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Annonces du Souverain.

Eusaias
Citation:
------------------------------------------------Eusaias Blanc-Combaz, Par la Grâce de Dieu, Roi de France




      A notre Reine, Agnès de Saint Just,
      A nos hardis et loyaux vassaux,
      A tous qui la présente entendront ou liront,


      Salut.


      Soucieux de confier la France entre de bonnes mains, si funeste destin frappait à notre porte, nous penons la plume afin de faire annonce suivante :


      Que Agnès de Saint Just, Reine consort de France, obtient désormais en sus de cette charge celle de Régente, jusqu'à notre retour au Louvre dans les jours prochains, d'où nous pourrons reprendre notre plein gouvernement.

      De ce fait la Reine détient les pleins pouvoirs en notre royaume, que la fidélité que vous m’avez témoignée lui soit accordée, que vos conseils lui soient donnés et que vos bras armées défendent encore cette France qu’elle gouverne le temps de mon absence.


      Français, nous vous remercions encore de croire en nous, car sans vous, la France ne serait pas ce grand et puissant pays.


      Ainsi soit- il.



    Fait au Louvre le 16 de Juin 1461










Code:
[quote][color=transparent]------------------------------------------------[/color][size=24]E[/size][size=18]usaias [/size][size=24]B[/size][size=18]lanc-[/size][size=24]C[/size][size=18]ombaz, Par la Grâce de Dieu, [/size][size=24]R[/size][size=18]oi de [/size][size=24]F[/size][size=18]rance[/size]




[list][list][b]A notre Reine, Agnès de Saint Just,
A nos hardis et loyaux vassaux,
A tous qui la présente entendront ou liront, [/b]

Salut.


Soucieux de confier la France entre de bonnes mains, si funeste destin frappait à notre porte, nous penons la plume afin de faire annonce suivante :


[b]Que Agnès de Saint Just, Reine consort de France, obtient désormais en sus de cette charge celle de Régente, jusqu'à notre retour au Louvre dans les jours prochains, d'où nous pourrons reprendre notre plein gouvernement.[/b]

De ce fait la Reine détient les pleins pouvoirs en notre royaume, que la fidélité que vous m’avez témoignée lui soit accordée, que vos conseils lui soient donnés et que vos bras armées défendent encore cette France qu’elle gouverne le temps de mon absence.


Français,  nous vous remercions encore de croire en nous, car sans vous, la France ne serait pas ce grand et puissant pays.


Ainsi soit- il.[/list]


Fait au Louvre le 16 de Juin 1461[/list]

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceaueusaiasroyjaune.png[/img]
[/quote]

_________________
Gnia
Citation:
De Nous, Sa Majesté Agnès de Saint Just et Blanc Combaz, Reyne consort et régente de France,

Aux loyaux vassaux de la Couronne de France,
A ses officiers et serviteurs,
Aux sujets et peuple de France,
A tous ceux présent et advenir qui la présente liront ou se feront lire,

Salutations.

    Le Roi de France n'est plus. La Couronne de France se perpétue.
    Par le lien indéfectible et sempiternel existant entre icelle et les provinces du Royaume aux Trois Lys.
    Par la pérennité et la perpétuation des lois et coutumes royales en vigueur.
    Par la vie de ses institutions qui doivent poursuivre et poursuivront leur ouvrage avec loyauté et rigueur.
    Par le caractère immuable des droits et des devoirs de ses sujets, vassaux et serviteurs.
    Par la défense de l'unité et de l'inaliénabilité du royaume dont elle est le symbole et le gardien.

    Ainsi, il appert primordial de rappeler, tant en vertu de la Charte fondamentale du Royaume de France que des coutumes et lois héraldiques royales,

    • Que les serments d'hommages et d'allégeances continueront d'être reçus en salle du Trône du Château du Louvre en ce qu'ils doivent être prêtés malgré la vacance du trône français ;

    • Que les régents, les comtes et les ducs régnants du Royaume sont toujours tenus de dispenser leurs conseils notamment en siégeant activement au sein du conseil des Grands Feudataires ;

    • Que la levée du ban royal relancée en la fin du mois de mai de la présente année court toujours, ne peut être close que par un Roi de France et que nul vassal, qu'il soit feudataire, membre du ban du Domaine Royal ou chevalier ne peut s'y soustraire de son propre chef comme nul régent, qu'il soit royal ou provincial, ne peut délivrer des nobles de leur devoir d'ost.


    C'est d'ailleurs pleinement conscient de cet état de fait séculaire que le feu Roy de France Eusaias de Blanc-Combaz dans sa dernière annonce passée en date du seize juin de la courante année nous a confié à Nous, Agnès de Saint Just, Reyne de France consort, la régence du Royaume qui l'a nettement porté sur son trône en automne dernier.

    En cette tâche exigeante que nous acceptons en toute état de cause et en affichant notre volonté de préserver les intérêts du Royaume, nous serons assistée de Son Altesse Sancte Iohannes von Frayner, Dauphin de France, de Son Altesse Lexhor d'Amahir, Grand Maître de France, et des trois conseils royaux que sont la Curia Regis, la Très Noble Assemblée des Pairs de France et le Conseil des Grands Feudataires du Royaume.

    Cette préservation des intérêts passe et passera par le soin particulier donné aux sujets du Royaume de France, à leur intégrité, à leur sécurité et à leur prospérité, par la poursuite sans relâche du combat mené contre les provinces séditieuses du Sud-Ouest violant impudemment tous les principes que nous avons rappelés et par la volonté déjà affichée par le passé de dialoguer et de collaborer avec nos voisins et alliés.


Pour le Royaume de France, qu'il en soit ainsi et heureusement.

Faict le vingt deuxième jour de juin mil quatre cent soixante et un.





Valident et soutiennent les présentes dispositions :


Dauphin de France



Roi d'Armes de France & Primus inter pares.



Grand Maitre de France

Code:

[quote][color=darkred]De Nous, Sa Majesté Agnès de Saint Just et Blanc Combaz, Reyne consort et régente de France,

Aux loyaux vassaux de la Couronne de France,
A ses officiers et serviteurs,
Aux sujets et peuple de France,
A tous ceux présent et advenir qui la présente liront ou se feront lire,

Salutations.

[list]Le Roi de France n'est plus. La Couronne de France se perpétue.
Par le lien indéfectible et sempiternel existant entre icelle et les provinces du Royaume aux Trois Lys.
Par la pérennité et la perpétuation des lois et coutumes royales en vigueur.
Par la vie de ses institutions qui doivent poursuivre et poursuivront leur ouvrage avec loyauté et rigueur.
Par le caractère immuable des droits et des devoirs de ses sujets, vassaux et serviteurs.
Par la défense de l'unité et de l'inaliénabilité du royaume dont elle est le symbole et le gardien.

Ainsi, il appert primordial de rappeler, tant en vertu de la Charte fondamentale du Royaume de France que des coutumes et lois héraldiques royales,

[list][*]Que les serments d'hommages et d'allégeances continueront d'être reçus en salle du Trône du Château du Louvre en ce qu'ils doivent être prêtés malgré la vacance du trône français ;

[*]Que les régents, les comtes et les ducs régnants du Royaume sont toujours tenus de dispenser leurs conseils notamment en siégeant activement au sein du conseil des Grands Feudataires ;

[*]Que la levée du ban royal relancée en la fin du mois de mai de la présente année court toujours, ne peut être close que par un Roi de France et que nul vassal, qu'il soit feudataire, membre du ban du Domaine Royal ou chevalier ne peut s'y soustraire de son propre chef comme nul régent, qu'il soit royal ou provincial, ne peut délivrer des nobles de leur devoir d'ost.[/list]

C'est d'ailleurs pleinement conscient de cet état de fait séculaire que le feu Roy de France Eusaias de Blanc-Combaz dans sa dernière annonce passée en date du seize juin de la courante année nous a confié à Nous, Agnès de Saint Just, Reyne de France consort, la régence du Royaume qui l'a nettement porté sur son trône en automne dernier.

En cette tâche exigeante que nous acceptons en toute état de cause et en affichant notre volonté de préserver les intérêts du Royaume, nous serons assistée de Son Altesse Sancte Iohannes von Frayner, Dauphin de France, de Son Altesse Lexhor d'Amahir, Grand Maître de France, et des trois conseils royaux que sont la Curia Regis, la Très Noble Assemblée des Pairs de France et le Conseil des Grands Feudataires du Royaume.

Cette préservation des intérêts passe et passera par le soin particulier donné aux sujets du Royaume de France, à leur intégrité, à leur sécurité et à leur prospérité, par la poursuite sans relâche du combat mené contre les provinces séditieuses du Sud-Ouest violant impudemment tous les principes que nous avons rappelés et par la volonté déjà affichée par le passé de dialoguer et de collaborer avec nos voisins et alliés.[/list]

Pour le Royaume de France, qu'il en soit ainsi et heureusement.

Faict le vingt deuxième jour de juin mil quatre cent soixante et un. [/color]
[img]http://i47.servimg.com/u/f47/14/87/19/90/gnia10.png[/img]
[img]http://i69.servimg.com/u/f69/11/69/50/92/gnia210.png[/img]


[color=darkred]Valident et soutiennent les présentes dispositions :[/color]

[img]http://i47.servimg.com/u/f47/14/87/19/90/sancte10.png[/img]
[color=darkred]Dauphin de France[/color]
[img]http://imageshack.us/a/img818/8235/706109sceaudauphinjaune.png[/img]

[img]http://img4.hostingpics.net/pics/260313SignatureIngeEuphorique.png[/img]
Roi d'Armes de France & Primus inter pares.
[img]http://img259.imageshack.us/img259/3482/sceauingeor.png[/img]

[img]http://img15.hostingpics.net/pics/204335signaturelexhor.png[/img]
Grand Maitre de France
[img]http://img159.imageshack.us/img159/7680/grandmaitredefrancejayj4.gif[/img][/quote]

_________________
Gnia
Citation:
De Nous, Sa Majesté Agnès de Saint Just, Régente et Reyne consort de France,
A Vous, Sa Grasce Marti15, Duc de Touraine,

Salutations et Paix.

    Quand bien même la Couronne n'a pas souhaité s'engager dans un conflit d'ordre privé et soutenir l'action militaire de la famille Penthièvre pour ce que les retombées étaient par trop prévisibles pour son Domaine, nous ne pouvons rester sourde à votre appel à l'aide et laisser l'Anjou nuire à l'unité de la Touraine.

    Aussi répondons au serment qui unit la Couronne à son fidèle vassal et honorons notre promesse de protection.


    Invitons donc les provinces du Domaine Royal limitrophes de la Touraine de lui porter assistance, quelle qu'elle soit, toute action militaire et déplacement du ban du Domaine Royal devant se faire sous les ordres et indications de la Connétablie de France.

    Concernant enfin la félonie de l'un des nobles de Touraine, ne pouvons que vous inviter qu'à rédiger demande de destitution près de la Hérauderie de France.

    Qu'à nouveau la preuve de la puissance du Domaine Royal s'étende par delà ses frontières et chasse devant elle quiconque s'essaie à nuire à la Couronne de France.

Qu'il en soit ainsi et heureusement.


Faict le quatorzième jour de juillet de l'an de grasce mil quatre cent soixante et un.




Code:
[quote][color=darkred]De Nous, Sa Majesté Agnès de Saint Just, Régente et Reyne consort de France,
A Vous, Sa Grasce Marti15, Duc de Touraine,

Salutations et Paix.
[list]
Quand bien même la Couronne n'a pas souhaité s'engager dans un conflit d'ordre privé et soutenir l'action militaire de la famille Penthièvre pour ce que les retombées étaient par trop prévisibles pour son Domaine, [b]nous ne pouvons rester sourde à votre appel à l'aide et laisser l'Anjou nuire à l'unité de la Touraine.

Aussi répondons au serment qui unit la Couronne à son fidèle vassal et honorons notre promesse de protection.[/b]

Invitons donc les provinces du Domaine Royal limitrophes de la Touraine de lui porter assistance, quelle qu'elle soit, toute action militaire et déplacement du ban du Domaine Royal devant se faire sous les ordres et indications de la Connétablie de France.

Concernant enfin la félonie de l'un des nobles de Touraine, ne pouvons que vous inviter qu'à rédiger demande de destitution près de la Hérauderie de France.

Qu'à nouveau la preuve de la puissance du Domaine Royal s'étende par delà ses frontières et chasse devant elle quiconque s'essaie à nuire à la Couronne de France.[/list]
Qu'il en soit ainsi et heureusement.


Faict le quatorzième jour de juillet de l'an de grasce mil quatre cent soixante et un.[/color]
[img]http://i47.servimg.com/u/f47/14/87/19/90/gnia10.png[/img]
[img]http://i69.servimg.com/u/f69/11/69/50/92/gnia210.png[/img][/quote]

_________________
Gnia
Citation:
Aux sujets et peuple de France,
Aux loyaux vassaux de la Couronne de France,
A ses officiers et serviteurs,
A tous ceux présent et advenir qui la présente liront ou se feront lire,

Salutations.

    D'aucuns ont prétendu que le trépas du roi Eusaias Blanc-Combaz allait de lui-même apporter la paix, comme si cette guerre était une affaire d'homme et non de principes.
    Certains sont même allés, eux qui encore peu de temps auparavant appelaient à la sédition tant dans leurs propos que dans leurs actions, à se faire les chantres de cette fameuse paix.
    Las, le fait est que de paix, il n'y a point eu.

    Non pas parce que la Couronne de France, immuable et perpétuelle, a décidé de guerroyer.
    Non pas parce que la Couronne de France, éternelle et permanente, préfère manier le fer plutôt que d'user du verbe.
    Mais uniquement parce que ceux qui ont appelé à la sécession, à la rupture totale avec leur histoire et les intérêts de ceux qu'ils prétendent défendre, ont continué à provoquer, à attaquer, démontrant par leurs actes que leurs paroles n'étaient que vœux mensongers.


    Aujourd'hui, nous, Agnès de Saint-Just, Régente et Reyne consort de France, celle à qui fut confié le pouvoir royal le temps de la vacance du trône, avons choisi après écoute de la Curia Regis d'opter pour la démobilisation des troupes de l'Ost Royal engagées sur le front du sud du royaume.

    Cette décision est motivée par notre volonté originelle et sans cesse renouvelée depuis, celle-là même qui a guidé feu Sa Majesté Eusaias Blanc-Combaz, d'agir au mieux des intérêts du Royaume de France.
    Certains vont à n'en pas douter promptement clabauder et s'estimer vainqueurs. Libre à ceux-là d'occulter qu'il n'y a point de victoire quand l'on choisit délibérément de priver sa population de la protection et de l'arbitrage de la Couronne de France et de s'acoquiner avec la lie des royaumes connus pour mieux égoïstement asseoir sa position personnelle.

    Par cette mobilisation, la Couronne de France aura su remplir son serment de protection à l'égard de la Gascogne et de Toulouse et le réitérera chaque fois que nécessaire pour chacun de ses féaux vassaux.
    La dignité et la constance dans la loyauté, tel est son sacerdoce, tel est son honneur.



    Nous n'en dirons hélas pas autant de la partie adverse,

    • Quand nous voyons des conseillers toulousains frayer avec une armée armagnacaise dirigée par un félon et violant la souveraineté de Toulouse qu'ils prétendent pourtant avoir à cœur.

    • Quand les sécessionnistes béarnais s'en vont annexer une ville du duché de Gascogne, au prétexte que celui-ci a librement choisi de revenir à la Couronne de France.

    • Quand les fauteurs de trouble béarnais décidant d'abandonner Bayonne se font renverser par celui justement indésirable en Gascogne et soit-disant leur allié et soutien.

    • Quand l'usurpant régnant armagnacais - qui a su jusque lors répondre à la levée du ban royal auquel il appartient, en y envoyant son fils tout en siégeant dans les conseils dirigés par des personnes illégitimes, ménageant ainsi les parties en présence - décide se retourner contre la Couronne.

    • Quand le même, sous couvert de vouloir dialoguer, exige une trêve existant dans les faits et rejette la paix, au prétexte qu'il a décidé lui seul que c'est une trêve qu'il faut et que toute autre initiative car ne venant pas de lui sera rejetée.

    • Mais aussi quand la femme à la tête du Languedoc professe le dialogue alors qu'elle l'a refusé dès le départ en ne se rendant pas au Louvre et qui, marrie de voir le pouvoir royal proposer un entretien, ne trouve rien de mieux que de publier un rapport mensonger sur la rencontre, démontrant que tout ce qui sort de sa bouche l'est les doigts croisés dans le dos.

    • Quand cette même usurpatrice, par des procédés inspirés par la créature sans nom, affirme avec véhémence que les troupes royales sont passées sur le territoire languedocien sans autorisation mais se tait quand une armée armagnacaise en débandade et dirigée par un félon bat en retraite dans le pays carcassonnais.

    • Quand l'on en appelle à des forces étrangères au Royaume pour mieux combattre d'autres sujets de France,

    • Quand les prélats romains encouragent encore les fidèles aristotéliciens à attaquer leurs frères.


    Il existe néanmoins une victoire et celle-ci est bel et bien royale.
    Et cette victoire est celle de l'honneur.


    • Par l'extraordinaire soutien des comtés et duchés et de leurs feudataires ayant répondu efficacement et rapidement à la relance de la levée du ban royal.

    • Par ceux restés à l'arrière pour servir et protéger leurs provinces.

    • Par la fidélité sans faille des nobles du Domaine Royal et des membres des Ordres royaux mobilisés depuis des mois et des mois.

    • Par le travail efficace et constant des officiers royaux.


    Tous ces gens que nous tenons à remercier avec reconnaissance et gratitude représentent un groupe uni dont la droiture, le dévouement, et la loyauté ne peuvent être égalés.

    Dans les privations et l'attente, face au danger et devant l'adversité, la Couronne de France aura su démontrer avec éclat que l'on peut être féal et agir loyalement dans la pleine conservation de ses valeurs.
    C'est pour cela qu'a été répondu à l'offense faite à la Couronne de France, c'est pour cela qu'elle continuera toujours et à jamais à se défendre, elle, et tous ses vassaux.


Qu'il en soit ainsi et heureusement.


Faict le seizième jour de juillet de l'an de grasce mil quatre cent soixante et un.




Code:
[quote][color=darkred]Aux sujets et peuple de France,
Aux loyaux vassaux de la Couronne de France,
A ses officiers et serviteurs,
A tous ceux présent et advenir qui la présente liront ou se feront lire,

Salutations.
 
[list]D'aucuns ont prétendu que le trépas du roi Eusaias Blanc-Combaz allait de lui-même apporter la paix, comme si cette guerre était une affaire d'homme et non de principes.
Certains sont même allés, eux qui encore peu de temps auparavant appelaient à la sédition tant dans leurs propos que dans leurs actions, à se faire les chantres de cette fameuse paix.
Las, le fait est que de paix, il n'y a point eu.

Non pas parce que la Couronne de France, immuable et perpétuelle, a décidé de guerroyer.
Non pas parce que la Couronne de France, éternelle et permanente, préfère manier le fer plutôt que d'user du verbe.
Mais uniquement parce que ceux qui ont appelé à la sécession, à la rupture totale avec leur histoire et les intérêts de ceux qu'ils prétendent défendre, ont continué à provoquer, à attaquer, démontrant par leurs actes que leurs paroles n'étaient que vœux mensongers.


[b]Aujourd'hui, nous, Agnès de Saint-Just, Régente et Reyne consort de France, celle à qui fut confié le pouvoir royal le temps de la vacance du trône, avons choisi après écoute de la Curia Regis d'opter pour la démobilisation des troupes de l'Ost Royal engagées sur le front du sud du royaume.[/b]

Cette décision est motivée par notre volonté originelle et sans cesse renouvelée depuis, celle-là même qui a guidé feu Sa Majesté Eusaias Blanc-Combaz, d'agir au mieux des intérêts du Royaume de France.
Certains vont à n'en pas douter promptement clabauder et s'estimer vainqueurs. Libre à ceux-là d'occulter qu'il n'y a point de victoire quand l'on choisit délibérément de priver sa population de la protection et de l'arbitrage de la Couronne de France et de s'acoquiner avec la lie des royaumes connus pour mieux égoïstement asseoir sa position personnelle.

[b]Par cette mobilisation, la Couronne de France aura su remplir son serment de protection à l'égard de la Gascogne et de Toulouse et le réitérera chaque fois que nécessaire pour chacun de ses féaux vassaux.
La dignité et la constance dans la loyauté, tel est son sacerdoce, tel est son honneur.[/b]


Nous n'en dirons hélas pas autant de la partie adverse,

[list][*]Quand nous voyons des conseillers toulousains frayer avec une armée armagnacaise dirigée par un félon et violant la souveraineté de Toulouse qu'ils prétendent pourtant avoir à cœur.

[*]Quand les sécessionnistes béarnais s'en vont annexer une ville du duché de Gascogne, au prétexte que celui-ci a librement choisi de revenir à la Couronne de France.

[*]Quand les fauteurs de trouble béarnais décidant d'abandonner Bayonne se font renverser par celui justement indésirable en Gascogne et soit-disant leur allié et soutien.

[*]Quand l'usurpant régnant armagnacais - qui a su jusque lors répondre à la levée du ban royal auquel il appartient, en y envoyant son fils tout en siégeant dans les conseils dirigés par des personnes illégitimes, ménageant ainsi les parties en présence - décide se retourner contre la Couronne.

[*]Quand le même, sous couvert de vouloir dialoguer, exige une trêve existant dans les faits et rejette la paix, au prétexte qu'il a décidé lui seul que c'est une trêve qu'il faut et que toute autre initiative car ne venant pas de lui sera rejetée.

[*]Mais aussi quand la femme à la tête du Languedoc professe le dialogue alors qu'elle l'a refusé dès le départ en ne se rendant pas au Louvre et qui, marrie de voir le pouvoir royal proposer un entretien, ne trouve rien de mieux que de publier un rapport mensonger sur la rencontre, démontrant que tout ce qui sort de sa bouche l'est les doigts croisés dans le dos.

[*]Quand cette même usurpatrice, par des procédés inspirés par la créature sans nom, affirme avec véhémence que les troupes royales sont passées sur le territoire languedocien sans autorisation mais se tait quand une armée armagnacaise en débandade et dirigée par un félon bat en retraite dans le pays carcassonnais.

[*]Quand l'on en appelle à des forces étrangères au Royaume pour mieux combattre d'autres sujets de France,

[*]Quand les prélats romains encouragent encore les fidèles aristotéliciens à attaquer leurs frères.[/list]

[b]Il existe néanmoins une victoire et celle-ci est bel et bien royale.
Et cette victoire est celle de l'honneur. [/b]

[list][*]Par l'extraordinaire soutien des comtés et duchés et de leurs feudataires ayant répondu efficacement et rapidement à la relance de la levée du ban royal.

[*]Par ceux restés à l'arrière pour servir et protéger leurs provinces.

[*]Par la fidélité sans faille des nobles du Domaine Royal et des membres des Ordres royaux mobilisés depuis des mois et des mois.

[*]Par le travail efficace et constant des officiers royaux.[/list]

[b]Tous ces gens que nous tenons à remercier avec reconnaissance et gratitude représentent un groupe uni dont la droiture, le dévouement, et la loyauté ne peuvent être égalés.

Dans les privations et l'attente, face au danger et devant l'adversité, la Couronne de France aura su démontrer avec éclat que l'on peut être féal et agir loyalement dans la pleine conservation de ses valeurs.
C'est pour cela qu'a été répondu à l'offense faite à la Couronne de France, c'est pour cela qu'elle continuera toujours et à jamais à se défendre, elle, et tous ses vassaux.[/b][/list]

Qu'il en soit ainsi et heureusement.


Faict le seizième jour de juillet de l'an de grasce mil quatre cent soixante et un.[/color]
[img]http://i47.servimg.com/u/f47/14/87/19/90/gnia10.png[/img]
[img]http://i69.servimg.com/u/f69/11/69/50/92/gnia210.png[/img][/quote]

_________________
Gnia
Citation:
A tous ceux présent et advenir qui la présente liront ou se feront lire,
Et plus particulièrement aux membres de la Garde Royale,

Salutations,

    Nous, Agnès de Saint Just, Régente et Reyne consort de France,

    Décidons de suivre ce jour, les recommandations et choix du Grand Prévôt de France et du Capitaine de la Garde Royale sortante et permettons la nomination de Tolanhdruth de Sars, Seigneur de Saint Léger du Houley, à la charge de Capitaine de la Garde Royale.

    Dérogation est donc accordée pour cette nomination qui ne suit pas scrupuleusement les dispositions légales de la Charte de la Grande Prévôté.

    Profitons de la présente pour lui souhaiter réussite dans ses nouvelles fonctions et pour remercier chaleureusement l'ensemble du corps d'élite qu'est la Garde Royale.
    En effet, celle-ci a mené son oeuvre avec abnégation durant ce règne auprès des personnes du Roy et de la famille royale, ses membres s'étant montrés disponibles, efficaces et fidèles envers et contre tout durant ces longs mois de guerre et de voyages incessants loin de leurs demeures et proches.
    Puisse la Garde Royale continuer à s'illustrer sous le commandement de son nouveau Capitaine.


Qu'il en soit ainsi et heureusement.


Faict à Paris le dix septième jour de juillet de l'an de grasce mil quatre cent soixante et un




Code:
[quote][color=darkred]A tous ceux présent et advenir qui la présente liront ou se feront lire,
Et plus particulièrement aux membres de la Garde Royale,

Salutations,
[list]
[b]Nous, Agnès de Saint Just, Régente et Reyne consort de France,[/b]

Décidons de suivre ce jour, les recommandations et choix du Grand Prévôt de France et du Capitaine de la Garde Royale sortante et [b]permettons la nomination de Tolanhdruth de Sars, Seigneur de Saint Léger du Houley, à la charge de Capitaine de la Garde Royale.[/b]

Dérogation est donc accordée pour cette nomination qui ne suit pas scrupuleusement les dispositions légales de la Charte de la Grande Prévôté.

Profitons de la présente pour lui souhaiter réussite dans ses nouvelles fonctions et pour remercier chaleureusement l'ensemble du corps d'élite qu'est la Garde Royale.
En effet, celle-ci a mené son oeuvre avec abnégation durant ce règne auprès des personnes du Roy et de la famille royale, ses membres s'étant montrés disponibles, efficaces et fidèles envers et contre tout durant ces longs mois de guerre et de voyages incessants loin de leurs demeures et proches.
Puisse la Garde Royale continuer à s'illustrer sous le commandement de son nouveau Capitaine.[/list]

Qu'il en soit ainsi et heureusement.


Faict à Paris le dix septième jour de juillet de l'an de grasce mil quatre cent soixante et un[/color]
[img]http://i47.servimg.com/u/f47/14/87/19/90/gnia10.png[/img]
[img]http://i69.servimg.com/u/f69/11/69/50/92/gnia210.png[/img][/quote]

_________________
Nicolas.1er
Citation:



      A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
      Salut et paix.

    Répondant à l'appel lancé le soir du vingt-deuxième jour de juillet de cet an de grâce mil quatre cent soixante et un, c'est avec humilité que nous abandonnons notre personne au Royaume. Nous ne vivrons désormais plus que pour apporter justice, protection et subsistance à l'ensemble de nos vassaux et sujets, du plus noble des princes au plus humble des paysans. La tâche est ardue mais avec l'inspiration divine et l'aide de tous les fidèles serviteurs de la Couronne, nous savons que nous pouvons la mener à bien. A cette fin, nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons et ordonnons ce qui suit.


      Premièrement, la mobilisation du ban royal prend un terme immédiat. Que les épées regagnent leur fourreau, que le sang cesse de couler et que la paix revienne en notre Royaume. Tous ceux qui persisteraient à combattre à partir de ce jour encourraient notre souverain déplaisir et les conséquences potentiellement fâcheuses qui s'ensuivraient.

      Secondement, les hommes et les femmes déclarés félons ou traîtres à la Couronne par feu notre prédécesseur dans les deux édits du dix-huitième jour du mois de février de cette année sont rétablis dans leur dignité de loyaux sujets du Royaume. Nul n'aurait dû les forcer à faire un choix impossible entre leur Roy et leur foy. Des actes qui en ont découlé, il ne leur sera plus tenu rigueur de quelque façon que ce soit.


    Ces deux premiers pas ne sauraient toutefois garantir le retour définitif de la concorde. Nous exhortons donc toutes les personnes ou entités ayant entretenu quelque grief contre la Couronne ou ses représentants à saisir notre main tendue et à parcourir leur moitié du chemin. Puissent-elles prendre rapidement la plume ou mieux, la route de Paris. L'unité du Royaume et le bien-être de tous ses sujets en dépendent.


    Donné et scellé au Louvre le vingt-quatrième jour du mois de juillet de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,





Code:
[quote][img]http://nsa22.casimages.com/img/2012/02/05//120205072410114284.png[/img]


[list][list][size=14]A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
Salut et paix.[/size][/list][/list]
[list]Répondant à l'appel lancé le soir du vingt-deuxième jour de juillet de cet an de grâce mil quatre cent soixante et un, c'est avec humilité que nous abandonnons notre personne au Royaume. Nous ne vivrons désormais plus que pour apporter justice, protection et subsistance à l'ensemble de nos vassaux et sujets, du plus noble des princes au plus humble des paysans. La tâche est ardue mais avec l'inspiration divine et l'aide de tous les fidèles serviteurs de la Couronne, nous savons que nous pouvons la mener à bien. A cette fin, nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons et ordonnons ce qui suit.


[list]Premièrement, la mobilisation du ban royal prend un terme immédiat. Que les épées regagnent leur fourreau, que le sang cesse de couler et que la paix revienne en notre Royaume. Tous ceux qui persisteraient à combattre à partir de ce jour encourraient notre souverain déplaisir et les conséquences potentiellement fâcheuses qui s'ensuivraient.

Secondement, les hommes et les femmes déclarés félons ou traîtres à la Couronne par feu notre prédécesseur dans les deux édits du dix-huitième jour du mois de février de cette année sont rétablis dans leur dignité de loyaux sujets du Royaume. Nul n'aurait dû les forcer à faire un choix impossible entre leur Roy et leur foy. Des actes qui en ont découlé, il ne leur sera plus tenu rigueur de quelque façon que ce soit.[/list]

Ces deux premiers pas ne sauraient toutefois garantir le retour définitif de la concorde. Nous exhortons donc toutes les personnes ou entités ayant entretenu quelque grief contre la Couronne ou ses représentants à saisir notre main tendue et à parcourir leur moitié du chemin. Puissent-elles prendre rapidement la plume ou mieux, la route de Paris. L'unité du Royaume et le bien-être de tous ses sujets en dépendent.


Donné et scellé au Louvre le vingt-quatrième jour du mois de juillet de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,


[img]http://nsa34.casimages.com/img/2013/07/22/130722084717517218.gif[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/RoiNicolasOr_zpsdbc6d312.png[/img][/list][/quote]

_________________
Nicolas.1er
Citation:



      A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
      Salut et paix.

    Le vingt-quatrième jour de juillet, nous avons affirmé notre volonté de ramener la paix en notre Royaume. La dispersion du ban nous a paru constituer un symbole fort en ce sens. Fort heureusement, nombreux sont ceux qui ont su en saisir la portée et ont conséquemment décidé de rejoindre la table des négociations. Nous avons bon espoir que le lien entre la Couronne et plusieurs provinces en rupture d'allégeance soit prochainement restauré.

    Il apparaît toutefois que quelques agitateurs aient cru voir dans cette preuve de confiance un aveu de mollesse. Ainsi se figurent-ils qu'ils peuvent semer impunément le désordre chez leurs voisins et même provoquer un État étranger. L'Empereur Ludwig s'est inquiété de voir les bandes de malfrats se regrouper à proximité de ses frontières sous étendard berrichon. Le même étendard qu'ont arboré les pillards du Limousin ou les brigands en maraude en Champagne et en Orléans.

    En réponse à ces provocations intolérables, puisque notre bonne volonté est de toute évidence sciemment mise à l'épreuve et que la paix ne pourra se construire à sens unique, nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons ce qui suit.


      Le duché du Berry dispose de deux jours pour renoncer à soutenir, officiellement ou officieusement, la racaille qui harcèle les provinces voisine et le Saint Empire. Si un seul oriflamme berrichon flotte encore sur autre chose que l'ost ducal à l'aube du prochain jour du Seigneur, nous n'aurons d'autre choix que de l'interpréter comme une déclaration de guerre. Les forces royales et impériales travailleront alors de concert pour abattre les obstacles à la paix des deux côtés de la frontière.


    Nous savons que tel n'est pas le désir du peuple berrichon et nous prions pour qu'il parvienne à ramener ses dirigeants à la raison avant qu'il ne soit trop tard. Que tous les fauteurs de troubles se le tiennent pour dit : ils chercheront les limites de notre mansuétude à leurs risques et périls.


    Donné et scellé au Louvre le huitième jour du mois d'août de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,




Code:
[quote][img]http://nsa22.casimages.com/img/2012/02/05//120205072410114284.png[/img]


[list][list][size=14]A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
Salut et paix.[/size][/list][/list]
[list]Le vingt-quatrième jour de juillet, nous avons affirmé notre volonté de ramener la paix en notre Royaume. La dispersion du ban nous a paru constituer un symbole fort en ce sens. Fort heureusement, nombreux sont ceux qui ont su en saisir la portée et ont conséquemment décidé de rejoindre la table des négociations. Nous avons bon espoir que le lien entre la Couronne et plusieurs provinces en rupture d'allégeance soit prochainement restauré.

Il apparaît toutefois que quelques agitateurs aient cru voir dans cette preuve de confiance un aveu de mollesse. Ainsi se figurent-ils qu'ils peuvent semer impunément le désordre chez leurs voisins et même provoquer un État étranger. L'Empereur Ludwig s'est inquiété de voir les bandes de malfrats se regrouper à proximité de ses frontières sous étendard berrichon. Le même étendard qu'ont arboré les pillards du Limousin ou les brigands en maraude en Champagne et en Orléans.

En réponse à ces provocations intolérables, puisque notre bonne volonté est de toute évidence sciemment mise à l'épreuve et que la paix ne pourra se construire à sens unique, nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons ce qui suit.


[list]Le duché du Berry dispose de deux jours pour renoncer à soutenir, officiellement ou officieusement, la racaille qui harcèle les provinces voisine et le Saint Empire. Si un seul oriflamme berrichon flotte encore sur autre chose que l'ost ducal à l'aube du prochain jour du Seigneur, nous n'aurons d'autre choix que de l'interpréter comme une déclaration de guerre. Les forces royales et impériales travailleront alors de concert pour abattre les obstacles à la paix des deux côtés de la frontière.[/list]

Nous savons que tel n'est pas le désir du peuple berrichon et nous prions pour qu'il parvienne à ramener ses dirigeants à la raison avant qu'il ne soit trop tard. Que tous les fauteurs de troubles se le tiennent pour dit : ils chercheront les limites de notre mansuétude à leurs risques et périls.


Donné et scellé au Louvre le huitième jour du mois d'août de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,


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[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/RoiNicolasOr_zpsdbc6d312.png[/img][/list][/quote]

_________________
Nicolas.1er
Citation:



      A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
      Salut et paix.

    En ces temps de paix encore fragile, il nous apparaît nécessaire d'encourager toute initiative visant à ramener la légèreté dans les cœurs et les sourires sur les visages. L'heure n'est plus à la guerre. C'est pourquoi nous avons décidé d'apporter notre soutien à ceux qui œuvrent au divertissement de nos sujets, en signant deux lettres patentes inédites. Aussi, nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons et ordonnons ce qui suit.


      Premièrement, le dénommé Sandino des Romané Chavé et sa troupe bénéficient à partir de ce jour et tant qu'il nous siéra d'un sauf-conduit royal. Nous nous portons garant de toutes les demandes de laissez-passer qu'ils seront amenés à formuler au cours de leurs voyages et nous formons le vœu que nul ne les empêche d'exercer leur art partout où ils le voudront, tant qu'ils se montrent respectueux des us et coutumes locaux, car tel est notre bon plaisir.

      Secondement, le dénommé Drahomir Vadikra est fait bouffon royal, sous le nom de scène de l'Aubergine. Il est par conséquent libéré de toutes les restrictions relatives au respect de notre royale personne. Il a déjà fait preuve d'une remarquable abnégation en renonçant à sa charge de Grand chancelier et à sa dignité de baron de Sept-Forges au profit de sa vocation artistique, aussi ne nous sentons-nous pas le cœur à maintenir les dernières barrières qui l'empêchent d'exploiter l'imagination débordante et la vulgarité truculente dont il fait toujours preuve lorsqu'il s'agit de nous conspuer. Ceux qui seront témoins de ses diatribes sont invités à lui jeter des piécettes ou des fruits mûrs, selon la qualité de sa prestation.


    Nous faisons afficher copie des patentes originales, dépourvue de nos scel et signature, afin que leur authenticité ne soit pas remise en doute. Nos sujets talentueux souhaitant bénéficier du même type de patronage sont invités à contacter notre Grand chambellan, qui nous transmettra les requêtes dignes d'intérêt.


    Donné et scellé au Louvre le huitième jour du mois d'août de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,









    Nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, accordons un sauf-conduit valable sur l'ensemble des routes du Royaume au porteur de la présente lettre, Sandino des Romano Chavé, ainsi qu'à ceux qui l'accompagnent. S'ils devaient cesser de s'en montrer dignes, une doléance motivée serait à adresser à la Maison royale.

    Donné au Louvre le huitième jour du mois d'août de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,





    Nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, accordons une licence complète au porteur de la présente lettre, Drahomir Vadikra dit l'Aubergine, pour tous les sujets relatifs à notre royale personne. Nul tort ne lui sera fait en raison de ses propos colorés à notre égard, quoiqu'une bastonnade justifiée par son tempérament déplaisant reste permise.

    Donné au Louvre le huitième jour du mois d'août de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,

Code:
[quote][img]http://nsa22.casimages.com/img/2012/02/05//120205072410114284.png[/img]


[list][list][size=14]A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
Salut et paix.[/size][/list][/list]
[list]En ces temps de paix encore fragile, il nous apparaît nécessaire d'encourager toute initiative visant à ramener la légèreté dans les cœurs et les sourires sur les visages. L'heure n'est plus à la guerre. C'est pourquoi nous avons décidé d'apporter notre soutien à ceux qui œuvrent au divertissement de nos sujets, en signant deux lettres patentes inédites. Aussi, nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons et ordonnons ce qui suit.


[list]Premièrement, le dénommé Sandino des Romané Chavé et sa troupe bénéficient à partir de ce jour et tant qu'il nous siéra d'un sauf-conduit royal. Nous nous portons garant de toutes les demandes de laissez-passer qu'ils seront amenés à formuler au cours de leurs voyages et nous formons le vœu que nul ne les empêche d'exercer leur art partout où ils le voudront, tant qu'ils se montrent respectueux des us et coutumes locaux, car tel est notre bon plaisir.

Secondement, le dénommé Drahomir Vadikra est fait bouffon royal, sous le nom de scène de l'Aubergine. Il est par conséquent libéré de toutes les restrictions relatives au respect de notre royale personne. Il a déjà fait preuve d'une remarquable abnégation en renonçant à sa charge de Grand chancelier et à sa dignité de baron de Sept-Forges au profit de sa vocation artistique, aussi ne nous sentons-nous pas le cœur à maintenir les dernières barrières qui l'empêchent d'exploiter l'imagination débordante et la vulgarité truculente dont il fait toujours preuve lorsqu'il s'agit de nous conspuer. Ceux qui seront témoins de ses diatribes sont invités à lui jeter des piécettes ou des fruits mûrs, selon la qualité de sa prestation.[/list]

Nous faisons afficher copie des patentes originales, dépourvue de nos scel et signature, afin que leur authenticité ne soit pas remise en doute. Nos sujets talentueux souhaitant bénéficier du même type de patronage sont invités à contacter notre Grand chambellan, qui nous transmettra les requêtes dignes d'intérêt.


Donné et scellé au Louvre le huitième jour du mois d'août de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,


[img]http://nsa34.casimages.com/img/2013/07/22/130722084717517218.gif[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/RoiNicolasOr_zpsdbc6d312.png[/img][/list]

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[list]Nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, accordons un sauf-conduit valable sur l'ensemble des routes du Royaume au porteur de la présente lettre, Sandino des Romano Chavé, ainsi qu'à ceux qui l'accompagnent. S'ils devaient cesser de s'en montrer dignes, une doléance motivée serait à adresser à la Maison royale.

Donné au Louvre le huitième jour du mois d'août de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,[/list][/rp]
[rp][img]http://nsa22.casimages.com/img/2012/02/05//120205072410114284.png[/img]

[list]Nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, accordons une licence complète au porteur de la présente lettre, Drahomir Vadikra dit l'Aubergine, pour tous les sujets relatifs à notre royale personne. Nul tort ne lui sera fait en raison de ses propos colorés à notre égard, quoiqu'une bastonnade justifiée par son tempérament déplaisant reste permise.

Donné au Louvre le huitième jour du mois d'août de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,[/list][/rp][/quote]

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Nicolas.1er
Citation:



      A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
      Salut et paix.

    Par la faute d'un traître et de quelques agitateurs, les esprits s'échauffent à nouveau dans le centre du Royaume. Le Berry appelle à la vengeance, la Bourgogne crie à l'injustice et des deux côtés de la frontière, on tire les paysans de leurs champs pour les renvoyer à la guerre. Qu'il soit su que nous ne laisserons pas une mésentente de voisinage arrosée de vieux préjugés dégénérer en conflit armé alors que la France panse à peine ses dernières blessures. Afin de préserver une paix trop longtemps disparue et désormais menacée, nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons et ordonnons ce qui suit.


      Premièrement, une enquête sur le pillage du trésor ducal berrichon et sur l'éventuelle dissimulation de ces fonds en Bourgogne est ouverte à la Grande prévôté. Nous faisons confiance à nos vassaux et sujets pour coopérer avec les officiers responsables dans toute la mesure de leurs moyens de sorte que la lumière puisse être faite dans les meilleurs délais sur ces regrettables événements.

      Secondement, la frontière berrichonne marque à partir de cet instant les limites de notre patience envers les bellicistes de tous bords. Que des forces armées s'avisent de la franchir, dans un sens ou dans l'autre, et les troupes royales seront immédiatement envoyées sur place pour restaurer l'ordre. Le feudataire qui se permettrait d'enfreindre ou de laisser enfreindre le présent édit ne pourrait plus s'attendre à la moindre bienveillance de notre part.


    Plaise au Très-Haut que tous les belligérants en puissance reviennent à la raison avant que le sang ne coule de nouveau, car nous n'entendons pas dénier à nos sujets la tranquillité que nous avons promis de ramener en notre Royaume.


    Donné et scellé à Rodez le vingt-troisième jour du mois d'août de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,





Code:
[quote][img]http://nsa22.casimages.com/img/2012/02/05//120205072410114284.png[/img]


[list][list][size=14]A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
Salut et paix.[/size][/list][/list]
[list]Par la faute d'un traître et de quelques agitateurs, les esprits s'échauffent à nouveau dans le centre du Royaume. Le Berry appelle à la vengeance, la Bourgogne crie à l'injustice et des deux côtés de la frontière, on tire les paysans de leurs champs pour les renvoyer à la guerre. Qu'il soit su que nous ne laisserons pas une mésentente de voisinage arrosée de vieux préjugés dégénérer en conflit armé alors que la France panse à peine ses dernières blessures. Afin de préserver une paix trop longtemps disparue et désormais menacée, nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons et ordonnons ce qui suit.


[list]Premièrement, une enquête sur le pillage du trésor ducal berrichon et sur l'éventuelle dissimulation de ces fonds en Bourgogne est ouverte à la Grande prévôté. Nous faisons confiance à nos vassaux et sujets pour coopérer avec les officiers responsables dans toute la mesure de leurs moyens de sorte que la lumière puisse être faite dans les meilleurs délais sur ces regrettables événements.

Secondement, la frontière berrichonne marque à partir de cet instant les limites de notre patience envers les bellicistes de tous bords. Que des forces armées s'avisent de la franchir, dans un sens ou dans l'autre, et les troupes royales seront immédiatement envoyées sur place pour restaurer l'ordre. Le feudataire qui se permettrait d'enfreindre ou de laisser enfreindre le présent édit ne pourrait plus s'attendre à la moindre bienveillance de notre part.[/list]

Plaise au Très-Haut que tous les belligérants en puissance reviennent à la raison avant que le sang ne coule de nouveau, car nous n'entendons pas dénier à nos sujets la tranquillité que nous avons promis de ramener en notre Royaume.


Donné et scellé à Rodez le vingt-troisième jour du mois d'août de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,


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[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/RoiNicolasOr_zpsdbc6d312.png[/img][/list][/quote]

_________________
Nicolas.1er
Citation:



      A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
      Salut et paix.

    N'en déplaise aux hétérodoxes, aux hérétiques, aux athées et à toutes les autres âmes perdues, la Couronne de France et la Sainte Église aristotélicienne sont liées. Depuis des siècles, elles défendent respectivement le bien-être physique et le bien-être spirituel de tous les sujets du Royaume, qui comptent pour peu de choses l'un sans l'autre. Avec l'aide du Très-Haut et la bonne volonté des hommes, elles continueront de le faire pour des siècles encore.

    D'aucuns, dans les salons du Louvre et les couloirs de la Curie romaine, ont eu l'orgueil de penser qu'ils pouvaient rompre cette ancienne alliance. Puissent le schisme et la croisade qui ont découlé de leur folie servir de leçons à tous ceux qui seraient tentés de les imiter. Pour l'heure, il convient de réparer ce qui peut l'être et de rapprocher à nouveau le Trône et l'Autel dans le plus grand intérêt du Royaume. A cette fin, nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons et ordonnons ce qui suit.


      Premièrement, l'édit de feu notre prédécesseur daté du premier jour du mois de mai de cette année est abrogé. La prétendue Église aristotélicienne de France est dissoute avec effet immédiat et tous ses privilèges sont abolis. Après les cathédrales de notre Domaine, c'est la Maison ecclésiastique royale qui sera bientôt confiée à un prélat légitime. Nous invitons par ailleurs nos feudataires à se rapprocher de la Nonciature apostolique pour organiser semblables restitutions partout où elles sont possibles.

      Deuxièmement, n'entendant pas nous livrer au même type d'ingérence que nous dénonçons, nous laissons à la Sainte Église aristotélicienne le soin de se prononcer sur le destin de ses clercs égarés et sur la validité des sacrements qu'ils ont dispensés. Nous espérons seulement qu'elle ne fera pas payer aux simples fidèles leur obéissance à un dogme qu'ils ne savaient pas forcément perverti et qu'elle saura pardonner aux repentis sincères, afin de faciliter la restauration de la concorde.

      Troisièmement, Son Éminence Aaron de Nagan et Monseigneur Navigius di Carrenza ne sont plus considérés comme félons, traîtres ou ennemis de la France. Les éventuelles indignités par eux subies sous ces infamants statuts n'ont plus la caution de la Couronne et nous avons pleine confiance en nos vassaux et sujets concernés pour les rectifier le cas échéant.


    Puisse le Très-Haut favoriser notre entreprise mais garder vivace le souvenir des errements qui l'ont rendue nécessaire, de sorte qu'ils puissent être évités à l'avenir.


    Donné et scellé à Montauban le quatrième jour du mois de septembre de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,





Code:
[quote][img]http://nsa22.casimages.com/img/2012/02/05//120205072410114284.png[/img]


[list][list][size=14]A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
Salut et paix.[/size][/list][/list]
[list]N'en déplaise aux hétérodoxes, aux hérétiques, aux athées et à toutes les autres âmes perdues, la Couronne de France et la Sainte Église aristotélicienne sont liées. Depuis des siècles, elles défendent respectivement le bien-être physique et le bien-être spirituel de tous les sujets du Royaume, qui comptent pour peu de choses l'un sans l'autre. Avec l'aide du Très-Haut et la bonne volonté des hommes, elles continueront de le faire pour des siècles encore.

D'aucuns, dans les salons du Louvre et les couloirs de la Curie romaine, ont eu l'orgueil de penser qu'ils pouvaient rompre cette ancienne alliance. Puissent le schisme et la croisade qui ont découlé de leur folie servir de leçons à tous ceux qui seraient tentés de les imiter. Pour l'heure, il convient de réparer ce qui peut l'être et de rapprocher à nouveau le Trône et l'Autel dans le plus grand intérêt du Royaume. A cette fin, nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons et ordonnons ce qui suit.


[list]Premièrement, l'édit de feu notre prédécesseur daté du premier jour du mois de mai de cette année est abrogé. La prétendue Église aristotélicienne de France est dissoute avec effet immédiat et tous ses privilèges sont abolis. Après les cathédrales de notre Domaine, c'est la Maison ecclésiastique royale qui sera bientôt confiée à un prélat légitime. Nous invitons par ailleurs nos feudataires à se rapprocher de la Nonciature apostolique pour organiser semblables restitutions partout où elles sont possibles.

Deuxièmement, n'entendant pas nous livrer au même type d'ingérence que nous dénonçons, nous laissons à la Sainte Église aristotélicienne le soin de se prononcer sur le destin de ses clercs égarés et sur la validité des sacrements qu'ils ont dispensés. Nous espérons seulement qu'elle ne fera pas payer aux simples fidèles leur obéissance à un dogme qu'ils ne savaient pas forcément perverti et qu'elle saura pardonner aux repentis sincères, afin de faciliter la restauration de la concorde.

Troisièmement, Son Éminence Aaron de Nagan et Monseigneur Navigius di Carrenza ne sont plus considérés comme félons, traîtres ou ennemis de la France. Les éventuelles indignités par eux subies sous ces infamants statuts n'ont plus la caution de la Couronne et nous avons pleine confiance en nos vassaux et sujets concernés pour les rectifier le cas échéant.[/list]

Puisse le Très-Haut favoriser notre entreprise mais garder vivace le souvenir des errements qui l'ont rendue nécessaire, de sorte qu'ils puissent être évités à l'avenir.


Donné et scellé à Montauban le quatrième jour du mois de septembre de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,


[img]http://nsa34.casimages.com/img/2013/07/22/130722084717517218.gif[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/RoiNicolasOr_zpsdbc6d312.png[/img][/list][/quote]

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Nicolas.1er
Citation:



      A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
      Salut et paix.

    Constatant que l'expérience institutionnelle de feu notre prédécesseur a malheureusement tourné court en raison du dilettantisme de ceux auxquels il l'avait confiée, et désireux de rendre à la Très noble assemblée des Pairs de France son rôle législatif, nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons et ordonnons ce qui suit.


      L'édit relatif à la création d'une Chambre dite d'Eunomie daté du premier jour du mois de mai de cette année est abrogé. Les quelques travaux par celle-ci entamés avant l'interruption de son activité seront archivés par la Chancellerie.


    Le Très-Haut nous garde de la paresse.


    Donné et scellé au Louvre le vingt-cinquième jour du mois de septembre de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,





Code:
[quote][img]http://nsa22.casimages.com/img/2012/02/05//120205072410114284.png[/img]


[list][list][size=14]A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
Salut et paix.[/size][/list][/list]
[list]Constatant que l'expérience institutionnelle de feu notre prédécesseur a malheureusement tourné court en raison du dilettantisme de ceux auxquels il l'avait confiée, et désireux de rendre à la Très noble assemblée des Pairs de France son rôle législatif, nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons et ordonnons ce qui suit.


[list]L'édit relatif à la création d'une Chambre dite d'Eunomie daté du premier jour du mois de mai de cette année est abrogé. Les quelques travaux par celle-ci entamés avant l'interruption de son activité seront archivés par la Chancellerie.[/list]

Le Très-Haut nous garde de la paresse.


Donné et scellé au Louvre le vingt-cinquième jour du mois de septembre de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,


[img]http://nsa34.casimages.com/img/2013/07/22/130722084717517218.gif[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/RoiNicolasOr_zpsdbc6d312.png[/img][/list][/quote]

_________________
Nicolas.1er
Citation:



      A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
      Salut et paix.

    C'est le cœur lourd que nous avons été contraint de refuser l'allégeance d'Azharr de Montestier, porté à la tête du conseil ducal de Bourgogne à la suite des dernières élections. Nous ne pouvions, en notre âme et conscience, prendre pour vassal un voleur et un parjure.

    Un voleur, car il est avéré que les écus soustraits au trésor ducal berrichon le mois dernier ont traversé nuitamment la frontière bourguignonne pour être transférés dans l'armée commandée par ledit Azharr. Quelle qu'ait pu être la provenance première de ces écus, leur pillage n'est pas digne d'un prétendant au trône de Bourgogne. Nous refusons de cautionner la loi du Talion en notre Royaume.

    Un parjure, car il a menti effrontément aux officiers que nous avions chargé de faire la lumière sur cette affaire, ainsi probablement qu'aux autorités bourguignonnes de l'époque, dont nous n'avons aucune raison de soupçonner l'implication. Alors que nous lui avions offert une dernière occasion de faire amende honorable, il a persisté dans le mensonge de vive voix en notre présence.

    Un tel comportement nous paraît difficilement compatible avec la responsabilité qu'induit le gouvernement d'une province. Nous n'entendons toutefois pas dicter leur conduite à nos sujets bourguignons, qui conservent toute notre bienveillance et notre estime. Libre à eux de garder Azharr de Montestier comme intendant s'ils le souhaitent, tant que celui-ci n'usurpe pas les titres et prérogatives de duc ou de régent, car il n'est ni l'un ni l'autre.

    Le Très-Haut garde la Bourgogne.


    Donné et scellé au Louvre le vingt-septième jour du mois de septembre de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,





Code:
[quote][img]http://nsa22.casimages.com/img/2012/02/05//120205072410114284.png[/img]


[list][list][size=14]A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
Salut et paix.[/size][/list][/list]
[list]C'est le cœur lourd que nous avons été contraint de refuser l'allégeance d'Azharr de Montestier, porté à la tête du conseil ducal de Bourgogne à la suite des dernières élections. Nous ne pouvions, en notre âme et conscience, prendre pour vassal un voleur et un parjure.

Un voleur, car il est avéré que les écus soustraits au trésor ducal berrichon le mois dernier ont traversé nuitamment la frontière bourguignonne pour être transférés dans l'armée commandée par ledit Azharr. Quelle qu'ait pu être la provenance première de ces écus, leur pillage n'est pas digne d'un prétendant au trône de Bourgogne. Nous refusons de cautionner la loi du Talion en notre Royaume.

Un parjure, car il a menti effrontément aux officiers que nous avions chargé de faire la lumière sur cette affaire, ainsi probablement qu'aux autorités bourguignonnes de l'époque, dont nous n'avons aucune raison de soupçonner l'implication. Alors que nous lui avions offert une dernière occasion de faire amende honorable, il a persisté dans le mensonge de vive voix en notre présence.

Un tel comportement nous paraît difficilement compatible avec la responsabilité qu'induit le gouvernement d'une province. Nous n'entendons toutefois pas dicter leur conduite à nos sujets bourguignons, qui conservent toute notre bienveillance et notre estime. Libre à eux de garder Azharr de Montestier comme intendant s'ils le souhaitent, tant que celui-ci n'usurpe pas les titres et prérogatives de duc ou de régent, car il n'est ni l'un ni l'autre.

Le Très-Haut garde la Bourgogne.


Donné et scellé au Louvre le vingt-septième jour du mois de septembre de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,


[img]http://nsa34.casimages.com/img/2013/07/22/130722084717517218.gif[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/RoiNicolasOr_zpsdbc6d312.png[/img][/list][/quote]

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Nicolas.1er
Citation:



      A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
      Salut et paix.

    Après huit mois de bons et loyaux services à la charge exigeante de Grand Maître de France, Lexhor d'Amahir de la Louveterie, prince de Montlhéry, duc d'Alluyes, d'Amboise et de Luynes, vicomte de Montbazon, baron d'Auneau, de Château Landon, de Vouvray et de Yèvre-le-Chastel, seigneur de Pléaux et Pair de France, a déjà donné à la Couronne bien plus qu'elle n'était en droit d'exiger de lui. Nous avons par conséquent décidé de le remercier et de nommer pour le remplacer, en ces temps troublés, un homme ayant consacré la plus grande partie de sa vie à défendre le Royaume à la pointe de l'épée. Aussi nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons et ordonnons ce qui suit.


      Julien Giffard, marquis de Rosny, duc de Lillebonne, baron de Cambremer, seigneur de Guibray et de Saint Michel des Loups, Pair de France et Chevalier Grand Maître de l'Ordre Royal des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem, devient Grand Maître de France. A ce titre, il nous secondera dans tous les domaines utiles et s'exprimera en notre nom chaque fois que nous ne le ferons pas.


    Puisse le Très-Haut l'assister dans cette lourde tâche.


    Donné et scellé à Verneuil le huitième jour du mois d'octobre de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,





Code:
[quote][img]http://nsa22.casimages.com/img/2012/02/05//120205072410114284.png[/img]


[list][list][size=14]A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
Salut et paix.[/size][/list][/list]
[list]Après huit mois de bons et loyaux services à la charge exigeante de Grand Maître de France, Lexhor d'Amahir de la Louveterie, prince de Montlhéry, duc d'Alluyes, d'Amboise et de Luynes, vicomte de Montbazon, baron d'Auneau, de Château Landon, de Vouvray et de Yèvre-le-Chastel, seigneur de Pléaux et Pair de France, a déjà donné à la Couronne bien plus qu'elle n'était en droit d'exiger de lui. Nous avons par conséquent décidé de le remercier et de nommer pour le remplacer, en ces temps troublés, un homme ayant consacré la plus grande partie de sa vie à défendre le Royaume à la pointe de l'épée. Aussi nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons et ordonnons ce qui suit.


[list]Julien Giffard, marquis de Rosny, duc de Lillebonne, baron de Cambremer, seigneur de Guibray et de Saint Michel des Loups, Pair de France et Chevalier Grand Maître de l'Ordre Royal des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem, devient Grand Maître de France. A ce titre, il nous secondera dans tous les domaines utiles et s'exprimera en notre nom chaque fois que nous ne le ferons pas.[/list]

Puisse le Très-Haut l'assister dans cette lourde tâche.


Donné et scellé à Verneuil le huitième jour du mois d'octobre de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,


[img]http://nsa34.casimages.com/img/2013/07/22/130722084717517218.gif[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/RoiNicolasOr_zpsdbc6d312.png[/img][/list][/quote]

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Nicolas.1er
Citation:



      A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
      Salut et paix.

    Il est des blessures contre lesquelles les soins les plus attentionnés du monde sont impuissants. Lorsque la chair se nécrose et que le pus s'accumule, même le plus obtus des rebouteux sait que le moment est venu de procéder à l'amputation pour contenir la corruption. Ce précepte de médecine s'applique aussi à l'art de gouverner, car en bien des points, un Royaume est semblable à un corps humain.

    Voilà plus de deux ans que l'Artois s'entête dans la rébellion. D'autres provinces, qui avaient prêté l'oreille au chant des sirènes de l'indépendance, ont vite réalisé leur erreur et ont fait leur retour dans le bienveillant giron royal. Hélas, toutes les mains tendues vers Arras ont été mordues. Dernièrement, ce sont trois armées entières de brigands qui ont pu se rassembler et se ravitailler en toute impunité à Bertincourt avant de déferler sur la Normandie. Alors même que des membres du ban artésien aidaient la vermine à piller Rouen, leur suzeraine continuait à clamer l'innocence de son comté.

    La patience de la Couronne est donc arrivée à son terme. En échange d'un généreux tribut de plusieurs centaines de milliers d'écus, directement prélevés dans les caisses du castel d'Arras pour éviter toute complication logistique, les revendications artésiennes ont été entendues. Conséquemment, nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons et ordonnons ce qui suit.


      Le Royaume de France coupe toute relation avec l'Artois, de ce jour et tant qu'un régnant légitime n'aura pas fait allégeance à la Couronne. Nos sujets, nobles ou roturiers, qui ne veulent pas demeurer dans une province dirigée par une poignée de malandrins sans foi ni loi, sont les bienvenus en notre Domaine où nous les aiderons à s'établir pour peu qu'ils en formulent le souhait sincère.


    En un mot, l'Artois est libre.
    Libre d'obéir aux caprices d'un comte omnipotent.
    Libre de se passer de tout recours sérieux contre les injustices.
    Libre de renoncer au commerce et aux échanges pacifiques avec ses voisins.
    Libre d'être mise à sac par n'importe quelle force hostile sans espoir d'assistance.
    Libre de laisser proliférer une pseudo-noblesse de copinage dépendante d'un héraut compromis.
    Libre de s'accrocher à de vieilles rancœurs dépourvues de sens au lieu de se tourner vers un avenir serein au sein du Royaume.

    Puisse le Très-Haut veiller sur les inconséquents.


    Donné et scellé à Lisieux le quinzième jour du mois d'octobre de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,





Code:
[quote][img]http://nsa22.casimages.com/img/2012/02/05//120205072410114284.png[/img]


[list][list][size=14]A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
Salut et paix.[/size][/list][/list]
[list]Il est des blessures contre lesquelles les soins les plus attentionnés du monde sont impuissants. Lorsque la chair se nécrose et que le pus s'accumule, même le plus obtus des rebouteux sait que le moment est venu de procéder à l'amputation pour contenir la corruption. Ce précepte de médecine s'applique aussi à l'art de gouverner, car en bien des points, un Royaume est semblable à un corps humain.

Voilà plus de deux ans que l'Artois s'entête dans la rébellion. D'autres provinces, qui avaient prêté l'oreille au chant des sirènes de l'indépendance, ont vite réalisé leur erreur et ont fait leur retour dans le bienveillant giron royal. Hélas, toutes les mains tendues vers Arras ont été mordues. Dernièrement, ce sont trois armées entières de brigands qui ont pu se rassembler et se ravitailler en toute impunité à Bertincourt avant de déferler sur la Normandie. Alors même que des membres du ban artésien aidaient la vermine à piller Rouen, leur suzeraine continuait à clamer l'innocence de son comté.

La patience de la Couronne est donc arrivée à son terme. En échange d'un généreux tribut de plusieurs centaines de milliers d'écus, directement prélevés dans les caisses du castel d'Arras pour éviter toute complication logistique, les revendications artésiennes ont été entendues. Conséquemment, nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons et ordonnons ce qui suit.


[list]Le Royaume de France coupe toute relation avec l'Artois, de ce jour et tant qu'un régnant légitime n'aura pas fait allégeance à la Couronne. Nos sujets, nobles ou roturiers, qui ne veulent pas demeurer dans une province dirigée par une poignée de malandrins sans foi ni loi, sont les bienvenus en notre Domaine où nous les aiderons à s'établir pour peu qu'ils en formulent le souhait sincère.[/list]

En un mot, l'Artois est libre.
Libre d'obéir aux caprices d'un comte omnipotent.
Libre de se passer de tout recours sérieux contre les injustices.
Libre de renoncer au commerce et aux échanges pacifiques avec ses voisins.
Libre d'être mise à sac par n'importe quelle force hostile sans espoir d'assistance.
Libre de laisser proliférer une pseudo-noblesse de copinage dépendante d'un héraut compromis.
Libre de s'accrocher à de vieilles rancœurs dépourvues de sens au lieu de se tourner vers un avenir serein au sein du Royaume.

Puisse le Très-Haut veiller sur les inconséquents.


Donné et scellé à Lisieux le quinzième jour du mois d'octobre de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,


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[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/RoiNicolasOr_zpsdbc6d312.png[/img][/list][/quote]

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Nicolas.1er
Citation:



      A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
      Salut et paix.

    Voilà plusieurs mois que les hommes et les femmes de bien ont uni leurs efforts pour panser les plaies du Royaume. Des fossés ont été comblés, des serments ont été renoués, des rancœurs ont été mises de côté. Hélas, quelques bellicistes refusent d'entendre parler de paix. Une main leur a été tendue, ils l'ont mordue. A la clémence, nous sommes donc contraint de faire succéder la fermeté. Nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons et ordonnons ce qui suit.


      Namaycush Salmo Salar, alias Carmin, capitaine de la Memento Mori et champion de France incontesté du retournement de veste, retrouve son statut d'ennemi de la Couronne. L'ardeur qu'il met à semer le chaos aux quatre coins du Royaume mérite bien cette modeste distinction, qui pourrait être suivie sous peu d'une nomination à la charge enviée de bouffon royal s'il persiste à essayer de se faire passer pour un homme d'honneur.


    Gageons que ces titres auront d'autant plus de valeur à ses yeux qu'il a depuis longtemps perdu la principauté de Pontoise, le vicomté d'Aubusson, la baronnie de Dorat et la seigneurie de Saint-Anne, qu'il lui arrive encore de revendiquer dans des moments d'égarement. Puisse le Très-Haut lui rendre la mémoire.


    Donné et scellé à Lisieux le vingt-deuxième jour du mois d'octobre de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,





Code:

[quote][img]http://nsa22.casimages.com/img/2012/02/05//120205072410114284.png[/img]


[list][list][size=14]A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,
Salut et paix.[/size][/list][/list]
[list]Voilà plusieurs mois que les hommes et les femmes de bien ont uni leurs efforts pour panser les plaies du Royaume. Des fossés ont été comblés, des serments ont été renoués, des rancœurs ont été mises de côté. Hélas, quelques bellicistes refusent d'entendre parler de paix. Une main leur a été tendue, ils l'ont mordue. A la clémence, nous sommes donc contraint de faire succéder la fermeté. Nous, Nicolas, Roy de France par la grâce du Très-Haut, statuons et ordonnons ce qui suit.


[list]Namaycush Salmo Salar, alias Carmin, capitaine de la Memento Mori et champion de France incontesté du retournement de veste, retrouve son statut d'ennemi de la Couronne. L'ardeur qu'il met à semer le chaos aux quatre coins du Royaume mérite bien cette modeste distinction, qui pourrait être suivie sous peu d'une nomination à la charge enviée de bouffon royal s'il persiste à essayer de se faire passer pour un homme d'honneur.[/list]

Gageons que ces titres auront d'autant plus de valeur à ses yeux qu'il a depuis longtemps perdu la principauté de Pontoise, le vicomté d'Aubusson, la baronnie de Dorat et la seigneurie de Saint-Anne, qu'il lui arrive encore de revendiquer dans des moments d'égarement. Puisse le Très-Haut lui rendre la mémoire.


Donné et scellé à Lisieux le vingt-deuxième jour du mois d'octobre de l'an de grâce mil quatre cent soixante et un,


[img]http://nsa34.casimages.com/img/2013/07/22/130722084717517218.gif[/img]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/RoiNicolasOr_zpsdbc6d312.png[/img][/list][/quote]

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