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[RP] Lorsque la GFA donne rendez vous au tout Paris

Sofja
Du loin de son Limousin, la Vicomtesse de Bellegarde n'aurait, pour rien au monde, manquer à ce défilé.
C'était tellement un plaisir d'admirer les belles tenues, les styles des couturiers et l'ambiance de la monde !!
Et en plus, la jeune Héloïse de l'atelier DTC lui avait demandé, enfin Linien lui avait demandé, puisque Eloise ne pouvait parler, d'être son mannequin pour cette occasion.
Bien évidement, elle avait accepté.

Habillée d'une belle robe des doigts d'or et plus particulièrement de Clarinha, Sofja arriva dans la Guilde.
Elle suivit les autres invités, cherchant du regard une personne qu'elle connaissait.

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Dotyy
Dotyy sourit aux dires et a l'attitude de la petite Aemilia. Elle serra la main de jake et fut rassurer de s'avoir que Léo serait la pour surveiller Marie-Catherine et s'occuper de Jake pendant son absence. Elle les s'avaient entre de bonne main.

Elle regarda s'éloigner Jake et Marie puis se tournant de nouveau vers Aemilia.


Aller on y va, je sais ou ca se trouve et nos robes sont déjà la bas. Je vais te coiffer et te mettre un peu de couleur sur le visage... Mais juste un peu.

Elle entraîna la fillette derrière l'estrade, dans les différentes salles, saluant les couturières déjà la et les mannequins. Elle entra dans la pièce qui leur etait réservé et décoré avec goûts.

On va d'abord, te barbouiller le visage et après on mettra la robe et après hors de question de faire la petite folle tant que tu n'auras pas défilé. Sinon je vais me fâcher très fort.

Elle fit un gros regard a Aemilia espérant que la demoiselle obéirai. Dotyy n'avait pas le temps de lui courir pares et encore moins la force. Le voyage avait etait fatiguant et sa blessure la faisait souffrir, elle n'avait rien dit à personne, elle aimait pas qu'on s'inquiète pour elle.. Il faudrait qu'elle se repose un peu avant que ca commence.

Je te laisse te débarbouiller comme il faut, je vais m'asseoir un peu sur le canapé et vérifier si tout est-la.
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Jenah
Jenah avait fait seule le trajet jusqu'à Paris, aujourd'hui et les quelques jours qui suivraient seraient dédiés à la mode. Couture et haute couture se mêleraient dans sun défilé de tissus tous plus beaux et riches les uns que les autres. La couturière, dont deux de ses tenues encore non dévoilées seront présentées dans la semaine, avait fait le déplacement pour quelques jours, louant sur place une chambre d'hotêl, loin de sa franche-comté, laissant au passage une bonne partie de son argent dans les mains de l'hôtelier... Que la vie pouvait être chère en cette capitale... heureusement son travail à l'atelier lui rapportait quelques écus.

La luxovienne alla saluer les autres couturières, des DOigts d'Or, son atelier, comme des autres ateliers, elle attendrait que la cérémonie commence.
Aemilia
Voilà de quoi rassurer la fillette... Elle suivit Dotyy à travers les méandres de l'hostel, se laissant guider, habiller, coiffer, peinturlurer... Elle avait sorti doudou drap pour se calmer, et son pouce avait retrouvé le chemin de sa bouche. Quelques instants plus tard, elle était prête. Calmée, elle alla s'admirer dans le miroir en bronze.

Wouuuuuuuuaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh comment c'est trop joli!

Battement de main, n'osant bouger davantage, de peur d'abîmer sa robe. Pour une fois qu'elle avait troqué ses guenilles contre de beaux tissus qu'elle admirait quotidiennement sans pouvoir se les offrir... Vivent les défilés!

Elle se tourna ensuite vers Dotyy...


A toi maintenant! 'crois que tu mets d'abord celle toute seule avec la moumoute, pis après quand le monsieur y sera là on mettra l'autre, t'es d'accord? D'ailleurs, tu sais quand c'est qu'y va venir le monsieur? C'est qui déjà? C'est un copain à toi 'crois?

Et la petite d'aller chercher les différentes pièces de la tenue pour aider la grande à s'habiller... Surveillant du coin de l'oeil la porte, au cas où son autre mannequin arriverait, ou si elle verrait passer Suzan ou des couturiers des autres ateliers.
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Elizabelle
Le voyage avait été désastreux... Elizabelle angoissant déjà à l'idée de présenter une robe au défilé, elle avait cédé à une crise de panique en arrivant à Paris, tant les lieux lui rappelaient de mauvais souvenirs. Il avait fallu stopper la voiture pour lui administrer une potion qui la rendit somnolente. Breval, réveillé par tout ce rafus avait décidé qu'il voulait l'attention de sa mère, mais cette dernière étant droguée, il avait fait entendre son mécontentement de manière bruyante... En contrepartie, Susy essaya de chanter pour le distraire, pas très juste malheureusement, si bien qu'à la fin, le pauvre cocher songea sérieusement à se pendre avec son fouet.

Ce fut avec un immense soulagement qu'il déposa tout le petit monde dans la cours de la Guilde, abandonnant femme, enfants, malles et cris sans remords. Après négociation, Susy obtint de faire monter les malles dans la salle réservées aux Minis des Doigts d'Or, jonglant avec le nourrisson dans ses bras qui hurlait toujours à pleins poumons, et sa maîtresse qui avait du mal à garder les yeux fixés sur quelque chose. C'était à en devenir fou.

Puis la camériste apperçut Selena, la blonde qui errait avant dans les couloirs du château des Castelnau de Montmiral, du temps où Angèle vivait encore... Elle traina donc la jeune noble derrière elle par la main en essayant de contenir le jeune Breval. Là, elle jeta un regard déséspéré à Selena.


Pourriez vous m'aider ? Mademoiselle Elizabelle n'est pas dans son assiette, et Monsieurs Breval s'inquiète pour sa mère...

Même si Susy soupsonnait le bébé de surtout réclamer le sein de sa mère plutôt que son attention... Quoi qu'on ne pouvait pas savoir avec lui...

Sire Enzo doit venir, il l'a promis. Et dame Axel n'est pas encore arrivée... Avec tout ce qu'il y a à préparer, je n'y arrive plus...
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Lexhor
[25 novembre 1459]

En ce jour sombre pour le duc, non en raison du climat actuel dans lequel était plongé le royaume, où il avait entamé son deuil après avoir enterré son épouse, il entama les préparatifs pour se rendre à Paris où il avait promis de défiler, il y a bien longtemps, pour présenter un modèle du Manoir des artistes.
Il va s'en dire que cette cérémonie ne le réjouissait guère. Défiler n'était pas quelque chose qui lui plaisait particulièrement et, devenu veuf, il avait mieux à penser que de se tenir droit et de défiler. Tout ceci lui semblait alors bien futile. D'autant qu'il avait dû quitter le champ de bataille et qu'il aurait voulu y retourner au plus vite.
Mais une promesse était une promesse et le héraut d'Orléans en profiterait pour faire un tour à la chapelle Saint-Antoine et passerait la nuit à l'hôtel Saint-Paul. Le manoir des artistes était son fournisseur officiel, ainsi que celui de sa maison et il se devait de témoigner de la qualité du travail de cet atelier. Et la tenue étant faite sur mesure, elle serait pour lui.

Seule l'idée de retrouver Paris le réjouissait. Paris, ville royale, capitale de la France, citée de sa majesté la reyne de France. L'atmosphère y était toujours particulière et les officiers royaux s'y côtoyaient très facilement.
Au moins, ici, il ne verrait que des personnes loyales et féales, attachées à la royauté et à ses institutions. Pas de propagande ponanteuse ou autres infamies du genre. Et il avait bien besoin d'une coupure dans ce moment pénible pour lui.


[26 novembre 1459]

Après une nuit passée dans le logement de fonction des hérauts d'armes royaux, Lexhor se rendit à l'adresse indiquée par le manoir, d'un pas tranquille et nonchalant. La plaque fixée à l'entrée de l'hôtel lui confirma qu'il était bien arrivé. Une vieille se tenait là. Le duc n'était pas d'humeur guillerette et, bien que n'étant pas forcément très à cheval sur le protocole, ne comptait pas saluer le premier.
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Marie.catherine
Après les présentations, Dotyy partie avec la petite fille pour la préparer.

- Au r'voir Dotyy !

Puis, se préparant à rejoindre la grande salle, Papa ajouta :


« Marie, tu me conduis à un siège prêt de l’estrade, je te prie ? »

- Voui Papa !

Obéissant toujours pour ce genre de demande, la friponne garda sa main dans celle de son père et l'amena vers une siège qui était le plus près possible de l'estrade. Et puis c'était bien pour elle aussi d'être tout prêt parce que comme ça elle pourra mieux voir les robes ! Pas facile d'être petite ! Souvent on voit rien !
Mais là, le défilé n'était pas encore commencé et ne commencerait sûrement pas avant que tout les mannequins soient arrivés et la blondinette commençait un peu à s'ennuyer à rien faire...Ainsi, elle ne resta pas longtemps assise près de son père et demanda :


- Dit Papa ze vais aller dire bonjour à une autre p'tite fille comme moi, d'accord ? Ze te laisse ma poupée, veux pas la perdre !

Sa poupée...C'est certain qu'elle n'allait pas la laisser à la maison. Surtout que maintenant elle ne se séparait plus d'elle. Mais là elle ne voulait pas la perdre dans sa visite des lieux et elle savait que son père allait la garder précieusement avec lui.
Et puis, elle pouvait bien partir à la découverte des lieux vu que Léonard était avec eux. Donc autant en profiter !
La blondinette laissa alors sa poupée dans les mains de son père et sans vraiment attendre de réponse elle lui fit un bisous sur la joue et s'éclipsa.
Courant dans la salle en direction de la fillette blonde qu'elle avait vu
(Aïna), Marie arriva près d'elle assez vite et la salua avec un grand sourire. Quelle joie aussi de voir des enfants parmi tout ces adultes ! C'est pas qu'elle n'aimait pas la compagnie de son père, au contraire elle adorait, mais elle aimait bien aussi parler à d'autres enfants.

- B'jour ! Moi c'est Marie-Catherine, z'ai 4 ans ! Et toi t'es qui ?!

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Aina_vikilord
Sa main au chaud dans celle de sa maman, elle la suivait comme son ombre sans perdre un détail de tout ce qu'elle voyait. De jolies dames, de jolies robes, des petites filles, des gens qui courent, et d'autres qui stressent sur place.
Des petites filles ? un sourire vint à ses lèvres, il y avait bien d'autres enfants dans les lieux, Aïna en était heureuse tout en continuant de suivre sa mère.

Elle vu aussi Susie qui accompagnait sa cousine Elizabelle et son petit cousin Breval qui hurlait à tout va. Elle lui caressa le pied, du haut de sa petite taille elle ne pouvait pas aller bien haut, pendant que sa mère parlait à la camériste.

Quelques instants après une autre blondinette aperçut un peu plus tôt ce présenta devant elle et machinalement Aïna tira la main de sa mère pour lui faire savoir qu'une petite fille leur parlait.


Bujou, moi je m'appelle Aïna et z'ai 5 ans, et ma maman c'est Selena.


Elle regarda autour de Marie-Catherine, mais apparemment elle ce promenait seule dans les lieux, elle en avait de la chance. Aïna connaissait rien à ce milieu c'était la première fois qu'elle y venait.

Tu es venue avec qui toi ? Et puis tu te pomènes toute seule ?
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Pandorha
Hôtel de la rue des Agréministes c'était là-bas que devait se rendre la Dame. Paris...Pandorha n'y avait pas mis les pieds depuis longtemps, cela lui manquait, mais elle devait remplir ses devoirs. Heureusement pour elle, elle avait des amis en Orléans, elle avait pu traverser le duché sans risque pour atteindre Paris. A cheval, faisant halte pour ses besoins, elle était enfin arrivée. La capuche de sa longue cape recouvrait ses cheveux, la protégeant du froid et des regards indiscrets. La belle appréciait énormément le travail du Manoir et aujourd'hui, elle pouvait de nouveau rendre service en défilant.



Dans l'Hôtel, elle prit une chambre pour elle, ayant congédier les quelques hommes qui l'avaient accompagnée, leur donnant rendez-vous de nouveau après le défiler pour le voyage de retour. Pandorha demanda également à ce qu'on prévienne le Manoir de son arrivée sur place. Une fois dans sa chambre, elle s'étala de tout son long sur le lit en poussant un grand soupire...les souvenirs remontaient à la surface, le temps où elle était Dame de la Chambre du Roy, commençant sous le règne de Levan puis enchaînant sous celui de Beatrice, Pandorha avait remis sa démission parce qu'elle ne pouvait plus faire des voyages partout et elle avait dû faire un choix, son rôle de diaconesse demandait de l'application, la Dame avait donc privilégié son rôle au sein de l'église plutôt que son rôle au sein de la Chambre.

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Angello
[Devant l'hôtel de la GFA]

Angello arriva devant cette grande bâtisse que lui avait décrit Dotty ,il était épuisé ,le voyage avait été long et dangereux avec toutes ces armées qu'il y avait partout .
Mais le blondinet n'aurait manqué cette évènement pour rien au monde .
Il admira d'abord le bâtiment puis la rue ... si animé , tout ces gens qui arrivaient en masse ,ces belles calèches , les belles dames de Paris avec leurs belles robes et les messieurs qui les accompagnés avec leurs belles tenues.
Angello n'était pas insensible a tout ça , lui , le petit tisserand de Bergerac ,lui pour qui le métier était une véritable passion ...

Il gravit les marches de l'hôtel de la guilde et s'avança dans la salle des défilés , les lumières brillaient de partout ,les peintures étaient de vraies trésors ,les toiles et tapisseries qui ornées les mures et les plafonds étaient plus belles les unes que les autres .

Le jeune homme saluait quelques personnes poliment puis se dirigea dans un coin un peu a l'écart et attendit que le défilé commence .

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Suzan
[ Touraine, avant le départ. ]

Les derniers préparatifs avaient été achevés la veille, et l'angloise n'avait plus qu'à déposer ses affaires dans la charrette du marchand ambulant. Ce dernier avait accepté de mener Suzan à Paris où il se rendait pour y vendre ses tissus. La jeune femme lui avait fait comprendre dans son françois approximatif qu'un défilé de haute couture aurait lieu, et qu'avec un peu de chance, il pourrait écouler sa marchandise pour les femmes du peuple qui se presseraient aux alentours de la rue des Agréministes.

Le voyage fut sans grand intérêt pour être conté, aussi, la narratrice que je suis vous épargne les détails insipides.



[ Paris, rue des Agréministes. ]

S'aidant de sa canne pour se rendre jusqu'à l'hostel de la Guilde des Fines Aiguilles, l'angloise observait soucieuse les passants. Elle n'avait guère quitté Tours depuis ses mésaventures, et l'idée d'être exposée à la vue de tous la terrifiait. Enfin elle ne défilerait pas, fort heureusement.

Une fois à l'intérieur, elle chercha des yeux la jeune Aemillia qui devait déjà être présente, ainsi que Dotyy.
Elle s'aventura d'un pas peu assuré dans l'hostel, laissant résonner sa canne dans les couloirs.

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--La.vieille.du.manoir



Toujours à l'accueil, la vieille souriait aux gens qui arrivaient, orientant les artistes et les mannequins vers les salles d'habillage, et les invités vers les sièges qui avaient été préparés à leur intention.

Elle avait beau ne pas connaître les titres, à la démarche de ces derniers et leurs tenues, elle savait à peu près comment se comporter avec chacun. Par ici une robe d'un des ateliers, par ici une démarche noble, ou encore un visage connu.

Un personnage un peu spécial arriva enfin à la grille. Un homme, sombrement habillé, le regard grave... Elle le reconnut assez aisément depuis qu'il traînait régulièrement à l'atelier. Et Dotyy lui avait parlé de ce fameux parchemin, annonce d'une triste nouvelle... Alors, malgré son vieil âge, elle le révérença d'un petit pliage de jambe car son corps ne lui permettait pas davantage...


Mes condoléances vostre grasce... Merci à vous d'être venu malgré les circonstances. Vous êtes grandement attendu par la jeune Aemilia, à l'étage de l'hostel. Je vous laisse monter jusqu'au premier, vous devriez la trouver aisément si ce n'est pas elle qui vous trouve.

Et laissant l'homme monter, la vieille souffla un bon coup. S'en était-elle à peu près sortie, connaissant le caractère de Lexhor...

Elle continuait d'accueillir les invités venant de tous horizons. Malgré cette guerre qui commençait à s'essouffler, ce défilé marquerait décidément de sa création une belle page de paix et d'acceptation des autres en ces temps difficiles... Voisins ennemis, félons et féaux, malgré leurs différents, se retrouveraient pour une fois pour une chose qu'ils avaient en commun: l'amour de l'art. Et pas n'importe quel art... La mode... Celle qui ne se démode jamais.

Il fallait maintenant croiser les doigts pour que les caractères explosifs ne sortent pas de leurs gonds jusqu'à la fin de l'événement.

La vieille se reconcentra sur les autres arrivées, sourire aux lèvres, et petit mot agréable pour chacun.
--Linien.


C'était le grand jour du défilé de la nouvelle-née "Guilde des Fines Aiguilles". Douceurs Toiles et Coutures, malgré sa petite taille comparés aux autres ateliers membres de la Guilde, s'était retrouvée parti prenante de l'évènement. Le couturier était arrivé parmi les premiers, étant de ceux dont les mannequins défileront pour l'ouverture du défilé. Il était assez satisfait de cela, puisque les premières tenues donneront le ton de la suite.

Le couturier aperçut la Vicomtesse Sofja Jagellon qui semblait un peu perdu. Elle allait défiler pour Héloïse, l'apprentie muette du couturier, ainsi alla-t-il l'accueillir.


Vicomtesse le bonjour, Héloïse ne devrait plus tarder à arriver pour vous préparer. Je vous invite à patienter, et à profiter de l'aubaine d'être dans les coulisses d'un tel évènement !

Il était vrai que l'effervescence était à son comble, les premiers mannequins arrivant, chaque couturière préparant ses tenues. Le couturier, lui, guettait l'arrivée de son couple de mannequins.

Dotyy
Dotyy ne pouvait s'empêcher de sourire en voyant Aemilia, exister comme pas deux. Elle ne lui laissait pas deux minutes de répit, trouvant toujours quelques choses de nouveau faire. Dotyy réussit et pas sans mal a l'habiller, la coiffer et la pomponner un peu. Elle avait réussit à rester sage assez longtemps. Un vrais miracle vu son agitation d'avant.

Oui tu es magnifique ma chérie la dedans, tu vas avoir beaucoup de succès.

Elle lui sourit avec tendresse quand la petite se tourna vers elle. Aemilia ouvrit la bouche et l'inonda de nouveau de question. Oui ma chérie, je vais m'habiller, me coiffer et arranger un peu mon visage qui doit faire peur.


Oui c'est la robe avec la moumoute mais après je dois aussi porter la robe de Keyan et après je porte l'autre avec le messieur comme tu dis. Oui je le connais c'est le duc Lexhor, je fais partie de sa garde personnelle mais je t'en parlerais un autre jour. Surtout soit gentille avec lui. Il vient de perdre son épouse.


Dotyy caressa les cheveux bien coiffer d'Aemilia et alla passer sa robe.

Ma chérie ta robe est magnifique vraiment, elle me va parfaitement. Je suis très fière de la porter.

Dotyy s'assit ensuite devant la grande glace et se coiffa, puis essaya de rattraper les dégâts sur son visage.

Quand tout fut fini, elle se leva.

Je crois que nous allons regarder dans les couloirs voir si notre Suzan est arrivée, elle doit être perdue la pauvre. Elle prit Aemilia doucement par la main et s'engouffra dans les couloirs. Elle sourit quand elle aperçut Suzan complètement perdu.


SUZANNNNNNNNNNN

Nous sommes-la.


Elle lui sourit et lui colla un énorme bisou sur la joue évitant de serrer son amie dans ses bras pour ne pas abîmer sa robe. Elle allait conduire Suzan a leur salle quand elle aperçut Lex.

Elle entraîna alors les deux couturières avec elle et alla le saluer.


Bonjour Lex, je suis heureuse de vous voir. Nous allions rejoindre notre salle. Je serais ravie de vous y conduire avec Aemilia, qui a fait votre tenue et Suzan. Vous pourrez vous changer sans soucis. Nous parlerons des détails plus tard si vous voulez.

Elle lui sourit, comprenant très bien sa peine et les conduisis tous dans la salle attitrée pour le manoir.
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Marie.catherine
Marie continuait de sourire, contente de faire connaissance avec une fille qui avait presque le même âge qu'elle.
Elle ajouta un "bonjour" à la mère qui s'appelait Selena et répondit :


- Moi suis venue avec mon Papa et on accompagne Dotyy.

Aïna était aussi étonnée de voir que Marie se promenait toute seule. C'est vrai aussi qu'elle avait de la chance, mais elle était tout de même surveillée et elle ne pouvait pas faire de bêtise sinon elle allait se faire gronder.

- Voui mon Papa me surveille de loin, il a dit que j'avais le droit d'aller voir les autres enfants à condition que je sois sage et que ze fasse pas de bêtises.

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