Fandango
Cela faisait plusieurs jours que Fandango dormait à la belle étoile. Mais, aujourdhui, ras-le bol du vent durant la nuit, des giboulées, de la température et de tous les caprices du temps ! Il se rendit donc en ville pour y trouver une auberge, peu lui importait laquelle, tant quelle avait un toit et des murs.
Cest ainsi quil se retrouva devant un bâtiment nommé « Chez Platon le Chat ».
Alors quil poussait la porte dans un grincement presque sinistre, sapprêtant à lancer une vanne à laubergiste qui devait se trouver dans le coin, le Tzigane entendit un raffut provenant de létage, comme si quelquun se défoulait dans une chambre. Ce foutoir fut suivit, à peine quelques secondes après, dun cri que Fan reconnu directement. Cétait la voix de la Rouquine. Que lui arrivait-il ? Était-elle agressé ? Sétait-elle blessée ?
Ne perdant pas une seconde, sans même saluer Sanctus et la petite qui se trouvaient dans la pièce, le Tzigane fonça à létage, fit son possible esquiver le chat qui gratter à la porte et, sous le coup de la panique, l'enfonça dun violent coup d'épaule.
Cest alors quil la vit, Ivori, recroquevillée par terre, tachant le sol de son sang qui semblait pour le moins alcoolisé. Cette scène fit remonter un très mauvais souvenir à la surface. Ne cherchant pas à connaître le pourquoi du comment, Fan bondit dans la pièce et se précipita près de la rousse. Là, ne sachant pas trop quoi faire, il se mit à brailler :
Jai besoin daide ! Y a quelquun ? ! Une femme est en danger !
Rhooo ! Bordel ! Ramenez-vous !
Fan espérait que quelquun allait se ramener vite fait dans la chambre, un médecin de préférence ... mais n'importe qui s'y connaissant plus que lui ferait l'affaire.
Puis regardant Ivy, toujours plus ou moins sans réaction apparente, il la secoua aussi vivement qu'il le pouvait :
Oh Rouquine ! Debout ! Cest pas lheure de la sieste là ! Allez ! Tes sensée être une future mariée heureuse là !
Tu vas pas me faire des retrouvailles aussi pourries que celles là ! Réveilles-toi !
Cest ainsi quil se retrouva devant un bâtiment nommé « Chez Platon le Chat ».
Alors quil poussait la porte dans un grincement presque sinistre, sapprêtant à lancer une vanne à laubergiste qui devait se trouver dans le coin, le Tzigane entendit un raffut provenant de létage, comme si quelquun se défoulait dans une chambre. Ce foutoir fut suivit, à peine quelques secondes après, dun cri que Fan reconnu directement. Cétait la voix de la Rouquine. Que lui arrivait-il ? Était-elle agressé ? Sétait-elle blessée ?
Ne perdant pas une seconde, sans même saluer Sanctus et la petite qui se trouvaient dans la pièce, le Tzigane fonça à létage, fit son possible esquiver le chat qui gratter à la porte et, sous le coup de la panique, l'enfonça dun violent coup d'épaule.
Cest alors quil la vit, Ivori, recroquevillée par terre, tachant le sol de son sang qui semblait pour le moins alcoolisé. Cette scène fit remonter un très mauvais souvenir à la surface. Ne cherchant pas à connaître le pourquoi du comment, Fan bondit dans la pièce et se précipita près de la rousse. Là, ne sachant pas trop quoi faire, il se mit à brailler :
Jai besoin daide ! Y a quelquun ? ! Une femme est en danger !
Rhooo ! Bordel ! Ramenez-vous !
Fan espérait que quelquun allait se ramener vite fait dans la chambre, un médecin de préférence ... mais n'importe qui s'y connaissant plus que lui ferait l'affaire.
Puis regardant Ivy, toujours plus ou moins sans réaction apparente, il la secoua aussi vivement qu'il le pouvait :
Oh Rouquine ! Debout ! Cest pas lheure de la sieste là ! Allez ! Tes sensée être une future mariée heureuse là !
Tu vas pas me faire des retrouvailles aussi pourries que celles là ! Réveilles-toi !