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[RP] Lorsque la GFA donne rendez vous au tout Paris

Alienor_marie
[Chez Eilinn Melani]

Vite, vite, vite ! Aliénor s'était rendormie. Sa servante l'avait portant bien réveillée ! Vite, une toilette. Vite un habillage. Quoique, elle allait bientôt se déshabiller pour enfiler une nouvelle robe, on pouvait donc se questionner quand à l'utilité de se vêtir. Pour la décence Aliénor ! Ah oui, c'est vrai, je l'avais oublié celle là. Elle nous embête bien des fois la décence.

Vite, un véhicule, et vite, direction le lieu du défilé. Aliénor était quelqu'un de calme et discret, jamais elle n'avait autant couru ni crier de sa vie.

Enfin, elle arriva. Essoufflée évidemment. La brunette prit un petit temps pour retrouver son souffle, et pénétra dans les lieux. Ses yeux se mirent à briller. Robes, coiffures, perles et tissus chatoyants s'étalaient sous ses yeux, tandis que les femmes, ou leur tenue, froufroutaient dans tous les sens. Un véritable paradis ! Elle faillit se lécher les lèvres de délices. Bon, maintenant, trouver Estrella. Comme Aliénor ne l'avait jamais vue, cela risquait d'être difficile. Elle demanda des renseignements, mais personne ne semblait savoir où elle se trouvait.


Quelqu'un a vu une Aliénor-Marie?

Ouiiii ! Ce devait être elle ! Aliénor se précipita à ses côtés.

- Bonjour ma dame, je suis Aliénor. Pardonnez moi pour mon retard je...hum...je me suis rendormie. Vous êtes bien dame Estrella ?

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Elektra.
Mais que diable faisait-elle dans cette galère ???? Voila la seule pensée concrète de la pauvre Elektra, perdue dans un brouhaha de cancans, de cris de joie ou de peur elle ne savait plus très bien, de courses dans tous les sens, de gens qui s'interpellaient, et elle, elle se faisait toute petite sur sa chaise.

Elle avait soudain envie de hurler : Mais ce ne sont que des vêtements !!!! Sa bouche s'ouvrit en grand, l'air s'y engouffra et l’élan se perdit dans un couinement inaudible : Flame .... Sa cousine venait de faire son apparition, assurément aux cotés de la duchesse pour laquelle elle travaillait.

La jeune lorraine se redressa mais, vu la densité de la foule, fut incapable de suivre des yeux la silhouette de sa cousine adorée. Flute ! Se redresser discrètement sur sa chaise, pas suffisant. Se tortiller dans tous les sens pour apercevoir entre les jambes des invités, pas satisfaisant. Elle ne pouvait tout de même pas se relever, voir se déplacer, cela aurait été indécent vis à vis de sa petite duchesse.

Elektra penche alors sa chaise en arrière, le plus possible ... Est-ce que Flame la voit ? Non, toujours pas ! Recule encore un peu ... Lève un bras ... Murmure qui ne sert à rien :
Flame ... FLAMEUUUUUUU ....

AHHHHHHHH !!!

Les pieds de la chaise se font la malle, l’escuyer bat des ailes, le cri de la mort qui tue et les quatre fers en l'air ! Question discrétion, c'est loupé, et question indécence on ne peut faire mieux !

La jeune fille se redresse, confuse, rouge comme la robe qui est passée peu avant sur la scène et se rassoit sans un mot. Misère ... Heureusement que le ridicule ne tue pas, sinon la pauvre enfant serait morte depuis longtemps !

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« A solis ortu usque ad occasum »
Snoop71
Snoop avait fait un long chemin pour rejoindre Paris, capital de la mode. Le pauvre, n'y connaissait bien rien à la mode, mais il avait reçu une invitation du manoir en tant que client, il aurait aime que ce soit en tant que.... en tant que rien d'ailleurs il n'était qu'un client.

Il n'était pas à son aise, mais il avait juste besoin de la voir pour vivre encore, et cette occasion qui lui était offert était trop belle pour qu'il la refuse.
Glissé au milieu de la foule, il cherchait l'instant ou elle apparaitrait à ses yeux, pour illuminer sa vie, juste quelques secondes qui pourrait le tuer, ou lui redonner un souffle.

Il regardait les mannequins sans trop les voir, même s'il ne l'avouerait à personne, sa venue en ce lieu ne tenait qu'à une personne, une seule femme, la sienne....

Assis dans un coin de pénombre il assistait au spectacle silencieux admirant le travail des couturières
--Victory



La rousse c'était sentit d'un coup, toute patraque. Ce n'était pas le moment mais elle ne pouvait point contrôler les humeurs de son corps, ses boyaux, ses organes. Elle s'était vite éclipsée discrètement et au passage, avait demandé à ses collègues de prendre la relève le temps qu'elle revienne. Quelques minutes au calme, à se reposer, quelques soins, la voilà de nouveau prête à reprendre son poste de maistre de cérémonie.

Dans les coulisses, Vic remercia les filles puis remonta sur scène ou la jeune Yolanda défilait et priait ?? Oui oui elle priait en compagnie de Linien. La rousse ne les connaissait point comme la plus part des personnes dans le public, comme les couturières hors les DO, mais ce qui était sur, c'est que c'était de sacré phénomène qu'elle voulait découvrir avec le temps.

Elle ne savait que faire... sinon d'attendre que le show passe.
Attia.
L'impatience de la Di Juli caractérisée par le trépignement constant qui semblait amuser sa fille prit fin lorsqu'elle put enfin découvrir la robe de l'angevine.
Le style était reconnaissable, un peu vioque mais très bien fait. Que demande [strike]le peuple [/strike] la noblesse, si ce n’était tenues solides et richement faites ?
Elle fit une moue.


- C'pas mal... Un peu trop classique.

L'oeil acéré cherche, parcourt les détails, regrette presque que le mannequin soit en train de bouger. Il n'y avait rien a dire. A quoi la Di Juli s'attendait elle ? Que le maître ait perdu la main au fin fond de son Anjou.

- Je n'aime pas ce rouge ... il est terne et sans vie tout comme le damas , le doré tranche de trop.

Mais tout le monde sait que les goûts et les couleurs... ça ne se discute pas et l'angevine n'avait définitivement rien a prouver.
La des Juli détourna son regard de la scène et joua un instant avec sa fille avant qu'on annonce le passage de Yoland'amour, ce qui lui arracha un large sourire alors qu'elle fixait sa fille. Elle qui avait avant de porter son enfant souhaité avoir une petite fille comme Yolanda, Yolanda qui jouait dans ses jupons, s'endormait contre son bras, Yolanda qui avait parlé a Livia alors qu'elle n'était encore qu'une petite crevette dans son ventre.


- Regarde Livia, c'est Yoland'amour...

Pourtant quand la princesse angevino-bourguignonne apparut, la Di Juli retint une grimace coite.
En effet si Yolanda était toujours merveilleusement vêtue, elle ne comprenait pas l'excentricité de cette tenue.
Deja le noir lui parut affreusement triste, certes l'infante avait fait le deuil du rose et ne revetait désormais que du noir, mais la...


- Gigi... je ne sais pas quoi penser de cette tenue...

Signée Clarinha.
Elle regarda mieux l'infante qui apparut après s'être défaite des couches que comportait l'habit assez "Guerrier" et eut tout le loisir de l'observation lors de la prière.
Elle ecouta et sourit.


- c'est Yolanda. C'est unique et original.

Voila ce que sera son commentaire.

- Tu as vu sa coiffure ? je me demande qui pense a tout ceci!

Elle soupira. Au final elle pouvait elle aussi se faire les mêmes remarque qu'elle faisait quelques instants plus tôt envers l'angevine. A coté de Clarinha tout ce qu'elle faisait lui semblait dénué de l'originalité que la petite Yolanda venait de porter au regard du monde sous la signature Clarinha.


- Oh Gigi j'ai une idée! Tu devrais prendre note de mes remarques! On pourra ainsi livrer un article critique ? N'est ce pas une bonne idée ?

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Avant j'étais Dieu... mais ça... c’était Avant.
--Heloise.


Et c'est à ce moment précis qu'Héloïse entra.
On peut la qualifier de tous les noms appartenant au champs lexical de la fatigue. C'est certain, elle était épuisée. Les cheveux en bataille, transpirante, habillée d'une simple robe, son tablier encore attaché autours de la taille, un petit bandage autours de l'index, et traînant un coffre comportant sûrement son "oeuvre", si l'artiste n'avait pas été aussi muette, elle aurait sûrement crié de frustration.
Revenons un peu plus tôt dans le temps.
La jeune femme corrigeait quelques légers détails sur la fameuse robe que Sofja allait porter, quand tout à coup, un bruit soudain et venu d'on ne sait où la fit sursauter, et une partie du tissu de l'habit se déchira, son aiguille piquant au passage gravement son doigt. Complètement affolée, elle en oublia presque le défilé, et ne pensait qu'à réparer au mieux sa bêtise. Heureusement, ce n'était pas très grave, mais la blonde arriva donc très, très, trèèèèès en retard, et comment dire ... Pas du tout, mais du tout, prête.

Un regard circulaire autours d'elle, et Héloïse murmura intérieurement "Et mince.". Du public. Partout. Les larmes aux yeux, légèrement apeurée, et complètement perdue, elle ne savait pas quoi faire.

Mais comme sa vie tournait comme dans un vrai film, la solution, comme ça, pouf, se présenta.
Son regard fut attiré par une silhouette. Brune. DTCienne. Calyce.
Quelqu'un se faufila dans les coulisses et les rideaux s'écartèrent assez pour que l'apprentie reconnaisse sa camarade. Souffle retenu, et tout en silence, elle se précipita vers sa sauveuse. L'ancienne campagnarde essaya d'attirer l'attention de la Dénéré malgré le brouahaha, en frappant sur sa malle, assez pour qu'on l'entende, mais toujours discrètement pour ne pas perturber le spectacle.

Et c'est ainsi que le jeu de mime commença.
La muette était assez forte pour ça. Je vais, dans une passade d'extrême bonté (hum), vous épargner les détails, et vous dire ce qu'on arriva à traduire des gestes de la jeune femme.


"Moi - pas prête - robe O.K - où est Sofja ? - je passe quand ? - j'ai tout oublié ! - je suis fatiguée - AIDE MOI ! "

Et c'est les mains jointes, un air désespéré sur le visage, qu'elle attendit la réaction de l'angevine.
Que la vie est dure.


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Calyce..
Saint Louis, nous te rendons grâce,
Toi qui incarna la sagesse, la droiture,
Guide nous sur la chemin parsemé d’embûches de l’intégrité,
Que nous soyons capable d'aimer la Justice comme tu l'as crée,
Que nous soyons respectueux de la parole donnée et de l’honneur chevaleresque,

Protège le Royaume de France de la laideur et des béotiens
Protège les Arts et Artisanats qui font la réputation des Ateliers de France.
Protège également l'âme de feu sa Majesté Béatrice de Castelmaure,
Qui savait aimer la mode et ses couturières.

Amen.


A peine a t-elle fini de murmurer la prière Linienesque qu'elle est attirée par un léger tapage qui l'oblige à quitter Yolanda des yeux. Un sourire d'abord pour la muette en panique. Le sourire laisse rapidement place à une grimace. Sourcils froncés jusqu'à presque se joindre, elle essaie de déchiffrer le langage gestuel de la blondinette. Une main qui se veut être rassurante tapote l'épaule d’Héloïse, l'incitant presque à poser son derrière sur le bois de la malle.

Respiiiire ! Ca va aller...

Et de faire vagabonder son regard à la recherche de son mannequin... Sofja est demandée en coulisse...

En attendant, Calyce se dépêche de dénouer le tablier qui ceint la taille de sa collègue. On a pas idée de se pointer attifé comme ça quand on est couturière !... Heloïse ou quand l'adage "Les cordonniers sont les moins bien chaussés" prend tout son sens.
La bouteille de cidre offerte par la Bretonne un peu plus tôt va servir de suite !


Tiens, bois un coup pis faut sortir la robe... La vicomtesse ne doit pas être bien loin..

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Ayena
Ayena est un peu en retrait et darde sur Yolanda un regard.. Presque maternel. C'est étrange comme leur relation est multiple. Et dire que d'Alquines avait détesté cette mioche ! Maintenant, elle se sentait apaisée, de la voir là. Oh, certes, il faudrait qu'on lui explique la nouveauté claudicante. Mais après tout, boiter n'avait jamais interdit à personne de faire ce qu'il voulait faire. Ayena en était l'exemple.
Prier... Prier ? Ce n'est ni le lieu ni le moment ! Ayena bouge les lèvre spour faire semblant de réciter, puis elle vient prendre la petite main de façon ferme. Il est temps de retourner en coulisse. Un sourire aux clients. Et, pour détendre l'atmosphère...


- Que Saint Louis protège le Royaume de France ! Et que le défilé continue !

Huhu. Remarquable. Allez, Réglisse, retournons nous cacher. Un coup d'oeil à Victory, pour lui indiquer de prendre vite la suite.
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>DECO pour bannières et tenues !
- Héraldique -
Yolanda_isabel
Mais qu'elle est belle cette prière ! Oui qu'elle est belle. Jolie comme une chanson, alors elle écoute Linien la déclamer, elle essaye de mémoriser les mots de s'en souvenir. C'est beau comme une caresse cette jolie prière ! Ils devraient tous écouter et penser à Marraine qui dardait sur eux ce regard bienveillant.

La veste est remise rapidement pendant que Linien déclame la prière et se sauve.


-« Oh ! »

A Ayena qui attrape sa main et l'entraîne à sa suite, c'est une deuxième exclamation.

-« Oh ! Et Maman aussi ! »

Pouf ! Percée à jour ! Elle n'a que neuf ans la petite étoile des podiums. Maman aussi, et toutes les autres, ces dames qui s'occupent d'elle et la choient, et la main se resserre contre celle d'Ayena le temps de rejoindre les coulisses, un dernier geste pour la forme ? Des rideaux s'extrait une petite main gantée qui vient esquisser un au revoir tardif.

-« J'étais belle hein ? J'avais dit .. »

Et sans autre forme de procès, elle se laisse glisser contre les malles, les bras croisés, le museau dans le renard de ses manches. Azurs qui mirent et admirent, les coulisses, son monde, son enfance et son avenir. Ca étincelle, ça brille, ça virevolte.. C'est beau et c'est doux. C'est la Mode.

Twinkle, twinkle little star..

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« Ca s'la touche beaucoup, mais pour ce qui est d'agir, y a plus personne ! »
Elisel
En retard, en retard, j'ai rendez-vous quelque part... Elle commençait à la connaître cette comptine, la couturière, mais impossible pour elle d'être à l'heure, quel que soit l'évènement.
Ce jour-ci, elle mit ça sur le compte des embouteillages de la capitale : Des charrettes en tout genre, tirées par des boeufs, des ânes ou des chevaux, se traînaient avec lenteur pour aller livrer les débits de boissons et autres lieux du même acabit, les artisans, les commerçants, toute la vie grouillante de Paris.
Et dans le même flot, des carrosses, des chaises à porteurs aux armes de quelque maison inconnue, zigzaguaient avec plus ou moins de réussite afin de grappiller quelques mètres, impatients d'arriver.
Elisel pensait que vu la situation de crise dans le Royaume, la capitale serait un peu moins en effervescence. Que nenni, c'était même pire ! L'intuition féminine cette fois s'était trompée, et en beauté !

Accompagnée du garde de son corps, et futur mannequin pour l'occasion, Elisel arriva finalement, après maints détours et demandes d'indications, devant l'Hôtel de la Guilde qu'elle n'avait encore jamais vu. Pause, tête qui se lève, qui détaille la façade, sourire qui s'élargit. Celles qui s'étaient occupées de trouver la bâtisse avaient vu grand, beau, majestueux. Choix parfait en somme ! Un nouvel écrin pour la Mode dans la capitale !

Elle gratifia la vieille femme à l'entrée du porche d'un signe de tête, puis pénétra à l'intérieur. Des voix, un brouhaha, des applaudissements. Un coup d'oeil dans la cour intérieure, où les spectateurs murmuraient les uns avec les autres pour commenter ce qu'ils voyaient ; un coup d'oeil à l'estrade qui se dressait au fond : une main dépassa pour un coucou à la foule, avant de disparaître. Curieuse, la couturière resta plantée là, attendant de voir qui serait la prochaine à monter.

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--Victory



Une fois la prière finie, la fillette prit ses jambes, sa robe et Linien et quitta le podium. Les spectateurs, surpris ? Amusés ? Choqués ? avaient plus ou moins le silence, d'autres rigolaient.

Merci à la jeune Yolanda Isabel de Josselinière pour ce défilé.

Petit regard à droite à gauche, la rousse reprit la parole.

Veuillez accueillir Dotyy qui porte une tenue de Keyan.

Vic se décala pour laisser place au mannequin.

C'est une cotte à manches longues, en laine bleue. Surcote du même tissu, à manches courtes. Les deux vêtements sont agrémentés d'un galon de satin carmin. La taille est soulignée par une ceinture large en laine saumon bordée de galon en satin carmin. Le collier est fait de trois chaînes en argent portant chacun un rubis taillé en rond.
Sofja
La Vicomtesse de Bellegarde en Marche abservait depuis le début le défilé depuis les coulisses. Elle vivait le défilé à 100%. Cela allait de l'accueil des mannequins, des retrouvailles mannequins-couturiers, des essayages, des modifications de dernières de minute, des rires, du stress, de la joie de voir sa robe sur le défilé, de porter la robe et pour finir, la joie de partager ensemble cette expérience.
Omnibulait par cette expérience, c'était la première qu'elle participait à un tel évènement, que la jeune femme ne manqua une miette. Elle en oublia presque sa mission, portée la robe de la jeune Heloïse de l'atelier D.E.C.O. L'apprentie avait été heureuse que la blonde accepta sa proposition qui fut formulé par Linien à cause de son handicap.

Pendant la prière de la petite Yolanda qui avait une voix très portante, un caractère déjà bien affirmé, la Vicomtesse rencontra sa styliste.


Hooo Héloïse, comment allez vous ? Pas trop stressée ?

Sofja parla doucement, articula bien afin que la jeunette puisse lui répondre.
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Flaminia
Dôle était une bien belle ville qui présentait de grandes opportunités. C'était dans cette ville que Flaminia d'Acoma avait rencontré Azurelle de Sparte et était entré à son service comme demoiselle de compagnie.
Même si un lien assez "hiérarchique" les liaient, elles avaient le même âge et étaient les mêmes: le gout des belles choses, l'envie de rire...
Elles s'entendaient très bien; heureusement pour Flam d'ailleurs: elle n'aurait pas suppoter de rentrer au service d'une vieille femme, ridée, sérieuse, puante et accariatre. Beurk...

La Duchesse lui avait proposé de l'accompagner à un défilé de mode. Bon d'accord Flaminia apprécie les belles choses, mais ce n'est pas pour autant qu'elle s'y connait en tissus. Mais bon, c'était une bonne opportunité pour elle de rencontrer du monde, de servir sa Duchesse, ce qui n'est pas accessoire; et pourquoi pas de tomber sur une robe de mariée? Car oui la jeune fille espérait avoir bientôt l'autorisation d'épouser l'homme qu'elle aimait et il lui faudrait être la plus belle et rendre jalouse toutes les filles qui seraient présentes au mariage en se pavanant dans une belle robe et surtout, au bras du plus bel homme de Franche Comté; d'Empire même!


Voyez, Flaminia, comme ces robes sont magnifiques ! Vous pensez qu'on peut les acheter ?

Oh cela serait vraiment bien si nous pouvions en acheter Mademoiselle! Il y a ici des robes tellement belles...
Je vous remercie de m'avoir proposé de vous accompagner, vous avez eu une bonne idée, grâce à vous je vois de belles choses.


Que de monde...Même si elle était fille de Baron, elle ne connaissait pas beaucoup de monde de son rang, et malgré tout ne se sentait pas forcément à sa place... Si seulement Elektra ou encore Camille, ses deux cousines chéries, pouvaient être là pour lui tenir compagnie et s'émerveiller des robes qui passaient devant elles...

Soudain un bruit sourd se fait entendre, accompagné d'un cri. Une des filles qui présente les robes aurait-elle marché sur le pan de sa robe et serait tombé? Ou bien sa coiffure serait elle trop laide pour qu'elle s'affiche en public?
Aucune idée, en tout cas la jeune femme n'est pas discrète quand elle fait part de son malheur...


Et où est Idril ? Et où sont ses robes ? J'espère que si on les a manquées, il est prévu que les jeunes filles qui les portent se baladent dans la foule pour qu'on puisse les revoir !

Votre cousine présente des robes? J'ignorais qu'elle cousait. En tout cas le peu que je l'a connais, je ne doute pas que ses robes soient les plus belles. Je m'en voudrais si nous avions raté son défilé...c'est ma faute car je ne vous ai pas coiffé assez vite ce matin et donc nous avons pris du retard...
Mais peut être qu'elle passera dans les dernières, vous savez ce qu'on dit: "les meilleurs pour la fin". J'espère que c'est le cas en tout cas, comme cela nous pourrons admirer ses créations
Marie.catherine
La voix de la présentatrice résonna dans ses oreilles, cette fois-ci. Puisque celle-ci avait nommé le nom de Dotyy.
Alors Dotyy participait elle aussi au défilé ! Que de joie !
Étonnée et curieuse, Marie se retourna pour faire face de nouveau à l'estrade et aperçût alors l'amie de papa qui s'avançait, portant fièrement une jolie robe. Avec du bleu en plus ! Wouah !


- Papa c'est Dotyy dans le défilé !!!!, ajouta-t-elle, pressée de prévenir son père qui se réjouierait sûrement.

Toute contente, la blondinette s'éloigna un peu de sa tatie pour se rapprocher encore plus de l'estrade, même si elle était déjà très près. Mais bon la friponne en veut toujours plus !
Affichant un sourire radieux, les mirettes de Marie se régalait !
Mais la Friponne ne pu s'empêcher d'afficher un air surpris, elle ne s'y attendait pas du tout. Surtout qu'elle croyait au début que Dotyy venait seulement pour voir les robes...Rhalala !

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Dotyy
Dotyy la peur au ventre admirer les robes justes avant elle. Celles-ci etaient magnifique, les couturières avaient vraiment très bien travaillé. Elle sourit quand elle entendit la prière et bah voila ce qu'il lui fallait. Une prière et hop en scène et surtout sans faire de gaffe. Bien regarder ou on va et surtout ne pas trébucher et encore moins tomber.

Vérifiant une dernière fois ca robe, elle sourit à toute les autres mannequins qui attendaient-elles aussi leur tours plus ou moins stressé. Elle respira un grand coup et se mit en marche.

Elle avança d'un pas sur et lent sur le podium, souriante voire même rayonnante. Elle etait heureuse d'être la et de défilée pour de si grands talents. Elle en oublia sa peur et ses angoisses. Les pas venaient naturellement. Son corps fluide avancé avec élégance. Cette robe mettait sa taille en valeur. Le tissus etait très agréable a porter.

Elle continua son avancé et aperçut au bout du podium un petit minois et son adorable sourire. Marie-Catherine etait la, les yeux grand ouvert. Jake et elle avait gardé le secret et ne lui avait pas dis la vrais raison de leur venue ici. Dotyy en etait ravie car le sourire de cet enfant etait la plus belle chose.

Elle lui rendit son sourire et continua, Osant enfin regarder un peu plus l'assemblé. Son regard se posant sur Jake et a ses cotés sa sœur. Elle etait heureuse de la revoir et de s'avoir Jake avec elle. Continuant à avancer et a regarder les personnes présente. Beaucoup de tête inconnue et d'autre non. Elle sourit de nouveau quand elle aperçut son ami Angello. Elle irait le saluer quand elle aurait finis de défiler.

Elle etait presque arrivée au bout du podium quand elle stoppa net, son regard c'etait posé sur une silhouette cachée a moitié dans l'ombre. Elle sentit ses jambes devenir coton. Non, non Dotyy surtout pas. Ressaisit toi. Oui c'etait pas le moment. Elle prit alors une pose pour gagner un peu de temps. Son regard rivé sur la personne.

Elle ne pouvait rester plus longtemps. Elle fit donc demi-tour.. repartit faisant qu'elle arrêt voulu, souriante surtout et rejoignit les autres pour laisser la place a la suivante.

Elle regarda ensuite derrière elle mais ne voyait plus rien et il n'etait pas temps de dormir, elle avait une autre robe a enfilé. Elle se dépêcha alors de rejoindre la salle attribuée au manoir.



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