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[RP] Soirée particulière pour une petite vie...

--L_idiot
L'Idiot était resté avec le gentil messir qui avait sa femme malade et le grand géant. Ils attendaient devant une porte de chambre, derrière il y avait de l'agitation et la dame qui criait bien fort.
Le petit garçon avait remarqué qu'à chaque nouveau cris le gentil monsieur devenait de plus en plus blanc.
Bien que jeune, le garçon comprenait que le monsieur d'inquièter pour sa femme. Il ne savait pas pourquoi mais il avait envie de réconforter ce monsieur, il semblait vraiment amoureux de sa belle et ça le petit garçon en était tout ému, son pôpa il était pas comme ça avec sa môman.
Une dame sortit de la chambre il la reconnut c'était la dame, peut être médecin, qui avait fait monter la malade.
Elle s'adressa au mari, ça devait pas être une très bonne nouvelle car il devint encore plus blanc, et il se précipita sur la porte de la chambre. La dame le retint et le grand géant se plaça devant la porte.
La dame conseilla à l'homme d'aller prendre un verre mais celui-ci refusa tout de suite, disant qu'il voulait rester près de sa femme même s'il ne pouvait la voir.
Le petit garçon s'approcha lentement du messire, de sa toute petit main il se saisit de la sienne et l'emmena s'assoir. L'Idiot savait que les hommes ne devaient pas entrer.


"Viens avec moi, la M'dame al a dit c't'interdit. t'inquiète pas t'femme al va bien. Ze suis sur que la dussesse s'en 'ccupe bien. Elle zolie la dussesse. euh ... non non ... je voulais dire elle est zentille la dussesse."

Le petit garçon eut les joues qui rougirent. Et pour changer de sujet il ajouta.

"tu l'aime t'femme hein ? elle est zolie... Faut pa t'inquièter, Al va aller bien, z'en suis sûr. Al attend un bébé hein ? c'est pour ça qu'al a un gros ventre..."

L'idiot continuait à parler mais il se rendait bien compte que le mari n'en avait pas envie.
Une troisième femme arriva, elle adressa quelques mots au messire mais elle n'attendit pas la réponse et entra directement dans la chambre.
Les mains du monsieur tremblaient et même s'il gratifiait le jeune garçon de sourire, il n'écoutait pas vraiment. Le petit garçon en avait conscience. Mais s'il pouvait ne serait-ce que le faire sourire de temps en temps alors il continuerait à lui parler.
--Leon_l_tavernier
Décidément cette soirée n'était celle qu'il espérait. Il avait plein de femme dans sa taverne, pour une fois, mais il ne pouvait pas en profiter. Pourtant ces femmes toutes plus jolies les unes que les autres. Non seulement il ne pouvait pas profiter de la situation mais en plus il avait d'autres problèmes en tête, les sergents du méchant CAC fouillaient partout. Il espèrait qu'ils ne trouvent pas la trappe menant à la cave sinon il serait perdu. Il se rapprocha de Maurice et lui chuchota.

"Norf ! L'Maurice déplace t'tabouret vers l'gauche d'façon as qu'il couvre l'trappe ! pfff et pis j'espère que l'mari d'la Gertrude y va pas v'nir sinon j'te raconte pas l'bordel !"

Le fameux Maurice qui était encore plein comme une vache, regarda Léon avec des yeux rond et lui dit :


"Léon le mieux ! je crois ! c'est que je bouche pas ! je crois ! Si j'bouche, le CAC il va le remarquer ! je crois ! tu sais bien qu'on dit de lui que si un écus tombe par terre à 500 mêtres de lui il l'entend quand même !"

"Norf L'Maurice t'as oublié t'être bête ti ! t'raison bouge pas sinon l'autre il va encore fourré son nez ou y faut pô !"

A ce moment là, Léon remarqua que Le CAC le dévisageait, il lui servit un magnifique sourire hypocrite. Il espérait qu'il n'ait pas entendu ce qu'il venait de dire à Maurice. Heureusement la femme médecin descendit à ce moment détournant l'attention du vil CAC. Elle lui adressa quelques mots qui le firent sourire. Puis elle se pointa devant Léon et d'un air autoritaire elle lui demanda :

Citation:
Il me faudrait de l'eau chaude, du linge propre, deux bassines.


*Norf ! une Dame qui lui donne des ordres ! ah bah j'rai tout vu me* pensa-t-il. Il regarda la Dame en temps normal il l'aurait envoyé balader, mais là avec l'autre fouineur à coté de lui et la dizaine de sergent dans sa taverne, il devait se faire petit.
Elle était bien jolie elle aussi, dans sa belle houppelande bleue. Cette vesture lui allait à merveille soulignant la moindre de ses formes. Léon eut le regard qui s'alluma en pensant que s'il avait une dame pareil dans son auberge, elle serait toujours pleine.
La dame semblait s'impatienter, de mauvaise grâce, il alla donc chercher ce qu'elle demandait, heureusement pour ses chambres au premier étage, il faisait toujours bouillir le linge afin qu'il soit bien propre. Enfin il faisait ... Façon de parler, il le faisait surtout faire à sa femme.
Quelques minutes plus tard il revint avec deux bassines pleines d'eau bouillante et du linge propre. Sans un mot et laissant son regard parcourir les courbes voluptueuses de la femme, il lui tendit le tout.
Ysabeau
Au bureau de la douane de Sancerre

Comme tous les matins, Ysabeau travaillait au bureau de la douane. Accueillir les voyageurs, leur rappeler les lois en vigueur, les remercier de leurs réponses, déposer son rapport au Castel de Bourges, ainsi que des copies de courriers reçus... Tâche certes un peu routinière, mais tâche dont elle savait l'utilité. Et puis, accueillir, elle aimait bien cela.
Parfois, des noms connus... Voyageurs qui étaient passés, voyageurs qu'elle avait rencontré en taverne, en ce cas elle leur mettait un petit mot de plus.

Ce matin-là, elle terminait son rapport quand un jeune homme porteur d'une missive entra dans le bureau. Il la lui tendit en disant :


Dame, excusez le dérangement, j'crois qu'c'est important...

Ysabeau prit la missive, remercia le jeune homme, la décacheta. Etrangement, elle ne portait nulle signature, et le cachet qui la fermait n'était point connu d'elle. Une lettre anonyme ? Elle releva la tête et demanda au messager :

Qui t'a remis ce mot ? Tu connais la personne ?

Ben... Non m'dame, c'était un sieur... Mais le connais po... m'a juste dit de porter ça à la douanière... qu'elle saurait quoi faire... et qu' c'était important...

Norf de norf, une lettre anonyme donc... Elle fit signe au jeune homme qu'il pouvait sortir, et lut.

Citation:
Avis à la douane !

Un certain Fernand, compagnon d'une dame Gertrude (enfin dame, c'est beaucoup dire, une rombière plutôt, mère de quatre lardons braillards qu'elle arrive à peine à nourrir) se rend coupable de contrebande. Trafic de vin frelaté, à Sancerre, patrie du bon vin !
Il fournit de la piquette à Léon, propriétaire d'une taverne fort mal famée, et celui-ci la revend à prix fort à ses clients comme du vin sancerrois...
La livraison est prévue pour aujourd'hui, à la taverne de Léon.
A bon entendeur, salut
Un ami du vin de Sancerre


Elle lut, relut, essayant de reconnaître l'écriture... Mais non, la lettre était bel et bien anonyme. Elle la roula, la mit dans sa besace.
Elle termina son rapport, se rendit au château de Bourges, vérifia qu' Horvy n'avait point besoin d'écus (ben vi, elle était Connétable en plus), et décida de se rendre à la taverne de Léon. Elle n'aimait pas cet endroit, mais après tout, pour le vin de Sancerre... Si la missive était calomnie, hé bien elle la détruirait, si c'était vrai... Autant mettre un terme à ce trafic !

D'un bon pas, elle se rendit à la taverne de Léon.

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Dame de Sury sur Léré

Pour un Horizon Ouvert et Prospère
Asterie
Asterie attendit que le tavernier s'exécute au regard porter il n'avait pas l'habitude de recevoir des ordres. Mais surtout il y avait dans son regard quelque chose de pas net, comme s'il voulait cacher quelque chose .C'était compréhensible dans un sens vu la présence des gardes du CAC et sa bonne réputation... Elle sourit en y pensant.
Ce surnom ne lui allait pas mais bon, elle n'était pas impartiale non plus ayant travaillé avec lui en très bonne collaboration six mois Bailli et trois maire. Mais une chose était sur quand il avait un os il ne le lâchait pas...
Et puis le procureur, il ne manquerait plus que la douane... elle sourit.
Asterie sortit de ses réflexions Renlie lui appris qu'il y avait de grosses suspicions qu'il y a un trafic de vins. Mince ! et bien c'est une nuit bien particulière...
Elle était rassurée sur un point c'était déjà cela. Mais s'inquiétait pour Néphertiti la haut... Elle sentait le regard du tavernier.


Quand vous aurez fini de me reluquer vous serais t'-il possible de m'amener ce dont je vous ai demandé soit du linge propre et faire chauffer de l'eau et deux bassines dont une avec de l'eau chaude !

Le tavernier était à deux petits doigts de répliquer, elle sentit son regard menaçant. Qui voulait dire pas mal de choses t'as de la chance ma petite Dame qu'il y a du monde et surtout la garde. Sinon je m'en aurais fait mon affaire de toi c'est t'ai pas mal roulé ...

Décidément elle n'aimait pas son regard mais, cela n'était pas la première fois qu'on la gratifiait de telle marque de respect si l'on peu dire...
Après quelques minutes le tavernier revient avec ce qu'elle lui avait demandé. Les posa devant elle.


Voilà ma ptit Dame !

Elle s'approcha de l'homme une odeur s'en dégageait elle eu un moment de recul. Le pire c'était la vue de la dentition du tavernier et l'haleine ...

Vous pouvez éviter de sourire et surtout fermer la bouche vous risquer d'avaler une mouche. Et puis comme vous êtes en forme vous aller me les portez les bassines.
Et c'est qu'il va le faire de suite !! Et sans rechigner.

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Mon domaine
--Leon_l_tavernier
*Norf de norf, v'là qu'je joue les toutous pour l'dame !*
Ah Le Léon n'était pas le plus heureux des hommes là, non non non. Voilà qu'une dame, une noblio en plus se permettait de lui donner des ordres. Heureusement pour elle que le CAC était présent.
Avec une grimasse de dédain, il attrappa les bassines et suivit le femme de bleue vêtue. Lors de la montée des escaliers, il en profita pour regarder la balancement grâcieux de ses reins.
Elle avait une démarche légère, et son escalier qui grinçait habituellement restait silencieux. Décidément elle aurait été parfaite dans son auberge celle-là.
Arrivé là-haut il vit son fils en train de parler avec le Messire, le mari de l'autre folle qui allait mettre bas dans sa plus belle chambre, reéservée aux clients fortunés.
Il lança un regard noir à L'Idiot. Le petit garçon frémit et se blottit contre le Messire. Ce dernier rendit son regard à Léon et passa le bras autour des petites épaules du garçonnet.
*Norf vlà qu'j'ai même plus droit d'être autoritaire avec mi fils ! y perds rien pour attendre l'Idiot, dès qu'il va partir j'vais pô géner.*
Puis il regarda le homme de taille imposante devant la porte, à l'arrivée de la dame il s'écarta, il devait sans doute empêcher le mari de rentrer, c'est qu'elle criait fort la bougresse. Mais lorsqu'il voulu à son tour passer dans la chambre il l'en empêcha .


"D'gage d'la ti l'dame, al veut les bassines !"

Léon toisa l'homme du regard celui-ci n'avait apparement pas l'intention de le laisser passer. Léon était à deux doigts de lui balancer la bassine ne pleine tête, mais l'homme le regardait avec autorité.
--Naqunoeil
Naqunoeil était posté devant la porte d'entrée de la chambre, le jeune Forsanz était blanc comme un linge. Il faut dire que ça devait être terrible d'entendre sa femme souffrir ainsi et se sentir si impuissant face à cette douleur. Même lui qui n'était pas le mari de Nephertiti avait du mal à supporter ses cris tant elle semblait souffrir.
Il aurait voulu trouver les mots justes pour réconforter le jeune époux mais il n'en trouvait pas.
Dame Astérie les avait prévenus que l'enfant se présentait par les fesses, et ça Naqunoeil savait que cela pouvait être dangereux et pour la mère et pour l'enfant.

Nephertiti jeune femme têtue, il était sur qu'elle n'avait pas étais voir le médecin. Si seulement elle y était allée plus tôt, Dame Astérie aurait peut être pu le remettre en place, il savait pour l'avoir vu pratiqué sur des animaux qu'il y avait un procédé qui permettait de remettre l'enfant en place et cela marchait assez souvent... Peut être que... Naqunoeil se mit à prier silencieusement, il ne voulait pas de malheur pour ce soir, d'une il ne voulait pas que ce jeune couple soit malheureux, de deux la duchesse serait abattue si cela se produisait, et elle avait assez souffert ces derniers jours...

Chassant ces idées noires de son esprit il rapporta son attention sur la pièce autour de lui. Cela lui faisait plaisir de constater que le petit garçon essayait au mieux de changer les idées de Messire Forsanz. Est-ce que ce garçonnet avait coinscience de la situation ? pas sûr mais il arrivait à arracher quelques sourires au visage blafard de Forsanz.

Dame astérie revint suivit de près, trop peut être, par le tavernier à l'air louche. Naqunoeil laissa la place à la femme médecin pour qu'elle puisse de nouveau entrer dans la chambre, mais il s'interposa devant le tavernier, pour lui il était hors de question que pareil homme penetre dans une chambre pleine de femme honorables et sans défence.


Citation:
"D'gage d'la ti l'dame, al veut les bassines !"


Naqunoil regarda l'homme. Ils se toisèrent ainsi plusieurs minutes, Naqunoeil sans lacher l'homme du regard s'adressa à dame Astérie.

"Dame Astérie, au vue de la situation il me semble qu'il serait préférable que se soit moi qui entra dans cette pièce, Dame Nephertiti doit avoir une apparence peu convenable pour qu'un homme pareil puisse entrer ainsi."

Du coin de l'oeil il vit la femme acquiècer d'un signe de tête.

"Tavernier donnes-moi donc tes bassines je me charges de cela, tu ferais mieux de redescendre servir tes clients !"

Le tavernier resta un moment immobile comme pour protester qu'on l'écarte ainsi. Le valet ne lachait pas des meins les deux bassines. Puis Naqunoeil le vit tourner les talons et descendre les escaliers en bredouillant des mots incompréhensible. Naqunoeil entra dans la pièce, en s'interdisant de regarder la pauvre jeune femme étendue là. Il déposa les bassines aux lieux indiqué par Dame Astérie et sortit immédiatement sans demander son reste.
Ysabeau
Elle entra dans la taverne de Léon. Une atmosphère enfumée, lourde. Une odeur... norf de norf. Ysabeau sortit un mouchoir de sa besace et s'en couvrit le nez, réprimant un haut le coeur. C'est que la douanière avait l'odorat fort délicat, préférant les parfums ou l'odeur d'une bonne poire sancerroise, plutôt que ces lourds relents de cuisine douteuse ...
Enfin, elle entra.
Du monde dans la salle commune. Un groupe un peu à l'écart, dont une femme tenant un enfant sur les genoux, et plusieurs convives à l'air patibulaire. Etait-ce la Gertrude dont parlait la lettre ? Des gardes, et... elle reconnut le Cac, Renlie. A lui elle pourrait parler, montrer cette lettre. Le Cac était certainement au courant, rien de ce qui concernait le commerce ne lui était étranger.

A l'étage, on entendait des bruits, des cris étouffés. Elle leva la tête vers l'escalier, le tavernier redescendait lourdement les marches. Que se passait-il là-haut ?
Elle satisferait plus tard sa curiosité.

Elle s'approcha de Renlie


Bonjour Renlie, contente de te voir icelieu. On m'a remis au bureau de la douane une lettre anonyme... Il semblerait qu'untrafic de vin ait lieu ici, avec la complicité de Léon le tavernier. Le mari d'une certaine Gertrude, un dénommé Fernand, en serait l'instigateur... Voilà la lettre...

Discrètement, elle sortit la lettre de sa besace, et la tendit à Renlie
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Dame de Sury sur Léré

Pour un Horizon Ouvert et Prospère
LaGertrude, incarné par Asterie
La Gertrude était anxieuse... Il y avait beaucoup trop de monde à son goût et son Fernand qui ne venait pas . Elle se demandait si ce n'était pas une bonne chose en définitive qu'il ne soit pas là.
Une autre Dame entra décidément il y avait bien du monde d'un coup elle regardait la femme lorsque celle-ci l'observa comme -ci elle la connaissait.
La Gertrude essaya de se souvenir d'où pouvait' elle bien là connaître. Non rien cela ne lui disait rien... Elle la regarda se diriger directement vers l'homme dans la taverne. Serait 'il en relation Corne de Bouc ! Ce n'était vraiment pas sa soirée !
La Gertrude sera machinalement l'enfant qu'elle avait dans les bras et bien sûr celui -ci se mit à pleurer. Elle le sera un peu, plus pour lui intimé de se taire mais , rien à faire l'enfant continuait à pleurer l'homme à côté d'elle lui glissa à l'oreille.


sacré braillard c'est t'y donc pas possible qui s'y taise non !!! On va se faire remarquer !
C'est pas de ma faute !!

L'homme jeta un regard noir à la Gertrude.La donzelle elle nous regarde.

La Gertrude se mit à sourire. On pouvait y distinguer si l'on pouvait y distinguer quelque chose...Une dent manquait juste devant ce qui lui donnait un air particulier les autres n'étaient pas très reluisantes également.

J'suis dessolée c'est le ptiot il pleurniche tout le temps l'a les dents qui font mal.

Elle le berça comme elle pouvait en espérant qu'il allait enfin se taire ...

J'y attends mon mari fait froid dehors hein !

L'homme à côté d'elle confirma oui elle y attend son mari. Moi j'suis là pour boire un coup ! Ben là j'voudrais bien une chope c'est qu'y fait soif hein !!

La Gertrude acquiesça ben ouais y fait soif !

Vous y chercher queque chose ?J'y vois beaucoup de monde ou c'est t'y pour la dame qui va mette bas. C'est qu'elle a pas l'air en forme tout à l'heure j'y ai vu le médecin.

Elle continuait à bercé son enfant si on pouvait appeler cela bercé ! Elle le secouait plus qu'autre chose.
Elle regardait souvent par la fenêtre crasseuse mais, on pouvait y distinguer dehors au cas où son Fernand arriverait ...
Elle se tourna discrètement vers l'homme à côté d'elle et lui murmura


Va t'y prévenir le Fernand qui vienne pas avec le gros louis. J'suis sûr qui savent. Et j'y peu pas partir sinon ce serait louche !
Asterie
Asterie soupira quelle crasse! Elle n'osait pas mettre les mains sur la rambarde de peur d'y rester coller, ce n'est pas qu'elle soit une petite nature, les odeurs, la saleté et même la crase elle connaissait mais, là rajouter en plus le regard lubrique du fameux Léon elle en trembla. Elle revoyait ses petits yeux vicieux, elle eu un haut le coeur s'arrêta au milieu de l'escalier. Des souvenirs ressurgir...

Ben la ptite Dame ça va pas elle veut que je l'aide à monter slupp ah ben l'as pas de chance j'peu pas vous y aider sinon ce serais avec plaisirrr .

Elle se ressaisit elle se retourna non la ptite Dame elle à pas besoin d'aide ! Mais part contre l'espèce de sieur en face de moi s'il continu je vais l'aider à autre chose moi !!

Le tavernier regardait la femme devant lui avec un grand sourire slupp fît 'il une fois de plus avec sa langue. Asterie soupira et se dit que s'il posait ne serait que la main sur elle lui ferait passer certaine envie à son égard.

Elle passa devant Forsan elle le regarda assis sûr une chaise la tête entre les mains. Ne pouvant rien pour lui elle le laissa en compagnie du gamin.
Elle passa Naqunoeil lui sourit le tavernier essaya de rentrer il fût vite mis dehors par Naqunoeil . Asterie sourit.


Oh ! Quelle horreur ce tavernier elle frissonna. Alors, Néphertiti comment va tu ?

Asterie sourit à Whoopie et Ysandre.
Asterie plaça ses mains sur le ventre de Néphertiti pour faire bouger un peu l'enfant.


Je vais regarder où tu en es.
Oh mais c'est très bien ça tu es presque à complet je sens bien les fesses maintenant courage ma belle! .
Je vais te percer la poche des eaux cela accélèrera un peu la venu de l'enfant.


Elle plaça un drap sous Néphertiti.
Asterie prit un petit crochet et perça la poche des eaux le liquide était clair et abondant.


Voilà c'est fait soulève un peu les fesses très bien. Une fois Néphertiti au sec. Asterie prit un bol pour une fumigation y versa de la rose et de la camomille puis y versa de l'eau chaude.

Néphertiti tu vas ouvrir les jambes voilà très bien je vais placer un bol d'eau chaude et recouvrir le tout d'un linge tu ne serras pas les jambes sinon tu vas te brûler ! Cela va relâcher la peau et l'enfant passera plus facilement et détendre les chairs. . (Nous sommes au moyen âge)
Je sais que ce n'est pas évident mais, cela va aider ensuite j'assouplirai un peu le col pour faciliter le passage.

Quelques temps plus tard Asterie s'en duit les mains d'huile de violette et de laurier.

Laisse toi faire cela ne va pas être agréable mais, cela va faciliter le passage.
Tu vas pousser pour voir si l'enfant descend attend la contraction.
Voilà très bien retient ta respiration et pousse.
Très bien c'est comme ça qu'il faudra faire.
On va commencer à s'installer.

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Mon domaine
Nephertiti
[dans la chambre]

Nephe haletait, sa respiration se faisait de plus en plus difficile, ces longs cheveux cuivrés dégoulinaient de sueur. La jeune femme savait que quelque chose n'allait pas, que l'accouchement ne serait pas aussi facile que ça. Elle entendait sa tante lui murmurer des mots qui se voulaient réconfortant mais sa voix était tellement tremblante tout comme celle de la Belle Ysandre qui continuait sa chanson, que Nephe paniquait de plus en plus, et tout ses efforts pour réguler sa respiration semblaient ne servir à rien.
Astérie rentra de nouveau dans la chambre, elle semblait exaspérée par le tavernier, elle était suivie d'un homme que Nephe reconnut comme étant Naqunoeil qui travaillait pour Ysandre, mais elle n'aurait plus le jurer sa vue étant toujours trouble.
Astérie palpa son ventre. Sa peau et Nephe le sentait très bien était distendue, prête à éclater.


Astérie a écrit:
Alors, Néphertiti comment va tu ?


Astérie j'ai mal ... j'ai peur ... mon bébé ?

Astérie souriait, se voulant rassurante. Elle oscultait le ventre de Nephe, concentrée. Si quelques chose n'allait pas, elle n'en laissait rien paraître en tout cas. Pourtant la future jeune maman sentait Astérie tendue, inquiète peut être même.

Astérie a écrit:
Je vais te percer la poche des eaux cela accélèrera un peu la venu de l'enfant.


Quoi ? comment ça ? percer la poche des os ? non non ça ne devait pas être ça. Ah mais oui elle se souvenait lors de l'accouchement de sa soeur...
Elle vit Astérie prendre un petit crochet, elle aurait voulu protester, l'en empêcher, crier mais à bout de forces, elle réussit juste à émettre un gémissement.
Un liquide chaud s'échappa d'entre ses cuisses. C'était une sensation bizare, comme si elle n'avait su se retenir.
Ensuite Astérie lui expliqua ce qu'il fallaitnfaire lorsque la douleur reviendrait, à peine avait-elle eu le temps de finir sa phrase qu'un nouvelle torture plus intense que jamais lui arracha un cris.


"aaaaaaaaaaaaaAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH !"

Nephe avait l'impression que son bas ventre se déchirait, impossible pour lui d'expulser la petite vie qui ne désirait qu'une chose... Sortir.
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Renlie
Depuis son arrivée, Renlie avait eu le temps d'apprécier la situation, et de se rendre compte qu'il était tombé dans un moment délicat pour sa chère bailli. Il avait ordonné aux gardes ducaux d'inspecter discrètement les lieux, ne voulant pas troubler ce moment difficile et particulier pour la jeune femme.

C'est alors qu'il vit la Connétable pénétrer les lieux. Décidément, on pourrait bientôt tenir une séance du conseil ducal si les conseillers se donnaient tous rendez-vous dans ce sordide endroit, se dit-il.

Après qu'elle lui eu adressé quelques mots, il prit la lettre qu'elle lui tendit, et la parcouru, ne découvrant sans grande surprise l'intrigue de son contenu, vu qu'il était présent pour cette raison particulière. Il chuchota alors à Ysabeau:

Je suis au courant de cette affaire tout aussi sordide que l'endroit où elle se déroule, je fais inspecter en ce moment les lieux à la recherche de cette piquette. Vu l'état d'angoisse du tavernier, je cuide que nous ferons mouche, et qu'il aura le plaisir de connaître les geôles ducales...

A cet instant, un cri déchirant émana de la chambre du haut, plongeant l'assemblée dans un sentiment de malaise...
Ysabeau
Ysabeau comprit que la lettre n'était pas une plaisanterie. Ainsi Renlie était au courant. Elle jeta un oeil à la mégère à l'enfant braillard, plaignant le nourrisson qui ne devait pas avoir à manger à sa faim... Ses compagnons de table essayaient de faire bonne figure, commandant de nouvelles chopines, mais elle sentait bien leur inquiétude. Elle murmura à Renlie

J'espère bien que vous en viendrez à bout, si vous avez besoin de moi n'hésitez pas... Au service du Berry et du bon vin ! elle jeta un nouveau regard au groupe suspect Vous ne trouvez pas qu'ils nous regardent bizarrement ? Je me demande si... cette femme ne serait pas la Gertrude, la femme du Fernand....

Mais un cri déchirant, venant de l'étage... Que se passait-il donc en haut ? Ysabeau monta l'escalier, faisant attention à ne pas se salir ... En haut, une porte fermée... Et là, devant la porte, un jeune garçon et... Forsanz, le mari de Nephe. Que faisait-il là ? Qui était derrière cette porte ?
Ysabeau réfléchit un instant... Nephe était près d'accoucher.... Serait-ce elle qu'on avait entendu crier ?

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Dame de Sury sur Léré

Pour un Horizon Ouvert et Prospère
--L_idiot
"Et pis faut pô t'inquiter, tu sais le seigneur il aide les zens zentil ! et pis toi et ta femme vous avez l'air très zentil... et pis..."

Le petit garçon s'interronpit. Il regardait toujours le jeune homme qui était livide et ne semblait plus vraiment faire attention à ce qu'il se passait autour de lui. Les seules réactions du mari étaient quand il entendait les cris de sa femme. Qu'est-ce qu'elle criait fort ! Elle devait avoir sacrément mal. Il ne savait pas vraiment pourquoi mais lui aussi commençait à ressentir de la peur dans son petit esprit.
Il s'était prit de sympathie pour ce couple, surtout pour le mari. En effet lorsque son père était monté et qu'il l'avait mal regardé, le jeune homme avait passé son bras autour de ses petites épaules, signe que tant qu'il serait là, son pôpa ne pourrait pas lui faire de mal. Et en plus il y avait le grand géant aussi auquel sont pôpa n'avait pas osé répondre.

*Ouf, mais qu'est-ce que ze vais prendre quand y s'ront partis. aie aie aie !* pensa-t-il, mais pas trop longtemps. Il préférait profiter de la présence du Messire si gentil et du Grand géant.
De nouveau la dame de l'autre coté de la porte cria, plus fort cette fois. Le mari s'immobilisa, le regard inquièt et le teint blanc.
C'est alors qu'une nouvelle dame monta les escaliers. Le petit garçon la regarda, elle aussi avait l'air bien gentille. Il était tout heureux car il n'avait jamais vu autant de gentilles et jolies madames .
Il se leva du banc et posant sa main sur l'épaule du Monsieur, qui lui n'était pas revenu à lui, il lui répéta de na pas s'inquièter, mais encore une fois le mari ne réagit pas. Il s'avança alors vers la dame et lui dit de sa petite voix enfantine.


"B'soir M'dame, toi aussi tu viens pour l'bébé ? c'est moi z'ai prévenue la Dussesse comme un grand, tout seul ! L'mari là, bah il a très peur ! il ne dit rien et ne voit presque rien non plus, t'as vu il est tout blanc... La M'dame derrière al crie fort; al doit avoir bien mal !" Puis en désignant les hommes dans la pièce, à savoir Le mari, Le grand géant qui travaille pour la Duchesse et lui-même il ajouta : "Nous les Zhommes bah on a pas le droit d'entrer, donc ze reste là avec le monsieur et le zéant, mais ils sont pas très barvards... enfin peut-être que toi tu peux entrer, ze sais pas, faut demander..."


Si les deux hommes n'étaient pas bavards, l'Idiot lui l'était. Il adorait discuter, parler, donner son avis sur plein de choses. Mais s'il l'était ce soir c'est surtout parce qu'il voulait réconforter le Monsieur. Dans son petit esprit, il essayait d'imaginer ce qu'aurait été sa vie s'il avait eu d'autres parents ?... Un petite vague de tristesse s'insinua en lui. Il avait les parents qu'il avait, il n'y pourrait rien changer...
Chassant bien vite tout ça, il regarda de nouveau la dame et lui sourit. Ce sourire donnait à son visage un air poupon, un vrai petit visage d'ange.
Ysabeau
B'soir M'dame, toi aussi tu viens pour l'bébé

C'était bien cela... C'était bien Nephe qui criait derrière cette porte. Ysabeau sourit au jeune garçon babillard. Entrer ? Elle ne savait si elles serait utile, certes elle avait aidé Marilou à accoucher, mais il semblait que Nephe n'était pas seule, que d'autres voix se faisaient entendre, elle percevait aussi quelques bruits. Trop de monde autour de la jeune femme, ça ne faciliterait pas l'accouchement.

Je crois que je ne vais pas demander à entrer, jeune homme. Il semble que Nephe ne soit pas seule. C'est gentil à vous de réconforter ce pauvre Forsanz. Comment vous appelez-vous ?

Elle regardait Forsanz, plus pâle qu'un linge, les lèvres serrées, immobile, tel un spectre. Elle s'approcha de lui et lui mit la main sur l'épaule.

ça va bien se passer, mon ami. Elle va s'en tirer. Bientôt tu pourras serrer ton enfant dans tes bras. Courage, c'est parfois long, un accouchement. Courage...
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Dame de Sury sur Léré

Pour un Horizon Ouvert et Prospère
--L_idiot
Le garçonnet rendait son sourire à la nouvelle Dame. Il la regarda de bas en haut, elle aussi était jolie. Elle portait de jolis vêtement de couleurs vives. Le petit garçon aurait aimé avoir un jour des vêtements neufs, mais sa môman lui donnait toujours de vieille taies d'oreillet qu'elle reprisait de façon à en faire des vêtements, mais les tissus était usés et ça le démangeait souvent.
La Dame s'avança vers le Messire tout blanc, elle lui adressa quelques mots mais il ne semblait vraiment pas les comprendre, l'Idiot appris par la même occasion le nom du jeune Messire. C'était Forsanz.
Le petit le connaissait de nom, en effet, malgrè les nombreux défauts de sa môman, elle achetait toujours du très bon pain pour nourrir ses enfants et elle disait toujours qu'elle allait à la boulangerie Forsanz, la meilleur de Sancerre. Et c'est vrai que son pain était délicieux.
Le petit garçon, laissant le mari à ces inquiètudes revint vers la Dame, il lui sourit :


"Bah un nom ? z'en ai pô, mon pôpa il m'appelle l'Idiot ! ptetre c'est ça mon nom ! ze sais pô ! Et toi M'dame t'appelle comment ? t'as l'air zentille ! Pourquoi t'es venue ? comment tu savais que le bébé allait arrivé ?"

Un nouveau crie déchira la conversation, le petit garçon ferma les yeux, il serra fort les points. La femme criait vraiment fort maintenant. Il lança un regard inquièt à la nouvelle venue.

"M'dame, c'est grave ce qu'al a ? Al crie fort ! et z'ai peur pour al ! al avait l'air zentille c'te dame aussi !"

L'Idiot, bien malgré lui, avait quelques larmes qui perlaient sur ses joues rondes. Malgrè sa tristesse incompréhensible, après tout ils ne les connaissaient pas vraiment il jeta un rapide coup d'oeil à Forsanz. Ce dernier avait les yeux fermés, a bien le regarder on se demandait même s'il respirait tellement il ressemblait à une statue, toujours déconnecté du monde qui l'entourait.
L'Idiot ne savait plus quoi faire, quoi dire, il regardait, les yeux humides, la dame face à lui.
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