Guilhem_horvy
[Participe qui veux avec envoie d'un petit mp avant merci. ]
C'était un petit brun souvent couvert de boue, résultat de l'amour d'une folle berrichonne ennemie de la couronne et d'un ancien maire de la capitale du Berry. Il était né dans une prison teutonne et avait grandi avec les aventures politicarde de sa mère. L'identité de son père lui était inconnue et jamais révélée par sa mère après leurs séparation. Mais si une chose était claire pour lui, c'est que sa mère c'était mariée à George le Poilu et qu'il était donc son père ! Alors qu'en réalité le vieux berrichon avait juste anoblie sa génitrice. Anoblissement durant lequel après avoir tenté de tuer Tixlu, l'enfant reçut l'épée du Pair de France en cadeau.
Tout à l'heure nous parlions des aventures politique de la mère-Prudence de Champlecy dite Poumona pour ne pas la nommer- L'envolé au Limousin faisait partit de ses dernières, alors n'ayant le choix il l'a suivit et quand la guerre débuta l'enfant vit sa mère partir vers le Berry en le laissant seul à Limoges avec pour seul souvenir d'elle un cheval jaune et une bourse contenant près de 300 écus. Les premières semaines furent simple pour lui, il vivait en bon prince à l'auberge ou un repas et une chambre lui était préparé chaque jour. Mais un jours l'aubergiste le mit à la porte disant qu'il ne souhaitait pas voir sa réputation salie par ce qu'il héberge un fils de félonne ! Sans vraiment comprendre le petit brun partit vers la foret ou il trouva un arbre sur lequel il pouvait dormir. Ce n'était pas bien confortable mais l'été était chaud !
Mais voilà que l'automne arriva ainsi que tout un défilé d'armées. Alors le petit se mis à revenir vers les tavernes afin de trouver un peu de chaleur. Là bas il rencontra deux auvergnats, Sofio et Morphey, qui apprenant de qui il était l'enfant l'enlevèrent pour demander de l'argent à sa mère. Sa folle de mère qui depuis quelques temps avait développé une paranoïa ainsi qu'une double personnalité. (cf RP grande traque, à Paris) Les deux auvergnats étaient étrangement des plus gentil avec l'enfant, et il espéra un instant qu'ils le gardent et l'éduque... Mais les espoirs furent vite balayés. Le jour du sept novembre quatorze cent cinquante neuf, le couple avait bien vite changé de comportement à son égard et lorsqu'il demanda pourquoi. On lui répondit que sa mère refusait de payer et qu'il ne leurs servait alors plus à rien.
Il en avait pris des baffes dans sa petite vie le Berrichon, mais jamais il n'en avait pris d'aussi grande... Sa mère ainsi que les deux autres... Personnes ne voulait de lui... Comme tout enfant qui se respecte, sa première réaction fut de pleurer. Pleurer oui mais en silence, car il ne fallait jamais montrer ses larmes, c'était signe de faiblesse !
Venons en maintenant à la seconde réaction... Après la tristesse la colère ! Si aucun d'eux ne voulait de lui l'enfant irait voir ailleurs ! Sa Tixlienne à la ceinture, un simple baluchon sur l'épaule il prépara son cheval pour la route. Il ne savait pas encore ou il irait, mais ce qui était certain c'est qu'il sarrêterait le plus loin possible du centre de la France !
Ma brave Armoria, il ne reste plus que toi et moi du maintenant...
Armoria était le nom de sa jument, c'est sa mère qui l'avait choisit, elle lui avait dit que comme la Princesse, ce cheval se ferait souvent monter... L'enfant n'avait pas tout compris mais il retenue l'explication dans l'espoir de la comprendre un jour. Le voilà donc monté sur l'animal à la couleur étrange l'âme sombre il lui fallait maintenant quitter la ville sans se faire voir par les armées présente.
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