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Annonces du Souverain.

Nebisa
    De Nous, Nebisa de Malemort, Reine de France .

    Aux sujets de notre Royaume de France qui prendront connaissance de la présente déclaration.

    Suite à la candidature au sein de la Très Noble Assemblée des Pairs de France et en acceptation des avis de Nos conseillers Pairs de France, convaincue de leurs Mérites, Hauts Faits et Loyauté au service du Royaume de France, recevons ce jour au sein de la dicte Institution Royale :

    • Messire Lexhor d'Amahir, Duc d'Alluyes, Baron de Château-Landon et d'Auneau, Seigneur de Pléaux, Seigneur de Saint Denis-les-Ponts


    Que dés à présent, il se présente au Palais Royal ou lui sera remit les attributs de sa dignité nouvelle et qu'il serve à nouveau le Royaume de France sans faillir ni trembler, Nous dispensant ses conseils avisés et faisant honneur à ses coreligionnaires .


    Faict en l'enceinte du Palais Royal du Louvre le 03 Janvier1460.





Code:
[list]De Nous, Nebisa de Malemort, Reine de France .

Aux sujets de notre Royaume de France qui prendront connaissance de la présente déclaration.

Suite à la candidature au sein de la Très Noble Assemblée des Pairs de France et en acceptation des avis de Nos conseillers Pairs de France, convaincue de leurs Mérites, Hauts Faits et Loyauté au service du Royaume de France, recevons ce jour au sein de la dicte Institution Royale :

[list][*]Messire [b]Lexhor[/b] d'Amahir, Duc d'Alluyes, Baron de Château-Landon et d'Auneau, Seigneur de Pléaux, Seigneur de Saint Denis-les-Ponts[/list]

Que dés à présent, il se présente au Palais Royal ou lui sera remit les attributs de sa dignité nouvelle et qu'il serve à nouveau le Royaume de France sans faillir ni trembler, Nous dispensant ses conseils avisés et faisant honneur à ses coreligionnaires .


Faict en l'enceinte du Palais Royal du Louvre le 03 Janvier1460.

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i43.servimg.com/u/f43/09/03/10/49/neb_re10.png[/img][/list]

_________________
Nebisa
    A tous les sujets du Royaume de France qui liront ou ouïront la présente déclaration,

    De Nous, Nebisa de Malemort Armantia, votre Reyne,

    Suite à de récents flous autour de la légitime question des déplacements et voyages des religieux sur les routes du Royaume tenons à établir qu'il serait proprement indécent et dépourvu de toute logique de refuser le droit de passage à un membre du clergé, sous quelque raison qu'il formule quant à sa visite ou son voyage.

    De part la nature même de leur mission ecclésiastique, les membres du Clergé, de simple prêtre à curé ou jusqu'au plus haut niveau de la hiérarchie cléricale, les représentants du Très Haut n'ont pas d'autorisation à demander pour se déplacer.

    Cependant, pour d'évidentes raisons liées à leur sécurité même, il appartient aux religieux en déplacement de prendre contact avec les autorités temporelles des provinces qu'ils traversent afin de s'assurer un passage en toute sécurité ou de s'informer des dangers signalés sur la route. Si aucune démarche en ce sens n'est entreprise nul reproche ne saurait être adressé aux provinces du Royaume ou à la Couronne en cas de désagrément durant le voyage.

    Les escortes, elles, ne sont pas soumises au libre passage, notamment si des membres desdites escortes ne seraient pas sujets français ou auraient à leur actif un casier judiciaire dans les provinces concernées. Il convient donc aux personnes escortant les religieux de se rapprocher des autorités locales afin de se signaler.

    De part Notre Autorité et Volonté Royale,
    Le 08 Janvier de l'an de grasce 1460







Code:
[list]A tous les sujets du Royaume de France qui liront ou ouïront la présente déclaration,

De Nous, Nebisa de Malemort Armantia, votre Reyne,

Suite à de récents flous autour de la légitime question des déplacements et voyages des religieux sur les routes du Royaume tenons à établir qu'il serait proprement indécent et dépourvu de toute logique de refuser le droit de passage à un membre du clergé, sous quelque raison qu'il formule quant à sa visite ou son voyage.

De part la nature même de leur mission ecclésiastique, les membres du Clergé, de simple prêtre à curé ou jusqu'au plus haut niveau de la hiérarchie cléricale, les représentants du Très Haut n'ont pas d'autorisation à demander pour se déplacer.

Cependant, pour d'évidentes raisons liées à leur sécurité même, il appartient aux religieux en déplacement de prendre contact avec les autorités temporelles des provinces qu'ils traversent afin de s'assurer un passage en toute sécurité ou de s'informer des dangers signalés sur la route. Si aucune démarche en ce sens n'est entreprise nul reproche ne saurait être adressé aux provinces du Royaume ou à la Couronne en cas de désagrément durant le voyage.

Les escortes, elles, ne sont pas soumises au libre passage, notamment si des membres desdites escortes ne seraient pas sujets français ou auraient à leur actif un casier judiciaire dans les provinces concernées. Il convient donc aux personnes escortant les religieux de se rapprocher des autorités locales afin de se signaler.

De part Notre Autorité et Volonté Royale,
Le 08 Janvier de l'an de grasce 1460

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img][/list]

 

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Nebisa
    De Nous, Nebisa de Malemort, Reine de France .

    Aux sujets de notre Royaume de France qui prendront connaissance de la présente déclaration.

    Ce jour est jours de grâce et c'est pour Nous un bonheur sans borne d'annoncer que, suite à la candidature au sein de la Très Noble Assemblée des Pairs de France et en acceptation des avis de Nos conseillers Pairs de France, convaincue de leurs Mérites, Hauts Faits et Loyauté au service du Royaume de France, recevons ce jour au sein de la dicte Institution Royale :

    • Messire Aaron de Nagan, Vicomte d'Ivry , Seigneur d'Arches et de Germigny


    Que dés à présent, il se présente au Palais Royal ou lui sera remit les attributs de sa dignité nouvelle et qu'il serve à nouveau le Royaume de France sans faillir ni trembler, Nous dispensant ses conseils avisés et faisant honneur à ses coreligionnaires .


    Faict en l'enceinte du Palais Royal du Louvre le 21 Janvier1460.





Code:
[list]De Nous, Nebisa de Malemort, Reine de France .

Aux sujets de notre Royaume de France qui prendront connaissance de la présente déclaration.

Ce jour est jours de grâce et c'est pour Nous un bonheur sans borne  d'annoncer que, suite à la candidature au sein de la Très Noble Assemblée des Pairs de France et en acceptation des avis de Nos conseillers Pairs de France, convaincue de leurs Mérites, Hauts Faits et Loyauté au service du Royaume de France, recevons ce jour au sein de la dicte Institution Royale :

[list][*]Messire [b]Aaron[/b] de Nagan, Vicomte d'Ivry , Seigneur d'Arches et de Germigny[/list]

Que dés à présent, il se présente au Palais Royal ou lui sera remit les attributs de sa dignité nouvelle et qu'il serve à nouveau le Royaume de France sans faillir ni trembler, Nous dispensant ses conseils avisés et faisant honneur à ses coreligionnaires .


Faict en l'enceinte du Palais Royal du Louvre le 21 Janvier1460.

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i43.servimg.com/u/f43/09/03/10/49/neb_re10.png[/img][/list]

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Nebisa
    De Nous, Nebisa de Malemort, Reine de France .

    Aux sujets de notre Royaume de France qui prendront connaissance de la présente déclaration.

    Ce jour est jours de grâce et c'est pour Nous un bonheur sans borne d'annoncer que, suite à la candidature au sein de la Très Noble Assemblée des Pairs de France et en acceptation des avis de Nos conseillers Pairs de France, convaincue de leurs Mérites, Hauts Faits et Loyauté au service du Royaume de France, recevons ce jour au sein de la dicte Institution Royale :

    • Sa Grasce Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Duchesse d'Auxerre


    Que dés à présent, elle se présente au Palais Royal, avec sa garde qui patientera en compagnie de Sa Majesté durant les formalités administratives, ou lui sera remit les attributs de sa dignité nouvelle et qu'elle serve à nouveau le Royaume de France sans faillir ni trembler, Nous dispensant ses conseils avisés et faisant honneur à ses coreligionnaires .


    Faict en l'enceinte du Palais Royal du Louvre le 22 Janvier1460.





Code:
[list]De Nous, Nebisa de Malemort, Reine de France .

Aux sujets de notre Royaume de France qui prendront connaissance de la présente déclaration.

Ce jour est jours de grâce et c'est pour Nous un bonheur sans borne  d'annoncer que, suite à la candidature au sein de la Très Noble Assemblée des Pairs de France et en acceptation des avis de Nos conseillers Pairs de France, convaincue de leurs Mérites, Hauts Faits et Loyauté au service du Royaume de France, recevons ce jour au sein de la dicte Institution Royale :

[list][*]Sa Grasce [b]Ingeburge[/b] von Ahlefeldt-Oldenbourg, Duchesse d'Auxerre[/list]

Que dés à présent, elle se présente au Palais Royal, avec sa garde qui patientera en compagnie de Sa Majesté durant les formalités administratives, ou lui sera remit les attributs de sa dignité nouvelle et qu'elle serve à nouveau le Royaume de France sans faillir ni trembler, Nous dispensant ses conseils avisés et faisant honneur à ses coreligionnaires .


Faict en l'enceinte du Palais Royal du Louvre le 22 Janvier1460.

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i43.servimg.com/u/f43/09/03/10/49/neb_re10.png[/img][/list]

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Nebisa
    De Nous, Nebisa de Malemort, par la grasce du Très Haut et l'heur de Nos peuples, Reyne de France,


    Nous avons appris ce jour que l'armée du Vicomte Namaycush, la Memento Mori, a franchi la frontière séparant le Royaume de France du Grand Duché de Bretagne, en totale contradiction avec les clauses de la trêve existant entre la France et les peuples du Ponant, en totalement contradiction avec Nos ordres et volontés.

    A maintes reprises, Nous avons demandé au Vicomte de s'éloigner des frontières et même de quitter le sol du Domaine Royal.

    A maintes reprises Nous avons refusé d'écouter Nos conseillers et considéré le Vicomte comme homme d'honneur qui ne bafouerait pas les intérêts de la Couronne et les ordres de Sa Souveraine.


    Force est de constater, ce jour, que Nous Nous sommes trompée.

    C'est pourquoi, devant ce nouvel acte de forfaiture, qui sera le dernier par Nous admis, déclarons, ce jour, Namaycush traitre à la France.

    Nous laissons une chance aux membres de son armée d'éviter le même sort qui attend leur meneur en quittant la Memento Mori pour se rallier à la France sous 24 h..

    Nous ordonnons le retour immédiat de la dicte armée sur le sol de France, par là ou il en est sorti, sa dissolution et le départ de cette engeance du Domaine Royal, sans quoi Nous considérerons ces personnes comme ennemis déclarés de la Paix et de la France et ordonnerons qu'ils soient traités comme tels où que se portent leurs pas dans l'avenir.

    Par ailleurs, pour le cas où, demain, la Memento Mori ne serait pas sur le sol de France, Nous offrons au Grand Duché de Bretagne l'appui de Nos armées afin de défaire la menace puérile que fait porter sur elle le Vicomte .

    Officiellement et sans fards, Nous assurons au Grand Duché de Bretagne que la menace représentée par la Memento Mori est bien faible en comparaison de l'insulte faites à la Couronne par ce dernier. Ensemble, débarrassons nous de l'une comme de l'autre afin d'inaugurer, peut être, le premier acte d'une France et d'une Bretagne se découvrant cote à cote et plus face à face, montrant ainsi à ceux qui tirent profit de nos heurts respectifs pour se forger une importance qu'ils n'ont pas, que l'avenir de deux voisins que l'Histoire a connu séparés se peut écrire dans la coopération et le respect mutuel.






Code:
[list]De Nous, Nebisa de Malemort, par la grasce du Très Haut et l'heur de Nos peuples, Reyne de France,


Nous avons appris ce jour que l'armée du Vicomte Namaycush, la Memento Mori, a franchi la frontière séparant le Royaume de France du Grand Duché de Bretagne, en totale contradiction avec les clauses de la trêve existant entre la France et les peuples du Ponant, en totalement contradiction avec Nos ordres et volontés.

A maintes reprises, Nous avons demandé au Vicomte de s'éloigner des frontières et même de quitter le sol du Domaine Royal.

A maintes reprises Nous avons refusé d'écouter Nos conseillers et considéré le Vicomte comme homme d'honneur qui ne bafouerait pas les intérêts de la Couronne et les ordres de Sa Souveraine.


Force est de constater, ce jour, que Nous Nous sommes trompée.

C'est pourquoi, devant ce nouvel acte de forfaiture, qui sera le dernier par Nous admis, déclarons, ce jour, Namaycush traitre à la France.

Nous laissons une chance aux membres de son armée d'éviter le même sort qui attend leur meneur en quittant la Memento Mori pour se rallier à la France sous 24 h..

Nous ordonnons le retour immédiat de la dicte armée sur le sol de France, par là ou il en est sorti, sa dissolution et le départ de cette engeance du Domaine Royal, sans quoi Nous considérerons ces personnes comme ennemis déclarés de la Paix et de la France et ordonnerons qu'ils soient traités comme tels où que se portent leurs pas dans l'avenir.

Par ailleurs, pour le cas où, demain, la Memento Mori ne serait pas sur le sol de France, Nous offrons au Grand Duché de Bretagne l'appui de Nos armées afin de défaire la menace puérile que fait porter sur elle le Vicomte .

Officiellement et sans fards, Nous assurons au Grand Duché de Bretagne que la menace représentée par la Memento Mori est bien faible en comparaison de l'insulte faites à la Couronne par ce dernier. Ensemble, débarrassons nous de l'une comme de l'autre afin d'inaugurer, peut être, le premier acte d'une France et d'une Bretagne se découvrant cote à cote et plus face à face, montrant ainsi à ceux qui tirent profit de nos heurts respectifs pour se forger une importance qu'ils n'ont pas, que l'avenir de deux voisins que l'Histoire a connu séparés se peut écrire dans la coopération et le respect mutuel.


[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img][/list]

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Nebisa
    De Nous, Nebisa de Malemort,
    Reyne de France

    A nos sujets des Flandres,


    Encore une fois, Nous découvrons la malveillance et la corruption frappant au coeur l'une de Nos provinces.

    Ce matin, l'usurpateur du titre de Comte des Flandres a cru bon d'entériner la perte de son honneur. Il a montré au grand jour sa volonté d'éradiquer tout espoir pour les Flandres de tourner le dos à la lâcheté et à la corruption.

    En réponse à la déclaration fallacieuse qu'il a cru bon de publier, Nous, Nebisa de Malemort, Souveraine unique et incontestable, Souveraine portée au Trône de France par la volonté de ses peuples et selon les desseins du très Haut, déclarons le dit Ascalion dépourvu de la moindre légitimité au poste qu'il usurpe.

    Nous demandons à Nos sujets loyaux et inquiets du devenir de leur province de prendre les armes pour renverser sur le champ ce tyran oppresseur et restaurer à leur tête un légitime Comte, convaincu, et instruit de ses devoirs envers sa province et envers vous. Devoirs qui ne passent que par une seule route, celle qui conduit au Louvre.

    Tous ceux qui prendraient faits et causes pour le tyran Ascalion seront, tout comme il est de fait, déclarés traitres à la France et soumis au jugement inaliénable de leurs pairs.

    Nous accordons un délai de 48 heures au dit Ascalion pour quitter le siège qu'il usurpe et entache, en échange de quoi, nous lui épargnerons le jugement de la Haute Cour de Justice et la peine de mort que Nous voulons lui voir encourir.

    Passé ce délai, le traitre ne pourra échapper à Notre Justice, ni plus ceux qui l'auront assisté.

    Peuple des Flandres, entends Notre voix et prends les armes, protèges les tiens, tes valeurs et ton héritage de la déraison et de l'ignominie de ceux qui pensent qu'une province s’achète, qu'ils peuvent, avec leur fausse morale t'écraser et te réduire à rien.

    Peuple des Flandres, te voici face à ton destin et dans ce combat, tu ne seras pas seul.

    Faict de Notre main le 28éme jour de janvier 1460.







Code:

[list]De Nous, Nebisa de Malemort,
Reyne de France

A nos sujets des Flandres,


Encore une fois, Nous découvrons la malveillance et la corruption frappant au coeur l'une de Nos provinces.

Ce matin, l'usurpateur du titre de Comte des Flandres a cru bon d'entériner la perte de son honneur. Il a montré au grand jour sa volonté d'éradiquer tout espoir pour les Flandres de tourner le dos à la lâcheté et à la corruption.

En réponse à la déclaration fallacieuse qu'il a cru bon de publier, Nous, Nebisa de Malemort, Souveraine unique et incontestable, Souveraine portée au Trône de France par la volonté de ses peuples et selon les desseins du très Haut, déclarons le dit Ascalion dépourvu de la moindre légitimité au poste qu'il usurpe.

Nous demandons à Nos sujets loyaux et inquiets du devenir de leur province de prendre les armes pour renverser sur le champ ce tyran oppresseur et restaurer à leur tête un légitime Comte, convaincu, et instruit de ses devoirs envers sa province et envers vous. Devoirs qui ne passent que par une seule route, celle qui conduit au Louvre.

Tous ceux qui prendraient faits et causes pour le tyran Ascalion seront, tout comme il est de fait, déclarés traitres à la France et soumis au jugement inaliénable de leurs pairs.

Nous accordons un délai de 48 heures au dit Ascalion pour quitter le siège qu'il usurpe et entache, en échange de quoi, nous lui épargnerons le jugement de la Haute Cour de Justice et la peine de mort que Nous voulons lui voir encourir.

Passé ce délai, le traitre ne pourra échapper à Notre Justice, ni plus ceux qui l'auront assisté.

Peuple des Flandres, entends Notre voix et prends les armes, protèges les tiens, tes valeurs et ton héritage de la déraison et de l'ignominie de ceux qui pensent qu'une province s’achète, qu'ils peuvent, avec leur fausse morale t'écraser et te réduire à rien.

Peuple des Flandres, te voici face à ton destin et dans ce combat, tu ne seras pas seul.

Faict de Notre main le 28éme jour de janvier 1460.


[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img][/list]

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Nebisa
    A tous, présents et à venir, qui ces lignes liront ou se feront lire, salut et paix!


    A Notre demande, étant donné l'actuelle situation du Royaume de France et l'utilisation de plus en plus fréquente de certains termes, le Grand Chancelier, que Nous remercions ici infiniment a définit juridiquement une fois pour toute les statuts suivants :

    • Le statut de félon à la Couronne :

      Sera reconnu et déclaré coupable de félonie envers la Couronne de France toute personne vassale de cette Couronne rompant le serment de vassalité le liant à celle-ci, que ce soit en s'en prenant à ses biens, en violant son autorité, en allant à l'encontre de ses intérêts, ou encore en nuisant à son détenteur ainsi qu'à sa famille et à ses biens, que cela soit physiquement ou moralement.


    • Le statut de traître à la Couronne :

      Sera reconnu et déclaré coupable de traitrise envers la Couronne de France tout sujet du Royaume de France se plaçant en opposition de l'autorité royale dans ses actes, mais aussi tout sujet du Royaume de France s'en prenant aux biens de la Couronne, c'est à dire le Domaine Royal dans son entièreté.

      Rappelons que l'autorité royale est par définition représentée par la personne du Souverain, les Institutions et Officiers royaux, mais aussi les lois du Royaume de France.


    • Le statut d'ennemi de la Couronne :

      Sera reconnue et déclarée ennemie à la Couronne toute organisation ou personne - sujette ou étrangère au Royaume de France - portant atteinte, ou visant à le faire, aux intérêts et à l'intégrité du Royaume de France dans son ensemble, en ce compris son peuple.

      Aucun des trois statuts n'est soumis à une notion de temporalité et ne saurait être levé par une Autorité autre que Royale suite à une réelle, concrète et démontrée repentance.


    Toute personne frappé d'un des statuts infamant peut déposer demande de grace auprès de la Couronne et devra apporter la preuve du rachat de ses fautes.


    Rédigé et publié ce jour du 15 Février,
    Au Palais Royal du Louvres





Code:
[list]A tous, présents et à venir, qui ces lignes liront ou se feront lire, salut et paix!


A Notre demande, étant donné l'actuelle situation du Royaume de France et l'utilisation de plus en plus fréquente de certains termes, le Grand Chancelier, que Nous remercions ici infiniment a définit juridiquement une fois pour toute les statuts suivants :

[list][*]Le statut de félon à la Couronne :

Sera reconnu et déclaré coupable de félonie envers la Couronne de France toute personne vassale de cette Couronne rompant le serment de vassalité le liant à celle-ci, que ce soit en s'en prenant à ses biens, en violant son autorité, en allant à l'encontre de ses intérêts, ou encore en nuisant à son détenteur ainsi qu'à sa famille et à ses biens, que cela soit physiquement ou moralement.


[*]Le statut de traître à la Couronne :

Sera reconnu et déclaré coupable de traitrise envers la Couronne de France tout sujet du Royaume de France se plaçant en opposition de l'autorité royale dans ses actes, mais aussi tout sujet du Royaume de France s'en prenant aux biens de la Couronne, c'est à dire le Domaine Royal dans son entièreté.

Rappelons que l'autorité royale est par définition représentée par la personne du Souverain, les Institutions et Officiers royaux, mais aussi les lois du Royaume de France.


[*]Le statut d'ennemi de la Couronne :

Sera reconnue et déclarée ennemie à la Couronne toute organisation ou personne - sujette ou étrangère au Royaume de France - portant atteinte, ou visant à le faire, aux intérêts et à l'intégrité du Royaume de France dans son ensemble, en ce compris son peuple.

Aucun des trois statuts n'est soumis à une notion de temporalité et ne saurait être levé par une Autorité autre que Royale suite à une réelle, concrète et démontrée repentance.[/list]

Toute personne frappé d'un des statuts infamant peut déposer demande de grace auprès de la Couronne et devra apporter la preuve du rachat de ses fautes.


Rédigé et publié ce jour du 15 Février,
Au Palais Royal du Louvres

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/signa10.png[/img]

[img]http://i45.servimg.com/u/f45/15/55/47/19/neb_re10.png[/img][/list]

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Vonafred
Citation:













    Au peuple de France,
    A tous présents et ad venir,




    Salutations et Paix.

    Nous, Louis Vonafred Salmo Salar, désormais Roy de France par la grâce du Très-Haut et des hommes, nous adressons aujourd'hui à vous, peuple de France.


    Nos premiers mots iront à ceux qui furent nos adversaires.
    A vous, ennemis d'hier, nous tendons ce jour main fraternelle.
    Oeuvrons ensemble au bien et à la Grandeur de nostre bien aimé Royaume.
    A vous Français par le coeur, quelles que soient vos préventions, venez à nous et dans l'honneur.
    Renouons concorde et même foy en demain, au nom des valeurs qui jadis ont habité ce Royaume que nous cherissons tous.

    Tout comme le Très Haut est Un, le Royaume de France est un tout, unique, indivisible.
    Tout comme la pluie descend du ciel pour abreuver la terre, les provinces de France tirent essence et droits du Souverain qui les leur concède.
    Il n'est de richesse que d'hommes et rien n'est insurmontable aux hommes de bonne volonté.
    Pour obtenir la paix, point de miracles, il faut le vouloir, nous le voulons.
    Il est maintenant nécessaire que ceux qui ont combattu hier la veuillent aussi.

    Les urnes ont tranché, mais nous voulons croire que l'envie d'œuvrer pour le Royaume sera plus forte que l'amertume de la défaite.
    Tous ceux qui veulent donner leur temps et leur énergie à la France recevrons accueil favorable et chaleureux. L'élection est terminée, le temps n'est plus aux luttes d'influence mais à la concorde. Ceux qui ont sincèrement défendu pendant la campagne l'unité du Royaume saurons saisir cette occasion.
    Quant aux autres, que l'arrogance ne les aveugle pas. Qu'ils se retirent dans leurs possessions sans négliger leurs devoirs envers la Couronne, et se gardent bien de tenter de susciter la division dans un pays qui a besoin de paix pour se reconstruire.


    Français de toutes les provinces, nous en appelons à votre bonne volonté. Servir est pour nous un privilège que seules l'implication, la compétence et la loyauté peuvent justifier. Comme la pluie nourricière abreuve la terre parce que c'est dans sa nature, le souverain doit s'offrir à son peuple et à ses vassaux. Notre volonté est de fer, nos convictions inébranlables, notre Foy en vous incommensurable.


    Haut les coeurs, hardis Français, ensemble avec audace et passion.


    Que le Très Haut bénisse nostre Royaume.


    Rédigé et scellé en Paris, le vingt neuvième jour du troisième mois de l'an de Grasce mil quatre cent soixante













Code:
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[list][img]http://img259.imageshack.us/img259/3966/annonceroyale.png[/img] [/list]




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[b]Au peuple de France,
A tous présents et ad venir,[/b]



[size=18][color=darkred]S[/color][/size]alutations et Paix.

Nous, Louis Vonafred Salmo Salar, désormais Roy de France par la grâce du Très-Haut et des hommes, nous adressons aujourd'hui à vous, peuple de France.


Nos premiers mots iront à ceux qui furent nos adversaires.
A vous, ennemis d'hier, nous tendons ce jour main fraternelle.
Oeuvrons ensemble au bien et à la Grandeur de nostre bien aimé Royaume.
A vous Français par le coeur, quelles que soient vos préventions, venez à nous et dans l'honneur.
Renouons concorde et même foy en demain, au nom des valeurs qui jadis ont habité ce Royaume que nous cherissons tous.

Tout comme le Très Haut est Un, le Royaume de France est un tout, unique, indivisible.
Tout comme la pluie descend du ciel pour abreuver la terre, les provinces de France tirent essence et droits du Souverain qui les leur concède.
Il n'est de richesse que d'hommes et rien n'est insurmontable aux hommes de bonne volonté.
Pour obtenir la paix, point de miracles, il faut le vouloir, nous le voulons.
Il est maintenant nécessaire que ceux qui ont combattu hier la veuillent aussi.

Les urnes ont tranché, mais nous voulons croire que l'envie d'œuvrer pour le Royaume sera plus forte que l'amertume de la défaite.
Tous ceux qui veulent donner leur temps et leur énergie à la France recevrons accueil favorable et chaleureux. L'élection est terminée, le temps n'est plus aux luttes d'influence mais à la concorde. Ceux qui ont sincèrement défendu pendant la campagne l'unité du Royaume saurons saisir cette occasion.
Quant aux autres, que l'arrogance ne les aveugle pas. Qu'ils se retirent dans leurs possessions sans négliger leurs devoirs envers la Couronne, et se gardent bien de tenter de susciter la division dans un pays qui a besoin de paix pour se reconstruire.


Français de toutes les provinces, nous en appelons à votre bonne volonté. Servir est pour nous un privilège que seules l'implication, la compétence et la loyauté peuvent justifier. Comme la pluie nourricière abreuve la terre parce que c'est dans sa nature, le souverain doit s'offrir à son peuple et à ses vassaux. Notre volonté est de fer, nos convictions inébranlables, notre Foy en vous incommensurable.


Haut les coeurs, hardis Français, ensemble avec audace et passion.


Que le Très Haut bénisse nostre Royaume.


Rédigé et scellé en Paris, le vingt neuvième jour du troisième mois de l'an de Grasce mil quatre cent soixante[/i]

[img]http://nsa21.casimages.com/img/2012/03/26/120326023948775091.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceauroyalvert.png[/img]



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Vonafred
Citation:








    A tous présents et à venir, savoir faisons que nous levons par la présente la déclaration de traître à la Couronne de France du quatorze janvier mille quatre cent soixante ayant frappé et frappant Namaycush Salmo Salar, vicomte d'Aubusson, baron du Dorat, seigneur d'Agonac et de Saint-Anne et conséquemment, le libérons de toutes les restrictions et interdictions le contraignant jusque lors.

    Qu'il soit également su que nous tenons ledit Namaycush Salmo Salar pour loyal et animé par la volonté de voir se renforcer et rayonner la Couronne de France que le Très-Haut et les sujets du Royaume de France nous ont fait l'heur et l'honneur de nous confier, et que nous voulons et entendons qu'en tous actes, lieux et endroits, et par tous, il soit tenu comme tel.

    Subséquemment, la déclaration comme ennemis de la Couronne de France des membres de la compagnie Memento Mori et de ceux ayant suivi le susnommé Namaycush Salmo Salar lors des événements ayant conduit à la rédaction et à la proclamation de la susdite et désormais nulle et non avenue déclaration, est également levée.


    Car ainsi nous plaît.




    Rédigé et scellé en Paris, le vingt trentième jour du troisième mois de l'an de Grasce mil quatre cent soixante.








Code:
[quote]
[list][list][img]http://img259.imageshack.us/img259/3966/annonceroyale.png[/img][/list]






[i][b][size=18][color=darkred]A[/color][/size] tous présents et à venir, savoir faisons que nous levons par la présente la déclaration de traître à la Couronne de France du quatorze janvier mille quatre cent soixante ayant frappé et frappant Namaycush Salmo Salar, vicomte d'Aubusson, baron du Dorat, seigneur d'Agonac et de Saint-Anne et conséquemment, le libérons de toutes les restrictions et interdictions le contraignant jusque lors.

Qu'il soit également su que nous tenons ledit Namaycush Salmo Salar pour loyal et animé par la volonté de voir se renforcer et rayonner la Couronne de France que le Très-Haut et les sujets du Royaume de France nous ont fait l'heur et l'honneur de nous confier, et que nous voulons et entendons qu'en tous actes, lieux et endroits, et par tous, il soit tenu comme tel.

Subséquemment, la déclaration comme ennemis de la Couronne de France des membres de la compagnie Memento Mori et de ceux ayant suivi le susnommé Namaycush Salmo Salar lors des événements ayant conduit à la rédaction et à la proclamation de la susdite et désormais nulle et non avenue déclaration, est également levée.


Car ainsi nous plaît.




Rédigé et scellé en Paris, le vingt trentième jour du troisième mois de l'an de Grasce mil quatre cent soixante.[/b][/i]

[img]http://nsa21.casimages.com/img/2012/03/26/120326023948775091.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceauroyalvert.png[/img][/list]
  [/quote]

_________________
Vonafred
Citation:













    Aux dirigeants des provinces de France membres de la dite Alliance du Ponant,
    A tous présents et ad venir,




    Salutations et Paix.

    Nous avons clairement explicité dans nos déclarations et intentions notre indéfectible volonté à conclure paix durable avec l'ensemble
    des signataires de la dite Alliance du Ponant.

    Rencontre ayant été planifiée avec le Grand-duché de Bretagne en le Mont Saint-Michel, nous vous invitons, dirigeants des provinces
    françaises membres de la dite Alliance du Ponant, à la reprise des négociations en Rome dès demain.

    Il est temps de clore le sombre chapitre ensanglanté de notre histoire commune en scellant pacte sacré, dans l'honneur et la raison.



    Que le Très-Haut dans son infinie sagesse éclaire les hommes de bonne volonté.


    Rédigé et scellé à Paris, le cinquième jour du quatrième mois de l'an de grasce mil quatre cent soixante













Code:
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[list][img]http://img259.imageshack.us/img259/3966/annonceroyale.png[/img] [/list]




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[i]

[b]Aux dirigeants des provinces de France membres de la dite Alliance du Ponant,
A tous présents et ad venir,[/b]



[size=18][color=darkred]S[/color][/size]alutations et Paix.

Nous avons clairement explicité dans nos déclarations et intentions notre indéfectible volonté à conclure paix durable avec l'ensemble
des signataires de la dite Alliance du Ponant.

Rencontre ayant été planifiée avec le Grand-duché de Bretagne en le Mont Saint-Michel, nous vous invitons, dirigeants des provinces
françaises membres de la dite Alliance du Ponant, à la reprise des négociations en Rome dès demain.

Il est temps de clore le sombre chapitre ensanglanté de notre histoire commune en scellant pacte sacré, dans l'honneur et la raison.



Que le Très-Haut dans son infinie sagesse éclaire les hommes de bonne volonté.


Rédigé et scellé à Paris, le cinquième jour du quatrième mois de l'an de grasce mil quatre cent soixante[/i]

[img]http://nsa21.casimages.com/img/2012/03/26/120326023948775091.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceauroyalvert.png[/img]



[/list]

[/quote]

_________________
Vonafred
Citation:







    A la noblesse de France,
    a notre bon peuple de France,



    Salutations.



    Des troubles sont sur le point d'éclater à l'Est et menacent l'intégrité de nostre Royaume.

    Nous appelons tous les nobles et volontaires qui ne sont pas mobilisés par ailleur à rejoindre l’armée de Son Altesse Royale Namaycush Salmo Salar.

    L’armée de nostre frère, "Memento Mori" se regroupe pour l'heure en Mont de Marsan.
    Rejoignez là et prennez langue avec son Commandeur Kahhlan.
    Qu'il soit su que nous mâterons toute fronde illégitime toute sédition averée et conforterons de gré ou de force l’unité du Royaume.

    La levée de ban royale est longue et plutôt que de vous rappeler votre devoir, nous en appelons à votre volonté d’unité et de paix pour le Royaume de France.
    Au bout de vos épées, de nos épées, c’est ensemble que nous gagnerons la Paix du Royaume.
    S'il faut se battre pour l’acquérir, nous nous battrons.
    Nous comptons sur vous pour le faire à nos côtés.


    Que le Très Haut veille sur la terre de France et vous protège.

    Rédigé et scellé en Paris, au Palais du Louvre le vingt deuxième jour d'avril, an de grâce mil quatre cent soixante








Code:

[quote]
[list][img]http://img259.imageshack.us/img259/3966/annonceroyale.png[/img]





[b]A la noblesse de France,
a notre bon peuple de France,[/b]


[b]Salutations.[/b]


[i][b]
Des troubles sont sur le point d'éclater à l'Est et menacent l'intégrité de nostre Royaume.

Nous appelons tous les nobles et volontaires qui ne sont pas mobilisés par ailleur à rejoindre l’armée de Son Altesse Royale Namaycush Salmo Salar.

L’armée de nostre frère, "Memento Mori" se regroupe pour l'heure en Mont de Marsan.
Rejoignez là et prennez langue avec son Commandeur Kahhlan.
Qu'il soit su que nous mâterons toute fronde illégitime toute sédition averée et conforterons de gré ou de force l’unité du Royaume.

La levée de ban royale est longue et plutôt que de vous rappeler votre devoir, nous en appelons à votre volonté d’unité et de paix pour le Royaume de France.
Au bout de vos épées, de nos épées, c’est ensemble que nous gagnerons la Paix du Royaume.
S'il faut se battre pour l’acquérir, nous nous battrons.
Nous comptons sur vous pour le faire à nos côtés.


Que le Très Haut veille sur la terre de France et vous protège.

Rédigé et scellé en Paris, au Palais du Louvre le vingt deuxième jour d'avril, an de grâce mil quatre cent soixante[/b][/i]


[img]http://nsa21.casimages.com/img/2012/03/26/120326023948775091.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceauroyaljaune.png[/img][/list]
[/quote]

_________________
Vonafred
Citation:







    A nos fidèles vassaux,
    A notre bon peuple du Domaine Royal,




    Salutations et Royales amitiés.


    La Champagne est ravagée par des hordes de pillards depuis plusieurs jours. Ceux-ci s’en prennent aux mairies et ont pour but de s’emparer de Reims. Notre bon peuple souffre et nous nous porterons à son secours.
    Outre la dimension symbolique que représente notre bonne ville de Reims où nous fumes sacré Roy de France, il n’est pas envisageable que des pillards et des partisans d’une fronde fondée uniquement sur l’orgueil blessé d’un homme, menacent notre province de Champagne.

    Nos Ordres Royaux de Chevalerie ainsi que la Garde Royale prennent la direction de la Champagne afin de lui apporter son aide. Nos troupes, vaillantes et déterminées, seront dirigées par le Connétable de France, Julien Giffard, et nous appelons à rejoindre sa bannière.
    Nous vous enjoignons à aider vos frères et sœurs du Domaine Royal qui luttent désespérément contre l’infamie.
    Nous sommes conscients de l’effort que nous vous demandons alors que la guerre est toujours aux portes du Domaine Royal mais aider l’un des notres, la Champagne, c’est tous nous aider car c’est unis, en sécurité sur nos terres, que nous avancerons vers la Paix.


    Ad Majorem Francia Gloriam.


    Rédigé et scellé en Paris, au Palais du Louvre le vingt deuxième jour d'avril, an de grâce mil quatre cent soixante






Code:
[quote]
[list][img]http://img259.imageshack.us/img259/3966/annonceroyale.png[/img]





[b]A nos fidèles vassaux,
A notre bon peuple du Domaine Royal,[/b]



[i][b]Salutations et Royales amitiés.


La Champagne est ravagée par des hordes de pillards depuis plusieurs jours. Ceux-ci s’en prennent aux mairies et ont pour but de s’emparer de Reims. Notre bon peuple souffre et nous nous porterons à son secours.
Outre la dimension symbolique que représente notre bonne ville de Reims où nous fumes sacré Roy de France, il n’est pas envisageable que des pillards et des partisans d’une fronde fondée uniquement sur l’orgueil blessé d’un homme, menacent notre province de Champagne.

Nos Ordres Royaux de Chevalerie ainsi que la Garde Royale prennent la direction de la Champagne afin de lui apporter son aide. Nos troupes, vaillantes et déterminées, seront dirigées par le Connétable de France, Julien Giffard, et nous appelons à rejoindre sa bannière.
Nous vous enjoignons à aider vos frères et sœurs du Domaine Royal qui luttent désespérément contre l’infamie.
Nous sommes conscients de l’effort que nous vous demandons alors que la guerre est toujours aux portes du Domaine Royal mais aider l’un des notres, la Champagne, c’est tous nous aider car c’est unis, en sécurité sur nos terres, que nous avancerons vers la Paix.


Ad Majorem Francia Gloriam.


Rédigé et scellé en Paris, au Palais du Louvre le vingt deuxième jour d'avril, an de grâce mil quatre cent soixante[/b][/i]
[img]http://nsa21.casimages.com/img/2012/03/26/120326023948775091.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceauroyaljaune.png[/img][/list]
[/quote]

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Vonafred
Citation:







    Citation:
    Statuts de la Cour d’appel du Royaume de France


    Section 1 : Dispositions générales


    Art. 1.1 : De la nature et du régime juridique

      La Cour d’appel est une institution royale autonome siégeant à Paris à laquelle le Souverain de France délègue le rendu de la justice de seconde instance. Elle exerce ses fonctions en conformité avec les présents statuts, lesquels sont validés par la Chancellerie de France.

    Sous-section 1 : Des compétences et fonctions


    Art. 1.1.1 : De la révision des verdicts de première instance

      La Cour d’appel est compétente pour traiter toute interjection en appel d’un jugement rendu légitimement par les cours de justice des provinces du Royaume de France. Elle est tenue de juger en seconde instance les affaires qui lui sont dévolues.

      Elle peut modifier partiellement ou totalement les verdicts rendus en première instance, les confirmer, ou déclarer son incompétence à juger une affaire.

    Art. 1.1.2 : De la question préjudicielle

      La Cour d'appel peut être saisie par un procureur ou un juge provinciaux, par un régnant français, ou encore par un représentant juridique au nom d'un régnant, pour répondre à une question préjudicielle concernant l'interprétation de la Charte de bonne justice, l'usage et de la coutume judiciaires du Royaume de France, l'état du droit ou encore la peine adéquate à prononcer.
      La question se doit d'être aussi précise que possible et adressée par courrier au Président.

      Le Président filtre les demandes à sa discrétion.

    Sous-section 2 : Des sources du droit


    Art. 1.2.1 : Des codes usités en la Cour d’appel

      La Cour d’appel s’appuie en priorité sur les tables royales de la loi, le droit royal, l'usage et la coutume judiciaires du Royaume de France, et la Charte de bonne justice.

      La Cour d’appel s’appuie en second lieu sur les droits locaux en vigueur à l’époque des faits concernés par l'audience d'appel, dans la province où se sont déroulés lesdits faits.

    Section 2 : Des officiers de la Cour d’appel


    Art. 2.1 : De la composition de la Cour d’appel

      Les officiers de la Cour d’appel sont le Président, le Juge général, le Procureur général, les juges et les procureurs, qui forment le corps magistral de la Cour.

    Art. 2.2 : Du nombre d’officiers dans le corps magistral

      Le nombre de juges est laissé à l’appréciation du Juge général, le nombre de procureurs à celle du Procureur général. Ils doivent cependant recevoir l'aval du Président qui organise le recrutement.

    Art. 2.3 : Du serment

      Au terme de la période probatoire de trois mois consécutive à toute entrée en fonction au sein de la Cour d'appel, chaque officier doit prêter serment au Souverain, jurant de le servir fidèlement et d’œuvrer consciencieusement.

      L'officier, y compris en période probatoire, est soumis au devoir de silence sur ce qui se déroule dans l'enceinte de la Cour d'appel.

    Art. 2.4 : Des conditions nécessaires à la nomination d’un officier

      Les officiers de la Cour d’appel doivent être sujets du Royaume de France. Ils ne doivent pas avoir été condamnés pour les chefs d'accusation suivants : haute trahison, trahison, crime de sang, brigandage.

      Une expérience en matière juridique est préférable. Toutefois, l'acceptation d'une candidature sur simple base de la motivation est laissée à appréciation du Président.

    Art. 2.5 : Des ornements officiels

      Les juges et procureurs de la Cour d’appel disposent d’ornements officiels correspondant à la fonction qu'ils exercent. Ils ne peuvent être arborés par les officiers durant leur période probatoire.

      Ces ornements sont disponibles au registre des ornements officiels, lequel peut être consulté en la chapelle des Hérauts d’armes de France.

    Sous-section 1 : Des nominations et révocations des officiers du corps magistral et de leurs prérogatives


    Art. 2.1.1 : Du Président

      Le Président de la Cour d’appel est nommé par le Souverain de France parmi les officiers du corps magistral. Il ne peut être démis de ses fonctions que par le Monarque. Ce dernier peut toutefois déléguer son pouvoir de nomination et de révocation au Chancelier de France.

      Le Président est chargé de maintenir la cohésion des chambres de son office et la bonne marche de la Cour d'appel.

      Les officiers de la Cour d'appel sont nommés et révoqués par le Président, qui doit aviser le Chancelier de France de chacune des nominations et révocations, celui-ci ayant droit de veto.

    Art. 2.1.2 : Du Juge général

      Le Juge général est responsable du collège des juges auquel il appartient.

    Art. 2.1.3 : Du Procureur général

      Le Procureur général est responsable de la procure d'appel à laquelle il appartient.

    Art. 2.1.4 : Des juges

      Chacun d’eux a pour charge de veiller au bon déroulement des audiences qui lui sont confiées, d'en préparer les verdicts, et de débattre collégialement les verdicts des autres juges.

    Art. 2.1.5 : Des procureurs

      Chacun d'eux a pour charge de représenter la procure d'appel dans les audiences dont il a la charge, en interrogeant les intervenants et en proposant un réquisitoire final.

    Art. 2.1.6 : De la question du cumul

      Les postes d'officiers près la Cour d'Appel du Royaume de France ne sont pas compatibles avec :
      • les fonctions juridiques provinciales (procureur, juge ou représentant juridique)
      • le statut de régnant (Grand Feudataire, gouverneur, régent)
      • les charges de Roi d'Armes, Maréchal d'Armes et Héraut d'Armes de France.

      Tout officier manquant à cette règle et n'ayant pas demandé sa mise en retrait (confere l'article 2.1.7) s'il souhaite intégrer l'une des deux premières catégories peut être sanctionné par le Président de la Cour d'appel. Démission devra être remise en cas de volonté d'intégrer le Collège Héraldique de France.

    Art. 2.1.7 : De la mise en retrait

      Tout officier ayant besoin de temps pour ses activités en dehors de la Cour d'appel peut demander au Président d'être mis en retrait pour une durée maximale de trois mois. Durant cette période, l'officier en question se voit intégralement mis à l'écart de sa fonction.

    Art. 2.1.8 : Des conflits d’intérêt des officiers

      Un officier résidant ou possédant un lien de vassalité avec la province dans laquelle un verdict faisant l'objet d'une demande de révision a été prononcé ne peut donner son avis sur l’acceptation ou le refus du dossier d’interjection, ni prendre part à l'audience ou participer aux délibérations concernant le verdict.

      Il en est de même pour un officier qui ne se sent pas en mesure de faire abstraction des liens éventuels qu’il entretiendrait avec une personne mêlée à un procès dont la révision a été demandée. Le Président peut décider arbitrairement de retirer une affaire ou d'interdire à un officier de participer aux débats concernant un dossier s'il estime que l'objectivité dudit officier n'est pas totale.

    Section 3 : Fonctionnement et procédure de la Cour d’appel


    Sous-section 1 : Des interjections en appel


    Art. 3.1.1 : Des personnes à l’initiative d’une interjection en appel

      Seuls peuvent faire appel d’un jugement tenu en prime instance l’accusé, le plaignant, le procureur et le juge ayant traité le dossier, le régnant de la province, ou le représentant juridique de la province au nom du régnant. Le plaignant peut se faire représenter par un avocat dès le dépôt de son dossier.

    Art. 3.1.2 : Du dossier d’interjection d'appel

      Un dossier d’interjection d'appel ne peut être accepté que si le formulaire dit « de demande d’appel » est complet. Ce formulaire de demande d’appel, une fois complété par la personne à l’initiative de l’interjection en appel, doit être déposé en salle de dépôt des dossiers en appel.

      Le délai entre le rendu d'un verdict de première instance et le dépôt du dossier en appel est de quinze jours maximum. Au-delà, le dossier ne sera pas examiné par la procure. Dans des cas exceptionnels, et sur demande écrite et motivée, une dérogation peut être accordée par le Président de la Cour d'appel en vue de rallonger ce délai.

    Art. 3.1.3 : De l’acceptation et du refus des dossiers d’interjection d'appel

      Lorsqu’un dossier complet de demande de révision d’un procès est déposé en salle de dépôt des dossiers en appel, il est examiné par la procure d’appel. Le Procureur général et les procureurs donnent alors leur avis sur le bien-fondé de l’interjection. Leurs débats se tiennent à huis clos.

      L’avis de chacun des procureurs compte pour une voix. L’acceptation d’un dossier ne peut avoir lieu que si plus de la moitié des voix exprimées sont favorables à celle-ci. De même, le refus d’un dossier ne peut se faire que si plus de la moitié des voix exprimées sont favorables à celui-ci. En cas d’égalité lors du décompte, le Procureur général tranche.

      Le Président dispose du droit de demander le réexamen d’un dossier à la procure d’appel, après que celle-ci a rendu sa décision.

    Art. 3.1.4 : Des interjections suspensives

      Pour les dossiers incluant des peines d'inéligibilité et de bannissement, un délai de cinq jours doit suffire à la procure pour statuer sur l'acceptation ou non du dossier.

      En cas d'acceptation du dossier dans le délai imparti, la peine de bannissement ou d'inéligibilité est suspendue.

    Sous-section 2 : Du traitement d’un dossier


    Art. 3.2.1 : De la répartition des dossiers

      Le Président de la Cour d’appel désigne un juge et un procureur qui sont dès lors référents du dossier.

    Sous-section 3 : Du déroulement d’une audience


    Art. 3.3.1 : Des diverses phases de l’audience dite « classique »

      L’audience en appel suit une procédure précise, et doit comporter les phases suivantes : l’ouverture de l’audience, l’audition de la partie requérante, l’audition de la partie défenderesse, le plaidoyer du ou des avocat(s), le réquisitoire du procureur référent et la clôture de l’audience.

      La description détaillée des phases est disponible en salle d'audience, et peut être modifiée à tout moment par le Président de la Cour d'appel, qui doit prendre en considération l'avis de l'ensemble des officiers.

    Art. 3.3.2 : De la modification de la procédure classique en cours d’audience

      La procédure classique peut être modifiée en cours d’audience si le juge référent estime que cela est nécessaire. Le Président est chargé de vérifier d’éventuels abus dans la modification de la procédure en cours d'audience.

      Le juge référent peut décider l'audition de témoins supplémentaires. Le procureur en charge du dossier, la partie demanderesse et la partie défenderesse, peuvent demander l’audition de témoins supplémentaires, si le déroulement de l’audience en révèle l’intérêt. Le juge référent accepte ou non d'accéder à cette demande.

    Art. 3.3.3 : Des questions aux parties

      Chaque intervenant peut être interrogé, dans l'ordre de préséance suivant, par : le procureur en charge du dossier, le juge référent en complément au besoin, la partie requérante, la partie défenderesse. Ces questions ne peuvent être posées qu’avant le dernier réquisitoire du procureur en charge du dossier, et après que le juge référent en a donné l'autorisation.

    Art. 3.3.4 : Des interventions de chacun

      Hormis le procureur, nul ne peut prendre la parole sans l'autorisation du juge référent.

    Art. 3.3.5 : De la convocation des divers intervenants

      Le juge référent est tenu de contacter chaque personne citée à comparaître.

    Art. 3.3.6 : Des sanctions à l’encontre des intervenants

      Toute personne prenant la parole sans avoir reçu l’accord du juge référent pour ce faire, ou sans y avoir été invitée par ledit juge, peut recevoir un avertissement. Toute personne dont le comportement est jugé abusif par le juge référent peut recevoir un avertissement.

      Toute personne avertie deux fois par le juge référent peut se voir expulsée de la salle où se tient l'audience, pour toute la durée de celle-ci. Cette expulsion est prononcée par le juge référent qui doit en avoir informé le Président au préalable.

      Toute personne dont le comportement est injurieux peut se voir expulsée sans avertissement de la salle d’audience, pour toute la durée de celle-ci. Cette expulsion est prononcée par le juge référent qui doit en avoir informé le Président au préalable.

      Des sanctions autres que l’expulsion de la salle d’audience peuvent être prononcées dans le cadre d’un comportement ne respectant pas les règles de bienséance de la Cour d’appel. Elles sont laissées à la discrétion du Président.

      Toute personne se rendant coupable de parjure, mensonge ou diffamation durant une audience d'appel encourt un procès devant la Haute Cour de Justice.

    Art. 3.3.7 : De l’audience dite « accélérée »

      Dans certains cas laissés à l’appréciation du Président de la Cour d’appel, il est possible de traiter une affaire de façon « accélérée ». Les phases de l’audience classique peuvent alors être modifiées par le juge référent. Le Président doit veiller à ce qu’il n’y ait pas d’abus dans ces modifications.

    Sous-section 4 : Des verdicts


    Art. 3.4.1 : De la délibération entourant les verdicts

      Lorsqu’un juge référent a clôturé une audience d’appel, il doit proposer un verdict qui lui semble juste à ses confrères, appuyé sur les sources du droit de la Cour d'appel et tenant compte du réquisitoire du procureur référent.

      Le verdict est débattu à huis clos, jusqu'à ce qu’il satisfait, sur le plan de la forme et du fond, la majorité absolue des juges pouvant s'exprimer.

      Si cette majorité absolue n’est pas constituée et que la mésentente entre les juges perdure, le Juge général prend la décision qu'il estime la plus juste. La décision finale ne peut aller à l'encontre de la majorité absolue des juges.

    Art. 3.4.2 : De la publication des verdicts

      Le Juge général doit transmettre les verdicts au Président pour approbation, laquelle s’exprime par l’apposition du sceau de la Cour d’appel.

      Lorsque le verdict a été publié, le Président le transmet à la Chambre des exécutions, via le Grand audiencier.

    Art. 3.4.3 : De la source des verdicts et de l’appel au Roy

      Les verdicts de la Cour d’Appel sont rendus au nom du Souverain de France. Celui-ci peut par conséquent, sur demande motivée du Régnant du Royaume de France concerné par le verdict et dans un délai de quinze jours après leur publication, les réviser partiellement ou totalement.













Code:
[quote][list][list][img]http://img259.imageshack.us/img259/3966/annonceroyale.png[/img][/list]






[quote][size=24]Statuts de la Cour d’appel du Royaume de France[/size]


[size=18]Section 1 : Dispositions générales[/size]


[u]Art. 1.1[/u] : De la nature et du régime juridique
[list]
La Cour d’appel est une institution royale autonome siégeant à Paris à laquelle le Souverain de France délègue le rendu de la justice de seconde instance. Elle exerce ses fonctions en conformité avec les présents statuts, lesquels sont validés par la Chancellerie de France.[/list]
[b][i]Sous-section 1 : Des compétences et fonctions[/i][/b]


[u]Art. 1.1.1[/u] : De la révision des verdicts de première instance
[list]
La Cour d’appel est compétente pour traiter toute interjection en appel d’un jugement rendu légitimement par les cours de justice des provinces du Royaume de France. Elle est tenue de juger en seconde instance les affaires qui lui sont dévolues.

Elle peut modifier partiellement ou totalement les verdicts rendus en première instance, les confirmer, ou déclarer son incompétence à juger une affaire.[/list]
[u]Art. 1.1.2[/u] : De la question préjudicielle
[list]
La Cour d'appel peut être saisie par un procureur ou un juge provinciaux, par un régnant français, ou encore par un représentant juridique au nom d'un régnant, pour répondre à une question préjudicielle concernant l'interprétation de la Charte de bonne justice, l'usage et de la coutume judiciaires du Royaume de France, l'état du droit ou encore la peine adéquate à prononcer.
La question se doit d'être aussi précise que possible et adressée par courrier au Président.

Le Président filtre les demandes à sa discrétion.[/list]
[b][i]Sous-section 2 : Des sources du droit[/i][/b]


[u]Art. 1.2.1[/u] : Des codes usités en la Cour d’appel

[list]La Cour d’appel s’appuie en priorité sur les tables royales de la loi, le droit royal, l'usage et la coutume judiciaires du Royaume de France, et la Charte de bonne justice.

La Cour d’appel s’appuie en second lieu sur les droits locaux en vigueur à l’époque des faits concernés par l'audience d'appel, dans la province où se sont déroulés lesdits faits.[/list]
[size=18]Section 2 : Des officiers de la Cour d’appel[/size]


[u]Art. 2.1[/u] : De la composition de la Cour d’appel
[list]
Les officiers de la Cour d’appel sont le Président, le Juge général, le Procureur général, les juges et les procureurs, qui forment le corps magistral de la Cour.[/list]
[u]Art. 2.2[/u] : Du nombre d’officiers dans le corps magistral
[list]
Le nombre de juges est laissé à l’appréciation du Juge général, le nombre de procureurs à celle du Procureur général. Ils doivent cependant recevoir l'aval du Président qui organise le recrutement.[/list]
[u]Art. 2.3[/u] : Du serment
[list]
Au terme de la période probatoire de trois mois consécutive à toute entrée en fonction au sein de la Cour d'appel, chaque officier doit prêter serment au Souverain, jurant de le servir fidèlement et d’œuvrer consciencieusement.

L'officier, y compris en période probatoire, est soumis au devoir de silence sur ce qui se déroule dans l'enceinte de la Cour d'appel.[/list]
[u]Art. 2.4[/u] : Des conditions nécessaires à la nomination d’un officier

[list]Les officiers de la Cour d’appel doivent être sujets du Royaume de France. Ils ne doivent pas avoir été condamnés pour les chefs d'accusation suivants : haute trahison, trahison, crime de sang, brigandage.

Une expérience en matière juridique est préférable. Toutefois, l'acceptation d'une candidature sur simple base de la motivation est laissée à appréciation du Président.[/list]
[u]Art. 2.5[/u] : Des ornements officiels
[list]
Les juges et procureurs de la Cour d’appel disposent d’ornements officiels correspondant à la fonction qu'ils exercent. Ils ne peuvent être arborés par les officiers durant leur période probatoire.

Ces ornements sont disponibles au registre des ornements officiels, lequel peut être consulté en la chapelle des Hérauts d’armes de France.[/list]
[b][i]Sous-section 1 : Des nominations et révocations des officiers du corps magistral et de leurs prérogatives[/i][/b]


[u]Art. 2.1.1[/u] : Du Président
[list]
Le Président de la Cour d’appel est nommé par le Souverain de France parmi les officiers du corps magistral. Il ne peut être démis de ses fonctions que par le Monarque. Ce dernier peut toutefois déléguer son pouvoir de nomination et de révocation au Chancelier de France.

Le Président est chargé de maintenir la cohésion des chambres de son office et la bonne marche de la Cour d'appel.

Les officiers de la Cour d'appel sont nommés et révoqués par le Président, qui doit aviser le Chancelier de France de chacune des nominations et révocations, celui-ci ayant droit de veto.[/list]
[u]Art. 2.1.2[/u] : Du Juge général
[list]
Le Juge général est responsable du collège des juges auquel il appartient.[/list]
[u]Art. 2.1.3[/u] : Du Procureur général
[list]
Le Procureur général est responsable de la procure d'appel à laquelle il appartient.[/list]
[u]Art. 2.1.4[/u] : Des juges
[list]
Chacun d’eux a pour charge de veiller au bon déroulement des audiences qui lui sont confiées, d'en préparer les verdicts, et de débattre collégialement les verdicts des autres juges.[/list]
[u]Art. 2.1.5[/u] : Des procureurs
[list]
Chacun d'eux a pour charge de représenter la procure d'appel dans les audiences dont il a la charge, en interrogeant les intervenants et en proposant un réquisitoire final.[/list]
[u]Art. 2.1.6[/u] : De la question du cumul
[list]
Les postes d'officiers près la Cour d'Appel du Royaume de France ne sont pas compatibles avec :
[list][*] les fonctions juridiques provinciales (procureur, juge ou représentant juridique)
[*] le statut de régnant (Grand Feudataire, gouverneur, régent)
[*] les charges de Roi d'Armes, Maréchal d'Armes et Héraut d'Armes de France.[/list]
Tout officier manquant à cette règle et n'ayant pas demandé sa mise en retrait (confere l'article 2.1.7) s'il souhaite intégrer l'une des deux premières catégories peut être sanctionné par le Président de la Cour d'appel. Démission devra être remise en cas de volonté d'intégrer le Collège Héraldique de France.[/list]
[u]Art. 2.1.7[/u] : De la mise en retrait
[list]
Tout officier ayant besoin de temps pour ses activités en dehors de la Cour d'appel peut demander au Président d'être mis en retrait pour une durée maximale de trois mois. Durant cette période, l'officier en question se voit intégralement mis à l'écart de sa fonction.[/list]
[u]Art. 2.1.8[/u] : Des conflits d’intérêt des officiers
[list]
Un officier résidant ou possédant un lien de vassalité avec la province dans laquelle un verdict faisant l'objet d'une demande de révision a été prononcé ne peut donner son avis sur l’acceptation ou le refus du dossier d’interjection, ni prendre part à l'audience ou participer aux délibérations concernant le verdict.

Il en est de même pour un officier qui ne se sent pas en mesure de faire abstraction des liens éventuels qu’il entretiendrait avec une personne mêlée à un procès dont la révision a été demandée. Le Président peut décider arbitrairement de retirer une affaire ou d'interdire à un officier de participer aux débats concernant un dossier s'il estime que l'objectivité dudit officier n'est pas totale.[/list]
[size=18]Section 3 : Fonctionnement et procédure de la Cour d’appel[/size]


[b][i]Sous-section 1 : Des interjections en appel[/i][/b]


[u]Art. 3.1.1[/u] : Des personnes à l’initiative d’une interjection en appel
[list]
Seuls peuvent faire appel d’un jugement tenu en prime instance l’accusé, le plaignant, le procureur et le juge ayant traité le dossier, le régnant de la province, ou le représentant juridique de la province au nom du régnant. Le plaignant peut se faire représenter par un avocat dès le dépôt de son dossier.[/list]
[u]Art. 3.1.2[/u] : Du dossier d’interjection d'appel
[list]
Un dossier d’interjection d'appel ne peut être accepté que si le formulaire dit « de demande d’appel » est complet. Ce formulaire de demande d’appel, une fois complété par la personne à l’initiative de l’interjection en appel, doit être déposé en salle de dépôt des dossiers en appel.

Le délai entre le rendu d'un verdict de première instance et le dépôt du dossier en appel est de quinze jours maximum. Au-delà, le dossier ne sera pas examiné par la procure. Dans des cas exceptionnels, et sur demande écrite et motivée, une dérogation peut être accordée par le Président de la Cour d'appel en vue de rallonger ce délai.[/list]
[u]Art. 3.1.3[/u] : De l’acceptation et du refus des dossiers d’interjection d'appel
[list]
Lorsqu’un dossier complet de demande de révision d’un procès est déposé en salle de dépôt des dossiers en appel, il est examiné par la procure d’appel. Le Procureur général et les procureurs donnent alors leur avis sur le bien-fondé de l’interjection. Leurs débats se tiennent à huis clos.

L’avis de chacun des procureurs compte pour une voix. L’acceptation d’un dossier ne peut avoir lieu que si plus de la moitié des voix exprimées sont favorables à celle-ci. De même, le refus d’un dossier ne peut se faire que si plus de la moitié des voix exprimées sont favorables à celui-ci. En cas d’égalité lors du décompte, le Procureur général tranche.

Le Président dispose du droit de demander le réexamen d’un dossier à la procure d’appel, après que celle-ci a rendu sa décision.[/list]
[u]Art. 3.1.4[/u] : Des interjections suspensives
[list]
Pour les dossiers incluant des peines d'inéligibilité et de bannissement, un délai de cinq jours doit suffire à la procure pour statuer sur l'acceptation ou non du dossier.

En cas d'acceptation du dossier dans le délai imparti, la peine de bannissement ou d'inéligibilité est suspendue.[/list]
[b][i]Sous-section 2 : Du traitement d’un dossier[/i][/b]


[u]Art. 3.2.1[/u] : De la répartition des dossiers
[list]
Le Président de la Cour d’appel désigne un juge et un procureur qui sont dès lors référents du dossier. [/list]
[b][i]Sous-section 3 : Du déroulement d’une audience[/i][/b]


[u]Art. 3.3.1[/u] : Des diverses phases de l’audience dite « classique »
[list]
L’audience en appel suit une procédure précise, et doit comporter les phases suivantes : l’ouverture de l’audience, l’audition de la partie requérante, l’audition de la partie défenderesse, le plaidoyer du ou des avocat(s), le réquisitoire du procureur référent et la clôture de l’audience.

La description détaillée des phases est disponible en salle d'audience, et peut être modifiée à tout moment par le Président de la Cour d'appel, qui doit prendre en considération l'avis de l'ensemble des officiers. [/list]
[u]Art. 3.3.2[/u] : De la modification de la procédure classique en cours d’audience
[list]
La procédure classique peut être modifiée en cours d’audience si le juge référent estime que cela est nécessaire. Le Président est chargé de vérifier d’éventuels abus dans la modification de la procédure en cours d'audience.

Le juge référent peut décider l'audition de témoins supplémentaires. Le procureur en charge du dossier, la partie demanderesse et la partie défenderesse, peuvent demander l’audition de témoins supplémentaires, si le déroulement de l’audience en révèle l’intérêt. Le juge référent accepte ou non d'accéder à cette demande.[/list]
[u]Art. 3.3.3[/u] : Des questions aux parties
[list]
Chaque intervenant peut être interrogé, dans l'ordre de préséance suivant, par : le procureur en charge du dossier, le juge référent en complément au besoin, la partie requérante, la partie défenderesse. Ces questions ne peuvent être posées qu’avant le dernier réquisitoire du procureur en charge du dossier, et après que le juge référent en a donné l'autorisation.[/list]
[u]Art. 3.3.4[/u] : Des interventions de chacun
[list]
Hormis le procureur, nul ne peut prendre la parole sans l'autorisation du juge référent.[/list]
[u]Art. 3.3.5[/u] : De la convocation des divers intervenants
[list]
Le juge référent est tenu de contacter chaque personne citée à comparaître.[/list]
[u]Art. 3.3.6[/u] : Des sanctions à l’encontre des intervenants
[list]
Toute personne prenant la parole sans avoir reçu l’accord du juge référent pour ce faire, ou sans y avoir été invitée par ledit juge, peut recevoir un avertissement. Toute personne dont le comportement est jugé abusif par le juge référent peut recevoir un avertissement.

Toute personne avertie deux fois par le juge référent peut se voir expulsée de la salle où se tient l'audience, pour toute la durée de celle-ci. Cette expulsion est prononcée par le juge référent qui doit en avoir informé le Président au préalable.

Toute personne dont le comportement est injurieux peut se voir expulsée sans avertissement de la salle d’audience, pour toute la durée de celle-ci. Cette expulsion est prononcée par le juge référent qui doit en avoir informé le Président au préalable.

Des sanctions autres que l’expulsion de la salle d’audience peuvent être prononcées dans le cadre d’un comportement ne respectant pas les règles de bienséance de la Cour d’appel. Elles sont laissées à la discrétion du Président.

Toute personne se rendant coupable de parjure, mensonge ou diffamation durant une audience d'appel encourt un procès devant la Haute Cour de Justice.[/list]
[u]Art. 3.3.7[/u] : De l’audience dite « accélérée »
[list]
Dans certains cas laissés à l’appréciation du Président de la Cour d’appel, il est possible de traiter une affaire de façon « accélérée ». Les phases de l’audience classique peuvent alors être modifiées par le juge référent. Le Président doit veiller à ce qu’il n’y ait pas d’abus dans ces modifications.[/list]
[b][i]Sous-section 4 : Des verdicts[/i][/b]


[u]Art. 3.4.1[/u] : De la délibération entourant les verdicts
[list]
Lorsqu’un juge référent a clôturé une audience d’appel, il doit proposer un verdict qui lui semble juste à ses confrères, appuyé sur les sources du droit de la Cour d'appel et tenant compte du réquisitoire du procureur référent.

Le verdict est débattu à huis clos, jusqu'à ce qu’il satisfait, sur le plan de la forme et du fond, la majorité absolue des juges pouvant s'exprimer.

Si cette majorité absolue n’est pas constituée et que la mésentente entre les juges perdure, le Juge général prend la décision qu'il estime la plus juste. La décision finale ne peut aller à l'encontre de la majorité absolue des juges.[/list]
[u]Art. 3.4.2[/u] : De la publication des verdicts
[list]
Le Juge général doit transmettre les verdicts au Président pour approbation, laquelle s’exprime par l’apposition du sceau de la Cour d’appel.

Lorsque le verdict a été publié, le Président le transmet à la Chambre des exécutions, via le Grand audiencier.[/list]
[u]Art. 3.4.3[/u] : De la source des verdicts et de l’appel au Roy
[list]
Les verdicts de la Cour d’Appel sont rendus au nom du Souverain de France. Celui-ci peut par conséquent, sur demande motivée du Régnant du Royaume de France concerné par le verdict et dans un délai de quinze jours après leur publication, les réviser partiellement ou totalement.[/list][/quote]


[img]http://nsa21.casimages.com/img/2012/03/26/120326023948775091.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceauroyalvert.png[/img][/list][/quote]

_________________
Vonafred
Citation:






    A tous présents et à venir.


    Dans nostre indéfectible volonté d'une Justice juste et équitable, rappelons;
    Qu'en vertu l'article 221-10-3 des statuts de la Haute Cour de Justice :


    Citation:
    Art. 221-10-3 : De la plus haute instance judiciaire

    En qualité de plus haute instance judiciaire, les verdicts de la Haute Cour de Justice ne sont pas susceptibles d’appel. Seul le Roy de France peut réviser ou demander la révision d’un verdict de la Haute Cour de Justice.


    nous sommes susceptible de réviser tout verdict de la Haute Cour de Justice, si un Régnant de France estime que Justice n'a point été rendue.

    Nous avons décidé pour modalité de cette révision qu'icelle s'effectuerait avec le Grand Chancelier ainsi qu'un Pair de France et ce sur la seule demande motivée d'un Régnant, vassal de la Couronne de France, et concerné par le verdict de la Haute Cour de Justice, qui formulera demande de révision dans un délai de quinze jours après la publication du verdict de la Haute Cour de Justice.


    Rédigé et scellé à Paris, le vingt septième jour du quatrième mois de l'an de Grasce mil quatre cent soixante


















Code:
[quote][list][list][img]http://img259.imageshack.us/img259/3966/annonceroyale.png[/img][/list]





[b]A tous présents et à venir.[/b]


[i][b]Dans nostre indéfectible volonté d'une Justice juste et équitable, rappelons;
Qu'en vertu l'article 221-10-3 des statuts de la Haute Cour de Justice :[/b][/i]

[quote]Art. 221-10-3 : De la plus haute instance judiciaire

En qualité de plus haute instance judiciaire, les verdicts de la Haute Cour de Justice ne sont pas susceptibles d’appel. Seul le Roy de France peut réviser ou demander la révision d’un verdict de la Haute Cour de Justice.[/quote]

[i][b]nous sommes susceptible de réviser tout verdict de la Haute Cour de Justice, si un Régnant de France estime que Justice n'a point été rendue.

Nous avons décidé pour modalité de cette révision qu'icelle s'effectuerait avec le Grand Chancelier ainsi qu'un Pair de France et ce sur la seule demande motivée d'un Régnant, vassal de la Couronne de France, et concerné par le verdict de la Haute Cour de Justice, qui formulera demande de révision dans un délai de quinze jours après la publication du verdict de la Haute Cour de Justice.


Rédigé et scellé à Paris, le vingt septième jour du quatrième mois de l'an de Grasce mil quatre cent soixante[/b][/i]

[img]http://nsa21.casimages.com/img/2012/03/26/120326023948775091.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceauroyalvert.png[/img][/list][/quote]

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Vonafred
Citation:





    A tous présents et à venir.


    Attendu que les lois héraldiques royales stipulant que tout noble provenant d’un territoire n’étant pas régi par une hérauderie ou d'un territoire dont la hérauderie n'aurait aucun accord avec la Hérauderie de France ne peut prétendre à être reconnu comme tel que par nous;

    attendu que nul accord n'a été conclu entre la Couronne de France et le Brabant; et attendu que Paul Ooghe de Faucuwez a requis d'être reconnu aux titre et dignité de chevalier banneret de Fauquez, terres mouvant dudit Brabant et dont il jouit par héritage de son père, feu Romuald de Vaisneau, lui-même porteur dudit titre et de ladite dignité de son vivant et ainsi tenu par la Couronne de France;

    savoir faisons que nous avons reconnu et reconnaissons ledit Paul Ooghe de Faucuwez chevalier banneret de Fauquez et avons entendu et entendons qu'en tous actes, lieux et endroits, et par tous, il soit tenu comme tel et jouisse des prérogatives et droits nobiliaires propres aux nobles ainsi reconnus par les rois de France.


    Car ainsi nous plaît.

    Rédigé et scellé à Paris, le vingt septième jour du quatrième mois de l'an de Grasce mil quatre cent soixante







Code:
[quote][list][list][img]http://img259.imageshack.us/img259/3966/annonceroyale.png[/img][/list]




[b]A tous présents et à venir.[/b]


[i][b][size=18]A[/size]ttendu que les lois héraldiques royales stipulant que tout noble provenant d’un territoire n’étant pas régi par une hérauderie ou d'un territoire dont la hérauderie n'aurait aucun accord avec la Hérauderie de France ne peut prétendre à être reconnu comme tel que par nous;

attendu que nul accord n'a été conclu entre la Couronne de France et le Brabant; et attendu que Paul Ooghe de Faucuwez a requis d'être reconnu aux titre et dignité de chevalier banneret de Fauquez, terres mouvant dudit Brabant et dont il jouit par héritage de son père, feu Romuald de Vaisneau, lui-même porteur dudit titre et de ladite dignité de son vivant et ainsi tenu par la Couronne de France;

savoir faisons que nous avons reconnu et reconnaissons ledit Paul Ooghe de Faucuwez chevalier banneret de Fauquez et avons entendu et entendons qu'en tous actes, lieux et endroits, et par tous, il soit tenu comme tel et jouisse des prérogatives et droits nobiliaires propres aux nobles ainsi reconnus par les rois de France.


Car ainsi nous plaît.

Rédigé et scellé à Paris, le vingt septième jour du quatrième mois de l'an de Grasce mil quatre cent soixante[/b][/i]

[img]http://nsa21.casimages.com/img/2012/03/26/120326023948775091.png[/img]

[img]http://i800.photobucket.com/albums/yy288/SigillographieRR/Grands%20Offices%20Royaux/sceauroyalvert.png[/img][/list][/quote]

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