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[RP] Lorsque la GFA donne rendez vous au tout Paris

Emilie_rosengard
Restée en retrait pour ne pas gêner, ce fut la rousse qui la trouva et s'approcha d'elle.

Bonjour Emilie, je suis bien contente de te revoir. Comment vas tu ? Tu cherche quelqu'un ?

IL y a un souci avec Jake ? Il va bien ? J'ai vu qu'il avait plus son bandage sur les yeux.


Un souci .... Etait-ce vraiment un souci ? Et comment lui dire les choses sans que l'infirmière ne s'inquiète.

Euh non pas vraiment, le bandage le gênait et il m'a demandé de le lui retirer et ..... et il semblerait qu'il ait vu quelque chose l'espace d'un instant.

Elle regarda Dotyy puis l'agitation qui se faisait derrière pour les prochaines tenues à présenter.

Tu crois que tu pourrais l'examiner quand tu en auras fini ici ?

Un léger sourire crispé s'afficha sur le visage d'Emilie. Elle ne voulait pas déranger, ni encore moins forcer la main mais elle s'inquiétait tout autant qu'elle était intérieurement folle de joie d'une possible amélioration.

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Clemence.de.lepine
Il y avait eu la prière de Yolanda, mais plus que la prière, ce fut la petite qui lui renversa le cœur. Clémence se forçait à oublier, ou plutôt, à mettre de côté tous ces deuils de toutes ces femmes qu'elle avait aimées. Elle ne pouvait trop y penser, sous peine de faiblir, et cela elle ne pouvait se le permettre, n'est-ce pas ? Yolanda, elle, voulait se souvenir et forcer le souvenir, et au fond d'elle-même, la Marquise savait laquelle des deux avait raison. On ne pouvait pas honorer tout à fait les morts en silence.

Les gazouillements de Clarinha la réveillèrent et elle tenta de trouver dans ses phrases quelques mots d'oc et de castillan qu'elle avait retenus. Drapée dans ses préjugés grotesques, elle était fière de penser que toutes les langues du sud devaient bien se ressembler et qu'elle pouvait donc se targuer d'en reconnaître certaines sonorités. Ce qui, elle s'en aperçut rapidement, était complètement faux car la jeune couturière ne cessait de coller à ses phrases des « ch » et des « ou », et cela à tout bout de champ, tant est si bien que Clémence commença à se demander si elle n'avait pas un problème d'élocution.


Oui oui oui.
Faisait-elle en hochant la tête. Et elle accompagnait davantage les gestes de son habilleuse plutôt que ses paroles, puisque absolument incapable de suivre ce charabia incompréhensible.

S'inspectant dans un grand miroir à pied, elle se trouva... énorme. Et bleue. Mais surtout énorme. Et elle grimaça. Devrait-elle ressembler à ça, quand elle aurait dans le ventre une graine d'héritier en puissance ? Elle n'avait pas l'habitude de se voir toute en courbes, mais là, on frôlait l'obésité, non ?

Sur scène, on l'appela – ainsi que son alter-ego d'un instant – et elle n'eut qu'à peine le temps de faire montre de politesse envers Elisel et son mannequin.


Je ne voudrais pas vous presser, cher monsieur, ni vous paraître impolie, mais je pense que vous êtes mon... euh... Elle porta une main machinale à cette laine épaisse qui lui étouffait le ventre. Mon acolyte ? D'ailleurs, bravo, superbe, vous êtes très très bien - bravo surtout à la couturière. Mais je crois que là, on nous attend tous les deux. Nous y allons ?

Et sans attendre la réponse, la petite Marquise se faufila jusqu'à l'estrade. Dieu qu'il était difficile de garder le dos droit engoncée dans un tel accoutrement ! Elle peinait, se sentait lourde, avec l'impression de brinquebaler de droite et de gauche. Même sa démarche d'ordinaire légère et gracile lui semblait ridicule et maladroite. Posant une main tremblante sur le bras de son partenaire, elle tenta de donner de l'allure à sa tenue – qui n'aurait absolument pas besoin d'elle pour sembler de toute façon ravissante, qu'est-ce qu'elle foutait là, au juste, à part s'entraîner à marcher la boule au ventre, c'était le cas de le dire ?





C'est une catastrophe, n'est-ce pas ?
souffla-t-elle à l'adresse d'Elmer. Je me sens archi-congestionnée et pleine de vergetures alors même que je ne suis pas enceinte pour de vrai ! C'est très désagréable.
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--Victory



C'était de très belles tenues, tenues bien chaudes, surement bien lourdes aussi surtout celle de la femme.
Mais elle s'imaginait bien dedans lors d'un grand voyage, dans une calèche, alors que le froid s'inviterait bien dans notre chaire.
Toute cette épaisseur et cette fourrure devraient être aussi agréables qu'un bon feu de cheminée.


Merci de les remercier pour leur défilé.

Le couple de mannequin venait de quitter le podium, la rousse annonça donc les suivants.

Et maintenant, c'est une tenue de Suzan Shelton du manoir des artistes, portée par Dame Pandorha de Noldor, Dame de la Fortillesse.

C'est une cotte en laine de Damas terre d'ombre brûlée bordée de dentelle, sous une robe sans manche ouverte en triangle sur la poitrine en cendal vert de gris. Le tout est recouvert d'un mantel à manches longues,tombantes et ouvertes, en laine terre verte brodée nerprun, retenu par un fermoir central et orné de pourfils en fourrure de loutre.
Pandorha
Elle fut prévenue du commencement du défiler, elle rejoignit Suzan, couturière dont elle porterait les modèles. La timidité de Pandorha n'était pas loin, elle se rappela le premier défilé qu'elle avait fait, portant des robes de Kalo, souvenirs, souvenirs, nul doute que cela lui faisait plaisir d'être de nouveau là. Elle adorait le manoir des artistes, elle avait vu le travail des autres ateliers, mais sans savoir pourquoi, elle commandait encore et toujours au manoir. Ainsi donc, on l'aida à se vêtir et prête, elle défila. Cherchant dans la foule des visages familiers, celui de Hélène en premier lieu, puis d'autres aussi, adressant des sourires, des sourires ... cela faisait longtemps également qu'elle n'avait pas réellement bien sourit... mais bon, la guerre c'est ainsi.


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--Victory



Alors que la Dame finissait de défilait, adressant des sourires aussi merveilleux que la robe, les spectateurs félicitait le travail de la couturière ainsi que le mannequin.

Merci Dame Pandorha !

Le public était assez calme, elle espéra qu'il appréciait toujours autant ce défilé organisé par la Guile des Fines Aiguilles.
Sur cette réflexion, elle lança la prochaine tenue.


Voici à nouveau Dame Plume de Fairdowns qui vous présente sa houppelande azur en velours de soie de Gênes, dit diaspre pour les broderies, à la taille marquée.
Le col, les poignets et le bas de la robe sont parés d'hermine.

La coiffe dans les mêmes teintes, en velours de soie de Gênes elle aussi, est parée de résille et de perles couleur argent.

Elle est portée par Dame Arwel Chanvigny, dicte la Bienveillante, Duchesse de Clérieux et Baronne de Lentilly !!!
Dotyy
Dotyy entendait au loin Victory annoncer les autres mannequins et décrire les robes portées par celle-ci. Elle avait oublié un instant le défilé tellement inquiète.

Un sourire illumina son visage quand elle entendit Emilie lui dire pourquoi elle avait enlevé le bandage et qu'elle lui annonce que Jake avait vu quelque chose quelques secondes.

Elle etait heureuse pour Jake et sa famille. Le traitement commencer à agir.


Oui, je dois encore défiler à Lex et apprêt je viendrais le voir. Dis-lui de pas s'inquiéter, je serais vite la. Je l'examinerais, ne t'inquiète pas. Surtout s’il ressent la moindre douleur remet lui son bandage sur les yeux. La lumière peu lui donner mal a la tête.

Je suis désolée, je dois vraiment y aller-la. Je dois me changer et expliquer comment ca va se dérouler à Lex.


Elle la sera dans ses bras et se sauva en vitesse avant d'être vraiment en retard.
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Emilie_rosengard
Elle écouta la rouquine, acquiesçant à ses paroles puis retourna près de Jake et lui murmura quelques mots.

Ton infirmière doit encore faire un passage avec une robe, ensuite elle viendra t'examiner. Elle m'a dit qu'il ne fallait pas que tu t'inquiètes surtout, mais je pense qu'en tant que médecin, tu es bien placé pour le savoir.

Puis elle se tourna face au podium pour regarder la suite du défilé et ses yeux s'écarquillèrent, émerveillés.

Arwel .... ma bienveillante ....

Son Arwel ... Duchesse et baronne... Bon sang que le temps passait ! Mirandor et elle étaient-ils enfin mariés ? Elle essayerait de retourner en coulisse plus tard, mais cette fois pour revoir ses amies et prendre de leurs nouvelles, heureuse de les savoir en forme, surtout après les récentes nouvelles qu'elle avait eues de la part d'Aldraien.

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Calyce..
Le défilé avance et elle finit par s'ennuyer dans les coulisses.
Regard qui se pose sur la collègue sans-voix. Son premier défilé à elle, la pauvre. Elle se souvient de son premier défilé à elle du coup. La St Nicolas, les rôles étaient différents, y étant allé comme en tant que modèle, même pas apprentie. Elle se souvient qu'elle n'en menait pas bien large.

Ça va, Heloïse ? Tu aimes ?

A en croire la tête qu’elle fait, elle aime pas trop. Faut la déstresser. Alors Calyce elle pense bien à la pipe opiumée de Naelhy, ça l’aurait détendue de suite, ou alors une petite dose de muscade. Mais ça ne se fait pas. Les premières prises se font discrètement, à l’écart de toute population, parce qu’on finit souvent la tête à l’envers. Imaginons que la muette, dans son bad-trip, soit prise par l’envie de se débarrasser de ses vêtements, hein ? Elle serait mal, Calyce.
Une manière plus douce s’impose alors à son esprit. Le chant.

Un petit truc triste pour commencer.



On dort les uns contre les autres
On vit les uns avec les autres
On se caresse, on se cajole
On se comprend, on se console
Mais au bout du compte
On se rend compte
Qu'on est toujours tout seul au monde*

Mais ...

We are the champions - my friends
Nous sommes les champions - mes amis
And we'll keep on fighting
Et nous continuerons de nous battre
Till the end
Jusqu'à la fin
We are the champions
Nous sommes les champions
We are the champions
Nous sommes les champions
No time for losers
Pas de temps pour les perdants
'Cause we are the champions of the World
Car nous sommes les champions du Monde**


Ca c'est pour lui remonter le moral.


Mais quand même il faut ...

Savoir sourire,
À une inconnue qui passe,
N'en garder aucune trace,
Sinon celle du plaisir
Savoir aimer
Sans rien attendre en retour,
Ni égard, ni grand amour,
Pas même l'espoir d'être aimé,


Ou comment les artistes de DTC finissent assisent en tailleur, des fleurs de tissus dans les cheveux. Une Calyce qui chante, une Heloïse qui mime. La vie est belle, tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. On est là pour passer un bon moment.

* Chanson tirée d'ici
** Queen, We are the champions.
*** Florent Pagny, Savoir Aimer.


Ecrit à 4 mains avec jd Helo.
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--Victory



Message à l'oreillette et voilà qu'on lui dit qu'il y a un petit problème de mannequin et qu'il faut passer à la suite.
Pas de problème, on s'arrange toujours quant on peut !
Elle garda les informations pour la fin.


Mes dames, Mes demoiselles, Messires, petit changement de programme, je vous laisse accueillir de suite une tenue de Selena., portée par Johanara Bérénice d’Ambroise,Baronne de Lignières, Dame de Saint lys, d'Antras et de Magnet

Voici donc une cotte simple en velours teinté kermès, évasé en sa base et manches près du corps, rehaussée d'un col en mousseline à motif floral. Le col est serti d'un galon or orné de gemmes rouges, assorti quant à lui à la fine ceinture mettant en valeur les hanches du mannequin.
Selena.
La blondinette en coulisse,après avoir changer de tenu sa baronne et lui avoir fait mettre le velours rouge se tordait les mains.
La voilà le ventre en bouillit,la gorge sèche,les mains et les jambes tremblante ...

Voilà dans l'état où se trouve cette belle blonde.Les yeux normalement bleu claire sont devenu d'un étrange turquoise sous le stresse.Ses lèvres mordue jusqu'au sang.

Elle murmure :


"- Aller,pitier,aller"

C'est ainsi que la couturière réagit lors de l'annonce de Victory ...
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Johanara
Mais quelle glue que cette Selena! Douce mais collante!

- Cessez d'hululer je vous prie! Nous y allons! Place! Place!

Sa robe en velours retombait en flots voluptueux sur les sols tandis que ses longs cheveux roux battaient sa chute de reins à chacun de ses pas.

Fixant son regard limpide loin devant elle, elle s'avança marmoréenne, retenant avec grâce les jupes d'une main liliale.

Une ceinture richement brodée avait été nouée à sa taille chaloupée et ses manches, ornées de quelques fils d‘argent et de satin, s’évasaient largement, laissant entrevoir des bras fins et des poignets graciles où s’entrechoquaient quelques bracelets d’orfèvrerie.

Quelques perles soutenaient sa lourde chevelure flamboyante et jetaient à ses boucles de jolis reflets tandis qu'elle défilait sous la douce clarté des candélabres. .

Lissant du plat de la main quelques plis , elle fit tourner ses jupes avec un sourire enfantin, ses yeux de jade pétillant de malice.



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--Victory


Une magnifique robe de soirée que voilà.
Victory aimait beaucoup le rouge, en plus cette couleur allait à merveille aux rousses.
Elle applaudit des deux mains cette belle robe.


Et maintenant, voici une tenue d'Irma, portée par Khy, pupille de Pettinengo.

Comme vous voyez c'est une cotte de velours de soie, à manches larges, bordée de fourrure de lapin sur un jupon de laine.
Ayena
Après le passage de son mannequin, Ayena revint au près de Yolanda, restée dans les coulisses. D'Alquines, soulagée d'avoir passé son tour et donc d'être enfin libérée, s'autorisa une pause. Elle fit porter un siège pour poser son derrière aux côté de Molières et combla le silence de la petiote par des commentaires qui n'avaient pas forcément de lien entre eux. On console les autres comme on peut.

- Oh ! Je ne savais pas qu'Elisel s'était entendue avec Clarinha pour faire des tenues assorties... C'est magnifique !

Les commentaires et présentation de Victory ne parvenant en coulisse qu'avec quelques difficultés, tout était permis.

- Regardez moi ce tissu ! Il doit porter vraiment chaud. Je ferais bien de m'en faire parvenir. Vous pensez que le Languedoc est un pays froid ?

Elle se tord le cou pour suivre le mannequin d'Elisel, couturière de DECO, tout en parlant.

- Il a de longs pieds, le bonhomme... Et la tête alors... Je plains son épouse...

Quoique Ayena arriverait à plaindre toute épouse. Question de feeling.
Ce fut ensuite le tour à une tenue de Suzan : Pandorha, son ancienne collègue au Louvre n'aperçut pas d'Alquines, dans l'effervescence.


- Oh mon Dieu. C'est moi ou le motif jaune sur un tissu vert est un choix un peu malheureux ?

Petite grimace.

- Enfin, je ne veux pas médire, hein. Tout ceci doit être affaire de gout. Je me demande sur quel animal a été prise la fourrure. Elle a l'air d'une douceur incomparable.

Pensive, elle se demanda si elle ne devrait pas changer de fournisseurs de peaux. Il faudrait se renseigner auprès de la fameuse Suzan.
Une inconnue passa ensuite devant les yeux ayeniens. Robe rouge, col en mousseline.


- Wouha ! Je ne porterai cependant jamais de rouge. Je trouve cette couleur bien trop... Attirante à l'oeil. C'est un coup à passer pour une débauchée, pardonnez mon langage !

Ayena, la pie boiteuse. Oh, yeah !
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>DECO pour bannières et tenues !
- Héraldique -
Amaelle.
L'Ambroise toujours vêtu de sa tenu émeraude.Observer et s'émerveilla devant chaque tenu ... Alors elle vit une rousse,une rousse lui ressemblant à quelques chose près.

Cette rousse avait plus de formes,ses cheveux étaient plus onduler également ... Et voilà que sa sœur passer dans une superbe robe rouge ...

Ainsi elle était assise en silence à observer chaque pas de chaque mannequin ...

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Khy
Si quelques minutes auparavant elle a accepté de suivre Nashia sans grogner, c'est une fois parée que les choses se compliquent, & que l'Alix doit se retenir de ne pas assommer sa jeune maîtresse.
C'est que si l'idée est tentante, difficile de faire défiler quelqu'un d'évanoui.
Il n'empêche que l'adolescente, tirée à quatre épingles, n'a décidément aucune envie de défiler.


- J'irai pas, j'irai pas, J'IRAI PAS !!!!!
- Mademoiselle, un peu de tenue, s'il vous plaît..
Et l'Alix de la pousser vers la scène pour faire son entrée, décidée à ne pas lâcher l'affaire.
- Non j'irai paaaaaaaaaas...

Son cri se perd dans sa gorge lorsque son regard tombe sur les spectateurs.
Aucun recul de possible.
Elle lance un regard noir à Alix, & prenant une grande inspiration, avance, les mâchoires crispées.
Le temps de faire un tour & demi pour montrer sa tenue, un faux sourire aux lèvres, & c'est presque en se précipitant qu'elle retourne se cacher derrière.

- Alix... Tu perds rien pour attendre...


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