. Nous l'acceptons & remercions la Princesse de ses bons & féaux services, tant sous nos prédécesseurs, que pendant les régences qu'elle a assurée, puis sous notre règne, où elle fut notre plus grand soutien;

    Nous nommons à sa succession, ayant proposé la charge aux Pairs de France et aux Grands Officiers comme il est de coutume, Sa Seigneurie Lexhor d'Amahir; nous lui souhaitons de prendre en charge au mieux cette fonction, & l'invitons à apprendre de son prédécesseur les dossiers qui requièrent son attention.

    Et pour que cela soit chose ferme, nous avons fait apposer au bas de la présente lettre notre grand sceau en cire verte.


    Le Louvre, le 25 Janvier 1461


    Eusaias Blanc Combaz,
    Très Aristotélicien Roi de France.








Code:
[quote]
[list][b]De nous, Eusaias Blanc Combaz,
Très Puissant et Très Redouté Roi de France,
 

A tous qui la présente annonce entendront ou liront,
A Dotch de Cassel, Princesse du Valois,
A Lexhor d'Amahir, Duc d'Alluyes[/b]



Salut.


Nous prenons par la présence acte de [b]la démission de Dotch de Cassel de sa charge de Grand Maitre de France[/b]. Nous l'acceptons & remercions la Princesse de ses bons & féaux services, tant sous nos prédécesseurs, que pendant les régences qu'elle a assurée, puis sous notre règne, où elle fut notre plus grand soutien;

[b]Nous nommons à sa succession, ayant proposé la charge aux Pairs de France et aux Grands Officiers comme il est de coutume, Sa Seigneurie Lexhor d'Amahir[/b]; nous lui souhaitons de prendre en charge au mieux cette fonction, & l'invitons à apprendre de son prédécesseur les dossiers qui requièrent son attention.

Et pour que cela soit chose ferme, nous avons fait apposer au bas de la présente lettre  notre grand sceau en cire verte.


[b]Le Louvre, le 25 Janvier 1461


Eusaias Blanc Combaz,
Très Aristotélicien Roi de France.[/b][/list]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyvert.png[/img][/quote]

_________________
Eusaias
Citation:


            Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France

        Aux valeureuses armées de France,
        À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.


    Puissants nobles de France, hardis chevaliers royaux, féroces soldats des immenses armées royales, ce jour, nous, Eusaias Blanc Combaz, très puissant et très redouté Roi de France, prenons de notre temps pour vous féliciter pour votre immense courage, votre loyauté sans tâche et votre éclatante victoire durant la bataille d’Angers.

    Auparavant, certains fâcheux doutaient de vous, soldats du Fleur du Lys, et se masquaient de rictus narquois quand ils parlaient de vous. Mais ce temps est révolu! Car vous avez prouvé que le panache français n'est pas vain. Les murs d’Angers en portent encore les séquelles. Les plaines d’Anjou se rappeleront que les hommes d’armes de la couronne possèdent la férocité du tigre, le cœur du lion, la ruse du renard, la majesté de l’aigle et la noblesse du destrier.

    Vous fûtes admirables! Votre témérité et votre patience ont permis à notre Connétable de nous offrir cette victoire. Votre souffrance fut grande par la faim et les épidémies, mais votre fidélité et votre amour de la France ont eu raison de ces fléaux!

    Chevaliers, soldats, nobles de nos domaines et autre braves volontaires, lorsque vous rentrerez en vos terres, vous serez acclamés car vous êtes Notre gloire, Notre joie et Notre fierté !

    Demain, sans relâche nous reprendrons les sentiers de la guerre, car un Empereur à 30 pièces d’argent a décidé de nous faire la guerre. Bien que le fat soit Empereur, par faute d’adversaire rappelons-le, d'un domaine très vastes ses armées sont bien moins fournies que les nôtres.
    La victoire sera notre car Dieu et la Justice sont de notre côté !

    Dressez les bannières, battez tambours! Nous continuons notre glorieuse marche.

    Car le Très Haut veille sur la France éternelle.

    Fait au Louvre, le 28e jour de Janvier 1461.







Code:
[quote][list][img]http://i45.servimg.com/u/f45/11/45/86/54/roieus10.png[/img]

[list][list][list][list][size=18]Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France [/size][/list][/list][/list][/list]
[list][list][size=14]Aux valeureuses armées de France,
À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.[/size][/list][/list]

[i][b]Puissants nobles de France, hardis chevaliers royaux, féroces soldats des immenses armées royales, ce jour, nous, Eusaias Blanc Combaz, très puissant et très redouté Roi de France, prenons de notre temps pour vous féliciter pour votre immense courage, votre loyauté sans tâche et votre éclatante victoire durant la bataille d’Angers.

Auparavant, certains fâcheux doutaient de vous, soldats du Fleur du Lys, et se masquaient de rictus narquois quand ils parlaient de vous. Mais ce temps est révolu! Car vous avez prouvé que le panache français n'est pas vain. Les murs d’Angers en portent encore les séquelles. Les plaines d’Anjou se rappeleront que les hommes d’armes de la couronne possèdent la férocité du tigre, le cœur du lion, la ruse du renard, la majesté de l’aigle et la noblesse du destrier.

Vous fûtes admirables! Votre témérité et votre patience ont permis à notre Connétable de nous offrir cette victoire. Votre souffrance fut grande par la faim et les épidémies, mais votre fidélité et votre amour de la France ont eu raison de ces fléaux!

Chevaliers, soldats, nobles de nos domaines et autre braves volontaires, lorsque vous rentrerez en vos terres, vous serez acclamés car vous êtes Notre gloire, Notre joie et Notre fierté !

Demain, sans relâche nous reprendrons les sentiers de la guerre, car un Empereur à 30 pièces d’argent a décidé de nous faire la guerre. Bien que le fat soit Empereur, par faute d’adversaire rappelons-le, d'un domaine très vastes ses armées sont bien moins fournies que les nôtres.
La victoire sera notre car Dieu et la Justice sont de notre côté !

Dressez les bannières, battez tambours! Nous continuons notre glorieuse marche.

Car le Très Haut veille sur la France éternelle.

Fait au Louvre, le 28e jour de Janvier 1461.[/b][/i]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img][/list][/quote]

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Eusaias
Citation:





    Nous Eusaias Blanc Combaz,
    Roi de France par la Grâce du Tout Puissant et de l'élection des français.


    Par la présente nous tenons à nous exprimer au sujet de l'empereur des germains, l'interdit Fenthick & aux francophones sous domination germanique.

    Avant même nos accessions aux couronnes de France pour l'un et celle des germains pour l'autre, ce n'était pas l'amitié qui présidait à nos relations déjà tumultueuses.
    Si lui ne nous aimait pas, alors ce n'est que du sincère dégoût que nous lui portons depuis ses trahisons en retour.
    Dès lors, depuis qu'il est l'empereur prétendument saint des germains, il n'a de cesse d'intervenir et d'interférer dans les affaires de la Nation France.

    Par un désir que nous ne pouvons qualifier que d'opportuniste et de vengeance envers notre personne, il ne peut s'empêcher de tenter de provoquer et d'alimenter la discorde entre les français. Il a violé les traités de non agression signés depuis Levan et LongJohnSilver, faisant de lui un parjure.

    C'est un homme sans parole donc, qui agresse jusque les équilibres politiques et héraldiques des royaumes dans leur fondement. Mais nous ne resterons pas sans réponse. Et la réponse sera l’expression impitoyable de la Justice de France contre les ennemis qui l'agressent.

    Alors que l'aveuglement de Fenthick le porte à renier l'ambition suprême de l'empire germanique, à savoir convoiter à son profit la notion d'universalité de Rome, d'où l'auto-proclamation de sainteté dans le nom de l'empire, il se fait le champion en culotte courte de l'intolérance et du fanatisme rétrograde d'une partie de l’Église.

    Nous commencerons donc par lui répondre ceci :

    - Tout d'abord apprenez déjà à penser par vous-même, et non pas à faire le béni oui-oui de certains de vos conseillers, ou plutôt conseillère, qui vous tiennent par les roubignoles dans le seul désir d'un jour vous succéder.

    - Ensuite, et c'est bien là l'essentiel, cessez d'occuper indignement des provinces qui ne parlent ni de près ni de loin la langue germaine.
    Sans vouloir parler de la liberté des États de langue italienne, qui ont toute légitimité pour construire la propre unicité d'un Royaume du nord au sud de la Péninsule sans occupation étrangère, je vous parle ici des provinces et fiefs souverains francophones qui survivent malgré tout sous votre joug.


    De ces personnes, nobles ou roturiers de culture et de langue française depuis la création de l'Empire de la fleur de Lys par le bras armé de Charlemagne 1er dit le Grand, que vous obligez à venir combattre contre leurs frères et leurs cousins chez nous.
    De ces personnes qui, parce que fieffées en France et dans les provinces francophones sous le contrôle germanique, doivent abandonner au nom de votre parjure, une partie de leurs terres, une partie de leur cœur, une partie de leur raison.

    Votre propagande et vos mensonges qui alimentent l'ignorance d'une partie de cette population ne gagneront pas.

    Nous le disons sans ambages, nous accorderons la protection et la reconnaissance pour l'ensemble des Terres à tous les nobles qui ne voudront pas combattre pour vous, Fenthick l'Interdit.
    A tous les nobles, qui n'aspirent qu'à prêter une double allégeance sans être déchirés et obligés par un empereur opportuniste d'aller combattre l'autre moitié de leur cœur.
    Placez vous sous notre protection, et nous vous protègerons, vous rendrons justice, vous reconnaitrons, et en échange de votre fidélité, vous permettrons de continuer à obtenir subsistance.

    Comme à chacun de nos sujets loyaux et fidèles aux descendants portant la Couronne francophone de l'Illustre Charlemagne 1er dit le Grand, comme à tous ceux qui refuseront de nous combattre au nom de tout ce qui nous lie, nous nous battrons pour leur assurer le droit à une existence libre parmi leurs frères français au sein d'une seule et même Nation.
    La Nation réunissant l'ensemble des populations francophones des royaumes, voilà le sens de notre histoire, voilà l'expression du peuple français.


    Vous retrouverez votre autonomie institutionnelle provinciale, vous serez libérés de vos tyrans qui vous ont abandonné dans un royaume imaginaire, crée sur l'autel de leur vanité pour se distribuer des titres et des postes aussi fantoches qu' indus.

    Vous serez pris directement sous notre aile en ayant la reconnaissance des us et coutumes des origines, à savoir des provinces souveraines ne prêtant allégeance qu'à votre Roi, celui-ci voulu par le Tout Puissant et les électeurs francophones.

    Amis, cousins, roturiers et nobles, notamment ceux portant double allégeance, soyez de nouveau nos frères d'esprit partageant un destin commun comme ce que vous n'auriez jamais dû cesser d'être depuis le règne de Charlemagne.

    Soyez fort, comme vous avez toujours su l'être et rejoignez nous ! Venez à France, la France viendra à vous !



Fait le 29 janvier 1461
Au Louvre













Code:

[quote]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/11/45/86/54/roieus10.png[/img]


[list][b]Nous Eusaias Blanc Combaz,
Roi de France par la Grâce du Tout Puissant et de l'élection des français.[/b]

[b]Par la présente nous tenons à nous exprimer au sujet de l'empereur des germains, l'interdit Fenthick & aux francophones sous domination germanique.[/b]

Avant même nos accessions aux couronnes de France pour l'un et celle des germains pour l'autre, ce n'était pas l'amitié qui présidait à nos relations déjà tumultueuses.
Si lui ne nous aimait pas, alors ce n'est que du sincère dégoût que nous lui portons depuis ses trahisons en retour.
Dès lors, depuis qu'il est [b]l'empereur prétendument saint des germains, il n'a de cesse d'intervenir et d'interférer dans les affaires de la Nation France. [/b]

Par un désir que nous ne pouvons qualifier que d'opportuniste et de vengeance envers notre personne, il ne peut s'empêcher de tenter de provoquer et d'alimenter la discorde entre les français.[b] Il a violé les traités de non agression signés depuis Levan et LongJohnSilver, faisant de lui un parjure.[/b]

[b]C'est un homme sans parole donc, qui agresse jusque les équilibres politiques et héraldiques des royaumes dans leur fondement. Mais nous ne resterons pas sans réponse. Et la réponse sera l’expression impitoyable de la Justice de France contre les ennemis qui l'agressent. [/b]

Alors que l'aveuglement de Fenthick le porte à renier l'ambition suprême de l'empire germanique, à savoir convoiter à son profit la notion d'universalité de Rome, d'où l'auto-proclamation de sainteté dans le nom de l'empire, il se fait le champion en culotte courte de l'intolérance et du fanatisme rétrograde d'une partie de l’Église.

[b]Nous commencerons donc par lui répondre ceci :[/b]

[b]- Tout d'abord apprenez déjà à penser par vous-même, et non pas à faire le béni oui-oui de certains de vos conseillers, ou plutôt conseillère, qui vous tiennent par les roubignoles dans le seul désir d'un jour vous succéder.[/b]

[b]- Ensuite, et c'est bien là l'essentiel, cessez d'occuper indignement des provinces qui ne parlent ni de près ni de loin la langue germaine.
Sans vouloir parler de la liberté des États de langue italienne, qui ont toute légitimité pour construire la propre unicité d'un Royaume du nord au sud de la Péninsule sans occupation étrangère, je vous parle ici des provinces et fiefs souverains francophones qui survivent malgré tout sous votre joug.[/b]

De ces personnes, nobles ou roturiers de culture et de langue française depuis la création de l'Empire de la fleur de Lys par le bras armé de Charlemagne 1er dit le Grand, que vous obligez à venir combattre contre leurs frères et leurs cousins chez nous.
De ces personnes qui, parce que fieffées en France et dans les provinces francophones sous le contrôle germanique, doivent abandonner au nom de votre parjure, une partie de leurs terres, une partie de leur cœur, une partie de leur raison.

[b]Votre propagande et vos mensonges qui alimentent l'ignorance d'une partie de cette population ne gagneront pas.[/b]

[b]Nous le disons sans ambages, nous accorderons la protection et la reconnaissance pour l'ensemble des Terres à tous les nobles qui ne voudront pas combattre pour vous, Fenthick l'Interdit.[/b]
A tous les nobles, qui n'aspirent qu'à prêter une double allégeance sans être déchirés et obligés par un empereur opportuniste d'aller combattre l'autre moitié de leur cœur.
[b]Placez vous sous notre protection, et nous vous protègerons, vous rendrons justice, vous reconnaitrons, et en échange de votre fidélité, vous permettrons de continuer à obtenir subsistance.[/b]

[b]Comme à chacun de nos sujets loyaux et fidèles aux descendants portant la Couronne francophone de l'Illustre Charlemagne 1er dit le Grand, comme à tous ceux qui refuseront de nous combattre au nom de tout ce qui nous lie, nous nous battrons pour leur assurer le droit à une existence libre parmi leurs frères français au sein d'une seule et même Nation.
La Nation réunissant l'ensemble des populations francophones des royaumes, voilà le sens de notre histoire, voilà l'expression du peuple français.[/b]

[b]Vous retrouverez votre autonomie institutionnelle provinciale, vous serez libérés de vos tyrans qui vous ont abandonné dans un royaume imaginaire, crée sur l'autel de leur vanité pour se distribuer des titres et des postes aussi fantoches qu' indus.[/b]

[b]Vous serez pris directement sous notre aile en ayant la reconnaissance des us et coutumes des origines, à savoir des provinces souveraines ne prêtant allégeance qu'à votre Roi, celui-ci voulu par le Tout Puissant et les électeurs francophones.[/b]

[b]Amis, cousins, roturiers et nobles, notamment ceux portant double allégeance, soyez de nouveau nos frères d'esprit partageant un destin commun comme ce que vous n'auriez jamais dû cesser d'être depuis le règne de Charlemagne.[/b]

[b]Soyez fort, comme vous avez toujours su l'être et rejoignez nous ! Venez à France, la France viendra à vous ![/b][/list]


Fait le 29 janvier 1461
Au Louvre

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]
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Eusaias
Citation:


    Nous, Eusaias de Blanc-Combaz, Roi de France par la Grâce du Tout Puissant et du peuple français, déclarons par la présente notre position vis à vis de l'Eglise Aristotélicienne siégeant à Rome.

    Tout d'abord, nous voulons nous exprimer à notre fier et indomptable peuple de France.
    Françaises, français, je sais que les troubles actuels avec l'église de Rome vous inquiètent et vous perturbent. C'est bien normal. Moi-même il m'est délicat de porter aujourd'hui le fer contre ceux qui devraient représenter Chritos et Aristote.
    Ma conscience est forcement en questionnement permanent entre vouloir être une bonne brebis du Tout Puissant, et défendre les intérêts supérieurs et inaliénables de la France.
    Car si je crois dur comme fer dans le Tout Puissant, j'ai aussi de par mon élection au trône de France, la responsabilité suprême d'incarner, de protéger et de gouverner l’État.
    Ce sont les devoirs d'un monarque que d'être la main qui tient le bouclier et qui fait s'abattre l'épée contre tous les ennemis qui remettent en cause les intérêts supérieurs de la France.

    Or, en ces jours sombres pour tout fidèle sincère, nous voici, et moi en premier lieu en tant que votre roi, devant un choix cornélien. Un choix difficile, qui a un prix exorbitant. La douleur en moi est terrible rien qu'à y penser, mais ce choix le voici :
    Ou nous protégeons la France, son histoire, sa culture et sa souveraineté inaliénables, ou nous nous abaissons à devenir les esclaves des étrangers fossoyeurs de Rome, de leur suppôts infiltrés comme ceux de l'extérieur, parjures à leurs serments, fieffés menteurs qui veulent violer et profaner le territoire sacré de la France. Ou nous défendons l'indépendance et la liberté de la France et des français, ou nous ployons genoux devant les étrangers qui se salissent le nom du Tout Puissant pour dicter des lois grotesques, rétrogrades, intolérantes qui sèment la discorde en notre sein, en notre cœur. Sur notre sol.

    Fille ainée de l’Église, la France de foi éternellement aristotélicienne, est fidèle à ses valeurs, à son indépendance, à sa souveraineté, à sa tolérance, à la puissance et la splendeur de son Nom et de son Histoire.
    Nous n'avons jamais ployé le genoux devant les menaces et l'intrusion dans les affaires de l’État, d'étrangers intolérants et passéistes.
    Parce que nous prônons en vérité, fidèles en cela à l'enseignement véritable d'Aristote, fondateur de notre Religion en France, la tolérance vis à vis de ceux qui choisissent les moyens d'exprimer leur foi d'une façon différente pour louer Notre Seigneur Tout Puissant;

    - Parce que nous prônons l'usage de la raison, et le respect de la différence pour exprimer notre foi plutôt que la barbarie aveugle et rétrograde des anathèmes, des excommunications, et des buchers;

    - Parce que nous prônons notre liberté d'action face aux délires ecclésiastiques étrangers qui se targuent d'interdictions compulsives à travers des textes inapplicables, ne provoquant ainsi que rancœur et haine pour leur crasse ignorance;

    - Parce que nous disons haut et fort que nul étranger ou agent de l'étranger n'a le droit de dicter la politique de la France;


    - Parce que nous leur signifions haut et fort que la France n'est pas une théocratie où le politique est soumis aux délires de l'intolérance religieuse;

    - Parce que nul n'a le droit de se substituer à notre Seigneur Tout Puissant qui seul, a décidé d'instaurer d'une part un régime électif sans contrainte de sacrement par une puissance étrangère; d'autre part qu'il a lui-même interdit les invasions permanentes des dits étrangers ne sachant pas maitriser la langue de manière courante où ils vont semer la misère et la discorde;

    - Parce qu'enfin, pendant que nous tentons de négocier avec la puissance étrangère de Rome pour renouer les fils conduisant au chemin de l'apaisement, ceux-ci nous attaquent au mépris de tous les traités de paix datant de Levan et de LongJohnSilver.


    Nous, Roi de France déclarons solennellement que :

    La France est, et restera éternellement aristotélicienne, en tant que seule foi reconnue d’État.

    Que nous décrétons la liberté et la tolérance, le tout dans le respect réciproque envers toutes les minorités qui choisissent des manières différentes d'exprimer leur foi envers le Tout Puissant, comme coutume française de notre univers des royaumes renaissants.
    Que la quête de fidèles et la saine divergence dogmatique, doit à présent s'exprimer dans le respect mutuel, sans employer de moyens inéquitables tels que la persécution judiciaire ou politique.
    Qu'avant d'être papiste, réformé, libéral ou conservateur, magouilleur, ermite ou vertueux, les membres de notre glorieuse Nation aristotélicienne, de culture et de langue française, sont avant tout et par dessus toute différence d'opinion des français faisant vivre leur royaume et déléguant à leur Roi élu la gestion de tout intérêt supérieur de la France.

    Que ce qu'ils nomment hérésie n'est autre que désir de liberté et d'émulation pour tous. Que ce désir est normal dans nos royaumes, et que seuls les esprits déments, rétrogrades ou trompés prétendent le contraire. Que ce qu'ils nomment Église gallicane, n'est autre que l'affirmation du pouvoir temporel sur le pouvoir spirituel des étrangers romains.
    Que ce qu'ils nomment dans leur esprit étriqué concordat, n'est qu'un texte passéiste et mal écrit, privant de liberté politique et religieuse les habitants de la France, tout en pourrissant ceux qui ne pensent pas comme eux à coup de procédures judiciaires et d'ignorance crasse.
    Et aujourd'hui, ils viennent de nous inventer la "croisade pour les nuls" !
    N'oublient ils pas que par exemple l'Empire Byzantin a une tradition césaro-papiste depuis toujours ? Que le pouvoir politique de l’État, de l'élu prime et commande sur la religion particulière ou les agents étrangers sans faire aucun remoud ni esclandre et encore moins de guerre d'intolérance ?
    Que l'empereur Constantin lui-même commandait à la nomination des évêques sans que drame ne s'opère ?
    Alors pourquoi s'en prennent ils à nous, au delà des apparences qu'ils tentent de distribuer aux moutons du troupeau bien servile ?

    Pourquoi ? parce qu'au delà des phrases creuses de nos ennemis d'aujourd'hui, nous sommes tolérants et respectueux de la différence d'opinion et de l'expression de la liberté religieuse de chaque français. Que le talent doit se trouver là où il se trouve, et que si le meilleur pour servir la Couronne est un prétendu réformé, et bien alors la France est heureuse de pouvoir compter sur son concours, son travail et sa compétence.
    Que si pour protéger les intérêts supérieurs de la France, nous devons avoir une église autonome et qui n'est plus mise en esclavage intellectuel par les suppôts de Rome, alors implacablement nous le ferons.

    Mais que si les agents de Rome veulent négocier, sans guerre et sans intrusion politique avec nous, nous serons toujours magnanimes et à disposition.
    Mais que si foule d'étrangers ne maitrisant même pas notre langue venait à violer les terres sacrées de la Nation française sur son ordre, interprétant malhonnêtement de par leur intolérance et barbarie les propos d'un pape fantoche à la botte de ses cardinaux, nous rappelant d'ailleurs de tristes heures en France où des oligarques sans légitimité des élections, menaient à la baguette le dernier lévanide absentéiste, alors :

    Alors oui, le combat sera total, et, tels nos ancêtres et illustres prédécesseurs, nous bouterions hors de France les étrangers voulant priver les français de leur liberté inaliénable.
    Car, hier, les anglais tentaient déjà d'asservir la France injustement au nom d'alliances avec de perfides traitres à l'intérieur de nos frontières.
    Hier déjà, la France et les français se sont levés contre la tyrannie de textes putrides permettant aux étrangers de commander chez eux.
    Hier déjà, la France a vaincu ses ennemis en les chassant de ses Terres, sans jamais faiblir.

    Aujourd'hui, votre Roi élu vous le dit, en toute connaissance de cause, et bien conscient des épreuves présentes et à venir, du choix douloureux qui consiste à élever son esprit vers la raison, le courage et la liberté, rien, n'y personne d'autre que le Tout Puissant ne viendra dicter sa loi et sa conduite à la France.
    Ni ceux qui manipulent un pape fantoche, ni les passéistes intolérants et fanatiques, ni les cardinaux pratiquant la magie noire qui se targuent de connaitre et d'utiliser notre correspondance privée, ni ceux qui menacent d'enfer des âmes aristotéliciennes qui pourtant auraient bien des choses à leur apprendre quant au respect et la liberté de conscience, l'emploi de la raison voulu par Aristote, ni ceux qui veulent mettre la Couronne de France à genoux.
    Nul d'entre eux n'aura raison du peuple français et de la France.

    Unis autour du drapeau français, autour de la Couronne, prêtant concours pour la défense de notre Terre et de notre État, tous ensemble, français nous pouvons et nous réussirons à vaincre les défis que les étrangers nous imposent, et ce pour et par la France.
    Ensemble, nous sommes résolus, nous sommes conscients même si nous avons mal au cœur.
    Mal que l'ignorance et les intérêts particuliers viennent nous attaquer. Mais de cette douleur, nous en ferons naitre la force nécessaire afin de gagner sur le champs de bataille, qu'elle soit faite par les armes ou par l'emploi de l'esprit et de la raison.

    Car oui françaises, français, fidèles à votre nation et à votre Couronne, votre roi vous connait, vous aime et vous sait capable de soulever des montagnes pour la défense héroïque de son indépendance et de sa liberté.

    Vive la France !




    Fait au Louvre, le 31 Janvier 1461.

    Eusaias Blanc Combaz,
    Très Puissant et Très Redouté Roi de France.


















Code:
[quote]

[list][b]Nous, Eusaias de Blanc-Combaz, Roi de France par la Grâce du Tout Puissant et du peuple français, déclarons par la présente notre position vis à vis de l'Eglise Aristotélicienne siégeant à Rome[/b].

Tout d'abord, nous voulons nous exprimer à notre fier et indomptable peuple de France.
Françaises, français, je sais que les troubles actuels avec l'église de Rome vous inquiètent et vous perturbent. C'est bien normal. Moi-même il m'est délicat de porter aujourd'hui le fer contre ceux qui devraient représenter Chritos et Aristote.
Ma conscience est forcement en questionnement permanent entre vouloir être une bonne brebis du Tout Puissant, et défendre les intérêts supérieurs et inaliénables de la France.
[b]Car si je crois dur comme fer dans le Tout Puissant, j'ai aussi de par mon élection au trône de France, la responsabilité suprême d'incarner, de protéger et de gouverner l’État.
Ce sont les devoirs d'un monarque que d'être la main qui tient le bouclier et qui fait s'abattre l'épée contre tous les ennemis qui remettent en cause les intérêts supérieurs de la France. [/b]
Or, en ces jours sombres pour tout fidèle sincère, nous voici, et moi en premier lieu en tant que votre roi, devant un choix cornélien. Un choix difficile, qui a un prix exorbitant. La douleur en moi est terrible rien qu'à y penser, mais ce choix le voici :
Ou nous protégeons la France, son histoire, sa culture et sa souveraineté inaliénables, ou nous nous abaissons à devenir les esclaves des étrangers fossoyeurs de Rome, de leur suppôts infiltrés comme ceux de l'extérieur, parjures à leurs serments, fieffés menteurs qui veulent violer et profaner le territoire sacré de la France. [b]Ou nous défendons l'indépendance et la liberté de la France et des français, ou nous ployons genoux devant les étrangers qui se salissent le nom du Tout Puissant pour dicter des lois grotesques, rétrogrades, intolérantes qui sèment la discorde en notre sein, en notre cœur. Sur notre sol.[/b]

[b]Fille ainée de l’Église, la France de foi éternellement aristotélicienne, est fidèle à ses valeurs, à son indépendance, à sa souveraineté, à sa tolérance, à la puissance et la splendeur de son Nom et de son Histoire.[/b]
Nous n'avons jamais ployé le genoux devant les menaces et l'intrusion dans les affaires de l’État, d'étrangers intolérants et passéistes.
Parce que nous prônons en vérité, fidèles en cela à l'enseignement véritable d'Aristote, fondateur de notre Religion en France, la tolérance vis à vis de ceux qui choisissent les moyens d'exprimer leur foi d'une façon différente pour louer Notre Seigneur Tout Puissant;

[b]- Parce que nous prônons l'usage de  la raison, et le respect de la différence pour exprimer notre foi plutôt que la barbarie aveugle et rétrograde des anathèmes, des excommunications, et des buchers;

- Parce que nous prônons notre liberté d'action face aux délires ecclésiastiques étrangers qui se targuent d'interdictions compulsives à travers des textes inapplicables, ne provoquant ainsi que rancœur et haine pour leur crasse ignorance;

- Parce que nous disons haut et fort que nul étranger ou agent de l'étranger n'a le droit de dicter la politique de la France;[/b]

[b]- Parce que nous leur signifions haut et fort que la France n'est pas une théocratie où le politique est soumis aux délires de l'intolérance religieuse;

- Parce que nul n'a le droit de se substituer à notre Seigneur Tout Puissant qui seul, a décidé d'instaurer d'une part un régime électif sans contrainte de sacrement par une puissance étrangère; d'autre part qu'il a lui-même interdit les invasions permanentes des dits étrangers ne sachant pas maitriser la langue de manière courante où ils vont semer la misère et la discorde;

- Parce qu'enfin, pendant que nous tentons de négocier avec la puissance étrangère de Rome pour renouer les fils conduisant au chemin de l'apaisement, ceux-ci nous attaquent au mépris de tous les traités de paix datant de Levan et de LongJohnSilver.[/b]

Nous, Roi de France déclarons solennellement que :

[b]La France est, et restera éternellement aristotélicienne, en tant que seule foi reconnue d’État.[/b]

Que [b]nous décrétons la liberté et la tolérance, le tout dans le respect réciproque envers toutes les minorités qui choisissent des manières différentes d'exprimer leur foi envers le Tout Puissant, comme coutume française de notre univers des royaumes renaissants.[/b]
Que la quête de fidèles et la saine divergence dogmatique, doit à présent s'exprimer dans le respect mutuel, sans employer de moyens inéquitables tels que la persécution judiciaire ou politique.
Qu'avant d'être papiste, réformé, libéral ou conservateur, magouilleur, ermite ou vertueux, les membres de notre glorieuse Nation aristotélicienne, de culture et de langue française, sont avant tout et par dessus toute différence d'opinion des français faisant vivre leur royaume et déléguant à leur Roi élu la gestion de tout intérêt supérieur de la France.

Que ce qu'ils nomment hérésie n'est autre que désir de liberté et d'émulation pour tous. Que ce désir est normal dans nos royaumes, et que seuls les esprits déments, rétrogrades ou trompés prétendent le contraire. Que ce qu'ils nomment Église gallicane, n'est autre que l'affirmation du pouvoir temporel sur le pouvoir spirituel des étrangers romains.
Que ce qu'ils nomment dans leur esprit étriqué concordat, n'est qu'un texte passéiste et mal écrit, privant de liberté politique et religieuse les habitants de la France, tout en pourrissant ceux qui ne pensent pas comme eux à coup de procédures judiciaires et d'ignorance crasse.
Et aujourd'hui, ils viennent de nous inventer la "croisade pour les nuls" !
[b]N'oublient ils pas que par exemple l'Empire Byzantin a une tradition césaro-papiste depuis toujours ? Que le pouvoir politique de l’État, de l'élu prime et commande sur la religion particulière ou les agents étrangers sans faire aucun remoud ni esclandre et encore moins de guerre d'intolérance ? [/b]
[b]Que l'empereur Constantin lui-même commandait à la nomination des évêques sans que drame ne s'opère ?[/b]
Alors pourquoi s'en prennent ils à nous, au delà des apparences qu'ils tentent de distribuer aux moutons du troupeau bien servile ?

Pourquoi ? parce qu'au delà des phrases creuses de nos ennemis d'aujourd'hui, nous sommes tolérants et respectueux de la différence d'opinion et de l'expression de la liberté religieuse de chaque français. Que le talent doit se trouver là où il se trouve, et que si le meilleur pour servir la Couronne est un prétendu réformé, et bien alors la France est heureuse de pouvoir compter sur son concours, son travail et sa compétence.
Que si pour protéger les intérêts supérieurs de la France, nous devons avoir une église autonome et qui n'est plus mise en esclavage intellectuel par les suppôts de Rome, alors implacablement nous le ferons.

[b]Mais que si les agents de Rome veulent négocier, sans guerre et sans intrusion politique avec nous, nous serons toujours magnanimes et à disposition. [/b]
Mais que si foule d'étrangers ne maitrisant même pas notre langue venait à violer les terres sacrées de la Nation française sur son ordre, interprétant malhonnêtement de par leur intolérance et barbarie les propos d'un pape fantoche à la botte de ses cardinaux, nous rappelant d'ailleurs de tristes heures en France où des oligarques sans légitimité des élections, menaient à la baguette le dernier lévanide absentéiste, alors :

Alors oui, le combat sera total, et, tels nos ancêtres et illustres prédécesseurs, nous bouterions hors de France les étrangers voulant priver les français de leur liberté inaliénable.
Car, hier, les anglais tentaient déjà d'asservir la France injustement au nom d'alliances avec de perfides traitres à l'intérieur de nos frontières.
Hier déjà, la France et les français se sont levés contre la tyrannie de textes putrides permettant aux étrangers de commander chez eux.
Hier déjà, la France a vaincu ses ennemis en les chassant de ses Terres, sans jamais faiblir.

[b]Aujourd'hui, votre Roi élu vous le dit, en toute connaissance de cause, et bien conscient des épreuves présentes et à venir, du choix douloureux qui consiste à élever son esprit vers la raison, le courage et la liberté, rien, n'y personne d'autre que le Tout Puissant ne viendra dicter sa loi et sa conduite à la France.[/b]
Ni ceux qui manipulent un pape fantoche, ni les passéistes intolérants et fanatiques, ni les cardinaux pratiquant la magie noire qui se targuent de connaitre et d'utiliser notre correspondance privée, ni ceux qui menacent d'enfer des âmes aristotéliciennes qui pourtant auraient bien des choses à leur apprendre quant au respect et la liberté de conscience, l'emploi de la raison voulu par Aristote, ni ceux qui veulent mettre la Couronne de France à genoux.
[b]Nul d'entre eux n'aura raison du peuple français et de la France.[/b]

Unis autour du drapeau français, autour de la Couronne, prêtant concours pour la défense de notre Terre et de notre État, tous ensemble, français nous pouvons et nous réussirons à vaincre les défis que les étrangers nous imposent, et ce pour et par la France.
Ensemble, nous sommes résolus, nous sommes conscients même si nous avons mal au cœur.
Mal que l'ignorance et les intérêts particuliers viennent nous attaquer. Mais de cette douleur, nous en ferons naitre la force nécessaire afin de gagner sur le champs de bataille, qu'elle soit faite par les armes ou par l'emploi de l'esprit et de la raison.

[b]Car oui françaises, français, fidèles à votre nation et à votre Couronne, votre roi vous connait, vous aime et vous sait capable de soulever des montagnes pour la défense héroïque de son indépendance et de sa liberté.

Vive la France ![/b]



Fait au Louvre, le 31 Janvier 1461.

Eusaias Blanc Combaz,
Très Puissant et Très Redouté Roi de France.[/list]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img][/quote]

_________________
Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France
      À Pierre du Val de Loire,
      À Julien Giffard
      À Bess Sancte Merveille
      À nos sujets,
      À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
      Salut.


    À compter de ce jour, et aux vues des décisions récentes prises conjointement avec Monsieur le Grand et Messire notre Connétable nommons :
    - Le seigneur Pierre du Val de Loire [P3v3r3rt] stratège de France pour la campagne de Bourgogne.
    - Le seigneur Julien Giffard [Jglth] stratège de France pour la campagne d’Anjou.
    - Le chevalier Bess Sancte Merveille [Bess.Scte.Merveille] stratège de France pour la campagne du Sud.

    Nous conseillons donc nos alliés, nos armées de suivre la stratégie qu’ils vous soumettront afin que vos victoires soient totales.

Aux hommes la droiture et le devoir,
Et à Dieu seul la Gloire.

Faict à Paris le 6e de février 1461








Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]
[list][list][size=16] À Pierre du Val de Loire,
À Julien Giffard
À Bess Sancte Merveille
À nos sujets,
À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
Salut.[/size] [/list][/list]

[i][b][list] À compter de ce jour, et aux vues des décisions récentes prises conjointement avec Monsieur le Grand et Messire notre Connétable nommons :
- Le seigneur Pierre du Val de Loire [size=9][P3v3r3rt] [/size]stratège de France pour la campagne de Bourgogne.
- Le seigneur Julien Giffard [size=9][Jglth] [/size]stratège de France pour la campagne d’Anjou.
- Le chevalier Bess Sancte Merveille [size=9][Bess.Scte.Merveille][/size] stratège de France pour la campagne du Sud.
 
Nous conseillons donc nos alliés, nos armées de suivre la stratégie qu’ils vous soumettront afin que vos victoires soient totales.
[/list]
Aux hommes la droiture et le devoir,
Et à Dieu seul la Gloire.

Faict à Paris le 6e de février 1461[/b][/i]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img][/quote]

_________________
Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      A La Bourgogne ma bien-aimée vassale,
      A Aryanah de Bourgogne,
      Au nouveau conseil mis en place,
      A tous les sujets bourguignons,
      A tous les sujets de France,
      Respect et royales salutations.



    Bourguignons, bourguignonnes vous fûtes formidables !

    Votre ténacité et votre bravoure ont brisés vos si perfides ennemis trois nuits durant.


    Jamais vous n’avez faiblis et votre courage mémorable sera conté par delà les frontières. De vos hautes murailles vous avez dominé, repoussé et vaincu la lie du royaume s’étant mobilisée sous les oriflammes franc-comtois et berrichons. Ces vauriens parlant de croisades alors que leur seule volonté est le pillage et la nuisance de votre, de notre, si grand duché qu’est la Bourgogne, sont toujours là à piétiner dans la boue devant Dijon après plus d’un mois de siège.

    Ils ont prouvé qu’ils sont plus mauvais dans l’art de la guerre que dans le pillage, le mensonge et le persiflage.

    Bourguignons, vous ne portez pas la croix sur vos tuniques, mais vous, vous avez la foi !

    Vous vous battez comme trois car vous savez Dieu de votre côté !

    Votre cause est juste, votre cause est pure et vous serez toujours l’emblème de la justice et la loyauté aux yeux de vos frères et sœurs.

    La France ne vous abandonne pas, la France lève ses armées, la France est là.
    Ce jour de nouveaux renforts sont arrivés et chaque jour qui passe en voit arriver de nouveaux. Alors nous ordonnerons à nos armées de se lancer dans leur chevauchée sanglante et purificatrice sur vos terres, mettant à mort nos ennemis.

    A Cœur Vaillant !


Rédigée à Sémur le 15 de février 1461.










Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]


[list][list][size=16]A La Bourgogne ma bien-aimée vassale,
A Aryanah de Bourgogne,
Au nouveau conseil mis en place,
A tous les sujets bourguignons,
A tous les sujets de France,
Respect et royales salutations.
[/size]
[/list][/list]

[list][b]Bourguignons, bourguignonnes vous fûtes formidables !

Votre ténacité et votre bravoure ont brisés vos si perfides ennemis trois nuits durant. [/b]

Jamais vous n’avez faiblis et votre courage mémorable sera conté par delà les frontières. De vos hautes murailles vous avez dominé, repoussé et vaincu la lie du royaume s’étant mobilisée sous les oriflammes franc-comtois et berrichons. [b]Ces vauriens parlant de croisades alors que leur seule volonté est le pillage et la nuisance de votre, de notre, si grand duché qu’est la Bourgogne, sont toujours là à piétiner dans la boue devant Dijon après plus d’un mois de siège. [/b]

Ils ont prouvé qu’ils sont plus mauvais dans l’art de la guerre que dans le pillage, le mensonge et le persiflage.

[b]Bourguignons, vous ne portez pas la croix sur vos tuniques, mais vous, vous avez la foi ! [/b]

Vous vous battez comme trois car vous savez Dieu de votre côté !

Votre cause est juste, votre cause est pure et vous serez toujours l’emblème de la justice et la loyauté aux yeux de vos frères et sœurs.

[b]La France ne vous abandonne pas, la France lève ses armées, la France est là. [/b]
Ce jour de nouveaux renforts sont arrivés et chaque jour qui passe en voit arriver de nouveaux. Alors nous ordonnerons à nos armées de se lancer dans leur chevauchée sanglante et purificatrice sur vos terres, mettant à mort nos ennemis.

[b]A Cœur Vaillant ![/b][/list]

Rédigée à Sémur le 15 de février 1461.


[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]

[/quote]

_________________
Eusaias
Citation:


          Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France

      À la hérauderie de France,
      À la prévôté de France,
      À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.



    Ce jour, après moult tentatives de ramener certains à la raison nous sommes dans l’obligation de constater que notre bonté et notre patience furent veines. Leurs buts n’étant que la discorde au sein d’un royaume de France qui n’aspire qu’à la paix

    De ce fait, déclarons Traitres à la France les belliqueux suivant :


      - Rehael
      - Vincent diftain
      - Minlawa
      - Alexandre908
      - Wolfar
      - Theudbald
      - Miguael_enguerrand
      - Istar.333
      - Alexandre*
      - Namaycush
      - Flex
      - Riwenn
      - Amellyne
      - Azilize
      - Felix auguste
      - Rozenn.
      - Makcimus.
      - Vald


  • Item Makcimus et Namaycush perdent toutes prétentions sur les fiefs en ile de France.
  • Item invitons nos vassaux à faire demande de destitutions pour les nobles figurant sur cette liste pour « nuisance au suzerain ».
  • Item déclarons ne plus reconnaitre les titres « romains » et leurs ordres de chevaleries, mis à part pour qui de ceux là nous prêterons allégeance pour les dits titres de noblesse.


    Ainsi nous frappons !

    Rédigée à Sémur le 15 de février 1461.











Code:
[quote][list][img]http://i45.servimg.com/u/f45/11/45/86/54/roieus10.png[/img]

[list][list][list][size=18]Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France [/size][/list][/list][/list][/list]
[list][list][size=14]À la hérauderie de France,
À la prévôté de France,
À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.[/size][/list][/list]


[list][b]Ce jour, après moult tentatives de ramener certains à la raison nous sommes dans l’obligation de constater que notre bonté et notre patience furent veines. Leurs buts n’étant que la discorde au sein d’un royaume de France qui n’aspire qu’à la paix

De ce fait, déclarons Traitres à la France les belliqueux suivant :[/b]

[list]- Rehael
- Vincent diftain
- Minlawa
- Alexandre908
- Wolfar
- Theudbald
- Miguael_enguerrand
- Istar.333
- Alexandre*
- Namaycush
- Flex
- Riwenn
- Amellyne
- Azilize
- Felix auguste
- Rozenn.
- Makcimus.
- Vald[/list]

[b][*] Item Makcimus et Namaycush perdent toutes prétentions sur les fiefs en ile de France.
[*] Item invitons nos vassaux à faire demande de destitutions pour les nobles figurant sur cette liste pour « nuisance au suzerain ».
[*] Item déclarons ne plus reconnaitre les titres « romains » et leurs ordres de chevaleries, mis à part pour qui de ceux là nous prêterons allégeance pour les dits titres de noblesse.


Ainsi nous frappons ![/b]

Rédigée à Sémur le 15 de février 1461. [/list]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]

[/quote]

_________________
Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      Aux sujets de France,
      A tous présents et à venir.
      Qui liront ou se feront lire.
      Salut.


    Le mérite est une valeur revendiquée par beaucoup mais justifiée pour bien peu. Le Royaume de France a besoin de ces Élus de l'Histoire qui contribuent par leurs talents hors du commun à l'accroissement de son prestige et de son rayonnement aux quatre coins du continent.

    Pour ces motifs, élevons ce jour à la dignité de Pair de France sa Grâce Keridil d'Amahir-Euphor, Duc de Chartres, Vicomte de Montpipeau, Baron de Seignelay, Seigneur de Bréméan et de Railly.

    Qu’il lui soit remis dès à présent les attributs afférents à sa charge et qu’il siège auprès de ses pairs dès aujourd'hui, car telle est notre volonté et telle est l'expression de notre bon plaisir.


    Rédigé et scellé le 15e jour de Février 1461.








Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]


[list][list][size=16]Aux sujets de France,
A tous présents et à venir.
Qui liront ou se feront lire.
Salut.[/size]
[/list][/list]
[list][i][b]Le mérite est une valeur revendiquée par beaucoup mais justifiée pour bien peu. Le Royaume de France a besoin de ces Élus de l'Histoire qui contribuent par leurs talents hors du commun à l'accroissement de son prestige et de son rayonnement aux quatre coins du continent.

Pour ces motifs, élevons ce jour à la dignité de Pair de France sa Grâce Keridil d'Amahir-Euphor, Duc de Chartres, Vicomte de Montpipeau, Baron de Seignelay, Seigneur de Bréméan et de Railly.

Qu’il lui soit remis dès à présent les attributs afférents à sa charge et qu’il siège auprès de ses pairs dès aujourd'hui, car telle est notre volonté et telle est l'expression de notre bon plaisir.


Rédigé et scellé le 15e jour de Février 1461.[/i][/b][/list]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img][/quote]

_________________
Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


        À l'attention des Pairs de France,
        À l'attention des Grands Officiers de la Couronne,
        Aux esprits féaux du Royaume de France,
        À l'ensemble de Nos sujets,
        À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.




    Nominations à la dignité de Pair émérite.


    Un bon domestique se doit de compatir aux peines de son maître et de partager ses émotions, ne fut-ce que par bienséance. En tant que serviteurs du Royaume, celui-ci est en droit d'exiger au travers de sa charte fondamentale le même respect et la même correction de la part de ses premiers conseillers et augustes législateurs.

    Attendu que la charge de Pair de France nécessite une ardente activité, un dévouement total et une assiduité constante ;
    Attendu qu'un des Pairs de France se voit dans l'incapacité de remplir les dites cardinales obligations ;
    Attendu que ses mérites passés au service de la Couronne donnent droit à certains égards ;

    Désignons à dater de ce jour à la dignité de Pair de France émérite :


  • Valnor de Lande Morte


    Qu'il en soit ainsi, et heureusement.










Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]


[list][list][list][size=16]À l'attention des Pairs de France,
À l'attention des Grands Officiers de la Couronne,
Aux esprits féaux du Royaume de France,
À l'ensemble de Nos sujets,
À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.[/size]
[/list][/list]


[size=18][i][b][color=darkblue]Nominations à la dignité de Pair émérite.[/color][/b][/i][/size]


[b][i]Un bon domestique se doit de compatir aux peines de son maître et de partager ses émotions, ne fut-ce que par bienséance. En tant que serviteurs du Royaume, celui-ci est en droit d'exiger au travers de sa charte fondamentale le même respect et la même correction de la part de ses premiers conseillers et augustes législateurs.

Attendu que la charge de Pair de France nécessite une ardente activité, un dévouement total et une assiduité constante ;
Attendu qu'un des Pairs de France se voit dans l'incapacité de remplir les dites cardinales obligations ;
Attendu que ses mérites passés au service de la Couronne donnent droit à certains égards ;

Désignons à dater de ce jour à la dignité de Pair de France émérite :[/i][/b]

[*] [b]Valnor de Lande Morte[/b]


[b][i]Qu'il en soit ainsi, et heureusement.[/i][/b][/list]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]

[/quote]

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Eusaias
Citation:


          Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France

      À la Hérauderie de France,
      À la Prévôté de France,
      À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.



Pour ce que certaines choses doivent et méritent d'être clarifiées, corrigées ou précisées, la présente déclaration annule et remplace notre déclaration de traitrises en date du 15 février 1461.

    Ce jour, après moult tentatives de ramener certains à la raison nous sommes dans l’obligation de constater que notre bonté et notre patience furent vaines. Leur but n’étant que la discorde au sein d’un royaume de France qui n’aspire qu’à la paix, de ce fait, déclarons les belliqueux et séditieux suivants


    • Félons à la Couronne de France,

      Pour avoir rompu leurs serment d'allégeance, failli à leurs devoirs de vassaux et nui à leur suzerain et à l'unité du Royaume en déclarant séparer les provinces vassales dont ils sont feudataires de la Couronne de France.

      • Azilize d'Herbauge, Feudataire du Béarn,
      • Rozenn. Caillavet, Feudataire de Gascogne,
      • Riwenn de Castel Vilar de la Duranxie, Feudataire d'Armagnac et Comminges,
      • Amellyne d'Angemont, Feudataire de Toulouse,

      Nous leurs nions dès lors toute prétention au trônes ducaux et comtaux du Béarn, de Gascogne, d'Armagnac et Comminges et de Toulouse, et incitons nos loyaux sujets de toutes ces provinces à désigner pour les représenter une autre personne de leur choix, dont nous serions enclin à accepter l'allégeance.



    • Félons à la Couronne de France,

      Pour avoir rompu leur serment d'allégeance, failli à leurs devoirs de vassaux et nui à leur suzerain et à l'unité du Royaume, en soutenant la Croisade déclarée à la France par la Curie romaine et menant belliqueuses actions en nos provinces vassales du Sud et de Bourgogne,

      • Namaycush Salmo Salar, Prince de Pontoise,
      • Makcimus. de Kersak, Seigneur de Puiseux,

      Ils perdent ainsi toutes prétentions sur leurs fiefs en Ile de France.



    • Traitres à la Couronne de France,

      Pour avoir fomenté et soutenu Croisade contre la Couronne de France, appelé et enjoint nos officiers, conseillers, vassaux et sujets à la sédition, usant de leurs charges spirituelles pour insuffler le vent de la discorde au sein de nos terres du Domaine Royal,

      • Tibère de Plantagenêt dict Rehael, Archevêque métropolitain de Rouen,
      • Vincent.diftain d'Embussy, Archevêque métropolitain de Sens,
      • Minlawa de Montfort, Evêque du Mans,

      Nous leur nions dès lors toute légitimité spirituelle sur nos terres et incitons nos loyaux sujets à ne plus se laisser bercer par leurs paroles soufflées par le Sans Nom et de se tourner vers tout clerc ayant véritablement à coeur de guider ses ouailles vers l'Amitié Artistotélicienne et la Paix.



    • Traitres à la Couronne de France,

      Pour avoir soutenu et/ou pris les armes pour la Curie romaine dans la Croisade déclarée contre la couronne de France, portant ainsi le fer en nos provinces vassales contre nos loyaux sujets et féaux vassaux, semant les graines de la discorde en notre Royaume,

      • Alexandre Olund dict Alexandre908,
      • Roland Wallère dict Wolfar,
      • Miguael_enguerrand de la Louveterie-Montfort,
      • Theudbald de Malhuys,
      • Alexandre* de Demessy-Montferrat,
      • Istar.333 de Demessy-Montferrat,
      • Enguerrand Louis-Perceval de la Mirandole et de Dublith dict Flex,
      • Felix_auguste de Chéroy,
      • Vald de Flaynac,

      Nous les révoquons également céans de toute charge royale qu'ils pourraient encore détenir.



  • En conséquence, invitons nos vassaux à prendre en considération que ceux ici cités et qui sont par ailleurs leurs propres vassaux doivent, selon les coutumes et lois héraldiques royales, répondre devant nous des actes qu'ils ont commis.
  • Item déclarons ne plus reconnaitre les titres « romains » et les ordres militaro-religieux, dont la présence ne peut être plus longuement tolérée sur nos terres et domaines, hormis pour ceux parmi eux qui nous prêterons allégeance pour les dits titres de noblesse.
  • Pour tous ceux qui sont ici cités ont porté atteinte aux intérêts et à l'intégrité du Royaume de France, nous les déclarons de surcroit ennemis du Royaume et les en bannissons.


    Ainsi nous frappons !

    Rédigée à Dijon la libérée le 18e de février 1461.









Code:
[quote][list][img]http://i45.servimg.com/u/f45/11/45/86/54/roieus10.png[/img]

[list][list][list][size=18]Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France [/size][/list][/list][/list][/list]
[list][list][size=14]À la Hérauderie de France,
À la Prévôté de France,
À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.[/size][/list][/list]


[b][i]Pour ce que certaines choses doivent et méritent d'être clarifiées, corrigées ou précisées, la présente déclaration annule et remplace notre déclaration de traitrises en date du 15 février 1461.[/i][/b]

[list][b][i]Ce jour, après moult tentatives de ramener certains à la raison nous sommes dans l’obligation de constater que notre bonté et notre patience furent vaines. Leur but n’étant que la discorde au sein d’un royaume de France qui n’aspire qu’à la paix, de ce fait, déclarons les belliqueux et séditieux suivants[/i][/b]


[list][*][b]Félons à la Couronne de France[/b],

[i]Pour avoir rompu leurs serment d'allégeance, failli à leurs devoirs de vassaux et nui à leur suzerain et à l'unité du Royaume en déclarant séparer les provinces vassales dont ils sont feudataires de la Couronne de France.[/i]

[list][*][b]Azilize[/b] d'Herbauge, Feudataire du Béarn,
[*][b]Rozenn.[/b] Caillavet, Feudataire de Gascogne,
[*][b]Riwenn [/b]de Castel Vilar de la Duranxie, Feudataire d'Armagnac et Comminges,
[*][b]Amellyne[/b] d'Angemont, Feudataire de Toulouse,[/list]
[i]Nous leurs nions dès lors toute prétention au trônes ducaux et comtaux du Béarn, de Gascogne, d'Armagnac et Comminges et de Toulouse, et incitons nos loyaux sujets de toutes ces provinces à désigner pour les représenter une autre personne de leur choix, dont nous serions enclin à accepter l'allégeance. [/i][/list]


[list][*][b]Félons à la Couronne de France[/b],

[i]Pour avoir rompu leur serment d'allégeance, failli à leurs devoirs de vassaux et nui à leur suzerain et à l'unité du Royaume, en soutenant la Croisade déclarée à la France par la Curie romaine et menant belliqueuses actions en nos provinces vassales du Sud et de Bourgogne, [/i]

[list][*][b]Namaycush[/b] Salmo Salar, Prince de Pontoise,
[*][b]Makcimus.[/b] de Kersak, Seigneur de Puiseux, [/list]
[i]Ils perdent ainsi toutes prétentions sur leurs fiefs en Ile de France. [/i][/list]


[list][*][b]Traitres à la Couronne de France[/b],

[i]Pour avoir fomenté et soutenu Croisade contre la Couronne de France, appelé et enjoint nos officiers, conseillers, vassaux et sujets à la sédition, usant de leurs charges spirituelles pour insuffler le vent de la discorde au sein de nos terres du Domaine Royal,[/i]

[list][*]Tibère de Plantagenêt dict [b]Rehael[/b], Archevêque métropolitain de Rouen,
[*][b]Vincent.diftain d'Embussy[/b], Archevêque métropolitain de Sens,
[*][b]Minlawa[/b] de Montfort, Evêque du Mans,[/list]
[i]Nous leur nions dès lors toute légitimité spirituelle sur nos terres et incitons nos loyaux sujets à ne plus se laisser bercer par leurs paroles soufflées par le Sans Nom et de se tourner vers tout clerc ayant véritablement à coeur de guider ses ouailles vers l'Amitié Artistotélicienne et la Paix.[/i][/list]


[list][*][b]Traitres à la Couronne de France[/b],

[i]Pour avoir soutenu et/ou pris les armes pour la Curie romaine dans la Croisade déclarée contre la couronne de France, portant ainsi le fer en nos provinces vassales contre nos loyaux sujets et féaux vassaux, semant les graines de la discorde en notre Royaume, [/i]

[list][*]Alexandre Olund dict [b]Alexandre908[/b],
[*]Roland Wallère dict [b]Wolfar[/b],
[*][b]Miguael_enguerrand[/b] de la Louveterie-Montfort,
[*][b]Theudbald[/b] de Malhuys,
[*][b]Alexandre*[/b] de Demessy-Montferrat,
[*][b]Istar.333[/b] de Demessy-Montferrat,
[*]Enguerrand Louis-Perceval de la Mirandole et de Dublith dict [b]Flex[/b],
[*][b]Felix_auguste[/b] de Chéroy,
[*][b]Vald[/b] de Flaynac,[/list]
[i]Nous les révoquons également céans de toute charge royale qu'ils pourraient encore détenir.[/i][/list]


[i][b][*] En conséquence, invitons nos vassaux à prendre en considération que ceux ici cités et qui sont par ailleurs leurs propres vassaux doivent, selon les coutumes et lois héraldiques royales, répondre devant nous des actes qu'ils ont commis.
[*] Item déclarons ne plus reconnaitre les titres « romains » et les ordres militaro-religieux, dont la présence ne peut être plus longuement tolérée sur nos terres et domaines, hormis pour ceux parmi eux qui nous prêterons allégeance pour les dits titres de noblesse.
[*]Pour tous ceux qui sont ici cités ont porté atteinte aux intérêts et à l'intégrité du Royaume de France, nous les déclarons de surcroit ennemis du Royaume et les en bannissons.


Ainsi nous frappons !

Rédigée à Dijon la libérée le 18e de février 1461. [/i][/b][/list]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]

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