--L_idiot
L'Idiot était resté avec le gentil messir qui avait sa femme malade et le grand géant. Ils attendaient devant une porte de chambre, derrière il y avait de l'agitation et la dame qui criait bien fort.
Le petit garçon avait remarqué qu'à chaque nouveau cris le gentil monsieur devenait de plus en plus blanc.
Bien que jeune, le garçon comprenait que le monsieur d'inquièter pour sa femme. Il ne savait pas pourquoi mais il avait envie de réconforter ce monsieur, il semblait vraiment amoureux de sa belle et ça le petit garçon en était tout ému, son pôpa il était pas comme ça avec sa môman.
Une dame sortit de la chambre il la reconnut c'était la dame, peut être médecin, qui avait fait monter la malade.
Elle s'adressa au mari, ça devait pas être une très bonne nouvelle car il devint encore plus blanc, et il se précipita sur la porte de la chambre. La dame le retint et le grand géant se plaça devant la porte.
La dame conseilla à l'homme d'aller prendre un verre mais celui-ci refusa tout de suite, disant qu'il voulait rester près de sa femme même s'il ne pouvait la voir.
Le petit garçon s'approcha lentement du messire, de sa toute petit main il se saisit de la sienne et l'emmena s'assoir. L'Idiot savait que les hommes ne devaient pas entrer.
"Viens avec moi, la M'dame al a dit c't'interdit. t'inquiète pas t'femme al va bien. Ze suis sur que la dussesse s'en 'ccupe bien. Elle zolie la dussesse. euh ... non non ... je voulais dire elle est zentille la dussesse."
Le petit garçon eut les joues qui rougirent. Et pour changer de sujet il ajouta.
"tu l'aime t'femme hein ? elle est zolie... Faut pa t'inquièter, Al va aller bien, z'en suis sûr. Al attend un bébé hein ? c'est pour ça qu'al a un gros ventre..."
L'idiot continuait à parler mais il se rendait bien compte que le mari n'en avait pas envie.
Une troisième femme arriva, elle adressa quelques mots au messire mais elle n'attendit pas la réponse et entra directement dans la chambre.
Les mains du monsieur tremblaient et même s'il gratifiait le jeune garçon de sourire, il n'écoutait pas vraiment. Le petit garçon en avait conscience. Mais s'il pouvait ne serait-ce que le faire sourire de temps en temps alors il continuerait à lui parler.
Le petit garçon avait remarqué qu'à chaque nouveau cris le gentil monsieur devenait de plus en plus blanc.
Bien que jeune, le garçon comprenait que le monsieur d'inquièter pour sa femme. Il ne savait pas pourquoi mais il avait envie de réconforter ce monsieur, il semblait vraiment amoureux de sa belle et ça le petit garçon en était tout ému, son pôpa il était pas comme ça avec sa môman.
Une dame sortit de la chambre il la reconnut c'était la dame, peut être médecin, qui avait fait monter la malade.
Elle s'adressa au mari, ça devait pas être une très bonne nouvelle car il devint encore plus blanc, et il se précipita sur la porte de la chambre. La dame le retint et le grand géant se plaça devant la porte.
La dame conseilla à l'homme d'aller prendre un verre mais celui-ci refusa tout de suite, disant qu'il voulait rester près de sa femme même s'il ne pouvait la voir.
Le petit garçon s'approcha lentement du messire, de sa toute petit main il se saisit de la sienne et l'emmena s'assoir. L'Idiot savait que les hommes ne devaient pas entrer.
"Viens avec moi, la M'dame al a dit c't'interdit. t'inquiète pas t'femme al va bien. Ze suis sur que la dussesse s'en 'ccupe bien. Elle zolie la dussesse. euh ... non non ... je voulais dire elle est zentille la dussesse."
Le petit garçon eut les joues qui rougirent. Et pour changer de sujet il ajouta.
"tu l'aime t'femme hein ? elle est zolie... Faut pa t'inquièter, Al va aller bien, z'en suis sûr. Al attend un bébé hein ? c'est pour ça qu'al a un gros ventre..."
L'idiot continuait à parler mais il se rendait bien compte que le mari n'en avait pas envie.
Une troisième femme arriva, elle adressa quelques mots au messire mais elle n'attendit pas la réponse et entra directement dans la chambre.
Les mains du monsieur tremblaient et même s'il gratifiait le jeune garçon de sourire, il n'écoutait pas vraiment. Le petit garçon en avait conscience. Mais s'il pouvait ne serait-ce que le faire sourire de temps en temps alors il continuerait à lui parler.