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[RP] Soirée particulière pour une petite vie...

Nephertiti
Nephe avait de plus en plus mal, la tête lui tournait et elle ne savait pas vraiment ce qu'il se passait autour d'elle. Il lui semblait qu'elle était tombée sur le sol, mais que quelques bras l'avaient portés sur une chaise. Il lui semblait aussi qu'elle avait entendu la voix tu tavernier lui murmurer quelques phrases dont elle ne comprenait pas vraiment le sens.

"Norf Pardonnez-mi Gazoute ... pas R'connu ... L'Duchesse ... arvient ... Mi fils ... l'Idiot ... al veut ... d'l'eau ?"

Les seules réponses qu'elle put lui offrir furent des cries de douleur. Elle avait l'impression que son ventre allait se déchirer. Dans un coin de son esprit elle était inquiète il ne lui semblait pas que sa soeur est autant souffert. De peur et d'inquiètude, Nephe crispait ses mains sur son ventre, et des qu'on la touchait, elle hurlait, elle ne voulait pas qu'on lui fasse de mal, pas à son enfant. Cet enfant elle l'aimait tant, il fallait qu'il vive et ce à tout prix...
Ne faisant plus vraiment attention à ce qu'il se passait autour d'elle, c'est à peine si elle entendit la porte s'ouvrir, pourtant Dieu sait que cette porte faisait du bruit.
Il lui sembla reconnaitre une voix familière, celle de la Belle Ysandre. Nephe toujours souffrante, sentit cependant un bouffée de soulagement monter en elle. Ainsi, elle n'était plus seule...
Le contact de la délicate peau d'Ysandre sur son front chaud, la ramena un peu plus à la réalité. Malgré les battements de son coeur raisonnant dans sa tête, elle en tendit Ysanbre murmurer à quelqu'un.


"Il faudrait que vous alliez chercher Forsanz, sa présence risque d'être necessaire sous peu."

Forsanz !... son amour, il était loin et elle avait si mal ... Les moments de bonheur en sa compagnie défilèrent dans son esprit. Toutes ses petites attentions, ses mots doux, ses cadeaux, tout lui revint en mémoire.
L'amour qu'elle éprouvait pour lui était infini et cela était réciproque mais était-elle digne de cet amour ? Pourquoi ne lui avait-elle pas parler de ses douleurs de la nuit d'avant ? Allait-il lui en vouloir ? Elle voyait dans son esprit l'image de son mari qui lui souriait... Dans ses hallucinations, la jeune femme murmurait.


"Fors ... pour toujours ... à toi ... Pardon ... aaaaaaaaaaaaAAAAAAAhhhhHHHHHHHH!!"

Les larmes ruisselaient sur ses joues, une nouvelle douleur encore plus forte que la précédente se fit ressentir. Elle entendit vaguement la porte d'entrée s'ouvrir à nouveau pour laisser sortir quelqu'un, probablement la personne qui allait chercher son mari. Pourvu qu'il arrive vite...
Ysandre restait auprès d'elle lui murmurant des paroles rassurantes, elle avait fait mander Astérie. Nephe accueilla la nouvelle avec soulagement mais elle ne pouvait s'empêcher de se sentir atrocement responsable de la situation...
Elle aurait du aller voir Astérie plus tôt, peut-être avait-elle mise sa vie en danger... ou pire... celle de son enfant... Si cela était le cas elle ne pourrait jamais se le pardonner.
La taverne était à présent bien silencieuse, les Clients semblaient avoir quitter les lieux... De nouveau la porte s'ouvrit, Nephe reconnut une nouvelle voix celle d'Astérie. On la déplaca de nouveau, pour la monter dans une chambre. Toujours en plein délire elle murmurait des paroles incompréhensibles...


"Fors... Pardon... je t'aime... à jamais... mon bébé... pardon... soit heureux..."
_________________
--Naqunoeil
[Pendant ce temps sur les routes]

Naqunoeil avait reçu pour mission de ramener Forsanz le mari de Dame Nephertiti.
Lorsqu'ils étaient entrés dans la taverne, La duchesse, lui et Ventraucou, taverne bien grand mot pour ce taudis, ils avaient été surpris par la pâleur de cette dernière.
Elle avait les main plaquées sur son ventre, sa vesture était couverte de sueur, probablement du aux effort surhumain qu'elle faisait pour résister à la douleur. Le tavernier fort désagréable et à l'allure bien louche, avait placé la pauvre jeune femme maladroitement sur une chaise, ce n'était sans doute pas la meilleurs des positions pour elle, encore qu'il n'était pas un spécialiste en la matière.
Heureusement la Grande Duchesse, à l'esprit vif, avait eu la bonne idée de faire mander Dame Astérie.
Au vu de la souffrance de Dame Nephertiti, il espérait revenir à temps avec son jeune mari.
Il aimait bien ce petit couple qui rendait parfois visite à la Duchesse, il les trouvait toujours trés heureux, amoureux l'un de l'autre comme au premier jour. Ils étaient toujours courtois et polis avec tout le monde même les gens de maison. Dame Nephertiti aimait bien préparer elle-même sa tisane, oh il la soupçonnait de rajouter parfois un peu de poire pour améliorer le goût. Elle si souriante d'habitude, elle lui avait semblée, ce soir, une femme bien différente de celle qu'il connaissait...
Il faisait avancer sa monture au triple galop, il fallait faire vite. Tournant, virevoltant, se perdant dans les rues de Sancerre, il eut beaucoup de mal à retrouver la demeur tant cherchée. Il descendit précipitement sans même prendre le temps d'attacher sa monture, mais celle-ci bien dressée par ces soins ne s'enfuirait pas ainsi.
Il ouvrit la petite porte en bois du jardin et se précipita vers la porte d'entrée sur laquelle il frappa avec virulence.


"Messire Forsanz ! MESSIRE FORSANZ ! Votre femme, il faut que vous veniez avec moi ! Vite !!!! la Duchesse Ysandre de Mistra vous fait demander, elle est en présence de votre femme Dame Nephertiti ! Cette dernière est probablement en train de mettre bas ! MESSIRE FORSANZ !!! dépêchez-vous !"

Tambourinant toujours la porte, il espérait que le jeune homme soit bien chez lui.
Il fallait se dépêcher, il souhaitait vraiment arriver à temps, que ce couple si merveilleux puisse se voir ... encore ...
Gertrude , incarné par Asterie
Dans l'auberge les commentaires allaient bon train ...
Gertrude une des clientes de l’auberge regarda entrer Asterie.... Elle se retourna vers son compagnon.
Par Aristote là pauvre femme ! Elle va mettre bas, dans une auberge c'est pas t'y pas marrant ah, ah ! T’a vu la tête du tavernier il en fait une !

Il parait que la femme elle connaît la duchesse de Chantôme et qu'on a été la chercher.

Ben ! Dit donc on dirait pas à son accoutrement qu'elle connait de la noblesse ! Elle va mettre bas dans l'auberge ah ! ben! dit donc ! Faut aller chercher la Georgette la matrone !.


Tu crois !

Ben elle va mettre bas t'y vois pas ! Moi j'ai mis bas quatre fois je sais ce que sait.

Ben moi aussi !

Toi aussi mais t'es un homme !

P'tetes mais j'étais derrière la porte à me saouler avec les copains et pis à attendre, ce n'est pas évident c'est que la Marcelle à chaque fois elle t'y met longtemps. Plus long que la Marguerite.

Ben dit donc t'y compare la Marguerite ta vache avec ta femme !

L'homme se mit à rire. A ben non ! Ma Marguerite elle me coute moins cher que la Marcelle. Cette dernière réflexion fît rire quelques habitués, de l'auberge.

Quelques temps plus tard La Duchesse de Chantôme arriva. On leur demanda de sortir ou de s'éloigner de la jeune femme.

Ben ils nous enlèvent le spectacle puff ses nobles!!!

Ils attendirent plus loin la curiosité était la plus forte.
Après quelques temps la jeune serveuse vît arriver Asterie. Elle l'a regarda.


Par Aristote j'pensais pas que c'était à ce point-là !

Ben quoi ! Qu'es qui t'arrive Gertrude ?

Ben c'est Asterie d'Ambparé ! Elle est médecin !

Ah tu l'a connais !

Oui je me rappelle la Georgette elle avait du mal avec la Marie l'enfant y voulait pas venir alors elle a appelé le médecin ! Mais c'était trop tard. Tu sais quand l'a le Médecin c'est pas bon! soit pour l'enfant soit pour la mère.Ils se déplacent pas comme ça !

Tout le monde se retourna vers Asterie puis vers la jeune maman. Un silence se fît dans l'auberge.
Asterie
On montait Nephertiti à l'étage où elle sera tranquille.

Ne t'inquiète pas Neph tout va bien se passer tu verras calme toi. Ton mari va venir tu es bien entouré. On va te déshabiller avec Ysandre pour que tu sois plus à l'aise et puis je regarderais où en ai le travail.


Asterie se voulait rassurante mais, elle sait bien que tout accouchement était risqué. Mais il ne fallait pas penser à cela.

Neph tout va bien ne t'inquiète pas tous ce passera bien.

Elle comprenait très bien ce que ressentait cette future mère la peur... Il y avait toujours cette incertitude.
C'était à chaque fois pareil comment allait se passer l'accouchement... Comment était présenté l'enfant passera t'-il ? La mère supportera t'-elle. Elle connaissait Nephertiti c'était le plus difficile dans son métier connaitre les parturientes.

Ysandre s'était joint à Asterie pour l'aider à déshabiller Nephertiti. Une fois en chemise Asterie attrapa dans sa sacoche son « pinard « son instrument pour écouter si tout allait bien avec l'enfant. Elle n'entendait pas distinctement mais, cela suffisait pour la réconforter l'enfant allait bien.


Neph je vais regarder où tu es respire calmement entre les contractions sinon tu vas t'épuiser pour rien.

Asterie posa ses mains sur le ventre de la jeune femme pour déterminer la position de l'enfant.
L'enfant n'était pas dans la bonne position il avait le dos vers la gauche et la tête en haut. Ce qui voulait dire qu'il se présentait par les fesses.
Elle la prévient qu'elle allait l'examiner pour être sûr de la position de l'enfant et regarde à combien en était de dilatation.
Asterie prit un linge très fin puis examina Nephertiti. Elle eue confirmation l'enfant arrivait bien par le siège. Elle attendit une contraction. Ce qu'elle redoutait une présentation par le siège.
Elle se releva sourit à Nephertiti qui était blanche et surtout inquiète.


Tu es à cinq pouces donc bien en travail encore la poche des eaux, on va attendre encore avant de percer, il vaut mieux qu'elle se perce seule cela atténuera un peu la douleur des contractions.La seule chose c'est qu'il se présente par le siège c'est-à-dire par les fesses.

Asterie aurait voulu lui dire si tu étais venu me voir j'aurais pu faire une version cela ne fonctionne pas à chaque fois mais bon. Elle prit dans sa sacoche un ruban séparé par un morceau de ficelle qui mesurait les pouces et les pieds pour calculer la hauteur du ventre.

Je regarde à peu près la grosseur de l'enfant. Cela lui donnait une idée de la grosseur de l'enfant.
Je vais voir si je peux obtenir ce dont j'ai besoin. Neph tu vas te mettre sur le côté gauche voilà repli un peu les jambes.
Ysandre place toi derrière Neph tu vas lui masser le dos. Puis tu vas la faire souffler lorsqu'il y a une contraction Neph tu souffles en même temps.

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Mon domaine
Forsanz
Fors était rentré chez lui depuis quelques minutes maintenant, il se faisait tard et sa petite femme ne tarderait pas a arriver, il l'avait laissé plus tot dans la journée, elle semblait un peu pale mais en pleine formeselon ses dires... il avait décidé d'allumer le feu dans la cheminée probablement une des dernières flambée le printemp arrivait, mais le temp était plutot capricieux, et des pluies froides s'abbataient depuis quelques jours sur le Berry. Fors une fois la tache accompli, alla cherhcé Flocon leurs patit lapin blanc et s'installa dans le fauteuil près de la cheminée,Nephe quand elle rentrait le soir aimait s'assoir dans ce fauteil près de l'atre pour se reposer, Fors avait donc jugé que ce petit feu la rechaufferait... le bougre une fois confortablement installé, arrassé par une journée de travail ne mit pas longtemp a plonger dans un sommeil réparateur.

Un bruit lointain, puis devenant incessant reveilla en sursaut Fors qui avait bel et bien sombré dans un sommeil Profond...

Messire Forsanz ! MESSIRE FORSANZ ! Votre femme, il faut que vous veniez avec moi ! Vite !!!! la Duchesse Ysandre de Mistra vous fait demander, elle est en présence de votre femme Dame Nephertiti ! Cette dernière est probablement en train de mettre bas ! MESSIRE FORSANZ !!! dépêchez-vous

Ces paroles firent mouche, fors se leva d'un coup et se précipita vers la porte, le pauvre lapin en subit les consequences, fors dans sa hate le propulsa sur la base du foyer, le lapin un peu groggy alla se réfugier sous le fauteuil. Le Boulanger ouvrit la porte, là se tenait le valet de la Duchesse, il l'interrogea du regard, lui attrapa le bras

Ou est elle?? expliquez moi tout ça du temp que je prépare Libellule

Le valet lui expliqua l'endroit ou se trouvait sa belle, et lui résuma en quelques mots la situation pendant que le jeune homme s'affairait a seller la jument, il fut tout de même rassuré qu'elle soit aux cotés d'Ysandre... il vérifia une dernière fois sa monture et bondit sur celle ci... il regarda le valet, lui pris le bras et le fit monter sur la pauvre jument.

Indiquez moi le chemin!

Il arrivèrent enfin sur place, Fors écarquilla les yeux quand il vit l'établissement.. ou plutot l'étable... dans laquelle sa belle était sensé se trouver, il se retourna vers le valet et lui demanda s'il était sur de lui, a ce moments quelques clients sortirent, titubant pour certain, hurlant pour d'autre, le valet confirma. Fors se précipita vers la portes d'entrée bousculant au passage les ivrognes qui sortaient de la taverne... Lorsqu'il fut dans l'auberge il ne vit ni la Duchesse ni sa douce, il jetta un oeil au tavenier... et sentit tout les regards de tous les présents se poser sur lui

Ou est ma femme?!?
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--Leon_l_tavernier
Norf depuis que la Duchesse était arrivée, il se faisait tout petit. Cette dernière avait demandé si quelqu'un avait touché la jeune femme, il n'avait pas répondu préférant ignorer la question. Tout d'abord il avait été fort désagréable avec la gazoute, deuxièmement quand il l'avait placé sur la chaise avec l'aide de Maurice il en avait un peu profité pour reluquer son décolleté après tout elle ne pouvait se plaindre, grosse comme elle était il ne devait plus y avoir beaucoup d'homme pour la mirer.
Mais maintenant la Duchesse veiller au grain, il ne pouvait plus s'approcher de la grosse. De plus La Dame de Mistra avait demandé à ce qu'il fasse sortir les clients bien trop curieux. Certains avaient obéit d'autres s'étaient juste éloignés de quelques mêtres et seul Maurice était resté avec lui. *S'tanée de soirée* pensa-t-il. Une pauvre fille n'avait pas trouvé mieux que d'accoucher dans sa belle taverne, faisant fuir ses clients ce qui ne l'aiderai pas à faire son chiffre. Une troisième femme était entrée dans la taverne, décidément c'était du grand n'importe quoi, elle devait être médecin, elle demanda une chambre pour la grosse. Leon l'aida a monter la jeune femme dans une chambre à l'étage, il n'osa pas promener ses yeux la Duchesse et cette femme médecin étaient là, déçu il les laissa donc seules dans la pièce. En plus, là-haut dans la chambre, elle hurlait comme-ci on l'égorgeait.


"Fichtre l'Maurice ! T'veux un' bière ?.... Norf qu'al se taise siouplé c't'insupportable !"

Toujours entrain d'essuyer avec son torchon jaunâtre ses chopes il servit deux verres de bières, lorsque la porte s'ouvrit de nouveau. Il s'apprêtait à les mettre à la porte quand il reconnut le laquet de la Duchesse. Il afficha donc un sourire hypocrite.Le deuxième homme il ne le connaissait pas cependant il se doutait que ça devait être le mari de la grosse. Celui-ci se précipita sur lui.

Ou est ma femme?!?

Léon le toisa de haut en bas. *el folle est mariée avec ça ?* se dit-il. Ignorant sa question il retourna à ses occupations en affichant un sourire en coin.
--L_idiot
Son pôpa bah il lui avait dit de retourner dans sa chambre mais il était curieux donc il était resté, caché sous une table de la taverne. En plus il avait trouvé la Duchesse très jolie et elle lui avait promis une récompense, le petit espérait vraiment que ça serait un petit bisou sur sa joue.
De sa cachette il observait tout ce qui se passait ainsi il avait vu une autre femme entrer, et un petit groupe était monté à l'étage pour y installer la dame malade. Certain étaient resté là-haut d'autre étaient partis chez eux. Son pôpa préférait quand à lui se servir un bon verre de bière en compagnie de son copain Maurice.
Le Monsieur géant qui l'avait accueilli chez la duchesse était revenu avec un autre Monsieur qui chercher sa femme. L'Idiot compris qu'il parlait de la dame malade, mais son pôpa ne répondit pas. Le petit garçon n'aimait pas quand son pôpa agissait comme ça, il devenait méchant. L'Idiot sortit de sa cachette et attrappa la chemise du mari et tira deux fois dessus pour attirer son attention.


"Dis c'est toi le mari de la m'dame malade ? ze sais d'ou qu'al est moi ! la dussesse et une autre m'adme et bah al l'ont mise là-haut. Al va pô bien ta femme. Al crie tout plein. viens si tu veux ze te montre, mais al z'ont dit aussi qu'i faut pô entré."

L'Idiot attrappa la main du mari et le conduit au palier du premier étage. Tous deux étaient suivit de près par Naqunoeil.
--Naqunoeil
Naqunoeil n'avait pas osé dire au Messire Forsanz à quel point il avait trouvé sa femme mal, pâle et faible. Il s'était contenter de dire à qu'elle était probablement en train de mettre bas et que par conséquent sa présence était requise.
Il avait bien fait d'enjoliver la situation car le futur papa semblait déjà bien affolé, il ne lui avait même pas laissé le temps de prendre sa monture, il avait don fait le trajet à deux sur cette pauvre jument.
Arrivé à la taverne, l'aubergiste s'était une fois de plus montré antipatique et n'avait pas répondu à la question du jeune mari.
*Seigneur, Aristot et Christos dans votre grande Bonté faites qu'il ne soit pas trop tard !* pria-t-il.
Il n'y avait plus de trace de la Duchesse. C'est alors que le petitdhomme sortit de dessous une table et il leur indiqua le chemin.
Naqunoeil silencieusement poussa un soupire de soulagement., arrivé en haut il prit la tête du petit cortège, intima au Messire Forsanz de s'assoir sur une mâle dans le couloir. Il remarqua que le petit s'assit à coté de lui.
Naqunoeil s'approcha de la porte de la chambre, des gémissement traversaient les murs de la pièces. Délicatement il prit un carré de soie s'entoura la main et frappa à la porte
.

"Madame la Duchesse, j'ai amené avec moi Messire Forsanz, je lui ai demander de patienter dans le couloir." puis il ajouta d'un ... hum ... de deux ton plus bas. "Comment cela se présente-t-il ? dois-je informer Messire Forsanz de la gravité de la situation ?"
Renlie
Renlie avait chevauché quelques lieux, en compagnie de la merveilleuse Procureur berrichonne, Dame Whoopie, et d'une dizaine de gardes ducaux. Il leur avait demandé de l'accompagner pour une mission délicate: débusquer des contrebandiers de vin dans un tripot mal famé qu'on lui avait renseigné, et les faire inculper sur le champ par la Proc, en flagrant délit.

A quelques encablures du lieu indiqué, une étrange sensation le prit. Il y avait bien beaucoup de monde qui circulait, l'air paniqué. Les aurait-on prévenu de leur arrivée?
Son étonnement allait de plus en plus grand, quand à quelques dizaines de mètres de la bâtisse, il reconnut la monture de son amie la duchesse de Chantôme. Que pouvait-elle donc faire dans un lieu aussi incongru pour une femme comme elle? Serait-elle mêlée à tout ça?
Avec tout ce qu'on voit dans la noblesse de nos jours, plus rien ne l'étonnerait. Et pourtant, il la connaissait bien la duchesse, c'est pas le genre à mettre un doigt de travers!
A moins qu'elle soit présente pour une quelconque reconstitution de faits pour un de ses procès, se dit-il. Bizarre, ni Whoopie ni elle ne lui en avait touché mot.

L'attroupement devant la porte était pour le moins louche, mais les malandrins qui le composaient prirent la poudre d'escampette au vu du méchant CAC ducal accompagné de son escorte.

Quoiqu'il en soit, il aurait bientôt la réponse. Il fit mettre pied à terre à toute la troupe à quelques dizaines de mètres, un homme gardant les chevaux par sécurité. Le groupe se dirigea alors vers la porte d'entrée, qu'ils passèrent en trombe en pénétrant dans le bâtiment, afin d'y diriger une inspection en bonne et due forme.

Quelle ne fut pas sa surprise alors de voir l'endroit vide, un tavernier complètement hébété, le tout dans une ambiance de cris de femme...


Holà tavernier, que se passe-t-il donc ici? Tu séquestres une pauvre bougresse? Moi qui venait inspecter tes caves, je sens que je vais vite faire mander le Prévôt, les maisons de passe, il n'aime pas ça! Hein madame le Procureur...
laGertrude, incarné par Asterie
La Gertrude se tenait au fond de l'auberge avec ses compagnons de boisson plus que des amis véritables. Il est toujours plus agréable de boire à plusieurs que seule. Et puis surtout elle était là en attendant son mari un coquin, la famille vivait de petits larcins et dernièrement son mari était sur un bon coup...
C'était grâce à elle avait entendu, lorsqu'elle servait dans la taverne parfois, qu'une affaire ce faisait et que cela pouvait rapporter quelques deniers.
Un trafic de vin avec le tavernier... Et puis qui pourrait la soupçonner. La Gertrude avec ses quatre lardons le petit dernier qui lui servait bien un enfant de six mois.
Ont se servait d'eux comme de guetteurs... Lorsqu'il fallait transvaser certaine marchandises sans que cela inquiète les sergents.
La Gertrude amenait son petit dernier ne lui donnait pas à manger le pauvre enfant avait faim, alors, il pleurait et cela couvrait le bruit que faisaient son mari et ses amis. Ils avaient failli se faire prendre une fois mais...comment reprocher à un enfant de pleurer...
Cette fois-ci non seulement son mari n'était pas là mais, en plus il a fallu que la jeune gazoute se trouve là pour accoucher ! Et encore si cela n'avait été que cela mais c'est qu'elle avait amené la noblesse et voilà que la voiture du procureur et du CAC et des sergents s'arrêtèrent devant l'auberge.


Misère ! Corne de bouc !


L'homme à côté d'elle se retourna.

Ben qu'es qui t'arrive la Gertrude !

Ben regarde! Elle lui mit un coup de coude ben corne d'idiot regarde le procureur et les Sergents on est fichu ! Corne de Bouc !!!! Ils savent ...

Mais non la Gertrude calme toi, calme toi ! Y savent rien regarde ! ils sont étonnés fait comme -ci de rien.

Et mon Fernand qui l'est pas là ! faut pas qui viennent.

Mince le Fernand et la bande t'as raison.


Et je vais demander si y a besoin de l'aide car, moi je sais !

Toi t'as vu comment t'ai !


Quoi comment suis non mais !!


Ben oui ! Ne vont pas vouloir de toi !

Ben je dirais que j'ai déjà aidé la Georgette la matrone. Comme ça je vais observer.

Ben tu sais que toi t'ai pas bête !


Va voir mon Fernand pour l'y prévenir faudrait pas qui s'y fasse mettre les chaînes. J'ai quatre lardons à nourrir...
Whoopie60
Et voilà que Whoopie chevauchait sur les routes berrichonnes avec Messire Renlie, le Méchant CaC, que toutefois elle trouvait adorable, sous ses airs farouches.
Ce dernier était venu la chercher pour une affaire d'escroquerie de la plus haute importance, dont l'inculpation immédiate devait avoir lieue.
Renlie avait eu des renseignements, à propos de malfaçon et de contrebande de vin qui se produisaient dans une taverne plutôt louche.

Whoopie était étonnée de voir des gens circuler, l'air affolé à cette heure-ci de la nuit...quel étrange phénomène s'était-il passé?...Mais pas le temps de s'arrêter pour une quelconque bagarre de rues...ou peut-être étaient-il au courant de leur venue...mais cette idée lui sortit très vite de l'esprit, ne voyant pas qui aurait pu divulguer une affaire de cette importance...Ici la discrétion était de rigueur...

Non loin de cette fameuse taverne malfamée, Renlie s'était arrêté et fit descendre de leurs montures les gardes qui les accompagnaient, Whoopie en fit de même et tous se précipitèrent, elle au milieu (oui hein^^ pas folle la guêpe^^), dans le lieu du délit.
Des cris de femme se faisaient entendre, Whoopie avait l'étrange sensation de connaître cette voix...mais ce n'était pas possible...

Renlie a écrit:
Holà tavernier, que se passe-t-il donc ici? Tu séquestres une pauvre bougresse? Moi qui venait inspecter tes caves, je sens que je vais vite faire mander le Prévôt, les maisons de passe, il n'aime pas ça! Hein madame le Procureur...


Elle lui répondit tout en essayant de voir qui avait crié.

Oui, je l'affirme!!!...et je pense que oui, vous feriez bien de le faire appeler!...

Whoopie avait enfin trouvé d'où étaient venus ces cris. Ils venaient de l'étage. Elle se dirigea vers les escaliers, les monta, non sans avoir pris soin de poser sa main sur son épée, mais tout en s'approchant, elle reconnut Fors, et deux autres personnes qu'elle ne connaissait pas. Pourquoi Fors était-il ici?...Toujours aussi méfiante, elle demanda à son fillot ce qu'il se passait. Mais, elle ne mit pas longtemps à comprendre...ayant accouché un an auparavant, elle savait d'instinct qu'elle allait mettre au monde son bébé...Whoopie était entre la joie de savoir qu'il allaient être parents d'ici peu et le désarrois de savoir qu'elle allait accoucher dans un lieu aussi...grotesque, sale que possible.

Je peux entrer Fors?....ou faut-il attendre dehors?...

Sans attendre sa réponse, elle était entrée dans la chambre, allant directement au chevet de sa nièce , s'était accroupie auprès d'elle, essayant de la rassurer, le plus important dans ces moments là.

Puis levant les yeux vers Ysandre et Asté, inquiète, demanda:

Alors?!...Comment ça se présente?...
_________________
Ysandre
Son fidèle passa discretement la tête dans la pièce et leurs regards se croisèrent.
Il l'informa de l'arrivée de Fors. Celui-ci patientait sagement dans le couloir.
L'usance voulait que les hommes restassent hors de la pièce, les naissances étant affaires de femmes.


Dis lui...Dis lui qu'Astérie est là et que tout ira bien, qu'il ne s'inquiète pas surtout!!

Son regard allait de l'une à l'autre et bien malin celui qui pouvait se vanter de savoir ce que la duchesse ressentait à cet instant précis.
A la vue d'Astérie, elle avait poussé un discret soupir de soulagement.. Son amie avait été fort rapide, Dieu merci et Ysandre savait maintenant Nephe entre les mains expertes de la réputée médicastre
A sa demande, la duchesse s'appliqua, elle aussi à dévêtir Nephertiti ne la laissant qu'en chemise légère. Elle couvrit avec pudeur ses cuisses du linge fin d'Astérie afin que cette dernière puisse l'examiner à souhait sans que la future maman en fut mal à l'aise.



Citation:
Ysandre place toi derrière Neph tu vas lui masser le dos. Puis tu vas la faire souffler lorsqu'il y a une contraction Neph tu souffles en même temps.


Sanguienne!
N'ayant jamais été mère ni même témoin d'un accouchement, Ysandre, quinaude, regarda Astérie un instant qui la mettait tout à trac à vauderoute.
Si l'inquiétude emplit alors sa poitrine, s'insinuant proditoirement en elle, paralysant une bonne paire de seconde ses gestes, elle n'en laissa rien paraitre.
Pas par orgueil cette fois, son navrant défaut, mais par crainte de décevoir l'une et de paniquer l'autre.
Obtempérant dès que ses jambes le lui permirent, la duchesse saisit alors ses jupes, se glissa à l'arrière de Nephe, à genoux la plaça contre et l'installa au mieux contre sa poitrine.
Elle posa ses mains liliales sur les petites épaules et les massa fermement, respectant religieusement les consignes de la dame de Fages Allichamps.
A un rythme régulier elle sentait sa pauvre amie se roidir prou et serrer les dents.
En réaction, le teint blême plus que se peut, Ysandre se surprit à entonner une douce mélopée sans que ses mains ne cessassent de détendre les chairs frissonnantes de Nephe.
La Douce semblait l'entendre. elle reprit un peu plus fort.


Pétrouchka, ne pleure pas
fais valser tes natter blondes
dansons autour de la ronde
ton petit chat reviendra..


Une forte contraction provoqua la hurlade que redoutait Ysandre. Ce cri vrilla douloureusement en sa tête.

Il s'est fait polichinelle
Dans les chemises en dentelle
De ton grand papa..

quand chante la colombe par dessus les toits
Chante et dans ma colombe, jolie Pétrouchka!
Quand chante la colombe par dessus les toits
Chante et danse ma colombe, jolie Pétrouchka...


Un répit, trop court..
Les cruels élancements la reprirent.


Souffle , ma douce, souffle fort.
Allons! Continue et vide-moi tes poumons.

_________________
--Leon_l_tavernier
*Norf de Norf de Norf ! Aristot m'a aband'nné ! vlà le CAC y ramène s'fraise ! Pfffff ! Pourvu qu'y aille pô dans l'cave !*
A le Léon se sentait bien abandonné par le seigneur ce soir là. Non de non, lui qui menait sa petite affaire tranquillement se retrouvait avec des tas de problèmes.
Tout d'abord une femme qui semblait accoucher dans sa belle auberge, deuxièmement la noblesse qui débarque et qui met tout le monde dehors. Troisèment le mari qui se pointe et son fil, son propre fils, la chair de sa chair qui aide le jeune homme.
*hum ! L'idiot ! il va vir li quand tout l'monde sra parti ! il va prendr' un' dérouillée !* se dit-il.
Et alors qu'il pensait pouvoir siroter un nouveau verre de poire au calme, voilà que le Méchant CAC se pointait avec une armada de sergent. Dans le sillage du CAC, se cachait une femme.
*Encouer une ! s'bien ma veine !*
Il la détailla du regard, elle était bien jolie celle-là aussi mais il n'irait pas si frotter, la garce portait une épée. Un nouveau crie venant de l'étage se fit entendre.


Renlie, le Méchant CAC a écrit:
Holà tavernier, que se passe-t-il donc ici? Tu séquestres une pauvre bougresse? Moi qui venait inspecter tes caves, je sens que je vais vite faire mander le Prévôt, les maisons de passe, il n'aime pas ça! Hein madame le Procureur...


Léon pallit quelques peu. Posant maladroitement son torchon sale sur son comptoir graisseux, il se redressa de toute sa hauteur, pour mieux faire face au CAC, il bredouilla :

"Arf nan ! pô d'ça chez mi ! un' jeun' gazoute met bas ! là-haut ! M'dame L'Duchesse est avec'al !"

Alors qu'il donnait cette réponse, il suivait du regard la femme armée qui montait les escaliers.
*Avec un peu d'chance, al va mettre tout l'monde dehors !* pensa-t-il, un leger sourire de satisfaction se dessinant sur son infame visage.







Nephertiti
"Fors ... mon coeur ... aime ... toujours ...!"

Depuis que tout ce petit monde l'avait montée dans la chambre, la pauvre délirait complètement tant la douleur était insupportable. Cet impression qu'on lui arrachait le bas du ventre ne la quittait pas. Son esprit sans doute pour lui rapportait un peu de reconfort faisait défiler tous les instants magique qu'elle avait passé avec son Tendre amour. Leur rencontre, leur rendez-vous manqué en taverne ce qui laissait place à de magnifiques missives, leur baptême, leur mariage, l'annonce de la grossesse...
Nephe sentait qui lui retirait ses vestures, en temps normal elle aurait ressenti une certaine gêne mais, la souffrance trop intense l'empêchait de se poser ce genre de question. Elle entendait vaguement aussi Astérie qui donnait des consignes à Ysandre. Astérie annonca d'ailleurs que le bébé se présentait par les fesses. Bien qu'elle soit dans le flou total elle comprit parfaitement cette phrase qui raisonnait dans son esprit. Une nouvelle crise de larmes la submergea. Son bébé, son petit bout arriverait-il à sortir ?


"Mon bébé ... mon petit bout ... aaaaaaaaaaaAAAAAAAAAAAAAhhhhhhhHHHHHHHHH !"

Un nouveau crie, une nouvelle douleur. Ysandre installa la jeune femme et entrprit de réaliser un massage comme le lui avait demandé Astérie. Il lui sembla qu'un homme passa la tête par la porte. Elle crut comprendre que l'homme avait ramené avec lui Forsanz. Nephe s'agita, murmurant le nom de son mari, elle voulait le voir, le rassurer comme elle savait si bien le faire, lui parlait pour qu'il lui pardonne son insoucience. Elle voulait être avec lui. Ysandre ressera sa prise sur ses épaules, elle voulait la retenir, de plus la Nephe ne devait plus vraiment être en état de marcher. La duchesse chantonnait pour calmer la jeune femme, et cela marchait plutôt bien, Ysandre avait une très jolie voix.

"aaaaaaaaaaaaaaAAAAAAAAHHHHHHHHHHH !"

Une nouvelle douleur. Elles se rapprochaient de plus en plus. Elle se débattait, la souffrance était tellement insupportable qu'elle aurait préférait qu'on lui ouvre le ventre. Elle se redressa un peu et chercha Astérie du regard.

"Astérie j'y arriverai pas ! .... "

La porte s'ouvrit de nouveau, de nouvelle mains se posèrent sur son front. Une nouvelle voix un peu paniquée se fit entendre. Nephe reconnut la voix de sa tata de coeur, Whoopie. Nephe lui aggrippa la main. Il fallait qu'elle tienne bon pour Whoop, pour le bébé et surtout pour Fors. Elle esseya de se calmer comme le lui avait conseillé Astérie, et de réguler sa réspiration.
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Asterie
Asterie acquiesça oui ne t'inquiète pas Ysandre je vais le rassurer.

Puis se pencha vers Néfertiti aller courage tu vas y arriver je vais chercher ce qu'il me faut et je reviens. En même temps je vais parler à ton mari.
Tu es forte tu vas y arriver j'en suis persuadé.
Tient tu vas prendre cela


Elle prit un petit bol y plaça des graines de pavots, les mélangea avec du miel puis fît prendre le tout à Néphertiti accompagner d'un verre de bière.

Cela va calmer un peu la douleur des contractions. Sans les atténuer complètement, mais cela va te soulager un peu.


Asterie était sortie de la pièce pour aller demander ce dont elle avait besoin.
Elle aperçue le pauvre Forsang qui fessait les cent pas dans le couloir.


Bonjour Forsang je te rassure ta femme va bien. Les cris que tu entends son causer par la douleur. On ne peut rien y faire. Il y a une chose qu'il faut que tu saches que l'enfant se présente par les fesses au lieu de se présenter par la tête cela arrive ce n'est pas souvent mais bon donc l'accouchement risque d'être un peu plus dur. Au propos du Médecin l'homme devient pâle, Asterie l'empêcha de rentrer dans la pièce lui assurant que la mère était bien soutenue par Ysandre.


D'y aller ne servirais pas à grand-chose et de toute façon la venue au monde d'un enfant n'était pas une affaire d'hommes mais, de femme, à moins que l'homme en question soit médecin et là ...
Un accouchement est toujours un moment délicat et perturbant pour la mère, pour le futur père qui se sent impuissant devant la douleur de sa femme. Pour la mère la peur d'enfanter était normal et logique survivra t'- elle comme sera l'enfant souffrira t'-elle, tiendra t'-elle le coup et si et si...
Pour la matrone également entendre les cris de la mère les odeurs, une question également hante toutes les matrones comment allait se passer l'accouchement. Bien sûr depuis la nuit des temps les femmes mettaient au monde des enfants mais, combien mourraient en couches, ou donnaient naissance à un enfant mort né car, le travail ne se passait pas bien passer. Faudrait 'il appelé le Médecin en urgence, arrivera t'-il à temps ... Il y avait plein de paramètre de circonstances qui ...
Personne ne pouvait se prononcer ... La seule chose à faire était d'attendre.


Tu devrais descendre et boire un verre et également prendre l'air tu es pâle. L'air te fera du bien.

Elle soupira n'osant pas trop se coller aux murs ce n'était pas de plus reluisant comme taverne mais, au moins elle avait pu constater que les draps étaient propres la chambre n'était pas d'une grande propreté mais, au moins elle était correcte.
Elle se demandait même si cette chambre n'était pas pour une certaine clientèle car vu l'état de l'auberge et du tavernier tout crasseux.
Dommage qu'il était trop tard pour transporter la pauvre Néfertiti il fallait faire avec le destin.
Ce n'était pas la saleté qui la dérangeait depuis le temps elle s'y était habitué et connu bien pire. Des cabanes délabrées, des maisons ou la crasse était tellement présente sur les meubles que le sol était presque plus propre.
Elle s'apprêtait à descendre lorsqu'elle faillit bousculer Whoopie.


Bon... Bonjour Whoopie elle est dans la pièce du fond.

Asterie marqua un petit étonnement mais, pensa que le procureur était venu en tant que tante et non pas par rpport à son titre ducal.
Elle descendit l'escalier lorsqu'elle entendit une voix familière.
Renlie !

Mais oui c'était bien lui mais, que faisait ' il ici ?

Elle s'approcha de lui et bien que fait elle remarqua qu'il n'était pas seul des gardes l'accompagnaient.
Pour que se déplace le CAC ducal cela devait être important le connaissant... Elle sourit.


Renlie mais, que ce passe t'-il ici je viens de croiser Whoopie j'ai mis cela sur le compte que ce soit sa tante mais, toi ?
Je sais que Néphertiti va accoucher mais, quand même à ce point.


Elle sourit malgré la situation se pencha vers lui et lui murmura.


Il y a quelque chose de particulier ici que tu sois la, et la présence du procureur et des gardes... rassure moi.

Puis elle se tourna vers le tavernier.


Il me faudrait de l'eau chaude, du linge propre, deux bassines.
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