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[RP] Lorsque la GFA donne rendez vous au tout Paris

jake
Jake avait été conduit par sa fille devant l’estrade. Elle l’avait aidé à prendre place. Puis sa blondinette lui demanda ensuite pour voir une autre petite fille. Jake sourit. Il lui en avait donné l’autorisation sachant que Léonard la surveillerait de prêt. Il garda sa poupée sur ses genoux.

Se retrouvant seul, il écoutait les bruits dans la salle, tenant sa canne entre ses jambes, la faisant rouler entre ses doigts. Il patientait tranquillement que les premiers modèles défilent sur l’estrade. Il ne fallut pas longtemps pour entendre ces voix se taire un peu dans la salle, les yeux rivés vers la première personne qui défilait. Jake écoutait la description qu’on en faisait et se l’imaginait.

Jolie robe même si le ton n’était pas à son gout. La laine était de circonstance en cette saison plutôt froide. Et puis, une main douce vient se glisser sur la sienne et la prendre. Qui était-ce ? Il senti alors un doux parfum de rose venir titiller ses narines. Il connaissait deux personnes qui avaient ce parfum. Cela ne pouvait certainement pas être la première, il en déduit que cela ne pouvait être que la seconde, sa sœur. Emilie ici ? Jake sourit un instant en se penchant vers elle pour lui parler doucement.


« Bonjour Milie … ça me fait plaisir que tu sois là … »

Jake imaginait alors la seconde robe qui devait être d’une splendeur à voir.
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Elizabelle
Elizabelle avait rejoint Susy, la camériste poussant un soupire de soulagement à voir sa jeune maitresse se reprendre... Il faut dire qu'elle ne savait jamais trop quoi faire quand la jeune noble s'enfonçait dans la mélancolie. Et encore moins quand elle cédait à une crise d'angoisse.

Elizabelle déploya avec délicatesse sa création. Elle l'avait fait sans la faire essayer une seule fois à son modèle, Axel ne sachant pas le moins du monde à quoi ressemblait ce qu'elle allait porter... L'adolescente l'avait réalisé en se servant des mesures de sa tante que tout l'atelier possédait. Il ne manquait plus qu'Axel pour réaliser les derniers ajustements. Une fois la robe installée sur le mannequin, la jeune fille partit à la recherche de la blonde tantine.

Portant une de ses propres créations, une robe de velour bleue qu'elle avait déjà porté lors de l'anoblissement d'un ami d'Enzo, ses lourdes boucles brunes relevées en un chignon, elle retourna dans la cours où le défilé avait déjà commencé. Le regard gris se posa sur les robes déjà exposées aux yeux du public. L'angoisse remonta un peu, mais s'apaisa dès qu'elle apperçut sa tante, la blonde la cherchant aussi visiblement.

La jeune fille se rapprocha rapidement de sa tante et lui saisit la main en lui adressant un sourire délicat et sincère. Elle était heureuse que sa tante ait accepté de porter sa création.


Bonjour ma tante ! Venez vite, il faut que je vous aide à enfiler la tenue et que je veille aux derniers ajustements.

Sans tenir compte de son rang, elle prit la main de sa tante et la guida jusqu'au mannequin de bois qui portait sa création. Elle eut un instant d'hésitation... La robe lui plaisait-elle ? Puis elle se reprit et aida Axel à enfiler la tenue, ajustant le tissus, déplissant le jupons, ajoutant un point par-ci par là pour que la soie épouse à la perfection la taille de la blonde. Puis les blondes mèches furent relevées en un chignon délicat retenu par un serre-tête réhaussé de perles.

Je... Qu'en pensez-vous ?

Elizabelle se recula un peu pour laisser de la place à sa tante. Un regard par la fenètre et son coeur fit un bon. Il était venu finalement, il avait tenu sa promesse. Et cela lui faisait plus plaisir qu'elle ne l'aurait cru. Elle espérait que son travail lui plairait et qu'il ne s'ennuirait pas trop...

Maintenant il fallait attendre son tour...

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Axel2fersen
La dauphinoise avait l'habitude d'être habillée, coiffée, maquillée, elle se laissait faire de bonnes grâces surtout lorsqu'il s'agissait de revêtir une nouvelle toilette. En effet, la blonde avait bien du mal à supporter de porter une tenue à plusieurs reprises, bien entendu il était techniquement impossible de changer de robe de manière quotidienne, mais elle mettait un point d'honneur à n'arborer une de ses splendeurs qu'une seule fois lorsqu'il s'agissait d'événement public. Alors à chaque fois qu'elle découvrait un nouvelle création qui lui était destinée, elle était comme une enfant au matin de la Saint-Noël, et cette fois-ci ne faisait pas exception.

Eli elle est sublime!! Tu es une véritable artiste, mon Dieu quelle est belle... tu es la digne petit-fille de Jehane ma chérie.
Viens que je t'embrasse.


Axel avait été ébahie par l'étoffe écarlate et la finesse de broderies, mais de se voir là, habillée, coiffée, apprêtée dans la psychée, elle se trouvait belle, si belle en ce miroir. Elle souriait la blonde,déposant mille baisers sur la main fluette dont le poignet était ceint d'un coussinet piqué d'aiguilles.

Je suis fière de défiler pour toi ma douce...

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Béanours forever!
Aina_vikilord
Les deux fillettes furetaient entre les femmes toutes plus belle les une que les autres. Elle aussi elle voudrait un jour défilé comme les grande.

Elle sourit apprenant que Marie avec un petit frère et lui répondit.


Mon il s'appelle Killian on est faux jumeaux. Je suis l'ainé mais il ce plait à dire que c'est lui alors je le laisse dire. Il est pas venu il est resté avec le maitre de maman pour s'entrainer à devenir un chevalier comme il dit.

Regarde le défilé à commencer allons nous mettre près de l'estrade pour voir un peu mieux le défilé.


Aïna rigolait heureuse d'avoir une amie et l'emmena non loin du bord mais pas sans accrochage car au passage sans le vouloir elle rentra dans un homme.(Angello) La salle était sombre et il n'étais pas facile de ce reperé avec tout ce monde.

Confuse et surprise vu qu'elle ne regardait apparemment pas devant elle, elle ce retrouva sur les fesses en moins de deux et balbutia


Ouille ... excusez moi Messire ... je ...

edit correction prenom du frero :p
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Ayena
Ses tentatives de rapprochement sont restés sans réponse. Logique. Car si les spectateurs et clients étaient au calme à se ravir les yeux, en coulisse, c'était pire que l'effervescence. Ayena avait du se faire aider pour revêtir une robe qui serait sans doute l'une des plus belles réalisations du défilé mais devait en même temps conseiller son mannequin à elle, sa toute fraiche apprentie qui défilerai pour elle.

- Nan, mais il va tomber le truffeau là... Gardez la tête droite, imaginez que votre cou est de pierre, et souriez bon sang !

Oups, une aiguille mal placée. Ayena pique un fard mais rit sous cape. Oui, la couture est un métier risqué. Bientôt son apprentie allait mourir dans les terribles souffrance du tétanos. Meuh nan ! Rho. Vous avez les idées noires, lecteur !

- Et la voilette ? Elle est où la voilette ? On a volé ma voilette !

Pas de panique, poupette. Souffle un coup, ou alors pète un coup, mais on s'en fiche un peu de ta voilette. Les regards seront de toutes façons tous tournés vers les pierres précieuses qui ornent la tenue... Une voilette, c'est rien une voilette...

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>DECO pour bannières et tenues !
- Héraldique -
Alatariel
Folie ! Comment l'angevine avait-elle pu concevoir l'idée d'aller incognito à la Fashion week avec la reine ? oui oui, avec la reine, rien que ça. Certainement que la trève y était pour quelque chose.

Toujours est-il que la folie était aussi dans l'esprit de la Malemort, car elle accepta.

Le voyage fut une épreuve des plus insupportable pour l'angevine qui, entre la tuberculose et sa mauvaise blessure gagné sous les rempart de Chinon, n'était plus que l'ombre d'elle même.

Le rendez vous avait été donné dans une auberge près de l'atelier DECO sur les quai de la Seine où Alatariel avait ses habitudes. La fortune voulu que l'idée folle, soit un succès et que la reine arrive sans encombre à Paris.

Le plus dur restait à faire : ne pas trahir leur identités. Et pour cela il fallait que la baronne oublie ce qui était un réflexe pour elle : l'étiquette.

Les deux femmes s'habillèrent élégamment et couvrirent leur visage d'un épais voile de mousseline afin que nul ne puisse les reconnaître. L'angevine portait une de ses robes vertes et blanches qu'elle affectionnait tant.


Arrivée à la guilde, l'angevine regarda son amie avec un sourir.

-Ma dame, vous souhaitez toujours y aller ?


Donc, comme vous l'aurez tous compris, personne ne sait à priori que Nébisa et Alatariel sont là. Envi de jouer la dessus ? nous contacter par mp

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Nebisa
Une fugue ? Une Reyne ça peut fuguer ? Partir sans rien dire à personne ? Bien sur que non... ce serait totalement contraire au protocole, aux règles de sécurité, aux bonnes mœurs même... Trois bonnes raisons pour que la Malemort ait donné son plein assentiment au projet fou de la Baronne !

L'affaire fut, du reste,rondement menée, une petite retraite dans un monastère normand, pour prier, se reposer, préparer son futur accouchement et voyage à Rome... et, discrètement, soudoyer un coche pour la récupérer et l'emporter vers Paris la belle...

Après avoir fait un léger emprunt dans les caisses de son époux, le pingre, dans l'optique de quelques emplettes et des présents qu'elle ramènerait pour ses filles, ses nièces et autres Dames d'Honneur, la Reyne, les traits dissimulés par une voilette, jupes froufroutantes avait rejoint sa compagne d'excursion, vibrant à l'appel de ce mal qui n'aurait de cesse de se répandre dans les siècles à venir auprès des femmes de tout âge et condition et qui prendrait le nom de shopping...



Allons y prestement... je brule de voir de quoi sera faites la tendance 1460 ! La fraise va-t-elle faire son retour ? Les perles seront elles définitivement dépassées ou les corsages vont ils se creuser ? Pensez vous que les traines vont raccourcir ? Je suis persuadée que ce sera le cas, nous ne sommes plus en 1430 après tout !


Volubile, détendue, comme si le fait de détacher son crane du cercle d'or lui rendait une légèreté oubliée, la Souveraine entendait oublié le poids de sa charge quelque jour pour offrir à Nebisa une courte évasion, une petite résurrection, une épopée éphémère et destinée à demeurée inconnue de l'Histoire...
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Yolanda_isabel
-« J'en ai marre ! D'accord ? J'en ai marre et j'ai mal ! Foutez moi l'camp et foutez moi la paix. Je veux mourir. Je veux Lina ? Où est Linien ? BORDEL FOUTRECUL A CHIER ! »

Et voilà, à la réplique toute en élégance qui émerge du coche aux armes Josselinière, succède un hurlement hystérique de gamine capricieuse.

-« JE VEUX PLUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUS ! HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! » Un soupir, un sanglot étouffé, un reniflement. « Allez vous faire mettre, je suis la fille de ma mère, j'y vais. Pouvez crever.. J'ai mal 'tain.. Maman.. »

Maman, j'ai mal.. Maman, je souffre. Les cahots de l'Anjou à Paris ont réveillé les douleurs dans sa jambe, ont réveillé les douleurs dans sa cheville. Elle a mal et l'humidité de l'automne n'arrange rien. Elle a mal et Maman manque à sa vie d'Infante qui se veut grande. Maman, je suis ta fille, je suis forte mais je douille grave ma race à donf' là.

-« Trouvez moi Clarinha, je bouge pas, j'en ai ranafout' ! J'ai trop mal ! En plus, j'ai faim. C'est vraiment pourri Paris. Je veux Linien en plus.. »

La GFA pourrait être merveilleuse, il s'agit de Paris. Toutes les femmes qu'elle aime sont là, il s'agit de la Capitale. Cet univers, c'est celui qu'elle s'est choisie, mais Marraine ne règnera plus sur cette ville alors pourquoi y aller encore ?

-« Mais lâchez moi 'del de mer.. ! »
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« Ca s'la touche beaucoup, mais pour ce qui est d'agir, y a plus personne ! »
Alatariel
Le rire encore sonnore de la baronne résonna dans l'entrée de l'atelier.
- La fraise ?! Je n'y crois plus. Il n'y avait que feue Aléanor pour porter une chose pareil avec élégance. Et puis, les corsages, oui je pense qu'ils vont se creuser eut égard à la royal gorge de la Malemort.
Alatariel pouffa de rire comme si elle avait 15 ans. Le décolleté de la Malemort en ce jour laissait voir dans toute sa splendeur la dite royale gorge.

A l'instant où les deux femmes finissaient d'entrer, les jurons presque penthièvriques de la boule de sucrerie arrivèrent aux oreilles de l'angevine. Son coeur se serait. En d'autre circonstances, elle aurait bondi jusqu'à sa nièce pour s'enquérir de ce qui allait mal et la protéger au besoin... mais ici c'était impossible.


-Oh ! prêtez-bien attention à ce que vous allez voir ! Chlarina, cette fille, elle a le talent pour replacer Attia et ...
Un quinte de toux bienvenue coupa nette la baronne dans son élan. "Attia et moi" oui, mais non, elle n'était pas la baronne aujourd'hui, elle n'était à vrai dire personne.
- et la baronne Alatariel
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--Linien.


Dans les coulisses, adossé à un mur, Linien observait la suite du défilé se passer, non sans parfois regarder dans la salle ce qui se passait.
Les piaillements de sa cheffe se firent entendre malgré le brouhaha, et le couturier crut même entendre son nom émerger. Il grimaça, n'ayant pas prévu de jouer les baby-sitters ce jour.

Mais les vocalises de la Josselinière ayant tendance à vite partir dans les aigus, le couturier eut pitié des voisins de la sale gosse qui devaient probablement commencer à voir leurs oreilles se déchausser sous ses stridulements incessants.

Un soupir, et il quitta son asile d'un trop court instant pour aller se faufiler entre les rangs des richissimes, lui qui n'était vêtu que simplement, jurant déjà dans le milieu féminin de la couture, mais encore plus dans la foule noble et chamarrée de la FW. Il s'assit auprès de Yolanda.


Désolé, j'ai oublié les madeleines.
Clemence.de.lepine
Elle était, de longue date, une fervente admiratrice des créations de l'Atelier des Doigts d'Or. Elle y avait eu ses préférées, Attia arrivant en première place de ses favorites, car toujours elle était parvenue à rendre concret, et splendide, l'ébauche d'une idée, le soupçon d'un caprice. Jehanne de Cassagne, la célèbre rombière, avait beau avoir eu les doigts ridés, elle n'en avait pas moins été habile et divine créatrice. Clémence se souvenait avec émotion de cette robe étincelante de richesse, subtile, somptueuse, qu'elle lui avait créée pour le défilé de la dernière Fashion Week.

Aujourd'hui, elle avait changé de mains et s'était retrouvée entre celles de Clarinha, une première, et c'était d'azur qu'elle avait choisi de la parer. C'était simple, et élégant. La robe épousait ses courbes pourtant si peu prononcées, et avait cet avantage de la faire paraître plus en formes – mais si peu. Par dessus la soie, elle passa le manteau fourré de létice, et l'atmosphère prit dix degrés en trois secondes. Elle lança un regard affligé à Clarinha et, tout en enfilant les gants qu'on lui tendait, poussa à son attention un soupir consterné.


Ce manteau est parfait pour une marche hivernale, et croyez bien qu'en pleine tempête je serais heureuse de l'avoir comme allié. Mais en attendant la neige, priez pour que je ne succombe pas à ses effets bouillonnants devant le monde !

Et de la laisser, sur un sourire de connivence, pour rejoindre l'estrade et montrer à tous le savoir-faire des Doigts d'Or.



Charmante, pimpante, souriante, comme elle savait l'être parfois quand les occasions l'exigeaient, elle fit quelques tours jusqu'à ce que, estimant qu'elle devait avoir assez chaud pour que ses joues soient joliment teintées d'écarlate, elle ôta le manteau. Révélant ainsi l'ouvrage d'inspiration florentine de Clarinha et soulageant son corps mince – maigre – et brûlant de la surcharge de chaleur qu'on venait de lui imposer.



Ravissant n'est-ce pas ? Une dernière œillade pour l'assemblée et elle rejoignit Clarinha en coulisses.


Est-ce que je peux garder au moins ceci ? Lui murmura-t-elle en désignant la pelisse, les yeux brillants et la mine gourmande.
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Morganenn
C'était le jour J. The D day. Ce jour tant attendu qui avait mis en effervescences les plus grands ateliers de coutures. Attention mesdames et messieurs car vous allez assister a la manifestation la plus stylée jamais faites ! sauf lors de la prcédente FW des DO. Apprentie dans cet atelier de renom pour rien au monde elle n'aurait raté l'évènement surtout qu'elle aussi elle allait présenter au grand public l'une de ses créations.

C'est à califourchon sur son cheval qu'elle arriva sur les lieux, sa mère et mannequin se tenait juste à cotéé, morgane lui envoya un sourire heureu mais crispé témoignat de son stress qu'elle sentait au creu de son ventre.

-Regarde m'man ! je crois que le défilé vient de commencer ! les robes ne sont elles pas superbes ? tu vois la scène ? et ben bientôt tu vas devoir y aller aussi !

Elle observait pleine d'admiration les robes qui passait trop vite a son gout, et elle se le jurait intérieurement, un jour aussi elle fera aussi bien que les grandes !
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Morganenn de carpadant-plantageunet (et un zeste de chéroy)
damoiselle d'endoufielle
Nebisa
Chlarina vous dites ? J'ouvrirais l’œil mais il est certain que celle qui égalera Alatariel n'est pas encore née... Cette femme a été élue par Aristote lui même pour changer quelques banales étoffes en merveilles effleurant le divin à chaque drapé, confinant une note de divin à la plus anodine de ses création... enfin... elle est de toutes l'Inimitable ! Par contre, je partage votre avis quant aux élans que pourraient susciter les générosités dont la nature à pourvue la Reyne... bien que la plus part des Dames, gentes ou non, devraient recouvrir à des artifices trompeurs pour parvenir à les égaler... cela exclut la Duchesse de Bourgogne du reste qui sur le plan de cette générosité là concurrence avec audace la Souveraine !


Hum... des potins, des ragots, rien que du futile et personne pour faire irruption dans le périmètre avec une missive fumante, aucun courtisan pour venir vous coller en quête d'un poste ou d'une charge, pas le moindre garde ou la moindre petite main pour vous guetter sans faillir dans l'attente d'un besoin, d'une envie, d'une requête ou même d'un éternuement ! Que c'est bon... l'insignifiance !

Tournant la tête un instant en direction des cris, afin de vérifier si quelques malandrins n'étaient pas en train d'égorger une innocente créature, la Malemort, après avoir constaté qu'il n'en était rien, revient bien vite à un sujet de préoccupation plus... primordial...



Et les fourrures ? Quelles fourrures seront à l'honneur ? J'ai toujours préféré le renard des neiges que l'on fait venir de la trop lointaine Russie mais je confesse un gout secret pour les hermines, bien qu'il convienne de le terre ou encore la zibeline... et la saison le Ciel soit béni, se prête aux douces satisfactions d'une chaude protection...
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Angello
Angello était installé tranquillement dans son coin a admirer les robes plus belles les une que les autres ,les tissus étaient de toute beauté ,les couleurs étaient chatoyantes ,il n'avait pas assez de yeux pour admirer tout le travail fait par tout ces petites mains ...
Quand soudain il fut percuté de plein fouet par une petite chose toute menue ...


Ouille ... excusez moi Messire ... je ...

Le jeune homme se baissa et tendit la main a la petite fille ...

Hé bien , petite maladroite ... vous devriez faire attention ,vous pourriez vous faire très mal . Vous n'êtes pas blessée au moins ?

Angello l'aida a se relever ...

Faites très attention a l'avenir ,une petite crevette comme vous pourrais se faire affreusement mal .

Il lui présenta sa main ...

je suis le sieur Angello ,et vous mademoiselle vous êtes ?
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Selena.
La blonde était paniquée,son maître était en train de passé et la voilà qui devait pressée sa baronne :

"- Johanara,nous devons aller mettre votre tenu,elle est plus longue à mettre que se que l'ont pourrait croire,et imaginez qu'il faillent des retouches !! "


Les yeux bleu étaient agrandit par l'affolement et elle essaya de tirer la baronne rousse dans les coulisses.Un tissu si délicat et fragile n'attendait pas ! Elle fit qu'une foule de gens étaient arrivée depuis le temps et Selena se demander sérieusement si sa baronne serait prête à temps ...

Il fallait la coiffer du chignon serrer assez compliquer qu'elle avait mit au point plus mettre la tenu qui était assez serré.
Des yeux bleu suppliant envers la rousse et une pensée :

" Décidément je haï les nobles,ils nous font toujours attendre ! "


Quelques grognement de la part de la Sauvageonne qui à le bout des doigts qui commence à trembler ...

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