Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7, ..., 21, 22, 23   >   >>

Annonces du Souverain.

Nebisa
    Peuple de France,
    Loyaux sujets de la Couronne,

    Ce jour, Nous nous adressons à vous afin de rappeler que, gardienne de l'intégrité de Notre Royaume et soucieuse du bien de Nos sujets, Nous ne pouvons demeurrer silencieuse quand Nous voyons deux bonnes villes séparées de leur terre natale, sous divers prétextes et raisons.

    Au Régent de Toulouse, pour avoir de manière pernicieuse et dans la plus parfaite ignominie attaqué le Duché de Guyenne, Nous adressons une dernière fois un appel à la raison. Nous laissons trois jours à Toulouse pour se retirer d'un conflit qu'il a déclenché, pour présenter ses excuses au Duc Archybald et au peuple de Guyenne et pour retirer ses troupes de la ville de Montauban. Nous signalons que ces manœuvres ne sont que le jeu du Ponant qui cherche à renverser un conseil légitime, élu par un peuple désirant la paix et la stabilité sous l'égide la Couronne de France et que ce désir là ne sera pas étouffé par quelques compromissions indignes.

    Au Duc de Touraine, Nous signalons que si la situation en Berry, du fait de la guerre et de la trahison de ceux, nobles ou simples endoctrinés, s'étant vendu à la solde des Ennemis de la France, est complexe, Nous ne doutons pas que vous ayez agit en pensant suivre ce qui était le mieux... mais cela ne se peut. Nous n'admettrons pas de voir Notre province du Berry amputée d'une seule de ses bonnes villes, car Nous Nous battons contre les traitres, certes, mais pour la France, pour toute la France, donc pour le Berry. Nous entendons voir au plus vite le peuple Berrichon connaitre la même délivrance que la Guyenne, que le peuple ouvre les yeux, chassent ses tyrans et ouvre ses bras et son cœur à la Couronne qui n'a jamais cessé de les chérir et de vouloir les aimer. Le Berry est Notre province et demeurera comme telle, avec tous ses bonnes villes historiques et sans que la moindre annexion ne soit permise, autorisée ou reconnue par la Couronne de France. Nous déplorons ce qui a conduit à Nous imposer un état que les ennemis de la France peuvent revendiquer comme souhaité par Nous et vous faisons part de Notre désir de savoir Châteauroux, libre, fière et Berrichonne, retrouver sa place au sein de Notre Royaume.

    Aux habitants de Châteauroux, à son maire, Nous assurons Notre soucis et Notre vœux de vous savoir prospères et en paix, Nous comprenons votre désir de vivre autrement que dans l'oppression, Nous savons le traitement réservé aux Loyalistes en Berry par les Ennemis de la France et Nous ne pouvons que déplorer ces attaques incessantes au fil des mois... Mais vous ne devez pas renoncer et quitter la place. Vous êtes l'avenir du Berry, vous avez le devoir et la mission de vous battre pour offrir au Berry la perspective d'une vraie place au sein de la France, une place loyale et honorable, le contraire de ce que le Parti officiel des traitres incarne et instaure dans les esprits. Je vous en prie, ce jour, de toute la force de mon âme, beaucoup se battent pour la France, pour leur avenir, les armes à la main, vous avez la mission de vous battre aussi, pour la France mais pour votre avenir, pour le Berry qui est, demeure et restera votre terre... Ne vous dérobez pas à ce devoir, mes chers sujets, ne tournez pas le dos à une province qui a besoin de vous...


    A chaque homme, chaque femme sur le sol de France, tenez bon, notre France tient bon, notre France renait, elle est unie, forte, dressée dans un même but... et ensemble, Nous voyons renaitre les fleurs de lys, bientôt, avec l'aide du Très Haut, ceux qui pensaient que cette guerre Nous conduirait à Notre perte admettrons que Nos victoires sont le signe de Notre juste cause, bientôt, la Raison prendra le pas sur les ordres aveugles donnés par les quelques personnes qui pensaient pouvoir instaurer au sein de notre France un État dans l’État, un Royaume du Ponant... Bientôt, si l'honneur revient, Nous unirons la France dans une Paix nouvelle, une stabilité retrouvée et un avenir prospère.

    C'est pour cela que Nous Nous battons, pour cela que vous vous battez à Nos cotés, pour cela que Nous triompherons, ensemble.

    Au Palais Royal du Louvre
    Le premier jour d'Octobre 1459





Code:
[list]Peuple de France,
Loyaux sujets de la Couronne,

Ce jour, Nous nous adressons à vous afin de rappeler que, gardienne de l'intégrité de Notre Royaume et soucieuse du bien de Nos sujets, Nous ne pouvons demeurrer silencieuse quand Nous voyons deux bonnes villes séparées de leur terre natale, sous divers prétextes et raisons.

Au Régent de Toulouse, pour avoir de manière pernicieuse et dans la plus parfaite ignominie attaqué le Duché de Guyenne, Nous adressons une dernière fois un appel à la raison. Nous laissons trois jours à Toulouse pour se retirer d'un conflit qu'il a déclenché, pour présenter ses excuses au Duc Archybald et au peuple de Guyenne et pour retirer ses troupes de la ville de Montauban. Nous signalons que ces manœuvres ne sont que le jeu du Ponant qui cherche à renverser un conseil légitime, élu par un peuple désirant la paix et la stabilité sous l'égide la Couronne de France et que ce désir là ne sera pas étouffé par quelques compromissions indignes.

Au Duc de Touraine, Nous signalons que si la situation en Berry, du fait de la guerre et de la trahison de ceux, nobles ou simples endoctrinés, s'étant vendu à la solde des Ennemis de la France, est complexe, Nous ne doutons pas que vous ayez agit en pensant suivre ce qui était le mieux... mais cela ne se peut. Nous n'admettrons pas de voir Notre province du Berry amputée d'une seule de ses bonnes villes, car Nous Nous battons contre les traitres, certes, mais pour la France, pour toute la France, donc pour le Berry. Nous entendons voir au plus vite le peuple Berrichon connaitre la même délivrance que la Guyenne, que le peuple ouvre les yeux, chassent ses tyrans et ouvre ses bras et son cœur à la Couronne qui n'a jamais cessé de les chérir et de vouloir les aimer. Le Berry est Notre province et demeurera comme telle, avec tous ses bonnes villes historiques et sans que la moindre annexion ne soit permise, autorisée ou reconnue par la Couronne de France. Nous déplorons ce qui a conduit à Nous imposer un état que les ennemis de la France peuvent revendiquer comme souhaité par Nous et vous faisons part de Notre désir de savoir Châteauroux, libre, fière et Berrichonne, retrouver sa place au sein de Notre Royaume.

Aux habitants de Châteauroux, à son maire, Nous assurons Notre soucis et Notre vœux de vous savoir prospères et en paix, Nous comprenons votre désir de vivre autrement que dans l'oppression, Nous savons le traitement réservé aux Loyalistes en Berry par les Ennemis de la France et Nous ne pouvons que déplorer ces attaques incessantes au fil des mois... Mais vous ne devez pas renoncer et quitter la place. Vous êtes l'avenir du Berry, vous avez le devoir et la mission de vous battre pour offrir au Berry la perspective d'une vraie place au sein de la France, une place loyale et honorable, le contraire de ce que le Parti officiel des traitres incarne et instaure dans les esprits. Je vous en prie, ce jour, de toute la force de mon âme, beaucoup se battent pour la France, pour leur avenir, les armes à la main, vous avez la mission de vous battre aussi, pour la France mais pour votre avenir, pour le Berry qui est, demeure et restera votre terre... Ne vous dérobez pas à ce devoir, mes chers sujets, ne tournez pas le dos à une province qui a besoin de vous...


A chaque homme, chaque femme sur le sol de France, tenez bon, notre France tient bon, notre France renait, elle est unie, forte, dressée dans un même but... et ensemble, Nous voyons renaitre les fleurs de lys, bientôt, avec l'aide du Très Haut, ceux qui pensaient que cette guerre Nous conduirait à Notre perte admettrons que Nos victoires sont le signe de Notre juste cause, bientôt, la Raison prendra le pas sur les ordres aveugles donnés par les quelques personnes qui pensaient pouvoir instaurer au sein de notre France un État dans l’État, un Royaume du Ponant... Bientôt, si l'honneur revient, Nous unirons la France dans une Paix nouvelle, une stabilité retrouvée et un avenir prospère.

C'est pour cela que Nous Nous battons, pour cela que vous vous battez à Nos cotés, pour cela que Nous triompherons, ensemble.

Au Palais Royal du Louvre
Le premier jour d'Octobre 1459
 
[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img] [/list]

_________________
Nebisa
    Ceci est un message à destination des Loyaux Sujets de la Couronne de France.
    Ceci est un appel pour toutes les femmes, tous les hommes qui ont pris les armes pour défendre leur terre.
    Ceci est l'expression de toute l'admiration, toute la gratitude et tout l'amour déposé au sein du cœur de votre Reyne.

    Depuis de longues semaines maintenant, nous nous battons. Du Nord au Sud, la France a appelé à elle ses sujets, la Couronne a demandé à ses vassaux et sujets de se lever et de se battre, pas pour assouvir un désir inique de conquête, un besoin injustifié de chaos, une envie de rompre la routine mais parce que la France faisait l'objet d'une menace intestine, sournoise et inadmissible.

    Tous, vous avez entendu cet appel, vous y avez répondu et avec votre rage, votre détermination, votre loyauté, vous avez frappé, en Berry, en Anjou, en Artois ou au Poitou, vous avez frappé. Malgré la douleur de devoir vous battre contre des frères et des sœurs, manipulés ou dévoyés par les mensonges et les promesses utopiques des ennemis de la France. Malgré la difficulté de quitter vos foyers, vos cités, vos provinces, vous êtes venus .

    Aujourd'hui, je dois vous confesser combien votre loyauté et votre dévouement me sont précieux. Aujourd'hui, je dois vous dire qu'être la Reyne de tels sujets est le plus précieux des joyaux de ma Couronne car aucun Roy, aucune Reyne ne saurait régner sans l'appui de ses vassaux et de ses sujets et si nous combattons, si nous gagnons, face aux manœuvres, aux mensonges du Ponant, aux trahisons, ce n'est que grâce à vous tous.

    Eux n'ont que des déclarations fumeuses et des articles achetés à une presse corrompues, nous... nous avons nos victoires et la certitude d’œuvrer pour la pérennité de notre France et pour la plus juste et la plus sacrée des causes.

    Sujets du Domaine Royal... que vous dire ? Maine, Alençon, Orléans, vous ne cessez de me surprendre et de me rendre fière, de vous, de votre engagement, de votre unité... Depuis longtemps maintenant, je suis amenée à côtoyer le Domaine Royal et ses affaires, j'ai toujours espéré un Domaine Royal uni et fort... ce jour est venu et dans l'épreuve, savoir mes peuples capable de se transcender autour d'une même cause, une cause souveraine... On vous disais faibles, inutiles et perdus d'avance... Vous prouvez qu'il n'en est rien et qu'aucune félonie ne sera, par vous, cautionnée.

    Sujets de Normandie, depuis des semaines vous résistez à l'invasion, vous mettez en échecs des armées venues vous écraser, unis derrière votre Duc, vous démontrer la force et la puissance d'un peuple qui refuse de rompre ou de plier. Vous êtes un exemple pour tous les peuples de ce Royaume et, pour moi, une force supplémentaire pour continuer le combat. Je sais vos souffrances, vos difficultés, je peux vous promettre que tout cela ne sera pas vain et que la France n'oubliera pas vos sacrifices et votre courage.

    Sujets de Champagne, vous connaissez la même menace et le Ponant se rengorge de réussir chez vous ce qu'ils n'ont pu réussir en Normandie. Mais vous luttez aussi, vous résistez et tenez bon... Je vous supplie de continuer ainsi, de ne pas écouter les voix mal intentionnées qui vous incitent à céder, à écouter les mensonges de l'ennemi et ses promesses mensongères... Prenez les armes, défendez vos terres, vous êtes la Champagne, vous êtes chez vous et vous devez leur faire rendre gorge pour oser penser que vous vendriez votre terre .

    Sujets de la Couronne de France, vous aussi n'avez pas oublié l'importance du lien qui vous lie à la France, point n'est besoin de titres ou d'un ordre pour vous voir accourir quand la France est menacée. Point n'est besoin de promettre des récompenses, de l'or ou des terres, au contraire de ce que négocient nos ennemis pour recevoir de l'aide... Votre dévouement est à l'image de votre grandeur, de la pureté de vos cœurs.

    A toutes, à tous, je tenais à vous témoigner mon estime, la conscience que j'ai de vos peines et douleurs... Soyez assurés que votre engagement ne fait que renforcer ma détermination d'être une Reyne à la hauteur de tels sujets.

    Au nom de la France que je sers, au nom de la Couronne que je porte, je vous fais la promesse solennelle, et que le Très Haut qui m'a désignée comme la Souveraine destinée à la France à ce jour me foudroie de son ire si je venais à manquer à mon serment, de ne pas faillir dans ma mission sacrée.

    Recevez avec ces mots l'hommage d'une Reyne à son peuple et, ensemble, poursuivons le combat que l'Honneur nous conduit à mener.

    Que vive le Royaume de France,


    Fait ce jour de Notre royale main,
    le 13 Octobre 1459 au Palais Royal du Louvre







Code:
[list]Ceci est un message à destination des Loyaux Sujets de la Couronne de France.
Ceci est un appel pour toutes les femmes, tous les hommes qui ont pris les armes pour défendre leur terre.
Ceci est l'expression de toute l'admiration, toute la gratitude et tout l'amour déposé au sein du cœur de votre Reyne.

Depuis de longues semaines maintenant, nous nous battons. Du Nord au Sud, la France a appelé à elle ses sujets, la Couronne a demandé à ses vassaux et sujets de se lever et de se battre, pas pour assouvir un désir inique de conquête, un besoin injustifié de chaos, une envie de rompre la routine mais parce que la France faisait l'objet d'une menace intestine, sournoise et inadmissible.

Tous, vous avez entendu cet appel, vous y avez répondu et avec votre rage, votre détermination, votre loyauté, vous avez frappé, en Berry, en Anjou, en Artois ou au Poitou, vous avez frappé. Malgré la douleur de devoir vous battre contre des frères et des sœurs, manipulés ou dévoyés par les mensonges et les promesses utopiques des ennemis de la France. Malgré la difficulté de quitter vos foyers, vos cités, vos provinces, vous êtes venus .

Aujourd'hui, je dois vous confesser combien votre loyauté et votre dévouement me sont précieux. Aujourd'hui, je dois vous dire qu'être la Reyne de tels sujets est le plus précieux des joyaux de ma Couronne car aucun Roy, aucune Reyne ne saurait régner sans l'appui de ses vassaux et de ses sujets et si nous combattons, si nous gagnons, face aux manœuvres, aux mensonges du Ponant, aux trahisons, ce n'est que grâce à vous tous.

Eux n'ont que des déclarations fumeuses et des articles achetés à une presse corrompues, nous... nous avons nos victoires et la certitude d’œuvrer pour la pérennité de notre France et pour la plus juste et la plus sacrée des causes.

Sujets du Domaine Royal... que vous dire ? Maine, Alençon, Orléans, vous ne cessez de me surprendre et de me rendre fière, de vous, de votre engagement, de votre unité... Depuis longtemps maintenant, je suis amenée à côtoyer le Domaine Royal et ses affaires, j'ai toujours espéré un Domaine Royal uni et fort... ce jour est venu et dans l'épreuve, savoir mes peuples capable de se transcender autour d'une même cause, une cause souveraine... On vous disais faibles, inutiles et perdus d'avance... Vous prouvez qu'il n'en est rien et qu'aucune félonie ne sera, par vous, cautionnée.

Sujets de Normandie, depuis des semaines vous résistez à l'invasion, vous mettez en échecs des armées venues vous écraser, unis derrière votre Duc, vous démontrer la force et la puissance d'un peuple qui refuse de rompre ou de plier. Vous êtes un exemple pour tous les peuples de ce Royaume et, pour moi, une force supplémentaire pour continuer le combat. Je sais vos souffrances, vos difficultés, je peux vous promettre que tout cela ne sera pas vain et que la France n'oubliera pas vos sacrifices et votre courage.

Sujets de Champagne, vous connaissez la même menace et le Ponant se rengorge de réussir chez vous ce qu'ils n'ont pu réussir en Normandie. Mais vous luttez aussi, vous résistez et tenez bon... Je vous supplie de continuer ainsi, de ne pas écouter les voix mal intentionnées qui vous incitent à céder, à écouter les mensonges de l'ennemi et ses promesses mensongères... Prenez les armes, défendez vos terres, vous êtes la Champagne, vous êtes chez vous et vous devez leur faire rendre gorge pour oser penser que vous vendriez votre terre .

Sujets de la Couronne de France, vous aussi n'avez pas oublié l'importance du lien qui vous lie à la France, point n'est besoin de titres ou d'un ordre pour vous voir accourir quand la France est menacée. Point n'est besoin de promettre des récompenses, de l'or ou des terres, au contraire de ce que négocient nos ennemis pour recevoir de l'aide... Votre dévouement est à l'image de votre grandeur, de la pureté de vos cœurs.

A toutes, à tous, je tenais à vous témoigner mon estime, la conscience que j'ai de vos peines et douleurs... Soyez assurés que votre engagement ne fait que renforcer ma détermination d'être une Reyne à la hauteur de tels sujets.

Au nom de la France que je sers, au nom de la Couronne que je porte, je vous fais la promesse solennelle, et que le Très Haut qui m'a désignée comme la Souveraine destinée à la France à ce jour me foudroie de son ire si je venais à manquer à mon serment, de ne pas faillir dans ma mission sacrée.

Recevez avec ces mots l'hommage d'une Reyne à son peuple et, ensemble, poursuivons le combat que l'Honneur nous conduit à mener.

Que vive le Royaume de France,


Fait ce jour de Notre royale main,
le 13 Octobre 1459 au Palais Royal du Louvre


[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img][/list]

_________________
Nebisa

    Au peuple de France,
    A tous les sujets loyaux de la Couronne

    Qu'il soit su que l'incursion en Normandie d'une poignée de sujets flamands ne nous a pas échappée. L'organisation les regroupant, connue sous le nom de forces spéciales flamandes, jouissant d'une reconnaissance officielle de la part des Flandres, Nous avons décidé d'attendre la réaction de Notre dévoué vassal pour répondre à Notre tour.

    A présent que le Comte des Flandres a, officiellement, réagi, en retirant à cette organisation mercenaire son lien avec le Comté des Flandres, à Notre tour, Nous Nous exprimons.

    Qu'il soit établi que chacun des traitres ayant pris les armes contre Nos sujets de Normandie se voit, ce jour, déclaré ennemi du Royaume de France, que nous les considèrerons comme des bandits ne pouvons prétendre à séjourner sur les terres du Domaine Royal sans se voir, sur le champ, traqués et conduits en geôles.

    Qu'il soit su, également, que les membres de la dicte organisation qui ne se sauraient pas compromis dans cette ignoble action à l'encontre du Domaine Royal et de la Couronne, restent sujets du Royaume du France considérés comme loyaux et honnêtes et n'ont à craindre aucune mesures de rétorsion à leur encontre. La Couronne sera implacable à l'encontre de ceux qui l'attaquent mais elle sait se montrer juste envers ceux qui lui sont fidèles et soumis.

    Qu'il soit su que tout noble de France surpris à attenter à la pérennité de Notre Domaine Royal ne peut attendre que Notre plus extrême sévérité, c'est pourquoi, Nous déclarons le retour à la roture immédiat de la Dame Malycia, jusqu'alors Vicomtesse de Renaix pour avoir porté les armes contre le Duché de Normandie au sein d'une armée ennemie du Ponant, pour avoir agit contre Sa Reyne, contre le Duché de Normandie et contre le peuple Normand en bafouant les lois les plus simples de la noblesse.

    D'autre part, Nous portons à la connaissance de chacun que le Comté d'Artois, entre les mains de félons que nous n'aurons de cesse de réduire à néant, a ce jour envahi le Comté des Flandres, assurément parce que la loyauté de Notre vassal et de Nos sujets flamands aura fini par susciter leur convoitise. Une armée ennemie se trouve à présent sous les murs de la bonne ville de Tournai et Nos pensées se tournent vers la population locale que Nous appelons à la cohésion et à la fermeté face aux félons . La France ne cesse de montrer à ceux qui se dressent contre elle qu'elle n'aura de cesse de mettre fin à leur folie... Les Flandres, comme chacune de nos provinces, ont fait le choix de la Loyauté et de l'Honneur, Nous ne doutons que l'avenir se présentera sous les mêmes auspices et que le chantage, la menace ou la corruption, qui sont les armes de l'Artois, n'auront sur eux aucune prise.

    Flamands, Flamandes, levez vous, prenez les armes et montrez à l'Artois qu'il n'est pas maitre chez vous et que vous n'êtes pas un troupeau dont il joue selon sa volonté, que vous ne recevez pas d'ordres du Ponant tels de vulgaires serviteurs et que ceux qui ont rejoint les troupes ennemis n'ont de Flamands que le nom et se moquent de l'intérêt de votre Comté, de vos vies ...

    Pour la France et sa grandeur,

    rédigé de Notre main agile
    Ce jour du 22 Octobre 1459






Code:
[list]
Au peuple de France,
A tous les sujets loyaux de la Couronne

Qu'il soit su que l'incursion en Normandie d'une poignée de sujets flamands ne nous a pas échappée. L'organisation les regroupant, connue sous le nom de forces spéciales flamandes, jouissant d'une reconnaissance officielle de la part des Flandres, Nous avons décidé d'attendre la réaction de Notre dévoué vassal pour répondre à Notre tour.

A présent que le Comte des Flandres a, officiellement, réagi, en retirant à cette organisation mercenaire son lien avec le Comté des Flandres, à Notre tour, Nous Nous exprimons.

Qu'il soit établi que chacun des traitres ayant pris les armes contre Nos sujets de Normandie se voit, ce jour, déclaré ennemi du Royaume de France, que nous les considèrerons comme des bandits ne pouvons prétendre à séjourner sur les terres du Domaine Royal sans se voir, sur le champ, traqués et conduits en geôles.

Qu'il soit su, également, que les membres de la dicte organisation qui ne se sauraient pas compromis dans cette ignoble action à l'encontre du Domaine Royal et de la Couronne, restent sujets du Royaume du France considérés comme loyaux et honnêtes et n'ont à craindre aucune mesures de rétorsion à leur encontre. La Couronne sera implacable à l'encontre de ceux qui l'attaquent mais elle sait se montrer juste envers ceux qui lui sont fidèles et soumis.

Qu'il soit su que tout noble de France surpris à attenter à la pérennité de Notre Domaine Royal ne peut attendre que Notre plus extrême sévérité, c'est pourquoi, Nous déclarons le retour à la roture immédiat de la Dame Malycia, jusqu'alors Vicomtesse de Renaix pour avoir porté les armes contre le Duché de Normandie au sein d'une armée ennemie du Ponant, pour avoir agit contre Sa Reyne, contre le Duché de Normandie et contre le peuple Normand en bafouant les lois les plus simples de la noblesse.

D'autre part, Nous portons à la connaissance de chacun que le Comté d'Artois, entre les mains de félons que nous n'aurons de cesse de réduire à néant, a ce jour envahi le Comté des Flandres, assurément parce que la loyauté de Notre vassal et de Nos sujets flamands aura fini par susciter leur convoitise. Une armée ennemie se trouve à présent sous les murs de la bonne ville de Tournai et Nos pensées se tournent vers la population locale que Nous appelons à la cohésion et à la fermeté face aux félons . La France ne cesse de montrer à ceux qui se dressent contre elle qu'elle n'aura de cesse de mettre fin à leur folie... Les Flandres, comme chacune de nos provinces, ont fait le choix de la Loyauté et de l'Honneur, Nous ne doutons que l'avenir se présentera sous les mêmes auspices et que le chantage, la menace ou la corruption, qui sont les armes de l'Artois, n'auront sur eux aucune prise.

Flamands, Flamandes, levez vous, prenez les armes et montrez à l'Artois qu'il n'est pas maitre chez vous et que vous n'êtes pas un troupeau dont il joue selon sa volonté, que vous ne recevez pas d'ordres du Ponant tels de vulgaires serviteurs et que ceux qui ont rejoint les troupes ennemis n'ont de Flamands que le nom et se moquent de l'intérêt de votre Comté, de vos vies ...

Pour la France et sa grandeur,

rédigé de Notre main agile
Ce jour du 22 Octobre 1459


[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img][/list]

_________________
Nebisa
    Au peuple de France
    Aux sujets loyaux de la Couronne
    Aux sujets félons à la Couronne qui restent et resteront sujets de la Couronne

    Il a été porté à Notre connaissance que certaines provinces félonnes ont cru bon de se doter de Hérauderies parallèles, soit disant détachées de la Hérauderie Royale. Malgré le divertissement que fut pour Nous cette nouvelle, devant les questions soulevées par Nos sujets sur ce point, Nous tenons à apporter quelques petites précisions afin de clarifier, dans tous les esprits, ce qu'il adviendra à ce sujet.

    Les demandes portées à la Hérauderie Royale par des sujets de la Couronne ayant porté une allégeance infondée à une personne reconnue Félon ou représentant un pouvoir illégitime au sein du Royaume de France, se verront suspendues .

    La noblesse loyale, dans les Provinces frappées de Félonie, continueront à jouir des services de la Hérauderie sans que cela ne pose le moindre soucis.

    Toutes les décisions, actes, modifications nobiliaires émanant des fausses Hérauderies Ponantistes sont, bien entendues, nulles et non avenues aujourd'hui et à jamais.

    Tout noble refusant de prêté allégeance à un Félon ou un représentant de pouvoir usurpé ne saurait se voir menacé de destitution ou de mesure de restriction puisque la seule et unique hérauderie légitime sur le sol de France est la Hérauderie Royale.

    Par sécurité, Nous invitons la noblesse loyale au sein de ses provinces à se manifester auprès de la Hérauderie Royale, du Héraut ou Maréchal légitime lié à sa province.

    Nous rappelons que dans les provinces félonnes, afin d'établir leur fausse autorité, les traitres refusent les accès aux Officiers Royaux de la Hérauderie mais que cela ne saurait les empêcher de faire leur travail correctement. Le pigeonnier de Nos Hérauts est grand et n'attend que les demandes que la Noblesse de France lui souhaite présenter.


    Faict ce jour du 24 Octobre 1459






Code:
[list]Au peuple de France
Aux sujets loyaux de la Couronne
Aux sujets félons à la Couronne qui restent et resteront sujets de la Couronne

Il a été porté à Notre connaissance que certaines provinces félonnes ont cru bon de se doter de Hérauderies parallèles, soit disant détachées de la Hérauderie Royale. Malgré le divertissement que fut pour Nous cette nouvelle, devant les questions soulevées par Nos sujets sur ce point, Nous tenons à apporter quelques petites précisions afin de clarifier, dans tous les esprits, ce qu'il adviendra à ce sujet.

Les demandes portées à la Hérauderie Royale par des sujets de la Couronne ayant porté une allégeance infondée à une personne reconnue Félon ou représentant un pouvoir illégitime au sein du Royaume de France, se verront suspendues .

La noblesse loyale, dans les Provinces frappées de Félonie, continueront à jouir des services de la Hérauderie sans que cela ne pose le moindre soucis.

Toutes les décisions, actes, modifications nobiliaires émanant des fausses Hérauderies Ponantistes sont, bien entendues, nulles et non avenues aujourd'hui et à jamais.

Tout noble refusant de prêté allégeance à un Félon ou un représentant de pouvoir usurpé ne saurait se voir menacé de destitution ou de mesure de restriction puisque la seule et unique hérauderie légitime sur le sol de France est la Hérauderie Royale.

Par sécurité, Nous invitons la noblesse loyale au sein de ses provinces à se manifester auprès de la Hérauderie Royale, du Héraut ou Maréchal légitime lié à sa province.

Nous rappelons que dans les provinces félonnes, afin d'établir leur fausse autorité, les traitres refusent les accès aux Officiers Royaux de la Hérauderie mais que cela ne saurait les empêcher de faire leur travail correctement. Le pigeonnier de Nos Hérauts est grand et n'attend que les demandes que la Noblesse de France lui souhaite présenter.


Faict ce jour du 24 Octobre 1459


[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img][/list]

_________________
Nebisa
Citation:
A Eusaias, Duc de Bouillon, Vicomte de Digoine.

Vous ne pouvez prétendre au titre de Duc souverain de Bouillon.
Vous ne pouvez révoquer la mention dans le codicille qui stipule le lien au Domaine royale, seul.

En vertu des lois royales, plus précisément les Statuts du Royaume de France, section II :

Citation:
Toute cession territoriale par la Province devra être soumise à information au Roy de France, en tant qu'il incarne la Couronne de France et est garant de son intégrité, en informant le Héraut responsable de la Marche Héraldique concerné qui transmettra au Très Aristotélicien Souverain. Sans réponse négative sous quatre semaines, la dicte cession sera considérée comme effective.


Nous vous apportons ici un refus catégorique et public à vos prétentions déplacées afin d'éviter toute notion d'émancipation infondée.

Pour la France et sa grandeur,

rédigé de Notre main agile
Ce jour du 24 Octobre 1459
















Citation:

    A la Couronne de France,
    Au Grand Ambassadeur Royal,
    A Montjoie,
    Salut !


    En ce jour alors que notre ban se termine très bientôt nous prenons la décision de révoquer la mention dans le codicille qui stipule le lien au Domaine royale.

    Bouillon devient alors duché souverain au sein de la France.

    Nous assurons que notre BAN sera respecté.

    Puisse Dieu veiller sur la France.

    rédigée ce 30 septembre 1459.


    EBC
    Duc souverain de Bouillon,
    Vicomte de Digoine.






Code:
[quote]A Eusaias, Duc  de Bouillon, Vicomte de Digoine.

Vous ne pouvez prétendre au titre de Duc [b]souverain[/b] de Bouillon.
Vous ne pouvez révoquer la mention dans le codicille qui stipule le lien au Domaine royale, seul.

En vertu des lois royales, plus précisément les Statuts du Royaume de France, section II :

[quote][b]Toute cession territoriale par la Province devra être soumise à information au Roy de France, en tant qu'il incarne la Couronne de France et est garant de son intégrité, en informant le Héraut responsable de la Marche Héraldique concerné qui transmettra au Très Aristotélicien Souverain. Sans réponse négative sous quatre semaines, la dicte cession sera considérée comme effective.[/b][/quote]

Nous vous apportons ici un refus catégorique et public à vos prétentions déplacées afin d'éviter toute notion d'émancipation infondée.

Pour la France et sa grandeur,

rédigé de Notre main agile
Ce jour du 24 Octobre 1459

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img] [/quote]

[quote]
[list]A la Couronne de France,
Au Grand Ambassadeur Royal,
A Montjoie,
Salut !


En ce jour alors que notre ban se termine très bientôt nous prenons la décision de révoquer la mention dans le codicille qui stipule le lien au Domaine royale.

Bouillon devient alors duché souverain au sein de la France.

Nous assurons que notre BAN sera respecté.

Puisse Dieu veiller sur la France.

rédigée ce 30 septembre 1459.


EBC
Duc souverain de Bouillon,
Vicomte de Digoine.

[img]http://img245.imageshack.us/img245/5933/signsaias11.png[/img]
[img]http://img823.imageshack.us/img823/2888/sceaueusaiasvert.png[/img][/list]
[/quote]

_________________
Nebisa
    Aux sujets de la Couronne de France
    Aux sujets relaps de la Couronne de France

    Depuis de longues semaines maintenant, la France est en guerre. Une guerre fratricide qui oppose les Français aux Français. Une guerre née de la folie et de la volonté d'une poignée de gens de mettre à bas le Royaume de France.

    Aujourd'hui, puisque certaines erreurs ont eu lieu, notamment émanant de personnes se permettant de décréter des exigences soit disant "royales" quant aux conditions de paix, il apparait qu'il est temps de rappeler les exigences de la France à la fin de ce conflit. Un conflit qui pourrait se terminer en moins d'une semaine et permettre à chacun de reprendre sa place légitime au sein du royaume qui est le sien.

    Premièrement, la France reproche à l'Alliance du Ponant d'avoir semé la sédition dans ses peuples, d'avoir, au fil des mois, agi comme un État illégitime au sein de notre État souverain. Afin d'y remédier, la France veut voir chacune des provinces du Ponant assurer le Royaume de France de sa loyauté et de son respect des lois royales.

    Deuxièmement, la France ne veut aucunement la fin du Ponant, mais l'émergence d'un Ponant Français. Une Alliance est un pacte diplomatique portant sur plusieurs volets. Accord économique, judiciaire et militaire, pour faire simple. La Couronne de France n'a pas son mot à dire sur les deux premiers plans mais ne peut laisser un État étranger souverain conclure la moindre Alliance militaire avec ses peuples sans que cela ne revienne à renier sa légitimité souveraine. Nous voulons donc la résiliation des accords militaires existant entre Nos provinces et le Grand Duché de Bretagne. Nous assurons que les pans économiques ou autre ne sont pour la France d'aucune menace, mais le temps où la France acceptait de voir son sol foulé par l’Étranger sans rien y trouver à redire n'est plus.

    Troisièmement, lorsque le Grand Duché de Bretagne offrira la Paix à la France, reconnaissant avoir déchiré le Traité du Mont Saint Michel et avoir renié sa parole en déclarant ses volontés belliqueuses vis à vis de la France, la France autorisera à nouveau commerce et échange avec le Grand Duché de Bretagne, reconnaitra sa noblesse et lorsque demande en sera faite, pourra envisager une coopération militaire entre ce dernier et ses peuples, dés lors que le but en sera la défense face à une menace étrangère et pas l'oppression de peuples français dans le but d'enrichir les caisses bretonnes d'écus... français.

    Tout cela ne fera l'objet d'aucune négociation car il ne s'agit rien de plus que du fondamental droit de la France souveraine.

    Les cas des provinces ayant cru bon de se déclarer "indépendantes", le cas de l'Anjou et de son héraut fantoche... feront l'objet d'éventuelles discutions mais après la signature de la Paix car elles ne sont pas les causes du conflit mais des actes édifiants et ridicules, des provocations infantiles n'ayant pas plus de portée qu'un coup d'épée dans une flaque d'eau.

    Nous rappelons à tous que la Clémence est aussi une vertu royale mais que la France a décidé ne plus se laisser brutaliser le fondement à coup de reins ponantais et qu'il convient à ses ennemis d'en prendre acte, une bonne fois pour toute.

    Cette guerre est une guerre fratricide et, en cela, elle est infâme. Cette guerre est, cependant, juste et Nous ne la renions pas, mais Nous assumons son horreur, acceptons comme méritée la souffrance que Nous ressentons de savoir Nos peuples dans la douleur et assumerons, devant le très Haut, au jour du jugement dernier, la culpabilité qui est Notre. Malgré tout, Nous ne pouvons renier la rébellion, la révolte et la trahison de ceux qui ont conduit à cette guerre, pas plus que Nous ne pouvons taire les torts de la Couronne qui ont conduit ces mêmes peuples à se détacher de leur devoir et de leur loyauté vis à vis d'icelle.

    C'est pour cela que Nous n'avons pas pour but d'humilier, de détruire les provinces en révolte. Nous voulons les voir retrouver leur place et pouvoir construire la France de demain avec elles, elles toutes. Mais cela ne sera possible qu'à la condition, impérative, d'une loyauté renouvelée, d'un respect retrouvé. Loyauté et respect mutuels, car plus jamais la France ne souffrira de voir la Couronne abandonner ses peuples et la tyrannie s'inscrire dans les mœurs de ses sujets. Telle est Notre volonté et c'est pourquoi, sans haine, bien qu'avec une certaine colère, Nous avons pu décider l'affrontement, c'est pourquoi, sans volonté de maintenir cette haine, Nous assurons à Nos provinces insoumises qu'elles ne subiront aucune mesure de rétorsion, dés lors que leur ralliement à la Fleur de Lys sera effectif. Bien sur, Nous demanderons des gages de ce retour à la loyauté, notamment envers les Provinces ayant pu dépasser les bornes de la simple révolte, mais l'intégrité de chacun sera respectée ; son droit à se gouverner, dans le respect des Lois royales, sera respecté, car tel est le droit légitime, fondamental et absolu de n'importe quel sujet de la Couronne de France.

    Peuple d'Anjou, la guerre, la menace, la douleur, vous les connaissez depuis longtemps, elles sont inscrites dans vos chairs et vos cœurs. Mon désir de vous voir vivre en Paix et protégés par la Couronne ne date pas d'hier. J'ai découvert votre terre, votre culture, vos maux, en partageant avec vous, jadis, une autre guerre. Je fus prisonnière entre les murs de vos geôles, j’espère d'ailleurs que vous avez songé à exploiter ce filon à des fins économiques, la visite du cachot de la reyne devrait, je pense, remporter un certain sucés. Je vous ai connu, oui, découverts... Que vous dire sinon que depuis ce moment, j'ai une tendresse vive et réelle pour l'Anjou et que mon premier désir est de la voir vivre et s'épanouir auprès de la Couronne, intègre, digne, forte et protégée, sur chaque ragondin vivant en Anjou, je le jure.

    Peuple du Poitou, j'ai longtemps travaillé avec certains des vôtres, rarement dans le calme et l'harmonie, mais je suis de celle qui a connu l'AdC, du temps de sa grandeur, du temps ou le Poitou vibrait de loyauté pour la Couronne et n'hésitait à se battre pour elle... Je n'épiloguerai pas sur les causes de cet éloignement, elles me demeurent incompréhensibles, mais je vous demande de sonder vos cœurs et votre passé et d'y trouver cette étincelle, infime, gracile, fugace et de l'entretenir, de la faire grandir. On ne peut à ce point haïr sa terre, son Royaume sans que l'espoir demeure de ne pas considérer cet état comme irrémédiable.

    Peuple d'Artois, Nous serions bien en peine de vous dire quoi que ce soit. La haine primaire de ceux qui sont les seuls à se faire entendre ne peut être le fond de la pensée de tout un peuple. Vous dites ne pas avoir voulu cette guerre, pourtant celle qui était votre Comtesse n'a rien fait pour l'en empêcher et le petit gnome agité qui voudrait tant être votre Comte non plus, à part régurgiter sporadiquement des écrits fielleux que nul ne prend la peine de lire. Alors oui, vous reviendrez dans le giron de la France, là ou est votre place, mais la culpabilité de quelques éléments qui vous ont vendu au profit de leur rêve de Ponantie ne rejaillira pas sur l'ensemble d'un peuple pris en otage par les mensonges de ses soit disant dirigeants.

    A tous, ouvrez les yeux, demandez pourquoi vous vous battez quand il ne vous est rien demandé que le respect des points naturels et fondamentaux... Demandez vous si le poids de promesses utopiques l'emporte sur le fait de vous couvrir du sang de vos frères.

    Au Palais Royal du Louvre
    le 31 Octobre 1459







Code:
[list]Aux sujets de la Couronne de France
Aux sujets relaps de la Couronne de France

Depuis de longues semaines maintenant, la France est en guerre. Une guerre fratricide qui oppose les Français aux Français. Une guerre née de la folie et de la volonté d'une poignée de gens de mettre à bas le Royaume de France.

Aujourd'hui, puisque certaines erreurs ont eu lieu, notamment émanant de personnes se permettant de décréter des exigences soit disant "royales" quant aux conditions de paix, il apparait qu'il est temps de rappeler les exigences de la France à la fin de ce conflit. Un conflit qui pourrait se terminer en moins d'une semaine et permettre à chacun de reprendre sa place légitime au sein du royaume qui est le sien.

Premièrement, la France reproche à l'Alliance du Ponant d'avoir semé la sédition dans ses peuples, d'avoir, au fil des mois, agi comme un État illégitime au sein de notre État souverain. Afin d'y remédier, la France veut voir chacune des provinces du Ponant assurer le Royaume de France de sa loyauté et de son respect des lois royales.

Deuxièmement, la France ne veut aucunement la fin du Ponant, mais l'émergence d'un Ponant Français. Une Alliance est un pacte diplomatique portant sur plusieurs volets. Accord économique, judiciaire et militaire, pour faire simple. La Couronne de France n'a pas son mot à dire sur les deux premiers plans mais ne peut laisser un État étranger souverain conclure la moindre Alliance militaire avec ses peuples sans que cela ne revienne à renier sa légitimité souveraine. Nous voulons donc la résiliation des accords militaires existant entre Nos provinces et le Grand Duché de Bretagne. Nous assurons que les pans économiques ou autre ne sont pour la France d'aucune menace, mais le temps où la France acceptait de voir son sol foulé par l’Étranger sans rien y trouver à redire n'est plus.

Troisièmement, lorsque le Grand Duché de Bretagne offrira la Paix à la France, reconnaissant avoir déchiré le Traité du Mont Saint Michel et avoir renié sa parole en déclarant ses volontés belliqueuses vis à vis de la France, la France autorisera à nouveau commerce et échange avec le Grand Duché de Bretagne, reconnaitra sa noblesse et lorsque demande en sera faite, pourra envisager une coopération militaire entre ce dernier et ses peuples, dés lors que le but en sera la défense face à une menace étrangère et pas l'oppression de peuples français dans le but d'enrichir les caisses bretonnes d'écus... français.

Tout cela ne fera l'objet d'aucune négociation car il ne s'agit rien de plus que du fondamental droit de la France souveraine.

Les cas des provinces ayant cru bon de se déclarer "indépendantes", le cas de l'Anjou et de son héraut fantoche... feront l'objet d'éventuelles discutions mais après la signature de la Paix car elles ne sont pas les causes du conflit mais des actes édifiants et ridicules, des provocations infantiles n'ayant pas plus de portée qu'un coup d'épée dans une flaque d'eau.

Nous rappelons à tous que la Clémence est aussi une vertu royale mais que la France a décidé ne plus se laisser brutaliser le fondement à coup de reins ponantais et qu'il convient à ses ennemis d'en prendre acte, une bonne fois pour toute.

Cette guerre est une guerre fratricide et, en cela, elle est infâme. Cette guerre est, cependant, juste et Nous ne la renions pas, mais Nous assumons son horreur, acceptons comme méritée la souffrance que Nous ressentons de savoir Nos peuples dans la douleur et assumerons, devant le très Haut, au jour du jugement dernier, la culpabilité qui est Notre. Malgré tout, Nous ne pouvons renier la rébellion, la révolte et la trahison de ceux qui ont conduit à cette guerre, pas plus que Nous ne pouvons taire les torts de la Couronne qui ont conduit ces mêmes peuples à se détacher de leur devoir et de leur loyauté vis à vis d'icelle.

C'est pour cela que Nous n'avons pas pour but d'humilier, de détruire les provinces en révolte. Nous voulons les voir retrouver leur place et pouvoir construire la France de demain avec elles, elles toutes. Mais cela ne sera possible qu'à la condition, impérative, d'une loyauté renouvelée, d'un respect retrouvé. Loyauté et respect mutuels, car plus jamais la France ne souffrira de voir la Couronne abandonner ses peuples et la tyrannie s'inscrire dans les mœurs de ses sujets. Telle est Notre volonté et c'est pourquoi, sans haine, bien qu'avec une certaine colère, Nous avons pu décider l'affrontement, c'est pourquoi, sans volonté de maintenir cette haine, Nous assurons à Nos provinces insoumises qu'elles ne subiront aucune mesure de rétorsion, dés lors que leur ralliement à la Fleur de Lys sera effectif. Bien sur, Nous demanderons des gages de ce retour à la loyauté, notamment envers les Provinces ayant pu dépasser les bornes de la simple révolte, mais l'intégrité de chacun sera respectée ; son droit à se gouverner, dans le respect des Lois royales, sera respecté, car tel est le droit légitime, fondamental et absolu de n'importe quel sujet de la Couronne de France.

Peuple d'Anjou, la guerre, la menace, la douleur, vous les connaissez depuis longtemps, elles sont inscrites dans vos chairs et vos cœurs. Mon désir de vous voir vivre en Paix et protégés par la Couronne ne date pas d'hier. J'ai découvert votre terre, votre culture, vos maux, en partageant avec vous, jadis, une autre guerre. Je fus prisonnière entre les murs de vos geôles, j’espère d'ailleurs que vous avez songé à exploiter ce filon à des fins économiques, la visite du cachot de la reyne devrait, je pense, remporter un certain sucés. Je vous ai connu, oui, découverts... Que vous dire sinon que depuis ce moment, j'ai une tendresse vive et réelle pour l'Anjou et que mon premier désir est de la voir vivre et s'épanouir auprès de la Couronne, intègre, digne, forte et protégée, sur chaque ragondin vivant en Anjou, je le jure.

Peuple du Poitou, j'ai longtemps travaillé avec certains des vôtres, rarement dans le calme et l'harmonie, mais je suis de celle qui a connu l'AdC, du temps de sa grandeur, du temps ou le Poitou vibrait de loyauté pour la Couronne et n'hésitait à se battre pour elle... Je n'épiloguerai pas sur les causes de cet éloignement, elles me demeurent incompréhensibles, mais je vous demande de sonder vos cœurs et votre passé et d'y trouver cette étincelle, infime, gracile, fugace et de l'entretenir, de la faire grandir. On ne peut à ce point haïr sa terre, son Royaume sans que l'espoir demeure de ne pas considérer cet état comme irrémédiable. 

Peuple d'Artois, Nous serions bien en peine de vous dire quoi que ce soit. La haine primaire de ceux qui sont les seuls à se faire entendre ne peut être le fond de la pensée de tout un peuple. Vous dites ne pas avoir voulu cette guerre, pourtant celle qui était votre Comtesse n'a rien fait pour l'en empêcher et le petit gnome agité qui voudrait tant être votre Comte non plus, à part régurgiter sporadiquement des écrits fielleux que nul ne prend la peine de lire. Alors oui, vous reviendrez dans le giron de la France, là ou est votre place, mais la culpabilité de quelques éléments qui vous ont vendu au profit de leur rêve de Ponantie ne rejaillira pas sur l'ensemble d'un peuple pris en otage par les mensonges de ses soit disant dirigeants.

A tous, ouvrez les yeux, demandez pourquoi vous vous battez quand il ne vous est rien demandé que le respect des points naturels et fondamentaux... Demandez vous si le poids de promesses utopiques l'emporte sur le fait de vous couvrir du sang de vos frères.

Au Palais Royal du Louvre
le 31 Octobre 1459

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img]
[/list]

_________________
Nebisa
    A tous les sujets de la Couronne de France,

    Consciente du poids de Nos responsabilités et du besoin de doter le Royaume d'un serviteur supplémentaire qui aura le devoir de Nous assister dans Notre mission, de servir la France comme Nous la servons, Nous avons décidé de procéder, ce jour à la nomination d'un Dauphin pour la France.

    Nous nommons un homme de valeur, de grand mérite et d'une intégrité morale sans tâche. Un homme ayant plus de cent fois prouvé son amour pour la France et son sens des valeurs. Un homme qui, à l'image de sa terre natale, fait passer avant tout la morale et l'intégrité.

    Nous annonçons donc ce jour la nomination du Marquis de Senlis, Monseigneur Argael Devirieux au poste de Dauphin de France, lui baillons Notre confiance et celle de Nos sujets .

    Puisse le Très Haut lui prêter l'énergie et la force nécessaire à sa charge et Nous assurer l'usage des bons conseils et du dévouement de Notre Dauphin très estimé.

    Au Palais Royal du Louvre
    le 31 Octobre 1459






Code:
[list]A tous les sujets de la Couronne de France,

Consciente du poids de Nos responsabilités et du besoin de doter le Royaume d'un serviteur supplémentaire qui aura le devoir de Nous assister dans Notre mission, de servir la France comme Nous la servons, Nous avons décidé de procéder, ce jour à la nomination d'un Dauphin pour la France.

Nous nommons un homme de valeur, de grand mérite et d'une intégrité morale sans tâche. Un homme ayant plus de cent fois prouvé son amour pour la France et son sens des valeurs. Un homme qui, à l'image de sa terre natale, fait passer avant tout la morale et l'intégrité.

Nous annonçons donc ce jour la nomination du Marquis de Senlis, Monseigneur Argael Devirieux au poste de Dauphin de France, lui baillons Notre confiance et celle de Nos sujets .

Puisse le Très Haut lui prêter l'énergie et la force nécessaire à sa charge et Nous assurer l'usage des bons conseils et du dévouement de Notre Dauphin très estimé.

Au Palais Royal du Louvre
le 31 Octobre 1459

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img]
[/list]

_________________
Nebisa
Zephir a écrit:
Citation:
A Sa Majesté Nebisa de Malemort.


Votre Majesté,

Je me nomme Zephir. Je suis porteur d’espoir et porteur d’un message du Duc du Berry Alleaume de Niraco. En effet, je ne cesse de croire que, demain, la paix reviendra de nouveau sur votre Royaume. J’ai déjà tenté par le passé de prendre contact avec le Bourbonnais Auvergne, la Bourgogne ou encore dernièrement la Touraine afin de trouver un terrain d’entente nous permettant d’arrêter ce mal qui ravage la France.

Bien que les duchés que je viens de citer n’ont pas voulus négocier la paix, je garde en moi cette espoir que votre Majesté, dans son infinie sagesse, cherchera le bien de tout un peuple, de tout son peuple.

Je prierai sa Majesté de bien vouloir lire la missive que je lui joints et de bien vouloir comprendre que notre démarche n’a qu’un seul but, le bien du Royaume de France et d’amener la paix et la stabilité afin que notre Royaume resplendisse a nouveau à la face de tous.

Je finirai cette missive pleine d’espoir en remerciant sa Gracieuse Majesté de m’avoir accordé quelques minutes et en la priant également de bien vouloir pardonner les maladresse que j’aurai pu commettre en lui envoyant ce courrier, mais il est de notre devoir de chercher à sauver ce qui peut l'être encore.

Zephir



-----------------------------------------------------------------


Citation:
A Sa Majesté Nebisa de Malemort,


Salut.

Nous vous écrivons en ce jour, cela après des mois de mutisme entre nous.

Vous ne pouvez pas éviter de regarder le Berry et penser une seule seconde que vous éradiquerez un parti politique dans son entier, vous savez tout comme tout le monde le sait, que cela n'arrivera pas, le peuple est souverain de son choix de votes, et les menaces, l'occupation n'y changeront rien.

La seule chose que la Régence procure c'est une haine de plus en plus grande pour nos voisins, et pour vous même, votre peuple ne pourra jamais vous aimer si vous continuez à gouverner dans le sang comme vous le faites en Berry.

Vous laissez agir un Régent modifié un coutumier de A à Z, alors que les loys Royales stipulent que cela est totalement interdit,
Vous laissez une liste étrangère au Berry se présenter allant à l'encontre des Loys de la coutume Berrichonne,
Vous laissez deux brigands, ayant brigandé en Berry ( preuves vous en sera apporté ) se présenter en votre Nom pour diriger le Berry.

Le peuple Berrichon vous regarde d'en bas, et ce demande pourquoi, pourquoi vous faites cela ?

Ne pensez vous donc pas qu'il est grand temps que chacun mette ses rancœurs de côté ? La Touraine est ébranlé, les OR ont étaient décimés dans leur entièreté, la Touraine risque tôt ou tard de connaître le même sort que le Berry connaît depuis des mois.

Mais quant cela cessera t-il ?

Le Berry n'a jamais voulu, JAMAIS, prendre son indépendance de la Couronne de France, tout ceci est foutaise relayé par quelques politiciens en mal de reconnaissance, voulant planer sur des fantasmes afin de vous faire croire tout et n'importe quoi.
Nous aimons la France, et nous voulons retourner dans son giron lorsque le temps viendra.

Vous avez préféré croire des voleurs qui aujourd'hui ont pillé notre bonne ville de Châteauroux vous faisant croire que nous voulions l'indépendance de notre Duché, plutôt que votre Vassal qui c'est toujours montré honnête avec vous et a TOUJOURS voulu que la guerre cesse, vous ne pouvez point le nier.


Vous êtes la seul en mesure de mettre fin à ce conflit, un seul mot de vous et cette guerre prend fin.

Nous vous demandons donc de rencontrer à nouveau les représentants du Berry dans leur entièreté comme cela vous avez été demandé.

Fait à Châteauroux, le 28 octobre de l'an de Pâques 1459,

Pour le Conseil Ducal élu,
Alleaume de Niraco,
Régnant élu du Berry.



Citation:
Alleaume de Niraco ! En effet, voilà plusieurs semaines que Nous n'avions plus de nouvelles de vous. Certains vous disaient mort, d'autres au couvent ou vous auriez prononcé vos Vœux, d'autres tablaient sur un exil ; plus prosaïquement Nous supputons que vous continuez le combat quelques part.

N'étant pas de nature naïve, Nous ne croyons, en effet, pas à l'éradication de votre Parti ; Nous le savons responsable de la mentalité qui veut, qu'en Berry, on doive décrier la Couronne, cracher sur la Fleur de Lys et rêver à se retrouver, un jour, à la tête du Grand Berry Libre... mais Nous n'avons pas le pouvoir de mettre la lumière là ou l'obscurité règne, Nous avons seulement le désir de mettre la Loyauté là ou la forfaiture prévalait.

Nous avons suffisamment joué, tous les deux, et pouvons Nous dispenser des artifices diplomatiques. La déclaration d'indépendance, les "statuts" et autres hérauderies "libres", tout cela reposait depuis longtemps dans les tiroirs du Duc George, ou sous son oreiller. Il n'y a rien qui ne puisse revenir à nier ces faits. Nous connaissons le Duc George pour l'avoir "pratiqué" lors de ses mandats... un homme brillant, c'est impossible à nier, mais qui se fourvoie en pensant que l'on ne peut à la fois se dévouer à sa province et aimer son Royaume. Nous aurions aimé pouvoir compter sur un homme avec de telles capacités au service de la France, il a choisit de faire que cela ne soit pas, un choix dont il est libre, mais, pour autant, la Couronne ne peut pas laisser d'avantage le Berry dans son cercle vicieux. Cela aussi, vous l'aurez compris, je crois.

Maintenant, sachez une chose : Nous n'accepterons jamais de voir la moindre de Nos provinces se perdre de la sorte. Nous acceptons et souhaitons, voir exister des pensées libres, des esprits et des opinions divergentes, Nous croyons en l'unité du Royaume de France au sein du quel coexistent des peuples aux traditions et cultures différentes. Nous voulons réformer la France pour que ces différences continuent à exister.

Mais, de la Trahison, de la veulerie, Nous ne voulons plus.

Si tel était Notre désir, à ce jour le Berry n'existerait plus . Vos bonnes villes seraient depuis longtemps, toutes, sous tutelles de vos voisins. Mais non, Nous ne voulons pas ça, Nous ne voulons pas anéantir le peuple berrichon. Nous avons affirmé la souveraineté du Berry sur Chateauroux, Nous avons refusé son rattachement officiel au Duché de Touraine, de même que Nous refusons toute autre séparation.

Le conseil de Régence est en place et a reçu Notre acceptation, parce qu'il est impossible, dés lors que le Berry se cantonne à son opposition stérile envers la Couronne, de le confier à des mains qui ne seraient pas de confiance et qui refuseraient de reconnaitre l'Autorité Royale.

Vous êtes jeune, plein de fougue, en manque de pondération peut être mais de vous à Nous, reconnaissez votre part de responsabilité dans tout ce que vous vivez ce jour. Vous n'avez jamais cru ce que nous vous disions. Aujourd'hui, attestez que jamais le moindre mensonge n'est sorti de Notre bouche. Quand vous Nous écriviez pour offrir votre obéissance pour revenir dessus vingt minutes après, sur la base de ragots dont Nous ignorons toujours l'origine, quand vous pensiez que Nous n'étions pas déterminée à aller au bout de ce que vous Nous contraigniez à faire en n'offrant pas le gage de votre loyauté.

Maintenant, à la lumière de vos erreurs de jadis, Nous sommes disposée à vous laisser une chance, une dernière chance, de vous transcender, d'agir en tant que dernier Duc légitime en date du Berry, car vous n'êtes rien d'autre sans Notre reconnaissance... Nous acceptons votre demande, sachez le, pour le Berry, qui est province de Notre Royaume, envers qui Nous n'avons pas besoin de serment pour savoir Notre devoir, pour ce peuple abusé qui appelle à la Paix.

Venez à nous, avec la proclamation de votre contrition, celle de chacun des nobles ayant cru bon de souscrire à votre folie, déchirez ce torchon qui se veut une charte héraldique, et donnez la preuve de votre volonté de vivre en paix en acceptant la présence, au sein d'un futur conseil élu et reconnu d'un Officier Royal de votre choix parmi ceux que nous souhaiterions vous mander et Nous pourrons commencer à offrir la Paix aux sujets du Berry.

Pour discuter de cela, et du reste, vous pouvez envoyer vos représentants et Nous les recevrons.

Fait au Louvre ce jour du 03 Novembre 1459






Code:
[quote="Zephir"][quote][i]A Sa Majesté Nebisa de Malemort.


 Votre Majesté,

Je me nomme Zephir. Je suis porteur d’espoir et porteur d’un message du Duc du Berry Alleaume de Niraco. En effet, je ne cesse de croire que, demain, la paix reviendra de nouveau sur votre Royaume. J’ai déjà tenté par le passé de prendre contact avec le Bourbonnais Auvergne, la Bourgogne ou encore dernièrement la Touraine afin de trouver un terrain d’entente nous permettant d’arrêter ce mal qui ravage la France.

Bien que les duchés que je viens de citer n’ont pas voulus négocier la paix, je garde en moi cette espoir que votre Majesté, dans son infinie sagesse, cherchera le bien de tout un peuple, de tout son peuple. 

Je prierai sa Majesté de bien vouloir lire la missive que je lui joints et de bien vouloir comprendre que notre démarche n’a qu’un seul but, le bien du Royaume de France et d’amener la paix et la stabilité afin que notre Royaume resplendisse a nouveau à la face de tous.

Je finirai cette missive pleine d’espoir en remerciant sa Gracieuse Majesté de m’avoir accordé quelques minutes et en la priant également de bien vouloir pardonner les maladresse que j’aurai pu commettre en lui envoyant ce courrier, mais il est de notre devoir de chercher à sauver ce qui peut l'être encore.

Zephir[/quote][/i]


-----------------------------------------------------------------


[quote] A Sa Majesté Nebisa de Malemort,


Salut.

Nous vous écrivons en ce jour, cela après des mois de mutisme entre nous.

Vous ne pouvez pas éviter de regarder le Berry et penser une seule seconde que vous éradiquerez un parti politique dans son entier, vous savez tout comme tout le monde le sait, que cela n'arrivera pas, le peuple est souverain de son choix de votes, et les menaces, l'occupation n'y changeront rien.

La seule chose que la Régence procure c'est une haine de plus en plus grande pour nos voisins, et pour vous même, votre peuple ne pourra jamais vous aimer si vous continuez à gouverner dans le sang comme vous le faites en Berry.

Vous laissez agir un Régent modifié un coutumier de A à Z, alors que les loys Royales stipulent que cela est totalement interdit,
Vous laissez une liste étrangère au Berry se présenter allant à l'encontre des Loys de la coutume Berrichonne,
Vous laissez deux brigands, ayant brigandé en Berry ( preuves vous en sera apporté ) se présenter en votre Nom pour diriger le Berry.

Le peuple Berrichon vous regarde d'en bas, et ce demande pourquoi, pourquoi vous faites cela ?

Ne pensez vous donc pas qu'il est grand temps que chacun mette ses rancœurs de côté ? La Touraine est ébranlé, les OR ont étaient décimés dans leur entièreté, la Touraine risque tôt ou tard de connaître le même sort que le Berry connaît depuis des mois.

Mais quant cela cessera t-il ?

Le Berry n'a jamais voulu, JAMAIS, prendre son indépendance de la Couronne de France, tout ceci est foutaise relayé par quelques politiciens en mal de reconnaissance, voulant planer sur des fantasmes afin de vous faire croire tout et n'importe quoi.
Nous aimons la France, et nous voulons retourner dans son giron lorsque le temps viendra.

Vous avez préféré croire des voleurs qui aujourd'hui ont pillé notre bonne ville de Châteauroux vous faisant croire que nous voulions l'indépendance de notre Duché, plutôt que votre Vassal qui c'est toujours montré honnête avec vous et a TOUJOURS voulu que la guerre cesse, vous ne pouvez point le nier.


Vous êtes la seul en mesure de mettre fin à ce conflit, un seul mot de vous et cette guerre prend fin.

Nous vous demandons donc de rencontrer à nouveau les représentants du Berry dans leur entièreté comme cela vous avez été demandé.

Fait à Châteauroux, le 28 octobre de l'an de Pâques 1459,

Pour le Conseil Ducal élu,
Alleaume de Niraco,
Régnant élu du Berry.

[img]http://nsa27.casimages.com/img/2011/07/21/110721115311102129.gif[/img][/quote][/quote]

[quote]Alleaume de Niraco ! En effet, voilà plusieurs semaines que Nous n'avions plus de nouvelles de vous. Certains vous disaient mort, d'autres au couvent ou vous auriez prononcé vos Vœux, d'autres tablaient sur un exil ; plus prosaïquement Nous supputons que vous continuez le combat quelques part.

N'étant pas de nature naïve, Nous ne croyons, en effet, pas à l'éradication de votre Parti ; Nous le savons responsable de la mentalité qui veut, qu'en Berry, on doive décrier la Couronne, cracher sur la Fleur de Lys et rêver à se retrouver, un jour, à la tête du Grand Berry Libre... mais Nous n'avons pas le pouvoir de mettre la lumière là ou l'obscurité règne, Nous avons seulement le désir de mettre la Loyauté là ou la forfaiture prévalait.

Nous avons suffisamment joué, tous les deux, et pouvons Nous dispenser des artifices diplomatiques. La déclaration d'indépendance, les "statuts" et autres hérauderies "libres", tout cela reposait depuis longtemps dans les tiroirs du Duc George, ou sous son oreiller. Il n'y a rien qui ne puisse revenir à nier ces faits. Nous connaissons le Duc George pour l'avoir "pratiqué" lors de ses mandats... un homme brillant, c'est impossible à nier, mais qui se fourvoie en pensant que l'on ne peut à la fois se dévouer à sa province et aimer son Royaume. Nous aurions aimé pouvoir compter sur un homme avec de telles capacités au service de la France, il a choisit de faire que cela ne soit pas, un choix dont il est libre, mais, pour autant, la Couronne ne peut pas laisser d'avantage le Berry dans son cercle vicieux. Cela aussi, vous l'aurez compris, je crois.

Maintenant, sachez une chose : Nous n'accepterons jamais de voir la moindre de Nos provinces se perdre de la sorte. Nous acceptons et souhaitons, voir exister des pensées libres, des esprits et des opinions divergentes, Nous croyons en l'unité du Royaume de France au sein du quel coexistent des peuples aux traditions et cultures différentes. Nous voulons réformer la France pour que ces différences continuent à exister.

Mais, de la Trahison, de la veulerie, Nous ne voulons plus.

Si tel était Notre désir, à ce jour le Berry n'existerait plus . Vos bonnes villes seraient depuis longtemps, toutes, sous tutelles de vos voisins. Mais non, Nous ne voulons pas ça, Nous ne voulons pas anéantir le peuple berrichon. Nous avons affirmé la souveraineté du Berry sur Chateauroux, Nous avons refusé son rattachement officiel au Duché de Touraine, de même que Nous refusons toute autre séparation.

Le conseil de Régence est en place et a reçu Notre acceptation, parce qu'il est impossible, dés lors que le Berry se cantonne à son opposition stérile envers la Couronne, de le confier à des mains qui ne seraient pas de confiance et qui refuseraient de reconnaitre l'Autorité Royale.

Vous êtes jeune, plein de fougue, en manque de pondération peut être mais  de vous à Nous, reconnaissez votre part de responsabilité dans tout ce que vous vivez ce jour. Vous n'avez jamais cru ce que nous vous disions. Aujourd'hui, attestez que jamais le moindre mensonge n'est sorti de Notre bouche. Quand vous Nous écriviez pour offrir votre obéissance pour revenir dessus vingt minutes après, sur la base de ragots dont Nous ignorons toujours l'origine, quand vous pensiez que Nous n'étions pas déterminée à aller au bout de ce que vous Nous contraigniez à faire en n'offrant pas le gage de votre loyauté.

Maintenant, à la lumière de vos erreurs de jadis, Nous sommes disposée à vous laisser une chance, une dernière chance, de vous transcender, d'agir en tant que dernier Duc légitime en date du Berry, car vous n'êtes rien d'autre sans Notre reconnaissance... Nous acceptons votre demande, sachez le, pour le Berry, qui est province de Notre Royaume, envers qui Nous n'avons pas besoin de serment pour savoir Notre devoir, pour ce peuple abusé qui appelle à la Paix.
 
Venez à nous, avec la proclamation de votre contrition, celle de chacun des nobles ayant cru bon de souscrire à votre folie, déchirez ce torchon qui se veut une charte héraldique, et donnez la preuve de votre volonté de vivre en paix en acceptant la présence, au sein d'un futur conseil élu et reconnu d'un Officier Royal de votre choix parmi ceux que nous souhaiterions vous mander et Nous pourrons commencer à offrir la Paix aux sujets du Berry.

Pour discuter de cela, et du reste, vous pouvez envoyer vos représentants et Nous les recevrons.

Fait au Louvre ce jour du 03 Novembre 1459


[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img][/quote]

_________________
Nebisa
    Aux sujets de la Couronne de France

    Oyez à tous,

    Nous prenons à nouveau la plume ce jour afin d'assurer à Nos sujets de Touraine l'attention et l'estime que la Couronne continue à porter à Sa province victime d'une cruelle invasion et d'une occupation inique. Nous confirmons, ce jour, le Duc Llyr di Maggio et d'Astralgan à la tête du Duché de Touraine et l'affirmons, à nouveau, comme Notre seul, unique et irréfutable Vassal et Feudataire. Nous réaffirmons la pleine et entière légitimité de son conseil comme seule autorité légitime en Touraine et déclarons le conseil d'usurpation dénué de toute bienveillance à l'égard de la Touraine et de son peuple et donc privé de toute considération royale.

    Nous prions les sujets de Touraine de ne pas perdre espoir, de garder courage et de maintenir leur dignité et leur fierté face à l'épreuve que leur inflige les ennemis de l'Honneur, de la Droiture et de la Morale, les ennemis de la France, les chantres de la guerre, de l'ignominie, du mensonge et de la Trahison. Peuple de Touraine, votre grandeur, votre pugnacité, votre force ne sont plus à démontrer, ils sont inscrits dans chaque page de l'Histoire de France, une fois encore, on vient vous frapper, on vous veut à terre, défaits et vaincus. Le moment venu, d'un seul élan, vous vous dresserez pour réclamer, non pas vengeance, mais Justice et vous mettrez à néant ceux qui vous auront offensés.

    Au conseil de Régence du Berry, maintenant, Nous adressons Nos remerciements et considérations de gratitude pour l'ampleur de leur investissement au service du peuple Berrichon, condamné à la misère par ses dirigeants, bafoués par ceux là même qui avaient le devoir de leur assurer Paix et Prospérité. Nous savons qu'il n'est pas chose aisée, dans de telles circonstances, de conduire un Duché divisé entre l'aveugle obéissance à une cause perverse et un désir de calme et de confiance. Nous savons que vous avez eu à cœur d’œuvrer avec Vertu et Humanité, que vos actions ne visaient jamais à autre chose qu'alléger le fardeau d'une population innocente et que les plus humbles, les anonymes, ceux qui ne vont pas rédiger pamphlets anonymes, déclarations sirupeuses, ceux qui se contenteront de remercier le ciel pour un pain acheté à prix raisonnable, pour les portes d'une université qui s'ouvrent à nouveau, pour un emploi retrouvé, ceux là, dont le nombre fait la force à défaut de l'écho de leurs cris, ceux là ont su vous toucher au cœur et incarner le pourquoi de vos sacrifices et de vos peines même peut être.

    Un petit mot, une grande pensée, un embrasement de gratitude pour tous les soldats de la France tombés lors du siège de Poitiers. Ne considérez pas la fin de ce simple chapitre comme la fin de votre combat. Nous louons votre vaillance qui a fait trembler l'ennemi et soulignons que seul un mauvais coup du sort a différé votre victoire sur un ennemi qui continue à refuser la Paix et la raison quand Nous lui assurons tous les gages de Notre mansuétude. Aussi longtemps que la France souffrira, vous serez là pour la défendre et Nous serons là pour vous rendre les légitimes honneurs qui vous sont dus, à vous qui vous dressez pour défendre votre terre, votre honneur et votre avenir.

    Autre point, pas des moindres cependant... Orléans, Notre Duché, a reçu la visite, hier, d'une poignée d'armées ennemis, qui après la Touraine pensait mettre à bas les murailles de la ville capitale en moins de temps qu'il ne faut pour dire "nom d'une pustule ponantiste pestiférée"... Cette nuit, Orléans a, non seulement, résisté avec la vaillance que l'on connait à Nos sujets adorés, mais a repoussé fermement l'armée des volatiles, non, pardon, les Aigles Poitevins en rase campagne. Ceci est dit, Orléans ne se laissera pas outragée. Louée soit la force, l'unité et l'efficacité des Sujets d'Orléans qui font honneur à leur terre à l'image des leurs frères de France.

    Pour continuer sur la lancée de "la France qui agit et le Ponant qui tremble"... depuis le Maine, deux armées royales ont rejoint la bonne ville de La Fléche, charmante bourgade servant de villégiature aux armées du Ponant. Nos armées ont pris pieds sous les murailles angevines ... et étudient à présent le panorama dégagé qui s'offre à elles...

    Et pour conclure, des nouvelles de Champagne. Les armées ennemies qui avaient pris place sous les murs de Compiégne ont rapidement rejoint l'abri de Péronne afin de mettre en sécurité, assurément, la ville capitale d'Arras après que les armées royales se soient avancées jusqu'à Azincourt. La population Artésienne n'a subi aucun outrage, et ce depuis le début du conflit et les troupes royales ont pu faire trembler l'ennemi au point que la Champagne se trouve, à présent, totalement sécurisée. Nous saluons l’opiniâtreté de Nos sujets et vassaux de Champagne, qui malgré leur caractère inflammable Nous ont prouvé savoir se montrer efficaces et déterminés face à la menace, aux insultes et chantages de l'ennemi.

    Ce jour, Nous proclamons Notre fierté et Notre amour pour de tels sujets, pour un Domaine Royal qui Nous honore et Nous donne la force et le courage de ne pas faillir à Nos devoirs, malgré le poids d'une responsabilité qui nous transcende.

    A tous, sujets du Domaine Royal, sujets ou vassaux de la Couronne, Ducs ou Comtes régnants, nobles, chevaliers, femmes, hommes, simples soldats, pigeons royaux, Nous Nous inclinons devant votre loyauté, votre mérite, votre courage, Nous vous saluons comme braves parmi les braves et vous promettons que la Justice du combat que nous menons ensemble triomphera sur l’opprobre que l'ennemi jette sur le Royaume à la fleur de lys, que jamais il ne l'emportera, car vous êtes, toutes et tous, les lys qui fleurissent sur Nos bannières, vous êtes les Lys de France.


    De Notre main qui vivre à vos cotés,
    De Notre coeur qui palpite à chacune de vos victoires
    De Notre sang qui coule quand coule le votre,





Code:
[list]Aux sujets de la Couronne de France

Oyez à tous,

Nous prenons à nouveau la plume ce jour afin d'assurer à Nos sujets de Touraine l'attention et l'estime que la Couronne continue à porter à Sa province victime d'une cruelle invasion et d'une occupation inique. Nous confirmons, ce jour, le Duc Llyr di Maggio et d'Astralgan à la tête du Duché de Touraine et l'affirmons, à nouveau, comme Notre seul, unique et irréfutable Vassal et Feudataire. Nous réaffirmons la pleine et entière légitimité de son conseil comme seule autorité légitime en Touraine et déclarons le conseil d'usurpation dénué de toute bienveillance à l'égard de la Touraine et de son peuple et donc privé de toute considération royale.

Nous prions les sujets de Touraine de ne pas perdre espoir, de garder courage et de maintenir leur dignité et leur fierté face à l'épreuve que leur inflige les ennemis de l'Honneur, de la Droiture et de la Morale, les ennemis de la France, les chantres de la guerre, de l'ignominie, du mensonge et de la Trahison. Peuple de Touraine, votre grandeur, votre pugnacité, votre force ne sont plus à démontrer, ils sont inscrits dans chaque page de l'Histoire de France, une fois encore, on vient vous frapper, on vous veut à terre, défaits et vaincus. Le moment venu, d'un seul élan, vous vous dresserez pour réclamer, non pas vengeance, mais Justice et vous mettrez à néant ceux qui vous auront offensés.

Au conseil de Régence du Berry, maintenant, Nous adressons Nos remerciements et considérations de gratitude pour l'ampleur de leur investissement au service du peuple Berrichon, condamné à la misère par ses dirigeants, bafoués par ceux là même qui avaient le devoir de leur assurer Paix et Prospérité. Nous savons qu'il n'est pas chose aisée, dans de telles circonstances, de conduire un Duché divisé entre l'aveugle obéissance à une cause perverse et un désir de calme et de confiance. Nous savons que vous avez eu à cœur d’œuvrer avec Vertu et Humanité, que vos actions ne visaient jamais à autre chose qu'alléger le fardeau d'une population innocente et que les plus humbles, les anonymes, ceux qui ne vont pas rédiger pamphlets anonymes, déclarations sirupeuses, ceux qui se contenteront de remercier le ciel pour un pain acheté à prix raisonnable, pour les portes d'une université qui s'ouvrent à nouveau, pour un emploi retrouvé, ceux là, dont le nombre fait la force à défaut de l'écho de leurs cris, ceux là ont su vous toucher au cœur et incarner le pourquoi de vos sacrifices et de vos peines même peut être.

Un petit mot, une grande pensée, un embrasement de gratitude pour tous les soldats de la France tombés lors du siège de Poitiers. Ne considérez pas la fin de ce simple chapitre comme la fin de votre combat. Nous louons votre vaillance qui a fait trembler l'ennemi et soulignons que seul un mauvais coup du sort a différé votre victoire sur un ennemi qui continue à refuser la Paix et la raison quand Nous lui assurons tous les gages de Notre mansuétude. Aussi longtemps que la France souffrira, vous serez là pour la défendre et Nous serons là pour vous rendre les légitimes honneurs qui vous sont dus, à vous qui vous dressez pour défendre votre terre, votre honneur et votre avenir.

Autre point, pas des moindres cependant... Orléans, Notre Duché, a reçu la visite, hier, d'une poignée d'armées ennemis, qui après la Touraine pensait mettre à bas les murailles de la ville capitale en moins de temps qu'il ne faut pour dire "nom d'une pustule ponantiste pestiférée"... Cette nuit, Orléans a, non seulement, résisté avec la vaillance que l'on connait à Nos sujets adorés, mais a repoussé fermement l'armée des volatiles, non, pardon, les Aigles Poitevins en rase campagne. Ceci est dit, Orléans ne se laissera pas outragée. Louée soit la force, l'unité et l'efficacité des Sujets d'Orléans qui font honneur à leur terre à l'image des leurs frères de France.

Pour continuer sur la lancée de "la France qui agit et le Ponant qui tremble"... depuis le Maine, deux armées royales ont rejoint la bonne ville de La Fléche, charmante bourgade servant de villégiature aux armées du Ponant. Nos armées ont pris pieds sous les murailles angevines ... et étudient à présent le panorama dégagé qui s'offre à elles...

Et pour conclure, des nouvelles de Champagne. Les armées ennemies qui avaient pris place sous les murs de Compiégne ont rapidement rejoint l'abri de Péronne afin de mettre en sécurité, assurément, la ville capitale d'Arras après que les armées royales se soient avancées jusqu'à Azincourt. La population Artésienne n'a subi aucun outrage, et ce depuis le début du conflit et les troupes royales ont pu faire trembler l'ennemi au point que la Champagne se trouve, à présent, totalement sécurisée. Nous saluons l’opiniâtreté de Nos sujets et vassaux de Champagne, qui malgré leur caractère inflammable Nous ont prouvé savoir se montrer efficaces et déterminés face à la menace, aux insultes et chantages de l'ennemi.

Ce jour, Nous proclamons Notre fierté et Notre amour pour de tels sujets, pour un Domaine Royal qui Nous honore et Nous donne la force et le courage de ne pas faillir à Nos devoirs, malgré le poids d'une responsabilité qui nous transcende.

A tous, sujets du Domaine Royal, sujets ou vassaux de la Couronne, Ducs ou Comtes régnants, nobles, chevaliers, femmes, hommes, simples soldats, pigeons royaux, Nous Nous inclinons devant votre loyauté, votre mérite, votre courage, Nous vous saluons comme braves parmi les braves et vous promettons que la Justice du combat que nous menons ensemble triomphera sur l’opprobre que l'ennemi jette sur le Royaume à la fleur de lys, que jamais il ne l'emportera, car vous êtes, toutes et tous, les lys qui fleurissent sur Nos bannières, vous êtes les Lys de France.


De Notre main qui vivre à vos cotés,
De Notre coeur qui palpite à chacune de vos victoires
De Notre sang qui coule quand coule le votre,

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img][/list]

_________________
Nebisa
Citation:
Trêve entre le Royaume de France et les provinces affiliées au Ponant

Article 1 : Les combats

Qu’à compter de la date de signature, combats et mouvements offensifs doivent cesser pour une durée initiale de deux semaines, tacitement reconductibles à chaque échéance faute de dénonciation officielle et publique de la trêve par l'une des parties.
Celles-ci se donnent par ailleurs trois jours pour leurs armées se retirent des différents fronts du conflit, les armées dans les villes frontières demeurant dans l'enceinte des murs de la ville et ce tant que la trêve n'aura pas été dénoncée.
Cela signifie clairement : les armées royales sur le sol des provinces loyales, les armées du Ponant sur le sol des provinces françaises en guerre contre la Couronne.
Les soldats blessés dans une province hostiles pourront regagner un sol ami sans encombre.
Pas d'attaques maritimes ou de mouvements dans les eaux des camps belligérants de la part des flottes des différents camps ou de leurs alliés étrangers.

Article 2 : Des blessés, prisonniers, et soldats démobilisés

Que toutes les provinces doivent prendre soin des blessés et prisonniers de chaque camp comme s’il s’agissait des leurs.
Que les blessés de guerre, les prisonniers et les soldats démobilisés ne sauraient nulle part se retrouver en procès pour leurs actes durant le conflit, ni jugés à partir du moment où ils se conforment aujourd'hui aux lois des provinces concernées.
Que tous les procès en cours contre les soldats des deux camps soient annulés sur le champ.

Article 3 : De la médiation

Les deux parties s'engagent à s'asseoir sans délai et sans faute à la table des négociations à Rome en vue de trouver un accord de règlement du conflit sous la médiation de l’Église Aristotélicienne.

Article 4 : De la garantie du présent accord

L’Église Aristotélicienne se porte garante du présent accord. Tout responsable politique, militaire ou affilié transgressant le présent accord sera ipso facto reconnu devant tous comme parjure et aussitôt frappé d'interdit.
Les Saintes Armées veilleront à l'intégrité physique et à la pleine sécurité des négociateurs.


Pour la France, le 27 Novembre de l'an de Grasce 1459





Son Altesse Royale Argael Devirieux

Dauphin de France

Dotch de Cassel,
Grand Maître de France



Julien Giffard
Connétable de France



Pour le Ponant, le 27 Novembre de l'an de Grasce 1459

Pour l'Anjou
Brennus de Reikrigen


Pour l'Artois
Yann Baol Doussadour


Pour le Berry.
Alleaume de Niraco


Pour la Bretagne
Elfyn de Montfort


Pour le Poitou
Ventreachoux de Beaupin l'Aizenay




Code:
 [quote][size=18][b] Trêve entre le Royaume de France et les provinces affiliées au Ponant
[/b][/size]
[b]Article 1 : Les combats [/b]

Qu’à compter de la date de signature, combats et mouvements offensifs doivent cesser pour une durée initiale de deux semaines, tacitement reconductibles à chaque échéance faute de dénonciation officielle et publique de la trêve par l'une des parties.
Celles-ci se donnent par ailleurs trois jours pour leurs armées se retirent des différents fronts du conflit, les armées dans les villes frontières demeurant dans l'enceinte des murs de la ville et ce tant que la trêve n'aura pas été dénoncée.
Cela signifie clairement : les armées royales sur le sol des provinces loyales, les armées du Ponant sur le sol des provinces françaises en guerre contre la Couronne.
Les soldats blessés dans une province hostiles pourront regagner un sol ami sans encombre.
Pas d'attaques maritimes ou de mouvements dans les eaux des camps belligérants de la part des flottes des différents camps ou de leurs alliés étrangers.

[b]Article 2 : Des blessés, prisonniers, et soldats démobilisés[/b]

Que toutes les provinces doivent prendre soin des blessés et prisonniers de chaque camp comme s’il s’agissait des leurs.
Que les blessés de guerre, les prisonniers et les soldats démobilisés ne sauraient nulle part se retrouver en procès pour leurs actes durant le conflit, ni jugés à partir du moment où ils se conforment aujourd'hui aux lois des provinces concernées.
Que tous les procès en cours contre les soldats des deux camps soient annulés sur le champ.

[b]Article 3 : De la médiation[/b]

Les deux parties s'engagent à s'asseoir sans délai et sans faute à la table des négociations à Rome en vue de trouver un accord de règlement du conflit sous la médiation de l’Église Aristotélicienne.

[b]Article 4 : De la garantie du présent accord[/b]

L’Église Aristotélicienne se porte garante du présent accord. Tout responsable politique, militaire ou affilié transgressant le présent accord sera ipso facto reconnu devant tous comme parjure et aussitôt frappé d'interdit.
Les Saintes Armées veilleront à l'intégrité physique et à la pleine sécurité des négociateurs.


[b]Pour la France[/b], le 27 Novembre de l'an de Grasce 1459

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img]
[size=18]
[b]Son Altesse Royale Argael Devirieux[/b][/size]
Dauphin de France

[i]Dotch de Cassel,
Grand Maître de France[/i]
[img]http://img159.imageshack.us/img159/7680/grandmaitredefrancejayj4.gif[/img]

Julien Giffard
Connétable de France

[img]http://img183.imageshack.us/img183/7586/cdfjaunejp6.gif[/img]

[b]Pour le Ponant[/b], le 27 Novembre de l'an de Grasce 1459

[i]Pour l'Anjou [/i]
Brennus de Reikrigen
[img]http://img850.imageshack.us/img850/9751/sceaujaune.gif[/img]

[i]Pour l'Artois[/i]
Yann Baol Doussadour
[img]http://i27.servimg.com/u/f27/11/07/28/06/scarto10.gif[/img]

[i]Pour le Berry.[/i]
Alleaume de Niraco
[img]http://img178.imageshack.us/img178/8079/scberryjajy9.gif[/img]

[i]Pour la Bretagne[/i]
Elfyn de Montfort
[img]http://img9.imageshack.us/img9/1021/elfyngdjaune.png[/img]

[i]Pour le Poitou[/i]
Ventreachoux de Beaupin l'Aizenay
[img]http://img80.imageshack.us/img80/2608/poitoujdz3.png[/img]

[/quote]

_________________
Nebisa
Citation:
De Nous, Nebisa de Malemort Armantia
Reyne de France

A nos sujets qui prendront connaissance de la présente communication,

La trève signée depuis ces derniers jours laisse à espérer un retour à la raison des belligérants, Nos sujets rebelles ou sujets du Grand Duché de Bretagne.

Nos royales armées ont entrepris les mouvements convenus lors de la signature de la trêve, les dernières armées demeurant en Artois lèveront le camp cette nuit ainsi que convenu, l'état de concentration ayant retardé les mouvements hier et avant hier.

Nous nous réjouissons du retour de l'armée Bretonne, Ost de Felger à Felger où est sa place, ainsi que des mouvements des diverses armées ennemies qui ont regagné leurs terres d'origines ou points de ralliements.

Cependant, Nous tenons à Nous émouvoir de l'arrivée, ce matin, à Loches d'une armée en provenance de Saint Aignan ("Le Berry Libre" dirigée par Sasuke_utchiwa), tandis que l'armée à la base stationnée sur Loches, "La légion des ombres", y demeure deux jours après la signature de la Trêve et que l'armée "Berrichonnae Libertalia"arrivée ce jour porte à trois le nombre d'armées actuellement sur Loches, des armées n'étant point tourangelles...

Les trois jours définis par la Trêve pour laisser le temps nécessaire aux armées de regagner leurs sols arrivent à terme. Les armées de Touraine se rendent donc ce jour à Loches pour intégrer l'enceinte de la cité demain, comme le prévoit la trêve. Bien entendu, Nous ne doutons pas qu'elles ne croiseront aucunement la route de quelques armées décidées à rompre la Trêve et compromettre la tenue des négociations prévues.

Nous attirons l'attention de l’Église, Notre Grand Primat à l'origine de la dicte trêve, sur ce point et sollicitons sa vigilance sur les mouvements qui se révéleront dés demain.






Code:
[quote]De Nous, Nebisa de Malemort Armantia
Reyne de France

A nos sujets qui prendront connaissance de la présente communication,

La trève signée depuis ces derniers jours laisse à espérer un retour à la raison des belligérants, Nos sujets rebelles ou sujets du Grand Duché de Bretagne.

Nos royales armées ont entrepris les mouvements convenus lors de la signature de la trêve, les dernières armées demeurant en Artois lèveront le camp cette nuit ainsi que convenu, l'état de concentration ayant retardé les mouvements hier et avant hier.

Nous nous réjouissons du retour de l'armée Bretonne, Ost de Felger à Felger où est sa place, ainsi que des mouvements des diverses armées ennemies qui ont regagné leurs terres d'origines ou points de ralliements.

Cependant, Nous tenons à Nous émouvoir de l'arrivée, ce matin, à Loches d'une armée en provenance de Saint Aignan ("Le Berry Libre" dirigée par Sasuke_utchiwa), tandis que l'armée à la base stationnée sur Loches, "La légion des ombres", y demeure deux jours après la signature de la Trêve et que l'armée "Berrichonnae Libertalia"arrivée ce jour porte à trois le nombre d'armées actuellement sur Loches, des armées n'étant point tourangelles... 

Les trois jours définis par la Trêve pour laisser le temps nécessaire aux armées de regagner leurs sols arrivent à terme. Les armées de Touraine se rendent donc ce jour à Loches pour intégrer l'enceinte de la cité demain, comme le prévoit la trêve. Bien entendu, Nous ne doutons pas qu'elles ne croiseront aucunement la route de quelques armées décidées à rompre la Trêve et compromettre la tenue des négociations prévues.

Nous attirons l'attention de l’Église, Notre Grand Primat à l'origine de la dicte trêve, sur ce point et sollicitons sa vigilance sur les mouvements qui se révéleront dés demain.


[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img][/quote]

_________________
Nebisa

    Des conditions d’accès au sein de la Très Noble Assemblée des Pairs de France.


    De Nous, Nebisa de Malemort Armantia, Reyne de France, dans le souci du bien de Nos peuples et sujets, avec la conviction d'agir selon les intérêts du Royaume de France et avec la consultation approbative de Nos Très Nobles Pairs de France, déclarons ce jour abolir le ration Pairs/Provinces ainsi que le critère de noblesse pour les membres du Clergé.

    A compter ce jour, le nombre de Pairs sur le sol du Royaume de France est fixé à 25 sans aucune considération d'ordre géographique.

    Cette abolition supprimera le souci causé par le passé des déménagements et le mal que Nous avons à faire entendre que la charge de Pairs de France n'est point liée à la province mais au Royaume tout entier.

    En outre, Nous exemptons les membres du Clergé étant ou ayant été Évêques du Royaume de France de l'exigence de noblesse requise pour présenter un dossier d'admission au sein de la Très Noble Assemblée des Pairs de France.

    Nous souhaitons rappeler les critères formels et informels :

    - Noblesse au rang minimal de Baron, sauf pour les membres du Clergé étant ou ayant été Évêque du Royaume de France.

    - Un casier judiciaire vierge .

    - Avoir reçu le baptême.

    - Une implication significative au sein du Royaume de France.

    - Une expérience concrète au sein d'au moins une province du Royaume de France.

    Nous soulignons également que l'accession au sein de la Très Noble Assemblée des Pairs de France doit être considérée comme la plus haute conclusion d'une vie de service. Il est aberrant de songer à la Pairie quand on ne possède ni l'expérience, ni les connaissances du fonctionnement du Royaume qui sont attendues pour les premiers conseillers de la Couronne et que l'on n'a pas démontré plus de cent fois sa loyauté et son engagement sans réserve pour la France.





Code:
[list]
[size=18][b]Des conditions d’accès au sein de la Très Noble Assemblée des Pairs de France.[/b][/size]


De Nous, Nebisa de Malemort Armantia,  Reyne de France, dans le souci du bien de Nos peuples et sujets, avec la conviction d'agir selon les intérêts du Royaume de France et avec la consultation approbative de Nos Très Nobles Pairs de France, déclarons ce jour abolir le ration Pairs/Provinces ainsi que le critère de noblesse pour les membres du Clergé.

A compter ce jour, le nombre de Pairs sur le sol du Royaume de France est fixé à 25 sans aucune considération d'ordre géographique.

Cette abolition supprimera le souci causé par le passé des déménagements et le mal que Nous avons à faire entendre que la charge de Pairs de France n'est point liée à la province mais au Royaume tout entier.

En outre, Nous exemptons les membres du Clergé étant ou ayant été Évêques du Royaume de France de l'exigence de noblesse requise pour présenter un dossier d'admission au sein de la Très Noble Assemblée des Pairs de France.

Nous souhaitons rappeler les critères formels et informels :

- Noblesse au rang minimal de Baron, sauf pour les membres du Clergé étant ou ayant été Évêque du Royaume de France.

- Un casier judiciaire vierge .

- Avoir reçu le baptême.

- Une implication significative  au sein du Royaume de France.

- Une expérience concrète au sein d'au moins une province du Royaume de France.

Nous soulignons également que l'accession au sein de la Très Noble Assemblée des Pairs de France doit être considérée comme la plus haute conclusion d'une vie de service. Il est aberrant de songer à la Pairie quand on ne possède ni l'expérience, ni les connaissances du fonctionnement du Royaume qui sont attendues pour les premiers conseillers de la Couronne et que l'on n'a pas démontré plus de cent fois sa loyauté et son engagement sans réserve pour la France.

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img][/list]

_________________
Nebisa
Citation:
De Nous, Nebisa de Malemort Armantia, Reyne de France,

Au regard des différentes saisines dont nous sommes l'objet concernant la situation en Alençon, annonçons qu'une enquête sera menée dans un délais d'une semaine pour évaluer:
- la situation économique
- la sécurité du duché, tant militaire que de la prévôté
De surcroit, nous serons vigilants au bon fonctionnement du Conseil Ducal dont les relations délétères entre ses membres semblent nuire à la bonne gestion du Duché.

Pour ce faire, dépêchons sur place dans les plus brefs délais le Grand Maitre de France, Dotch de Cassel, le Connétable de France, Julien Giffard, le Surintendant des Finances, Keur de Thorigni et le Premier Secrétaire d'Etat, Alandrisse de Montbazon-Navailles.

Que toutes les clefs nécessaires à leur enquête leur soient baillées dès leur arrivée.

Cette mesure prend effet dès publication.

Faict au Louvres le 16 décembre 1459







Code:
[quote]De Nous, Nebisa de Malemort Armantia, Reyne de France,

Au regard des différentes saisines dont nous sommes l'objet concernant la situation en Alençon, annonçons qu'une enquête sera menée dans un délais d'une semaine pour évaluer:
- la situation économique
- la sécurité du duché, tant militaire que de la prévôté
De surcroit, nous serons vigilants au bon fonctionnement du Conseil Ducal dont les relations délétères entre ses membres semblent nuire à la bonne gestion du Duché.

Pour ce faire, dépêchons sur place dans les plus brefs délais le Grand Maitre de France, Dotch de Cassel, le Connétable de France, Julien Giffard, le Surintendant des Finances, Keur de Thorigni et le Premier Secrétaire d'Etat, Alandrisse de Montbazon-Navailles.

Que toutes les clefs nécessaires à leur enquête leur soient baillées dès leur arrivée.

Cette mesure prend effet dès publication.

Faict au Louvres le 16 décembre 1459

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img]
[/quote]

_________________
Nebisa
Code:

[list]A nos feudataires,
A nos vassaux et vavassaux,
A nos vaillants soldats et volontaires,
A notre bon peuple de France,

Cette annonce n'est pas celle à laquelle nous nous étions préparés.

Nous aurions voulu pouvoir vous souhaiter à tous et toutes de bonnes fêtes, et ce, dans la joie et la paix. Paix que nous voulons ardemment et qui explique que nous soyons demeuré tant de jours à Rome pour négocier avec les émissaires du Ponant. Paix dont nous pensions la volonté partagée malgré quelques libertés de part et d'autres avec les conditions de la trêve.

Las, le Ponant se joue de nous, changeant au gré de ses humeurs ses représentants qui, s'ils ne sont pas muets, tiennent des discours différents.

Voila deux jours, les représentants de l’Église ont proposé un traité de paix synthétisant les discussions menées jusqu'à présent. Dans ses grandes lignes, et les plus importantes, nous avons accepté ce traité pour le bien de la Couronne, des ses sujets, et dans un esprit de réconciliation du Royaume.

Si jusqu'à présent nous avons œuvré dans un esprit de réconciliation du Royaume et de clarification juridique de l'Alliance du Ponant, leurs dernières réactions nous laissent à penser que nous ne nous sommes pas assis autour de la table des négociations avec les mêmes buts.

Qu'il soit su que le Royaume est un et indivisible.
 
Que par conséquent nous ne reconnaitrons nulle indépendance auto-proclamée ni un nouveau Royaume formé autour de la Bretagne.

Que nous laissons jusqu'au 2 janvier 1460 au Ponant pour signer le traité proposé par l’Église ou proposer des amendements conformes aux discussions que nous avons eu, faute de quoi, et c'est la mort dans l'âme que nous prenons cette décision, la guerre devra reprendre ses droits.

Que passé le délais des dix jours, si certaines provinces affiliées au Ponant le souhaitent, nous serons disposés à discuter avec elles et la trêve se poursuivra entre le Royaume et ladite/lesdites provinces.

[size=18][b]Son Altesse Royale Argael Devirieux[/b][/size]
[b]Dauphin de France[/b]
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Noblesse%20de%20France/D%20-%20Noblesse%20de%20France/sceaudauphinjaune.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]
[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img]

[/list]


_________________
Argael
Citation:
A nos feudataires,
A nos vassaux et vavassaux,
A nos vaillants soldats et volontaires,
A notre bon peuple de France,

Permettez nous tout d'abord de vous souhaiter nos meilleurs voeux pour cette année 1460. Que celle ci vous soit douce, heureuse et Aristotélicienne. Cependant, nous ne nous appesantirons pas ce jour sur ces traditionnels voeux car il convient de préciser nos positions quant à la guerre qui ravage notre royaume.

Voila dix jours, nous avions quitté la table des négociations pour protester face à l'attitude des négociateurs du Ponant et à l'incohérence de leurs propositions, nous faisant douter de leur réelle volonté de paix.

Depuis, les nouvelles propositions formulées par l'ancien Grand Duc Myrlin nous apparaissent comme porteuses d'un espoir nouveau même si nous déplorons le comportement va-t-en guerre et jusqu'au-boutiste du nouveau chancelier du Ponant, messire Lefou.

Aussi, parce que nous souhaitons avant tout la Paix et que les propositions actuelles permettent discussion, nous annonçons prolonger la trêve.

Néanmoins, en raison des multiples violations de la trêve de la part de l'Artois (persécution des blessés, navires en Normandie,...) et de l'Anjou, nous appelons nos troupes à rester mobilisées et à conserver leur sang froid face à ces provocations.

Faict à Rome le 1er janvier 1460

Par dérogation pour la Couronne de France
Son Altesse Royale Argael Devirieux
Dauphin de France


Code:
[quote]A nos feudataires,
A nos vassaux et vavassaux,
A nos vaillants soldats et volontaires,
A notre bon peuple de France,

Permettez nous tout d'abord de vous souhaiter nos meilleurs voeux pour cette année 1460. Que celle ci vous soit douce, heureuse et Aristotélicienne. Cependant, nous ne nous appesantirons pas ce jour sur ces traditionnels voeux car il convient de préciser nos positions quant à la guerre qui ravage notre royaume.

Voila dix jours, nous avions quitté la table des négociations pour protester face à l'attitude des négociateurs du Ponant et à l'incohérence de leurs propositions, nous faisant douter de leur réelle volonté de paix.

Depuis, les nouvelles propositions formulées par l'ancien Grand Duc Myrlin nous apparaissent comme porteuses d'un espoir nouveau même si nous déplorons le comportement va-t-en guerre et jusqu'au-boutiste du nouveau chancelier du Ponant, messire Lefou.

Aussi, parce que nous souhaitons avant tout la Paix et que les propositions actuelles permettent discussion, nous annonçons prolonger la trêve.

Néanmoins, en raison des multiples violations de la trêve de la part de l'Artois (persécution des blessés, navires en Normandie,...) et de l'Anjou, nous appelons nos troupes à rester mobilisées et à conserver leur sang froid face à ces provocations.

Faict à Rome le 1er janvier 1460

Par dérogation pour la Couronne de France
[b][size=18]Son Altesse Royale Argael Devirieux[/size][/b]
Dauphin de France
[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Noblesse%20de%20France/D%20-%20Noblesse%20de%20France/sceaudauphinjaune.png[/img][/quote]

_________________
PLUS DE BLASON EN SIGNATURE ALORS HEUREUX ? Mode révolte ON
Pair de France
Marquis de Senlis,
Comte de Menin,
Vicomte de Monestier de Briançon,
Baron de la Tour du Pin,
Seigneur de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7, ..., 21, 22, 23   >   >>