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Annonces du Souverain.

Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


        À nos clercs loyalistes,
        Aux esprits féaux du Royaume de France,
        À l'ensemble de Nos sujets,
        À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.





L'Après Rome - Premières Fondations


Introduction - Aristotélicisme : critiques, mérites, et Église Aristotélicienne de France.

    Nous, Sa Majesté Eusaias de Blanc-Combaz, Roy de France et Souverain en son royaume tant par la Grâce du Tout-Puissant que par l'approbation de ses peuples,

    Attestons de la modération de nos principes au travers de la présente institution, qui nous vaudra toujours pour les uns d'être trop empli de religion, et pour les autres, jamais assez. Par delà Notre mort, certainement nombreux seront ceux qui à la suite de petites manœuvres de cardinaux menant à notre mise à l'index, se plairont à voir en Nous l'impie ou l'athée et en définitive, l'âme la moins religieuse qui soit, mais plus nombreux encore seront ceux qui chercheront à défendre l'Aristotélicisme du Roy Eusaias. Car aveuglé par la malveillance est celui qui ne saurait apercevoir en arrière-fond de Nos actes et de Notre pensée, la primauté que Nous avons toujours accordé à la tradition Aristotélicienne dans l'absolu de son humanisme, nous dirigeant toujours vers plus de bienveillance et de sympathie envers la religion dont Nous sommes pénétrés, comme en témoignent les suivantes dispositions & clarifications:


    De très nombreuses fois la religion Aristotélicienne s'est retrouvée sous le feu des critiques, mais Nous attestons que la France a toujours tout fait pour essayer, en parallèle, d'en dégager les mérites. C'est faire fort malhonnête procès contre la religion, que de rassembler dans un vaste ouvrage la longue énumération des méfaits que sur la France elle a indubitablement produit, si l'on ne s'efforce pas de faire de même pour les bienfaits dont elle l'a gratifiée. De la même manière, jugeons nous que c'est fort mal raisonner que d'affirmer qu'il incombe à Sa Majesté le Roy de faire croire en la religion, quand il lui appartient au contraire de la relativiser en un objet de connaissance et de la convertir en un système Aristotélicien qui émerge parmi d'autres systèmes religieux. C'est cette identité qui conjointement avec les clercs Aristotéliciens restés fidèles au Royaume, est et sera ici développée, définie, et établie, que certains esprits chagrins trouveront originale, mais qui s'inscrit dans la tradition de France et qui ne saurait désormais que marquer Notre temps. Il faut prendre au sérieux Notre volonté de remettre bon ordre à toute chose, car nous affirmons la nécessité d'écrire en politique lorsque nous voulons de la religion traiter en général, et de l'Aristotélicisme Romain en particulier. Cette attitude qui est Nôtre s'accompagne d'un regard qui ne vise à considérer que les rapports de l'Aristotélicisme à la société, à n’examiner les liens et les frontières entre les deux souverainetés, celle de l’Église et celle de l’État, que sous la perspective de l’utilité sociale, soit à l’aune du bien que l’on en tire dans l’état civil. C'est sur cette seule base que toutes les critiques que nous adressons à l'Aristotélicisme prennent sens, si l’on considère qu’elles participent des nombreux débats qui ont lieu en ce siècle sur des incompréhensions qui engagent les rapports entre l’Église et l’État tels que : la main-mise sur les édifices religieux, le célibat des prêtres, la nomination des archevêques et des évêques, les assemblées d'évêques, la noblesse et les biens du Clergé, la puissance coactive (temporelle & spirituelle) de l’Église, le mariage des réformés, la tolérance civile, etc. Faute d'avoir su les anticiper, le pouvoir Royal qu'aujourd'hui Nous incarnons, entend y répondre. Au travers de petites touches sensibles -car les Cardinaux le sont tant- voulons-Nous instaurer ici un système d'Église subtil qui ne saurait se réduire ni à la suprématie du politique sur la religion, ni à la supériorité du Concile de Nos évêques sur le Pape, qui nous est même, politiquement parlant, infiniment utile. Car, que deviendrions-nous dans cette nation turbulente, où il n’y a aucun évêque qui pense comme son voisin, s'il n'y avait un personnage central référent en matière spirituelle ?

    Enfin Nous reconnaissons de bon gré à l'Aristotélicisme d’avoir adouci la nature humaine et d’être opposée au despotisme dans son essence. Si la religion Aristotélicienne est éloignée de la pure tyrannie, c’est que la douceur étant si recommandée dans l’Écriture, elle s’oppose de façon méritoire à la colère illimitée avec laquelle le Seigneur se ferait justice et exercerait ses cruautés. Nous soulignons également son apport dans le domaine du droit, du gouvernement, et dans la guerre, car nous devons à l'Aristotélicisme un certain droit des gens, que la nature humaine ne saurait par elle-même assez reconnaître. Il n'y a dès lors aucune raison pour que de véritables Aristotéliciens ne puissent former ensemble un État viable. Les Hommes profondément pieux ont toujours été des sujets infiniment éclairés sur leurs devoirs, et qui ont très grand zèle de les remplir. Ils sont parfaitement à même de comprendre les droits de la défense naturelle de l'autorité de l’État, car plus ils croient devoir à la religion, plus ils pensent devoir à la patrie. Nous affirmons avec une inébranlable conviction que les principes de l'Aristotélicisme bien gravés dans le cœur, seront toujours infiniment plus fort que le faux honneur des monarchies dévoyées, que les fades vertus humaines des républiques, que les sacrements forcés ou contractés par intérêt, que la seule crainte qu'inspirent les États à l'autorité illégitime et despotique.

    La foy au coeur, ainsi Nous parlons.





    Ainsi, Nous, Eusaias de Blanc Combaz, Roy de France,
    Nous, clercs aristotéliciens, dans notre volonté de donner au Royaume de France un aristotélicisme fidèle aux préceptes divins et de donner aux français une spiritualité adaptée à leurs besoins, statuons:



I - Le Roy, le Royaume, la Religion.

    Le très Aristotélicien Roi de France, est Souverain par la grâce du Divin. Il est source de tous les Pouvoirs. Il puise son autorité du Créateur, tirant exemple de la vie des prophètes Aristote, Christos, des Archanges, et des Saints. Le Roy est garant de l'unité du royaume devant le Très Haut, et de par sa qualité de Lieutenant de Dieu, il lui plaît de considérer comme officielle & légitime la religion Aristotélicienne Universelle, Une et Indivisible, représentée dans le Royaume par l’Église Aristotélicienne de France. Elle seule dispose du droit de prosélytisme sans autre restriction que le respect des juridictions locales et royales, afin de répandre la bonne parole.


II - L'Église Aristotélicienne de France: présentation.

    Farouche est notre volonté de maintenir le Royaume de France à l'écart de toute ingérence politique voire disciplinaire du Pape de Rome représenté par la Curie Romaine, cette dernière tenant à se comporter avant tout comme un souverain étranger, et par conséquent suspectée d'aspirer à un pouvoir trop absolu et en tout cas rival de celui du Roy. Pour mettre ferme frein au danger que constituerait la soumission du Royaume de France à une autorité illégitime qui s'arrogerait sa Souveraineté ainsi qu'à l'instrumentalisation du serment de baptême des fidèles à des fins de conquêtes séculières, déclarons instituer présentement l’Église Aristotélicienne de France chargée de représenter le clergé de France et sa légitimité spirituelle au travers de son Assemblée, réunissant les clercs du Royaume :

    Elle recouvre plus spécifiquement:

    • - Les évêques du Concile général.
    • - Les prêtres des cures qui en dépendent.
    • - Le personnel des hôpitaux de l'Église de France.
    • - Le personnel des Universités de l'Église de France.



      a) Fonctionnement général


    Respectueuse de la papauté, l'Église Aristotélicienne de France dont le Souverain Roy de France est le chef incontesté, pose néanmoins certaines limites à la puissance du Souverain pontife en ce que le pouvoir de ses évêques réunis en Concile est plus grand que celui du Pape pour ce qui relève des affaires spirituelles du Royaume. Aussi, un cardinal romain ne peut prétendre à une charge Diocésaine ou Archidiocésaine sur le territoire du Domaine Royal et ne pourra intégrer le concile de l'Église Aristotélicienne de France au titre d'une telle charge occupée en France sur le territoire de nos provinces vassales. Au Concile de l’Église Aristotélicienne de France revient la charge de nommer les évêques du Royaume de France par le biais d'un vote, au terme duquel le Roy aura trois jours pour faire valoir, ou non, son droit de veto. Auquel cas, un nouveau vote sera relancé avec les candidats restants jusqu'à ce que la nomination soit effective ou que faute de candidats, la place demeure vacante. L'évêque nommé accepte alors de servir l’Église Aristotélicienne de France dans l'acceptation des termes de la présente institution. En échange de leur dévouement au Royaume et de la bonne tenue de leur mission spirituelle, Sa Majesté le Roy leur baille par Sa propre entremise ou celle de Ses vassaux, Sa protection afin d'assurer leur sécurité au sein de leur évêché afin qu'ils ne soient démis abusivement. Faute de quoi, leur protection dépend uniquement du bon vouloir des seigneurs.


      b) L'archevêque de Reims


    L'archevêque de Reims est, après le Monarque, le chef permanent de l'Église Aristotélicienne de France et de la communion des fidèles de France. Nommé par l'Assemblée des Evêques, il forme avec le souverain la tête bicéphale de l'Église Aristotélicienne de France comme solide garantie de stabilité. C'est à lui que revient le droit & le devoir de sacrer les Souverains du Royaume de France, légitimés par les urnes.


      c) Le Grand Aumônier de France


    La Grande Aumônerie de France est un Grand Office Royal, occupé par un ecclésiastique de l'Église de France d'un rang d'évêque ou d'archevêque. Il ne saurait en aucun cas être Cardinal. Le Grand Aumônier est le représentant du Roy auprès de tous clercs de l'Église Aristotélicienne. Son rôle est de faire la liaison entre Paris et les composantes ecclésiastiques du Royaume et d'ailleurs.

    Il dispose donc du droit de siéger au sein de la Curia Regis, du Conseil du Domaine Royal, du Conseil des Grands Feudataires, et de fait, du Concile Général de France. Le Grand Aumônier peut proposer un amendement sur toute décision du Concile Général de France en son nom ou au nom de l’administration royale. De part ses doubles devoirs, tant temporels que spirituels, le Grand Aumônier n’est pas soumis à la hiérarchie de l’église pour ses fonctions de Grand Aumônier. Il reste soumis à l'Assemblée des Evêques concernant son diocèse. Ces restrictions s’appliquent aussi aux membres de la Chapelle Royale.

    Pour le bon fonctionnement des institutions royales, des locaux seront ouverts à Paris selon les besoins, et les deux parties, à savoir les administrations de l'Église Aristotélicienne de France, des Églises Aristotéliciennes extérieures et l’administration royale s’engagent à participer activement aux travaux en vue de faire du royaume très aristotélicien de France un royaume juste, et de servir le Roi légitimement sacré de droit divin par l’Église Aristotélicienne de France.



      d) Le devoir de charité


    L'Église Aristotélicienne de France se donne pour mission première d’aider les plus démunis. Dans ce cadre, ses représentants devront autant que possible et de manière active participer aux actions de charité et coordonner leurs efforts avec les autorités municipales et provinciales pour aider les sujets du Royaume à accéder à la propriété, qui leur apportera le socle indispensable de respectabilité et d'autonomie à toute fondation d'une bonne famille de France à l’œil vif et à la joue dodue.


      e) Le devoir d'instruction et d'édification


    L'Église Aristotélicienne de France se donne pour mission secondaire de participer le plus activement possible à l’instruction du peuple en matière religieuse et par conséquent, de favoriser autant que faire se peut la vie religieuse au cœur de nos cités et de nos villages, car c'est sur la base trop souvent négligée des fidèles que se fonde une Église forte, d'amitié, de loyauté, et d'amour, et non sur le petit orgueil de ses sommités.


      f) Le devoir de funérailles.


    L'Église Aristotélicienne de France, enfin, s'attribue le devoir d'enterrer les corps des Françoys dans les cimetières de nos cités ou autres cimetières annexes, lorsque ceux-ci sont laissés à l'abandon ou lorsque les proches le lui demandent. Les clercs de l'Église Aristotélicienne de France le font, sans égard aucun à la réputation ou au statut des malheureux qu'ils enterrent. Pour chaque sujet du Royaume, les derniers sacrements sont un dû, afin qu'en paix et dans la dignité, ils soient remis au libre jugement de Dieu qui dans l'autre monde, scellera leur sort.



III - Des libertés de l’Église Aristotélicienne de France.

    Face à l'incapacité de l’Église de se réformer pour garantir le bien des peuples, Nous entendons ici fonder et définir les libertés de l’Église Aristotélicienne de France. Nous sommes parfaitement conscients de la dépendance politique que suppose pour l’Église l'application de ces libertés et du degré de servitude qu'elles impliquent pour l'Église Aristotélicienne de France puisque ces libertés sont exercées dans le but de maintenir l'autorité du Roy contre la juridiction ecclésiastique et ôter au Pape la force d'user abusivement de cette dernière, en ôtant aux ecclésiastiques le droit qu’ils ont sur les grands magistrats et les rois mêmes, en qualité de fidèles ; mais nous estimons que les clercs et la communauté des fidèles de France seraient bien plus asservis encore s'ils devaient être contraints d'accepter comme des lois toutes les collections d'abus et d'ingérences qui ont été placées sous l'autorité du droit canon et appliquées non comme l’Église l'entend, mais comme quelques uns l'ambitionnent via le caractère de totale irresponsabilité qui les a si souvent animés. Un Roy a des comptes à rendre à ses sujets ; quand un Cardinal estime n'avoir de compte à rendre à personne, tel est le fossé qui sépare nos visions respectives. Aussi, nous préférons sans conteste fonder ces libertés sur le droit naturel et en particulier sur le droit des gens, qui veut qu’une nation se gouverne par ses lois et n’ayant pas à être subjuguée, ne soit point soumise ni à l’égard du temporel, à une puissance étrangère ; ni, à l’égard du spirituel, tant sur la raison que sur droit divin, qui veut que l'Assemblée des Evêques de France soit au-dessus du Pape et donc de la Curie, puisqu'il n’est point de corps qui n’ait plus d’autorité tout entier que divisé.
    Devant les abus de pouvoir que nous avons constaté, devant les abus de l'utilisation de l'excommunication qui sert aujourd'hui de menace à tous les fidèles et de force de persuasion pour les Cardinaux, nous affirmons les six libertés fondamentales de l'Église Aristotélicienne de France :



    • - Récusons la légitimité des guerres temporelles que livre le Pape contre les Monarchies de Droit Divin.
    • - Validons la nécessité des combats royaux et nationaux contre toute agression de Rome.
    • - Annulons la validité de toute excommunication pontificale.
    • - Proclamons la supériorité de l'Assemblée des Evêques de France sur la papauté.
    • - Refusons au pouvoir pontifical la revendication d'une quelconque origine divine.
    • - Revendiquons le droit inaliénable pour le Roy de France de décider si l'organisation de l’Église dans le Royaume est conforme aux règles canoniques, en concertation avec l'Archevêque de Reims et le Grand Aumônier de France.


IV - Des privilèges de l’Église Aristotélicienne de France .

    Nous ne sommes point entêté des privilèges ecclésiastiques, mais nous tenons à ce qu’aucune forme d'injustice ne soit faite aux clercs de l’ Église Aristotélicienne de France en Notre royaume. Nous voulons leur marquer pour une fois les termes de leur juridiction, à condition qu'ils soient réciproques, et que nul dans le Royaume ne promulgue des lois contre eux comme ils ne promulgueront pas de lois contre Nous ; sans cela, il faudra bien que cette juridiction s’anéantisse, car de nouveaux arrêts signés de Notre main la retrancheront toujours.

    Nous avons recherché une forme d'Église de France modérée qui ne conduise pas inéluctablement à la subordination de l’Église à l’État. Il faut pour ce faire résoudre la délicate équation d’un maintien de l’union des intérêts des deux souverainetés sur la base d’une distinction fondamentale entre le domaine temporel et la puissance spirituelle. Roy de France par la grâce de Dieu, Nous n’avons jamais prétendu faire céder les intérêts de la religion aux intérêts politiques, mais les unir : or pour les unir, il faut que chacun les connaisse et s'en imprègne. La religion Aristotélicienne, qui ordonne aux hommes de s’aimer, ne peut que désirer que chaque peuple ait les meilleures lois politiques et les meilleures lois civiles, en ce qu’elles sont, après les Écritures, le plus grand bien que les hommes puissent donner et recevoir. L'alliance de l’Église et de l’État, tel est le but. Cette complémentarité des domaines ne signifie pas leur indétermination, bien au contraire. Mais elle suppose leur délimitation. Cette grande distinction est la base sur laquelle repose la tranquillité des peuples, qui est fondée non seulement sur la Religion, mais également sur la raison et la nature, qui veulent que des choses réellement séparées, tel le temporel et le spirituel, et qui ne peuvent subsister que séparées, ne soient ainsi jamais confondues.



      a) De la Justice.

    Les évêques de l'Assemblée de France sont considérés comme les princes de l’Église de France, et par ce statut sont exempts de la justice ordinaire. Seule la Haute Cour de Justice peut juger les Évêques de l'Assemblée concernant les infractions dictes temporelles. Les Cardinaux, en tant que représentants étrangers, seront désormais soumis comme tout individu à nos justices locales en cas d'accusation pesant sur eux.


      b) De l'Armée.

    Toute armée déclarant agir pour une puissance étrangère sur le territoire du Royaume de France sans qu'elle ne soit autorisée par la Couronne à y pénétrer est considérée comme ennemies de la Couronne, y compris celles mandatées par Rome.

    Toute armée de l' Église Aristotélicienne de France est régie par un Grand Commandeur chargé d'en coordonner les forces armées. Seules les Vidamies de France sont autorisées au sein du royaume et doivent rendre compte de leurs effectifs et de leurs activités à l'Archevêque de Reims. Les Vidames de France sont sous l'autorité exclusive de leur archevêque de France tel que l'impose le découpage géographique ecclésiastique et peuvent disposer sous leur commandement d'autant de soldats qu'ils le désirent. Il relève du rôle de l'Archevêque de Reims de s'assurer de la collaboration de ses Vidames avec leur Archevêque respectif afin qu'ils travaillent de concert avec lui et répondre du mieux possible à ses demandes dans le domaine de la sécurité et du militaire. A l'inverse, l'Archevêque de Reims s'assure que les Archevêques collaborent avec leur Vidame respectif, et le laissent agir concernant les domaines qui lui sont dévolus. En cas de manquement constaté du Vidame, l' Archevêque de Reims est habilité à prendre des sanctions. En cas de manquement constaté de l'Archevêque, l' Archevêque de Reims s'en doit référer au Roy de France.

    Une Vidamie de France peut ériger une place forte par province mais comme toute organisation militaire reconnue, elle sera soumise aux lois royales et locales en la matière. Seuls les Ordres Militaires Religieux reconnaissant l'Église Aristotélicienne de France par les présents termes pourront être reconnus par le Grand Écuyer de France. Il seront dès lors autorisés sur le territoire du Domaine Royal mais ne seront en aucun cas habilités à entreprendre une quelconque action contre les intérêts de la Couronne. La construction de places fortes pour les ordres religieux armés sera soumise à l’autorisation ducale ou comtale.

    Chaque évêque de France en ce qu'il est le représentant de l'alliance de la foi et du roy de France reçoit lors de son intronisation des mains du Monarque ou de son substitut, l'épée de Saphir et d'Améthyste, dont il est autorisé à user dans le seul cadre de la défense du Royaume et de ses sujets.



      c) Des sacrements

    Les mariages Aristotéliciens célébrés par l’Église Aristotélicienne de France sont reconnus par Nos institutions comme valides en toute circonstance. Les mariages Aristotéliciens célébrés par l’administration Romaine sont reconnus comme valides par Nos institutions pour peu qu'ils n'aient pas été célébrés par des traîtres à la Couronne ou par des ennemis de la France dont les noms sont flétris à jamais, sans que l'invalidité des sacrements ne subisse d'effet rétro-actif à compter de la prononciation de la sentence. L'Église Aristotélicienne dans son ensemble est donc responsable de la bonne tenue de ses registres. La rupture des liens conjugaux répond aux mêmes critères d'habilitation.


      d) De la noblesse & de la transmission.

    Évêque de France devient une charge anoblissante. La charge d'évêque donne droit à l'octroi d'une Vicomté rattachée au plus proche de la capitale de l'évêché. La charge d'archevêque donne droit à l'octroi d'un Comté ou d'un Duché au plus proche de la capitale de l'archevêché. Ces octrois sont conditionnés à la charge. Qui abandonne la charge abandonne les terres, dont jouira son successeur.

    Pour ce qui est des terres octroyées sur le Royaume de France à des clercs, seule la noblesse du clergé Aristotélicien de France est reconnue. Ainsi, nul ne saurait avoir été ordonné et se revendiquer noble du Royaume sans appartenir à l’Église Aristotélicienne de France. Le Roy déconseille aux clercs du clergé Aristotélicien de France de se marier, mais ne prendra aucune mesure de rétorsion si jamais ils décidaient de fonder une famille légitime. Toute transmission de fief et biens nobiliaires leur est cependant prohibée.



      e) De l'appui financier.

    Les artisans désireux de suivre des études en voie de l’Église pour venir renforcer les rangs de l'Église Aristotélicienne de France sont en droit de demander aux provinces du Domaine Royal des prêts sans intérêt afin de pouvoir financer leurs coûteuses études théologiques (passage niveau 3). Ce prêt sera garanti par le pouvoir royal et par l'évêque qui le recommande. Les termes du contrat qui sera passé entre le prêteur et l’emprunteur seront fixés par écrit. Ils engageront le bénéficiaire pour une durée minimale de 3 mois, après la fin du remboursement, à remplir ses devoirs pour la paroisse d’affectation en tant que curé, ou pour le diocèse en tant que Évêque ou archevêque. En cas d’empêchement exceptionnel l'Archevêque de Reims devra veiller à faire rembourser le prêt quitte à aller camper sur les routes pour faire l'aumône, armé d'un bon gourdin pour attester de la vigueur de sa conviction.


      f) Du mariage.

    Sur ce point également Nos réflexions ne portent que sur la trop grande exclusion du célibat, et non sur le célibat même. Nous conseillons aux prêtres Aristotéliciens de France le célibat, mais n'en feront pas jamais un précepte qui implique des lois pour le faire observer. Car ce fut avec très grande raison que les papes firent tant d’efforts pour établir le célibat des prêtres. Sans cela, jamais leur puissance ne serait montée si haut, et jamais elle n’aurait duré si chaque prêtre avait tenu à une famille et s’ils y avaient tenu eux-mêmes. Mais nous avons pu voir que cet État clérical qui les distingue du reste de la société ne les empêche nullement de se mêler des affaires séculières. Nous nous étonnons donc que dans l’Église Aristotélicienne Romaine, où l’on a défendu le mariage aux prêtres afin qu’ils ne se mêlent pas des affaires séculières, ils s’en mêlent plus encore que toute autre religion qui l'autorise. Ainsi, serons-Nous à l'égard des prêtres Aristotéliciens de France mariés toujours suspicieux, mais à jamais cléments.



V - Aristotélicisme et politique.

    Le rapport entre l'Aristotélicisme et la politique ne saurait jamais être direct, mais analogique et complémentaire. Il implique ainsi tout à la fois une séparation entre les deux sphères autonomes, la spirituelle et la temporelle, et une concordance vers un but social à triple facette:

    • La paix
    • Le bien commun
    • L’amour de la patrie


    L'Aristotélicisme ne doit pas avoir de force coactive. Il faut à tout prix éviter les lois pénales en faits de religion. Nous insistons fortement sur la différence entre les préceptes propres aux lois humaines et les conseils propres aux religions. On ne doit point statuer par les lois divines ce qui doit l’être par les lois humaines, ni régler par les lois humaines ce qui doit l’être par les lois divines. Presque tous les reproches que nous formulons à l'égard de l'Aristotélicisme contiennent une dénonciation de la confusion entre la puissance ecclésiastique et l’autorité séculière. C’est précisément lorsque la religion est utilisée comme prétexte par des intérêts humains qu’elle enfante, selon Nous, les plus grands maux, car toute maxime de religion devient très pernicieuse dès lors qu'on la fait entrer dans la politique humaine. C'est la raison pour laquelle tout acte d’apostasie d’un sujet quel qu'il soit, noble ou roturier, ou une éventuelle sentence d'excommunication prononcée à l'encontre de l'un d'entre eux, ne saurait suffire à le frapper en matière pénale ou héraldique. C'est également la raison pour laquelle nul ne saurait dénier à Sa Majesté le Roy le bon et libre droit de recevoir les allégeances des élus que lui mandate Son peuple sans que Ses convictions religieuses ne servent de coercition infâme à la fatalité de sa révocation. Les pairs de France, les Grands Officiers, le Dauphin, les Altesses Royales, de part leur titre, tout comme la famille du Roy de France, ne pourront être excommuniés que par le consentement du Roy et du Saint Père lui-même. Le Roy de France reconnaît les Concordats signés avec l’Église Romaine comme des Traités et laisse libre les provinces du Royaume de les faire appliquer localement, mais jamais la Couronne et les Institutions n'en reconnaîtront les modalités ayant prise sur le temporel, et notamment celles concernant la déclaration d'inéligibilité d'un sujet ne croyant "pas comme il faut". Peuple qui élit par les urnes un Homme inéligible, illégitime de fait non l'Homme, mais l'article de la loi qui l'a ainsi sanctionné.

    Symptôme par excellence de la confusion du temporel et du spirituel, le prétexte de dévotion est une maladie du corps qui donne à l’âme une folie dont le caractère est d’être la plus incurable de toutes. C’est ce prétexte qui, par un malentendu venimeux, justifie la politique des seigneurs et presque tous les vices qu’ils veulent, comme l’avarice, l’orgueil, la soif du bien d’autrui, l’attrition, la vengeance : il ne leur en coûte presque rien pourvu qu'ils se revendiquent dévots, prêts à toutes les extrémités démoniaques au nom du Rome, de la Foy, de Dieu, de la Vérité, de la Justice, des Anges, ou de Notre cul sur la commode. De même, affirmons qu'il est particulièrement dangereux qu’un seigneur mette les affaires de son État entre les mains de son confesseur. On sait combien la France a eu à trembler face aux Cardinaux qui excellent dans la confusion des affaires du siècle et des devoirs de la conscience. Les seigneurs qui en font leurs confesseurs font bien mal : car en croyant bien faire, ils répandent un esprit de servitude dans la nation. D’ailleurs, chacun des corps constitués ayant des intérêts particuliers à faire valoir, la confession, où les confesseurs traitent toujours entre le seigneur et eux, leur donne la commodité d’être délateurs et de perdre qui ils veulent, sans que le repenti ne puisse se défendre.


    Le crime de scepticisme en religion et d'athéisme est reconnu comme trouble à l’ordre public, car constitue un crime de lèse-majesté divine et humaine, une atteinte portée contre les fondations du pouvoir royal. Il sera jugé par un tribunal religieux qui pourra appliquer différentes punitions propres aux tribunaux religieux aristotéliciens. En cas de récidive, le fautif sera passible de jugement au-devant de l'autorité temporelle. A charge pour les athées d’agir de manière à ne pas enfreindre la dite tolérance royale. Le seul crime d’Hérésie en revanche ne saurait plus être reconnu à lui seul comme trouble à l’ordre public, mais peut toujours être jugé par un tribunal mandaté par l'Assemblée des Evêques du moment qu'elle s'abstient de toute application pénale. En cas de refus d'appliquer la peine décidée par le tribunal ecclésiastique de l'Église de France, le condamné pourra être déclaré hérétique à la religion d’État.


VI - La Réforme aristotélicienne religion infidèle, mais religion amie du royaume.

    Nous comprenons la nette préférence de certains de Nos sujets pour la religion Aristotélicienne Réformée, qui a toujours su se montrer plus favorable au développement de la société, au commerce, aux manufactures, à l’agriculture et au peuplement que l'Aristotélicisme de tradition Romaine qui encourage l’idéal d’une vie tranquille, la méditation, et le célibat de ses prêtres, pendant que ses cardinaux font main basse sur les leviers de l'autorité séculière de la nation. Nous osons le dire: dans l’état présent où nous avons trouvé la France, il n'était pas possible que la religion Aristotélicienne Romaine y subsiste cinq ans de plus si nous n'avions su prendre les mesures destinées à protéger le Royaume des insupportables outrances d'une hiérarchie qui amenaient autant à sa perte qu'à la nôtre. Nul dans cette disposition, qu'il soit Aristotélicien de France ou Réformé, ne saurait y voir autre chose que la conservation de la dominance de l'Aristotélicisme de France en tant que religion dans la monarchie, puisque de toute façon, nous considérons la religion Aristotélicienne de France comme convenant mieux à une monarchie pour ce qu'elle se trouve dotée d'un chef et la religion Aristotélicienne Réformée mieux adaptée à une république, pour ce qu'elle n'en compte pas. En tant que Roy de France et dans la tradition de nos prédécesseurs, Nous nous engageons à soutenir la religion Aristotélicienne Universelle, Une et Indivisible, autant que nous défendons les libertés par nous accordées à l’Église Aristotélicienne de France qui sont avantageuses pour la France, fille aînée de l’Église. C'est parce que nous avons conscience qu'une domination de la religion réformée sur la France serait fatale à toute confession, que nous nous garderons bien de lui octroyer plus d'avantages que la nécessité de l'harmonie civile ne lui en doit ; mais jamais moins non plus.

    A dater du moment où elle concède que la religion du Roy est la religion de l’État, et parce que son hérésie est limitée, la Réforme Aristotélicienne, est dite religion infidèle mais protégée par le Royaume. Et bien que tolérée par le Roy elle demeure soumise à une législation spécifique développée ici.

    Les Aristotéliciens Réformés ont droit à l'accession de la noblesse comme tout sujet laïc de France, fors les convaincus d'athéisme que nous bannirons de notre sol par tous les moyens de l’État, et en tant que membres d'une religion amie du Royaume, sont autorisés à transmettre leurs titres par le sang, pour peu que leur baptême et leur sacrement soient valides. Pour être valide, le baptême peut avoir été reçu par l'Église Aristotélicienne de France. Autrement, un baptême ou un mariage Aristotélicien Réformé, doit être célébré en présence d'un Secrétaire d’État qui par sa signature, s'en portera témoin et le validera au-devant de nos institutions sans que nulle sanction ne puisse être prise à son encontre. Aucune rupture des liens conjugaux réformés n'est en revanche envisageable du vivant des époux.

    Les prêches des lecteurs ou des pasteurs réformés sont interdits au sein des cités de notre Royaume, mais pourront se tenir en dehors (IG: Hors de la Ville) sans que nul n'y trouve rien à redire. La Réforme Aristotélicienne peut bénéficier de l'octroi de places fortes où la liberté de culte leur est garantie, si le Roy, le Régnant de la province, et le Maire de la Ville, s'entendent pour le lui octroyer. La seule volonté du Roy suffit en revanche à le leur reprendre.

    Les autres mouvements à caractère spirituel (Catharisme, Averroïsme intégral, Spinozisme, Raymond-Barrisme, etc.) peuvent être pratiqués de façon privée et personnelle à partir du moment où ils respectent les valeurs fondamentales aristotéliciennes et ne font pas acte de prosélytisme. Le non respect de ces recommandations sera considéré comme une provocation portant trouble à l'ordre public et pouvant conduire à des poursuites au terme desquelles, si elles aboutissent, pourra être conseillé un internement forcé en Nos hospices de l'Église Aristotélicienne de France pour une rééducation de choc(s).


Signé le vingt-deuxième jour d"avril de l'an quatorze cent soixante et un.




Daniel Marques Henriques


Asphodelle di Césarini



Orcus di Césarini



Clodeweck de Montfort-Toxandrie



Verty de Montfort-Toxandrie



Verhena de Monfort-Toxandrie



Waleran de Monfort-Toxandrie


Eusaias Blanc Combaz,
Très Redouté et très Puissant Roi Aristotélicien de France.





_________________
Eusaias
Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]


[list][list][list][size=16]À nos clercs loyalistes,
Aux esprits féaux du Royaume de France,
À l'ensemble de Nos sujets,
À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.[/size]
[/list][/list][/list]



[size=18][i][b][color=darkblue]L'Après Rome - Premières Fondations[/color][/b][/i][/size]


[b][color=darkred]Introduction - Aristotélicisme : critiques, mérites, et Église Aristotélicienne de France.[/color][/b]

[list][i][b]Nous, Sa Majesté Eusaias de Blanc-Combaz, Roy de France et Souverain en son royaume tant par la Grâce du Tout-Puissant que par l'approbation de ses peuples,

Attestons de la modération de nos principes au travers de la présente institution, qui nous vaudra toujours pour les uns d'être trop empli de religion, et pour les autres, jamais assez. Par delà Notre mort, certainement nombreux seront ceux qui à la suite de petites manœuvres de cardinaux menant à notre mise à l'index, se plairont à voir en Nous l'impie ou l'athée et en définitive, l'âme la moins religieuse qui soit, mais plus nombreux encore seront ceux qui chercheront à défendre l'Aristotélicisme du Roy Eusaias. Car aveuglé par la malveillance est celui qui ne saurait apercevoir en arrière-fond de Nos actes et de Notre pensée, la primauté que Nous avons toujours accordé à la tradition Aristotélicienne dans l'absolu de son humanisme, nous dirigeant toujours vers plus de bienveillance et de sympathie envers la religion dont Nous sommes pénétrés, comme en témoignent les suivantes dispositions & clarifications:[/b][/i]

[i][b]De très nombreuses fois la religion Aristotélicienne s'est retrouvée sous le feu des critiques, mais Nous attestons que la France a toujours tout fait pour essayer, en parallèle, d'en dégager les mérites. C'est faire fort malhonnête procès contre la religion, que de rassembler dans un vaste ouvrage la longue énumération des méfaits que sur la France elle a indubitablement produit, si l'on ne s'efforce pas de faire de même pour les bienfaits dont elle l'a gratifiée. De la même manière, jugeons nous que c'est fort mal raisonner que d'affirmer qu'il incombe à Sa Majesté le Roy de faire croire en la religion, quand il lui appartient au contraire de la relativiser en un objet de connaissance et de la convertir en un système Aristotélicien qui émerge parmi d'autres systèmes religieux. C'est cette identité qui conjointement avec les clercs Aristotéliciens restés fidèles au Royaume, est et sera ici développée, définie, et établie, que certains esprits chagrins trouveront originale, mais qui s'inscrit dans la tradition de France et qui ne saurait désormais que marquer Notre temps. Il faut prendre au sérieux Notre volonté de remettre bon ordre à toute chose, car nous affirmons la nécessité d'écrire en politique lorsque nous voulons de la religion traiter en général, et de l'Aristotélicisme Romain en particulier. Cette attitude qui est Nôtre s'accompagne d'un regard qui ne vise à considérer que les rapports de l'Aristotélicisme à la société, à n’examiner les liens et les frontières entre les deux souverainetés, celle de l’Église et celle de l’État, que sous la perspective de l’utilité sociale, soit à l’aune du bien que l’on en tire dans l’état civil. C'est sur cette seule base que toutes les critiques que nous adressons à l'Aristotélicisme prennent sens, si l’on considère qu’elles participent des nombreux débats qui ont lieu en ce siècle sur des incompréhensions qui engagent les rapports entre l’Église et l’État tels que : la main-mise sur les édifices religieux, le célibat des prêtres, la nomination des archevêques et des évêques, les assemblées d'évêques, la noblesse et les biens du Clergé, la puissance coactive (temporelle & spirituelle) de l’Église, le mariage des réformés, la tolérance civile, etc. Faute d'avoir su les anticiper, le pouvoir Royal qu'aujourd'hui Nous incarnons, entend y répondre. Au travers de petites touches sensibles -car les Cardinaux le sont tant- voulons-Nous instaurer ici un système d'Église subtil qui ne saurait se réduire ni à la suprématie du politique sur la religion, ni à la supériorité du Concile de Nos évêques sur le Pape, qui nous est même, politiquement parlant, infiniment utile. Car, que deviendrions-nous dans cette nation turbulente, où il n’y a aucun évêque qui pense comme son voisin, s'il n'y avait un personnage central référent en matière spirituelle ?

Enfin Nous reconnaissons de bon gré à l'Aristotélicisme d’avoir adouci la nature humaine et d’être opposée au despotisme dans son essence. Si la religion Aristotélicienne est éloignée de la pure tyrannie, c’est que la douceur étant si recommandée dans l’Écriture, elle s’oppose de façon méritoire à la colère illimitée avec laquelle le Seigneur se ferait justice et exercerait ses cruautés. Nous soulignons  également son apport dans le domaine du droit, du gouvernement, et dans la guerre, car  nous devons à l'Aristotélicisme un certain droit des gens, que la nature humaine ne saurait par elle-même assez reconnaître. Il n'y a dès lors aucune raison pour que de véritables Aristotéliciens ne puissent former ensemble un État viable. Les Hommes profondément pieux ont toujours été des sujets infiniment éclairés sur leurs devoirs, et qui ont très grand zèle de les remplir. Ils sont parfaitement à même de comprendre les droits de la défense naturelle de l'autorité de l’État, car plus ils croient devoir à la religion, plus ils pensent devoir à la patrie. Nous affirmons avec une inébranlable conviction que les principes de l'Aristotélicisme bien gravés dans le cœur, seront toujours infiniment plus fort que le faux honneur des monarchies dévoyées, que les fades vertus humaines des républiques, que les sacrements forcés ou contractés par intérêt, que la seule crainte qu'inspirent les États à l'autorité illégitime et despotique.

La foy au coeur, ainsi Nous parlons.[/b][/i][/list]




[list][b][i]Ainsi, Nous, Eusaias de Blanc Combaz, Roy de France,
Nous, clercs aristotéliciens, dans notre volonté de donner au Royaume de France un aristotélicisme fidèle aux préceptes divins et de donner aux français une spiritualité adaptée à leurs besoins, statuons:[/i][/b][/list]


[color=brown][b]I - Le Roy, le Royaume, la Religion. [/b][/color]

[list][b][i]Le très Aristotélicien Roi de France, est Souverain par la grâce du Divin. Il est source de tous les Pouvoirs. Il puise son autorité du Créateur, tirant exemple de la vie des prophètes Aristote, Christos, des Archanges, et des Saints. Le Roy est garant de l'unité du royaume devant le Très Haut, et de par sa qualité de Lieutenant de Dieu, il lui plaît de considérer comme officielle & légitime la religion Aristotélicienne Universelle, Une et Indivisible, représentée dans le Royaume par l’Église Aristotélicienne de France. Elle seule dispose du droit de prosélytisme sans autre restriction que le respect des juridictions locales et royales, afin de répandre la bonne parole. [/i][/b][/list]

[color=brown][b]II - L'Église Aristotélicienne de France: présentation.[/b][/color]
 
[list][b][i]Farouche est notre volonté de maintenir le Royaume de France à l'écart de toute ingérence politique voire disciplinaire du Pape de Rome représenté par la Curie Romaine, cette dernière tenant à se comporter avant tout comme un souverain étranger, et par conséquent suspectée d'aspirer à un pouvoir trop absolu et en tout cas rival de celui du Roy. Pour mettre ferme frein au danger que constituerait la soumission du Royaume de France à une autorité illégitime qui s'arrogerait sa Souveraineté ainsi qu'à l'instrumentalisation du serment de baptême des fidèles à des fins de conquêtes séculières, déclarons instituer présentement l’Église Aristotélicienne de France chargée de représenter le clergé de France et sa légitimité spirituelle au travers de son Assemblée, réunissant les clercs du Royaume :

Elle recouvre plus spécifiquement:[/i][/b]
[list][*][b][i]- Les évêques du Concile général.[/i][/b]
[*][b][i]- Les prêtres des cures qui en dépendent.[/i][/b]
[*][b][i]- Le personnel des hôpitaux de l'Église de France.[/i][/b] 
[*][b][i]- Le personnel des Universités de l'Église de France.[/i][/b][/list]


[list][color=brown][i][u][b]a) Fonctionnement général[/b][/i][/u][/color][/list]

[b][i]Respectueuse de la papauté, l'Église Aristotélicienne de France dont le Souverain Roy de France est le chef incontesté, pose néanmoins certaines limites à la puissance du Souverain pontife en ce que le pouvoir de ses évêques réunis en Concile est plus grand que celui du Pape pour ce qui relève des affaires spirituelles du Royaume. Aussi, un cardinal romain ne peut prétendre à une charge Diocésaine ou Archidiocésaine sur le territoire du Domaine Royal et ne pourra intégrer le concile de l'Église Aristotélicienne de France au titre d'une telle charge occupée en France sur le territoire de nos provinces vassales. Au Concile de l’Église Aristotélicienne de France revient la charge de nommer les évêques du Royaume de France par le biais d'un vote, au terme duquel le Roy aura trois jours pour faire valoir, ou non, son droit de veto. Auquel cas, un nouveau vote sera relancé avec les candidats restants jusqu'à ce que la nomination soit effective ou que faute de candidats, la place demeure vacante. L'évêque nommé accepte alors de servir l’Église Aristotélicienne de France dans l'acceptation des termes de la présente institution. En échange de leur dévouement au Royaume et de la bonne tenue de leur mission spirituelle, Sa Majesté le Roy leur baille par Sa propre entremise ou celle de Ses vassaux, Sa protection afin d'assurer leur sécurité au sein de leur évêché afin qu'ils ne soient démis abusivement. Faute de quoi, leur protection dépend uniquement du bon vouloir des seigneurs.[/b][/i]


[list][color=brown][i][u][b]b) L'archevêque de Reims[/b][/u][/i][/color][/list]

[b][i]L'archevêque de Reims est, après le Monarque, le chef permanent de l'Église Aristotélicienne de France et de la communion des fidèles de France. Nommé par l'Assemblée des Evêques, il forme avec le souverain la tête bicéphale de l'Église Aristotélicienne de France comme solide garantie de stabilité. C'est à lui que revient le droit & le devoir de sacrer les Souverains du Royaume de France, légitimés par les urnes.[/b][/i]


[list][color=brown][i][u][b]c) Le Grand Aumônier de France[/b][/u][/i][/color][/list]

[b][i]La Grande Aumônerie de France est un Grand Office Royal, occupé par un ecclésiastique de l'Église de France d'un rang d'évêque ou d'archevêque. Il ne saurait en aucun cas être Cardinal. Le Grand Aumônier est le représentant du Roy auprès de tous clercs de l'Église Aristotélicienne. Son rôle est de faire la liaison entre Paris et les composantes ecclésiastiques du Royaume et d'ailleurs. 

Il dispose donc du droit de siéger au sein de la Curia Regis, du Conseil du Domaine Royal, du Conseil des Grands Feudataires, et de fait, du Concile Général de France. Le Grand Aumônier peut proposer un amendement sur toute décision du Concile Général de France en son nom ou au nom de l’administration royale. De part ses doubles devoirs, tant temporels que spirituels, le Grand Aumônier n’est pas soumis à la hiérarchie de l’église pour ses fonctions de Grand Aumônier. Il reste soumis à l'Assemblée des Evêques concernant son diocèse. Ces restrictions s’appliquent aussi aux membres de la Chapelle Royale. 

Pour le bon fonctionnement des institutions royales, des locaux seront ouverts à Paris selon les besoins, et les deux parties, à savoir les administrations de l'Église Aristotélicienne de France, des Églises Aristotéliciennes extérieures et l’administration royale s’engagent à participer activement aux travaux en vue de faire du royaume très aristotélicien de France un royaume juste, et de servir le Roi légitimement sacré de droit divin par l’Église Aristotélicienne de France.[/b][/i]


[list][color=brown][i][u][b]d) Le devoir de charité [/b][/u][/i][/color][/list]

[b][i]L'Église Aristotélicienne de France se donne pour mission première d’aider les plus démunis. Dans ce cadre, ses représentants devront autant que possible et de manière active participer aux actions de charité et coordonner leurs efforts avec les autorités municipales et provinciales pour aider les sujets du Royaume à accéder à la propriété, qui leur apportera le socle indispensable de respectabilité et d'autonomie à toute fondation d'une bonne famille de France à l’œil vif et à la joue dodue.[/b][/i]


[list][color=brown][i][u][b]e) Le devoir d'instruction et d'édification [/b][/u][/i][/color][/list]

[b][i]L'Église Aristotélicienne de France se donne pour mission secondaire de participer le plus activement possible à l’instruction du peuple en matière religieuse et par conséquent, de favoriser autant que faire se peut la vie religieuse au cœur de nos cités et de nos villages, car c'est sur la base trop souvent négligée des fidèles que se fonde une Église forte, d'amitié, de loyauté, et d'amour, et non sur le petit orgueil de ses sommités.[/b][/i]


[list][color=brown][i][u][b]f) Le devoir de funérailles. [/b][/u][/i][/color][/list]

[b][i]L'Église Aristotélicienne de France, enfin, s'attribue le devoir d'enterrer les corps des Françoys dans les cimetières de nos cités ou autres cimetières annexes, lorsque ceux-ci sont laissés à l'abandon ou lorsque les proches le lui demandent. Les clercs de l'Église Aristotélicienne de France le font, sans égard aucun à la réputation ou au statut des malheureux qu'ils enterrent. Pour chaque sujet du Royaume, les derniers sacrements sont un dû, afin qu'en paix et dans la dignité, ils soient remis au libre jugement de Dieu qui dans l'autre monde, scellera leur sort. [/i][/b][/list]


[color=brown][b]III - Des libertés de l’Église Aristotélicienne de France.  [/b][/color]

[list][b][i]Face à l'incapacité de l’Église de se réformer pour garantir le bien des peuples, Nous entendons ici fonder et définir les libertés de l’Église Aristotélicienne de France. Nous sommes parfaitement conscients de la dépendance politique que suppose pour l’Église l'application de ces libertés et du degré de servitude qu'elles impliquent pour l'Église Aristotélicienne de France puisque ces libertés sont exercées dans le but de maintenir l'autorité du Roy contre la juridiction ecclésiastique et ôter au Pape la force d'user abusivement de cette dernière, en ôtant aux ecclésiastiques le droit qu’ils ont sur les grands magistrats et les rois mêmes, en qualité de fidèles ; mais nous estimons que les clercs et la communauté des fidèles de France seraient bien plus asservis encore s'ils devaient être contraints d'accepter comme des lois toutes les collections d'abus et d'ingérences qui ont été placées sous l'autorité du droit canon et appliquées non comme l’Église l'entend, mais comme quelques uns l'ambitionnent via le caractère de totale irresponsabilité qui les a si souvent animés. Un Roy a des comptes à rendre à ses sujets ; quand un Cardinal estime n'avoir de compte à rendre à personne, tel est le fossé qui sépare nos visions respectives. Aussi, nous préférons sans conteste fonder ces libertés sur le droit naturel et en particulier sur le droit des gens, qui veut qu’une nation se gouverne par ses lois et n’ayant pas à être subjuguée, ne soit point soumise ni à l’égard du temporel, à une puissance étrangère ; ni, à l’égard du spirituel, tant sur la raison que sur droit divin, qui veut que l'Assemblée des Evêques de France soit au-dessus du Pape et donc de la Curie, puisqu'il n’est point de corps qui n’ait plus d’autorité tout entier que divisé.
Devant les abus de pouvoir que nous avons constaté, devant les abus de l'utilisation de l'excommunication qui sert aujourd'hui de menace à tous les fidèles et de force de persuasion pour les Cardinaux, nous affirmons les six libertés fondamentales de l'Église Aristotélicienne de France :[/b][/i]


[list][*][b][i]- Récusons la légitimité des guerres temporelles que livre le Pape contre les Monarchies de Droit Divin.[/i][/b]
[*][b][i]- Validons la nécessité des combats royaux et nationaux contre toute agression de Rome.[/i][/b]
[*][b][i]- Annulons la validité de toute excommunication pontificale.[/i][/b]
[*][b][i]- Proclamons la supériorité de l'Assemblée des Evêques de France sur la papauté.[/i][/b]
[*][b][i]- Refusons au pouvoir pontifical la revendication d'une quelconque origine divine.[/i][/b]
[*][b][i]- Revendiquons le droit inaliénable pour le Roy de France de décider si l'organisation de l’Église dans le Royaume est conforme aux règles canoniques, en concertation avec l'Archevêque de Reims et le Grand Aumônier de France.[/i][/b][/list][/list]

[b][color=brown]IV - Des privilèges de l’Église Aristotélicienne de France . [/color][/b]

[list][i][b]Nous ne sommes point entêté des privilèges ecclésiastiques, mais nous tenons à ce qu’aucune forme d'injustice ne soit faite aux clercs de l’ Église Aristotélicienne de France en Notre royaume. Nous voulons leur marquer pour une fois les termes de leur juridiction, à condition qu'ils soient réciproques, et que nul dans le Royaume ne promulgue des lois contre eux comme ils ne promulgueront pas de lois contre Nous ; sans cela, il faudra bien que cette juridiction s’anéantisse, car de nouveaux arrêts signés de Notre main la retrancheront toujours.

Nous avons recherché une forme d'Église de France modérée qui ne conduise pas inéluctablement à la subordination de l’Église à l’État. Il faut pour ce faire résoudre la délicate équation d’un maintien de l’union des intérêts des deux souverainetés sur la base d’une distinction fondamentale entre le domaine temporel et la puissance spirituelle. Roy de France par la grâce de Dieu, Nous n’avons jamais prétendu faire céder les intérêts de la religion aux intérêts politiques, mais les unir : or pour les unir, il faut que chacun les connaisse et s'en imprègne. La religion Aristotélicienne, qui ordonne aux hommes de s’aimer, ne peut que désirer que chaque peuple ait les meilleures lois politiques et les meilleures lois civiles, en ce qu’elles sont, après les Écritures, le plus grand bien que les hommes puissent donner et recevoir. L'alliance de l’Église et de l’État, tel est le but. Cette complémentarité des domaines ne signifie pas leur indétermination, bien au contraire. Mais elle suppose leur délimitation. Cette grande distinction est la base sur laquelle repose la tranquillité des peuples, qui est fondée non seulement sur la Religion, mais également sur la raison et la nature, qui veulent que des choses réellement séparées, tel le temporel et le spirituel, et qui ne peuvent subsister que séparées, ne soient ainsi jamais confondues.[/i][/b]


[list][color=brown][i][u][b]a) De la Justice.[/b][/u][/i][/color][/list]
[i][b]Les évêques de l'Assemblée de France sont considérés comme les princes de l’Église de France, et par ce statut sont exempts de la justice ordinaire. Seule la Haute Cour de Justice peut juger les Évêques de l'Assemblée concernant les infractions dictes temporelles. Les Cardinaux, en tant que représentants étrangers, seront désormais soumis comme tout individu à nos justices locales en cas d'accusation pesant sur eux.[/i][/b]


[list][color=brown][i][u][b]b) De l'Armée.[/b][/u][/i][/color][/list]
[i][b]Toute armée déclarant agir pour une puissance étrangère sur le territoire du Royaume de France sans qu'elle ne soit autorisée par la Couronne à y pénétrer est considérée comme ennemies de la Couronne, y compris celles mandatées par Rome.

Toute armée de l' Église Aristotélicienne de France est régie par un Grand Commandeur chargé d'en coordonner les forces armées. Seules les Vidamies de France sont autorisées au sein du royaume et doivent rendre compte de leurs effectifs et de leurs activités  à l'Archevêque de Reims. Les Vidames de France sont sous l'autorité exclusive de leur archevêque de France tel que l'impose le découpage géographique ecclésiastique et peuvent disposer sous leur commandement d'autant de soldats qu'ils le désirent. Il relève du rôle de l'Archevêque de Reims de s'assurer de la collaboration de ses Vidames avec leur Archevêque respectif afin qu'ils travaillent de concert avec lui et répondre du mieux possible à ses demandes dans le domaine de la sécurité et du militaire. A l'inverse, l'Archevêque de Reims s'assure que les Archevêques collaborent avec leur Vidame respectif, et le laissent agir concernant les domaines qui lui sont dévolus. En cas de manquement constaté du Vidame, l' Archevêque de Reims est habilité à prendre des sanctions. En cas de manquement constaté de l'Archevêque, l' Archevêque de Reims s'en doit référer au Roy de France.

Une Vidamie de France peut ériger une place forte par province mais comme toute organisation militaire reconnue, elle sera soumise aux lois royales et locales en la matière. Seuls les Ordres Militaires Religieux reconnaissant l'Église Aristotélicienne de France par les présents termes pourront être reconnus par le Grand Écuyer de France. Il seront dès lors autorisés sur le territoire du Domaine Royal mais ne seront en aucun cas habilités à entreprendre une quelconque action contre les intérêts de la Couronne. La construction de places fortes pour les ordres religieux armés sera soumise à l’autorisation ducale ou comtale.

Chaque évêque de France en ce qu'il est le représentant de l'alliance de la foi et du roy de France reçoit lors de son intronisation des mains du Monarque ou de son substitut, l'épée de Saphir et d'Améthyste, dont il est autorisé à user dans le seul cadre de la défense du Royaume et de ses sujets.[/i][/b]


[list][color=brown][i][u][b]c) Des sacrements[/b][/u][/i][/color][/list]
[i][b]Les mariages Aristotéliciens célébrés par l’Église Aristotélicienne de France sont reconnus par Nos institutions comme valides en toute circonstance. Les mariages Aristotéliciens célébrés par l’administration Romaine sont reconnus comme valides par Nos institutions pour peu qu'ils n'aient pas été célébrés par des traîtres à la Couronne ou par des ennemis de la France dont les noms sont flétris à jamais, sans que l'invalidité des sacrements ne subisse d'effet rétro-actif à compter de la prononciation de la sentence. L'Église Aristotélicienne dans son ensemble est donc responsable de la bonne tenue de ses registres. La rupture des liens conjugaux répond aux mêmes critères d'habilitation.[/i][/b]


[list][color=brown][i][u][b]d) De la noblesse & de la transmission.[/b][/u][/i][/color][/list]
[i][b]Évêque de France devient une charge anoblissante. La charge d'évêque donne droit à l'octroi d'une Vicomté rattachée au plus proche de la capitale de l'évêché. La charge d'archevêque donne droit à l'octroi d'un Comté ou d'un Duché au plus proche de la capitale de l'archevêché. Ces octrois sont conditionnés à la charge. Qui abandonne la charge abandonne les terres, dont jouira son successeur.

Pour ce qui est des terres octroyées sur le Royaume de France à des clercs, seule la noblesse du clergé Aristotélicien de France est reconnue. Ainsi, nul ne saurait avoir été ordonné et se revendiquer noble du Royaume sans appartenir à l’Église Aristotélicienne de France. Le Roy déconseille aux clercs du clergé Aristotélicien de France de se marier, mais ne prendra aucune mesure de rétorsion si jamais ils décidaient de fonder une famille légitime. Toute transmission de fief et biens nobiliaires leur est cependant prohibée.[/i][/b]


[list][color=brown][i][u][b]e) De l'appui financier.[/b][/u][/i][/color][/list]
[i][b]Les artisans désireux de suivre des études en voie de l’Église pour venir renforcer les rangs de l'Église Aristotélicienne de France sont en droit de demander aux provinces du Domaine Royal des prêts sans intérêt afin de pouvoir financer leurs coûteuses études théologiques (passage niveau 3). Ce prêt sera garanti par le pouvoir royal et par l'évêque qui le recommande. Les termes du contrat qui sera passé entre le prêteur et l’emprunteur seront fixés par écrit. Ils engageront le bénéficiaire pour une durée minimale de 3 mois, après la fin du remboursement, à remplir ses devoirs pour la paroisse d’affectation en tant que curé, ou pour le diocèse en tant que Évêque ou archevêque. En cas d’empêchement exceptionnel l'Archevêque de Reims devra veiller à faire rembourser le prêt quitte à aller camper sur les routes pour faire l'aumône, armé d'un bon gourdin pour attester de la vigueur de sa conviction.[/i][/b]


[list][color=brown][i][u][b]f) Du mariage.[/b][/u][/i][/color][/list]
[i][b]Sur ce point également Nos réflexions ne portent que sur la trop grande exclusion du célibat, et non sur le célibat même. Nous conseillons aux prêtres Aristotéliciens de France le célibat, mais n'en feront pas jamais un précepte qui implique des lois pour le faire observer. Car ce fut avec très grande raison que les papes firent tant d’efforts pour établir le célibat des prêtres. Sans cela, jamais leur puissance ne serait montée si haut, et jamais elle n’aurait duré si chaque prêtre avait tenu à une famille et s’ils y avaient tenu eux-mêmes. Mais nous avons pu voir que cet État clérical qui les distingue du reste de la société ne les empêche nullement de se mêler des affaires séculières. Nous nous étonnons donc que dans l’Église Aristotélicienne Romaine, où l’on a défendu le mariage aux prêtres afin qu’ils ne se mêlent pas des affaires séculières, ils s’en mêlent plus encore que toute autre religion qui l'autorise. Ainsi, serons-Nous à l'égard des prêtres Aristotéliciens de France mariés toujours suspicieux, mais à jamais cléments.[/b][/i][/list]


[color=brown][b]V - Aristotélicisme et politique.[/b][/color]

[list][i][b]Le rapport entre l'Aristotélicisme et la politique ne saurait jamais être direct, mais analogique et complémentaire. Il implique ainsi tout à la fois une séparation entre les deux sphères autonomes, la spirituelle et la temporelle, et une concordance vers un but social à triple facette:

[list][*]La paix
[*]Le bien commun
[*]L’amour de la patrie[/list]

L'Aristotélicisme ne doit pas avoir de force coactive. Il faut à tout prix éviter les lois pénales en faits de religion. Nous insistons fortement sur la différence entre les préceptes propres aux lois humaines et les conseils propres aux religions. On ne doit point statuer par les lois divines ce qui doit l’être par les lois humaines, ni régler par les lois humaines ce qui doit l’être par les lois divines. Presque tous les reproches que nous formulons à l'égard de l'Aristotélicisme contiennent une dénonciation de la confusion entre la puissance ecclésiastique et l’autorité séculière. C’est précisément lorsque la religion est utilisée comme prétexte par des intérêts humains qu’elle enfante, selon Nous, les plus grands maux, car toute maxime de religion devient très pernicieuse dès lors qu'on la fait entrer dans la politique humaine. C'est la raison pour laquelle tout acte d’apostasie d’un sujet quel qu'il soit, noble ou roturier, ou une éventuelle sentence d'excommunication prononcée à l'encontre de l'un d'entre eux, ne saurait suffire à le frapper en matière pénale ou héraldique. C'est également la raison pour laquelle nul ne saurait dénier à Sa Majesté le Roy le bon et libre droit de recevoir les allégeances des élus que lui mandate Son peuple sans que Ses convictions religieuses ne servent de coercition infâme à la fatalité de sa révocation. Les pairs de France, les Grands Officiers, le Dauphin, les Altesses Royales, de part leur titre, tout comme la famille du Roy de France, ne pourront être excommuniés que par le consentement du Roy et du Saint Père lui-même. Le Roy de France reconnaît les Concordats signés avec l’Église Romaine comme des Traités et laisse libre les provinces du Royaume de les faire appliquer localement, mais jamais la Couronne et les Institutions n'en reconnaîtront les modalités ayant prise sur le temporel, et notamment celles concernant la déclaration d'inéligibilité d'un sujet ne croyant "pas comme il faut". Peuple qui élit par les urnes un Homme inéligible, illégitime de fait non l'Homme, mais l'article de la loi qui l'a ainsi sanctionné.

Symptôme par excellence de la confusion du temporel et du spirituel, le prétexte de dévotion est une maladie du corps qui donne à l’âme une folie dont le caractère est d’être la plus incurable de toutes. C’est ce prétexte qui, par un malentendu venimeux, justifie la politique des seigneurs et presque tous les vices qu’ils veulent, comme l’avarice, l’orgueil, la soif du bien d’autrui, l’attrition, la vengeance : il ne leur en coûte presque rien pourvu qu'ils se revendiquent dévots, prêts à toutes les extrémités démoniaques au nom du Rome, de la Foy, de Dieu, de la Vérité, de la Justice, des Anges, ou de Notre cul sur la commode. De même, affirmons qu'il est particulièrement dangereux qu’un seigneur mette les affaires de son État entre les mains de son confesseur. On sait combien la France a eu à trembler face aux Cardinaux qui excellent dans la confusion des affaires du siècle et des devoirs de la conscience. Les seigneurs qui en font leurs confesseurs font bien mal : car en croyant bien faire, ils répandent un esprit de servitude dans la nation. D’ailleurs, chacun des corps constitués ayant des intérêts particuliers à faire valoir, la confession, où les confesseurs traitent toujours entre le seigneur et eux, leur donne la commodité d’être délateurs et de perdre qui ils veulent, sans que le repenti ne puisse se défendre.


Le crime de scepticisme en religion et d'athéisme est reconnu comme trouble à l’ordre public, car constitue un crime de lèse-majesté divine et humaine, une atteinte portée contre les fondations du pouvoir royal. Il sera jugé par un tribunal religieux qui pourra appliquer différentes punitions propres aux tribunaux religieux aristotéliciens. En cas de récidive, le fautif sera passible de jugement au-devant de l'autorité temporelle. A charge pour les athées d’agir de manière à ne pas enfreindre la dite tolérance royale. Le seul crime d’Hérésie en revanche ne saurait plus être reconnu à lui seul comme trouble à l’ordre public, mais peut toujours être jugé par un tribunal mandaté par l'Assemblée des Evêques du moment qu'elle s'abstient de toute application pénale. En cas de refus d'appliquer la peine décidée par le tribunal ecclésiastique de l'Église de France, le condamné pourra être déclaré hérétique à la religion d’État.[/b][/i][/list]

[color=brown][b]VI - La Réforme aristotélicienne religion infidèle, mais religion amie du royaume.[/b][/color]

[list][i][b]Nous comprenons la nette préférence de certains de Nos sujets pour la religion Aristotélicienne Réformée, qui a toujours su se montrer plus favorable au développement de la société, au commerce, aux manufactures, à l’agriculture et au peuplement que l'Aristotélicisme de tradition Romaine qui encourage l’idéal d’une vie tranquille, la méditation, et le célibat de ses prêtres, pendant que ses cardinaux font main basse sur les leviers de l'autorité séculière de la nation. Nous osons le dire: dans l’état présent où nous avons trouvé la France, il n'était pas possible que la religion Aristotélicienne Romaine y subsiste cinq ans de plus si nous n'avions su prendre les mesures destinées à protéger le Royaume des insupportables outrances d'une hiérarchie qui amenaient autant à sa perte qu'à la nôtre. Nul dans cette disposition, qu'il soit Aristotélicien de France ou Réformé, ne saurait y voir autre chose que la conservation de la dominance de l'Aristotélicisme de France en tant que religion dans la monarchie, puisque de toute façon, nous considérons la religion Aristotélicienne de France comme convenant mieux à une monarchie pour ce qu'elle se trouve dotée d'un chef et la religion Aristotélicienne Réformée mieux adaptée à une république, pour ce qu'elle n'en compte pas. En tant que Roy de France et dans la tradition de nos prédécesseurs, Nous nous engageons à soutenir la religion Aristotélicienne Universelle, Une et Indivisible, autant que nous défendons les libertés par nous accordées à l’Église Aristotélicienne de France qui sont avantageuses pour la France, fille aînée de l’Église. C'est parce que nous avons conscience qu'une domination de la religion réformée sur la France serait fatale à toute confession, que nous nous garderons bien de lui octroyer plus d'avantages que la nécessité de l'harmonie civile ne lui en doit ; mais jamais moins non plus.

A dater du moment où elle concède que la religion du Roy est la religion de l’État, et parce que son hérésie est limitée, la Réforme Aristotélicienne, est dite religion infidèle mais protégée par le Royaume. Et bien que tolérée par le Roy elle demeure soumise à une législation spécifique développée ici.

Les Aristotéliciens Réformés ont droit à l'accession de la noblesse comme tout sujet laïc de France, fors les convaincus d'athéisme que nous bannirons de notre sol par tous les moyens de l’État, et en tant que membres d'une religion amie du Royaume, sont autorisés à transmettre leurs titres par le sang, pour peu que leur baptême et leur sacrement soient valides. Pour être valide, le baptême peut avoir été reçu par l'Église Aristotélicienne de France. Autrement, un baptême ou un mariage Aristotélicien Réformé, doit être célébré en présence d'un Secrétaire d’État qui par sa signature, s'en portera témoin et le validera au-devant de nos institutions sans que nulle sanction ne puisse être prise à son encontre. Aucune rupture des liens conjugaux réformés n'est en revanche envisageable du vivant des époux.

Les prêches des lecteurs ou des pasteurs réformés sont interdits au sein des cités de notre Royaume, mais pourront se tenir en dehors (IG: Hors de la Ville) sans que nul n'y trouve rien à redire. La Réforme Aristotélicienne peut bénéficier de l'octroi de places fortes où la liberté de culte leur est garantie, si le Roy, le Régnant de la province, et le Maire de la Ville, s'entendent pour le lui octroyer. La seule volonté du Roy suffit en revanche à le leur reprendre.

Les autres mouvements à caractère spirituel (Catharisme, Averroïsme intégral, Spinozisme, Raymond-Barrisme, etc.) peuvent être pratiqués de façon privée et personnelle à partir du moment où ils respectent les valeurs fondamentales aristotéliciennes et ne font pas acte de prosélytisme. Le non respect de ces recommandations sera considéré comme une provocation portant trouble à l'ordre public et pouvant conduire à des poursuites au terme desquelles, si elles aboutissent, pourra être conseillé un internement forcé en Nos hospices de l'Église Aristotélicienne de France pour une rééducation de choc(s).[/b][/i][/list]

[i][b]Signé le vingt-deuxième jour d"avril de l'an quatorze cent soixante et un. [/b][/i]


[img]http://img18.imageshack.us/img18/1981/signaturehenriques.gif[/img]
[img]http://img202.imageshack.us/img202/3463/merver10.gif[/img]
[i][b]Daniel Marques Henriques[/b][/i]

[URL=http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=370401signatureaspho.gif][img]http://img4.hostingpics.net/pics/370401signatureaspho.gif[/img][/URL]
[i][b]Asphodelle di Césarini[/b][/i]


[URL=http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=193029signatureorcus.gif][img]http://img4.hostingpics.net/pics/193029signatureorcus.gif[/img][/URL]
[i][b]Orcus di Césarini[/b][/i]


[img]http://img803.imageshack.us/img803/213/clodeweck.gif[/img]
[i][b]Clodeweck de Montfort-Toxandrie[/b][/i]


[img]http://img844.imageshack.us/img844/2083/verty.gif[/img]
[i][b]Verty de Montfort-Toxandrie[/b][/i]


[img]http://img21.imageshack.us/img21/3346/verhena.gif[/img]
[i][b]Verhena de Monfort-Toxandrie[/b][/i]


[img]http://img132.imageshack.us/img132/5866/waleran.gif[/img]
[b][i]Waleran de Monfort-Toxandrie[/i][/b]


[i][b]Eusaias Blanc Combaz,
Très Redouté et très Puissant Roi Aristotélicien de France.[/b][/i]
[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyvert.png[/img]

[/quote]

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Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      À Nos officiers et feudataires,
      À Nos sujets & à Notre peuple,
      À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
      Salut.



    Le Roy de France est source de tous les pouvoirs au sein du Royaume de France. Ne pouvant cependant gouverner seul, Nous nous entourons d’officiers royaux qui nous représentent et agissent en notre nom, Nous prenons vassaux pour gouverner Nos terres et les terres de la Couronne de France, Nous prenons conseils auprès de Nos vassaux directs et de Nos conseillers.

    A ce jour, l’évidence Nous conduit à constater que la gouvernance actuelle de notre Royaume est mise à mal par l’inexpérience et la méconnaissance du droit par certains de nos conseillers.

    Particulièrement, les faits Nous ont montrés que le Roy de France ne pouvait compter sur la Chambre des Pairs pour légiférer, ou plus simplement pour Nous aider à l’écriture des Lois. Les Pairs de France ne sont d’ailleurs pas nommés selon leurs connaissances du droit et leurs compétences à le compléter. Pis, certains Pairs de France voient en la Chambre des Pairs un organe d’opposition à Notre personne, en ce que Nous sommes Roy de France, alors qu’un Pair de France est nommé ou maintenu par Nous à sa charge, et par nul autre.

    Nous ne pouvons d’avantage tolérer ce frein à l’écriture des Lois qui empêche l’évolution et la pérennisation du Royaume de France au travers du droit royal. Aussi, Nous décidons et proclamons :

    • La Chambre des Pairs de France perd ce jour toute responsabilité législative et toute responsabilité juridique auprès de Notre Haute Cour de Justice. Elle conserve cependant l’ensemble des autres prérogatives dont elle a la charge, en ce qu’elle reste Notre conseil concernant la gestion des affaires courantes du Royaume de France. Elle continuera à Nous aider et à Nous représenter dans celles-ci, et nul ne pourra les destituer de l’autorité que Nous réaffirmons ce jour sinon Nous, Roy de France. La nature et les motivations de la nomination d’un Pair de France restent ainsi en adéquation avec les responsabilités de la Chambre des Pairs.

    • La Chambre d’Eunomie est une nouvelle institution directement rattaché à la Couronne de France et ne rend compte qu’à Nous seul, Roy de France. Elle aura à charge de légiférer et d’écrire la Loi dans le respect des statuts que nous validons et publions ce jour. Nos représentants en son sein seront nommés exclusivement pour leurs connaissances du droit, ainsi que pour leurs compétences et expériences à l’écrire. Nous attendons d’eux qu’ils Nous représentent dans notre pouvoir législatif et agissent par Nous et pour Nous, et ce uniquement dans le respect de Notre volonté.

    • La Grande Chancellerie de France est dès ce jour seule garante de l’ensemble de notre pouvoir juridique dans le rendu des verdicts par les Cours royales pénales. La Chambre des Pairs n’aura plus à participer à l’élaboration et à la validation des verdicts rendus par Notre Haute Cour de Justice. Le Chancelier de France ne devra plus rendre compte qu’à Nous concernant la tenue et les verdicts de Notre Haute Cour de Justice. Nous espérons ainsi gagner en simplicité dans les procédures de Notre Haute Cour de Justice, et ainsi augmenter la célérité des affaires traitées par elle.

    Nous invitons la Chambre d’Eunomie - une fois constituée - et la Grande Chancellerie à prendre acte de Notre volonté explicitée présentement et à préparer les modification du droit royal en conséquence.

    Rédigé au Louvre le 1er de Mai 1461.






Citation:
    Statuts de la Chambre d’Eunomie

    Section 1 - Dispositions générales

    Art. 10-1 : De la nature de l’institution

    La Chambre d’Eunomie est une institution royale et autonome. Elle exerce ses fonctions en conformité avec les présents statuts, lesquels ont été validés par le Souverain de France.

    Sa gestion est à charge du Magna Legista, représentant du Souverain de France par délégation. Le Magna Legista ne saurait agir qu’en cette qualité.

    Art. 10-2 : Du siège

    La Chambre d’Eunomie siège au Louvre à Paris.

    Section 2 - Chambre d’Eunomie

    Sous-section 1 - Des compétences et fonctions

    Art. 21-1 : De la compétence primaire

    La Chambre d’Eunomie est compétente pour légiférer et compléter le droit royal dans le respect des présents statuts. Ladite chambre n’interprète pas le droit, elle l’écrit.

    Art. 21-2 : De la cohérence du droit royal

    La Chambre d’Eunomie doit assurer la cohérence du droit royal, dans sa structure mais également dans sa substance.

    Art 21-3 : De la conformité au droit royal

    La Chambre d’Eunomie peut demander la révision de tout texte considéré - par elle - comme source de droit, que ce soit à une institution royale ou provinciale, afin de se mettre en conformité avec le droit royal. Ladite demande devra être motivée et faire état de ce qui n’est pas conforme.

    Art 21-4 : Des recours

    Un recours peut être introduit auprès de la Chambre d’Eunomie dans le respect des conditions ci-après énoncées.

    La Pairie peut recourir à la Chambre d’Eunomie afin que le droit royal soit complété sur une question particulière, pour que les coutumes soient explicitées dans le droit pour l’avenir.

    Un Officier de la Couronne de France, ainsi qu’un Grand Feudataire du Royaume de France, peut recourir à la Chambre d’Eunomie afin qu’un avis soit donné sur un texte préalablement à sa publication, concernant sa cohérence et sa conformité vis-à-vis du droit royal.

    La Grande Chancellerie de France peut recourir à la Chambre d’Eunomie afin que la substance d’un arrêt de règlement ou d’une jurisprudence prenne une forme législative, ou qu’un cadre légal soit explicitement défini dans l’application de la Loi.

    Sous-section 2 - Des cas particuliers

    Art 22-1 : Des Lois fondamentales du Royaume de France

    Seul le Souverain a autorité et droit d’acter les Lois fondamentales du Royaume de France.

    Préalablement à la publication des Lois fondamentales du Royaume de France, un avis consultatif sera demandé à la Pairie, à la Curia Regis et au Conseil des Grands Feudataires. Un délai de réflexion d’au moins une quinzaine de jours devra être laissée à ces institutions pour pouvoir fournir un avis motivé et argumenté sur la nouvelle mouture.

    Art 22-2 : Des présents statuts

    Seul le Souverain a autorité et droit d’acter les Statuts de la Chambre d’Eunomie - en ce qu’il est seule source du pouvoir législatif et que ladite chambre ne saurait exercer ses prérogatives que dans le cadre agréé et défini par le Souverain.

    Sous-section 3 - Du corps constituant

    Art. 23-1 : Du Souverain de France

    Le Souverain dispose du droit de siège au sein de la Chambre d’Eunomie en qualité de source législative. Il y détient par essence toute autorité.
      Quod principi placuit legis habet vigorem.
      Ce qui plait au prince a force de loi.

    Le Souverain consort, ainsi que le Dauphin de France, disposent du droit de siège à la Chambre d’Eunomie sans voix délibérative - en ce qu’ils sont au plus proche du Souverain et peuvent l’aider dans la bonne gestion du Royaume de France. Seul le Souverain peut leur retirer ce droit.

    Art. 23-2 : De l’assemblée des Legistae

    L’assemblée des Legistae - composée de l’ensemble des Legistae près la Couronne de France - disposent du droit de siège au sein de la Chambre d’Eunomie avec voix délibérative.

    Art. 23-3 : Du Chancelier de France

    Le Chancelier de France dispose du droit de siège au sein de la Chambre d’Eunomie sans voix délibérative - en ce qu’il est le plus haut représentant juridique du Royaume de France, qu’il interprète le droit royal et qu’il veille à sa bonne application.

    Sous-section 4 - Des procédures internes particulières

    Art. 24-1 : De l’examen d’entrée

    L’entrée dans l’assemblée des Legistae est soumis à la réussite d’un examen. Icelui est constitué et approuvé par le Magna Legista qui fixera le délai imparti à son accomplissement.

    L’objectif de cet examen est de s’assurer de la motivation du candidat - par son expérience réelle - et de ses compétences - tant dans la connaissance du droit que dans son application juridique.

    Art. 24-2 : Des votes

    Les votes sont ouverts par le Souverain, ou par son représentant le Magna Legista, afin de requérir l’avis des membres ayant voix délibérative au sein de la Chambre d’Eunomie.

    La durée d’un vote est comprise entre deux et dix jours et est définie à son ouverture. Par défaut, la durée est fixée à quatre jours.

    Les décisions issues d'un vote sont prises à la majorité des personnes ayant voix délibérative. En cas d’égalité, le Souverain, ou son représentant le Magna Legista, tranchera.

    Le résultat du vote est validé par le Souverain, ou par son représentant le Magna Legista, en ce qu’ils disposent d’un droit de veto à la validation. En toute circonstance, le Souverain a le dernier mot.

    Toute modification de fond concernant une publication, aussi minime soit-elle, nécessitera la réouverture d’un vote afin d’en valider la publication.

    Section 3 - Assemblée des Legistae

    Sous-section 1 - Du Legista près la Couronne de France

    Art. 31-1 : Des droits et devoirs

    Il convient à tout Legista d’assumer - pleinement et sans réserve - les responsabilités dues à sa charge. Les devoirs qui lui incombent relèvent de la présence, de la confidentialité, de la réserve, de la collégialité, de l’impartialité et de l’exemplarité.

    Tout manquement à l'un ou l'autre de ces devoirs est passible de sanction, à la discrétion du Souverain.

    Attendu qu’il personnifie la Loi en qualité de représentant du Souverain, un Legista revêt le droit de commitimus et le droit de préséance au même titre que les Pairs de France et les Grands Officiers de la Couronne de France. Il dispose également du droit d’accès au sein de la salle des Dioscures et au conseil des Grands Feudataires, ainsi que le droit de siège dans le corps magistral de toute Cour judiciaire royale.

    Lors d’une audience devant la Haute Cour de Justice, le devoir d’exemplarité et le droit de commitimus entraîneront de facto la présence de circonstances aggravantes et l’absence de toutes circonstances atténuantes de par la qualité de Legista de l’accusé.

    Le droit de siège au sein d’une Cour n’est applicable que sur demande explicite de ladite Cour, sous réserve d’acceptation du Souverain, ou de son représentant le Magna Legista. Particulièrement, le Souverain, et son représentant le Chancelier de France, peuvent demander l’aide d’un Legista à la tenue et à la présidence d’une audience au sein de la Haute Cour de Justice. Jamais le Legista ne disposera de l’autorité de juger, puisqu’elle reste l’apanage du Souverain, et de son représentant le Chancelier de France.

    Art. 31-2 : De la nomination et de la révocation

    Le Legista est nommé et révoqué par le Souverain, ou son représentant le Magna Legista.

    La nomination est soumise à la réussite de l’examen d’entrée, et sera suivie d’une enquête par la Grande Prévôté de France afin d’assurer l’absence de casier judiciaire du candidat au sein du Royaume de France.

    A la suite de la publication de l’acte de nomination, icelle ne prendra réellement effet qu’après avoir prêté serment au devant du Souverain, ou de son représentant le Magna Legista.

    Le Souverain, et son représentant le Magna Legista, disposent d’un droit de veto à toute nomination.

    La révocation n’est soumise qu’au bon vouloir du Souverain, et de son représentant le Magna Legista.

    Le nombre de Legistae, incluant le Magna Legista, est limité à cinq. Ce nombre définit une limite maximale, et non minimale - en ce que la qualité sera privilégiée à la quantité.

    Art. 31-3 : Des incompatibilités

    La charge de Legista est incompatible avec une charge accordant la légitimité de juger dans le domaine pénal - tant au niveau royal que local -, ainsi qu’avec la charge de Pair de France, en ce qu’il applique le droit dans le cadre des affaires courantes du Royaume de France.

    Sous-section 2 - Du Magna Legista près la Couronne de France

    Art. 32-1: Du rôle particulier

    Le Magna Legista préside la Chambre d’Eunomie pour et au nom du Souverain.

    Le Magna Legista a autorité pour acter tous les textes émis par la Chambre d’Eunomie au nom du Souverain, en ce qu’il est son représentant direct, et dans le respect des présents statuts.

    En accord avec le Souverain, cette autorité peut être exceptionnellement déléguée à un Legista qui aura blancseing pour une durée définie et limitée.

    Art. 32-2 : De la nomination et de la révocation

    Le Magna Legista est nommé et révoqué par le Souverain. Il est idéalement issu de l’assemblée des Legistae, mais le Souverain ne saurait s’y limiter et s’y contraindre.



    Rédigé au Louvre le 1er de Mai 1461.






Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      À Nos officiers et feudataires,
      À Nos sujets & à Notre peuple,
      À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
      Salut.



    Chaque fois que l'équité Nous le permet, Nous n'accablons pas le délinquant de toute la rigueur de la loi, car un juge impitoyable ne saurait avoir meilleure réputation qu'un juge compatissant. Mais pour avoir bon juge, il faut avant tout avoir bonne loi.
    Ainsi, sur la base de Nos conceptions éthiques en matière de justice et de loi, proclamons :

    • La nomination de Grégoire d'Ailhaud [IG : Thegregterror] à la fonction de Magna Legista.

    Il aura à charge de présider la Chambre d'Eunomie en Notre nom, en conformité avec ses dispositions et statuts. Nous lui confions toute autorité pour acter les textes législatifs émis par la dite Chambre en Notre nom, en tant que représentant direct de Notre personne auprès d'icelle.

    Puisse-t-il se montrer à jamais digne et responsable de la haute confiance que nous lui baillons ce jour,


    Rédigé au Louvre le 1er de Mai 1461.





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Eusaias
Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]


[list][list][size=16]À Nos officiers et feudataires,
À Nos sujets & à Notre peuple,
À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
Salut. [/size]
[/list][/list]
[list]
Le Roy de France est source de tous les pouvoirs au sein du Royaume de France. Ne pouvant cependant gouverner seul, Nous nous entourons d’officiers royaux qui nous représentent et agissent en notre nom, Nous prenons vassaux pour gouverner Nos terres et les terres de la Couronne de France, Nous prenons conseils auprès de Nos vassaux directs et de Nos conseillers.

A ce jour, l’évidence Nous conduit à constater que la gouvernance actuelle de notre Royaume est mise à mal par l’inexpérience et la méconnaissance du droit par certains de nos conseillers.

Particulièrement, les faits Nous ont montrés que le Roy de France ne pouvait compter sur la Chambre des Pairs pour légiférer, ou plus simplement pour Nous aider à l’écriture des Lois. Les Pairs de France ne sont d’ailleurs pas nommés selon leurs connaissances du droit et leurs compétences à le compléter. Pis, certains Pairs de France voient en la Chambre des Pairs un organe d’opposition à Notre personne, en ce que Nous sommes Roy de France, alors qu’un Pair de France est nommé ou maintenu par Nous à sa charge, et par nul autre.

Nous ne pouvons d’avantage tolérer ce frein à l’écriture des Lois qui empêche l’évolution et la pérennisation du Royaume de France au travers du droit royal. Aussi, Nous décidons et proclamons :

[list][*]La Chambre des Pairs de France perd ce jour toute responsabilité législative et toute responsabilité juridique auprès de Notre Haute Cour de Justice. Elle conserve cependant l’ensemble des autres prérogatives dont elle a la charge, en ce qu’elle reste Notre conseil concernant la gestion des affaires courantes du Royaume de France. Elle continuera à Nous aider et à Nous représenter dans celles-ci, et nul ne pourra les destituer de l’autorité que Nous réaffirmons ce jour sinon Nous, Roy de France. La nature et les motivations de la nomination d’un Pair de France restent ainsi en adéquation avec les responsabilités de la Chambre des Pairs.

[*]La Chambre d’Eunomie est une nouvelle institution directement rattaché à la Couronne de France et ne rend compte qu’à Nous seul, Roy de France. Elle aura à charge de légiférer et d’écrire la Loi dans le respect des statuts que nous validons et publions ce jour. Nos représentants en son sein seront nommés exclusivement pour leurs connaissances du droit, ainsi que pour leurs compétences et expériences à l’écrire. Nous attendons d’eux qu’ils Nous représentent dans notre pouvoir législatif et agissent par Nous et pour Nous, et ce uniquement dans le respect de Notre volonté.

[*]La Grande Chancellerie de France est dès ce jour seule garante de l’ensemble de notre pouvoir juridique dans le rendu des verdicts par les Cours royales pénales. La Chambre des Pairs n’aura plus à participer à l’élaboration et à la validation des verdicts rendus par Notre Haute Cour de Justice. Le Chancelier de France ne devra plus rendre compte qu’à Nous concernant la tenue et les verdicts de Notre Haute Cour de Justice. Nous espérons ainsi gagner en simplicité dans les procédures de Notre Haute Cour de Justice, et ainsi augmenter la célérité des affaires traitées par elle.[/list]
Nous invitons la Chambre d’Eunomie - une fois constituée - et la Grande Chancellerie à prendre acte de Notre volonté explicitée présentement et à préparer les modification du droit royal en conséquence.

Rédigé au Louvre le 1er de Mai 1461.[/list]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]
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[quote][list][size=24]Statuts de la Chambre d’Eunomie[/size]

[size=18]Section 1 - Dispositions générales[/size]

[b][u]Art. 10-1 :[/u][/b] De la nature de l’institution

La Chambre d’Eunomie est une institution royale et autonome. Elle exerce ses fonctions en conformité avec les présents statuts, lesquels ont été validés par le Souverain de France.

Sa gestion est à charge du [i]Magna Legista[/i], représentant du Souverain de France par délégation. Le [i]Magna Legista[/i] ne saurait agir qu’en cette qualité.

[b][u]Art. 10-2 :[/u][/b] Du siège

La Chambre d’Eunomie siège au Louvre à Paris.

[size=18]Section 2 - Chambre d’Eunomie[/size]

[b][i]Sous-section 1 - Des compétences et fonctions[/i][/b]

[b][u]Art. 21-1 :[/u][/b] De la compétence primaire

La Chambre d’Eunomie est compétente pour légiférer et compléter le droit royal dans le respect des présents statuts. Ladite chambre n’interprète pas le droit, elle l’écrit.

[b][u]Art. 21-2 :[/u][/b] De la cohérence du droit royal

La Chambre d’Eunomie doit assurer la cohérence du droit royal, dans sa structure mais également dans sa substance.

[b][u]Art 21-3 :[/u][/b] De la conformité au droit royal

La Chambre d’Eunomie peut demander la révision de tout texte considéré - par elle - comme source de droit, que ce soit à une institution royale ou provinciale, afin de se mettre en conformité avec le droit royal. Ladite demande devra être motivée et faire état de ce qui n’est pas conforme.

[b][u]Art 21-4 :[/u][/b] Des recours

Un recours peut être introduit auprès de la Chambre d’Eunomie dans le respect des conditions ci-après énoncées.

La Pairie peut recourir à la Chambre d’Eunomie afin que le droit royal soit complété sur une question particulière, pour que les coutumes soient explicitées dans le droit pour l’avenir.

Un Officier de la Couronne de France, ainsi qu’un Grand Feudataire du Royaume de France, peut recourir à la Chambre d’Eunomie afin qu’un avis soit donné sur un texte préalablement à sa publication, concernant sa cohérence et sa conformité vis-à-vis du droit royal.

La Grande Chancellerie de France peut recourir à la Chambre d’Eunomie afin que la substance d’un arrêt de règlement ou d’une jurisprudence prenne une forme législative, ou qu’un cadre légal soit explicitement défini dans l’application de la Loi.

[b][i]Sous-section 2 - Des cas particuliers[/i][/b]

[b][u]Art 22-1 :[/u][/b] Des Lois fondamentales du Royaume de France

Seul le Souverain a autorité et droit d’acter les Lois fondamentales du Royaume de France.

Préalablement à la publication des Lois fondamentales du Royaume de France, un avis consultatif sera demandé à la Pairie, à la Curia Regis et au Conseil des Grands Feudataires. Un délai de réflexion d’au moins une quinzaine de jours devra être laissée à ces institutions pour pouvoir fournir un avis motivé et argumenté sur la nouvelle mouture.

[b][u]Art 22-2 :[/u][/b] Des présents statuts

Seul le Souverain a autorité et droit d’acter les Statuts de la Chambre d’Eunomie - en ce qu’il est seule source du pouvoir législatif et que ladite chambre ne saurait exercer ses prérogatives que dans le cadre agréé et défini par le Souverain.

[b][i]Sous-section 3 - Du corps constituant[/b][/i]

[b][u]Art. 23-1 :[/u][/b] Du Souverain de France

Le Souverain dispose du droit de siège au sein de la Chambre d’Eunomie en qualité de source législative. Il y détient par essence toute autorité.
[list][i]Quod principi placuit legis habet vigorem.
Ce qui plait au prince a force de loi.[/i][/list]
Le Souverain consort, ainsi que le Dauphin de France, disposent du droit de siège à la Chambre d’Eunomie sans voix délibérative - en ce qu’ils sont au plus proche du Souverain et peuvent l’aider dans la bonne gestion du Royaume de France. Seul le Souverain peut leur retirer ce droit.

[b][u]Art. 23-2 :[/u][/b] De l’assemblée des [i]Legistae[/i]

L’assemblée des [i]Legistae[/i] - composée de l’ensemble des [i]Legistae[/i] près la Couronne de France - disposent du droit de siège au sein de la Chambre d’Eunomie avec voix délibérative.

[b][u]Art. 23-3 :[/u][/b] Du Chancelier de France

Le Chancelier de France dispose du droit de siège au sein de la Chambre d’Eunomie sans voix délibérative - en ce qu’il est le plus haut représentant juridique du Royaume de France, qu’il interprète le droit royal et qu’il veille à sa bonne application.

[b][i]Sous-section 4 - Des procédures internes particulières[/i][/b]

[b][u]Art. 24-1 :[/u][/b] De l’examen d’entrée

L’entrée dans l’assemblée des [i]Legistae[/i] est soumis à la réussite d’un examen. Icelui est constitué et approuvé par le [i]Magna Legista[/i] qui fixera le délai imparti à son accomplissement.

L’objectif de cet examen est de s’assurer de la motivation du candidat - par son expérience réelle - et de ses compétences - tant dans la connaissance du droit que dans son application juridique.

[b][u]Art. 24-2 :[/u][/b] Des votes

Les votes sont ouverts par le Souverain, ou par son représentant le [i]Magna Legista[/i], afin de requérir l’avis des membres ayant voix délibérative au sein de la Chambre d’Eunomie.

La durée d’un vote est comprise entre deux et dix jours et est définie à son ouverture. Par défaut, la durée est fixée à quatre jours.

Les décisions issues d'un vote sont prises à la majorité des personnes ayant voix délibérative. En cas d’égalité, le Souverain, ou son représentant le [i]Magna Legista[/i], tranchera.

Le résultat du vote est validé par le Souverain, ou par son représentant le [i]Magna Legista[/i], en ce qu’ils disposent d’un droit de veto à la validation. En toute circonstance, le Souverain a le dernier mot.

Toute modification de fond concernant une publication, aussi minime soit-elle, nécessitera la réouverture d’un vote afin d’en valider la publication.

[size=18]Section 3 - Assemblée des [i]Legistae[/i][/size]

[b][i]Sous-section 1 - Du Legista près la Couronne de France[/i][/b]

[b][u]Art. 31-1 :[/u][/b] Des droits et devoirs

Il convient à tout [i]Legista[/i] d’assumer - pleinement et sans réserve - les responsabilités dues à sa charge. Les devoirs qui lui incombent relèvent de la présence, de la confidentialité, de la réserve, de la collégialité, de l’impartialité et de l’exemplarité.

Tout manquement à l'un ou l'autre de ces devoirs est passible de sanction, à la discrétion du Souverain.

Attendu qu’il personnifie la Loi en qualité de représentant du Souverain, un [i]Legista[/i] revêt le droit de [i]commitimus[/i] et le droit de préséance au même titre que les Pairs de France et les Grands Officiers de la Couronne de France. Il dispose également du droit d’accès au sein de la salle des Dioscures et au conseil des Grands Feudataires, ainsi que le droit de siège dans le corps magistral de toute Cour judiciaire royale.

Lors d’une audience devant la Haute Cour de Justice, le devoir d’exemplarité et le droit de [i]commitimus[/i] entraîneront [i]de facto[/i] la présence de circonstances aggravantes et l’absence de toutes circonstances atténuantes de par la qualité de [i]Legista[/i] de l’accusé.

Le droit de siège au sein d’une Cour n’est applicable que sur demande explicite de ladite Cour, sous réserve d’acceptation du Souverain, ou de son représentant le [i]Magna Legista[/i]. Particulièrement, le Souverain, et son représentant le Chancelier de France, peuvent demander l’aide d’un [i]Legista[/i] à la tenue et à la présidence d’une audience au sein de la Haute Cour de Justice. Jamais le [i]Legista[/i] ne disposera de l’autorité de juger, puisqu’elle reste l’apanage du Souverain, et de son représentant le Chancelier de France.

[b][u]Art. 31-2 :[/u][/b] De la nomination et de la révocation

Le [i]Legista[/i] est nommé et révoqué par le Souverain, ou son représentant le [i]Magna Legista[/i].

La nomination est soumise à la réussite de l’examen d’entrée, et sera suivie d’une enquête par la Grande Prévôté de France afin d’assurer l’absence de casier judiciaire du candidat au sein du Royaume de France.

A la suite de la publication de l’acte de nomination, icelle ne prendra réellement effet qu’après avoir prêté serment au devant du Souverain, ou de son représentant le [i]Magna Legista[/i].

Le Souverain, et son représentant le [i]Magna Legista[/i], disposent d’un droit de veto à toute nomination.

La révocation n’est soumise qu’au bon vouloir du Souverain, et de son représentant le [i]Magna Legista[/i].

Le nombre de [i]Legistae[/i], incluant le [i]Magna Legista[/i], est limité à cinq. Ce nombre définit une limite maximale, et non minimale - en ce que la qualité sera privilégiée à la quantité.

[b][u]Art. 31-3 :[/u][/b] Des incompatibilités

La charge de [i]Legista[/i] est incompatible avec une charge accordant la légitimité de juger dans le domaine pénal - tant au niveau royal que local -, ainsi qu’avec la charge de Pair de France, en ce qu’il applique le droit dans le cadre des affaires courantes du Royaume de France.

[b][i]Sous-section 2 - Du Magna Legista près la Couronne de France[/i][/b]

[b][u]Art. 32-1:[/u][/b] Du rôle particulier

Le [i]Magna Legista[/i] préside la Chambre d’Eunomie pour et au nom du Souverain.

Le [i]Magna Legista[/i] a autorité pour acter tous les textes émis par la Chambre d’Eunomie au nom du Souverain, en ce qu’il est son représentant direct, et dans le respect des présents statuts.

En accord avec le Souverain, cette autorité peut être exceptionnellement déléguée à un [i]Legista[/i] qui aura blancseing pour une durée définie et limitée.

[b][u]Art. 32-2 :[/u][/b] De la nomination et de la révocation

Le [i]Magna Legista[/i] est nommé et révoqué par le Souverain. Il est idéalement issu de l’assemblée des [i]Legistae[/i], mais le Souverain ne saurait s’y limiter et s’y contraindre.



Rédigé au Louvre le 1er de Mai 1461.[/list]


[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img] [/quote]

[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]


[list][list][size=16]À Nos officiers et feudataires,
À Nos sujets & à Notre peuple,
À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
Salut.[/size]
[/list][/list]
[list]
Chaque fois que l'équité Nous le permet, Nous n'accablons pas le délinquant de toute la rigueur de la loi, car un juge impitoyable ne saurait avoir meilleure réputation qu'un juge compatissant. Mais pour avoir bon juge, il faut avant tout avoir bonne loi.
Ainsi, sur la base de Nos conceptions éthiques en matière de justice et de loi, proclamons :

[list][*]La nomination de Grégoire d'Ailhaud [b][IG : Thegregterror][/b] à la fonction de [b][i]Magna Legista[/i][/b].[/list]
Il aura à charge de présider la Chambre d'Eunomie en Notre nom, en conformité avec ses dispositions et statuts. Nous lui confions toute autorité pour acter les textes législatifs émis par la dite Chambre en Notre nom, en tant que représentant direct de Notre personne auprès d'icelle.

Puisse-t-il se montrer à jamais digne et responsable de la haute confiance que nous lui baillons ce jour,


Rédigé au Louvre le 1er de Mai 1461.[/list]

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[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]
[/quote]

_________________
Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      À Nos officiers et feudataires,
      À Nos sujets & à Notre peuple,
      À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
      Salut.





    De la France victorieuse à Toulouse.




    La nuit du 22 au 23 avril a vu l'armée Croisée d'Hercule remporter une éclatante et ô combien glorieuse victoire sur une armée... quasiment vide.
    La victoire étant chose peu courante dans les rangs Croisés, ceux-ci se sont mis à la chanter.

    Mais lorsqu'ils ont enfin levé la visière de leur casque et ont pu apercevoir les armées royales approcher, non seulement ils ont fui de Toulouse, mais ils ont aussi traversé l'Armagnac, histoire de mettre un comté de plus entre les armées royales et les leurs.

    Courageux parfois mais jamais téméraires, les Croisés sont en voie de disparition.

    Nous adressons nos plus sincères regrets à Rehael qui, visiblement bien mal informé de la situation, s'est livré au péché d'orgueil et doit se sentir bien idiot en ces jours ou la vérité est mise à nue.


    Puisse Dieu lui pardonner le désastre dans lequel il entraine l'église romaine.


    Ainsi nous apportons la vérité.
    Rédigée au Louvre le 5 de Mai 1461.










Code:
[quote] [color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]


[list][list][size=16]À Nos officiers et feudataires,
À Nos sujets & à Notre peuple,
À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
Salut.[/size]
[/list][/list]



[list][b][size=18][color=indigo]De la France victorieuse à Toulouse.[/color][/size][/b]




[b]La nuit du 22 au 23 avril a vu l'armée Croisée d'Hercule remporter une  éclatante et ô combien glorieuse victoire sur une armée... quasiment vide.
La victoire étant chose peu courante dans les rangs Croisés, ceux-ci se sont mis à la chanter.

Mais lorsqu'ils ont enfin levé la visière de leur casque et ont pu apercevoir les armées royales approcher, non seulement ils ont fui de Toulouse, mais ils ont aussi traversé l'Armagnac, histoire de mettre un comté de plus entre les armées royales et les leurs.

Courageux parfois mais jamais téméraires, les Croisés sont en voie de disparition.

Nous adressons nos plus sincères regrets à Rehael qui, visiblement bien mal informé de la situation, s'est livré au péché d'orgueil et doit se sentir bien idiot en ces jours ou la vérité est mise à nue.


Puisse Dieu lui pardonner le désastre dans lequel il entraine l'église romaine.


Ainsi nous apportons la vérité.
Rédigée au Louvre le 5 de Mai 1461.[/b][/list]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]

[/quote]

_________________
Eusaias
Citation:


            Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


        À tous ceux qui liront ou se feront lire,
        Salut et paix.


    Il nous plaît d'exprimer notre entier accord avec la décision de notre hérauderie royale annoncée par le biais de Montjoie en ce qui a trait au non-octroi d'un fief de retraite à Messire Cerberos d'Armantia.

    Nous reconnaissons que Messire d'Armantia nous a apporté son support par le passé et bien que nous ne l'ayons guère oublié, nous ne pouvons ce jour d'hui lui accorder ce qu'il désire.

    Iceluy s'est certes rendu coupable non seulement de négligence vis-à-vis ses devoirs envers son suzerain, ses vassaux et l'ensemble du brave peuple limousin au cours de son mandat à la tête du Limousin et de la Marche, mais aussi d'arrogance en osant venir réclamer justice alors même qu'il était en état de délinquance et d'usurpation de titre.

    Le Très Haut veille sur lui.

    Rédigé au Louvre le 7 mai 1461.









Code:
[quote][list][img]http://i45.servimg.com/u/f45/11/45/86/54/roieus10.png[/img]

[list][list][list][list][size=18]Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France [/size][/list][/list][/list][/list]
[list][list][size=14]
À tous ceux qui liront ou se feront lire,
Salut et paix.[/size][/list][/list]

[b]Il nous plaît d'exprimer notre entier accord avec la décision de notre hérauderie royale annoncée par le biais de [i]Montjoie[/i] en ce qui a trait au non-octroi d'un fief de retraite à Messire Cerberos d'Armantia.

Nous reconnaissons que Messire d'Armantia nous a apporté son support par le passé et bien que nous ne l'ayons guère oublié, nous ne pouvons ce jour d'hui lui accorder ce qu'il désire.

Iceluy s'est certes rendu coupable non seulement de négligence vis-à-vis ses devoirs envers son suzerain, ses vassaux et l'ensemble du brave peuple limousin au cours de son mandat à la tête du Limousin et de la Marche, mais aussi d'arrogance en osant venir réclamer justice alors même qu'il était en état de délinquance et d'usurpation de titre.

Le Très Haut veille sur lui.

Rédigé au Louvre le 7 mai 1461.[/b][/list]


[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img][/quote]

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Eusaias
Citation:


            Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


        A Maltea di Favara, Régente de Champagne,
        Au peuple de Champagne,
        À tous ceux qui liront ou se feront lire,
        Salut et paix.


    Nous, Eusaias Blanc Combaz, Roy de France par la volonté du Très-Haut, après avoir pris connaissance de votre requête concernant les Loys Fondamentales champenoises instaurées par Cerberos d'Armantia, annonçons ce jour abonder en votre sens et vous accorder votre souhait, à savoir, celui de les abroger afin de reprendre votre ancien codex.

    Néanmoins, vous aurez pour mission de remettre au gout du jour cet ouvrage poussiéreux, trop complexe et trop lourd à notre gout, le mettant ainsi en conformité avec les loys Royales.

    Rédigée au Louvre le 7 mai 1461.









Code:
[quote][list][img]http://i45.servimg.com/u/f45/11/45/86/54/roieus10.png[/img]

[list][list][list][list][size=18]Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France [/size][/list][/list][/list][/list]
[list][list][size=14]
A Maltea di Favara, Régente de Champagne,
Au peuple de Champagne,
À tous ceux qui liront ou se feront lire,
Salut et paix.[/size][/list][/list]

[b]Nous, Eusaias Blanc Combaz, Roy de France par la volonté du Très-Haut, après avoir pris connaissance de votre requête concernant les Loys Fondamentales champenoises instaurées par Cerberos d'Armantia,  annonçons ce jour abonder en votre sens et vous accorder votre souhait, à savoir,  celui de les abroger afin de reprendre votre ancien codex.

Néanmoins, vous aurez pour mission de remettre au gout du jour cet ouvrage poussiéreux, trop complexe et trop lourd à notre gout, le mettant ainsi en conformité avec les loys Royales.

 Rédigée au Louvre le 7 mai 1461.[/b][/list]


[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img][/quote]

_________________
Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


        À nos clercs loyalistes,
        Aux esprits féaux du Royaume de France,
        À l'ensemble de Nos sujets,
        À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.




J'ai passé ma vie entière à conseiller aux hommes de ne pas ....


    En ce jour du 8 Mai 1461, nous sommes heureux de faire connaître la vérité.

    Il y a plusieurs longs mois l’Église romaine découvrait des tablettes enfouies depuis longtemps et après maintes longues heures de recherches, Rome se rendit compte que ces tablettes étaient écrites par Aristote en personne.

    Avant que nous ne soyons couronné Roi de France, nous avions alors entrepris d’engager mercenaires et aventuriers afin de nous emparer de ces trésors. Puis, des corsaires français s’engagèrent aux côtés de nos hommes afin de faire triompher la France dans cette course folle vers les origines de notre religion.

    C’est dans les eaux ottomanes que notre dévouée expédition s'est retrouvée sous les feux de pirates grecs. Ces derniers ont fait échouer d’un cheveu le triomphe de tous les Français.

    Cependant, les autorités gréco-ottomanes ayant trouvé la sainte relique, à savoir le testament d’Aristote, loué soit-il, nous ont fourni traduction précise par le biais d'intermédiaires français.

    La voilà :

    Citation:
    Il est clair que je ne verrai pas la nouvelle lune. Et cependant, tant s'en faut que la volonté de Dieu soit accomplie. Néanmoins, le chemin de ma vie recevra une prompte fin.

    Sain d'esprit, je veux écrire mon testament ; en effet, il me semble que je ne suis pas capable de l'exposer par des paroles. Il me reste peu de temps et les dernières forces de mon corps vont acquitter le dernier de mes dons à Séleucus et à ses descendants.

    Hier, j'ai de nouveau vu en songe la cité en son terme.

    J'ai pensé que je serais reçu en frère, mais j'ai accueilli cette pensée avec indifférence. Tout était à la fois semblable et différent. Là, j'ai reconnu de vue plusieurs personnes ; cette fois encore, la cité était répartie en trois classes : celle des cultivateurs, celle des gardiens et celles des philosophes-rois ; cependant, la concorde était de façade. Alors j'ai pris peur. Le premier songe serait-il donc un vain mensonge, une vaine fantasmagorie ?

    En considérant avec plus de soin cet ordre politique, je me suis aperçu que les philosophes-rois, ceux du moins qui sont des aristocrates et des prêtres, s'étaient placés à l'écart des autres citoyens. Seuls instruits dans la philosophie et les mystères sacrés, ils interdisaient aux autres citoyens de philosopher, c'est à dire de méditer sur le sens des textes sacrés.

    Et c'est vraiment honteux ; ils s'approprient la liberté de diriger les cérémonies nécessaires pour accueillir les hommes à la face de Dieu, et cette liberté, ils se l'accordent au travers d'un culte, comme si la piété n'était pas suffisante pour consacrer un homme à Dieu. Ainsi, ils deviennent une caste très différente des hommes, refusant même d'engendrer des descendants à qui ils transmettraient, par le sang, la nature de leur âme.

    "Dans cette ville il n'y avait plus d'unité, le respect et l'amour d'autrui fut détruit dès que fut détruite l'égalité devant les lois... N'était permise une amitié réelle qu'entre ceux de même caste. En même temps, les nobles étant les seuls à être instruits de philosophie et des choses sacrées par l'étude des mystères, ne se distinguaient pas particulièrement par leur instruction ni leur maîtrise de soi puisqu'ils opprimaient les autres.

    En réalité, les philosophes-rois contrôlaient et interdisaient, en brandissant les signes distinctifs du pouvoir, et n'agissaient pas autrement que despotiquement en interdisant les services du culte à la majorité des fidèles. Il était nécessaire que les prêtres utilisent ces nombreuses assemblées pour inciter le peuple à examiner les choses divines, ce qu'elles nous enseignent, les discuter et contester. Et encore bien plus, il était nécessaire que quelques uns de ces prêtres aillent à la rencontre des fidèles porter partout la parole divine.

    De plus, j'avais le sentiment que les philosophes-rois commandant aux offices religieux rendaient aussi culte à Bacchus. Beaucoup étaient en effet enivrés, et ils ne cherchaient pas à détourner les fidèles de ces débauches, dont beaucoup s'adonnaient sous l'effet de l'ivresse.

    Je pleurai en silence, affligé par le chagrin et mouillai un côté de ma tête.

    À mon réveil en me relevant, je songeai à mes descendants. A Théophraste, il sera enjoint d'achever la construction de cette ville et surveiller qu'elle ne devienne pas corrompue. Que ce dernier songe leur soit un conseil sur la conduite à avoir.

    Que la moitié de la nourriture rassemblée ainsi que de quoi s'étendre soient distribués à tous les mendiants de la ville.

    Que le vin entreposé dans les caves de la cité soit donné à ma très chère petite-fille Poseidonia.

    Que les tablettes orientales soit rassemblées, mises et cachées en lieu sûr.
    Il ne faut pas que les personnes mal intentionnées puissent jamais le savoir.

    J'espère que dans les temps à venir, il sera permis dans la cité achevée de re-dévoiler les mystères de ces tablettes.

    Puisse le repas préparé en l'honneur de mon départ vers Dieu être abondant, agréable et qu'il ne soit pas fait de crustacé. J'ai toujours pensé qu'ils sont dégoûtants et démoniaques.
    Puisse mon corps être entièrement brûlé sur un bûcher de bois se consumant lentement ...

    J'ai passé ma vie entière à conseiller aux hommes de ne pas ....
    ...
    ...
    En Chalcidie...
    Aristote ...



    Nous ne doutons pas un seul instant que Rome niera ce qui avait été dit par Aristote lui-même et déclarera fausses les tablettes écrites par le Prophète. Pourquoi se priverait-elle de son pouvoir?

    Alors que Levan l’abdicateur avait compris que le peuple devait élire leur roi, leur duc, leur comte et leur maire, Rome continuera à mentir pour garder le contrôle des gens, les guidant ainsi vers le Sans-Nom.


    Que tous ceux qui douteraient de nos propos aillent en Macédonie afin de voir par leurs yeux les propos du Prophète.


    « Et c'est vraiment honteux ; ils s'approprient la liberté de diriger les cérémonies nécessaires pour accueillir les hommes à la face de Dieu, et cette liberté, ils se l'accordent au travers d'un culte, comme si la piété n'était pas suffisante pour consacrer un homme à Dieu. Ainsi, ils deviennent une caste très différente des hommes, refusant même d'engendrer des descendants à qui ils transmettraient, par le sang, la nature de leur âme. »



    Pour La France, Pour Aristote !























Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]


[list][list][list][size=16]À nos clercs loyalistes,
Aux esprits féaux du Royaume de France,
À l'ensemble de Nos sujets,
À tous ceux qui la présente liront ou se feront lire.[/size]
[/list][/list][/list]


[size=18][i][b][color=darkblue]J'ai passé ma vie entière à conseiller aux hommes de ne pas ....[/color][/b][/i][/size]


[list]En ce jour du 8 Mai 1461, [b]nous sommes heureux de faire connaître la vérité.[/b]

Il y a plusieurs longs mois [b]l’Église romaine découvrait des tablettes enfouies depuis longtemps et après maintes longues heures de recherches, Rome se rendit compte que ces tablettes étaient écrites par Aristote en personne.[/b]

Avant que nous ne soyons couronné Roi de France, nous avions alors entrepris d’engager mercenaires et aventuriers afin de nous emparer de ces trésors. Puis, des corsaires français s’engagèrent aux côtés de nos hommes afin de faire triompher la France dans cette course folle vers les origines de notre religion.

C’est dans les eaux ottomanes que notre dévouée expédition s'est retrouvée sous les feux de pirates grecs. Ces derniers ont fait échouer d’un cheveu le triomphe de tous les Français.

Cependant,[b] les autorités gréco-ottomanes ayant trouvé la sainte relique, à savoir le testament d’Aristote, loué soit-il, nous ont fourni traduction précise par le biais d'intermédiaires français.[/b]

La voilà :

[quote][i]Il est clair que je ne verrai pas la nouvelle lune. Et cependant, tant s'en faut que la volonté de Dieu soit accomplie. Néanmoins, le chemin de ma vie recevra une prompte fin.

[b]Sain d'esprit, je veux écrire mon testament[/b] ; en effet, il me semble que je ne suis pas capable de l'exposer par des paroles. Il me reste peu de temps et les dernières forces de mon corps vont acquitter le dernier de mes dons à Séleucus et à ses descendants.

Hier, j'ai de nouveau vu en songe la cité en son terme.

J'ai pensé que je serais reçu en frère, mais j'ai accueilli cette pensée avec indifférence. Tout était à la fois semblable et différent. Là, j'ai reconnu de vue plusieurs personnes ; cette fois encore, la cité était répartie en trois classes : celle des cultivateurs, celle des gardiens et celles des philosophes-rois ; cependant, la concorde était de façade. Alors j'ai pris peur. Le premier songe serait-il donc un vain mensonge, une vaine fantasmagorie ?

En considérant avec plus de soin cet ordre politique, [b]je me suis aperçu que les philosophes-rois, ceux du moins qui sont des aristocrates et des prêtres, s'étaient placés à l'écart des autres citoyens.[/b] Seuls instruits dans la philosophie et les mystères sacrés, ils interdisaient aux autres citoyens de philosopher, c'est à dire de méditer sur le sens des textes sacrés.

[b]Et c'est vraiment honteux ; ils s'approprient la liberté de diriger les cérémonies nécessaires pour accueillir les hommes à la face de Dieu, et cette liberté, ils se l'accordent au travers d'un culte, comme si la piété n'était pas suffisante pour consacrer un homme à Dieu. Ainsi, ils deviennent une caste très différente des hommes, refusant même d'engendrer des descendants à qui ils transmettraient, par le sang, la nature de leur âme.[/b]

"Dans cette ville il n'y avait plus d'unité, le respect et l'amour d'autrui fut détruit dès que fut détruite l'égalité devant les lois... N'était permise une amitié réelle qu'entre ceux de même caste. En même temps, les nobles étant les seuls à être instruits de philosophie et des choses sacrées par l'étude des mystères, ne se distinguaient pas particulièrement par leur instruction ni leur maîtrise de soi puisqu'ils opprimaient les autres.

[b]En réalité, les philosophes-rois contrôlaient et interdisaient, en brandissant les signes distinctifs du pouvoir, et n'agissaient pas autrement que despotiquement en interdisant les services du culte à la majorité des fidèles.[/b] Il était nécessaire que les prêtres utilisent ces nombreuses assemblées pour inciter le peuple à examiner les choses divines, ce qu'elles nous enseignent, les discuter et contester. Et encore bien plus, il était nécessaire que quelques uns de ces prêtres aillent à la rencontre des fidèles porter partout la parole divine.

De plus, j'avais le sentiment que les philosophes-rois commandant aux offices religieux rendaient aussi culte à Bacchus. Beaucoup étaient en effet enivrés, et ils ne cherchaient pas à détourner les fidèles de ces débauches, dont beaucoup s'adonnaient sous l'effet de l'ivresse.

[b]Je pleurai en silence, affligé par le chagrin et mouillai un côté de ma tête.[/b]

À mon réveil en me relevant, je songeai à mes descendants. A Théophraste, il sera enjoint d'achever la construction de cette ville et surveiller qu'elle ne devienne pas corrompue. Que ce dernier songe leur soit un conseil sur la conduite à avoir.

Que la moitié de la nourriture rassemblée ainsi que de quoi s'étendre soient distribués à tous les mendiants de la ville.

Que le vin entreposé dans les caves de la cité soit donné à ma très chère petite-fille Poseidonia.

Que les tablettes orientales soit rassemblées, mises et cachées en lieu sûr.
Il ne faut pas que les personnes mal intentionnées puissent jamais le savoir.

[b]J'espère que dans les temps à venir, il sera permis dans la cité achevée de re-dévoiler les mystères de ces tablettes.[/b]

Puisse le repas préparé en l'honneur de mon départ vers Dieu être abondant, agréable et qu'il ne soit pas fait de crustacé. J'ai toujours pensé qu'ils sont dégoûtants et démoniaques.
Puisse mon corps être entièrement brûlé sur un bûcher de bois se consumant lentement ...

[b]J'ai passé ma vie entière à conseiller aux hommes de ne pas ....[/b]
...
...
En Chalcidie...
Aristote ...[/i][/quote]


[b]Nous ne doutons pas un seul instant que Rome niera ce qui avait été dit par Aristote lui-même et déclarera fausses les tablettes écrites par le Prophète. Pourquoi se priverait-elle de son pouvoir?
 
Alors que Levan l’abdicateur avait compris que le peuple devait élire leur roi, leur duc, leur comte et leur maire, Rome continuera à mentir pour garder le contrôle des gens, les guidant ainsi vers le Sans-Nom.[/b]

Que tous ceux qui douteraient de nos propos aillent en Macédonie afin de voir par leurs yeux les propos du Prophète.


[i]« Et c'est vraiment honteux ; ils s'approprient la liberté de diriger les cérémonies nécessaires pour accueillir les hommes à la face de Dieu, et cette liberté, ils se l'accordent au travers d'un culte, comme si la piété n'était pas suffisante pour consacrer un homme à Dieu. Ainsi, ils deviennent une caste très différente des hommes, refusant même d'engendrer des descendants à qui ils transmettraient, par le sang, la nature de leur âme. »[/i]



[b]Pour La France, Pour Aristote ![/b][/list]


[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img][/quote]

_________________
Eusaias
Citation:


          Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      À Baillant, Régent du Poitou, à Choupi Comte renversé et membre du conseil de régence du Poitou,
      À Millie, Duchesse de Guyenne,
      À Maltea di Favara, Régente de Champagne,
      À Ninouchka, Duchesse d'Orléans, à Mélina de Valverde, Gouverneur d'Orléans,
      À Rotule Baccard, Duc du Lyonnais Dauphiné,
      Au beau Cardinal, régent de Bourgogne, à Antonio, Duc renversé de Bourgogne,
      À Mathilde, Duchesse du Bourbonnais et de l'Auvergne,
      Aux peuples de toutes ces provinces,
      Aux volontaires et aux bonnes volontés de Provence,

      À tous ceux qui liront ou se feront lire,
      Salut et paix.



    Nous, Eusaias Blanc Combaz, Roy de France par la volonté du Très-Haut, tenons à féliciter solennellement le Comté du Poitou pour sa sanglante revanche remportée contre la horde édentée, déguenillée et malfaisante menée par le triste Thoros et à louer les mérites de la Guyenne pour lui avoir apporté son soutien malgré sa situation délicate dans le Midi. Nous leur adressons les plus vifs sentiments qu'expriment Notre fierté, car il est toujours satisfaisant pour un Roy de voir ses vassaux s'entraider dans une lutte commune contre la prolifération criminelle et Nous espérons qu'une telle collaboration constituera dans l'avenir proche et éloigné un exemple pour tous ceux qui cherchent à déstabiliser la saine et nécessaire unité Française.

    Pareillement adressons-Nous nos applaudissements à Notre Domaine Royal, au Lyonnais et au Dauphiné, à la Bourgogne, au Bourbonnais et à l'Auvergne, mais également à la Provence, dans leur victoire coalisée contre les routiers indigents et va-nu-pieds du Fatum et de l'Eldorado.

    Enfin, nous profitons de la présente annonce pour complimenter l'Empire au regard de leur victoire remportée sur les fourbes de Genève qui ont une fois de plus démontré toute la lâcheté et l'imposture dont ils étaient capables. Lâcheté dans le combat. Imposture dans la religion. Tel est le vrai visage Helvète, derrière les hygiéniques apparences de ses alpages. Empire, cette fois-ci, nos remerciements te vont, car il serait malhonnête de ne pas reconnaître que ce succès décisif a considérablement accéléré le processus d'annihilation des armées criminelles ennemies sillonnant le continent. De même Nous tenons à remercions la Franche-Comté pour l'aide apportée à la France, marquant un tournant clé de nos rapports, dans une optique de réconciliation qui augure un avenir plus radieux dans sa relation avec la Couronne.


    Pour ce qu'une fois encore, la France ne saurait être plus forte et plus fière, que lorsqu'elle est unie dans l'alliage de sa Gloire.

    Hauts-les-coeurs !




    Au Palais du Louvre le 8e mai 1461.











Code:
[quote][img]http://i45.servimg.com/u/f45/11/45/86/54/roieus10.png[/img]

[list][list][list][list][size=18]Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France [/size][/list][/list][/list][/list]
[list][list][size=14]
À Baillant, Régent du Poitou, à Choupi Comte renversé et membre du conseil de régence du Poitou,
À Millie, Duchesse de Guyenne,
À Maltea di Favara, Régente de Champagne,
À Ninouchka, Duchesse d'Orléans, à Mélina de Valverde, Gouverneur d'Orléans,
À Rotule Baccard, Duc du Lyonnais Dauphiné,
Au beau Cardinal, régent de Bourgogne, à Antonio, Duc renversé de Bourgogne,
À Mathilde, Duchesse du Bourbonnais et de l'Auvergne,
Aux peuples de toutes ces provinces,
Aux volontaires et aux bonnes volontés de Provence,

À tous ceux qui liront ou se feront lire,
Salut et paix.[/size][/list][/list]


[list][b]Nous, Eusaias Blanc Combaz, Roy de France par la volonté du Très-Haut, tenons à féliciter solennellement le Comté du Poitou pour sa sanglante revanche remportée contre la horde édentée, déguenillée et malfaisante menée par le triste Thoros et à louer les mérites de la Guyenne pour lui avoir apporté son soutien malgré sa situation délicate dans le Midi. Nous leur adressons les plus vifs sentiments qu'expriment Notre fierté, car il est toujours satisfaisant pour un Roy de voir ses vassaux s'entraider dans une lutte commune contre la prolifération criminelle et Nous espérons qu'une telle collaboration constituera dans l'avenir proche et éloigné un exemple pour tous ceux qui cherchent à déstabiliser la saine et nécessaire unité Française.

Pareillement adressons-Nous nos applaudissements à Notre Domaine Royal, au Lyonnais et au Dauphiné, à la Bourgogne, au Bourbonnais et à l'Auvergne, mais également à la Provence, dans leur victoire coalisée contre les routiers indigents et va-nu-pieds du Fatum et de l'Eldorado.

Enfin, nous profitons de la présente annonce pour complimenter l'Empire au regard de leur victoire remportée sur les fourbes de Genève qui ont une fois de plus démontré toute la lâcheté et l'imposture dont ils étaient capables. Lâcheté dans le combat. Imposture dans la religion. Tel est le vrai visage Helvète, derrière les hygiéniques apparences de ses alpages. Empire, cette fois-ci, nos remerciements te vont, car il serait malhonnête de ne pas reconnaître que ce succès décisif a considérablement accéléré le processus d'annihilation des armées criminelles ennemies sillonnant le continent. De même Nous tenons à remercions la Franche-Comté pour l'aide apportée à la France, marquant un tournant clé de nos rapports, dans une optique de réconciliation qui augure un avenir plus radieux dans sa relation avec la Couronne.


Pour ce qu'une fois encore, la France ne saurait être plus forte et plus fière, que lorsqu'elle est unie dans l'alliage de sa Gloire.

Hauts-les-coeurs !




Au Palais du Louvre le 8e mai 1461.[/b][/list]


[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img][/quote]

_________________
Eusaias
Citation:
--------________________________----------------

--------________________________________----------------Traité des Ardennes






Préambule
« Afin d’honorer le Preux Godefroy de Bouillon, descendant du Grand Charlemagne, le Très Redouté et Très Puissant Roi de France, possesseur du Duché de Bouillon a décidé de rendre à celui-ci sa Souveraineté. »

Par ce Traité, Nous Eusaias Blanc Combaz, Roi de France, possesseur du duché de Bouillon rendons à Bouillon sa pleine souveraineté et par ce traité annulons les précédents le rattachant au domaine royal ainsi qu’à l’ile de France.




Article 1
Le Duché de Bouillon reconnaît la France comme un Royaume souverain, inaliénable et gouverné par son Roi et ses représentants.

Article 2
Le royaume de France reconnaît le duché de Bouillon et ses domaines comme Duché souverain, inaliénable et gouverné par son Duc et ses représentants.

Article 3
La France renonce à toute revendication territoriale sur le duché de Bouillon, reconnaît sa pleine autonomie, ses institutions, ses lois, sa noblesse, ainsi que son autorité légitime sur ses terres.

Article 4
Le duché de Bouillon renonce à toute revendication territoriale sur la France, reconnaît sa pleine autonomie, ses institutions, ses lois, sa noblesse, ainsi que son autorité légitime sur ses terres.

Article 5
La France et Bouillon s’engagent à ne plus prendre les armes l’une contre l’autre, s’interdisent toute forme d’hostilité économique non consenties. Elles se promettent ainsi une paix illimitée.

Article 6
Les signataires font le serment devant Dieu et devant les hommes de respecter ce traité, de l'appliquer honorablement et de veiller à sa pérennité.



Annexe 1 : Définitions

Souverain : qui est seul maître, qui détient un pouvoir unique et absolu. La souveraineté implique l’indépendance et exclue dès lors toute forme de soumission à une autre entité.

Hostilités économiques : actes commerciaux dont la nature ou l’ampleur ne correspondent pas à la pratique ordinaire du commerce et dont les conséquences provoquent une nuisance grave et avérée sur l’économie visée. La gravité de la nuisance devant s’apprécier par ses effets sur les caisses publiques et sur les marchés, qui devront représenter un coût important et difficilement supportable par la collectivité.



Fait le 20 Mai 1461 au Louvre.

Pour la France :
Eusaias Blanc Combaz Roi de France.





Pour Bouillon :
Eusaias Blanc Combaz, Duc Souverain de Bouillon





Citation:
Traité Frontalier du duché de Bouillon

Nous, la Haute Autorité impériale,
Nous, la Haute Autorité française,
Nous, l'Héritier ducal de Bouillon,

Conscients de la nécessité de garantir l'inviolabilité du territoire du duché de Bourgogne dans l'objectif de garantir des relations apaisées entre le dit duché et ses voisins du Royaume de France et de l'Empire Germanique, et après moult débats passionnés,

- Ratifions ce document qui entend entériner le travail et la recherche de la Hérauderie Royale de France.

- Avons décidé le traité suivant :

Article 1. DESCRIPTION PHYSIQUE

En son méridion, partant de son gué de Pussemange, la frontière du duché de Bouillon trace une séparation entre les forets domaniales de Sedan (Champagne-Royaume de France) et les bois et forêts se succédant de Bohan, Huqueni, Muno, longeant les fiefs et villages du Ban d'Alle, de Corbion pour ensuite traverser le bois puis le village du Banel et rejoindre le Fond Jamais au sud de Muno, sis en le duché de Bouillon. Contournant Lambermont, lui aussi de Bouillon, elle trace une ligne montant au septentrion qui rejoint la Semois non loin de Cugnon, laissant hors du duché Quatre-arbres, Sainte-Cécile et la foret de Chiny qui relèvent du dit comté de Chiny.
Longeant alors la Semois, elle délaisse Cugnon et rejoint à nouveau la foret domaniale d'Huqueni qu'elle laisse à sa gauche tandis qu'elle poursuit sa route au nord traversant le bois de Detoi, laissant à ses voisins Aubry sur Semois et Geripont. De là, elle fait un léger détour pour englober la seigneurie de Bertrix et ses appendances de Bohémont, Burhémont et Renaumont pour revenir longer le bois d'Otrouges et contourner Ochamps qui sont de Chiny, rejoindre Recogne qui est à Bouillon. Neuvilliers, Lamouline, Flohimont, Ourt, Bernimont, Wideumont, Remeau, Bougnimont, tous hameaux et village du duché de Bouillon croisent ensuite le chemin de la frontière, de même que les trois Freux et Jenneville. Suit alors un virage vers le Ponant, pour rejoindre Saint Hubert par le nord puis filer vers Mormont, Masbourg, Lesterny et revenir sur Grupont, toujours ducaux, tandis que Bure est délaissé à leur voisin. Tellin est la prochaine étape. La frontiere poursuit sa route le long du ruisseau qui de Tellin rejoint la Lesse par le nord, non loin de Belvaux.
La frontière file alors au Ponant, passant entre Ave l'étrangère et Auffe la bouillonnaise, rejoignant ses comparses Wellin et Lomprez mais dédaignant Froidlieu et Honnay pour rejoindre Froide-Fontaine.
Délaissant les enclaves de Gedinne sises en la seigneurie d'Orchimont appartenant aux voisins principautaires et ducaux et laissées à leurs bons soins, de meme que celles de Gembes et Porcheresse, elle longe Fays-Famenne pour atteindre Redu, sans prendre en considération Daverdisse. A hauteur de Sech'ry, elle longe alors la Lesse, rencontrant au passage Our, Be, Opont les bouillonnaises. Là, quittant le lit de la riviere, elle contourne le bois de la Grosse Haie, ignore Naomé et vise Saussur (Carlsbourg) la pairiale puis le moulin de Mitauge, suivi de Six-Planes pour atteindre la Semois à Vresse, toujours en terre de Bouillon.
Coupant à travers le bois de Bohan, elle termine sa course là où elle l'avait commencée, à Pussemange, non sans montrer que Sugny est au duché.

Article 2 : DU RÉGIME DES ENCLAVES

Aucune enclave ne saurait être reconnue par l'une ou l'autre des parties dans le territoire voisin.

De ce fait, les territoires et fiefs relevant de la baronnie de Hierges sont reconnus comme faisant partie du Royaume de France (en terre Champenoise).
Item que les terres de Sart-Custinne, Gedinne, Patignies, Malvoisin, Gembes, Porcheresse, Focant, Froidlieu, Lavaux Sainte Anne, Ave et Mochamps sont reconnues comme faisant partie du Saint Empire.

Article 3 : MAPPES

Pour illustrer leur propos et définir précisément le tracé de la frontière une carte a été établie.



Le Héraut d'Armes de Normandie - chargé de cette mission - s'est rendu sur place avec ses gens et a travaillé en intelligence avec les seigneurs et villes riveraines afin d'effectuer le bornage.

Article 4 : RATIFICATION

Ce Traité frontalier fixe une bonne fois pour toutes les frontières communes du duché de Bouillon.
Ces frontières sont inaliénables de par les Lois Héraldiques et sous couverts d’icelle.



Fait en le Château de Dijon, le 20 avril 1459.
Pour le duché de Bouillon,
Messire Eusaias Blanc Combaz, Héritier ducal


Fait à Strasbourg, le 08 mai 1459
Pour le Saint Empire Germanique,

Sa Majesté Alveran 1er de Varagine
Electus Romanorum Imperator et semper augustus





Fait en le Château du Louvre, le 4 Juillet 1459.
Pour le Royaume de France;
Sa Majesté la Reine Beatritz Castelmaure-Frayner,



Son Excellence Keridil d'Amahir-Euphor, Grand Ambassadeur Royal de France



Fait en la Chapelle Saint-Antoine-le Petit à Paris, le 4 Juillet 1459.
Pour la Hérauderie de France ;
Dame Perrinne de Gisors-Breuil dicte "Montjoye", roi d'Armes de France













Code:
[quote][color=transparent]--------________________________----------------[/color][img]http://img823.imageshack.us/img823/6900/sanstitre6fj.png[/img]

[color=transparent]--------________________________________----------------[/color][size=28][color=blue]Traité des Ardennes[/color][/size]






[size=18]Préambule [/size]
[color=darkred]« Afin d’honorer le Preux Godefroy de Bouillon, descendant du Grand Charlemagne, le Très Redouté et Très Puissant Roi de France, possesseur du Duché de Bouillon a décidé de rendre à celui-ci sa Souveraineté. »[/color]

[b]Par ce Traité, Nous Eusaias Blanc Combaz, Roi de France, possesseur du duché de Bouillon rendons à Bouillon sa pleine souveraineté et par ce traité annulons les précédents le rattachant au domaine royal ainsi qu’à l’ile de France.[/b]




[u][b]Article 1 [/b][/u]
Le Duché de Bouillon  reconnaît la France comme un Royaume souverain, inaliénable et gouverné par son Roi et ses représentants.

[u][b]Article 2 [/b][/u]
Le royaume de France reconnaît le duché de Bouillon et ses domaines comme Duché souverain, inaliénable et gouverné par son Duc et ses représentants.

[u][b]Article 3 [/b][/u]
La France renonce à toute revendication territoriale sur le duché de Bouillon, reconnaît sa pleine autonomie, ses institutions, ses lois, sa noblesse, ainsi que son autorité légitime sur ses terres.

[u][b]Article 4 [/b][/u]
Le duché de Bouillon renonce à toute revendication territoriale sur la France, reconnaît sa pleine autonomie, ses institutions, ses lois, sa noblesse, ainsi que son autorité légitime sur ses terres.

[u][b]Article 5 [/b][/u]
La France et Bouillon s’engagent à ne plus prendre les armes l’une contre l’autre, s’interdisent toute forme d’hostilité économique non consenties. Elles se promettent ainsi une paix illimitée.

[u][b]Article 6[/b][/u]
Les signataires font le serment devant Dieu et devant les hommes de respecter ce traité, de l'appliquer honorablement et de veiller à sa pérennité.



[i]Annexe 1 : Définitions [/i]

Souverain : qui est seul maître, qui détient un pouvoir unique et absolu. La souveraineté implique l’indépendance et exclue dès lors toute forme de soumission à une autre entité.

Hostilités économiques : actes commerciaux dont la nature ou l’ampleur ne correspondent pas à la pratique ordinaire du commerce et dont les conséquences provoquent une nuisance grave et avérée sur l’économie visée. La gravité de la nuisance devant s’apprécier par ses effets sur les caisses publiques et sur les marchés, qui devront représenter un coût important et difficilement supportable par la collectivité.



Fait le 20 Mai 1461 au Louvre.

Pour la France :
Eusaias Blanc Combaz Roi de France.
[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyvert.png[/img]



Pour Bouillon :
Eusaias Blanc Combaz, Duc Souverain de Bouillon
[img]http://img823.imageshack.us/img823/2888/sceaueusaiasvert.png[/img]


[/quote]

[quote][size=18][b]Traité Frontalier du duché de Bouillon[/b][/size]

Nous, la Haute Autorité impériale,
Nous, la Haute Autorité française,
Nous, l'Héritier ducal de Bouillon,

Conscients de la nécessité de garantir l'inviolabilité du territoire du duché de Bourgogne dans l'objectif de garantir des relations apaisées entre le dit duché et ses voisins du Royaume de France et de l'Empire Germanique, et après moult débats passionnés,

- Ratifions ce document qui entend entériner le travail et la recherche de la Hérauderie Royale de France.

- Avons décidé le traité suivant :

[b]Article 1. DESCRIPTION PHYSIQUE[/b]

En son méridion, partant de son gué de Pussemange, la frontière du duché de Bouillon trace une séparation entre les forets domaniales de Sedan (Champagne-Royaume de France) et les bois et forêts se succédant de Bohan, Huqueni, Muno, longeant les fiefs et villages du Ban d'Alle, de Corbion pour ensuite traverser le bois puis le village du Banel et rejoindre le Fond Jamais au sud de Muno, sis en le duché de Bouillon. Contournant Lambermont, lui aussi de Bouillon, elle trace une ligne montant au septentrion qui rejoint la Semois non loin de Cugnon, laissant hors du duché Quatre-arbres, Sainte-Cécile et la foret de Chiny qui relèvent du dit comté de Chiny.
Longeant alors la Semois, elle délaisse Cugnon et rejoint à nouveau la foret domaniale d'Huqueni qu'elle laisse à sa gauche tandis qu'elle poursuit sa route au nord traversant le bois de Detoi, laissant à ses voisins Aubry sur Semois et Geripont. De là, elle fait un léger détour pour englober la seigneurie de Bertrix et ses appendances de Bohémont, Burhémont et Renaumont pour revenir longer le bois d'Otrouges et contourner Ochamps qui sont de Chiny, rejoindre Recogne qui est à Bouillon. Neuvilliers, Lamouline, Flohimont, Ourt, Bernimont, Wideumont, Remeau, Bougnimont, tous hameaux et village du duché de Bouillon croisent ensuite le chemin de la frontière, de même que les trois Freux et Jenneville. Suit alors un virage vers le Ponant, pour rejoindre Saint Hubert par le nord puis filer vers Mormont, Masbourg, Lesterny et revenir sur Grupont, toujours ducaux, tandis que Bure est délaissé à leur voisin. Tellin est la prochaine étape. La frontiere poursuit sa route le long du ruisseau qui de Tellin rejoint la Lesse par le nord, non loin de Belvaux.
La frontière file alors au Ponant, passant entre Ave l'étrangère et Auffe la bouillonnaise, rejoignant ses comparses Wellin et Lomprez mais dédaignant Froidlieu et Honnay pour rejoindre Froide-Fontaine.
Délaissant les enclaves de Gedinne sises en la seigneurie d'Orchimont appartenant aux voisins principautaires et ducaux et laissées à leurs bons soins, de meme que celles de Gembes et Porcheresse, elle longe Fays-Famenne pour atteindre Redu, sans prendre en considération Daverdisse. A hauteur de Sech'ry, elle longe alors la Lesse, rencontrant au passage Our, Be, Opont les bouillonnaises. Là, quittant le lit de la riviere, elle contourne le bois de la Grosse Haie, ignore Naomé et vise Saussur (Carlsbourg) la pairiale puis le moulin de Mitauge, suivi de Six-Planes pour atteindre la Semois à Vresse, toujours en terre de Bouillon.
Coupant à travers le bois de Bohan, elle termine sa course là où elle l'avait commencée, à Pussemange, non sans montrer que Sugny est au duché.

[b]Article 2 : DU RÉGIME DES ENCLAVES[/b]

Aucune enclave ne saurait être reconnue par l'une ou l'autre des parties dans le territoire voisin.

De ce fait, les territoires et fiefs relevant de la baronnie de Hierges sont reconnus comme faisant partie du Royaume de France (en terre Champenoise).
Item que les terres de Sart-Custinne, Gedinne, Patignies, Malvoisin, Gembes, Porcheresse, Focant, Froidlieu, Lavaux Sainte Anne, Ave et Mochamps sont reconnues comme faisant partie du Saint Empire.

[b]Article 3 : MAPPES[/b]

Pour illustrer leur propos et définir précisément le tracé de la frontière une carte a été établie.
[img]http://i24.servimg.com/u/f24/11/14/52/95/th/bouill10.jpg[/img]
 

Le Héraut d'Armes de Normandie - chargé de cette mission - s'est rendu sur place avec ses gens et a travaillé en intelligence avec les seigneurs et villes riveraines afin d'effectuer le bornage.

[b]Article 4 : RATIFICATION[/b]

Ce Traité frontalier fixe une bonne fois pour toutes les frontières communes du duché de Bouillon.
Ces frontières sont inaliénables de par les Lois Héraldiques et sous couverts d’icelle.



Fait en le Château de Dijon, le 20 avril 1459.
Pour le duché de Bouillon,
[b]Messire Eusaias Blanc Combaz, Héritier ducal[/b]
[img]http://img4.imageshack.us/img4/9589/sceaueusaiasjaune.png[/img]

Fait à Strasbourg, le 08 mai 1459
Pour le Saint Empire Germanique,

[b]Sa Majesté Alveran 1er de Varagine
Electus Romanorum Imperator et semper augustus[/b]

[img]http://s3.imgimg.de/uploads/AlveranKopie1a9cb9e5cpng.png[/img]


Fait en le Château du Louvre, le 4 Juillet 1459.
Pour le Royaume de France;
[b]Sa Majesté la Reine Beatritz Castelmaure-Frayner, [/b]
 
[img]http://elissa.serenity-ff.com/RR/reineVert.png[/img]

[b]Son Excellence Keridil d'Amahir-Euphor, Grand Ambassadeur Royal de France[/b]

[img]http://img4.hostingpics.net/pics/196746sceaukeridilvert.png[/img]

Fait en la Chapelle Saint-Antoine-le Petit à Paris, le 4 Juillet 1459.
Pour la Hérauderie de France ;
[b]Dame Perrinne de Gisors-Breuil dicte "Montjoye", roi d'Armes de France[/b][/quote]

_________________
Eusaias
Citation:


          Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France



      À tous ceux qui liront ou se feront lire,
      Salut et paix.



    Nous, Eusaias Blanc Combaz, Roy de France par la volonté du Très-Haut, annonçons avec une immense solennité, la fin des tractations de couloir et des discussions privées avec l'Empire, ou la forme de relations qui a donné lieu sous le règne du triste Empereur Fenthick à un pitoyable cirque social. Or, Nous n'avons point vécu tant d'années pour qu'un fils d'ivrogne se paie Notre tête. De ses inconséquences, les ardents défenseurs de la paix et de l'amitié Franco-Impériale ont gravement pâti et nous savons que leurs cœurs ont été ces derniers mois si abattus et consternés que nombre d'entre eux ne songeaient plus qu'à mourir au point d'envier le sort de Rome.

    Or, s'il arrive que Nous ayons à juger un de nos ennemis, Nous ne manquons pas d'oublier qu'il Nous a offensé pour ne considérer que la vérité des faits. C'est dans ces conditions de morale, des responsabilité et de loyauté l'un envers l'autre que le Royaume de France et le Saint Empire ont scellé bonne et honorable paix. Qu'il soit su que ces deux blocs colossaux tiennent désormais l'un et l'autre dans les fontes de leurs selles deux pistolets chargés qui ne leur serviront guère contre les fléaux de la maladie, mais d'aventure, contre la malignité des Hommes de peu de foi. Pour qu'à dater de ce jour, la France et l'Empire ne combattent jamais plus face à face, mais dos à dos, face aux cohortes malfaisantes inspirées par le Sans Nom.

    Qu'il en soit ainsi, et heureusement.


    Au Palais du Louvre le 20e mai 1461.








Citation:
Traité de Bolchen – Traité de paix perpétuelle entre le Royaume de France et le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae

    Préambule.

    Conscients de la nécessité de garantir l'inviolabilité de nos territoires respectifs dans l'objectif de garantir des relations apaisées entre nos deux Nations, le présent traité se veut instaurer les modalités de non agression, de reconnaissance, et d'amitié entre le Royaume de France et le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae.


    I De la reconnaissance.


    1.1 Par le présent écrit, les deux parties se reconnaissent mutuellement comme nation établie et reconnaissent également leurs frontières ainsi que chacun de leurs représentants dans leurs fonctions et charges qui leur ont été attribuées par chacune des autorités.

    1.2 Le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae reconnaît Eusaias Blanc-Combaz comme souverain du Royaume de France, et Agnès de Saint Just, Reyne de France. Le Royaume de France, reconnaît Ludwig von Frayner comme Empereur du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae.

    1.3 Le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae et le Royaume de France reconnaissent mutuellement leur noblesse et les droits de celle-ci, ainsi que toute nouvelle nomination, élévation, anoblissement, destitution, légitimes et reconnus par les institutions Royales ou Impériales.

    1.4 Le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae et le Royaume de France reconnaissent mutuellement leur pouvoir, leurs lois et leurs coutûmes.

    1.5 Le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae s'engage à ne pas reconnaître l'indépendance d'éléments félons au sein du Domaine Royal et au sein des provinces vassales du Royaume de France.
    Le Royaume de France s'engage à ne pas reconnaître l'indépendance d'éléments félons au sein du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae.



    II De la Non agression.


    2.1 Par la présente, les deux parties signataires s’engagent à ne point interférer et ce par quelque manière que ce soit dans la gestion des affaires souveraines de l'autre, sauf demande expresse, signée, scellée de celui-ci..

    2.2 Il est établi que hormis cas de crise nécessitant fermetures des frontières, les citoyens françois et impériaux sont autorisés à voyager à travers les deux nations. Cette autorisation s'applique aussi aux membres des ordres de chevalerie reconnus par une des deux parties, et ne peut leur être retirée à cause de leur appartenance aux-dits ordres de chevalerie. Cependant, les dits passages devront être conformes aux différentes réglementations instaurées par les autorités concernées.

    2.3 Dans le cas où un Duché/Comté du Domaine Royal ou vassal du Royaume de France viendrait à déclarer une guerre à une province impériale, le Royaume de France s'engage à tout mettre en œuvre pour rappeler la province à l'ordre et s'engage à ne pas lui prester assistance.

    Dans le cas où une province impériale viendrait à déclarer une guerre à un Duché/Comté du Domaine Royal ou vassal du Royaume de France, le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae s'engage à tout mettre en œuvre pour rappeler la province à l'ordre et s'engage à ne pas lui prester assistance.


    2.4 Dans le cas où un Duché/Comté du Domaine Royal ou vassal du Royaume de France viendrait à donner agrément à une armée hostile au Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae ou à une de ses provinces, le Royaume de France s'engage à prendre toutes les mesures nécessaires (sanctions si besoin en était), pour mettre un terme à cette collaboration criminelle.

    Dans le cas où une province impériale viendrait à donner agrément à une armée hostile à un Duché/Comté du Domaine Royal ou vassal du Royaume de France, le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae s'engage à prendre toutes les mesures nécessaires (sanctions si besoin en était), pour mettre un terme à cette collaboration criminelle.


    2.5 Cette entente ne crée aucune obligation de défense mutuelle. Cependant chacune des deux parties contractantes peut, sur ordre du Roy de France ou de l'Empereur du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae, venir en aide à l'autre.


    III De l'amitié.


    3.1 Les parties contractantes s’engagent à favoriser toute entente commerciale et judiciaire entre elles. En partenaires civilisées et bienveillantes, elles laissent les autorités de leurs provinces le choix d'en établir les modalités via des traités.

    3.2 Les parties contractantes s’engagent à faciliter le partage de leurs informations, quand cela est nécessaire. Les deux contrées s'apporteront mutuellement du soutien technique et logistique dans la mesure du possible. Ces informations peuvent porter sur toutes questions d’ordre militaires, stratégiques, concernant la sécurité intérieure ou des menaces brigandines.

    3.3 De même une ambassade accueillera toujours les émissaires françois en la Diplomatie Impériale et les émissaires Impériaux en la diplomatie Françoise.


    IV De la Pérénité.


    4.1 Si l'une des deux parties voulait modifier le présent traité, il lui suffirait de le stipuler aux autorités diplomatiques de l'autre partie en motivant la dite demande. Par accord mutuel, la réécriture du traité peut être effectuée dans son intégralité ou partiellement.

    4.2 Si l'une des deux parties voulait annuler le dit traité, il suffirait d'en faire part via déclaration signée et scellée à l'autre partie en explicitant les motifs de l'annulation.

    4.3 En cas de non-respect d’un des articles de ce traité, ou en cas de déclaration de guerre le dit traité serait de fait caduc.

    4.4 Ce traité entrera en vigueur dès sa publication et engagera les deux parties contractantes bien au delà du règne des signataires et de leurs représentants.



Signé et scellé le Mercredi 15 Mai MCLDXI

    Pour le Royaume de France


    Sa Majesté Eusaias Blanc-Combaz,
    Roy de France.




    Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,
    Grande Ambassadrice Royale de France




    Pour le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae,


     





    Salome von Löwenstern,
    Chancelier Impérial








Citation:
- Treaty of Bolchen - Perpetual peace treaty between the Kingdom of France and the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae

    Preamble.

    Conscious of the need for guaranteeing the inviolability of our respective territories in order to guarantee relations alleviated between our two Nations, this treaty wants to found methods of nonaggression, recognition, and friendship between the Kingdom of France and the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae.


    I. Recognition.


    1.1  In this writing, the two parts are recognized mutually as established nations and also recognize their borders as well as each one of their representatives in their functions and loads which were allotted to them by each authority.

    1.2  The Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae recognizes Eusaias White-Combaz as sovereign of the Kingdom of France, and Agnès de Saint Just, Reyne de France. The Kingdom of France, recognizes Ludwig von Frayner as Emperor of the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae.

    1.3  The Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae and the Kingdom of France recognize their nobility mutually and the rights of these, like all new nomination, rise, ennoblement, dismissal, legitimate and recognized by the Royal or Imperial institutions.

    1.4  The Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae and the Kingdom of France mutually recognize their power, their laws and their habits.

    1.5  The Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae is committed to not recognize the independence of elements traitors within the Royal Field and the vassal provinces of the Kingdom of France.
    The Kingdom of France is committed not recognizing the independence of elements traitors within the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae.



    II. Of Non Aggression.


    2.1  For this, the two parties undertake not to interfere and that by any way in the management of sovereign affairs of another, unless specifically requested, signed, sealed with it .

    2.2  It is established that except in case of crisis require closings of the borders, the citizens François and imperial are authorized to travel through the two nations. This authorization also applies to the members of the orders of knighthood recognized by one of the two parties, and cannot be withdrawn because of their membership to the orders of knighthood. However, the known as passengers will have to be in conformity with the various regulations founded by the concerned authorities.

    2.3  In the case where a Duchy / County of the Royal Domain or vassal of the Kingdom of France would declare a war on an imperial province, the Kingdom of France is committed to make every effort to remind the province to order and undertakes not to take up its assistance.

    In case an imperial province would suddenly declare a war in a Duchy/County of the Royal or vassal Field of the Kingdom of France, the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae is committed to make every effort to remind the province to order and undertakes not to take up its assistance.


    2.4 If a Duchy/County of the Royal or vassal Field of the Kingdom of France has suddenly given approval to a hostile army with the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae or one of its provinces, the Kingdom of France is committed taking all the necessary measures (sanctions if need be was), to put an end to this criminal collaboration.
     
    If an imperial province has suddenly given approval to a hostile army in a Duchy/County of the Royal or vassal Field of the Kingdom of France, the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae is committed taking all the necessary measures (sanctions if need be was), to put an end to this criminal collaboration.

     
    2.5 This agreement does not create any obligation of mutual defense. However each of the two contracting parties can, ordered by the King of France or the Emperor of the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae, come to the rescue of the other respective party. 

    III. Of the friendship.


    3.1  The contracting parties begin to support any commercial and legal agreement between them. As civilized and benevolent partners, they leave the authorities of their provinces the choice to establish the methods via treaties between them.

    3.2 The contracting parties are committed facilitating the division of their information, when that is necessary. The two regions will bring technical support and logistics mutually as this is possible. This information can relate to all military questions of order, strategic, concerning the internal security or of the threats brigands.

    3.3  In the same way an embassy will always accommodate the François emissary in the Imperial Diplomacy and the Imperial emissary in the diplomacy Francoise.


    IV. Of the Continuation.


    4.1  If one of the two parties wants to modify this treaty, it would be enough to stipulate it with the diplomatic authorities of the other party by justifying the aforementioned request. By mutual agreement, the rewriting of the treaty can be carried out in its entirety or partially.

    4.2  If one of the two parts wants to cancel this treaty, it would be enough to inform the other party about it via a declaration signed and sealed clarifying the reasons of the cancellation.

    4.3  In the event of non-observance of one of the articles of this treaty, or in the event of declaration of war, this treaty would be in null and void.

    4.4  This treaty will come into effect as of its publication and will engage well the two contracting parties beyond the reign of the signatories and their representatives.




Sealed, Wednesday the 15th of May, 1461.


    For the Kingdom of France

    His Majesty Eusaias White-Combaz,
     Roy de France.




    Deedlitt de Cassel d' Ailhaud,
    France High Royal Ambassador.




    For the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae,






    Salome von Löwenstern,
    Imperial chancellor




_________________
Eusaias
Code:
[quote][img]http://i45.servimg.com/u/f45/11/45/86/54/roieus10.png[/img]

[list][list][list][list][size=18]Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France [/size][/list][/list][/list][/list]
[list][list][size=14]

À tous ceux qui liront ou se feront lire,
Salut et paix.[/size][/list][/list]


[list][b]Nous, Eusaias Blanc Combaz, Roy de France par la volonté du Très-Haut, annonçons avec une immense solennité, la fin des tractations de couloir et des discussions privées avec l'Empire, ou la forme de relations qui a donné lieu sous le règne du triste Empereur Fenthick à un pitoyable cirque social. Or, Nous n'avons point vécu tant d'années pour qu'un fils d'ivrogne se paie Notre tête. De ses inconséquences, les ardents défenseurs de la paix et de l'amitié Franco-Impériale ont gravement pâti et nous savons que leurs cœurs ont été ces derniers mois si abattus et consternés que nombre d'entre eux ne songeaient plus qu'à mourir au point d'envier le sort de Rome.

Or, s'il arrive que Nous ayons à juger un de nos ennemis, Nous ne manquons pas d'oublier qu'il Nous a offensé pour ne considérer que la vérité des faits. C'est dans ces conditions de morale, des responsabilité et de loyauté l'un envers l'autre que le Royaume de France et le Saint Empire ont scellé bonne et honorable paix. Qu'il soit su que ces deux blocs colossaux tiennent désormais l'un et l'autre dans les fontes de leurs selles deux pistolets chargés qui ne leur serviront guère contre les fléaux de la maladie, mais d'aventure, contre la malignité des Hommes de peu de foi. Pour qu'à dater de ce jour, la France et l'Empire ne combattent jamais plus face à face, mais dos à dos, face aux cohortes malfaisantes inspirées par le Sans Nom.

Qu'il en soit ainsi, et heureusement.


Au Palais du Louvre le 20e mai 1461.[/b][/list]


[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img][/quote]


[quote][size=18][b]Traité de Bolchen – Traité de paix perpétuelle entre le Royaume de France et le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae[/b][/size]

[list][color=black][i][b]Préambule.[/b][/i]

Conscients de la nécessité de garantir l'inviolabilité de nos territoires respectifs dans l'objectif de garantir des relations apaisées entre nos deux Nations, le présent traité se veut instaurer les modalités de non agression, de reconnaissance, et d'amitié entre le Royaume de France et le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae.


[u][size=15][b]I De la reconnaissance.[/b][/size][/u]


[b]1.1[/b] [i]Par le présent écrit, les deux parties se reconnaissent mutuellement comme nation établie et reconnaissent également leurs frontières ainsi que chacun de leurs représentants dans leurs fonctions et charges qui leur ont été attribuées par chacune des autorités.[/i]

[b]1.2[/b] [i]Le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae reconnaît Eusaias Blanc-Combaz comme souverain du Royaume de France, et Agnès de Saint Just, Reyne de France. Le Royaume de France, reconnaît Ludwig von Frayner comme Empereur du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae.[/i]

[b]1.3[/b] [i]Le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae et le Royaume de France reconnaissent mutuellement leur noblesse et les droits de celle-ci,  ainsi que toute nouvelle nomination, élévation, anoblissement, destitution, légitimes et reconnus par les institutions Royales ou Impériales.[/i]

[b]1.4[/b] [i]Le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae et le Royaume de France reconnaissent mutuellement leur pouvoir, leurs lois et leurs coutûmes.[/i]

[b]1.5[/b] [i]Le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae s'engage à ne pas reconnaître l'indépendance d'éléments félons au sein du Domaine Royal et au sein des provinces vassales du Royaume de France.
Le Royaume de France s'engage à ne pas reconnaître l'indépendance d'éléments félons au sein du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae.[/i]


[u][size=15][b]II De la Non agression.[/b][/size][/u]


[b]2.1[/b] [i]Par la présente, les deux parties signataires s’engagent à ne point interférer et ce par quelque manière que ce soit dans la gestion des affaires souveraines de l'autre, sauf demande expresse, signée, scellée de celui-ci..[/i]

[b]2.2[/b] [i]Il est établi que hormis cas de crise nécessitant fermetures des frontières, les citoyens françois et impériaux sont autorisés à voyager à travers les deux nations. Cette autorisation s'applique aussi aux membres des ordres de chevalerie reconnus par une des deux parties, et ne peut leur être retirée à cause de leur appartenance aux-dits ordres de chevalerie. Cependant, les dits passages devront être conformes aux différentes réglementations instaurées par les autorités concernées.[/i]

[b]2.3[/b] [i]Dans le cas où un Duché/Comté du Domaine Royal ou vassal du Royaume de France viendrait à déclarer une guerre à une province impériale, le Royaume de France s'engage à tout mettre en œuvre pour rappeler la province à l'ordre et s'engage à ne pas lui prester assistance.

Dans le cas où une province impériale viendrait à déclarer une guerre à un Duché/Comté du Domaine Royal ou vassal du Royaume de France, le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae s'engage à tout mettre en œuvre pour rappeler la province à l'ordre et s'engage à ne pas lui prester assistance.[/i]

[b]2.4[/b] [i] Dans le cas où un Duché/Comté du Domaine Royal ou vassal du Royaume de France viendrait à donner agrément à une armée hostile au Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae  ou à une de ses provinces, le Royaume de France s'engage à prendre toutes les mesures nécessaires (sanctions si besoin en était), pour mettre un terme à cette collaboration criminelle.

Dans le cas où une province impériale viendrait à donner agrément à une armée hostile à un Duché/Comté du Domaine Royal ou vassal du Royaume de France, le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae s'engage à prendre toutes les mesures nécessaires (sanctions si besoin en était), pour mettre un terme à cette collaboration criminelle. [/i]

[b]2.5 [/b][i]Cette entente ne crée aucune obligation de défense mutuelle. Cependant chacune des deux parties contractantes peut, sur ordre du Roy de France ou de l'Empereur du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae, venir en aide à l'autre.  [/i]


[u][size=15][b]III De l'amitié.[/b][/size][/u]


[b]3.1[/b] [i]Les parties contractantes s’engagent à favoriser toute entente commerciale et judiciaire entre elles. En partenaires civilisées et bienveillantes, elles laissent les autorités de leurs provinces le choix d'en établir les modalités via des traités.[/i]

[b]3.2 [/b][i]Les parties contractantes s’engagent à faciliter le partage de leurs informations, quand cela est nécessaire. Les deux contrées s'apporteront mutuellement du soutien technique et logistique dans la mesure du possible. Ces informations peuvent porter sur toutes questions d’ordre militaires, stratégiques, concernant la sécurité intérieure ou des menaces brigandines.[/i]

[b]3.3[/b] [i]De même une ambassade accueillera toujours les émissaires françois en la Diplomatie Impériale et les émissaires Impériaux en la diplomatie Françoise.[/i]


[u][size=15][b]IV De la Pérénité.[/b][/size][/u]


[b]4.1[/b] [i]Si l'une des deux parties voulait modifier le présent traité, il lui suffirait de le stipuler aux autorités diplomatiques de l'autre partie en motivant la dite demande. Par accord mutuel, la réécriture du traité peut être effectuée dans son intégralité ou partiellement.[/i]

[b]4.2[/b] [i]Si l'une des deux parties voulait annuler le dit traité, il suffirait d'en faire part via déclaration signée et scellée à l'autre partie en explicitant les motifs de l'annulation.[/i]

[b]4.3[/b] [i]En cas de non-respect d’un des articles de ce traité, ou en cas de déclaration de guerre le dit traité serait de fait caduc.[/i]

[b]4.4[/b] [i]Ce traité entrera en vigueur dès sa publication et engagera les deux parties contractantes bien au delà du règne des signataires et de leurs représentants. [/i][/list]


[i][b]Signé et scellé le Mercredi 15 Mai  MCLDXI[/b][/i]

[list][b][u][size=15]P[/size]our le [size=15]R[/size]oyaume de [size=15]F[/size]rance[/u][/b]


Sa Majesté Eusaias Blanc-Combaz,
Roy de France.

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyvert.png[/img]


Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,
Grande Ambassadrice Royale de France

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceauGAjaune2_zpsb67a3644.png[/img]


[b][u][size=15]P[/size]our le [size=15]S[/size]acrum [size=15]R[/size]omanorum [size=15]I[/size]mperium [size=15]N[/size]ationis [size=15]G[/size]ermanicae,[/u][/b]


[img]http://img11.hostingpics.net/pics/289020signlvf.png[/img] 

[img]http://ghami.lima-city.de/ups/SRING/Siegel/seal_ludwig.png[/img]

[img]http://250kb.de/u/130209/g/8xBy50Dcgnzv.gif[/img]

Salome von Löwenstern,
Chancelier Impérial

[img]http://ghami.lima-city.de/ups/SRING/Siegel/IChancellor.png[/img]
[/color]

[/list][/quote]



[quote][size=18][b]- Treaty of Bolchen - Perpetual peace treaty between the Kingdom of France and the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae[/b][/size]

[list][color=black][i][b]Preamble.[/b][/i]

Conscious of the need for guaranteeing the inviolability of our respective territories in order to guarantee relations alleviated between our two Nations, this treaty wants to found methods of nonaggression, recognition, and friendship between the Kingdom of France and the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae.


[u][size=15][b]I. Recognition.[/b][/size][/u]


[b]1.1[/b] [i] In this writing, the two parts are recognized mutually as established nations and also recognize their borders as well as each one of their representatives in their functions and loads which were allotted to them by each authority.[/i]

[b]1.2[/b] [i] The Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae recognizes Eusaias White-Combaz as sovereign of the Kingdom of France, and Agnès de Saint Just, Reyne de France. The Kingdom of France, recognizes Ludwig von Frayner as Emperor of the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae.[/i]

[b]1.3 [/b] [i]The Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae and the Kingdom of France recognize their nobility mutually and the rights of these, like all new nomination, rise, ennoblement, dismissal, legitimate and recognized by the Royal or Imperial institutions.[/i]

[b]1.4 [/b] [i]The Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae and the Kingdom of France mutually recognize their power, their laws and their habits.[/i]

[b]1.5[/b] [i] The Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae is committed to not recognize the independence of elements traitors within the Royal Field and the vassal provinces of the Kingdom of France.
The Kingdom of France is committed not recognizing the independence of elements traitors within the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae.[/i]


[u][size=15][b]II. Of Non Aggression.[/b][/size][/u]


[b]2.1[/b] [i] For this, the two parties undertake not to interfere and that by any way in the management of sovereign affairs of another, unless specifically requested, signed, sealed with it .[/i]

[b]2.2[/b] [i] It is established that except in case of crisis require closings of the borders, the citizens François and imperial are authorized to travel through the two nations. This authorization also applies to the members of the orders of knighthood recognized by one of the two parties, and cannot be withdrawn because of their membership to the orders of knighthood. However, the known as passengers will have to be in conformity with the various regulations founded by the concerned authorities.[/i]

[b]2.3[/b] [i] In the case where a Duchy / County of the Royal Domain or vassal of the Kingdom of France would declare a war on an imperial province, the Kingdom of France is committed to make every effort to remind the province to order and undertakes not to take up its assistance.

In case an imperial province would suddenly declare a war in a Duchy/County of the Royal or vassal Field of the Kingdom of France, the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae is committed  to make every effort to remind the province to order and undertakes not to take up its assistance.[/i]

[b]2.4[/b] [i] If a Duchy/County of the Royal or vassal Field of the Kingdom of France has suddenly given approval to a hostile army with the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae or one of its provinces, the Kingdom of France is committed taking all the necessary measures (sanctions if need be was), to put an end to this criminal collaboration.
 
If an imperial province has suddenly given approval to a hostile army in a Duchy/County of the Royal or vassal Field of the Kingdom of France, the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae is committed taking all the necessary measures (sanctions if need be was), to put an end to this criminal collaboration.[/i]
 
[b]2.5[/b] [i] This agreement does not create any obligation of mutual defense. However each of the two contracting parties can, ordered by the King of France or the Emperor of the Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae, come to the rescue of the other respective party. [/i]

[u][size=15][b]III. Of the friendship.[/b][/size][/u]


[b]3.1[/b] [i] The contracting parties begin to support any commercial and legal agreement between them. As civilized and benevolent partners, they leave the authorities of their provinces the choice to establish the methods via treaties between them.[/i]

[b]3.2[/b] [i]The contracting parties are committed facilitating the division of their information, when that is necessary. The two regions will bring technical support and logistics mutually as this is possible. This information can relate to all military questions of order, strategic, concerning the internal security or of the threats brigands.[/i]

[b]3.3[/b] [i] In the same way an embassy will always accommodate the François emissary  in the Imperial Diplomacy and the Imperial emissary in the diplomacy Francoise.[/i]


[u][size=15][b]IV. Of the Continuation.[/b][/size][/u]


[b]4.1[/b] [i] If one of the two parties wants to modify this treaty, it would be enough to stipulate it with the diplomatic authorities of the other party by justifying the aforementioned request. By mutual agreement, the rewriting of the treaty can be carried out in its entirety or partially.[/i]

[b]4.2[/b] [i] If one of the two parts wants to cancel this treaty, it would be enough to inform the other party about it via a declaration signed and sealed clarifying the reasons of the cancellation.[/i]

[b]4.3[/b] [i] In the event of non-observance of one of the articles of this treaty, or in the event of declaration of war, this treaty would be in null and void.[/i]

[b]4.4[/b] [i] This treaty will come into effect as of its publication and will engage well the two contracting parties beyond the reign of the signatories and their representatives.[/i][/list]



[i][b]Sealed, Wednesday the 15th of May, 1461.[/b][/i]


[list][b][u][size=15]F[/size]or the [size=15]K[/size]ingdom of [size=15]F[/size]rance[/u][/b]

His Majesty Eusaias White-Combaz,
 Roy de France.

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyvert.png[/img]


Deedlitt de Cassel d' Ailhaud,
France High Royal Ambassador.
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceauGAjaune2_zpsb67a3644.png[/img]



[b][u][size=15]F[/size]or the [size=15]S[/size]acrum [size=15]R[/size]omanorum [size=15]I[/size]mperium [size=15]N[/size]ationis [size=15]G[/size]ermanicae,[/u][/b]

[img]http://img11.hostingpics.net/pics/289020signlvf.png[/img]

[img]http://ghami.lima-city.de/ups/SRING/Siegel/seal_ludwig.png[/img]

[img]http://250kb.de/u/130209/g/8xBy50Dcgnzv.gif[/img]
Salome von Löwenstern,
Imperial chancellor
[img]http://ghami.lima-city.de/ups/SRING/Siegel/IChancellor.png[/img][/color]


[/list][/quote]

_________________
Eusaias
Citation:


          Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France



      À tous ceux qui liront ou se feront lire,
      Salut et paix.



    Nous, Eusaias Blanc Combaz, Roy de France par la volonté du Très-Haut, Nous nous honorons de ne jamais Nous être laissé guider par la loi de Notre bon plaisir, en faveur auprès des ignorants, qui se prennent pour des grands esprits. Car après six mois de règne, Nous savons mieux que personne que telle qui est douce comme miel le jour des noces, a langue de vipère huit jours après.

    Sur le trône, nous avons pu compter sur des Hommes de qualité et de confiance, qui ont œuvré pour Nous sans relâche ni repos. Si la France ne comptera jamais assez d'Altesses Royales dans lesquelles circulent le sang du lys, elle peut compter sur la valeur d'Hommes qui seront par-delà Notre existence en état de relever le Royaume de France de la triste situation à laquelle les esprits chagrins veulent le réduire et de le rendre plus puissant qu'il n'a encore été, de rétablir l'ordre des finances, de remettre, entretenir, et augmenter les produits de l'agriculture, les manufactures et le commerce, d'accroître le nombre des peuples, de développer les revenus de la Couronne en soulageant les sujets et de diminuer la dette de l'État sans jamais faire tort aux créanciers.

    Aux éternels serviteurs de la France, il nous plaît d'attribuer Notre collier dynaste et la médaille associée:

    - Lafa de Bussac [IG: Lafa_]
    - Maud de Montreal [IG: Maud]
    - Jusoor de Blanc-Combaz [IG: Jusoor]
    - Pierre du Val de Loire [IG: P3r3v3rt]
    - Exaltation Lablanche d'Abancourt [IG: Xalta]
    - Maria Agata Aleramica [IG: Tanissa]
    - Verrazzano
    - Charly Zagrebcki [IG: Charly]
    - Heloise Victoire de Troy [IG: Heloise.victoire]
    - Deedlitt de Cassel D'Ailhaud [IG: Deedlitt]
    - Fred de Castelviray [IG: Fred]
    - Lord Dams de Tarentes [IG: Lord_Dams]
    - Laure de Troy [IG: PrincesseLaure]
    - Ingeborg Magnusdotter von Ahlefeldt-Oldenbourg [IG: Ingeburge]
    - Zoyah Novotny [IG: Zoyah]
    - Datan l'Épervier [IG: Datan]
    - Thibaud-Xavier de Ludgares [IG: Tixlu]
    - Daniel Marques Henriques [IG: Henriques]
    - Max [IG : Maxdph]


    Qu'il en soit ainsi, et heureusement.


    Au Palais du Louvre le 20e mai 1461.











Code:
[quote][img]http://i45.servimg.com/u/f45/11/45/86/54/roieus10.png[/img]

[list][list][list][list][size=18]Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France [/size][/list][/list][/list][/list]
[list][list][size=14]

À tous ceux qui liront ou se feront lire,
Salut et paix.[/size][/list][/list]


[list][b]Nous, Eusaias Blanc Combaz, Roy de France par la volonté du Très-Haut, Nous nous honorons de ne jamais Nous être laissé guider par la loi de Notre bon plaisir, en faveur auprès des ignorants, qui se prennent pour des grands esprits. Car après six mois de règne, Nous savons mieux que personne que telle qui est douce comme miel le jour des noces, a langue de vipère huit jours après.

Sur le trône, nous avons pu compter sur des Hommes de qualité et de confiance, qui ont œuvré pour Nous sans relâche ni repos. Si la France ne comptera jamais assez d'Altesses Royales dans lesquelles circulent le sang du lys, elle peut compter sur la valeur d'Hommes qui seront par-delà Notre existence en état de relever le Royaume de France de la triste situation à laquelle les esprits chagrins veulent le réduire et de le rendre plus puissant qu'il n'a encore été, de rétablir l'ordre des finances, de remettre, entretenir, et augmenter les produits de l'agriculture, les manufactures et le commerce, d'accroître le nombre des peuples, de développer les revenus de la Couronne en soulageant les sujets et de diminuer la dette de l'État sans jamais faire tort aux créanciers.

Aux éternels serviteurs de la France, il nous plaît d'attribuer Notre [url=http://img11.hostingpics.net/pics/917136colliereusaias.png]collier dynaste[/url] et la [url=http://img11.hostingpics.net/pics/746356medailleeusaias2.png]médaille associée[/url]:

- Lafa de Bussac [IG: Lafa_]
- Maud de Montreal [IG: Maud]
- Jusoor de Blanc-Combaz [IG: Jusoor]
- Pierre du Val de Loire [IG: P3r3v3rt]
- Exaltation Lablanche d'Abancourt [IG: Xalta]
- Maria Agata Aleramica [IG: Tanissa]
- Verrazzano
- Charly Zagrebcki [IG: Charly]
- Heloise Victoire de Troy [IG: Heloise.victoire]
- Deedlitt de Cassel D'Ailhaud [IG: Deedlitt]
- Fred de Castelviray [IG: Fred]
- Lord Dams de Tarentes [IG: Lord_Dams]
- Laure de Troy [IG: PrincesseLaure]
- Ingeborg Magnusdotter von Ahlefeldt-Oldenbourg [IG: Ingeburge]
- Zoyah Novotny [IG: Zoyah]
- Datan l'Épervier [IG: Datan]
- Thibaud-Xavier de Ludgares [IG: Tixlu]
- Daniel Marques Henriques [IG: Henriques]
- Max [IG : Maxdph]


Qu'il en soit ainsi, et heureusement.


Au Palais du Louvre le 20e mai 1461.[/b][/list]


[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img][/quote]

_________________
Eusaias
Citation:


          Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France



      À tous ceux qui liront ou se feront lire,
      Salut et paix.



    Nous, Eusaias Blanc Combaz, Roy de France par la volonté du Très-Haut, faisions savoir au 26e de Novembre 1461 notre souhait de ne point régner seul. Or la plus belle femme du monde ne saurait faire oublier celle que Nous aimons et que Nous portons gravée au plus profond de Notre âme et au plus secret de Notre cœur. Ô dame de Nos pensées, où que vous soyez, vous êtes Mienne, où que Nous nous trouvons, Nous sommes et serons à vous.

    Aussi, compte tenu que Notre santé déclinante ne nous permet point d'être aussi présents auprès de nos Officiers comme nous l'avons été dans le passé, nous réitérons solennellement par la présente que la Reyne de France Consort Agnès de Saint-Just [IG: Gnia] se voit confier l'auguste charge et la lourde responsabilité d'exprimer Notre volonté, et à ce titre, lui déléguons tous Nos pouvoirs, faisant d'elle la seule dépositaire de Notre pleine autorité. Autorité dont elle n'aura à rendre compte de l'usage qui en aura été fait que devant Nous, au même titre que ceux qui en viendraient à lui contester la légitimité dans laquelle céans il Nous plaît de la renforcer.

    Car la confiance, est plus que jamais comme les chefs-d’œuvre de la nature.
    Ils ne se façonnent pas. Mais existent par eux-mêmes.

    Qu'il en soit ainsi, et heureusement.


    Au Palais du Louvre le 20e mai 1461.











Code:
[quote][img]http://i45.servimg.com/u/f45/11/45/86/54/roieus10.png[/img]

[list][list][list][list][size=18]Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France [/size][/list][/list][/list][/list]
[list][list][size=14]

À tous ceux qui liront ou se feront lire,
Salut et paix.[/size][/list][/list]


[list][b]Nous, Eusaias Blanc Combaz, Roy de France par la volonté du Très-Haut, faisions savoir au 26e de Novembre 1461 notre souhait de ne point régner seul. Or la plus belle femme du monde ne saurait faire oublier celle que Nous aimons et que Nous portons gravée au plus profond de Notre âme et au plus secret de Notre cœur. Ô dame de Nos pensées, où que vous soyez, vous êtes Mienne, où que Nous nous trouvons, Nous sommes et serons à vous.

Aussi, compte tenu que Notre santé déclinante ne nous permet point d'être aussi présents auprès de nos Officiers comme nous l'avons été dans le passé, nous réitérons solennellement par la présente que la Reyne de France Consort Agnès de Saint-Just [IG: Gnia] se voit confier l'auguste charge et la lourde responsabilité d'exprimer Notre volonté, et à ce titre, lui déléguons tous Nos pouvoirs, faisant d'elle la seule dépositaire de Notre pleine autorité. Autorité dont elle n'aura à rendre compte de l'usage qui en aura été fait que devant Nous, au même titre que ceux qui en viendraient à lui contester la légitimité dans laquelle céans il Nous plaît de la renforcer.

Car la confiance, est plus que jamais comme les chefs-d’œuvre de la nature.
Ils ne se façonnent pas. Mais existent par eux-mêmes.

Qu'il en soit ainsi, et heureusement.


Au Palais du Louvre le 20e mai 1461.[/b][/list]


[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img][/quote]

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Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France


      À Nos officiers et feudataires,
      À Nos sujets & à Notre peuple,
      À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
      Salut.





    Nous prenons la plume dans un premier temps, afin de remercier et féliciter les gens loyaux, honnêtes et courageux qui oeuvrent, manoeuvrent et se dévouent depuis tant de mois pour la sécurité de la France.

    Vos sacrifices ne sont pas vains. La France est debout, la France est glorieuse et la France est fière de ses enfants dont vous faites parti.



    Hélas, bien que nous sachions que le ban est levé depuis le 22 Aout 1459, nous ne pouvons y mettre fin, car l’Aragon est venu en terres Françaises défier tous les Français !

    Nous savons qu’il sera aisé pour nombreux de dire qu’ils ne sont pas hispaniques mais « croisés » afin de mettre le doute dans l’esprit Français, mais nous ne nous ferons pas leurrer.
    Nous imaginons déjà les prélats de Rome venir soutenir les espagnols, mais une fois de plus leurs paroles ne seront que mensonges et fiels.


    Le 28 novembre de l’année dernière nous avions remobilisé seulement le ban de nos domaines et nos chevaliers, mais en ce jour du 17 Mai 1461 nous appelons à la remobilisation du ban royal étendu à toute la France.

    Car jamais Espagnol ne fera loi chez nous, nous prendrons les armes, faucherons leurs armées et prendrons la couronne d’Aragon afin de la placer sur la tête d’une personne Sage !

    Nous appelons notre arrière ban, celui du domaine royal donc, à se tenir prêt, car nos infinies armées marcheront sur l’Armagnac, le Bearn et l’Aragon !

    Toutes les modalités de cette relance du ban royal seront communiqués à nos vassaux par l'entremise de la Hérauderie Royale.



    France lève toi et entame à nouveau ta glorieuse marche !


    Rédigé au Louvre le 21 de Mai 1461.








Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]


[list][list][size=16]À Nos officiers et feudataires,
À Nos sujets & à Notre peuple,
À tous ceux qui parmi eux, la présente liront ou se feront lire,
Salut. [/size]
[/list][/list]
[list]


[b]Nous prenons la plume dans un premier temps, afin de remercier et féliciter les gens loyaux, honnêtes et courageux qui oeuvrent, manoeuvrent et se dévouent depuis tant de mois pour la sécurité de la France.

Vos sacrifices ne sont pas vains. La France est debout, la France est glorieuse et la France est fière de ses enfants dont vous faites parti. [/b]


Hélas, bien que nous sachions que le ban est levé depuis le 22 Aout 1459, nous ne pouvons y mettre fin, car [b]l’Aragon est venu en terres Françaises défier tous les Français ! [/b]

[b]Nous savons qu’il sera aisé pour nombreux de dire qu’ils ne sont pas hispaniques mais « croisés » afin de mettre le doute dans l’esprit Français, mais nous ne nous ferons pas leurrer. [/b]
Nous imaginons déjà les prélats de Rome venir soutenir les espagnols, mais une fois de plus leurs paroles ne seront que mensonges et fiels.


Le 28 novembre de l’année dernière nous avions remobilisé seulement le ban de nos domaines et nos chevaliers, mais [b]en ce jour du 17 Mai 1461 nous appelons à la remobilisation du ban royal étendu à toute la France.[/b]

Car jamais Espagnol ne fera loi chez nous, nous prendrons les armes, faucherons leurs armées et prendrons la couronne d’Aragon afin de la placer sur la tête d’une personne Sage !

[b]Nous appelons notre arrière ban, celui du domaine royal donc, à se tenir prêt, car nos infinies armées marcheront sur l’Armagnac, le Bearn et l’Aragon ! [/b]

Toutes les modalités de cette relance du ban royal seront communiqués à nos vassaux par l'entremise de la Hérauderie Royale.



[b]France lève toi et entame à nouveau ta glorieuse marche ! [/b]


Rédigé au Louvre le 21 de Mai 1461.[/list]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]
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