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[RP] Lorsque la GFA donne rendez vous au tout Paris

Dotyy
Dotyy avait fait vite pour changer de robe, se coiffer et changer de maquillage. Une vrai course qui l'avait bien fait sourire. Elle se regarda devant la glace une dernière fois, réajusta la robe comme il fallait et rejoignit les autres mannequins. Elle eut à peine de temps de dire deux mots que Victory présenter déjà ca robe.

Dotyy respira à fond et expira doucement. Et voila c'etait repartis pour une autre fois. Elle avait toujours autant la peur au ventre mais cela passerais une fois lancer. le plus dure etait de faire le premier pas et surtout de ne pas trébucher.

La robe etait une pure merveille a porter, elle aimait la coupe, les différents tissus et la couleur. elle chercha Aemilia mais ne la vit pas. la petite devait être planquée dans un coin la surveillant.

Elle se lança enfin et fit le premier pas et arriva en pleine lumière. Elle avança doucement, toujours aussi souriante, faisant des pauses adéquates, tourna sur elle-même pour faire admirer la création par tous et toutes. Elle ne put s'empêcher à chaque fois de chercher l'ombre des yeux espérant que celle-ci s'avance dans la lumière pour qu'elle puisse le voir.

Arrivait au bout, elle fit un clin d'œil a Marie-Catherine et resta quelques instant a garder la pause, son regard bleu ne quittant pas la silhouette cachée dans l'ombre. Puis elle tourna sur elle-même et repartis en sens inverse le sourire aux lèvres. Heureuse d'être la et de porter une tenue d'Aemilia.




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Snoop71
Une nouvelle série de robe, autre style, plus coloré, de très jolies matières qui se présentait sous les regards des spectateurs jusqu à l'arriver très sobre, très classe du dernier modèle.

Se pas léger lui fit naitre un sourire, Snoop essaya de se concentrer sur la robe tentant de voir les motif qui semblait apparaitre, mais la distance et le regard troublant du modèle l'empêchait de voir la finesse du tissus.

Déjà elle repartait, Snoop se concentrait sur sa coiffe, il n'avait jamais aimé que ses cheveux soit emprisonné sous un filet et aurait voulu arraché pour libérer sa chevelure soyeuse.

Elle lui tournait maintenant le dos, pour rejoindre les coulisses, snoop en profitat pour s'avancer, il aurait voulu la rejoindre, mais ne pouvais pas juste s'avancer pour la voir plus longtemps, lui voler quelques seconde encore de ce temps si précieux
jake
Jake avait demandé à sa sœur de lui retirer le bandage de ses yeux, libérant ses azurs voilé. Cela le soulageait un peu, parfois le bandage était trop serré, et le lin chatouillait ses pommettes ou ses sourcils. Et tandis que le défilé continuait, il tentait d’imaginer les robes décrites par la dame. Certaines étaient d’une splendeur dans son imagination. D’ailleurs c’était au tour de son amie rousse de défiler sur l’estrade.

Elle devait être belle dans cette robe en laine bleue. La laine devait lui tenir chaud et au touché cela devait être doux. Avec les galons de satin carmin, un autre tissu noble et lisse au touché. Cet atour devait être magnifique et devait bien souligné la silhouette de son amie. Beaucoup d’hommes devaient la regarder. Quoique … il devait y avoir peu d’hommes pour s’intéresser aux robes que portaient les femmes. Jake oui, il aimait voir ces robes porté sur les femmes. Les rubis du collier devaient mettre en valeur son cou, ornant avec harmonie sa peau laiteuse.

Sourire aux lèvres, la friponne était enjouée et surprise de voir défiler Dotyy. Cette artiste aux admirables talents était un don du ciel, et Jake était heureux qu’elle ait accepté d’être son infirmière. Elle avait ramené le sourire dans la famille, elle qui était toujours aussi joyeuse croquant la vie à pleine dent. Et là voilà qui reparti dans les coulisses pour laisser la place à une autre mannequin.


« Oui Marie, c’est Dotyy … et elle va revenir avec une autre robe, tu vas voir. »

Et le défilé pouvait continuer avec une autre dame de sa connaissance, une étudiante à l’Hôtel-Dieu, la vicomtesse Caerellyn de Carpadent qui portait une magnifique robe rouge, parsemées d’or. Une dame d’une élégance et d’une prestance rare. La robe tout comme la porteuse devait être magnifique, lui rappelant les vêtements qu’il portait le jour de la cérémonie d’intronisation pour devenir Comte du Poitou. Et le ballet continuait sur l’estrade à défiler encore.

Et puis, une douleur fulgurante vient saisir sa tête. Il serra les dents pour ne rien montrer, ni à sa fille, ni à sa sœur. Une migraine le prenait tout à coup sans raison apparente, et le bruit des applaudissements qui martelait sa tête. Il ferma les yeux, baissant la tête, agrippant ses mains fermement à la poupée. Les picotements surgissent alors aux yeux, versant quelques larmes. Et alors qu’il ouvrit un instant les yeux, il eut l’impression de voir de la lumière comme s’il était au fond d’un tunnel. Une lueur lointaine qui dansait, et puis il vit quelque chose de flou, une ombre qui défilait sur l’estrade, comme une forme éthéré et efféminée. Jake cligna des yeux alors qu’il entendit la dame décrire les atours que Dotyy portait. Il profitait de chaque instant que lui offrait sa vue pour l’admirer. Instinctivement, il dit
« Je vois … je vois Dotyy … »

Et puis, il se frotta les yeux lâchant maladroitement la poupée Anabelle qu'il enserra de ses jambes d’un réflexe avant qu’elle ne tombe au sol. Et puis le noir revient mais avec toujours cette lueur blanche au loin.

« Non, non ! … » dit-il frustré.

Mais cette lueur était un signe d’espoir, l’espoir qu’il pourrait revoir un jour … Il était ému, le sourire aux lèvres. Surtout ne pas changer le traitement, non ! Il fonctionnait bien. Il faudrait juste du temps et de la patience pour revoir un jour.

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Aimelina
Germain, ce héraut ! Oups. Heu. Ce héros ! (C'est qu'avec son ascendance, on comprend le lapsus...)
Il suffit d'invoquer l'âme d'un grand roi, il suffit de libérer la cinquante-deuxième radasse, et ça redevient drôle - et efficace ! Les deux femmes voilées s'étaient à nouveau tues, et Linèta reportait son attention sur le défilé. Elle trouva que la coiffe de l'Alquines lui donnaient un air tout à fait étrange, cette disparition du front sous la coiffe, et d'autres détails, donnaient l'impression que le si radieux visage de l'Artésienne était oppressé par le haut ! Aimelina pinça les lèvres ; jamais elle ne porterait telle coiffe, elle préférait très largement son haut chignon allongeant sa tête, et sa magnifique plume de paon, cadeau de son tendre Germain !

Et puis... Elle se mit à hurler, avec toute l'hystérie d'une fashion-victim, au moment de voir défiler une ami :


-"Yolandaaaaaaaa ! Tu es très belle !" hurla-t-elle de son siège. Oui, on n'a pas peur du ridicule, quand on porte une plume de paon en haut du chignon. Puis au bel et blond de Germain :

-"C'est Yolanda de Josselinière, une si bonne amie ! Elle est la filleule de la bien regrettée Béatrice de Castelmaure, et son frère va bientôt épouser la Marquise de Nemours, que nous avons vue tout à l'heure !"

Et l'on blablatte, et l'on blablatte... Jusqu'à ce qu'un Linien prononçât une prière. Écoute attentive, on s'efforce de reprendre en chœur, si la mémoire ne faillit point :

-"Saint Louis, nous te rendons grâce,
Toi qui incarna la sagesse, la droiture,
Guide-nous sur la chemin parsemé d’embûches de l’intégrité,
Que nous soyons capables d'aimer la Justice comme tu l'as créée,
Que nous soyons respectueux de la parole donnée et du paratge,

Protège le Royaume de France de la laideur et des béotiens
Protège les Arts et Artisanats qui font la réputation des Ateliers de France.
Protège également l'âme de feu sa Majesté Beatritz de Castelmauri,
Qui savait aimer la mode et ses couturières.

Amen."


Elle ne resta pas silencieuse longtemps après cela...

-"Tu as entendu, rossinhòl ? On invoque Saint Louis, qui est patron du Languedoc et y fit tant de bien ! Et Linien a inventé cette prière et pourtant... Il y parle de couturières, uniquement de couturières, et point... point de couturier !"

Il y avait de la malice dans ses paroles, et déjà son esprit était ailleurs. La tenue suivante passa sous ses yeux sans y rien éveiller ; insipide. Et puis...

-"Macarèl, rossinhòl ! Cette robe là, d'Estrella ! Il me la faut, tu me l'achèteras, mon bel ?"
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--Clarinha


[Coulisses]

Tous mes maigres efforts pour apprendre le français s'évanouissaient dans l'effervescence. Dans ces circonstances, le naturel revenait au galop, et l'on perdait ses moyens. Dans ce malheur, j'avais la chance de ne perdre que mes moyens linguistiques, non mes talents d'habilleuse. Linien m'aida au demeurant à rassurer et vêtir la jeune Josselinière, et je me confondis dans un mutisme quasi pathologique. Habiller, coiffer, la regarder s'avancer, disparaitre du coté de la scène... Son passage dura plus longtemps que prévu, mais on pouvait l'attribuer à son claudiquement, à la nécessité d'ôter cape puis veste... je n'avais pas le temps de regarder. Il fallait vêtir la Marquise de Nemours pour son prochain passage, et c'était une toute autre paire de manches que le premier.

-"Senhora Clémence, a segunda tem ouma particoulière chouse... Ça faut enfiler a chainche depoich oum faux ventre de laine... Eu fis-lhe par que a senhora não tem oum gros ventre ou seinch...
E depois o roube, ça faudra passer o houppelande et coiffer ouch cabelouch."


Avait-elle bien compris mes instructions ? Je priais pour cela, car Linien semblait avoir disparu dans le sillage de Yolanda... Je priai qu'ils revinssent vite !

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Marie.catherine
Maintenant que Marie était captivée par les mannequins qui défilait, portant toutes de jolies robes, la blondinette n'arrivait pas à détourner le regard et restait planté devant l'estrade.
Et comme Papa lui avait dit, voilà que Dotyy réapparaissait et avec une nouvelle robe. Toute aussi jolie !
Alors que la rousse atteignait le bout de l'allée et qu'elle fit un clin d'oeil à la fillette, celle-ci lui offrit un de ses plus beau sourire, dévoilant de petites fossettes aux joues.
Oh qu'elle aurait aimé faire la mannequin pour le défilé elle aussi ! Dotyy avait vraiment de la chance ! De son air innocent de petite fille, Marie affichait un peu de jalousie dans ses prunelles d'azur. Mais ce n'était rien de mal...juste de la jalousie du genre "Moi aussi je veux faire un défiléééé !"
D'un air toujours aussi innocent, la blondinette quitta sa place parfaite pour rejoindre celle de Papa, remarquant en même temps, d'un air maintenant incrédule, sa poupée qui était à un cheveux de tomber tête la première au sol.
Marie attrapa alors sa précieuse poupée Anabelle et ajouta :


- T'avais raison Papa ! Et en plus, Dotyy l'est passé deux fois dans l'défilé ! Elle va passer encore ? Ou c'fini ?

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--Victory



Une vrai beauté cette robe en fourrure.
Que cela devait être agréable de porter une tenue comme celle ci en hiver.
On ne devait pas avoir trop froid. Encore une belle robe, quel défilé !!


C'est au tour de Jenah Dumas des Doigts d'Or de vous présenter sa tenue qui est portée par Elisabeth Stilton de Lasteyrie, Dame de Lusigny.

Elisabeth Stilton de Lasteyrie, Dame de Lusigny porte une cotte grise aux motifs floraux, surmontée d'une surcotte de satin orangé fourrée de vair.

Et comme vous pouvez le voir, les cheveux sont retenus par un tambourin brodé d'argent.
Elisabeth_stilton
Plusieurs jours avant que la blonde ne monte sur scène. Elle qui habituellement faisait partie des ouvreuses, entendez par là celle qui ouvrait le défilée hein, se retrouvait perdu au milieu du défilé. Cela n'allait pas ternir le moral de la blonde, elle savait que les couturières Doigts d'Or étaient les meilleures, bon une ou deux des autres ateliers pouvaient rivaliser mais pas plus. Le talent d'Attia ou celui de Clarinha était ... outrageusement exceptionnel et Jenah suivait de près.

La blonde avait, grâce à sa femme de chambre, passé sa robe, coiffé ses cheveux et tout ce qu'il fallait. Elle attendait pour passer comme elle le ferait les jours suivants. Habitué des défilées, elle avança tranquillement, pas de stress, pas d'angoisse, rien, comme à son habitude. Peu de chose pour la faire stresser la blonde de toute façon.

A l'appel de son nom, elle fit quelques pas, la robe éclairée de lumière se trouva à la vue des invités. Elle avança d'un pas gracieux jusqu'au bout de l'allée et fit un temps d'arrêt laissant à tous admirer le travail made in DO. Il était de rentrer en coulisse pour laisser la place à de nouvelles créations. Elle avait encore trois robes à porter et devait vérifier que tout était en ordre.



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Blonde - 16 ans - Anglaise - Maman d'un petit garçon - Veuve

Ne va plus au RP de mariage.
Jenah
Jenah s'était discrètement échapée du côté public du défilé, elle ne souhaitait être dans la foule lorsque sa tenue serait présentée et voulait vérifier que tout soit bien en ordre. Elle resta donc à l'arrière lorsqu'il fût temps pour Elisabeth de défiler, celle-ci le fit merveilleusement bien avec toute la grâce et le maintien anglais. De retour en coulisse la franc-comtoise ne manqua pas de la féliciter et de la remercier chaleureusement.
--Victory



Et celle là, pou pou pou qu'elle était belle... décidément, elle ne serait laquelle tenue choisir.
Elles étaient toutes différentes mais toutes aussi magnifiques.

Une fois qu'Elisabeth avait fini de défiler, Victory passa à la suite.


Et maintenant, une tenue de l'atelier "Département des Enluminures Confections et Oriflammes" soit DECO par la couturière Ayena.

C'est une cotte ocre d'escarlate à col montant portée sous une surcotte d'osterin fendue de façon assymétrique.
La surcotte est bordée de pierre précieuses et de perles.
Les avant bras sont protégés du froid par des manchettes en fourrure de renards bruns.
La coiffe est un truffeau sur lequel est fixé un voile de laine fine.

Veuillez accueillir, Plume de Fairdowns, Vicomtesse de Rochechinard, Baronne de Marsanne et Dame de Brantigny qui portera cette robe.
Elisel
Elisel s'était arrêtée pour regarder le défilé. Finalement, elle était arrivée juste à temps pour voir la robe d'une de ses apprenties, Keyan. Elle sourit pendant que le mannequin défilait. Il y aurait encore des points à améliorer, mais cette jeune femme promettait.

S'arrachant à la vision des robes qui tournaient sur l'estrade, fermant ses oreilles aux commentaires qui fusaient et qu'il était toujours utile d'entendre pour capter les désirs des futurs clients, elle se tourna vers le garde de son corps, l'enjoignant d'un signe à l'accompagner dans les méandres de l'Hôtel.
Il lui fallait trouver le coin de DECO , mais surtout Clarinha. Il fallait tout de même que les mannequins fassent connaissance avant de défiler ensemble !

A qui voulait bien l'écouter, à ceux qu'ils croisaient dans les couloirs, elle demandait à chaque fois la même rengaine, espérant que quelqu'un répondrait. S'ils étaient dans les couloirs, sûrement qu'ils avaient un rapport avec le défilé.


Avez-vous vu la couturière Clarinha ? ... Le couloir des Doigts d'Or, s'il-vous-plaît ? ... Clarinha ?
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--Clarinha


[Coulisses]

Il fallut bien qu'au bout d'un moment je reconnusse que l'on m'appelait, quand bien même j'étais fort affairée à faire tenir ce ventre de laine sous la houppelande de la Marquise de Nemours, ce qui étouffait fort tous les bruits, l'on en conviendra aisément. Ne cessant de m'affairer, désormais que le ventre tenait bien - ce à quoi j'étais parvenue avec, je l'espérais, le moins de désagréments pour la Marquise - , désormais à la coiffure, je clamais :

-"Echtou aqui ! Qui cherche-me ? Echtou aqui !"

Si la personne qui me cherchait ne connaissait pas ma voix, elle devait assurément savoir que j'étais Portugaise... Mon accent, mes mots étrangers me démasqueraient.
J'achevai une tresse et l'enroulai pour en faire un petit chignon sur l'avant de la tête de Clémence de l'Epine.


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Enzo.blackney
[Quelque part dans la foule]

Quel beau spectacle de robe qui s'installait devant les yeux du jeune Blackney. Ma foy, ceci était tellement intéressant, qu'Enzo regardait avec avidité... ses bottes ! Quoi de mieux que se pencher vers ces dernières en se disant qu'il devrait les faire retravailler ainsi que les nettoyer. Elles perdaient de leurs beauté les pauvres et s'en était pratiquement désolant. Soupire de désespoir. Il devrait réellement pensé à prendre soin de ses bottes, définitivement. Il lèves les yeux un instant, observant le défilé distraitement. Tiens, encore une robe, pourquoi il n'y a jamais de brais et ou de pantalon dans ce genre de défilé, ça l'aiderait peut-être a en acheté des moins ordinaires. Après tout, c'est vrai que les femmes n'ont que ça à faire, coudre et acheter des robes. Petit rire, puis vint retentir dans ses oreilles le prénom d'Elizabelle. Enzo sourit, se devint soudainement plus attentif, il était venu pour elle, c'était la moindre des choses de regarder la robe. Surtout qu'il aurait l'air cancre s'il ne savait quoi répondre à propos de la création. Bref. Se pencha vers sa cadette.

« C'est la robe d'Elizabelle »

Puis d'observer silencieusement. Hochant la tête, pour approuver qu'il la trouve joli, mais en faite, il s'y connait strictement rien en robe. La couleur est jolie, et ça montre bien les formes, quoi demander de plus ? Une fille plus jeune dedans peut-être. Hum, mais on va pas le dire, ça pourrait vexé Axel. Et on retourne à ses chausses, ah non c'est des bottes ! Bref. Il n'y a plus rien à dire sur ses bottes. Enzo soupir, regarde autour remarquant qu'il y a beaucoup plus de femmes que d'hommes. Ça pourrait être chose intéressante si ces derniers sont de surcroit célibataire.

« Je vais me balader dans la foule d'accord ? »

Qu'elle charmante idée ! Une balade dans une foule, nouvelle activité nobiliaire pour jeune garçon prit dans un endroit bondé de femme à regarder des robes, et encore des robes. Au moins, il était venu avec sa cadette, mais cette dernière était fort silencieuse, semblant être hypnotisé par les robes, où il ne savait pas quoi. En arpentant la foule, il eu la belle surprise d'y voir Elizabelle avec sa tante, qui semblait attendre du fait que quelque instant plus tôt il était avec Hélène. Il s'avança vers elle, grand sourire.

« Bonsoir Elizabelle ! Vostre robe était magnifique. Le rouge va très bien à la chevelure de vostre tante. »

Il a placé la robe, preuve qu'il a regarder ! Elle pourra pas le nier.
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On veux apprendre à danser nous !
Plumedange
*Plume regardais tout le monde défiler, tandis qu'Ay' lui faisait enfiler la merveill...*

-Niaaa!

*On venait de toucher à son front pour y déposer la coiffe.
Par chance il n'y avait plus de rougeurs, mais le reste du traumatisme d'une épilation de poils quasi inexistant l'avait marquée.
La blondinette sentit le poids de la robe peser lourdement, surtout sur ses bras ou reposait de la fourrure, mais surtout de grosses manchettes doublées.
On avait oublié de la prévenir qu'elle devait aller se muscler à l'Ost avant de faire la poupée.
D'ailleurs avait t-on vu des poupées herculéenne?
Non mais à quoi pensait parfois les couturières à faire de ces tenues ou l'on était pas à l'aise?
Bon, elle exagérait, le tissu était agréable à porter et bien chaud, il lui fallait tenir la tête bien droite comme elle avait appris depuis toute petite et s'avancer maintenant.
On inspire, on sourit à sa chef, maitre, enfin à Ayena (pour ceux qui n'auraient pas suivit) et on s'avance, gracieusement sur l'estrade.
La blonde avait déjà défilée par le passé, pas stressée pour un macaron, elle était même fière de porter cette merveille d'originalité qui reflétait son épithète non officiel de "Rayon de Soleil".
En cette période automnale, elle rêvait d'en être un, d'apporter au milieu de cette grisaille extérieur, un peu de couleur.

Elle avança donc avec fluidité le long de l'estrade, s'arrêta au bout, écarta les bras légèrement pour montrer les manches et les ramena peut être un chouilla trop vite vers elle.
Effectuant un habile tour sur elle-même, elle reprit ensuite le chemin des coulisses avec une allure mesurée.*



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Ayena
Elle est sortit de scène avec Yolanda. La petite va s'asseoir et Ayena lui jette un regard. Pas un regard de pitié, pas un regard amical, pas un regard maternel. Un regard qui veut tout dire. Et un peu rien en même temps, aussi.

- Je vous rejoindrai plus tard, j'ai mon mannequin à apprêter...

C'est une promesse, un peu. un souhait aussi, parce qu'elle a besoin de la petiote, Ayena. Comme lorsque deux piliers risquent de tomber avant que l'on n'invente la clef de voute. Voir la petite souffrir, éventuellement tenter de la consoler, c'est se persuader qu'elle même n'est pas trop à plaindre.

Un petit sourire d'au revoir. Et hop, la revoilà dans l'effervescence, la Boiteuse. Elle retrouve son apprentie qui lui a fait l'honneur, en tant que femme très titrée de bien vouloir porter sa création. D'Alquines n'en mène pas large. C'est son premier défilé, la première fois où d'autres couturières, de d'autres ateliers, vont juger son ouvrage.
Hop. Voilà, c'est prêt. Plume sourit, et Ayena dans un sursaut de perfectionnement s'en va lui pincer les joues pour assortir la couleur du visage blanc de la Vicomtesse à la couleur joyeuse de la surcotte.
Et puis, de là où elle est, Ayena écoute tant bien que mal le pépiement de la foule dans l'espoir bien vain de saisir quelques remarques...

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>DECO pour bannières et tenues !
- Héraldique -
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